Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Bonne à fourrer [VI]

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Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Bonne à fourrer [VI]

samedi 03 février 2018, 15:27:57

La berline noire s’arrêta dans un léger crissement de pneus à la ruelle. À première vue, il n’y avait rien d’exceptionnel ici. C’était une simple ruelle de Seikusu, plongée dans la pénombre. Des poubelles ici et là, aucune enseigne, si ce n’est un escalier filant sur la droite, menant jusqu’à une porte métallique sans enseigne. Les phares de la berline s’éteignèrent, puis l'homme à l’intérieur ouvrit la porte, jetant quelques cendres de son cigare sur le sol, puis se releva lentement, s’extirpant des lieux. Un épais manteau gris élégant recouvrait son corps massif, et il éteignit le cigare sur le cendrier incorporé à la voiture, puis se rapprocha de l’avant de la voiture, donnant quelques instructions à son chauffeur.

« Gare-toi, et attends-moi, je t’enverrai un SMS quand je partirai d’ici... Mais j’en ai probablement pour la nuit.
 -  Sûr, Patron ! »

Le chauffeur remit le moteur en marche, et, pendant qu’il faisait marche arrière, l’homme sortit son téléphone portable, et observa les photographies, souriant légèrement en découvrant le visage de Victoria.

*Ma petite fleur a bien grandi...*

Un léger frisson remonta dans son corps, puis il descendit les marches menant à la porte, et toqua à cette dernière. Quelques secondes plus tard, une trappe s’ouvrit à hauteur des yeux, dévoilant une paire de yeux froids.

« Ouais ?! » demanda une voix grave et forte.

Nullement impressionné, l’individu brandit son téléphone portable, montrant sur l’écran l’invitation qu’il avait reçu. Le videur fronça les sourcils, puis hocha la tête, referma la visière. Discrètement, l’invité regarda la caméra de sécurité installée furtivement en hauteur, qui permettait de s’assurer que personne ne l’accompagnait, puis entendit le déclic de la porte. Celle-ci s’ouvrit sur Boris, qui lui sourit.

« Heureux de vous voir, Boss !
 -  Tout se passe bien ici ?
 -  Comme toujours, Chef. »

Retirant son manteau, Vasilisk sourit légèrement. Difficile de croire qu’il y a encore vingt ans, cet homme était un individu brisé. Il était alors un ouvrier dans une usine qui avait subi de plein fouet les affres de la crise économique sévissant au Japon. L’usine avait fermé, et il était devenu chômeur. Il s’était mis à boire, devenant aigri, violent, battant régulièrement sa femme, ainsi que leurs enfants, avant de trouver une reconversion tout à fait profitable.

Les années avaient passé depuis, et Vasilisk avait appris que sa fille, Victoria, travaillait désormais dans un club très populaire à Seikusu, l’Eclipse. Un club qui n’avait pas pignon sur rue, puisqu’il était tenu par la Mafia russe, et qu’on y faisait des activités relativement illégales. Vasilisk ne s’y rendait pas souvent, mais, là, c’était exceptionnel. Il avait demandé à ce qu’on préparé Victoria. Elle avait été droguée, bien sûr, mais pas assez pour perdre totalement conscience, et on l’avait proprement lavé, nettoyé, et même parfumé, tout en lui mettant une tenue qui plaisait fortement à Vasilisk, à savoir des collants en latex avec de longs gants noirs, également en latex. Pour le reste, Victoria, ou « VI », comme on l’appelait, était nue comme un ver, et attendait dans une chambre de luxe.

Vasilisk s’aventura donc à travers le club. Il y avait une salle centrale, faisant vaguement office de restaurant, mais surtout de club de strip-tease. Des femmes dansaient sur des estrades, et les clients n’hésitaient pas à culbuter les filles sur place. Vasilisk se rapprocha d’une chambre, croisant quelques filles avec des jolis seins qui lui sourirent, mais que Boris écarta rapidement, allant jusqu’à en gifler une, en la sermonnant.

« Pas tant de zèle, Boris, allons... Ces beautés sont fragiles...
 -  Ouais... Désolé, Chef ! »

Tout en disant ça, Vasilisk caressa le menton d’une belle blonde. Entièrement nue, elle portait un tatouage sur l’épaule, affichant un « IX » qui le fit doucement sourire.

« Plus tard, ma belle... »

Il rejoignit à nouveau Boris, qui lui désigna une porte. Vasilisk le remercia, puis ouvrit cette dernière, ressentant une légère pointe d’excitation.

VI était là, attachée contre le mur, avec un bandeau sur les yeux. Souriant lentement, Vasilisk ferma la porte, et se rapprocha alors. Oui, sa petite fille avait bien grandi... Des formes parfaites. Ne disant rien, il se rapprocha un peu, et caressa son visage, sa grosse main de bûcheron filant sur sa peau, puis descendit ensuite, massant le sein de la femme, et le pinça, la faisant couiner.

« Coucou, salope... »

Allait-elle reconnaître sa voix, après toutes ces années ?

En tout cas, il commençait, de son côté, à avoir une sacrée érection...
« Modifié: dimanche 08 avril 2018, 11:08:30 par Princesse Alice Korvander »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Bonne à fourrer [VI]

Réponse 1 lundi 09 avril 2018, 00:41:43

Difficile de dire si elle le reconnaissait. Connaissant Boris, il avait dû bien la droguer, mais Vasilisk espérait tout de même qu’elle soit encore consciente. C’était toujours mieux quand elles étaient réveillées, et là, à l’idée de dresser de nouveau sa fille, Vasilisk ne pouvait nier qu’il avait une belle érection. Fondamentalement, il n’avait jamais vraiment aimé sa fille. Une sale chouineuse, une faible. Vasilisk aurait toujours voulu avoir un garçon, au lieu de cette sale pute qui avait fini par se droguer et par vendre son corps de sale pute. Il pinça donc son sein, et ressentit donc une érection. Ce dont il était sûr, c’est que, en commençant à grandir, Victoria avait commencé à développer de sacrées formes. Vasilisk n’y avait pas été insensible, et cette sale pute avait fini par partir.

« Tu as bien grandi, salope, et tu chiales moins, aussi... Regardez-moi ces tétons, héhé ! »

Les yeux de Vasilisk brillaient de malice pendant qu’il pinçait fortement les tétons de Vi. La jeune femme se tortillait devant lui, prisonnière, sans aucune chance de sortir, et avec la promesse de passer une soirée infernale. Vasilisk retira ses mains, et entreprit de se déshabiller. Ce n’est qu’une fois tout nu qu’il s’approcha à nouveau de la femme, et fit frotter contre ses cuisses sa verge tendue. L’homme avait toujours eu un sacré appareil entre les cuisses, une belle queue tendue.

Vasilisk approcha ses lèvres de l’oreille de Victoria, et murmura doucement dans le creux de cette dernière, tout en retournant pincer son sein, tirant sur le téton :

« Tu te rappelles comment tu me faisais bander quand tu allais à ces boîtes de nuits avec ta minijupe tellement courte qu’on voyait ton cul de traînée ? Damn, tu me faisais tellement bander, sale pute... Puis il a fallu que tu me voles... Moi, ton propre père ! Pour de la coke ! Et là, t’es complètement défoncée, mais j’espère quand même que, dans ton cerveau ramolli à forcer de sucer des pines et à te shooter, tu reconnais quand même... »

Sa main agrippa alors le bandeau noir, et il le jeta au sol. La fille put alors voir le visage souriant, moqueur, et osseux de son père ! Vasilisk la gifla alors, sèchement. Comme toujours, il n’avait rien perdu de sa poigne, de ses mains puissantes, allant à merveille avec son corps musclé et bien bâti. Un véritable corps de bûcheron, un colosse en costume qui gifla donc sa fille. La douleur faisait circuler le sang, de quoi la réveiller.

« Mon seul regret est de t’avoir foutu dehors. J’y ai souvent pensé, tu sais... J’aurais dû te garder auprès de moi, et te baiser longuement. Tu n’es qu’une pute, comme ta mère, et, à en croire Boris, tu es très productive ici. »

Vasilisk sourit encore, et retourna pincer ses seins, les appréciant visiblement énormément, puis sans plus attendre, écarta les cuisses de sa fille, et enfourna sa grosse queue en elle. Son membre se perdit dans sa chatte, et il soupira, un soupir grave et profond.

« Hmmm... Ça te change des queues de drogués, hein, ma salope ? Haha ! Et ce n’est qu’un début, crois-moi ! »

Et il continua à la fourrer, la prenant énergiquement, faisant rebondir son cul et son dos contre le mur...


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