Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Récit d'un chevalier qui a tiré une étoile (PV : Almarik / Edrusba)

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Edrusba Snes-non

Dieu

Le soir tombait, le feu se lançait et le repas les accompagnait, quoi de mieux ? Elle mangeait sa part bien plus légère que la sienne, déjà car son appétit était moindre, puis, car elle pensait à bien d'autres choses. Le serpent n'était pas le problème, elle aurait pu le manger cru, mais elle préférait regarder le ciel, les nuages. Parfois se poser avait un coté relaxant, pour une déesse qui n'avait rien d'autre à faire dans la vie, que perturber les vivants et les morts, c'était pas mal de se poser. Elle sentait parfois son regard, ou ses caresses, elle l'observa un peu, voulait-il la baiser dès le premier soir ? L'idée lui venait bien sûr de ce qu'il avait osé lui faire faire un peu plus tôt avec le cheval. Elle ne comprit pas spécialement pourquoi il la collait à lui, elle n'avait pas vraiment froid et le tissu de sa robe semblait plutôt épais et lourd, après tout ce n'était pas de la soie ni de la laine. Elle sentit la brise et y resta assez indifférente, seuls ses cheveux s'agitèrent un peu peu, collée contre lui elle l'observe encore. Elle ne parvenait pas à le comprendre en fait, Claire était intriguée, hésitait-il à lui donner des ordres ? Ça ne serait ni le premier, ni le dernier, mais vu ce qu'il avait fait tantôt il devait préparer un truc. Il allait surement l'utiliser comme chauffage dans la tente, en avait-il seulement une ?

Almarik

Humain(e)

Au clair de la lune, mon amie et moi allions nous prêter notre chaleur pour passer une bonne nuit. J'avais plutôt la sensation que tu n'avais pas spécialement besoin d'être entretenue. Pour ma part je commençais à greloter, depuis que mon équipement avait été perdu lors d'un pari perdu, moi je n'avais pas dormi sous les étoiles. Ça allait malheureusement être le cas. Je me collais alors, ma petite tête blondinette contre ton corps qui me paraissait brûlant de lui même. Comme si la nourriture t'avais permis d'allumer un gros brasier en toi. Au terme de la soirée ce fut au creux de ton corps que Morphée fini par venir me chercher, et au petit matin j'étais tout frais comme un gardon, le cheval s'étant approché un peu du feu durant la nuit. Au final je redressais mon corps en allant ensuite déplié la carte, baissant la tête et me frottant les yeux pour faire sauter les crottes occulaires. Le temps était à la brume. Autant dire que la mâtiné allait être éprouvante. Nous nous reposerions à l'auberge quelques temps afin de réunir les objets nécessaire à la poursuite d'une aventure digne de ce nom. Un début de tente serait nécessaire. Pendant que je passais en revu ce qu'il allait falloir faire dans ma tête je t'ordonnais de préparer la monture, et de le féliciter d'être resté sage, comme hier, en utilisant ta petite langue. Une fois cette interlude terminait nous reprîmes le voyage à travers les brumes, arrivant en fin de matinée dans un village, je nous fis rejoindre l'auberge la plus proche avant de te mettre au boulot, te prenant à part

"Bon, sois une gentille fille et rapportes nous de l'argent, je vais aller chasser, j'en ai pour quelques jours avant de trouver ce qu'il nous faut et pour terminer de faire nos stocks de nourritures. "

Rapidement je t'expliquais la rapine mais comptais plutôt sur toi pour offrir ton jeune corps frais dans la rue ou les bois contre quelques pièces. Le calvaires que tu subissais durant ma partie de chasse et pêche me désintéressais, lorsque je revins j'achetais immédiatement des armures en peau, fis affûter nos lames et surtout, acheter une scelle, j'avais réussi à récupérer des peaux pour une tente de fortune avec quelques bonnes branches pour monter et démonter la "tente".

Au final, quatrième jour, je te fis montais à cheval et parti enfin à plein galot avec toi, nous allions passer plusieurs semaines ensemble désormais.

Edrusba Snes-non

Dieu

Offrir son corps ? Elle resta encore choquée, il lui annonçait cela de bon matin comme c'était la chose la plus normale à faire en ville. Elle resta surprise, l'écouta donc et soupire un peu, elle devait lui obéir, mais elle restait intriguée de cette façon de traiter une jeune femme. Elle pensait qu'un grand solitaire comme lui aurait voulu la baiser encore et encore, mais non... Bref, elle alla voir le cheval, le caressa doucement et comme hier lui offrit une fellation, elle avait cependant retiré sa robe et l'avait mise sur le dos du cheval. Histoire de ne pas arriver en ville avec du sperme équin sur les habits, ça ferait tache... Elle prit le gros membre en bouche, s'enfonça un peu et mit finalement bien plus d'effort qu'hier pour son travail. Elle n'en semblait pas dégoutée, elle trouvait fascinant de devoir faire cela comme si c'était un travail normal.

Après tout elle n'était pas expertes sur les relations humaines, mais si elle pensait devoir sucer une bite, ce n'était surement pas celle du cheval au petit matin. Elle termina donc son affaire, recrachant tout le foutre épais et brulant de l'étalon, le gout était inadmissible. Puis elle alla se laver sommairement et remit sa robe, elle n'avait pas de dessous à porter. Elle se prépara pour la route et monta avec lui, direction l'auberge. Il n'avait rien tenté sur elle cette nuit, ce qui la surprenait un peu. Elle hausse les épaules, écoute les conseils et va donc en ville avec lui, enfin un petit village plus qu'une ville. Elle soupire et s'éloigne alors de lui. Après tout elle devait ramener des pièces, autant dire que si elle n'avait pas bridé ses pouvoirs elle aurait fait pleuvoir les pièces... mais là... Elle finit bien par trouver deux trois gars, leur annonça le prix et alla dans des ruelles, les bois, l'écurie. Elle eut une longue journée et fatigante qui plus est pour son petit corps humain...

Elle fit son boulot, et au dernier jour gagnant même un supplément pour avoir couché avec deux chiens devant des pervers dans un bar... L'horreur, mais bon ! Elle donna les pièces à son proxénète pus monta à cheval, contente quand même de voir qu'ils avaient une tente à présent !

- Au fait maitre, pourquoi me faire vendre mon corps ? Je vois que ça rapporte, mais... c'est très fatigant...

Almarik

Humain(e)

Et dire que c'est moi qui ai passé mes journées à transpirer, à suivre des pistes pleines de crottins mais au final c'est elle qui pue, c'est tellement absurde. (Déesse de l'absurde... n'est-ce pas ?) Bon, finalement tout à bel et bien était récupérer, autant dire qu'il allait falloir te récompenser allègrement. Une fois en selle je te laissais marcher à côté, cinq pas derrière le cheval, ton odeur étant trop désagréable et je ne voulais pas risquer d'abimer la selle de façon irréversible...Le genre de tard qui fouette jusqu'à la fin du voyage. Heureusement pour nous, l'odeur allait nous quitter bientôt. En effet il y avait quelques petits ruisseaux en contrebas. Après t'avoir vu t'effondrer une ou deux fois sûrement à cause du manque de sommeil je finis par descendre de selle et part te soulever, faisant grimper ton corps puant le foutre sur mon dos, tant pis. Ça n'aura pas été la première fois que je paie ma gentillesse. Après quelques heures supplémentaires de marche, la lune fini par dévoiler le ruisseau, tout proche. On l'entend qu'au bout de trente mètres supplémentaires. Sans te menager je jettais ton corps à la flotte, froide, glacé plutôt...mais je me disais que cela irait pour toi.

"Frottes, partout...hors de question qu'il ne reste une seul trace de semence sur ton corps!"

Le feu de la torche permis d'allumer un feu de camp qui t'accueillerait au besoin, moi je nettoyais ensuite mon armure et mes vêtements avant de te rejoindre dans l'eau. Effectivement, j'eu des frissons instantanément, comme de petits piques cherchant à me pousser loin de l'eau, mais j'avais besoin de me laver, tout ce temps remplie de crasse, ce n'était vraiment pas bon pour le moral.

"Bon, tu peux approcher, ton odeur n'est pas...trop immonde maintenant'"

Pas de savon ni de parfum, juste un coup d'eau sur le visage en dernier ressort avant d'installer un véritable camp, et une tente en pleine nuit c'est pas facile. Je finis par entrer sous les peaux et à poser mon corps à l'intérieur, sans manger.

"Avant que tu demandes, oui...tu peux venir et oui, ce soir tu vas être prise...encore...trop de temps sans catin me mets de mauvais poil le matin. "

Edrusba Snes-non

Dieu

C'était froid ! Horriblement froid, le choc thermique aurait pu la tuer ! Visiblement l'intelligence de certaines personnes était vraiment limitée. S'il pensait qu'il faisait une bonne affaire avec cela... Elle soupira et se leva donc, visiblement cette humaine était idiote, tout simplement idiote, ce qui pour cette époque devait être dans la norme. Elle soupire un peu, se lave tranquillement, c'était un ruisseau, pas de quoi se baigner, et toute la crasse était emportée au loin et sera recyclée par la nature. Elle ne demanda rien à Almarik, rien du tout, se lava entièrement sans pudeur et puis le voit partir vers la tente, grand bien lui fasse. Il la prendra quand elle dormira, car elle n'avait aucune énergie pour rester éveillée plus longtemps. Elle rentra dans la tente à poil, laissant ses habits sécher puisque l'abruti l'avait jetée à l'eau habillée. Elle se coucha dos à lui, ça ne l'empêchera pas de la prendre, mais au moins elle n'aura pas à le fusiller du regard toute la nuit. Car il était bien moins original et amusant qu'elle ne l'avait espéré.


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