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Vol de vies [PV Eva Granger]

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Rachele Florenza

Humain(e)

Vol de vies [PV Eva Granger]

mercredi 02 août 2017, 21:05:06


Il est quinze heures, la sonnerie du lycée de Seikuzu résonne dans tout l'établissement et les élèves comme les professeurs entrent et sortent des salles de cours au gré des matières qu'ils travaillent.

Dans le bâtiment réservé aux matières scientifiques, isolé du reste du complexe étudiant pour d'évidentes consignes de sécurité, de nombreuses jeunes étudiantes travaillent sur leur exposés de physique et de chimie pour les examens qui approchent.

Au dehors, aucune ne remarque l'étrange balais de fourgonnettes noires et de voitures qui commence à encercler le bâtiment. Aucune ne voit les étranges hommes en noir cagoulé s'introduire subrepticement par chaque porte ou coursive pour en contrôler totalement l'accès. Aucune n'entend les détonations sourdes des armes équipées de silencieux qui tranchent avec cruauté, le fil de la vie des agents de sécurité et des témoins potentiels.

Car aujourd'hui est un jour funeste pour la jeunesse de Seikuzu et faste pour la pourriture qui s'en nourrit. Un jour que Max, l'impératrice du crime de la ville, à choisit pour faire son marché et enlever de nouvelles proies pour son commerce sexuel. Tel un ogre, ou la sorcière des conte de fée qui se nourrit des enfants perdus en foret, elle alimente le feu de ses forges à esclaves avec le bois le plus frai et le plus beau de la ville.

En quelques minutes seulement, l'ombre de la mafieuse s'est étendue depuis les quartier chauds de la ville jusqu'à ce lieu de paix et de connaissance pour en piller le sang et la jeunesse. Dans les diverses salles de cours, la même horrible scène se répète, un homme cagoulé pénètre calmement dans la salle et abat froidement le professeur en plein cours sous les yeux de ses étudiantes. Seules les plus jeunes et les plus belles des enseignantes sont épargnées pour au final, devenir elle-même des marchandises sur l'étale du boucher.

Pour calmer les hurlements de terreur ou les mouvements de colère des plus courageux et courageuses, les assassins de Rachele n'hésitent pas à tuer un ou une étudiante un peu trop bruyant ou agressif, jusqu'à ce que les autres soient pétrifiées de terreur et obéissent sans réfléchir à leurs ordres.

Il commencent alors à vider une à une les salles de classe pour réunir tout le monde dans les dortoirs du dernier étage, sous les toits du Lycée. L'horrible casting commence alors...
Les hommes de mains ordonnent aux étudiants de se ranger en rang pour qu'il puisse bien les observer. Certains passent alors entre les adolescent et les jeunes adultes pour sélectionner les plus belles et les mieux faites. Ils leurs font alors quitter le rang et la pièce en leur faisant croire qu'elles vont être libérées... vain espoir... il ne s'agit que d'un stratagème pour ne pas effrayer les autres élèves.

Une fois hors de vue des autres, les esclavagistes entrent en action:


La puanteur du chloroforme envahi leurs leur nez et remonte vers leur cerveau jusqu'à ce qu'elle cessent de luter. Une fois inerte, ils les cachent dans des valises de voyage et les chargent dans les fourgons.

Efficaces et bien entraînés, les hommes travaillent vite et bien. En quelques minute, une première livraison est envoyée vers le Rachele's où va commencer leur nouvelle vie. Aucune d'entre eux alors, n'imagine ce qui les attend...




Éva Granger

Humain(e)

Re : Vol de vies [PV Eva Granger]

Réponse 1 mercredi 02 août 2017, 22:33:02

Éva et certaines des filles à qui elle enseignait la magie n'étaient pas dans leur salle de cours... Enfin si, mais disons qu'elles étaient dans leur salle à elle, celle qui étaient magiquement protégée par divers sorts, dont un très particulier, qui faisait en sorte que les non-sorciers s'en éloignent naturellement en pensant soudainement à quelque chose de plus important. De fait, seuls les personnes sensibles à la magie pouvaient entrer ou sortir de cette salle de cours. Ainsi, lorsque les fourgons encerclèrent Mishima et que des hommes armés débutèrent leur rafle de jeunes filles et de belles enseignantes, elles ne s’aperçurent pas tout de suite qu'il y'avait un problème. Et comme les hommes armés ne pouvaient pas passer près de leur salle sans faire demi-tour d'eux même, rien ne les avertit du problème.

Ce fut Claire, une élève plutôt bien avancée en magie, qui découvrit la première qu'il y'avait un problème, lorsqu'elle quitta la salle de classe pour se rendre aux toilettes. Dans un premier temps, elle ne vit que des classes vides. Même si les cours se terminaient tôt au Japon, il y'avait tout de même des activités de clubs ou entre camarades d'une même classe, ne serai-ce que faire les devoirs ensembles. Mais là, personne. Mais à l'approche d'une autre salle, elle vit un des élève au sol et, en s'approchant, découvrit avec horreur qu'il gisait dans une énorme flaque de sang, probablement mort. Elle jura en français.

- Putain de mer...

- Hey ! Toi là, qu'est ce que tu fous ici ?! Va avec les autres !


Claire se retourna en lançant un Petrificus Totalus par reflex et vit donc un homme, armé et portant une cagoule, se raidir subitement avant de tomber au sol dans un bruit sourd, un peu comme si un meuble avait été renversé. Un bruit qui avait probablement résonné dans les étages.

- Merde, merde, meeeeeerde...

Faisant léviter le corps mais laissant l'arme derrière, elle couru dans le couloir jusqu'à rejoindre la salle, essoufflée. Interloquée de voir l'homme entrer les pieds devant en flottant dans le vide, Éva la rejoignit rapidement.

- Qu'est ce qui se passe ? C'est qui ce type ?

- Je sais pas, il était armé et il y'avait un élève mort dans une classe. D'ailleurs, y'a plus personne au lycée !


La jeune sorcière réfléchit rapidement, avant de pénétrer l'esprit de l'homme. Celui-ci, qui ne pouvait que bouger les yeux, les écarquilla soudainement, visiblement souffrant mais ne pouvant exprimer le moindre son. Habituellement, lorsque la jeune fille faisait de la légilimencie, elle veillait à le faire de façon discrète. Mais ce type avait tuer un élève, il n'y avait aucune raison qu'elle se montre douce et saccagea donc son esprit en le fouillant. Au bout de quelques minutes d'investigation, celui-ci commença à saigner du nez et son regard devint vitreux.

- Alors ?

- C'est un mercenaire qui agit aux ordres de quelqu'un d'autre, mais dont il ne connait pas le visage. Ils sont venu ici pour capturer des filles, jeunes et belles et les livrer ailleurs... et éliminer tout les potentiels témoins qui n'auraient pas été sélectionner...


- Et où ont-ils emmenés tout le monde ?

Celle qui avait pris la parole était Zara, une élève récente d'Eva, encore trop peu expérimentée en magie pour pouvoir faire un combat en cas de problème.

- En haut du bâtiment des dortoirs... Bien, voilà ce qu'on va faire. Claire et moi, on va aller s'y rendre, en espérant que Julia et Megane ce soient misent en sécurité et pourront nous prêter main forte. Zara et Jane, vous restez ici, vous êtes pas encore assez expérimenté en magie de combat pour intervenir et vous serez plus en sécurité ici. Si possible, essayez d’appeler la police.

Une fois les décisions prises, Éva et Claire sortirent hors de la salle, lançant des Stupefix aux hommes armés qu'elles croisèrent...
« Modifié: dimanche 07 janvier 2018, 03:56:35 par Éva Granger »

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Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Vol de vies [PV Eva Granger]

Réponse 2 mercredi 02 août 2017, 23:23:49

Plusieurs hommes de mains patrouillent dans les couloirs du bâtiment. Quand les jeunes apprenties sorcières passent sur leur chemin, ils leur lancent des "Hé vous !" des "Arretez ou je tire !" des "On rejoint bien gentiment les autres..." et divers autres ordre avant de se faire cueillir avec violence par les salves magiques. Des détonation silencieuses éclatent d'étage en étage à mesure que les deux lycéennes se rapprochent des dortoirs.

Pendant ce temps la, les deux élèves resté en retrait empoignent leur téléphone et tapent fébrilement le numéro de téléphone de la police. A leur grand soulagement, un agent leur répond. Elles donnent alors l'alerte. Quand elle raccrochent enfin, les deux jeunes femmes pensent que le calvaire sera bientôt terminé. Hélas, elle ignorent que les flics aux standards sont tous vendue à Rachele Florenza, la Reine de la pègre, et que leur appel n'a servi qu'a prévenir les mercenaire sur place de l'endroit où elles sont cachées. Sans qu'Eva le sache, les policiers corrompu indiquent alors la classe où sont cachées les deux jeunes filles à une des équipe d'hommes de main, et pendant que elle et Claire montent les escaliers d'un coté, une équipe d'esclavagiste quitte leurs fourgons pour aller chercher les deux jeunes sorcières inexpérimentés.

Quand elle arrivent au dernier étage, Eva et Claire remarquent un des hommes de main cagoulé accroupie devant un des mur porteurs du bâtiment.  Au pied du criminel, une bombe de qualité militaire prête à être activée à distance par télécommande. Les deux étudiantes réalisent alors toute la monstruosité de celui ou celle qui a ourdit ce plan, ce Max dont Miss Granger a discerné le nom dans la mémoire du mercenaire. Dans le grand dortoir ou tous les élèves sont réunis, Eva et Claire découvrent que de nombreux élèves ont déjà disparu dans la nature. A sa grande stupeur, la sorcière découvre que Julia et Megane ne sont pas là... elles ont déjà été emmenées...

Les autres élèves sont couchées sur le sol en pleurent de peur pendant que les derniers mercenaires se cachent derrière des otages en pointant leurs armes sur le tête.

- Lachez vos armes ! Un seul geste et on tire !

Cris leur chef.
« Modifié: mercredi 02 août 2017, 23:44:34 par Rachele Florenza »

Éva Granger

Humain(e)

Re : Vol de vies [PV Eva Granger]

Réponse 3 jeudi 03 août 2017, 00:14:32

Progresser dans les couloirs ne fut pas une mince affaire. Les deux jeunes filles avaient un peu l'impression d'avancer au milieu d'une base remplie de terroristes. Chaque fois qu'elles croisaient un homme armé, elles lançaient des sorts pour les immobiliser, allant du Stpefix au Petrifucus Totalus, en passant par l'Incarcerem. Lorsqu'elles sortirent dans la cours pour rejoindre le dortoir, elles furent accueillit par une salve de tirs et durent se protéger avec des Bouculiesus, la version physique du Protego, avant de répliquer avec des Vertemillious, des cages magiques électrifiées, sur les groupes de mercenaires.

- Ma parole, c'est toutes une milice qui attaque le lycée. Pour un peu, on se croirait en zone de guérilla !

- Ça va être coton pour expliquer aux forces de l'ordre comment deux ado comme nous ont pu leur tenir tête...


Éva disait ça en voyant les policier entrer dans la cours. Mais à leur grande surprise, ils se mirent à faire feu vers elles et durent se protéger de nouveau des tirs. Avec horreur, elles réalisèrent que les flics étaient du coté des mercenaires, qu'ils attaquaient de leur propre chef les lycéennes. Si même les forces de l'ordre étaient contre les citoyens, envers qui pouvaient-elle faire confiance ? Présenter comme ça, c'était soit comme si le gouvernement avait pété un câble et s'en prenait délibérément aux citoyens, soit comme si les criminels étaient montés au pouvoir. Elles perdirent donc un temps fou à les neutraliser, avant d'enfin réussir à entrer dans le dortoir. Elles grimpèrent donc quatre à quatre les escaliers jusqu'à l'étage le plus haut et foncèrent vers le salon commun... et s'arrêtèrent net en voyant une bombe activable à distance ainsi que les élèves pris en otage.

- Lâchez vos armes ! Un seul geste et on tire !

Les deux sorcières se regardèrent brièvement, avant de regarder de nouveau le chef des mercenaires et de lâcher leur baguette en même temps. Toutefois, si Claire était l'élève la plus douée d’Éva, ce n'était pas non plus pour rien. En informulé, elles lancèrent toutes les deux un sort. Celui de Claire eu pour effet de réduire la bombe à la taille d'une bille, tandis que celui d’Éva, désarma les hommes, leurs armes leur échappant des mains et s'envolant par la fenêtre. Avant qu'ils ne puissent réagir, elles appelèrent leur baguette à elle et ces dernières retournèrent dans leur main avant même d'avoir touché le sol, désormais pointées vers eux, renversant totalement la situation. Celui qui était chargé de la bombe croqua dans une capsule de cyanure, mais elles purent neutraliser le chef des mercenaires avant qu'il puisse en faire autant.

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Rachele Florenza

Humain(e)

Re : Vol de vies [PV Eva Granger]

Réponse 4 vendredi 04 août 2017, 18:51:24

Interloqués, stupéfait par les pouvoirs magiques des deux jeunes femmes, les hommes de main et leur chef ne réagissent même pas quand les sorcière se mettent en action et se font cueillir par leurs sorts.
Dans l'assistance, c'est la surprise totale et la stupéfaction, rapidement suivie des vivas et des acclamations de la foule d'étudiants et d'étudiantes qui remercient leurs deux héroïnes.

Trop sonné pour penser à utiliser sa capsule, le chef des mercenaires, un certain Alerandro se retrouve à la merci des sorcières et de leurs amis. L'orgueil blessé et honteux d'avoir été vaincue par de jeunes ados. il crache par terre et dit à Eva d'un ton dédaigneux et pointant sa baguette:

- Alors ça sert à ça cet étrange joujou qu'on a confisquées à tes deux copines ? Heureusement qu'elles ont pas eu le temps de s'en servir, avant qu'on les drogue...

De toute évidence, il parle de Julia et Megane. Les pauvres sorcières n'ont pas eu le temps de se défendre ou de se battre, de prouver de quoi elles étaient capable avant de subir le même sort que les autres.

- C'est trop tard pour elles... Elles sont déjà entre les mains de Max, ça me surprendrait beaucoup qu'elles soient encore capables de faire vos truc bizarre quand elle en aura fini avec elles...

--- Plus tôt au repère de Rachele ---

- Le premier convoi vient d'arriver Boss.

Dit le chauffeur à la femme en robe crème, portant de superbes bottes montantes et des gants de cuir noir. Les portes arrière du fourgon s'ouvrent et deux autres hommes de main en sortent et tirent vers eux quatre valises. Ils les ouvrent pour montrer le fruit de leur "pèche" à la mafieuse.

- Que quatre filles ?

Répond Dona Florenza en plissant les yeux. Très vite, l'esclavagiste retire sa cagoule et la presse entre ses mains en signe de respect et de peur.

- C'est que... Boss... yen a deux qui sont bisare, quand on les a droguées, elles ont résisté  très longtemps et elles ont tenté de se servir de ça pour se défendre.

Ajoute t'il en lui tendant les baguettes des deux jeunes sorcières. Rachele les prend dans les mains et les observe en haussant un sourcil, dubitative. Puis elle regarde Julia et Mégane qui commencent à émerger douloureusement de leur sommeil narcotique. Les deux jeunes femmes sont belles et bien faites, combative en plus au vue des objets dérisoire avec lesquelles elles comptaient se défendre.

Une nouvelle idée germe dans sa tête et elle empoigne les deux baguettes pour les ranger entre ses seins. Elle lance alors aux deux jeunes femmes un regard pervers et malicieux.

-J'ai une petite idée de ce que je vais faire avec leurs jouets. Préparez les toutes pour le conditionnement, mais je vais m'occuper de ces deux la personnellement...

Les hommes de main acquiescent et entraînent les jeunes femmes vers le laboratoire de l'Asylum...

Quelques minutes plus tars, à mesure que Megane reprend connaissance, elle sent une étrange sensation envahir son bassin, un subtile mélange de douleur et d'excitation. Quand elle essai de bouger les bras ou les jambes, elle réalise qu'elles sont incarcérées dans une sorte de machine qui l'immobilise totalement.
Quand elle parvient enfin à faire le point et que sa vision se stabilise, elle découvre qu'elle est dans une pièce insonorisée aux murs blancs et métalliques.



En face d'elle, harnachée de la même façon, Julia dors encore. Mais avant de pouvoir lui parler, à nouveau elle sent cette étrange douleur lui traverser le bassin et irradier dans sa vessie, une étrange vague de plaisir et d'excitation suit et l'émoustille. Elle baisse le regard vers sa jupe d'écolière relevée et découvre avec horreur qu'une femme, élégamment vêtue, est en fait en train de lui pénétrer l'urètre du bout de sa propre baguette lubrifiée avec un gel épais et blanchâtre, pour la lui enfoncer jusqu'à la vessie et faire de petits aller-retours.

-Bonjour esclave, tu as bien dormi ?

--- Pendant ce temps là au Lycée ---

Eva tient le chef des esclavagistes entre ses mains, mais le temps lui est compté, car partout les alarmes du lycée ont commencé à retentir et depuis les fenêtres du dortoirs, elle remarque de vrais voiture de police commencent à arriver.

Surpris de voir le travail déjà fait, ils commencent par arrêter les hommes de mains assommés et entrent dans le bâtiment, dans quelques minutes, ils arriveront au dernier étage et ils embarqueront le chef des hommes de main sans qu'il n'ai encore rien dit sur la raison et l'origine de l'attaque...


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