Une rencontre impromptue.

La terre, un endroit mortellement chiant ! Érika en était persuadée à présent, il n'y avait pas grand-chose à y faire, sauf éventuellement enquêter sur des lieux louches à souhait. Comme dans cette école où elle avait trouvé une étrange réserve de matériel prévenant certainement de Terra. Et il lui semblait évidemment que ça pouvait même être une affaire rentable ! Mais bon elle n'avait pas encore trouvé la force de se renvoyer sur Terra pour le moment, et n'avait pas contact à qui vendre tout ce qu'elle y avait déjà voler. Bref c'était donc un peu blasé qu'elle entrât ce soir dans un bar, elle ignorait même dans quel quartier elle était, bon ou mauvais pour elle de toute façon... Ça ne voulait rien dire, mais au moins l'ambiance était sympa.

Dans ce bar il ne semblait y avoir que des habitués, à une ou deux personne près elle les pensait tous en groupe. Car oui, son éducation dans l'armée avait fait d'elle une sentinelle vigilante qui sait où se poser. C'est ainsi qu'elle prit une place sur les tabourets proches du comptoir, ceux encore libres et visiblement réservés aux moins habitués. Érika ne cachait en rien son apparence militaire, pantalon gris renforcé, veste à lanières très utiles avec plein de poches... En pluies de ça, elle était tatouée sur les deux bras et sans doute encore plus loin. On aurait pu la prendre pour une militaire de ce monde, si ce n'était que ses couleurs ne répondaient à aucune armée officielle... Et le plus vraisemblable serait qu'elle soit juste déguisée pour s'amuser.

Enfin ça c'était, car elle planquait ses armes ailleurs, faute de pouvoir se promener avec sans se faire interpeler tous les dix mètres. Bref, elle commanda un Bloody Marry et observa le type à sa droite, toujours avoir du coté le plus fort le type qui semble le plus étrange... Règle de survie personnelle. Bref sa commande trainant un peu elle ne manqua pas de reluquer le type à côté d'elle. Ce n'est pas tout les jours qu'elle croisait un homme avec de si longs cheveux, il était grand, mais pas étirer pour autant. En plus il portait des grosses bottines comme elle, le plus surprenant c'est qu'en fait... ça semblait être fabriqué selon le même modèle que celui de l'armée Tekhane, mais elle devait voir ça partout à force de trop y penser.

Tout aurait pu se stopper là, quand elle nota une présence sur le dos de cet homme, caché sous la veste, elle ignorait quoi, mais ça devait être grand et dur... Et ce n'était pas son pénis tendu vu l'emplacement ! Elle recu sa commande et fit signe au barman de resservir ce bel inconnu. Un moyen simple d'attirer son attention si elle ne l'avait pas déjà. Elle était presque certaine qu'ils avaient plus que de grosses bottines en commun, à commencer par ce qu'ils cachaient en arme sur eux... Enfin elle n'en avait pas de visible cependant.

- Pour toi l'ami, en l'honneur de Sergeï Ivanov !

Ce nom ne disait sans doute rien au terrien, mais pour ceux qui avaient entendu parler de l'armée Tekhane c'était un scientifique réputé en mal pour ses expériences malsaines... L'idée était ici de subtilement voir s'il était de ce monde ou non, mais il se pouvait aussi que le nom ne lui dise juste rien du tout. Après tout à moins d'avoir connu les guerres avec les Tekhans ou d'avoir été vivant à cette époque il semble peu probable qu'il en ait entendu parler. Dans les faits, soit il ne comprendrait pas et tout ira bien, soit il comprendra et elle aura la certitude qu'il vient de Terra et est plus voeu qu'il le laisse paraitre. Et dans le pire des cas il demandera qui c'était et elle pourra lui raconter un joli petit mensonge pour désarmer la situation.

Coin nord
-Non mais ta gueeeeeeule. L'anal, c'est mieux ! J'te jure mec, l'anal c'est...
-Qu'est-ce que t'en sais pauvre puceau !?
-Puceau, mais je fourre pas mon pénis partout, dans toutes les chiennes en chaleur ! Ahahaha...
-Ta mère, elle était en chaleur ?
-Répète que j'te fasse avaler ton verre...

Coin sud
-Je devrais reprendre mon job de mercenaire...
-Qui ? Toi ? Tu poignardes les ennemis dans le cul, et tu te prends pour un mercenaire.
-Je n'avais pas mes lunettes. Mais ta gueeeeeeele.
-Mais tu portes pas de lunettes.
-Justement, j'aurais du en avoir.

Coin est
-Satan il existe pas ! Satan il existe pas !
-La chatte à ta sœur, elle existe plus elle.
-Sale fils de pute ! C'est quoi le rapport ?
-Les deux accueillent à bras ouverts tout c'qui...
*sbaf*

Et voilà, c'était en gros l'ambiance qui régnait dans ce bar, je n'avais pas envie de vous parler des mecs du milieu qui s'étaient livrés à une compétition de "Qui a la plus longue...", parce que selon moi, c'était carrément mais, grave immature. Il n'y avait rien qui me plaisait dans ce bar, sinon le vin qui s'avérait être une vraie merveille. Chaque fin de semaine, c'était pour moi un vrai plaisir de me retrouver ici, en compagnie de ce bon vin. La seule chose désagréable ici, c'était ces gros ivrognes qui se livraient à des discussions pathétiques, et quand ils sortaient, il criaient haut et fort:

-Ce fut un beau débat...

Mais wtf ? Si je n'étais pas un amoureux du vin, jamais je ne mettrais un pied dans un lieu aussi pourri. Et pour tout vous dire, chaque fin de semaine, je venais ici tout en priant qu'un jour, l'un de ces balourds viennent me tapoter l'épaule pour que je lui aplatisse le visage contre la paroi de la pièce. Ce serait injuste, je sais. Mais, j'étais bien plus fort et capable de tous les mettre au tapis d'une seule main. Comme on le dit souvent: Le pouvoir ne peut être innocent. Parmi toutes ces bêtes dans la salle, on pouvait clairement voir un mec qui adoptait un comportement calme...un mec ? Peut-être, mais son cul bien arrondi sur le tabouret me disait clairement qu'il s'agissait d'une meuf; toutefois ses tatouages et ses vêtements ne donnaient pas cette impression...Elle ne pouvait s'empêcher de me reluquer, et je commençais à me demande pourquoi. J'étais beau, ça, aucun doute, mais était-ce vraiment pour cela qu'elle se perdait à me dévisager de la sorte ? Je jetai un coup d'œil en sa direction. Elle avait d'assez longs cheveux, des tatouages qui affichaient un caractère plus violents qu'autre chose...Quoi ? On ne juge pas les gens selon leurs tatouages ? Mais, franchement, elle s'était pas fait tatouée de petits canards non plus...Je ne saurais vous parler de sa poitrine. Elle devrait être petite mais paraissant inexistante à cause de ses vêtements. Mais, son cul, plutôt sexy. Tiens, elle me donnait une raison de la reluquer du coup...

- Pour toi l'ami, en l'honneur de Sergeï Ivanov !

Elle venait tout juste de m'adresser la parole alors que le barman venait de faire glisser un verre juste en face de moi. Lentement, j'avais pris le verre, en la regardant une nouvelle fois, esquissant un petit sourire. Je portai le verre à ma bouche, buvant une gorgée puis déposant le verre sur la table, je me retournai complètement en sa direction sur mon tabouret.

-J'ignore de qui tu parles. Mais bon, merci pour ce verre...

Je jetai un bref coup d'œil autour de moi, puis j'avais reporté mon attention sur elle.

-Que viens-tu chercher dans un tel environnement ? Moi, c'est pour le vin...Oh et en fait, Helden.

Je venais de débuter une conversation avec elle. J'aurais pu l'ignorer, mais elle m'avait offert un verre, c'était un geste amical et malgré mon caractère froid, elle me semblait cool et ne comptait pas parmi les filles superficielles que j'ai pu rencontrer jusqu'ici.

Oui le bar était bruyant, plein de gens souls discutant de choses sans importance, surtout pour elle. Non la seule chose qu'elle avait regardée était l'homme qui faisait tache dans le paysage du comptoir. Celui qui comme elle n'était ici que pour peu de temps dans le but sans doute d'oublier un truc. Elle ignora donc les cris et disputes se concentrant sur l'être à ses côtés, elle avait du mal à lui donner une identité précise. Il était surement armé, grand et fort, un mercenaire en liberté ? Sur terre ? Il faisait fort costaud pour un terrien. Par contre elle adora son regard qui parcourut tout son corps, il fixait souvent ses fesses sans doute, car c'était tout ce qu'elle laissait paraitre de féminin. En tout cas il avait accepté le verre, elle n'afficha pas de sourire pour autant, juste un air complice tendit qu'il répondait à sa question. Il venait donc de confirmer qu'il n'était sans doute pas de la même époque qu'elle. Enfin il lui posa aussi une question, elle le fixa alors droit dans les yeux un moment, avant de répondre tout à fait neutre.

- Je viens me vider la tête, j'ai pris le premier bar venu.

Puis elle but son verre cul sec et en commanda un autre, le même, elle adorait ces cocktails à la tomate. Elle observa donc le gars et lui dit alors en toute franchise :

- Au fait, ce n'est pas trop lourd cette arme sur votre dos, une épée non ?

Entrainée elle se doutait bien du type d'arme, ce qu'elle voulait faire était savoir pourquoi il avait cela ici, sur terre... Une façon simple de lui demander ce qu'il fait dans la vie aussi, bien que sur terre il serait difficile de justifier cela... ça sera surement amusant d'avoir sa réponse, mais en même temps elle ne le regardait pas sérieusement, juste l'air de dire : "j'ai vu ton arme, et elle n'a pas sa place ici, pas vrai ?"

Je n'aimais pas du tout l'ambiance qui régnait en ces lieux. C'était pas du tout mon genre tout ce vacarme, c'en était trop, et si ce n'était pas la compagnie de cette bien étrange demoiselle, je serais déjà hors de ces lieux assis sur une branche, ou sur le toit d'une maison; histoire de nourrir ma solitude, qui paradoxalement, était mon seul et vrai ami. D'ailleurs, le bruit n'était pas en soi un problème, mais toutes ces niaiseries putain ! Aucune des discussions qui se déroulaient dans ce bar n'était sensée, certains parlaient de sexe...D'ailleurs, pour tout vous dire, la plupart des discussions étaient basées sur le sexe. Le sexe faisait son petit chemin partout, dans n'importe quel univers, peu importe le niveau de l'éducation. Mais, même en papotant sur un sujet aussi délicat et sensuel, ces ivrognes trouvaient une façon de mettre une once d'insipidité dans chacun de leurs propos. Ils me dégoutaient. Mais bon...Au moins, j'avais cette fille juste en face de moi, et sa compagnie n'était pas du tout désagréable.

- Je viens me vider la tête, j'ai pris le premier bar venu.

Elle avait répondu à ma question, une réponse simple mais complète. D'ailleurs, on était ici pour à peu près la même raison. Je la regardais, la fixant droit dans les yeux. Elle me semblait froide, et surtout impénétrable. Impénétrable, dans un sens. Mais j'étais persuadé que dans l'autre sens, elle faisait parfaitement l'affaire, si vous voyez c'que j'veux dire. Elle me fixait également, nos regards ne cessant de s'entrechoquer. Soudain, elle me questionna sur mon arme:

- Au fait, ce n'est pas trop lourd cette arme sur votre dos, une épée non ?

J'esquissai un petit sourire tout en tournant la tête sur ma gauche puis lentement , j'avais repoussé mon manteau sur un coté et elle pouvait voir mon épée enfouie dans son étui en métal, une très longue épée, faisant presque ma hauteur. Elle était longue mais pas si large que ça, toutefois elle était assez tranchante pour trancher une voiture en deux, et ceci, facilement. Je reportai mon attention sur la fille juste en face de moi, laissant retomber mon manteau.

- Si, si, elle est lourde...Mais bon, disons que je ne suis pas de cette planète donc, ce qui pourrait être lourd pour un Terrien ne l'est pas pour moi.

Je repris le verre posé sur le comptoir, et je le vidai d'un trait. Je n'allais pas en commander un autre, alors je l'avais posé là, poursuivant la conversation.

-Comment t'appelles-tu ? Et surtout, écoute, te gêne pas...Tu peux me tutoyer. Tu viens me sauver d'un ennui mortel, donc y a pas de mal à ça.

Je la reluquais une dernière fois, particulièrement la seule partie de son corps qu'elle avait du mal à cacher sous ses vêtements de militaire, son cul. D'un geste de la main, je remis derrière mon oreille une mèche de cheveux qui venait me troubler la vue. Pour moi, il n'y avait qu'elle dans la salle, et progressivement, les autres idiots s'effaçaient.

Erika avait donc là un compagnon d'infortune coincé elle aussi dans ce monde avec ces ploucs sans intérêts. Lui aussi devait vraiment s'ennuyer pour trainer par ici, mais il n'était pas une menace pour elle, sans doute car tous deux n'avaient aucune raison de s'affronter ici, sur terre. Tous deux venaient d'ailleurs, mais lui n'en avait sans doute encore aucune idée. Elle l'observa dévoiler son épée et la reluqua avec un petit sourire, une grande arme qui lui plaisait beaucoup. Non pas par son côté phallique, ou le message qu'elle pouvait transmettre... Non, c'était du beau métal, et surtout une arme de qualité qu'elle se voyait bien utiliser aussi un jour.

- Pour un terrien ?

Elle eut un sourire qui en disait long, comme si elle venait de voir son intuition se confirmer. Mais peut-être était-ce là quelque chose de volontaire de sa part, non ça devait l'être ! Elle sourit doucement, termina son nouveau verre pour s'en libérer. Puis sentit sa tête tournée un peu, beaucoup trop de vodka dans ces verres.

- Erika, et si tu veux on pourrait sortir d'ici que je tâte un peu ton épée ?

Elle sourit, ce n'était pas à double sens loin de là, elle semblait tout emportée à l'idée de tenir en main ce grand bout de métal. Sentant toujours son regard elle sourit un peu cette fois, puis eut une idée qu'elle lui lança sans détour :

- On se fait un duel dehors ? Épée uniquement, j'éviterai de te couper en deux bien sûr... Et si tu me bats, je suis à toi pour la nuit...

Puis comme il devait s'en douter, il y avait un contre parti à offrir et elle proposa donc :

- Bien sûr si je gagne... je prends ton épée !

Je ne m'ennuyais plus, il y avait cette fille qui me tenait compagnie, et comme je l'avais dit précédemment, le monde autour de moi s'effaçait petit à petit. Surtout que, malgré moi, je ne cessais de la reluquer. Eh non, elle n'était pas particulièrement canon comme plusieurs autres que j'ai pu rencontrer avant elle, mais c'est justement son petit corps qui attisait ma curiosité. Ma curiosité ? Ou ma perversité ? Peu importe...L'important c'était le fait que cette fille en face de moi avait pu retenir mon attention et ne rendait pas la conversation monotone. C'était tout ce qui m'intéressait, enfin, pour l'instant...

- Pour un terrien ?

M'avait-elle lancé, comme si elle voulait connaitre ma race. Un petit rictus se dessina sur mes lèvres, elle était bien curieuse dis-donc. Mais cela ne me dérangeait aucunement. Je n'avais rien à craindre d'elle, elle ne me semblait pas si dangereuse que ça. Pour tout vous avouer, elle me paraissait dangereuse, mais pas assez pour m'effrayer. Je ne cherchais aucunement à me vanter de mes capacités mais, depuis mon retour sur Immacula, j'avais découvert une qu'il y avait une source d'énergie et de puissance cachée au plus profond de mon être. Jusqu'à date, j'avais choisi de me limiter dans son utilisation car selon certains dires, la libérer reviendrait à libérer un titan, et surtout qu'il y avait des effets secondaire très néfastes à ma santé.
Le rictus sur mes lèvres, je lui lançai sur un ton amusé:

-Dis-donc, tu veux tout savoir sur moi aussi rapidement ? On est deux à vouloir "explorer" l'autre...

J'ignorais si ma phrase avait une toute autre signification, mais rassurez-vous, il n'y avait rien de pervers dans mes dires ! Enfin, un peu...un tout p'tit peu quoi. Finalement, ouais, ma phrase, elle voulait dire un paquet d'trucs. Ceci dit, il ne s'agissait pas d'un péché alors je pouvais me permettre de pimenter notre conversation. Une nouvelle fois, elle me questionna:

- Erika, et si tu veux on pourrait sortir d'ici que je tâte un peu ton épée ?

Elle m'avait dicté son nom et par la même occasion, elle m'avait demandé de toucher mon épée. Décidément, elle aimait trop les armes cette petite. Sans plus tarder, je m'étais relevé du tabouret, et passant au niveau de ma nuque, j'avais sorti l'arme que je plantai au sol devant moi, fissurant le plancher du bar. Tous les regards se portèrent en ma direction, alors que mon attention n'était que pour la blonde en face de moi, qui de par sa curiosité, commençait à m'amuser. Je n'avais pas eu le temps de refuser sa demande...Eh oui, j'allais refuser. Elle poursuivit:

- On se fait un duel dehors ? Épée uniquement, j'éviterai de te couper en deux bien sûr... Et si tu me bats, je suis à toi pour la nuit...

Je m'approchai d'elle lentement, l'épée trainant au sol derrière moi. Arrivé à quelques centimètres d'elle, je pris la parole:

- Me couper en deux ? Ne t'en fais pas...Je gagne, et ce soir c'est moi qui vais te couper en deux, Erika.

Aussitôt, je pris la route de la sortie tout en prenant le soin d'écouter ce qu'elle avait à dire concernant la perte de mon épée si je venais à perdre ce combat. C'était assez amusant, mais je ne répondais pas. Je me tenais sur le seuil de la porte et lui faisant un signe de la tête, je lui invitai à venir.

- Je voudrais bien passer à l'étape ou t'es à moi...Pourquoi perdre notre temps à nous affronter ?

(HRP: Si le combat a lieu, voilà le tableau   )

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

VS

Elle aimait jouer avec le feu, mais dans le fond ce n'était que poudre aux yeux, car elle ne risquait rien de grave, mourir ? Et après ? Elle reviendrait et ce serait tout, mais pour le moment elle attendait voir ce que proposait son partenaire d'un soir. Enfin ça non plus elle ne le savait pas, un soir, deux, peut-être quelques semaines s'il est sympa et utile au combat. Et le mieux pour savoir cela était de l'affronter pour se faire un avis, et il ne semblait pas contre cela, si ? Elle le vit donc se lever et planer l'épée dans le sol, voilà qui était peu discrêt, maintenant les poivrons prenaient peur et créent encore plus fort ! bref l'artiste se dit-elle en soupirant intérieurement. L'arme était grande, presque autant qu'elle en fait, une admirable épée qu'elle avait hâte de tripoter !

Toujours amusé quand même elle l'écouta parler de la couper en deux, il ignorait à quel point cela pouvait lui plaire comme idée. Car elle n'en avait pas peur, elle était même prête à tester sa réaction une fois qu'il l'aura coupée en deux. Sortant avec lui elle repoussa le badaud qui menaçait d'appeler la police. Et une fois dehors elle l'écouta encore souriante, il voulait rater le meilleur morceau de la soirée ? Elle sourit en soupirant et lui lança :

- Même pas en rêve, le combat c'est le meilleur morceau de la nuit...

Puis elle lui fit signe de venir direction une ruelle déserte et humide, froide, sombre... Un vrai coupe-gorge pour des humains, mais surement pas pour eux. Elle se retourna alors face à lui et tendit une main devant elle, puis une lumière blanc orangé se changeait en arme, une claymore acérée à deux tranchants. Elle la prit en main adroitement, d'une seule main, et invoqua une épée longue dans sa seconde main.

- Ne me sous-estime pas, mais j'ai envie de briser l'ennui.

Elle garda les lames en main et les pointa vers lui avec une force qui éclairait bien sûr son côté inhumain...

- Si je gagne, t'es mon sbire pour quelque temps, disons un mois terrien. Si tu gagnes je suis ton sbire personnel pour la même durée, t'en dis quoi ?

Elle sourit un peu, elle était une femme combattive qui voulait voir ce que pouvait faire ce gars, elle n'avait rien à perdre après tout, et si elle gagnait c'était que du bonus. Elle attendit donc qu'il soit prêt, puis chargeait vers lui prêt à le tailler en pièce préparant un joli "x" avec ses épées.

[Hrp : bien sûr le but est pour moi de perdre et être à ta botte ! donc, fais-toi plaisir sur le combat.]

Tout cela prenait une tournure assez intéressante. Avec une telle facilité, cette jolie jeune fille avait fait disparaitre mon ennui, en plus de cela, mon taux d'adrénaline bouillonnait et ne cessait de s'accroitre. Sa proposition m'avait fait sourire, mais elle ne semblait pas non plus être une proie facile. Elle semblait être une guerrière, une vraie, une fille qui ne se laissait pas facilement marcher dessus. Et par dessus tout, elle avait un amour pour les armes blanches, et particulièrement pour mon épée. Et, j'allais lui offrir la chance de pouvoir la posséder, car pour tout vous dire, si elle remportait ce combat, je n'hésiterais pas à lui remettre mon épée. J'étais un homme loyal, un homme de parole. Et j'espérais qu'elle allait faire de même si toutefois j'arrivais à la mettre au sol, le but n'étant pas de blesser son adversaire mais de prouver sa supériorité.

Sans plus tarder, elle me devança en m'invitant à la suivre dans une ruelle qu'on qualifierait de déserte, il y avait pas mal de maisonnettes mais toutes probablement abandonnées.  Je ne me fis pas prier alors d'un saut, je retombais au milieu de la ruelle, tenant d'une main ferme mon épée dans ma main droite. On avait laissé le bar ainsi que tous les balourds qui se trouvaient en son sein. Il s'agissait là d'une autre étape qui, peut-être, allait durer même au cours de la nuit. A cette idée, j'esquissai un sourire. Une brise s'amena et fit virevolter mes cheveux. La fille tendit sa main en ma direction et une lueur orangée donna naissance à une claymore puis ce fut le tour d'une épée. J'ignorais s'il s'agissait de magie, mais c'était assez impressionnant. Aussitôt, je me rendis compte qu'elle n'était pas de cette planète elle non plus. Tout cela s’annonçait excitant mais, moi je voulais bruler cette étape, et éventuellement faire d'elle ma soumise durant toute la durée de ce mois.

- Amène toi...Amène toi.

Elle s'était ruée en ma direction, formant une croix avec ses épées. Je m'étais mis à sourire, connaissant déjà comment se combat allait se terminer, et l'idée ne pouvait que m'enchanter. Je ramenais ma main droite derrière mon dos afin de prendre de l'élan, quelques secondes s'écoulaient, je concentrais mon énergie dans ma main afin de fortifier mon coup.

- Tu voulais cette épée ? Tu la voulais ? Alors...Tiens !!!

Tournoyant sur moi-même, j'avais lancé l'épée dans sa direction. L'épée fendait l'air dans une position horizontale, prête à couper tout ce qui s'amenait, en plus de cela, mon énergie avait su augmenter sa vitesse considérablement. La seconde suivante, la fille ne me voyait plus, je m'étais servi de l'épée comme une diversion, et usant de ma vitesse, j'étais déjà passé dans le dos de mon adversaire. Je lui donnai un coup derrière la nuque, la faisant chuter au niveau du sol. L'épée arrivait droit sur moi, usant de ma télékinésie, ce fut difficilement que l'épée avait atteint la paume de ma main sans la trancher en deux. Je la remis à sa place, c'est à dire dans son étui, accroché à mon dos. Erika se retrouvait sur le sol, une petite douleur à la nuque, mais rien de bien grave. Je me rabaissai au près d'elle et d'un air amusé, je lançai:

-Alors, il me semble que tu as perdu Erika. Viens donc me prouver ta parfaite soumission à l'intérieur de l'une de ces maisonnettes.

Aussitôt, je m'étais mis à marcher en direction de celle qui était la plus proche. Ne devrait-elle pas respecter son pari ?

Erika savait pourtant se battre, son coup allait marcher, elle regarda l'adversaire faire et puis sourit venant droit sur lui, s'il comptait lui démontrer qu'il pouvait la parer c'était loupé. Elle comptait prendre le coup quitte à voler un peu et le toucher d'une des épées. L’épée de l'adversaire vola donc vers elle, mais elle ne l'esquiva pas le moins du monde prévoyant bien de se la prendre... Sauf qu'il lui donna un coup qui la fit presque tomber par terre, quelle force ! Elle vit l'épée passer au-dessus d'elle et chuta doucement sur le sol... Sa vision encore trouble quelques secondes elle l'écouta, puis se releva doucement pas vaincue pour un clou... Elle fit disparaitre ses armes et l'observa avant de hausser les épaules.

- Pour cette fois je laisse couler... tu m'as surprise cette fois...

Elle le suivit alors vers les maisons, un peu furieuse cela dit elle éclata une porte d'un coup de pied pour entrer. Puis elle visita avec lui, ces endroits étaient vraiment peu recommandables, rats, saletés... Peut-être même des clochards allez savoir. Elle visita sans trouver de lit potable pour autant et soupira un peu, le sol n'était pas un souci pour elle. Elle le regarda encore un moment puis vint s'agenouiller devant lui et se pencher en avant :

- Je suis à tes ordres maitres... pour le mois à venir...

Elle ne semblait pas choquée, après tout elle n'imaginait pas un gars comme lui vouloir l'humilier des heures durant, la promener en laisse ou la faire pisser en rue... Il devait être plus sage que ça, un gars normal voulant juste baiser un bon coup avec une nana musclée comme un mec.

Je n'aimais guère l'injustice, certes, je ne la combattais pas et je ne mettais pas mes capacités aux services de la justice, toutefois je portais une haine en mon cœur envers ceux qui profitaient des autres. Ce n'était pas une question de bon cœur, loin de là. L'injustice déplait à tout le monde et ceci, même à celui ou celle qui la pratique, d'une façon plus ou moins indirecte. Je ne profitais pas des gens, mais quand quelqu'un se livrait à moi, je veillais toujours à en faire bon usage, histoire de ne rien regretter. C'était le cas de cette jeune fille qui, après avoir perdu le combat, s'amena dans la maison, venant même à s'agenouiller devant moi. C'était pour le moins, jouissif.

Je fis un tour sur moi-même, inspectant les lieux. Le sol était légèrement poussiéreux et il n'y avait personne à part nous deux. Les murs fissurés démontraient clairement qu'il ne s'agissait pas d'une maison en bon état et à n'importe quel moment, elle pouvait s'écrouler sur nous. A cette idée, un rictus se dessina sur mes lèvres alors que j'avais reporté mon regard sur la fille agenouillée et se livrant totalement à moi. Elle ne m'avait pas combattu, elle s'était laissée abattre et je voyais clair dans son petit jeu.

-Tu n'es qu'une petite coquine. Tu ne m'as pas combattu, tu voulais juste m'être soumise pour que je puisse jouir de toi.

J'enlevai mon manteau que j'avais pris le soin d'accrocher sur la porte, alors que mon épée se retrouvait au sol parfaitement enfouie dans son étui métallique. Sans plus tarder, je détachai mon pantalon qui glissa jusqu'à mes chevilles, la fille se trouvant tout juste à la hauteur adéquate.

-Contente toi de sucer. Tu cherchais désespérément cette partie de plaisir, c'est pour cela que tu as laissé tomber le combat aussi vite. Allez, ramène ta petite bouche et suce moi !

J'avais sorti mon chibre du caleçon et n'attendant même pas la réponse de la petite fille, je m'étais saisi de sa tête d'une main ferme et dans un mouvement brusque, ma verge encore molle entra dans sa bouche. Il ne me fallut que quelques coups de langue de sa part pour que mon pénis devienne dur comme un roc, prêt à atteindre le fond de sa gorge. Pour l'aider à mieux se délecter de mon chibre, je faisais des mouvements de va-et-vient dans sa bouche, passant sur sa langue pour ensuite atteindre le fond de sa gorge. Sa bave dégoulinait sur ma queue et sur chaque coté de ses lèvres. C'est ce qui m'excitait le plus, le fait de la regarder me sucer comme une folle, comme si sa vie dépendait de la saveur de mon pénis. On pouvait même entendre le son produit par le contact de mon engin avec le fond de sa gorge. Agenouillée, elle pouvait s'amuser à me sucer.

Le voulait-elle ? Elle s'était battu pourtant, comme une lionne protégeant ces petits, elle n'était juste pas de taille pour lui... Mais elle ne pouvait pas lui en vouloir, il avait cet air dominant et supérieur, cette force inhumaine qui imposait le respect. C'était l'une des raisons pour lesquelles elle acceptait de se rendre à son service, au moins c'était honnête. Et puis elle était juste avec elle-même, perdre n'était qu'une nouvelle façon de s'amuser. Ça la changerait des éternelles réincarnations et de la chasse incessante d'un adversaire qui finit terrorisé. Et puis elle le pensait plus sérieux et moins profiteur, c'est pourquoi elle avait pris cette pose de soumise devant lui. Encore habillée et silencieuse elle attendait de voir ce qu'il ferrait d'elle. L'écoutant elle s'énerva un peu, il mentait et il devait le savoir lui-même, car il va vu qu'elle comptait le fracasser en combat, c'était juste qu'il était plus fort... Entendant alors un pantalon se défaire elle n'osa pas relever le regard.

Elle entendit aussi la lame se ranger et entendant sa demande elle releva le regard, puis hoche doucement la tête respectueusement. Elle avança vers lui à genoux, puis l'écouta et le vit sortir son engin de belle taille. Elle se fit alors saisir et puis ouvrit la bouche pour sucer le membre de sa langue, elle le voyait en profiter de façon assez brutale, lui aussi aimait cela... Elle qui pourtant s'attendait à des jeux humiliants comme préliminaire... Mais il n'en était rien, il devait vouloir simplement la baiser, et son engin grandissant emplit alors sa petite bouche et sa gorge. Elle suça donc avec ferveur, mais pas avec un air de soumis, non celui d'une chienne qui voyait là un magnifique os ! Elle léchait la queue dans sa bouche, tirant dessus ses joues se creusant à chaque fois. Enfin elle recula un instant et le branla précisant :

- Hmm... c'est une belle queue maitre... je suis ravie de pouvoir la sucer, n'hésitez pas à jouir quand vous le voudrez.

Puis elle reprit sa fellation avec force et pompa férocement son dard pour montrer qu'elle n'était une petite fille prude qu'on impressionnait facilement.

Elle semblait aimer cela, le fait que je la traite comme une soumise, avide de sexe. Ça on pouvait encore en douter, mais une chose était sûre, elle adorait avoir ma queue dans sa bouche. En seulement quelques secondes, elle profitait pleinement de mon chibre effectuant des mouvements de va-et-vient dans sa petite bouche, qui d'ailleurs, était faite pour sucer, tellement elle excellait. Sa langue caressait littéralement mon gland alors que ma queue emplissait sa bouche, heurtant à chaque poussée le fond de sa gorge. J'avais relâché sa tête, et à chaque fois que je pénétrais mon pénis dans sa bouche, sa tête secouait en penchant vers l'arrière. Je la repris par les cheveux, empalant sa gorge sur ma queue, ne bougeant plus durant plus de 5 secondes, ce qui avait pour but de lui donner ce sentiment de m'être soumise et comment je pouvais la donner du plaisir même avec cet air de brute. Elle était au bord de l'étouffement. J'avais aussitôt enlevé mon engin de sa bouche, feintant de lui accorder quelques secondes mais d'un coup, j'avais enfoncé mon pénis dans sa bouche atteignant en un coup le fond de sa gorge. Je laissais s'échapper un gémissement de plaisir. Ce n'était que le début, et son corps me réservait un parcours amusant.

Elle venait de m'appeler maître et ne manquant pas de complimenter ma verge. Elle m'avait même dit de jouir quand cela me plaisait. C'était amusant et excitant comment elle s'était vite adaptée et elle s'était laissée aller à ses envies primaires. Et j'allais en profiter.

-Ma salope...T'aimes bien cette queue.

En disant cela, j'avais posé une main sur sa tête alors que l'autre avait sorti mon chibre veineux de sa bouche et lui caressait le visage de ce membre gros et imposant.

-Lèche la...Sors ta langue, et lèche la !

Je présentai mon pénis devant sa bouche, attendant qu'elle sorte sa langue. Totalement soumise, elle s'executa, sa langue me caressant partout. Aucun doute, elle aimait ma queue.

-Lève-toi...Il est temps que tu couines.

Elle suçait donc sa verge comme si c'était un gros bonbon sucré, un plaisir pour elle malgré le gout habituellement repoussant. Elle était vicieuse, et puis tant qu'à jouer le jeu autant le faire à fond ! Elle était toujours habillée, mais peut-être que cela reformait le côté dominant de son maitre... Voir une jeune militaire à ses pieds agenouillés pour lui lécher la queue. Et elle faisait cela comme il faut, suçant avec force puis léchant chaleureusement la queue sur sa longueur. De temps en temps elle la prenait bien en bouche et s'enfonçait de plus en plus vers la gorge. Il l'aidait aussi en s'enfonçant en elle l'étouffant parfois quelques secondes avant de relâcher un peu sa pression. Elle prenait lestement let teint rose, mais ne s'en lassait pas, ni de sa queue qui rentrait profondément dans sa petite gorge.

Enfin après un petit rituel de présentation entre sa bouche et la grosse bite, le maitre décida de changer un peu les choses. Il ressortit son gros engin et elle le regarda donc intriguée, avant de sentir la verge frotter sur son faciès le couvrant de salive chaude et de jus de plaisir de ce jeune homme. Visiblement sa langue plaisait à son maitre, elle resta rose sur les joues et soir sa langue de sa bouche pour doucement la poser sur le gland gentiment offert par son maitre, puis elle lécha la longueur d'un des côté, puis l'autre. Elle alterna ainsi tranquillement se demandant si ça lui conviendrait, et tendis qu'il lui donna un ordre elle termina de parcourir sa queue reprenant pour elle sa langue encore chaude de ce contact.

- Comme vous voudrez maitre.

Étrangement elle le trouvait plutôt soft pour le moment, il voulait déjà lui donner du plaisir ? Mais qu'importe, elle se redressa encore habillée donc et se demanda s'il voudrait qu'elle se dénude nettement, ou bien peut-être arrachera-t-il ses habits comme une brute ? Il n'avait pourtant pas l'air de ce genre, elle resta donc debout un peu intriguée par la suite, se demandant s'il sera du genre pervers refoulé qui se lâche, ou juste homme qui profite un peu et tentera de la changer en jouet sexuel avec le temps qu'il aurait.

J'avais enlevé ma queue de sa bouche, la promenant sur son visage, y laissant sa salive et un avant goût de ma semence. Elle continuait à me lécher, doucement mais on pouvait remarquer une certaine passion dans chaque coup de langue. Je lui avais ordonné de se relever car il était grand temps que je goûte à ce que cachait ces vêtements de militaires.

-Avec ses habits, on ne dirait pas que t'aimes autant les queues...Je vais commencer par te défoncer ton petit cul.

Elle s'éxecuta, se redressant comme une parfaite esclave qui attend les directives du maître. Je m'approchai d'elle, d'une main ferme, je la retournai et la plaquai contre le mur. Quel joli cul ! Ma main droite empoigna son cul, et brusquement, j'avais déchiré son pantalon à cet endroit précis, faisant naître un grand trou qui exposait ses jolies fesses. Je me collai à elle, ma verge caressant son entre-jambe alors que son corps était plaqué contre le mur. Mon bassin la forçait à rester contre le mur alors que ma main vint la saisir au niveau du cou, et penchant sa tête en arrière, je la mordillais, assez fort pour la faire mal, sans pour autant causer un quelconque saignement.

Mes deux mains vinrent prendre son joli cul et l'ouvrant un maximum, j'y enfonçais ma queue d'un trait. Ainsi, à chaque coup pénétration, je la tapais sur le cul, assez fort pour l'entendre crier. Son petit corps était secoué, comme s'il était incapable de subir ce traitement. Mais, elle n'y pouvait rien. Elle allait devoir accepter le fait que mon chibre veule défoncer son cul. Et, c'était justement ce qui se passait. Mes pénétrations étaient puissantes et rapides, alors que je feintais vouloir lui arracher la peau du cou. Mes mains faisaient rougir ses fesses.

- Tu vas tout simplement gémir, hurler, et crier... Car, je vais attendre le coin le plus reculé de tes entrailles. Petite salope.

Mes deux mains s'étaient saisies de ses cuisses et brusquement, je l'avais soulevé dans les airs et, la seconde d'après, je la laissais retomber, ma verge s'enfonçant dans son cul. Elle semblait aimer ce traitement, cette brutalité dans le sexe.
Ses pieds n'atteignaient plus le sol mais mes mains la soutenaient et la laissais retomber à chaque fois sur ma queue pour ensuite la relever. Et ainsi continuait ces pénétrations brutales mais facilitant l'orgasme. Mes coups de bassin la secouaient de partout, et son cul en redemandait.

Elle avait vu juste, il comptait arracher ses fringues comme une brute, ou presque, car il n'avait pas entièrement arraché son pantalon... En tout cas ce pervers avait des vues sur son cul qui sous le pantalon était plutôt bien rebondi. Plaquée contre le mur, écrasée par sa présence elle le laissa donc faire ce qu'il voulait. Il empoignait son cul, déchirait son pantalon ce qui devait être tout de même dur à faire vu que c'était un pantalon jeans assez costauds. Elle sentit donc l'air frais à travers sa petite culotte blanche encore propre de toute souillure par ce gars. Elle le laissa alors frotter sa queue qu'elle sentait à travers sa petite culotte, si ça rentrait dans son cul elle souffrira c'était certain ! Mais bon, pour le moment elle se laissait défoncer tranquillement écrasée sur le mur par son maitre du moment. C'était après tout-nu jeu qui la détendait de temps en temps, les mains sur son cul l'ouvrirent et déchirèrent sa culotte avant qu'une grosse bite n'y entre !

Surprise elle gémit un peu de douleur, et le voilà qui ressortait pour revenir toujours plus fort. Il adorait visiblement défoncer son cul, mais elle n'était pas contraire grognant déjà de douleur. Mais elle endurait cela plutôt bien, un corps fort et musclé, parfait pour endurer des sévices. Et se faire défoncer le cul n'en était qu'un parmi tant d'autres, mais ce dernier était parfois appréciable, surtout quand il était bien fait ! Comme avec ce pervers qui lui élargissait l'anus à chaque geste et lui écartait les fesses avec force. Elle l'écouta encore et poussa de nouveaux gémissements, elle commençait à le sentir bien plus au fond... L'entendant se plaire à lui faire peur elle sourit et répondit :

- Hmm, j'ai hâte de voir ça... Hmm défonce donc mon joli petit cul pour voir !

Un petit peu de provoc ? C'était gratuit et ça lui ferait certainement plaisir de voir que bien qu'obéissante elle jouait encore un peu la dominante. Juste pour rendre tout cela un peu plus appétissant. Finalement elle termina décollée du sol et gémit lourdement, sans ses habits elle aurait fini râpée sur le mur à se rythme... Mais heureusement ils étaient encore là et donc son petit corps n'était pas déchiqueté par le mur rugueux.