Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Ce n'est pas bien de blasphémer, surtout contre l'absurdité [Edrusba]

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Edrusba Snes-non

Dieu

Plus personne ici ne voyait qu’es choses n’allaient pas comme il faut. Pour eux ces deux femmes n’étaient que des objets de plaisir. Ayumi le jouet de la déesse, et la déesse elle-même dont les pouvoirs altéraient les perceptions de tout le monde dans la pièce. Ayumi donc elle, eut droit à se faire bien remplir la chatte en profondeur. Chose orgasmique s’il en est ! La déesse de son côté subissait pareil et en semblait satisfaite, sans plus. Enfin les choses tournèrent un peu, des coups, des cris, toujours du stupre. Et enfin le caïd perdit le jeu, il s’effondra et vomit, tremblant et arborant une couleur pâle inquiétante. La déesse observa cela amusée, elle s’assit à côté d’Ayumi et regarda aussi la scène. Elle constata l’overdose du camé, intéressant comportement que celui-ci chez les humains. Elle pourrait sans doute s’en servir à l’avenir, mais pour le moment elle doit encore y réfléchir. En effet ici tout devenait un peu fou, les garçons devenaient des filles à la peau teintée de mascara brun ou noir.

- Oulà mon grand, tu penses nous faire peur avec ce canif ?

Elle sourit un peu, tend une main devant elle et une épée s’y dessine alors, l’épée était visiblement en acier trempé, très décoré sur la lame et la garde. La poigne était en cuir et avait un gros rubis tout au bout enchâssé dans un anneau de métal large.

- Range ton couteau humain, l’heure des jeux est finie.

La déesse se relève alors, l’humain choqué, lâche son arme par peur. La déesse avait repris son apparence divine. Ses yeux rouges luisants, sa tenue noire ouverte sur le devant, la longue robe pendaient sur le sol cachant ses bas et son porte-jarretelle. Elle le sentait, ce jeu était allez trop loin et attirait l’attention d’une autre divinité puissante. Laquelle, elle l’ignore, mais il est temps pour elle de cesser ses altérations avant qu’on ne vienne lui mettre des bâtons dans les rouages. Ayumi le sentit alors, tout devin flou, la pièce entière semblait s’étirer dans tous les sens, c’était comme un mauvais trip où les murs vous foncent dessus. Où les portes font cinq fois votre taille, pire, tout redevenait normal !

Les garçons disparurent, la pièce redevint l’appartement de la jeune fille, oh, tout n’était pas rentré dans l’ordre parfaitement. Il restait encore des traces, capotes, chaussures des garçons ici et là, un tas de détails oubliés dans le rangement.

- Bien, voilà qui est mieux, dis-moi Ayumi, as-tu compris ce qu’il peut en couter de plaisanter avec les divinités de ce monde ?

Tout cela était une leçon ? Depuis le début elle se jouait d’elle ? Dans un jeu absurde et limite macabre. Pourtant personne n’était mort, et heureusement, la déesse ne voulait pas danser sur le territoire d’une autre. Après tout, quoi de plus chiant que de devoir s’expliquer avec d’autres de son espèce ?

Ayumi Sayako

E.S.P.er

Entre avoir remplie sa jauge de perversité et avoir griller ses points de santé mentale, on retiendra surtout dans cette affaire c'est les points qui ont sautés en premier. Ayumi savait déjà qu'elle n'arrivait plus à raisonner en bien ou en mais de là à s'en rendre compte qu'elle prendrait la vie de quelqu'un sans plus s'en inquiéter, elle l'ignorait.

Le seul truc qui méritait quelques peu de s'y attarder était quelles répercussions il pouvait y avoir en voyant les chaussures des garçons ainsi que leurs affaires et de quelle manière les invités de la petite sauterie au karaoké se rappelleront des événements avant qu'Edrusba ne donne carte blanche à la japonaise de s'amuser avec une infime partie de ses pouvoirs. Écoutant la déesse, c'est une carte de visite dans la poche de sa veste au sol qui attira son attention mais elle préféra l'ignorer pour le moment mais on dirait bien qu’elle a peu être moyen de trouver un job quand elle ne pourra plus aller au lycée à cause de sa grossesse.

« Je pense que j'ai compris mais de là à dire que le jeu est terminé, je ne sais pas. L'un a vu sa mort, le second je l'ai transformé en pouf' mais le troisième, je n'ai rien fait. Là où je voulais qu'il saute son petit copain, vous lui avez fait connaître le même sort. »

Si le petit jeu où Ayumi avait des pouvoirs divins était belle et bien fini, le problème est que la japonaise n'en est pas ressorti indemne mentalement et veut quand même continuer à pousser ce petit jeu plus loin à en voir le sourire narquois qu’elle affiche. Elle a dit que la dépravation d'autrui était plus intéressant ? Elle a surtout compris que le sort du troisième garçon n'était pas de son fait, la déesse n'ayant guère apprécier de voir une arme pointée sur elle. S’il a été difficile de distinguer le faux du réel, l’insulte elle, l’a bien été et Ayumi sait que la déesse n’ignorera pas ce genre de méfais.

« Je manque peut-être de pouvoir mais ça ne m’empêchera pas de faire en sorte que ses deux pétasses finiront avec une seringue sur le trottoir pendant que leur copain n’arrivera même plus à sortir la tête de sous ses draps. »

Je manque peut-être de pouvoir, les mots sonneront dans la bouche d’Ayumi comme une évidence là où elle est consciente que son pouvoir est à la fois une malédiction et une bénédiction qui peut beaucoup lui rappeler. Cela n'empêche que cette morveuse est aussi rancunière que sa déesse quand il s'agit de pourrir la vie de ceux qu'elle a dans le collimateur.

Edrusba Snes-non

Dieu

La déesse espère que la petite humaine a maintenant compris sa leçon. Elle écoute la réponse de la déesse pensive, si ce n'est que ça elle pourrait lui donner l'occasion de s'amuser. Elle sourit un peu et flotte dans la pièce en silence pour le moment, elle écoute encore la suite et puis elle fait apparaitre une carte :

- Avec ça tu peux louer mes pouvoirs, mais attention, si tu en abuses... C'est moi qui viendrai prendre ta dette... Et je jouerai avec toi comme tu joues avec les gens.

La carte semblait ordinaire, noire, avec la tête de la déesse en style "chichi" dessus. De l'autre coté pas de bande, juste du noir, la carte pourrait passer pour une carte de jeu sans doute. Mais elle était en plastique, légère, mais solide.

- On se reverra certainement avec elle. D'ailleurs tu veux encore jouer un peu ? J'aime voir vos jeux entre humains, c'est assez intéressant.

Ayumi Sayako

E.S.P.er

Ce don est inespéré mais surtout, Ayumi a compris que même pour un petit service qu'est de rendre un peu trop réel un godemichet, il y avait un paiement. Alors un abus, n'en parlons pas car elle a bien retenu le terme « louer » dans ce qu'elle vient de dire. Il faut dire que si la miss commence à accumuler les tares, le masochisme n'en fait pas encore parti. Elle avait déjà une idée sur son utilisation à moindre recours pour éviter de devoir en abuser à l'avenir. La carte n'a à priori pas de magie en elle là où cette pseudo Miku du pauvre et surtout en plus tarée est capable de percevoir ce genre de chose depuis qu'elle a obtenu cette compétence mais est-ce vraiment nécessaire de chercher une explication ? Un artéfact, en tout logique émet de la magie alors pourquoi ça serait ainsi pour la déesse de l'absurde ?

La carte finira dans l'inventaire au même moment que la carte de professionnelle qu'elle récupéra dans sa veste.

« C'est comme la location d'un appartement, si on voit trop grand la fin de mois devient trop difficile. Et pour payer le mien, je crois que sucer un vieux pendant ses déplacements est plus rentable que perdre mon temps au lycée. »

Drôle de comparaison mais qui prendra toute sa signification dans son exemple. Au début de ses mésaventures, vendre son cul la répugnait. Maintenant elle pense surtout à l'optimiser à défaut de recevoir des kilomètres de bites. Voilà à quoi se résume maintenant sa projection dans l'avenir vu qu'elle va dorénavant commencer à sécher les cours !

« Je n'aurais rien contre une quête digne de vous. Je m'y ferais une joie de m'y préparer. »

Ayumi joue avec le feu, elle le sait mais quand un tel esprit est devenu suffisamment dérangé pour s'estimer être une prêtresse d'Edrusba Snes-non, avec ou sans l'aval de cette dernièret. Un raisonnement très dangereux, surtout quand cette personne dérangée est encore capable de réfléchir convenablement.

Edrusba Snes-non

Dieu

La déesse la regarde et l'écoute, flottant un peu partout dans l'appartement de la jeune fille. Elle veut donc travailler pour la déesse ? Mais que faut-il lui faire faire ? Ce n'était jamais simple de trouver des réponses à ses questions quand on n'a rien de prévu, ni rien besoin dans le fond. La déesse existe dans un autre plan, elle n'a pas trop l'utilité des affaires des mortels de ce plan. Par contre elle aurait bien besoin de plus de partisans !

- Je sais, tu vas prêcher pour moi, pour chaque converti, tu recevras ce que vous appelez de l'argent...

Simple et efficace, la déesse n'a que faire de l'argent, elle peut le créer en quelques instants, mais Ayumi elle en a bien besoin. Avec cela toutes deux se rendent service.

Ayumi Sayako

E.S.P.er

Prêcher pour elle... Une quête digne de ce nom puisqu'elle verra sa fenêtre de quête apparaître, lui demandant si oui ou non elle l'acceptait. Le "non" étant un crime de l'est majesté, elle trouva quand même quelques choses à redire là où elle a malgré tout l'intention de valider sa quête. Faisant en quelques sortes sa gamine difficile, hochant la tête en étant un peu tête en l'air, Ayumi lâcha ce qui lui aurait fait vraiment plaisir.

« J'aurais préféré les faveurs de ma déesse. »

Si dans le cas où Edrusba n'y trouvera rien à redire, qu’elle accepte ou non ses faveurs au lieu de l’argent, la japonaise acceptera quand même cette quête. Il faut dire que refuser après l'avoir caressé dans le sens du poil sur ce sujet reviendrait à l'insulter et à demander une punition divine. Ayumi aurait refusé cette quête ? Certainement pas !

L'argent n’est pas une nécessité pour le moment mais le sera à ses derniers mois de grossesse et surtout après ladite grossesse. Après, Ayumi ne crachera pas non plus dessus puisqu’elle ne fait que l’entasser sur son compte en prévision de ce coup dur. Et pour en revenir à son sujet d’aller à la pèche aux croyants, elle a déjà sa petite idée. Créer une trentième secte basée sur le sexe ? Non, il faut quelques choses d’autres et surtout ça ne rentrerait pas dans la sphère de prédilection de la déesse. Il manque juste ce brin de folie pour rendre la moindre chose banale complètement absurde et faire en sorte que le simple mortel trouve cela on ne peut plus normal.

Ayumi se contenta de lâcher un sourire avec la petite révérence qui allait avec, mimant l’absence de robe pour la faire. Le filet de sperme qui coulait à ses cuisses à ce moment, signe que les voyous l’avaient bien remplie, donna une scène assez unique dans son genre.

« Si telles sont vos désirs. Sur ce, je demande à prendre congé. »

Le reste de la soirée, c’est une douche et surtout une bonne nuit de repos car le lendemain matin, elle a déjà prévu de passer une bonne partie de la matinée sur Internet pour faire plusieurs achats. La raison ? Acheter des livres de magie roses ou autres, le terme exact étant « attrape-couillon » car la demoiselle sait qu’ils n’ont rien de magique et se contente de brèves théories sur ce que l’on peut trouver en réalité. Une fois la commande faite, ses prochains jours elle les passera à se prostituée sur Internet et reprendre contact avec le haut-cadre de ce soir. En quelques sortes, ça lui permettra une certaine stabilité financière.

Alors pourquoi cet achat qu’elle sait bidon ? Simplement que le jour où elle recevra le colis en petite tenue devant la porte, signant son avis de réception tout en laissant le livreur se rincer l’œil, elle allait utiliser cette fameuse carte juste après avoir fermé la porte, laissant le jeune homme en plant et surtout raide. Si ses bouquins sont de la merde, cela lui importe peu puisque son souhait est de rendre simplement ses bouquins « compatible » avec son système pour les « intégrer à elle » telle que l’on utilise un parchemin de compétences dans un jeu vidéo. Théoriquement, elle a juste à poser les mains et avoir les bonnes statistiques, points de statistique qu'elle distribuera seulement maintenant pour avoir les statistiques pré-requis. Ouai bon, dans le lot il y a des bouquins qui sont quand même une sale réputation, même s’ils sont fictifs de base, à commencer par le Nécronomicon qui n’est pas réputé très sympathique et certainement tant d’autres. Bref, si elle voulait fonder le culte de l’absurdité sur Terre, il lui fallait de la matière. Et quoi de mieux de plonger davantage dans la folie quand on veut y faire précipiter les autres ? Des points de santé, elle ne peut plus trop en perdre puisqu’ils sont déjà grillés depuis presque une semaine et c'est le cerveau qui risque de se faire violer en plus de se faire violer par des bouquins maudits !

Edrusba Snes-non

Dieu

La richesse contre des fidèles, voilà un marché qui devrait plaire ! Et portant elle préfère autre chose ? Des faveurs ? Oui, mais lesquelles ? La déesse la laissera donc partir profiter de sa soirée, elle aussi avait à faire ! La petite humaine commanda donc des livres, continuera sa vie de luxure sans trop penser aux conséquences. D'un autre côté, elle devait profiter avant que son ventre ne soit trop "rond" pour être vendu. Quant à sa lecture, il y avait de tout et de rien. La déesse elle, dans l'ennui revint la voir, sans vraie idée sur quoi faire avec elle. Elle se promenait dans l'appartement, sans afficher sa présence, la regardait apprendre des compétences et devenir de plus en plus forte l'air de rien ! Elle pensa bien lui envoyer des violeurs, mais... Elle y prendrait son pied, la violer elle-même ? Elle eut alors une idée, un livreur frappa à la porte, celui-ci n'était pas prévu ! Il attend donc un peu, un colis en main. Le colis était une simple culotte dans une grande boite, l'indice étant que la boite était envoyée par "une très chère amie" d'après l'étiquette. Elle pouvait aussi se faire la livreuse si ça la chante, c'était un jeune homme de trente ans bien bâti !

Ayumi Sayako

E.S.P.er

Et les conséquences de son "premier vœu", Ayumi ne se les prirent pas, du moins pas pour le moment si on met de côté la fois où ses sens gustatifs ont été altéré au point qu'elle avait impression de boire du sperme la moindre substance visqueuse suite à un contre-coup de l'un des bouquins qu'elle a assimiler et une autre fois, où elle est tombée dans le coma avec comme rêve de se faire l'amour à elle-même ou ce qui ressemblait à son alter-ego, sauf qu'elle n'y voyait plus trop de différence. Rêve ou délire ? Elle s'est réveillée recouverte de mouille, comme quoi la réalité ne devait pas être si loin. Bref, plus le temps passe, plus elle a du mal à assimiler le réel avec ses délires.

Et les jours passèrent à un tel point qu'elle n'hésitait même plus à sécher les cours. Son job à mi-temps était toujours le même mais le changement radical de politique de la boite de se reconvertir en musique avec les annonces pour les seiyū pour hentai ne surprit personne là où son président était un militant contre le porno. Ne surprit personne... C'est là que tout commençait à clocher, tout le monde dans la boite à trouver cela normal, y compris se faire tailler une fellation par une de ses seiyūs sous prétexte que le doublage se devait d'être plus vrai que nature. Tout le monde dans cette petite entreprise à trouver cela normal, y compris le président qui se faisait soulager et personne ne trouva cela étrange, ou même vicieux ! Comme si le grain de folie avait atteint une partie de staff. Ce lieu était devenu le terrain de jeu d'une Ayumi qui testait petit à petit ses pouvoirs, « sans outrepasser les lois divines, équilibre, ou autres conneries de ce genre » qui semblait être si cher aux Dieux. Ironiquement, la japonaise a trouvé ses premiers croyants, même si pour le moment ils n'ont pas vraiment de noms sur cette divinité qui a donné naissance à cette ambiance totalement absurde.

Allait-elle en rester là ? Elle a repris contact avec ce chef d'entreprise de l'autre soir et le peu qu'elle a compris, monsieur cherchait une secrétaire personnelle à la fois pour prendre des notes et passer sous le bureau pendant qu'il est au téléphone avec sa femme. Une place pour une secrétaire personnelle en somme à un tel point qu'Ayumi a envie de transformer la prochaine réunion de gros cadres de cette entreprise en orgie à un tel point qu'ils trouveront cela d'une banalité. Pourquoi se contenter du pigeon de rue quand on peut viser plus haut ?

Mais ce qui la fit sortir de ses vicieuses pensées, se fut la porte qui toqua. Même pas de remarque étrange concernant cela, là où il y avait un interphone en bas de l'immeuble ou si le concierge lui avait ouvert la porte, cela n'avait guère plus d'importance dans l'esprit d'Ayumi. Pas plus qu'ouvrir la porte en étant simplement habillé d'un t-shirt trop long pour elle qui... d'ailleurs n'était pas à elle. Quant à savoir à qui, bonne question…

Ayant pris une vilaine habitude de faire rentrer n'importe qui chez elle et plus particulièrement les livreurs, se contentant souvent juste de les allumer par pur caprice, celui-là fut assez à son goût avec comme raisonnement « pour une fois que ce n'est pas un jeune ». Déjà, elle le sentait lorgner mais l'âge oblige, il semble rester professionnel... Elle ne vit pas vraiment la réaction de cet homme lorsqu'elle ouvrit une boite trop grande pour le peu qu'il y avait dedans. Sauf que voilà, si Ayumi avait gardé un réflexe avant sa folie, c'était celui d'être méticuleux sur ce qu'elle signait et ce qu'elle recevait. Et aujourd'hui, elle voulait recevoir plus qu'un colis.

S'asseyant sur l'une de ses chaises en s’apprêtant à signer, Ayumi marmonna quelques choses tout en se contentant de frotter le stylo de haut en bas là où l'aiguille n'était pas encore sortie. Lier un stylo avec la queue de cet homme, c'était tordu... et c'était presque l'équivalent d'une branlette, du moins dans l'esprit de cet homme seulement.

« Désolée de faire perdre votre temps mais on m'a toujours appris de tester le matériel que je reçois. Si vous pouviez m'aider... »

Croisant les jambes avec un petit sourire, elle montra la boite par terre et la culotte de sa très chère amie du bout de son pied gauche. Oui elle l'allume et non, cette culotte ne se mettra pas toute seule !


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