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Le Supplice de Triss Merigold [PV]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Le Supplice de Triss Merigold [PV]

mardi 27 février 2018, 01:23:29


Tretogor

Il y a plus de dix ans, l’infâme Empire de Nilfgaard échoua à conquérir les Royaumes Nordiques. Ces derniers mirent de côté leurs afflictions pour former une grande alliance, qui réussit à repousser l’impérial empire sudiste. Vaincus, les Nilfgaardiens retournèrent chez eux, mais n’oublièrent jamais l’humiliation qu’ils avaient subi. Parallèlement à cela, un sorceleur, Geralt de Riv, rencontra la mort, lors des festivités d’après-guerre, lors d’une émeute dans un village, où la fourche d’un paysan le transperça. Une mort qui chagrina ses plus proches amis et alliés, comme la sensuelle Triss Merigold, magicienne de son état, et qui avait toujours été amoureuse de Geralt. Mais le monde ne s’arrêta pas pour autant de tourner.

Les années passèrent, et Nilfgaard entama sa revanche, en commanditant une série d’assassinats. Les grands Rois du Nord furent tués les uns après les autres, déstabilisant les régimes monarchiques, et facilitant l’invasion nilfgaardienne. Demavend, roi d’Aedirn, Foltest, roi de Témérie, et même le redoutable Roi de Kaedwen, Henselt... Mais les tueurs de l’Empereur de Nilfgaard échouèrent dans leur dernière tâche : supprimer le Roi de Rédanie, le plus dangereux de tous les rois, le redoutable Radovid V, dit « Radovid le Sévère ». Radovid n’avait jamais aimé les magiciens, qui n’avaient pas hésité à trahir en grande partie les Rois nordiques pendant la deuxième guerre, et s’était lancé dans une chasse aux sorcières après avoir appris l’existence de la Loge, une congrégation magicienne occulte. Alors que son hostilité envers les mages aurait pu lui être fatal, elle constitua au contraire le terreau nécessaire pour affermir son emprise. Avec le soutien de puissants ordres et groupuscules religieux, Radovid profita du vide politique laissé par la mort de ses principaux rivaux pour annexer à son territoire Kaedwen, et déploya de vastes armées croisées contre les Nilfgaardiens.

Et, aussi improbable que cela soit, Radovid remporta la guerre. Les Nilfgaardiens furent vaincus, et la Rédanie continua à s’étaler, s’emparant également de la Témérie, et lançant ensuite ses forces sur Skellige, occupée par les Nilfgaardiens. Le monde entier tremblait sous le règne de Radovid Le Sévère, tandis que les bûchers et les autodafés se multipliaient, la magie disparaissant au profit de technologies futuristes, d’armes de siège améliorées.

C’est dans ces circonstances que Radovid mit la main sur l’une des dernières représentantes de l’ancien monde...




Massif et impressionnant, le Palais royal de Tretogor, capitale de la Rédanie, était à l’allure du reste du pays. Un bâtiment très austère, mais en même temps composé de vastes halls. Des armées entières s’y rendaient pour écouter les discours enflammés de Radovid, qu’on appelait maintenant « Radovid le Pieux ». Converti à la Foi de Flamme, une nouvelle religion, Radovid était auréolé par les bardes et par les contes, faisant de lui un héros qui avait su sauver les Nordiques des vils Nilfgaardiens en déjouant les complots de la Loge, et en mettant fin à l’emprise légendaire des magiciennes sur les monarques. D’ores et déjà, les historiens s’efforçaient de réinterpréter l’Histoire, expliquant les impossibles ententes et querelles du passé entre Royaumes nordiques par les manigances des magiciennes, ces pècheresses usant de leurs formes langoureuses pour duper les gens, et rester éternellement jeunes.

Ce soir, dans la plus grande discrétion, Radovid attendait l’arrivée de chasseurs de sorcières. Au cœur de Tretogor, ses espions avaient su déjouer une tentative de putsch menée par des sorcières, dont la légendaire Triss Merigold en personne. La Treizième ! Depuis des années, elle lui glissait entre les doigts. Radovid avait ensanglanté Novigrad pour elle, enflammé l’université d’Oxenfurt pour la retrouver, et c’était finalement sous on nez qu’il lui avait mis la main dessus. Elle s’était battue comme une diablesse, bien sûr, mais, après avoir passé des années à chasser les magiciennes et leur sortilège, ses hommes savaient déjouer leurs tours. Ils utilisaient du dimeritium, un cristal rare qui permettait d’annuler la magie en l’absorbant. Radovid avait dépensé une fortune colossale pour doter ses corps d’élite de cristaux de dimeritium, qu’ils portaient sur eux, et avait lancé une production massive. À terme, le Roi voulait éradiquer la magie, non seulement pour repousser les magiciens, mais aussi les monstres, qui étaient bien plus faciles à tuer sans magie. Sa politique implacable produisait des résultats, et c’était tout ce qu’on lui demandait.

Ses hommes avaient combattu Triss et les insurgés, et, si plusieurs pertes avaient été déplorées, ils ramenaient Triss en vie. Enchaînée, la sorcière était traînée dans les couloirs par des fanatiques religieux qui la traînaient sans ménagement, la frappant à plusieurs reprises quand elle faisait mine de les ralentir.

Puis ils rejoignirent finalement le bureau du Roi, et entrèrent.

« Majesté ! Voici Triss Merigold ! »

Ils jetèrent la femme au sol, et Radovid, qui avait le dos tourné, mains joins en arrière, observant la ville par la fenêtre, se retourna lentement. Il observait une grande place où un énième bûcher avait été organisé.

« On entend parfois les cris, d’ici, quand on ouvre les fenêtres. Tends bien l’oreille, Merigold. »

Radovid lui en fit la démonstration, ouvrant la fenêtre de son bureau.

« Ce sont tes camarades et tes élèves, celles que nous avons capturé sur place. Officiellement, tu es morte... À nouveau. Il n’a pas été difficile de trouver une prostituée, de lui mettre une perruque, et de l’attacher au bûcher. »

Le Roi se retourna ensuite vers elle. Triss avait encore du mal à se relever, d’autant qu’elle portait un cristal en dimeritium sur son collier, et avait de lourdes chaînes.

« C’est fini, Merigold. Tu étais la dernière représentante de la Loge. Toutes les autres salopes comme toi sont mortes. »

Restait dans ce cas une question essentielle : pourquoi l’avait-il épargné ? Le pire était à craindre, car il était connu que Radovid aimait torturer en personne les magiciennes de prestige, et qu’il était particulièrement doué en la matière. On se souvenait encore des longues semaines d’agonie de Francesca Findabair quand ses balistes incendiaires, nouvelle invention redoutable de ses ingénieurs, avaient ravagé Dol Blathanna, incendiant la légendaire forêt sans la moindre pitié.

Triss avait donc tout à craindre, car Radovid avait maintes fois su prouver que le bûcher était une douce punition par rapport à tout ce dont il était vraiment capable...
« Modifié: lundi 23 avril 2018, 13:24:31 par Princesse Alice Korvander »

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Le Supplice de Triss Merigold [PV]

Réponse 1 lundi 23 avril 2018, 13:01:49

Les dernières années avaient été une longue descente aux enfers pour Triss, et pour toutes les créatures ayant de près ou de loin un rapport à la magie en général. Cette tentative d'assassinat, elle l'avait elle même orchestrée avec les quelques rares survivantes qu'elle était parvenue à rassembler derrière ce projet de la dernière chance. Les autres royaumes nordiques, tout comme Nilfgaard, avaient échoué à mettre un terme au règne de Radovid, qui ne cessait d'étendre son influence, et les zones où il pouvait impunément traquer et tuer tous les pratiquants de la magie. Un acte désespéré, mené par une poignée de sorcières, mais qui n'avaient de toutes façons plus grand chose à perdre. Les sorcières n'avaient plus beaucoup d'endroits où se cacher, et elles étaient traquées en permanence...mais cette nuit devait, au lieu de donner un nouvel espoir, sonner le glas des sorcières dans les terres nordiques.
Comment avaient-elles été découvertes ? Triss n'en savait rien, mais les chasseurs de Radovid étaient venus en nombre dans leur cachette, et en leur coupant toute retraite, les sorcières avaient été obligées de se battre. Les hommes du roi avaient subi de lourdes pertes, surtout face à Triss qui se battait comme une furie, calcinant à l'aide de ses sorts nombre des hommes de Radovid. Mais toute aussi puissante soit-elle, Triss n'avait pas pu lutter éternellement avant de, tout simplement, se faire submerger, elle ainsi que les quelques sorcières qui l'avaient suivie.
Triss n'était pas morte, elle avait été faite prisonnière...mais elle aurait même de loin préféré le bucher plutôt que d'être amenée face à Radovid en personne. Les bras attachés dans le dos, un lourd collier de dimeritum autour du coup, l'empêchaient de lancer le moindre sort, ça, ainsi que le fait qu'elle avait été bien amochée au cours des dernières heures car on l'avait frappée à plusieurs reprises.

Elle avait l'impression de se trouver dans un cauchemard. La Triss Merigold, fière et puissante sorcière, autrefois conseillère du roi de Témérie, était désormais rongée par la culpabilité et les remords. Elle avait perdu une grande partie de sa joie de vivre lorsque Geralt était mort, plusieurs années auparavant, mais la situation dans les royaumes nordiques l'avait forcée à mettre son deuil de côté...mais là, elle n'avait clairement plus grand chose à quoi se rattacher. Elle entendit les cris de ses camarades, en train de brûler sur le bûcher, comme si elle était à côté, et encaissait les railleries de Radovid qui, et tous les deux le savaient, avait gagné. Elle s'efforçait de ne pas pleurer en face de ce monstre, mais c'était difficile, outre la mort de ses camarades en ce moment même...elle savait qu'elle allait sans doute être torturée. Triss ne se faisait aucune illusion, elle allait mourir, mais si Radovid tenait à s'occuper d'elle...alors elle savait aussi qu'elle aurait droit à une longue et douloureuse agonie.
Que dire ? Rien tout simplement. Triss n'avait rien à ajouter face à ce tyran qu'elle aurait souhaitée voir souffrir mille tourments, pour tout ce qu'il avait fait subir à tant de personnes, mais elle savait qu'elle était désormais entre ses griffes, et que plus personne ne viendrait la sauver. Elle était l'une des dernières représentantes d'un ordre qui était sur le point de s'éteindre, et, très sincèrement...elle avait peur de ce qui allait suivre, n'osant sur le coup même pas regarder son bourreau dans les yeux...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Supplice de Triss Merigold [PV]

Réponse 2 lundi 23 avril 2018, 13:35:57

« Rien à dire, Merigold ? La célèbre verve des magiciennes serait-elle épuisée ? Tu es la dernière représentante d’un temps révolu, Merigold. Un temps fondé sur la superstition, la sorcellerie, les monstres, la duplicité et la tromperie. J’inaugure un nouvel ordre mondial, reposant sur la science, la technologie, l’ère industrielle. Peu à peu, les monstres disparaîtront, et la magie elle-même cessera d’exister. »

Radovid exultait en disant cela, convaincu de la justesse de sa croisade. Certes, l’Histoire le jugerait durement, mais on ne changeait pas les choses avec un sourire. La révolution appelait à la violence, car il fallait détruire l’ordre ancien, pourri jusqu’aux fondements. C’est ce qu’il avait fait pendant des années. Radovid avait sauvé le Nord des Nilfgaardiens, et des maudits magiciens. Il se déplaça encore un peu, et attrapa le visage de la femme, la serrant entre ses doigts, et vit ses yeux s’embuer de larmes.

Pour seul signe de pitié, Radovid la repoussa, et la femme heurta le mur.

« Ah ! Tu pleures encore sur la mort de ce mutant dégénéré, n’est-ce pas ? Cet insolent... Les sorceleurs de Kaer Morhen, un autre signe de barbarisme des temps anciens. »

Un sujet difficile pour Triss. S’était-elle rendue à Kaer Morhen après que Radovid avait repris la forteresse ? Les sorceleurs n’étaient plus qu’une poignée, mais les quelques monstres encore en vie s’étaient battus comme des diables. Eskel, Lambert, et l’ancestral Vesemir... On disait que Vesemir avait tué à lui tout seul plus d’une quinzaine de soldats avant de finir par succomber. Radovid avait suspendu leurs corps à des gibets, et avait entrepris la reconstruction de Kaer Morhen, y mobilisant une grande garnison. Rien que de très symbolique, car Kaer Morhen était située dans une région pauvre et reculée, mais la Rédanie avait vocation à instaurer son autorité dans toutes les contrées possibles.

Restait maintenant à savoir ce qu’il attendait de Triss. L’homme s’était rassis sur son fauteuil, et l’observa, pensif. Même ainsi, avec une légère veste en toile blanche, elle était toujours aussi superbe.

« Je suppose que tu te demandes sans doute pourquoi tu es encore en vie, Merigold... »

Radovid remplit sa coupe dorée sertie de pierres précieuses d’un liqueur de cerises, et avala quelques gorgées, sentant sa gorge se réchauffer avec délectation. Il se rapprocha ensuite encore d’elle, et posa ses mains sur sa chemise, l’ouvrant d’un coup sec. Elle aurait beau se débattre, son corps frêle était coincé entre le mur et lui. Les grosses mains de Radovid remontèrent jusqu’aux seins de la femme, qu’il pinça, tordant les tétons en souriant malicieusement.

« Je t’ai toujours trouvé très bonne, Merigold. Et, officiellement, tu es déjà morte, alors... Autant profiter un peu de ton cadavre ! »

Triss avait fait partie des mages ayant repoussé pour la première fois les Nilfgaardiens au mont Sodden. Quatorze mages avaient uni leurs forces pour déclencher un terrible sort magique, qui avait brisé l’élan de l’armée ashnardienne dans une terrible explosion, qui avait toutefois tué les mages. Triss, la quatorzième mage, avait pu se téléporter in extremis, échappant ainsi à une mort atroce. Elle avait été considérée à tort comme morte, car, parmi les innombrables amoncellements de corps et les bouts de cadavres déchiquetés, reconstituer les corps avec précision s’était avéré impossible.

La bouche du Roi s’approcha du visage de Triss, son haleine infestée d’alcool lui agressant les narines.

« J’ai veillé à ce que tu sois propre en venant ici, ma belle... Pour mon plaisir personnel... Au début, du moins. »

Il lécha alors sa joue, et se pressa contre elle. Triss put ainsi sentir l’érection de Radovid, tapant contre ses cuisses.

« Oui, ma salope... Je t’ai conservé pour faire de toi ma pute ! » expliqua-t-il finalement.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Le Supplice de Triss Merigold [PV]

Réponse 3 jeudi 05 juillet 2018, 20:25:19

En temps normal, ou par le passé, Triss aurait clairement été telle une furie même dans une situation aussi désespérée que la sienne, mais ces dernières années avaient grandement prit leur tribut sur la belle magicienne. La mort de Geralt avait été le début d'une longue descente pour elle, Triss avait cru remonter la pente en étant un moment la conseillère de Foltest, le roi de Témérie, mais lorsque ce dernier avait été assassiné Triss avait du fuir face aux accusations faisant d'elle la coupable du meurtre. Puis la guerre avec Nilfgaard avait éclaté, et Radovid avait peu à peu réussi à s'imposer dans les royaumes nordiques, tuant au passage nombre des connaissances de Triss et de ses amis...jusqu'à ce qu'il ne reste pour ainsi dire plus qu'elle. Cette tentative de mettre un terme à la vie de Radovid avait été un acte désespéré, mais qui avait échoué, emportant ainsi les derniers espoirs de Triss de peut-être ramener un semblant de raison dans les royaumes.
Mentalement, Triss était donc brisée, et physiquement la belle magicienne avait été bien malmenée par les chasseurs de sorcière qui l'avaient capturée, et surtout, le collier de dimeritium qu'elle portait autour du cou l'isolait de sa magie...ce qui était également, en soit, très éprouvant.
C'était donc bien une Triss Merigold qui n'était presque plus que l'ombre d'elle même que Radovid avait face à lui, et qui se laissa presque comme une poupée de chiffon repousser contre le mur par l'homme, qui devait clairement apprécier d'avoir une jadis si fière et puissante sorcière entre ses griffes. Et, effectivement, Triss se demandait pourquoi elle était encore en vie, même si elle avait de vagues idées. Pour elle, qu'on la torture était la raison la plus probable, elle avait jadis été l'une des grandes figure de la Loge, et avait été la tête pensante derrière cette tentative d'assassinat à l'encontre du roi de Rédanie, alors elle s'attendait sous peu à être emmenée dans geôles, et à faire connaissance avec les multiples instruments de torture que Radovid devait posséder.
Toutefois...ce n'était pas ce que l'homme avait en tête pour la sorcière.

Radovid se rapprocha de nouveau d'elle après avoir bu quelques gorgées d'eau de vie, et d'une poigne ferme, tira sur la simple chemise en toile que Triss portait, faisant au passage sauter les boutons, et la colla contre le mur, avec lui se collant clairement contre son corps.

N...Non...

Le regard de Triss trahissait une sincère peur, et un profond malaise, alors que le roi posa ses mains sur les seins de la femme. Cette dernière se sentit frémir au contact de ces mains rugueuses, qui pinçaient sa poitrine sans douceur ni tendresse, ce qui lui faisait d'autant plus mal sur certains endroits où ses cicatrices de brûlure se trouvaient. Elle voulait se débattre, mais elle était bien trop faible, et lui bien trop insistant pour que Triss puisse le repousser. Et c'est quand il lui lécha la joue, avec une haleine forte, tout en se collant suffisamment à elle pour que Triss puisse sentir son érection contre ses cuisses, que l'évidence s'imposa bel et bien à elle. Radovid n'allait pas la tuer, du moins pas tout de suite...pas avant de l'avoir copieusement violée...mais allait-il seulement lui accorder la délivrance de la mort ?
De conseillère du roi de Témérie, à pute du roi de Rédanie...la chute de Triss Merigold semblait encore devoir se poursuivre, alors qu'elle gémissait faiblement, et qu'en se débattant tout aussi faiblement, avec ses bras fermement attachés dans le dos, elle ne faisait en réalité que de frotter son agréable corps contre celui de Radovid.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Supplice de Triss Merigold [PV]

Réponse 4 jeudi 05 juillet 2018, 21:35:52

Radovid n’était pas un Roi comme les autres. Contrairement à Henselt, l’ancien Roid e Kaedwen, un gros tas qui vivait dans la paresse et dans l’opulence, Radovid avait toujours vécu avec une discipline de fer, au plus près de ses hommes. Un terrible Roi guerrier, intransigeant, impitoyable, qui vouait une haine profonde aux magiciennes, et en avait fait les boucs-émissaires des défaites et des divisions du Nord. Radovid n’avait jamais caché sa profonde haine envers les magiciennes, qu’il tenait essentiellement de Philippa Eilhart. C’était elle qui, grâce à ses manigances, avait provoqué la mort de son père, Vizimir. Elle était alors son plus proche conseiller, tandis que, suite à la mort brutale de son père, la Rédanie avait plongé dans le chaos. Sa mère, Edwige de Malleore, avait alors été bien incapable de diriger convenablement le pays, tombant sous la coupe de Philippa, tandis que Radovid, lui, avait vu les nobles se partager le gâteau, défiant l’autorité de la Couronne. C’était suite à ça que Radovid s’était attaché à avoir une mentalité de guerrier. Il était devenu un terrible soldat, un bretteur très impressionnant, qui n’avait pas hésité à se former en dissimulant son identité, s’entraînant à la dure, recevant des coups de bottes, affrontant des monstres, participant à des quêtes redoutables... Il avait redressé la Rédanie en se vengeant de tous les nobles qui avaient concouru à la mort de son père, tuant sans même s’assurer de leur culpabilité, raffermissant son autorité sur la noblesse rédanienne. Le coup final de sa vengeance avait été contre Philippa, qu’il avait énuclée de ses propres mains.

Face à lui, Triss se mit à paniquer, et il la déshabilla encore, déchirant fermement sa tunique, puis la gifla violemment au visage, l’envoyant s’affaler sur le bureau. Là, l’homme lui attrapa les cheveux, et la jeta violemment au sol, avant de la forcer à se coucher sur le dos. Avec son corps frêle, Triss n’avait aucune chance contre ce tueur. Le Boucher de Rédanie sourit malicieusement devant cette violence, qui l’excitait fermement, et observa les brûlures sur le torse de la femme.

« C’est pour ça que tu n’as jamais porté une seule robe, hein, Merigold ? Tous tes sortilèges n’ont pu soigner tes plaies. C’est peut-être pour ça que tu appréciais tant ce mutant aux cheveux blancs, ce Loup Blanc adoré de ces putains d’elfes... »

Triss avait été grièvement brûlée suite à la terrible Bataille de Sodden, où les magiciens s’étaient ligués pour repousser les Nilfgaardiens. Un véritable carnage, mais Triss avait survécu, non sans être sévèrement blessée, de sorte qu’elle avait mis des mois à se soigner, et à rectifier la situation sur sa présumée mort. Face à lui, Triss commençait à paniquer, et Radovid se déshabilla lentement. Il finit finalement tout nu, et n’était guère ridicule sans son armure. Des cicatrices barraient également son corps, témoignant de sa vie difficile.

Nu, Radovid se rapprocha de la femme.

« Vous, salopes de magiciennes, il était grand temps qu’on vous ramène à votre place ! »

Il se rapprocha donc d’elle, et la gifla encore, à plusieurs reprises, avant de la retourner, et la coucha sur le ventre, puis tira sèchement ses cheveux d’une main.

« Tu vas hurler, salope, implore ma pitié... HURLE !! »

Violent, il planta alors ses dents dans son cou, la mordant fort, tout en enfonçant sa verge dans son vagin, la prenant sèchement par l’arrière, la violant sur place...

Et ce n’était qu’un début.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Le Supplice de Triss Merigold [PV]

Réponse 5 mardi 17 juillet 2018, 01:02:06

Elle allait se faire violer...Triss aurait mille fois préféré choisir le bûcher plutôt que de subir cette ultime humiliation, et surtout de la part de Radovid, qui était tout ce que la belle magicienne détestait. Hélas pour elle, elle n'était plus capable de résister. Triss était autant brisée mentalement que physiquement, elle avait les bras solidement attachés dans son dos par des cordes, et surtout, elle ne pouvait plus recourir à la magie tant qu'elle avait ce collier autour du cou. La perspective de se faire violer toutefois sembla comme lui donner un coup de fouet, et Triss tenta encore plus de se débattre quand Radovid acheva de déchirer sa chemise blanche, la mettant effectivement nue.

NON P...

Triss allait continuer sa phrase, mais une sévère gifle sur le visage l'empêcha de le faire, la coupant net. Le choc, assourdissant, fut tel qu'il envoya Triss s'écraser contre le bureau, situé à proximité...avant qu'elle ne sente la poigne puissante de l'homme se saisir de ses cheveux roux, pour la balancer à terre, sur le sol froid en pierre taillée. Le regard de Radovid ne put alors que se poser sur le magnifique corps de la sorcière, qui était d'une très grande beauté, malgré ses cicatrices de brûlure qui cisaillaient sa poitrine. Un souvenir douloureux, d'un autre temps toutefois un peu plus supportable que le présent, un passé où Geralt était encore en vie à cette période, comme ne manqua pas de le souligner Radovid.
Triss sentait peu à peu des larmes lui monter aux yeux, être aussi faible face à Radovid...elle se dégoûtait elle même, et alors qu'elle gisait sur le sol, elle le vit...se déshabiller. Triss tenta de s'éloigner de lui, en rampant sur le sol, vu qu'elle ne pouvait guère faire mieux avec les bras attachés, mais cela semblait d'avantage exciter l'homme que de vraiment l'éloigner. Uns à uns, ses vêtements tombèrent sur le sol, tandis qu'il continuait à la suivre, jusqu'à ce qu'il soit nu lui aussi...avec un sexe tendu, et prêt à l'emploi, et il vint vers elle.

Non ne t'approche pas...AH !

Radovid n'avait bien entendu que faire des rétisences de Triss, mais il sembla en revanche avoir envie de la dresser. Il la frappa encore au visage, à plusieurs reprises cette fois. Avec ses mains attachés dans le dos, Triss ne pouvait même pas essayer de se protéger, ce qui fit qu'à l'issue de plusieurs de ces violentes gifles, la femme s'en trouva sonnée. Profitant de la situation, Radovid la retourna alors comme un sac de pommes de terres, face contre le sol, avant qu'elle ne le sente s'allonger sur elle. Triss tenta vainement une dernière fois de se débattre, mais elle ne put empêcher Radovid de trouver l'entrée de son vagin, et d'y glisser sèchement sa queue, lui provoquant alors une intense douleur.

Aaaaaah...N-Nooon...Ah ! AH !

Lui tirant les cheveux pendant ce temps, Radovid était en train de lui labourer la chatte sans qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit. Le corps de la magicienne remuait en cadence avec les coups de rein du roi, dont le bas-ventre heurtait à chaque fois les fesses de Triss dans des bruits de chairs claquant l'une contre l'autre. Cette fois Triss ne pouvait pas retenir ses larmes, et son visage était déformé par la douleur, tandis que Radovid devait lui sacrément prendre son pied. Depuis la mort de Geralt, Triss ne s'était après tout plus engagée dans une quelconque relation, ce qui faisait que depuis tout ce temps, son intimité n'avait pas reçu la moindre visite, et était donc très serrée.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Le Supplice de Triss Merigold [PV]

Réponse 6 mardi 17 juillet 2018, 13:53:48

Radovid V le Sévère... Jamais Radovid n’avait autant mérité son surnom qu’en ce moment. Une politique qu’on pourrait résumer à l’adage : « Une main de fer dans un gant de fer ». Après le marasme politique dans lequel son pays s’était trouvé, et la menace d’un effondrement total, Radovid avait dû redresser le pays, améliorer et reconstruire ce dernier, et réinstaurer un pouvoir politique fort. L’homme avait combattu les Nilfgaardiens, et avait ensanglanté son pays, mais aussi tout les Royaumes Nordiques. Les historiens ne manqueraient pas de souligner la sévérité et la cruauté de son règne. Les bûchers et les gibets avaient tourné à plein régime pendant des mois, et les charniers s’étaient considérablement remplis. Radovid avait massacré les magiciens, et continuait encore à  les traquer. La Loge, accusée d’avoir conspiré avec Nilfgaard, était réduite à Triss Merigold. Pourquoi l’avoir épargné ? Un choix curieux, en réalité. Officiellement, Triss était morte, brûlée lors d’un bûcher. Et, somme toute, Radovid ne la détestait pas autant que d’autres magiciennes, mais... Peut-être fallait-il croire que, en un sens, il aimait la beauté de cette femme, et son courage. Après tout, il ne l’avait pas tué. Seulement, l’amour, chez Radovid, s’exprimait de manière violente et brutale. Les prostituées couchant avec lui étaient régulièrement battues quand il les baisait, et il était fréquent qu’il les jette en pâture à ses hommes, ou ne les tue en les rouant de coups, ou en les étranglant. Qui sait ? Peut-être déversait-il sur les femmes la frustration qu’il avait jadis ressenti devant l’incapacité de sa défunte mère, Hedwige, à empêcher la Rédanie de s’effondrer...

Un ricanement mauvais s’échappa des lèvres du Roi de Rédanie. Il tenait fermement les cheveux de Triss, et abattit son autre main sur son cul, la giflant sèchement, ricanant encore.

« Alors, Merigold, tu es serrée comme une jeune nonne, ma parole ! Et moi qui croyais que les cuisses des magiciennes étaient déformées à force de pomper des queues... Hum ! Ne me fais pas croire... Haaa... Que plus personne ne t’a fourré... Depuis la mort de l’autre monstre... Haha ! »

Mais c’était sûrement ça. Cette conne était-elle donc vraiment tombée amoureuse de ce vaurien apatride ? Radovid avait déjà eu l’occasion de croiser à plusieurs reprises le fameux Geralt de Riv, et l’avait tout de suite détesté. De base, Radovid n’aimait toutefois pas beaucoup les sorceleurs. Des gens ne prêtant pas serment, des mercenaires mutants, l’héritage d’un passé révolu. Les sorceleurs avaient disparu presque en totalité avant l’arrivée de Radovid au pouvoir, et il comptait désormais parachever l’ensemble avec les magiciennes.

Il bourrait donc furieusement Triss, sans aucune pitié pour elle, au contraire avec un plaisir croissant, son corps massif s’abattant sur elle, ses dents mordillant son cou. Sa main se déplaça alors, et il tira sur les cheveux de Triss, la soulevant avec lui, confirmant sa force herculéenne, et pinça son sein avec son autre main, tirant douloureusement sur le téton.

« Je vais prendre soin de toi, Merigold... Quand j’en aurais fini avec toi, tu ne rappelleras même plus ton précieux Loup-Blanc ! Je ferais de toi ma CHIENNE, ma PUTE !! » éructa-t-il, les yeux brillant d’une lueur démentielle.


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