Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ce n'est pas bien de blasphémer, surtout contre l'absurdité [Edrusba]

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Ayumi Sayako

E.S.P.er

Est-ce qu’Artika-chan a vraiment existé ? Ou plutôt a existé correctement et naturellement ? Elle pourrait très bien existé depuis quelques semaines mais que tout le monde la connaisse déjà des mois, ayant même des amis d’enfances l’ayant connu en maternelle. Tout cela suite aux caprices d’une déesse ? Plus la solution est absurde, plus elle paraît réelle d’une certaine manière. Ayumi ne posera pas la question, la question étant bien trop illogique pour être raisonnée correctement par une mortelle.

Pour en revenir au show, il était de toute façon prévu au programme, avec ou sans Artika. Mettre dans l’ambiance, si Ayumi se fit aux critiques sur le net, est quelques choses qu’elle prend un malin plaisir à faire. Artika n’en resta pas ainsi, prenant l’initiative et ce peu importe si elle se retrouve sous la japonaise qui verra assez clair dans son jeu : allumer le public et surtout faire en sorte qu’Ayumi se fasse prendre en première. Le problème, plus de la moitié de cette dizaine de personnes sur elle en même temps, Ayumi est consciente qu’elle risque de s’évanouir avant la fin, laissant sa rivale prendre son temps de rattraper en toute tranquillité son retard. Ayumi n’en resta pas là, passant son genou gauche entre les cuisses de la fille aux cheveux platines, touchant sans aucune hésitation sa culotte pendant que l’une de ses mains s’amuseront avec l’élastique de celle-ci. Sa seconde main quand à elle, se contentera de dégagé le haut de la robe pour montrer à tous ses fans une poitrine avec aucune soutien gorge. Tout comme Ayumi ceci-dit, le bon côté d’avoir une poitrine pas trop opulente ne rend pas ce genre de sous-vêtement indispensable. Comme elle lui lèche le cou, Ayumi en profitera pour lui sucer le lobe de l’oreille.

« Et à la fin se lécher chaque partie de notre corps pour nous nettoyez, telles des chattes en chaleur ? On n’a pas demandé de baignoire, il va falloir que l’on s’occupe nous même de notre hygiène. »

Edrusba Snes-non

Dieu

Artika était une perverse, du moins elle jouait les perverses, pour ce soir tout du moins. Quant à savoir si elle avait toujours existé ou pas, ça, c'était autre chose. Pour les gens ici tout le monde la connaissait, ils étaient fan des deux filles et voulaient clairement baiser les deux idoles. Souriante Artika la sentit donc passer un genou entre ses cuisses, la caresser sans hésitations. Ce n'était pas mal non plus à en croire le public tout joyeux. Finissant les seins à l'air, elle rosit un peu, pointant déjà comme une petite chienne en chaleur attendant d'être saillie. Elle écouta donc sa partenaire en gémissant doucement de plaisir sous la langue qui traverse son cou.

- Oh oui, hmm, comme des petites chattes en chaleur ! Oh oui, lèche-moi bien Ayuyu !

Puis elle laisse faire et envoie ses deux mains dans le dos de sa partenaire pour la caresser tendrement. Le show semblait en tout cas marcher, tout le monde allait pouvoir s'amuser. Le live allait passer d'un à deux gangs-bang ! Quel plaisir pour les clients ! Et pour la déesse c'était une nouvelle découverte en soi !

Ayumi Sayako

E.S.P.er

Le show dura un peu moins de deux minutes, Ayumi s’occupant assez rapidement des seins avant de intéresser à ce qu’il y avait plus bas. Et pourtant la langue ne resta qu’une trentaine de secondes au niveau de l’intimité de sa rivale, puisque tout bascula au moment où la japonaise retira la culotte sans prévenir, quitte à ce qu’Artika se retrouve les jambes en l’air, bien à la vue de tous les fans. L’argument ne volant pas bien mais restant dans le thème de la lècherie.

« Ca sera plus simple pour te lécher quand tu seras bien remplie. »

A croire que ce spectacle est le feu vert pour la suite de ce show puisque la dizaine d’individus qui s’avanceront étendards levés pointeront leurs pavillons en direction des jeunes filles. Vu l’invitation offerte par Ayumi, Artika risque de se faire prendre assez rapidement là où la japonaise, les genoux sur le lit, commenceront à sucer un trentenaire pendant qu’elle commence à branler la verge d’un jeune homme, commençant à y enrouler ses cheveux autours.

« Qui parmi vous n’a pas rêver parmi de se branler sur les cheveux de Hatsune ? Allez y, je suis là pour exaucer vos vœux les plus secrets. »

Les faire tomber dans la dépravation ? Pourquoi pas, ici tout le monde n’est pas chaud pour prendre des cachets sur la table au effet pas toujours bon pour le cœur alors si ça peut les inciter à en prendre en milieu de soirée, personne ici ne va s’en plaindre.
« Modifié: jeudi 07 décembre 2017, 15:59:44 par Ayumi Sayako »

Edrusba Snes-non

Dieu

Artika jouait bien son role de perverse, demandant à se faire bien lécher par sa partenaire ! mais pourtant, elle n'y resta pas longtemps, cette perverse offrit la vue à tout le monde, Artika rougit alors un peu, puis sourit. Cela s'annonçait amusant au moins ! Doucement elle vit approcher les hommes, sans surprise un premier rentra en elle sans demander son avis, forcant un peu son entrée en elle. Ayumi sucait, et Artika criait un peu alors qu'on la prenait sans hésitation aucune. De vrais pervers, et pour la déesse une redécouverte du plaisir par la brutalité. Elle l'écoute donc faire sa maligne tout en se prenant des grosses bites de pervers, rapidement l'un d'eux monte sur le lit et lui baise la bouche martellant comme un fou. Elle était dépassée par la perversité humaine, se faisant prendre comme si elle n'était qu'un sex-toy de taille géante.

Ayumi Sayako

E.S.P.er

D'un côté des bruits de marteau, des hommes donnant des coups de reins sur Artika qui se fait gangbanger violemment, de l'autre des bruits de succions avec une Ayumi assise sur le bord du lit qui se retrouve avec trois verges devant elle alors qu'elle en sent deux autres dans les cheveux. Croire que c'est plus reposant de son côté n'ait pas totalement vrai car si elle n'a aucune queue dans l'entre jambes pour le moment, avoir deux poignets et une bouche ne semblait pas suffisant pour ses partenaires, qui, dès qu'elle lâchait prise avait cette vilaine habitude de prendre son visage pour s'occuper de ceux qu'elle branlait. Heureusement qu'elle n'a pas le rhume sinon ça aurait pu problème ! Un finira par lâcher la sauce dans les cheveux avant de pointer son engin sur son visage, pour se vider une partie de ses bourses. Une partie seulement, il est encore raide sans même avoir souffler quelques minutes pour le second round. Par contre le commentaire ne vola pas haut, à croire que le cerveau n'est plus irriguer, le sang étant ailleurs.

« Putain les mecs, ce n’est pas de la teinture à quatre sous ! Y a rien qui a déteint sur ma bite. »
« Ça va faire presque un mois que je suis connue, je pensais que vous le saviez depuis le temps. »

Oui ça ne vole pas haut et pourtant ça attiser la curiosité de ce certain, le sixième qui regardait jusque là se mettant à quatre pattes pour lui passer au niveau des cuisses, commençant à farfouiller au-delà de sa culotte. Vu comment il farfouille celui là, l’élastique risque d’être foutu à la fin de la soirée… Et après on s’étonne pourquoi le budget vêtement est si conséquent !

« Au moins je risque de ne pas avoir la gueule verte en sortant d’ici. »

Et ne pas se faire engueuler par sa femme ? C'est le plus âgé du groupe, un quarantenaire avec une bonne tête de patron d’une PME, ça ne lui surprendrait pas que la fin de sa phrase soit ça. Il passera sa langue à côté de sa culotte pour commencer à pénétrer son intimité, Ayumi en lâchera un petit soupir de soulagement, la bouche étant occupée par l’un de ses fans, qui se soulagera à son tour, une partie de son sperme coulant au menton de la japonaise qui n’arrivera pas à tout avaler. Vu la tournure, Ayumi risque de se prendre un magnifique bukkake sous peu, l’aîné du groupe risquant de la sauter en premier pour l’avoir préparée.

Edrusba Snes-non

Dieu

Artika se faisait donc marteler par les hommes, les uns après les autres, dans son petit minou et son petit cul. Elle ne disait jamais non et semblait prendre son pied par tous les orifices ! Quelle salope elle faisait, de toute façon tout cela était de sa faute à la base ! Elle et ces petits jeux avec Ayumi ! Ayumie, elle servait de vide-couille d'une tout autre façon, elle se prenait de queues dans les cheveux et les mains, la bouche aussi. On lui glissa en plein visage alors que la déesse elle se faisait copieusement remplir les orifices ! Edrusba gémissait bien fort, tout en entendant les commentaires sur ses orifices délicieux, des deux elle était sans doute la moins concentrée sur l'objectif de la soirée. Mais qu'importe, elle n'avait plus connu une telle débauche depuis facilement des siècles ! C'est fou ce que les humains étaient pervers, mais ce n'était encore qu'un début de soirée. Heureusement les hommes n'étaient pas des monstres d'endurance, par contre il y en avait plein.

- Hmm encore ! Venez mes grands hommes !

Dit-elle d'une voix qui semblait bien plus suave qu'avant, enchanteresse même, rapidement elle reçut deux hommes de son côté du lit, pour une double dose de plaisir dans l'ognon ? Cela fait elle regarda sa collègue du soir, toutes deux 'amusaient clairement !

- Hmm, alors Hatsutsu, on aime la petite soirée ?

Dit-elle alors que les deux gars sortaient de son corps et se vidaient sur son visage quand elle les branlait. Un pour chaque joue, heureusement elle ouvrit rapidement la bouche pour recevoir tout cela et jouer la salope avec sa langue. D'ailleurs à en voir le profil de la déesse, cette dernière devait avoir des niveaux plutôt moyens dans les arts "sexuels", elle mettait plus de temps qu'Ayumi et prenait clairement du retard au tableau. Sans doute le souci de vivre des siècles entiers dans son petit coin.

Ayumi Sayako

E.S.P.er

Tailler des pipes semblaient être devenu une seconde nature pour Ayumi qui, si elle s’est un peu entraîner sur son voisin de palier et Rick à l’étage du dessus, s’est surtout amélioré dernièrement sur des cornets de glace. Chacun son truc après tout : si inviter quelqu’un pour ses petites vidéos de la soirée n’est pas quelques choses de bien compliqué, le virer de l’appartement en est une autre bien plus compliquée. C’est que la japonaise à autres choses à foutre que d’avoir et entretenir des squatteurs chez elle ! Alors que son visage et ses cheveux étaient en bonne partie recouvert de sperme, la miss ne trouva rien d’autres qu’à exciter davantage ses partenaires en ayant une main de libre pour prendre de ce précieux liquide, se léchant les doigts, il n’en fallut pas longtemps pour que la situation dérape et que ses hommes à elle ne se contente plus que d’une simple fellation. Celui pratiquant le cunnilingus cessa, coucha la demoiselle sur le dos avant de lui présenter son engin, pour la pénétrer sans vergogne.

« Quand je pense que tu as l’âge de ma fille. »

Sur le dos, Ayumi lâcha un cri, suivi de plusieurs « floc » dû à plusieurs coups de burins d’un homme plutôt bien monté soit disant en passant. C’est une brève réponse qu’il aura, la miss se retrouvant bien rapidement avec un morceau de viande dans la bouche, l’empêchant de parler convenablement puisque son propriétaire ne trouva rien de mieux qu’à s’assoire pour ainsi dire sur son visage pour ne pas lui laisser d’autres choix.

« Désolé mais on n’est pas encore assez intime pour que je t’appelle « papa ». Peu être une fois. »

Ses mains seront guidés aux verges d’autres hommes, n’y voyant de toute façon plus grand-chose puisque l’homme pilonnait sa gorge. Artika n’aura que la réponse au moment où il se videra au fond de celle-ci, retirant sa verge pour lâcher ce qui restait  sur son visage.

« il faudra ça s’organiser de temps en temps. »

Pas le temps d’en dire plus qu’un repris la place de celui qui avait les bourses, s’étant mis à côté sur le lit, assis à s’allumer une cigarette.

Edrusba Snes-non

Dieu

La déesse continuait toujours les jeux, branlant, baisant, selon les envies de ses partenaires, mais là ce n'était plus qu'avec sa langue et ses mains. Elle s'était fait jouir sur le visage, mais ce n'était pas plus gênant que cela. Elle regarde alors Ayumi se faire coucher sur le dos, prise par un homme assez âgé pour être son père. La déesse amusée et excitée de la situation invita un homme en se couchant à côté d'Ayumi, mais dans l'autre sens. Histoire dont elles peuvent facilement parler ou s'embrasser en tournant la tête. La déesse gémit alors assez fort quand elle se fit à nouveau pénétrer, un vrai plaisir ! Elle vit alors l'homme qui prenait la bouche, de la jeune fille, c'était un spectacle ravissant, la déesse et Ayumi branlaient et baisaient avec plein de monde, le tout dans une danse de plaisir sans fin. Ayant la réponse d'Ayumi elle sourit, continue donc de baiser encore et encore tendis qu'un gars prenait sa pause.

Durant donc de nombreuses minutes encore elles se firent baiser, de pleins de façons et la déesse profita autant qu'Ayumi. Finalement les hommes déclarèrent une pause boissons et nourriture, laissant les deux filles seules, souillées sur le grand lit. La déesse se redressa alors, comme si tout allait bien, son corps en pleine forme, alors qu'Ayumi devait encore assumer la fatigue. Elle alla vers le tableau, puis l'observa et sourit un peu, elle le fit disparaitre sans piper mot, puis se retourna face à Ayumi :

- tu es très perverse tu sais, jamais je n'ai vu une humaine comme toi... C'est étrange, mais intéressant, ça te dirait de plonger plus loin dans la luxure ? Animaux ? Enfants ? Exhibition ? Personnellement j'aime tester toutes sortes de choses, et toi ?

Ayumi Sayako

E.S.P.er

Le quarantenaire finit par se lâcher en elle, étant trop fière de la souiller en premier, comme si il cherchait à marquer son territoire avant que d’autres ne passent derrière lui. Celui qui s’occupait de sa bouche ne tarda pas à se soulager sur ses seins, même si une bonne partie de son éjaculation finit sur son menton à cause d’une pression mal contrôlée. La suite, elle en réinvita un second après s’être mis à quatre pattes sur le lit pour se faire par derrière, son partenaire commençant à la limer non stop. Le visage et surtout la bouche libre, Ayumi en profita pour lécher Arika aux divers endroits où les hommes ont lâcher la purée sur elle, pour ensuite lui rouler une pelle la bouche pleine. Après tout, du côté d’Ayumi, depuis le début de la sauterie elle se tapait un bukkake mémorable. A part avoir la mâchoire fatiguée et éventuellement de travers à cause d’un coup de butoir un peu trop fort, ça n’avait rien de fatigant si ce n’est que par moment, c’est un peu compliqué pour respirer. Son partenaire finit par éjaculer en partie en elle, la seconde ayant eu à peine le temps pour se lâcher sur ses fesses et en repeindre une partie.

Puis vint la pause, où les hommes firent une pause pour souffler, et discuter entre eux pour laisser les filles de leurs côtés. C’est aussi à ce moment là que la japonaise comprit vite qu’il ne s’agissait pas vraiment d’Artika mais d’Erusba. Ayant de toute façon un raisonnement totalement à la ramasse depuis qu’elle s’est vu octroyer son don, il sera donc difficile de la voir surprise physiquement. N’allez pas croire que c’est pour cette raison qu’elle allait remercier la déesse d’avoir chambouler sa vie, même si, psychologie toujours à la ramasse oblige, trouve sa petite vie plus stimulante que son ancienne. Juste qu’elle se serait bien passer de jouer les pouffes.

La question, elle se passa bien de l’analyser à voix haute, de peur que ça lui retombe sur la tronche tôt ou tard. La zoophilie est pour elle toujours contre nature et l’exhibitionnisme n’est pas son délire, puisque c’est à cause de ça qu’elle a vu sa vie détruite. Il faut dire que pour avoir fréquenté un monde virtuelle où les futanaris ne manquaient pas, Ayumi a bien vu que pour elle, une bite se doit d’être d’entre les jambes d’un homme. Pas pour ça non plus qu’elle ne prenait pas son pied dans cette univers virtuelle même si sa mauvaise foi vous dira qu’elle le faisait pour avoir des informations que normalement on ne pouvait pas avoir habituellement sur le Net… du moins sur le Net de la planète Terre même si elle n’a pas encore fait de rapprochement avec Terra et Tekhos. Son regard se porta sur les hommes qui ne semblaient pas entendre la conversation malgré une distance peu importante, comme si les lois de la distance étaient modifié pour le cadre de la conversation.

« Bof, je trouve que tout ça manque d’imagination... Si il y a une chose que je trouve bien plus excitant, c’est bien de pousser autrui dans la dépravation. La preuve : j’ai quelques grammes de cocaïne du barman fourni à prix réduit en espérant que j’y revienne mais c’est bien plus stimulant de voir autrui me renifler ça sur le nombril. Mais pour tes exemples, je trouverais stimulants de dépuceler quelques jeunes qui découvrent à peine la puberté après être tombé sur un site de cul. »

C’est lâcher avec un sourire assez mauvais, signe qu’elle n’a plus toute sa tête. A croire que tout son côté garce qu’elle possédait déjà auparavant n’a fait que ressortir ses dernières semaines et pour le pire. Après tout, si la japonaise en avait les moyens financiers, ce n'est pas sous le bureau de Rick qu'elle aurait passé la soirée mais à ses côtés pour le murmurer à l'oreille quelle clandestine à acheter. Après tout dans le monde des passeurs, pour le peu que ses individus voient plus loin et ont un endroit où stocké, c'est bien plus rentable de les revendre que de leurs fournir des faux papiers servant tout juste de papier toilette !
« Modifié: samedi 20 janvier 2018, 21:16:57 par Ayumi Sayako »

Edrusba Snes-non

Dieu

La déesse était amusée par cette humaine, cette perversion ambulante qu'elle dégageait était vraiment impressionnante. Tous les humains étaient-ils ainsi ? Elle ne se souvenait pas de cela dans le passé, mais peut-être que leur longue espérance de vie, couplée à un ennuie mortel les pousses à chercher sans cesse de nouveaux divertissements. La pause fut un bon moment, le calme revenait, mais pas la fraicheur de la pièce ni des corps. Elle observa donc Ayumi tranquillement, attendant des réponses, et quelles réponses ! La petite Ayumi restait une perverse, une grosse perverse qui voulait user de son corps et ses produits pour dépraver autrui ! Intriguée la déesse hoche la tête, se relève et s'étend faisant craquer son dos, ses épaules, puis regarde les hommes et les fait disparaitre.

- Et bien essayons ton programme, choisis tes cibles, on va leur apprendre la luxure et le stupre, j'aime bien ce programme.

La déesse reprit alors son apparence, toute propre, toute neuve, les yeux rouges brillants de quelque chose de machiavélique... Ayumi avait réveillé un démon dans le corps d'une déesse, avec des pouvoirs immenses, et des envies perverses.

Ayumi Sayako

E.S.P.er

Sa jauge de dépravation est assez haute et pourtant ce dernier mois, on ne peut pas dire qu'elle a tant collectionné les hommes que ça. La dépravation est donc bien plus psychologique, comme si le fait de vouloir se mettre une limite et ronger son frein ne faisait que rendre les choses plus stimulantes. Un exemple : que son voisin Rick ne la voit que comme une simple nympho et vide couille lui va, Ayumi sait que ça sera elle qui le poussera aux vices d'aller plus loin que de le voir juste surfer sur le darknet. Autant dire que ça éclate, elle peut facilement passer pour la plus vicieuse des filles !

Le « ta gueule la logique » reprit le dessus, faisant disparaître les hommes ici présents. Ce qu'ils sont devenus importe peu, Ayumi s'en foutant de toute façon. A croire que sa déesse lui a laisser une fraction de ses pouvoirs puisque ce qu'elle imaginait apparaitra telle un voeu devant ses yeux. Il s'agit en fait des trois jeunes de l'autre soir, ceux qui ont balancé la rumeur et surtout le cliché, certes de mauvaises qualités d'elle dans la rue à poil. D'ailleurs à voir leurs réactions, ils se demandent bien ce qu'ils fouttent là, dans une chambre vide avec une Ayumi nue allongée sur le lit, où seulement un coude servait pour se surélevé un peu pour les regarder.

« Bordel, qu'est c'qu'on fout là ? »
« Attends, t'es la salope de l'autre soir ? On est où là ? »

Ayumi est là, toute propre pour la simple et unique raison qu'elle ne veut pas qu'ils sachent qu'elle a été souillé auparavant. Non, les mettre en confiance comme quoi ils gèrent la situation, voilà ce qu'il faut.

« Vous vous posez trop de questions. Les mecs, vous m'avez un poil déçu. Au lieu de balancer ma tronche aux pouf' de Seikusu, vous auriez pu me faire chanter. Et on aurait pu beaucoup s'amuser ensemble. »

Les questions sont passées à la trappe par magique mais la provocation n'est pas passé à la trappe elle puisque le plus grand du trio s'avança vers elle. Ayumi se contentant de remuer son sachet de farine comme si de rien n'était.

« Depuis quand ton avis nous intéresse. On peut te prendre là tout de suite maintenant. »
« Je me demande bien pourquoi ce n'est pas déjà fait... »

Enervée son audimate, Ayumi a toujours eu un petit don. Ses types auraient pu la violer ce premier soir, et ça ne va pas tarder à le faire puisque son "radar" annonce ses cibles en rouge, la provocation les faisant voir rouge eux aussi. Et pourtant elle aurait pu se faire sauter qu'elle venait de faire une ligne sur son ventre flambant neuf, faisant hésiter celui qui s'apprêtait à l'agresser.

« Et bien quoi ? Fort en gueule ou dois-je comprendre qu'un peu de farine fait reculer un grand gaillard ? Tes potes prendront leurs pieds eux au moins. »

Le jeune homme est visiblement pas friand de ce genre de choses mais le problème ne vient pas de là. Ca se vante d'être des loubards dans l'établissement scolaire mais ses deux camarades semblent bien être partants de sniffer avant de faire hurler cette garce. Ayumi n'a pas besoin de lire dans les pensées qu'il ferait tout pour faire couiner cette salope en premier avant que ses deux sbires s'en charge aussi. Tout ça pour une histoire de fierté mal placé !

Edrusba Snes-non

Dieu

Plonger les humains dans la luxure était certainement intéressant, bien qu'elle doutait qu'ils aient besoin d'aide pour ce faire. Sous son apparence normale, elle regarda Ayumi cherchant encore quelle sera la suite de ce plan étrange. La fixant même elle sourit finalement, quelque chose de pervers se tramait entre les deux filles, toutes deux semblaient pour une fois raccord. Trois jeunes apparurent alors, comme pour combler les envies d'Ayumi la petite salope, perverse nudiste qui allait leur faire des trucs ! La déesse observa, encore silencieuse pour l'instant, elle écouta Ayumi les provoquer, chercher les ennuis visiblement, fallait-il intervenir ? Pas encore, le spectacle s'annonçait amusant, elle vola un peu vers le groupe, flottant autour d'eux, semblant d'ailleurs attirer un peu d'attention. Elle sourit, puis regarde les hommes s'énerver un peu, provoquer il semblait vouloir agir, mais il se revenait pour une raison stupide, la peur ! Elle pouvait le lire, à ce moment le jeune homme, chef de la bande, était mortifié par cette situation qui le sortait de sa zone de confort. Ayumi, nue, offerte avec une ligne de coke sur le ventre nu, n'attendait que de se faire prendre et ça, ça les perturbait. L'un des sbires pourtant semblait prêt à l'action, mais se retenait en l'attente des actions du chef.

- Spéciment intéressant Ayumi-chi, leur chef est mort de trouille, et ces sbires semblent ne pas savoir prendre les devants...

Un "ta gueule pétasse" vola dans la pièce, la déesse rit alors flottant toujours dans les airs les jambes repliées pendant qu'elle rit. L'un des sbires demanda ce qu'était ce bordel, pourquoi ils étaient là dans un love-hôtel ? Mais la déesse avait déjà la réponse, elle alla vers le lit et s'y coucha alors également.

- Car il y a deux petites salopes en chaleurs qui veulent vos grosses bites, n'est-ce pas une raison valable ?

Elle fit disparaitre ses habits, sous les yeux ébahis des jeunes hommes, ils avaient une femme avec de la drogue sur le ventre, une autre plus mature, toute nue et demandant à se faire prendre, et leur chef lui hésitait ? Ni d'une ni deux, voilà les sbires qui laissent aussi tomber le bon sens, chacun venant voir l'une des femmes, l'un allant se faire un rail sur Ayumi, l'autre prenant un sachet pour en verser sur la déesse au ventre bien plat.

- C'est bien les garçons, venez jouer avec nous !

Ayumi Sayako

E.S.P.er

L'ambiance de la pièce devient étrange, la plupart de ses types ne sont plus capables de différencier l'étrange du naturel. Voir une femme d'un certain âge flotter avec des vêtements disparaitre pour s'offrir à eux ? Normal. Même le fait d'avoir été trainé par Ayumi dans cette pièce semble avoir été oublié. En fait, il n'y a que le chef de la bande qui a encore les pieds sur terre mais pas pour la même raison. La drogue, surtout dure, c'est mal et il sait le risque de dépendance belle et bien présent. Ironiquement, c'est le leader qui en a le plus dans le crâne ici mais voilà que cette garce de Sayako s'amuse à le rabaisser plus bas que terre pour se venger et qui s'apprête à se faire sauter par son pote. Avant que sa réputation ne soit sali, il savait que la japonaise pouvait être une garce doublé d'une allumeuse mais elle avait au moins la réputation de ne jamais franchir la ligne blanche. En fait, avec le recul beaucoup auraient pu la comparer avec une sainte ni touche. Et le pire dans tout ça ? Il sait qu'elle fait tout pour qu'il marche dans la combine !

Il s'en mordra la lèvre avant de prendre par l'épaule celui qui s'apprêtait à la sauter pour le ramener en arrière au point qu'il chutera au fond de la pièce, montrant une violence assez importante dans son geste. Si c'est à ça qu'elle veut jouer, cette salope va morfler ! Il attrapera Ayumi par sa chevelure pour lui coincer le crâne contre le matelas, la faisant légèrement gémir de douleur. Le chef passa ses narines pour sniffer la poudre en une seule fois, se tenant le nez une fois cela fait, signe qu'il venait de le sentir passer.

La douleur du côté d'Ayumi sera assez brève, comme la plupart des coups qu'elle allait recevoir. Tout comme les coups de butoir qu'elle allait aussi recevoir. Cela ne tiendrait qu'à lui, ce n'est pas un motel qu'elle la tirerait mais tout simplement dans une cave où elle ne reverrait pas le jour de si tôt. La jeune fille cria sur le moment, accompagné assez rapidement d'une gifle et d'un « ta gueule » , lui faisant comprendre que le plaisir ici, pour elle n'est que secondaire. Le second revient à la charge, pas très heureux d'être poussé comme un malpropre et pourtant il y a quelques choses d’anormal qui le poussera de ne pas avoir d'accès de rage, son regard étant fixé sur le sachet de cocaïne comme si une règle l'empêchait de tirer son coup sans devoir passer par ça. Il y a du vrai très certainement et à défaut de se poser d'avantage de question, se défonça les narines de lui même avant de coller sa verge dans la bouche d'Ayumi, l'empêchant de hurler.

« Après je m'offre le cul de cette pétasse. Crois moi salope, tu vas être tellement démontée que tu vas t'en rappeler pendant une semaine... »

Edrusba Snes-non

Dieu

Cette soirée était encore une soirée de débauche, rien d'étonnant là-dedans en présence d'une déesse de l'absurde. Des mâles prenaient de la drogue sur son ventre, d'autres caressaient les femmes, les prenaient ou les observaient. Ayumi eut droit à son chef de bande qui la prit par les cheveux. La déesse observa cela tranquillement, c'est fou comment les humains pouvaient se battre pour pas grand-chose. Ils pouvaient pourtant tous passer sur les jeunes femmes, tous avoir de la drogue et continuer ce rêve, mais... non, au lieu de cela, de coopérer, ils se disputaient pour des motifs purement... humains ? Non, émotifs, car elle-même se disputait parfois, et n'était pas humaine pour autant. L'espace d'un instant, elle vit la réalité en face, le monde est laid, ennuyeux, les humains ne sont pas si différents des êtres supérieurs. La déesse qui regarda tout cela tout comme le gars qui lui versait de la poudre sur le ventre précédemment. Finalement elle hausse les épaules et serre le gars contre elle sa verge bien enfoncée en elle, une sensation qu'elle oubliait parfois, pourtant une sensation terriblement agréable ! Pourtant, malgré son plaisir elle n'oublia pas Ayumi, sans doute à cause de son omniscience dans la pièce.

- Ayumi, si t'avais envie de faire la leçon à ce petit garnement, n'hésite pas, je n'aime pas vraiment sa façon d'être...

Ayumi put le lire sur son "interface" elle venait de recevoir une bénédiction divine, et des pouvoirs temporaires pour altérer le réel tant qu'elle reste à portée de la déesse. Voilà qui est plutôt intéressant, à voir ce qu'elle en fera, car désormais elle est temporairement capable de faire pareil que la déesse quand il s’agit de modifier le réel et l'adapter à ses envies.

Ayumi Sayako

E.S.P.er

Alors que le voyou se vidait en elle après l'avoir jeter ventre contre le lit, Ayumi lâcha un soupire de soulagement lorsqu'elle sentit sa semence la remplir. Autant être prise comme une chienne ne lui plaisait pas trop, autant cette sensation de se faire remplir les orifices de sperme bien chaud lui plaisait. Juste qu'elle ne pouvait pas toujours profiter de ce genre de plaisir avec de parfait inconnu quand elle fait le tapin sur le Web pour éviter d'éventuel inconvénient, estimant qu'elle avait déjà pas mal de problème à gérer. Par contre le soupire de soulagement laissa place à un sourire assez mauvais lorsqu'elle verra apparaître la bénédiction divine et le plus à regretter est son partenaire qui ne verra pas le coup venir. Car ce sourire est aussi mauvais que ce qui lui trotte à la tête. C'est de sa faute que sa réputation a été ruiné ? Le tuer là tout de suite serait trop simple et manquerait cruellement d'imagination. Et surtout, elle veut des témoins à cela, ses deux sbires risquent de bander mou d'ici peu. La suite pour eux ? Elle verra bien mais leur faire une peur bleue est un bon début. Autant profiter de briser le peu de logique qu'il y a dans ce lieu pour montrer ce que son imagination sait faire.

Commençons par un petit effet bien discret mais qui ne manquait pourtant pas d'imagination tout en profitant des possibilités de sa Déesse. Altérer le temps tout en profitant de ce besoin de drogue c'est dans les cordes de l'illogisme et de l'impossible ? Car c'est ce qu'elle va faire. Les autres verront surtout le caïd qui idolâtre prendre à plusieurs reprises de la drogue dur sur un laps de dix minutes en mélangeant tout et n'importe quoi. Pour lui une scène qui pouvait durer une éternité ne l'était pas tant que ça. Certes c'est dix minutes où Ayumi va prendre trèèès cher, ayant même reçu deux coups de poings sous prétexte qu'elle doit fermer sa gueule au lieu de gémir comme une pouf' mais pour une individu ou un coup se résume à des Points de vie, cela lui importe peu.

Puis le drame tant recherché finit par avoir lieu, le caïd finira par se pencher sur le côté pour vomir avant de s'écrouler les yeux renversés en pleine crise d'overdose. L'un de ses "amis", ayant abandonné l'idée de s'occuper de la Déesse auparavant après avoir vu la scène, aurait bien aimé s'occuper de son chef de bande mais voilà, à chaque pas, il avait l'impression que la distance entre lui et le camé s'éloignait là où Ayumi se contenta de s'assoir sur le lit, prenant un filet de sperme à l'entre cuisse pour s'en lécher les babines avec. Voir un mort ne lui fait ni chaud ni froid et soit c'est dû à son "système", soit tout simplement qu'elle a trop grillé de points de santé mental ses derniers temps.

"Qu'est ce que c'est cette merde !"
"Ben ben ma salope, ça s'appelle une overdose. Quand je pense que ta vie va se résumer à faire le trottoir pour que tu puisses te payer ta dose et finir comme ça." Et c'est avec un petit rire malicieux que les autres témoins de la pièce comprendront le sens de cette phrase.
"Ideo c'est toi ?"
"Comment ça ? Qu'est ce que-"

La voix de l'individu est plus féminine et si il se regarde dans un miroir, il verra rien d'autre qu'une gyaru. Angélique, mignonne à croquer, sauf qu'à voir les poches sous les yeux, on devine facilement que ce n'est rien d'autres qu'une junkie qui n'a pas encore eu sa crise de manque. Changer de sexe aussi rapidement aussi facilement, ça en fait exploser de rire Ayumi. Le second, elle ne l'a pas encore décider mais libre à la Déesse de s'amuser un peu si elle ne le fait pas avant elle, juste qu'elle voit prendre son couteau à cran d'arrêt dans son jean à terre pour le pointer tantôt vers Ayumi, tantôt vers Edrusba/Artika, s'en ait presque risible.
« Modifié: lundi 27 août 2018, 21:12:50 par Ayumi Sayako »


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