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Bad Project 2 : Un rendez-vous... surprennant [PV Elise Grantierre]

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Elise Grantierre

Humain(e)

Le piège improvisé d'Elise avait fonctionné au delà de ses attentes, elle pensait devoir négocier plus longtemps avec sa camarade pour l'obliger à essayer les divers tenues qu'elle lui avait préparer, mais au final ce fut plutôt court. Le plus surprenant n'était pas l'abandon rapide de Belphy, même s'il y avait du niveau, mais surtout le "adorable garce" qu'elle avait laissé échapper avant de commencer à ce dévêtir. C'était sans doute par honte que la jeune femme avait décider d'ôter ses habits plutôt que de commencer une discussion où elle partirait avec un gros désavantage en début de partie. La mercenaire violette garda le silence, pas pas stupeur, mais parce qu'elle avait rien à rajouter pour le moment, elle gardait ce court échange dans sa mémoire histoire de ressortir ça une autre fois et ce contenait de "violer du regard" la belle jeune fille face à elle.

Les mains d'Elise tremblaient et elle devait ce faire violence pour ne pas attraper sa camarade afin de la "violer du regard sans regard" contre le mur de la cabine où ce trouvait le miroir pour s'admirer quand on avait finit de ce changer, mais la demoiselle ne voulait pas forcer les choses et préférait attendre en trépignant sur place. La vue de la peau pale et délicate de son amie lui donnait d’innombrables idées de scénario pervers en tête. Belphy semblait particulièrement vulnérable en ce moment à trembler de honte en essayant un bikini qui lui irait à merveille, ce qui la rendait d'autant plus désirable du point de vue de la jeune femme augmentée, peut être trop. Le changement de tenue ne dura que quelques instants mais pour elle ce fut plutôt des jours à ce retenir de ne pas toucher sous peine de refermer cette délicate fleur à tout jamais.

La jeune rouquine avait enfin mit le petit ensemble et demanda à son amie de quoi elle avait l'air même si elle restait dos à celle-ci et même si Elise pouvait la voir grâce au miroir, ce n'était pas des plus pratique. Pour contrer ce paradoxe et calmer légèrement ses envies, surtout ça, la demoiselle s'approcha de sa camarade lentement pour se placer dans son dos, ses mains glissèrent le long des hanches de la mercenaire rouge. Elle se colla contre le dos de son amie et poussa un léger soupire dans son oreille en permettait à ses mains de parcourir le ventre de celle-ci.

- Tu es irrésistible. Mais j'espère que ça te plait aussi car j'ai sélectionné ça en faisant de mon mieux pour faire ressortir au mieux ta beauté.


C'était difficile pour elle de ne pas lui caresser les parties plus sensible de l'anatomie de sa camarade mais elle résistait comme elle pouvait, préférant voir un certain consentie de la part de sa partenaire. Elise ôta ses mimines du corps de Belphy et recula pour lui rendre son espace vital, puis la prit par les épaules pour la forcer à ce retourner. Mon dieu ce visage cramoisie avait le don de rendre folle la libido de la mercenaire aux cheveux mauves et comme pour récompenser le courage de son amie, et aussi pour son propre plaisir, elle déposa un baiser sur son front. Désirant, au départ, offrir un baiser passionné, elle se opta plutôt pour une autre partie du visage car elle pensait que leur premier "vraie" baiser devait avoir lieu dans un autre cadre que celui d'une étroite cabine d'essayage peu hygiénique.

- Vas tu essayer les autres pendant que je fais de même de mon côté? Je me suis prit deux trois modèle et j'aimerais ton avis... Donc reste dans le coin.

La demoiselle avait accompagné sa parole d'un clin d’œil avant de faire tourner sa camarade sur elle même de la même façon qu'il y a 30 seconde. Belphy avait l'air tétanisée et confuse, il faut dire que la mercenaire augmentée n'était pas spécialement mieux de son côté c'est pour ça qu'elle n'attendit pas une réponse de sa part. Sans préavis, Elise se retourna pour être dos à sa camarade et commençait à ce dévêtir. Son esprit était complément envahie par des pensées viciées et elle n'arrivait pas à ce calmer autrement qu'en se caressant légèrement sous la culotte mais c'était une idée idiote parce que ça lui donnait encore plus envie de faire des choses pas nette. Son piège c'était stupidement retourné contre elle. En ôtant ses sous-vêtements, la jeune femme constata que cette atmosphère avait rendu son bas humide.

D'un bref mouvement de la tête, la mercenaire violette jeta un œil à son sac à main contenant ses affaires et notamment le jouet qu'elle avait salit plus tôt dans la journée et résista à l'envie de s'en emparer. Elle caressa sa fente intime en poussant un léger gémissement d'extase étouffer par ses dents serrées, histoire que Belphy n'entende pas la débauche dans laquelle elle s'adonnait. C'est avec une grande volonté qu'Elise cessa de se faire honteusement plaisir de la sorte et mit un bikini gris où les partie en tissus étaient relier par de simples ficelles attaché avec des nœuds qu'il était facile de défaire. Elle avait un problème et elle le savait.


Belphy Mueller

Créature

C'était le chaos, l'apocalypse, la fin d'une vie où la damnation s'apprêtait à l'écraser de son poing juste pour quelque-chose qu'elle ne parvenait ni à réduir, ni à contrôler, ni même à accepter d'une quelconque manière, et elle avait beau faire tout les efforts du monde, rien ne semblait être capable de lui offrir le moindre répis pour qu'elle se reprenne, qu'elle puisse respirer, ou même faire un peu d'ordre dans sa tête. Elle se sentait non seulement prise au piège, mais pendant un instant, ce fut même l'impression d'être enfermée dans une cage de fauves affamés qui lui vint à l'esprit, et elle n'eut que bien du mal à se changer déjà alors que le regard de la demoiselle qu'elle chérissait tant était, elle le savait sans le remarquer, en train de couler lentement sur la moindre des formes qu'elle lui présentait dans toute sa pudeur et sa gêne ! Et pourtant elle faisait cet effort surhumain, sortait de sa vie de mercenaire pour être la timide Belphy qui tente bien malgré son passé de ne pas jouer de misanthrope, encore plus envers celle qui avait ravie son coeur depuis un moment, et si les pensées le splus honteuses passèrent dans sa caboche rousse tandis qu'elle se changeait, ce n'était pas plus pour l'aider que pour lui permettre de s'échapper un court temps dans quelques innomables fantasmes, dont elle ressentait encore la vil chaleur au creux de son être. Quel ne fut pas son bonheur quand la demoiselle aux cheveux de sang parvint enfin à enfiler le tout, et à demander à son alliée de tout les jours de dire ce qu'elle en pensait, car elle pensait presque que le plus dur était derrière elle, dans toute son innocence... Ce n'était pas le cas !

Elle entendit sa compagne aux cheveux courts se tourner pour l'observer, et bien malgré elle imaginait le visage amusé et contenté d'Elise à la vue de son abandon, et du résultat que cela donnait, à savoir sa douce peau blanche à peine voilée du moindre regard que l'on pourrait éventuellement y poser. La mercenaire se sentait complètement mise à nue, comme si il n'y avait littéralement plus rien sur elle, les deux trois morceaux de tissus n'étant de toutes manières même pas assez large pour voiler le tout de sa poitrine, ou de son bassin, aussi se mordait-elle légèrement la lèvre, et elle espérait, du plus profond de son coeur, que sa chère demoiselle n'aurait en aucun instant la mauvaise et triste idée d'avoir un comportement déplacé, auquel cas elle ne savait tout simplement pas comment elle réagirait. Elle tremblait même un peu quand finalement elle put sentir lentement les bras de son amie se placer autour d'elle, le bruit léger du frottement de sa peau contre la sienne étant dans le fond suffisant pour sonner à ses oreilles le glas de sa chasteté, et ce rapprochement soudain, soutenu par le fait qu'Elise vint irrémédiablement coller son corps à sa chair sensible et dévoilée vint enflammer définitivement son être, tout entier. Elle haletait, stressée, excitée, se voyait déjà pousser contre le miroir par la mercenaire aux cheveux mauves pour finalement subir les bêtises les plus perverses de celle-ci, avec comme seule possibilité de réponses quelques gémissements décadents. Son visage, cramoisi, exprimait à quel point elle était perdue, paralysée entre ses désirs et sa gêne, et le frisson qu'elle ressentie au son de la voix de celle qu'elle aimait n'aurait jamais put être une feinte, tant son corps en fut secouer :

« Tu es irrésistible. Mais j'espère que ça te plait aussi car j'ai sélectionné ça en faisant de mon mieux pour faire ressortir au mieux ta beauté.
 -  Ce... C'est... C'est charmant Elise... Tu... Aah... Es un peu trop prêt... »

Sa voix était un peu mal contrôlée, un peu chevrotante, mais qui pouvait donc la blâmer de cela : Elle était collée à celle qu'elle aimait, nue à ses yeux, incapable de réagir alors même qu'elle trempait comme une folle à quelques centimètres des doigts de celle qu'elle appréciait tant, la vilaine ayant prit le soin de venir poser ses mains sur son ventre, pour lui rappeler à quel point elle brûlait au creux de celui-ci ! Le fasiait-elle exprès ? Elle n'en savait rien, mais elle était véritablement en train de perdre tout contrôle de la situation, et ce n'était pas le faible gémissement qui s'était échappé de ses lèvres qui allait dire le contraire, étant donné qu'Elise était bien assez proche d'elle à ce moment là pour l'avoir entendue sans le moindre problème, et donc qu'elle avait potentiellement acquise l'information la plus cruciale en rapport à l'état de la jeune rousse : Elle atteignait ses limites en terme d'excitation. Fusse pour cette raison ou une autre, mais sa camarade violacée s'éloigna alors d'elle, et ne fit rien d'autre que la retourner de manière à ce qu'elle puisse se regarder toute deux dans les yeux, Belphy semblant faire une étrange compétition entre la couleur sanguine de ses cheveux, et le coloris parfaitement homogène de ses joues, celle-ci étant de peu semblable avec les teintes chaudes qu'elle avait tendance à porter. Mais c'est alors qu'elle lui embrassa le front, et comme s'il s'aissait d'une sorte de bénédiction, la jeune femme se détendit immédiatement, retenant un soupir d'aise à ce doux contact, avant d'observer son amie d'un regard si doux, si affectueux, qu'elle pourrait facilement trahir le tout de son amour pour elle en ce court instant... et par bonheur, ou quelques malédictions, allez savoir, Elise ne lui en fit guère la remarque :

« Vas tu essayer les autres pendant que je fais de même de mon côté? Je me suis prit deux trois modèle et j'aimerais ton avis... Donc reste dans le coin.
 -  O-oui bien sur je... Je ne bouge pas, je... Je reste là et j'attends... »

Elle n'avait pas finit sa phrase qu'elle était retournée face au miroir par le mouvement rapide qu'Elise avait appliquée à son corps plus menue que le sien. Déjà que son amie n'était pas bien épaisse, elle faisait presque crevette de son coté, et ce n'était pas toujours pour faire son plaisir. Mais elle acceptait, et se tût pour tenter de profiter de la vague de paix qu'elle avait ressentie au baiser d'Elise pour remettre un peu d'ordre dans son coeur, dans son esprit, parvenant de plus en plus à se remettre un brin d'aplomb pour ne pas avoir l'air d'une petite fille perdue quand elles sortiront enfin de la cabine. Discrètement, aussi, elle tendait l'oreille pour s'encquérir de l'état de son amie, et si elle crut bien l'entendre entièrement se dévêtir, ce fut avec un peu de curiosité que la mercenaire au cheveux rouge se rendit compte qu'elle n'ouïssait guère son amie prendre en ses mains sa tenue de baignade, et qu'elle continuait ainsi à rester pleinement nue dans son dos, sans le moindre signe d'action. Que faisait-elle donc ? Elle était tentée de regarder, et si elle eut bien l'occasion de se dire qu'elle trahirait peut-être la confiance de son amie si elle osait le faire, elle avait aussi la prime envie de l'observer dans l'instant où elle se changeait, finissant bien magré elle par se retourner le plus silencieusement du monde, sans un bruit dans la cabine pourtant sacrément étroite, pour poser le regard sur le corps nue de sa partenaire. Et elle resta sans voix quand elle vit ses mouvements, quand elle remarqua les doigts de sa belle Elise s'activer entre ses cuisses, appuyer sur ses zones sensibles, tandis que l'humidité tâchait ses cuisses...

L'instant d'après, elle était de nouveau devant le miroir, même un pas plus près qu'avant, et se sjoues avaient de nouveau repris une coloration cramoisie, la pauvre gardant en tête l'image des doigts fins de celle qu'elle aimait plus que tout en train de jouer avec son intimité humide, alors qu'elle était totalement nue derrière elle. Etait-ce un jeu ? Une invitation ? Elle ne savait pas, ses pensées étant désormais telles qu'il n'y avait plus la moindre chance que Belphégor puisse sortir du lieux sans avoir le visage marqué par la lubricité et la honte, et ses doutes devenant de plus en plus encombrant, de plus en plus envahissant, elle cherchait la seule et unique solution qui lui permettrait finalement de ne plus avoir à penser un seul instant à cet événement, même si celle-ci se trouvait être en relation avec ses plus bas instincts. Après tout pourquoi pas ? Si elle était ainsi en train de perdre la tête depuis qu'elles s'étaient toute deux trouvées dans la cabine, pourquoi ne se permettrait-elle pas d'être celle qui engagerait les hostilités finalement, après tout Elise semblait être elle-aussi dans le pire des états, et il serait tout à fait envisageable qu'elle puisse elle aussi goûter à une luxure avilissante et heureuse en compagnie de celle qu'elle appréciait tant... Alors elle se tourna lentement, observa la femme avec dans le regard une faim terrible, un désir insatiable de regarder sa belle aimée perdre le contrôle dans ses bras, s'aliénée au contact du moindre élément en elle... et se mit à tendre lentement le bras vers sa peau dévoilée, prête à s'y glisser avec une certaine vilénie, en prédatrice désormais prête à tout pour se libérer des fantasmes qui lui envahissaient l'esprit !

Mais le destin, comme toujours, est capricieux...

Simultanément, une explosion et une sirène retentissante se fait entendre. Sonnée, surprise, Belphy a alors une court instant de doute, un moment où elle n'ose finalement tendre la main pour accomplir le dernier mouvement qui aurait put lui permettre de rester auprès de celle qu'elle aimait, et se retrouve presque hébétée, paralysée par l'icongruité de la situation, jusqu'à ce que les événements se remettent en marchent. La structure tremble un moment, l'écho sourd de l'explosion résonne dans les lieux tandis que tout le monde hurle, et déstabilisée par les mouvements anarchique du sol, la mercenaire tombe en arrière, sur les fesses... avant que le sol ne se brise sous elle, et qu'elle vienne le traverser pour tomber finalement deux étages plus bas, dans un cri de stupeur. Pourquoi !? Elle allait enfin oser quelque chose dans son couple rêvé, alors pourquoi fallait-il que soudainement le monde se retourne contre elle !? C'est avec ces idées en tête que la jeune femme chuta pour finalement s'écraser plus bas, dans la zone technique du complexe, entourée désormais des machines et autres éléments mécaniques qui permettaient au complexe de filtrer l'eau, de faire marcher les lumières, de garder le lieu au chaud, et encore bien d'autres détails des plus utiles... Elle ne voyait même pas d'où elle était tombée, et honnêtement, ne savait guère comment remonter, déjà heureuse de ne pas s'être écrasée entre deux rouages... Bon dieu, que s'était-il donc passé, comment les choses avaient-elle put ainsi se métamorphosées ?

« Elise ! Elise !!! Tu m'entends ? »

Pas de réponses... Elles étaient séparées !

Elise Grantierre

Humain(e)

Enfermée dans cette étroite cabine en compagnie de sa charmante camarade, Elise avait littéralement craquée et avait laissée libre court à ses plus bas instinct caressant son intimité dans le dos de son fantasme de toujours malgré la courte distance qui les séparaient. Mais dans ce genre de situation, avec un esprit brouillé et des sens perturbée, la distance entre les deux semblait être plus long que ce qu'elle était vraiment. Ses frotti-frotta en bas ne passèrent pas complétement inaperçus, et il aurait été particulièrement étonnant qu'une mercenaire entrainé au combat comme Belphy ne remarque pas les actions viciés de la Tekhanne aux cheveux mauves. Qu'est ce qu'elle devait penser de la dépravation de son amie? Étrangement, malgré la honte évidente, cela excitait encore plus la miss qui continuait de ce masturber sachant très bien que sa camarade l'avait vu dans cette état. Elise avait des doutes quand aux résultats de sa décadence, mais elle pensait que la rouquine participerait ou alors dirait un truc qui la ferait rougir encore plus, si c'était possible, et pas qu'elle ferait une remarque désobligeante ou qu'elle soit dégoutée. On ne connait jamais vraiment quelqu'un mais après la scène osée dont elle a été témoin il y a quelques temps face à la gelée vivante, quand Belphy avait osé confronté la créature juste pour la rejoindre et la caresser, alors la mercenaire augmentée avait des doutes sur la pudeur et la timidité de son amie. Elle imaginait la jeune femme pleine de vice et de frustration sexuelle qu'elle dissimulait sous une carapace de rougeur et de timidité.

Et elle avait raison. Moins d'une demi seconde après avoir enfilée son bikini, la jeune femme sentie, à l'aide de ses sens augmentée, une masse d'air ce déplacer vers elle, il ne pouvait s'agir que de celle avec qui elle partageait cette cabine, ainsi que ses missions. Belphy s'approchait visiblement d'elle et sans doute avec la ferme intention de lui offrir ce qu'elle désirait tant depuis qu'elles étaient entrée dans cette endroit étroit. Sans bouger, Elise attendit que sa camarade l'attrape, qu'elle lui fasse l'amour ou juste un câlin ça lui conviendrait parfaitement. La jeune femme attendait que le simples mètres qui les séparaient encore soit enjambé par les fines gambettes de la rouquine et que celle-ci lui fasse tout ce qui lui passait dans la tête avec un sourire satisfait sur le visage. C'était long ces secondes mines de rien, presque trop long, mais pour une fois que son amie sautait le pas, elle n'allait pas la couper dans son élan. Mais alors....

Mais alors un grand boum résonna, suivie d'une alarme et des consignes d'évacuations. Le chaos s'installa vite dans le complexe sous-marin avec des hurlements et des mouvements de foules. Le son avait choqué Elise, qui ne s'y attendait pas du tout, elle était tellement déboussolée que pendant plusieurs secondes elle pensait que la responsable était la rouquine qui lui avait fait un truc tellement puissant que ce qu'elle ressentait présentement était son orgasme. Il fallut un petit temps pour que son esprit repartie normalement et qu'elle constate que Belphy n'avait pas eu le temps de la touché et qu'il se passait quelques chose de bien plus grave. Et avant que la mercenaire mauve eut le temps de rejoindre son amie, le sol ce déroba sous les fesses de celle-ci et l'entraina dans les niveaux inférieurs. En l'espace d'un instant, elle venait de passé d'un moment d'excitation particulièrement grisant, à attendre que le contact avec sa camarade, à un moment de cauchemars en la voyant s’engouffrer dans les Ténèbres.

- BELLLLLLLLLL!!!!!


Hurla la jeune femme en larme, tandis que la crinière rouge disparu dans les profondeurs. Comment peut on passer d'un instant d'une bonne après midi à un tel désastre. Elise était choqué au bord du gouffre en pensant avoir perdu la femme de sa vie en moins d'une minute. Et alors que la pagaille s'installait dans le station, la Tekhanne dut ce faire violence pour se relever et prit une bonne résolution: Retrouver Belphy, qu'elle soit encore en vie ou non, et ne pas verser une larme tant qu'elle n'aura pas de certitude. La miss quitta ce qui restait de la cabine d'essayage, sans son sac qui était tombé en même temps que son amie, et remarqua que les clients et le vendeur avaient quitté la boutique. Elle se saisie d'une serviette qu'elle posa sur ses épaules et attacha par devant, elle n'avait pas le temps de ce changer convenablement du coup elle se contenterait de ça.

La mercenaire n'avait pas son équipement avec elle du coup elle devra faire avec ses capacités physiques et ses augmentations cybernétiques pour rejoindre sa camarade et, accessoirement, trouver le responsable de tout ça. Rapidement, elle ce dirigea vers un panneau affichant la carte des lieux qu'elle enregistra dans sa mémoire, il n'y avait que les zones accessibles aux publiques mais au moins c'était une base qu'elle pourrait compléter au fur et à mesure de ses pérégrinations. Et alors que les gens faisaient tout pour quitter ce piège aquatique, Elise cherchait un moyen de ce rendre dans les niveaux inférieurs, et dût même frapper un membre du personnel qui voulait la faire évacuer, de gré ou de force. Mais ça va il ne s'en tire pas trop mal avec un œil au beurre noir et une excuse rapide de la part de la mauve.

A droite, puis à gauche, puis à nouveau à gauche, Elise parcourait les allées du centre à la rechercher des escaliers de service pour se rendre dans les profondeurs de la station, mais au détour d'un virage, elle tomba sur un groupe d'homme armés et disposant de masque à gaz occupés à transporter des sacs. Rapidement, et sans trop ce faire remarqué, elle se colla à un mur pour voir ce qu'ils étaient entrain de faire. Ils avaient l'air plus que louche et aussi dangereux, ils ne devaient pas être étranger à cette explosion qui l'avait séparé de sa camarade, peut être à jamais.

Dans un autre côté du centre de loisir, une nouvelle explosion retentis. Cette fois-ci elle provoqua une fissure dans le dôme et un peu d'eau commença à s’infiltrer à l'intérieur du complexe, inondant lentement les "sous-sol". C'était les risques de construire ce genre de parc sous l'eau.


Belphy Mueller

Créature

Difficile de parler actuellement de calme, et pourtant, maintenant qu'elle se retrouvait au milieu des machineries, de la vapeur, de la chaleur de cette technologie bien éloignée de ce que son peuple d'origine pouvait produire, les sons d'alarmes plus haut, et l'hystérie générale, ne semblait guère aussi important qu'il y a quelque secondes, ce qui donnait presque aux lieux l'impression que rien ne se déroulait réellement quelques mètres plus haut. Pour autant, la mercenaire dut bien se redresser, lentement, les membres endolori par la chute, et la tête un peu lourde d'un choc qu'elle venait de connaître avec une agilité toute relative, et une chance certaine... Que se passait-il ? Tout ce qu'elle pouvait se mettre en tête était qu'une explosion était survenue, quelque chose d'ailleurs qui ne pouvait provenir des machineries étant donné qu'elle l'avait pleinement entendue malgré la distance, lorsqu'elle était encore dans la cabine d'essayage, ce qui la portait à croire que cela n'était pas foncièrement une erreur du parc d'attraction, mais bien un problème d'une toute autre envergure. Des saboteurs ? Elle y croyait, mais malgré tout elle n'avait rien pour jouer les héroïnes aujourd'hui, et si elle avait la chance de ne pas enrencontrer, elle serait plutôt heureuse. Souci, elle ne pouvait guère attendre non plus dans les environs, qui sait qui pourrait croiser son chemin, et tandis qu'elle s'approcha d'un garde corps pour tenter de se mettre debout, elle avisa qu'il serait peut-être bon qu'elle trouve assez rapidement une sortie, ou au moins une cachette sommaire pour pouvoir attendre des secours, ou les forces de défense dont Seïkusu devrait être dotée.

C'est d'ailleurs à ce moment là, alors que passait de la station assise à debout qu'elle comprit que sa seule chance finalement se tenait plus à trouver une cachette, et pour une bonne raison : parvenant enfin à se hisser malgré le choc dont son corps la faisait souffrir, elle posa le pid gauche au sol pour ressentir une lourde et pénible décharge de douleur, lui remontant de la jambe jusqu'au cerveau, avant qu'elle ne vienne mordre ses lèvres pour ne pas crier. Elle n'avait pas eut qu'une bonne étoile en chutant lourdement plus bas, elle avait certes atteint une de ces rembardes métallique, mais son corps n'en avait pas moins connu une blessure particulièrement handicapante ! Sa jambe s'était brisée, et osant enfin poser les yeux dessus, elle dut avouer que la couleur violacée aux alentours de son tibia n'était pas vraiment pour faire son bonheur, ou la rassurer. Quelle poisse ! Se tenant à la rembarde comme elle le pouvait, elle ne tarda pas pour se mettre en chemin en clopinant, s'assurant de ses bras sur son maintien pour ne pas avoir à user de sa gambette pour se soutenir, et produisant de petit bruit fin de difficulté à mesure qu'elle approchait de la porte se trouvant à l'extrémité des lieux, souhaitant si possible atteindre des lieux un peu plus sur pour s'en tenir ensuite à ses projets, se cacher. Honnêtement, elle se sentait ridicule, et pourtant, alors qu'elle réfléchissait activement à sa survie, d'autres images lui venaient en tête, celles d'Elise, dont elle ne connaissait guère la situation, mais qu'elle espérait de tout coeur être en bonne condition, et en sûreté, surtout qu'elle n'avait aucun de son équipement pour s'en sortir.

« Putain... Putain putain putain. Je suis vraiment une poissarde, je voulais juste une belle journée, et bien sur il fallait qu'une merde arrive le jour même où je l'invite. Je t'en prie Elise, fait que tu te mette à couvert et que tu aille bien ! »

Elle maugréait, bien naturellement. Elle passa la porte qu'elle avait aperçue au bout du pont métallique, et l'ouvrit tout simplement, non sans se sentir particulièrement déséquilibrée dans son action, manquant de tomber au sol alors que le pan de fer s'ouvrit sur des couloirs un peu plus acceptable, ou les murs complets allaient lui permettre de s'y adosser pour se reposer un peu mieux, ou pour avancer avec un support consistant, moins hasardeux que la rembarde et le vide juste à coté. La douleur lui vrillait le cerveau, et elle ne faisait pas vraiment attention à ce que ses sens lui disait, tout simplement par que malgré son sang-froid, son état se rapelait bien trop à son esprit pour qu'elle ai le pouvoir de rester en pleine capacité de ses observations analytiques. Alors non, elle n'eut pas la chance de se rendre compte des quelques bruits de pas qui pouvaient se faire finement entendre d'un coté ou de l'autre des profondeurs de la structure, elle n'eut pas non plus l'idée de faire plus attention à ce genre de détail que cela, ce qui lui aurait permit de tendre l'oreille, et d'user de ce genre d'information pour se dissimuler, ou adapter son cheminement. Pour l'instant, une majorité des portes semblaient être inutilisable pour elle, car il fallait soit user d'un digicode qui lui était parfaitement inconnu, soit celle-ci semblait s'ouvrir grace à un pass qu'elle ne possédait pas, et acceptant ce coup du sort, elle n'eut d'autre choix que de continuer à déambuler prudemment, mais difficilement, dans les couloirs des étages inférieurs, avec l'espoir de ne pas rencontrer quelques personnes responsables de l'explosion précédente. Et un peu comme si la fatalité voulait qu'en y pensant, les événements se produisent, elle ne tarda pas à déchanter.

Elle fut bousculée en plein mouvement, à un croisement. Dénué d'équilibre, elle chuta lourdement, et vint même avoir le malheur de s'écraser sur sa jambe faible, lui arrachant par là même un cris qui n'eut guère le droit de se faire silencieux, étant donné qu'elle vint agir avec le plus grand des naturels, exprimant tout simplement sa souffrance sans réfléchir alors qu'elle se recroquevilla un temps pour amener ses mains vers sa jambe. Elle les arrêta avant de toucher sa chair marquée par la blessure, et c'est avec les larmes aux yeux qu'elle alla regarder celui qui venait ainsi de la mettre à terre par son contact, avant de se rendre compte qu'elle venait tout simplement de se jeter dans la gueule du loup, et que ce n'était pas sa faiblesse, ou son apparence féminine qui allait la sauver, bien au contraire. Ils étaient quatre, des types dont l'âge ou l'apparence lui était voilés par des cagoules relativement misérable, mais qui portaient des sacs apparemment empli de ce que pouvait craindre la rousse, à savoir le matériel qui permettait de faire exploser la bâtisse dans laquelle elle se trouvait. Terroristes ? Simples fous ? Elle n'en savait guère, mais quand ils l'aperçurent, ce ne fut guère avec un regard de paix, et de bienveillance, mais plutôt cet immonde regard salace qu'ont les hommes face à une femme qui semble leur être inférieure, et le fait que le maillot qu'elle portait dévoilait le tout de sa chair ne semblait guère aider ces pourceaux à calmer leurs ignobles pulsions. Elle ne bougea pas, elle ne pouvait le faire tant que la douleur l'obligeait à maîtriser son souffle pour se calmer, mais elle eut au moins le drot de les entendre échanger, face à elle, et le contenu de la conversation ne fut guère pour lui plaire, ou la rassurer... Contrairement à l'un des criminels, qui lui semblait se faire un plaisir de l'avoir trouver.

« Tiens si je m'attendais à croiser une gonzesse ici ! Les gars, attendez, j'ai une idée...
 -  Quoi ? Arrête ton cirque, on doit aller installer les charges dans les machines, et rapidement. Les autres s'occupent des étages supérieurs de toutes manières, on vas pas perdre notre temps avec une estropiée !
 -  Ecoutes mon gars, elle a pas de quoi se défendre, et les charges on les pose en cinq minutes. Regarde moi ce canon et ose mon dire qu'on pourrait pas en profiter un peu !
 -  Allez vous... vous faire foutre !
 -  ... Ouais finalement pourquoi pas, j'aime pas quand elles ouvrent leur gueule ainsi. »

Merde.

. . . . .

Les choses ne semblaient guère plus arrangeante du coté d'Elise. Les lieux étaient dans le fond occupés intégralement par le groupe armé, et celui-ci investissait les lieux à vitesse grand V, emportant avec eux les charges qu'ils avaient prévus pour ouvrir un échange bien particulier avec l'état, sous le coup de la terreur et des vies en dangers. Les premiers coups avaient été simplement là pour déclencher l'alarme, et créer une situation qui pouvait devenir très dangereuse si les échanges avec les autorités n'avnçaient pas vite, mais le reste des explosifsserviraient seulement si ils n'arrivaient pas à obtenir gain de cause. Leur cause ? Une église. L'église ésotérique des profondeurs, le genre de courant de pensée estimant que l'être humain provenait autrefois de l'eau, comme le témoigne la théorie de l'évolution, mais que si ils ont finit sur Terre, c'est par une punition divine d'un dieu sous-marin tout puissant, qui a choisit de les bannir, et qu'ainsi l'homme ne devrait chercher à reprendre son droit sur les océans. Des illuminés, qui resteraient comme tels si leur croyance ne soutenait pas pour autant certains actes immoraux, comme le statut pleinement inférieure de la femme, qui était reléguée au rang d'animal tout juste bon à servir de porteuse pour tout être masculin existant, ou le meurtre rituel pour faire hommage à leur divinité violente, qui prétendait que la nature humaine était sauvage et bête.Et peu loin de la Tekhane aux cheveux mauves, c'était un groupe d'une bonne dizaine de personne qui occupait le chemin qui menait aux étages inférieurs de la structure, et quelques échanges lui parvenaient depuis leurs masques, déformés certes, mais audibles :

« Le groupe B a apparement maîtrisé l'entrée... Ouais y'as du monde qui s'échauffe, mais après quelques tirs, ils se sont calmés... Le groupe D a trouvé quelqu'un en bas, on vient d'avoir leur communication... Ouais, une chose inférieure, l'archi-prêtre leur a donné le feu vert... »

Ils continuaient de discuter, mais leur propos ne se faisaient guère bien intéressant, mais plutôt alarmant, les discussion autour de la possibilité de tuer quelques-uns des otages pour le plaisir, ou de peut-être aller choper quelques-unes des femmes qui se baignaient plus tôt pour se satisfaire le temps que les échanges commencent entre l'archi-prêtre et la police étant tous proférer avec une sorte de neutralité à faire froid dans le dos. Ces hommes, si ils n'étaient pas complètement cinglés, étaient au moins complètement aliénés par leurs croyances, et rien ne saurait leur faire entendre raison, encore moins d'une femme comme Elise. Pourtant si elle veut atteindre les étages inférieures, il allait falloir qu'elle traverse le couloir, et difficile de la donner gagnante alors qu'elle se trouve désarmée, dotée de ses seules capacités physiques, face à un mur d'engins automatiques. D'ailleurs, ce ne fut peut-être pas pour sa propre malchance que les choses devinrent soudainement bien peu agréable pour elle, mais tandis que la belle demoiselle aux cheveux mauves se trouvent ainsi bloquée dans son élan, un cliquetis sonore se fait entendre dans son dos, si bien qu'elle peut alors pressentir, de l'autre coté du couloir qu'elle occupe, la présence d'un homme qui provenait de l'étage supérieur, et qui vient de débouler pour la découvrir en train d'écouter discrètement ses proches camarades. Ce qui suit, c'est la lourde voix d'un homme sans masque, mais qui par contre lui offre un ton des plus désagréable alors qu'il lui offre une série d'ordre, tout en alertant par la même ses alliés juste devant :

« Alors salope, on se balade ? Lèves donc tes bras, bien en évidence, et avance de manière à ce que mes confrères puissent te voir, c'est compris !? »

Oh la boulette !

Elise Grantierre

Humain(e)

Petit à petit, le complexe sous-marin ce faisait envahir par ces hommes qui n'avaient clairement pas des intentions pacifiques. De son point d'observation, Elise à put écouter les conversations de ces types afin de savoir ce qu'ils avaient en tête et surtout comment les neutraliser rapidement, même si ce n'était pas l'objectif principale de la Tekhanne, elle n'était pas naïve de croire qu'elle pourrait librement circuler dans le parc sans avoir affaire à ces types. Elle n'avait pas d'équipement certes, mais elle avait toujours sur elle ces implants qui la rendait supérieur à n'importe lesquels de ces zouaves, même à plusieurs, et elle avait garder son arme la plus importante et la plus dangereuse sans quoi le reste de son équipement ne lui servirait à rien et ce qui l'a maintenu en vie tellement d'année tout en réussissant le moindre de ces contrats: son expérience. Même si ses réflexes, sa force et ses capacités d'analyses avaient été améliorés par ces cyber-ajouts, Elise avait tout de même reçu un entrainement militaire dès sa plus jeune enfance grâce à ses mères servant à l'armée, et ce n'était pas parce qu'elle était fille de haut gradée qu'elle avait eu droit à des traitements de faveur, bien au contraire, elle devait être au moins au niveau de ses parents, voir même les surpassés. C'était ses armes et sa technologie qui avait fait de cette simple fille une mercenaire de haut rang, mais c'était toute ses années à faire et refaire des routines de combats, d'apprendre les art martiaux et le maniement des armes qui avait faisait qu'elle avait tenu aussi longtemps dans ce monde impitoyable qu'est la chasse à prime.

Discrètement, la mercenaire écouta les élucubrations de ces hommes, c'était une bande de Fanatique qui aimait la mer ou un truc du genre. Ils avaient prit le complexe en otage pour négocier avec les autorités locales mais certains des membres de cette secte avaient envie de s'amuser avec les hommes et les femmes qu'ils gardaient captifs. Ce n'était rien d'autre qu'un groupe de cinglé qui c'était rangé derrière la bannière de la religion pour justifier leurs actions. Le groupe d'homme était constitué d'une dizaine d'individu armé d'arme à feu, outil encore utilisé à Tekhos mais considéré comme relativement antique, et il était impossible pour Elise de passer en force comme ça et même la méthode discrète semblait compromise. Les sens de la chasseuse de prime était en éveille et c'était pourquoi elle arrivait à entendre ce que disant ces tarés malgré la vingtaine de mètre qui les séparait, elle remarqua aussi l'approche pas trop subtile d'un de ces sectaires venir dans son dos avant même qu'il n'arme son fusil. Le laisser s’approcher était une manœuvre risqué mais dans ces conditions elle n'avait pas le choix car il n'y avait nulle part où ce cacher et qu'il arrivait du seul autre accès possible donc aucun moyen de s'enfuir si ce n'est ce jeter dans la gueule de dix loups.

Le malandrin aboya ses ordres sur Elise en la tenant en joug, il avait alerté ses compagnons et si la miss ne réagissait pas rapidement elle craignait de ne jamais revoir Belphy. La Tekhanne s'exécuta en levant les bras silencieusement mais n'avança pas. Elle attendait que celui-ci ce rapproche sans ce méfier à cause de son stupide sentiment de supériorité dont ces types semblent faire usage envers la gente féminine, tout l'inverse de Tekhos. Ça lui faisait drôle d'ailleurs car dans son pays d'origine ce genre d'acte aurait été réprimé rapidement et dans le sang des hommes. Agacée par le manque de coopération de la jeune femme, le cinglé s'approcha d'elle en lui beuglant dessus l'ordre d'avancer, mais elle l'ignora à nouveau, restant les bras en l'air. C'est alors que le sectaire arriva juste dans le dos de la jeune femme et prit son fusil d'assaut pour la frapper avec sa crosse dans le dos. Grand mal lui à prit car c'était exactement l’opportunité qu'attendait la mercenaire qui se retourna rapidement et bloqua le coup avec une main. Ses capacités physique était bien supérieur à ce macho et rien qu'avec ce mouvement elle venait de l'humilié. Il semblait si lent et si faible face à elle.

- La salope elle t'emmerde, mon pauvre chou.

Après un petit clin d’œil ravageur dont elle avait le secret, la jeune femme envoya le poing de sa main libre directement dans la mâchoire du forcené, qui perdit une paire de dents à l'impact, ce qui le fit basculer en arrière et le fit tomber lourdement au sol à moitié assommé par le punch de la frêle demoiselle. Et alors que trois de ces confrères s'approchait dangereusement de la position d'Elise, celle-ci s'empara rapidement du couteau à la ceinture de son agresseur pour le lui planté en travers la gorge, en plein dans le trachée pour la sectionner, et ainsi lui ôté la vie avant qu'il n'est le temps de ce relevé et de contre-attaquer ou de prévenir ses collègues. D'ailleurs elle devait maintenant neutraliser ceux qui s'approchait et pour ce faire la mercenaire ce saisi du fusil d'assaut du cadavre.

- T'en a trouvé une aut...

Ce fut les derniers mots de l'idiot qui pointa le bout de son nez au coin du mur avant une salve de balle viennent lui perforer le crane, le faisait tomber au sol au pied des deux autres venu l'accompagner tandis que le reste du groupe continuait de surveiller leur position. Les deux hommes réagir rapidement en reculant, mais c'est alors que la furies sortie du couloir pour déverser un déluge de balle sur eux. Quatre d'éliminé, mais il en restait sans doute encore plein au milieu des piscines et des magasins de plage. Elise roula un instant puis retourna dans le couloir d'où elle venait en trainant un des cadavres. Les autres avaient sans doute entendu le vacarme et allaient rappliquer rapidement avec plus de moyens et de prudence c'est pour ça que la jeune femme devait ce préparer à l'assaut soudain et elle fouilla les corps encore chaud et immaculé de sang de ces victimes à la recherche du moindre truc utile. Et heureusement ces crétins étaient armé jusqu'au os. Des munitions, des couteaux, des armes de poings, des armes d'assauts, des grenades, etc... Ces mecs n'étaient pas venu les mains vide et étaient prêt à tenir un siège de plusieurs jours en terme de moyen militaire. La mercenaire avait une maitrise dans ces types d'armes, même si elle était plus habitué au laser qu'à la poudre et aux balles. Elle retira la veste pare-balle du mort et s'en équipa vite fait, certes ce n'était pas très bien ajusté et ça sentait le sueur mais au moins ça la couvrait un minimum, elle n'allait pas s'en plaindre. La chasseuse de prime regroupa ce qu'elle trouva sur les cadavres à porté pour ce préparer à l'attaque imminente.

Le groupe de soldat improvisés restant s'étaient mis en position près de l'entrée du couloir en ce mettant à couvert et prêt à tirer sur le menace immédiate, c'est alors qu'un corps ce jeta au sol devant eux et il réagirent immédiatement en le criblant de balles. Mais la chose qui avait ainsi sauté en dehors du couloir était le cadavre d'un de leur regretté camarade, puis, quand ils se rapprochèrent pour examiner la chose, une explosion provenant de l'ex sectaire retenti et balaya ceux qui avaient eux la sombre idée de s'approcher un peu trop près, les autres avaient été secouer par le souffle. Avant que les survivants ne reprennent leurs esprits, une Elise armé d'un pistolet dans chaque mains surgit du couloir pour les arroser allégrement de balle en sautant et en effectuant diverses pirouettes. Voila comment une Tekhanne entrainée prouvait que le surnombre n'était pas le seul avantage au cour d'une bataille.

La mercenaire observa les alentours rapidement et remarqua un survivant à terre, sa jambe était amochée et il c'était prit une balle dans l'épaule, il ne survivra sans doute pas s'il ne reçoit pas des soins. La miss s'approcha donc de l'homme à terre qui semblait trembler pour sa vie, ou alors à cause de ces blessures. Il n'avait aucun moyen de riposter dans son état, surtout parce que son arme était hors de porté. Elise ce pencha alors vers lui:

- C'était cool, hein? Bon j'ai pas fait de pose mais le gunfight avec la grenade et tout c'était plutôt cool, hein?

Elle parlait sérieusement. Même dans ce genre de situation grave, elle prenait son pied à faire des choses quasi-impossible et réussir tout de même.

- Qu.. Quoi?.... T'es qui??? T'es quoi?

- Moi? Je suis une chasseuse de prime, la meilleure de Tekhos. Bon sinon tu sais pas où trouver un local technique?


- Hein??? Euh... Après la pizzeria là bas... Mais qu'est ce que tu veux?


- J'veux juste trouver un plan du coin. Bon je te laisse, trésor, fait dodo jusqu'à ce que quelqu'un te trouve.

Dit elle à nouveau avec un ton léger qui semblait paradoxale avec la situation et le faite qu'elle venait de massacrer une escouade d'une dizaine d'individu en dix minutes. Elise enjamba le blessé pour ce rendre au local technique afin de trouver un vrai plan du complexe afin de pouvoir rejoindre Belphy avant que celle-ci n'est des ennuis... Même si elle ignorait que c'était déjà le cas. Après avoir rejoint son objectif premier et trouvé un plan des accès des employés, elle partit à la recherche de son amie dans les profondeurs de la station.

Le survivant quand à lui avait utilisé sa radio pour appeler le reste du groupe, surtout le grand patron derrière tout-ça.

- Att... attention. Il y a une femme armée dans le secteur des magasins... Elle est armée et dan... dangereuse... Elle viens de nous massacrer.... Elle viens de massacrer le groupe.. aie.. D... Demande assistance médical et arrf.... Soyez vigilant cette pétasse est vraiment dangereuse... un vrai monstre....


La miss se doutait bien que le blessé allait appelé du monde à la rescousse et elle s'y attendait. Elle l'avait laissé en vie pour qu'il raconte ce qu'il a vu et qu'il crée un climat de danger parmi les cinglés, même si ce n'était pas gagné. Au moins ils savaient qu'une menace planait sur leurs têtes et qu'en plus de ça c'était une représentante de la gente féminine qu'ils regardaient de haut avec tant de mépris depuis tout à l'heure. Elise était maintenant en chasse, elle allait leur montré qu'elle était bel et bien la meilleure chasseuse de prime de Tekhos. Elle comptait tous les éliminer s'ils avaient la sotte idée de venir interférer entre la miss et sa camarade disparue, potentiellement morte mais tant que ce n'était pas prouvé elle se battrait jusqu'au bout.



Belphy Mueller

Créature

-Du coté de Belphy-

Que se passe-t'il quand une jeune femme, en maillot de bain usé par une chute passablement mortelle pour la plus grande partie des êtres constituant l'humanité, se retrouve dans une situation où elle rencontre quelques fanatiques d'un ordre misogyne prêt à tout pour faire usage de leurs gros muscles, et de leurs virilité saillante, afin de se détendre et assouvir leur besoin primaires sur la moindre demoiselle qui se trouverait à leur goût ? Eh bien pour être tout à fait honnête, la jeune demoiselle Mueller n'avait que peu désir de le découvrir, mais elle n'avait pas, en cette occasion, le droit d'exprimer son avis, car ceux qui venait de la récupérer au milieu des salles les plus profondes du complexe sous-marin en avait décidé autrement, et elle n'avait finalement ni les forces, ni la santé nécessaire pour se permettre de se défendre face à ces horreurs masculines au regard torve. Rapidement, et finalement avant même que quoi que ce soit ne puisse être prononcé au delà de leur petit dialogue entre membres, elle s'était retrouvée soulevée et transporter par le plus solide d'entre eux, un espèce de lourd gorille à l'odeur nauséabonde, qui ne semblait que bien peu loquace, mais qui ne manquait pas de répondre à ses protestation en appliquant une poigne douloureuse sur sa jambe blessée, la faisant taire dans un bruit de pur douleur. Après trois piètres tentatives, et les larmes aux yeux pour diverses raisons, elle avait dés lors acceptée à contre-coeur son état, et se laissait simplement emportée au loin, serrant les dents en se jurant qu'elle aurait la vengeance qu'elle méritait sous peu. Qu'est-ce qu'elle haïssait les hommes !

Après quelques minutes, ce fut sans la moindre douceur qu'elle fut jeter dans une salle telle un vulgaire objet, et si elle parvint ce coup-ci à étouffer le cri de douleur que lui provoqua son membre brisé, ce ne fut pas sans avoir quelques nouvelles envies de meurtres et d'insultes, même si elle savait pertinemment que dans sa situation, cela ne lui créerait que des problèmes. De manière surprenante, toutefois, elle vit rapidement la moitié du groupe qui l'avait accompagnée repartir en direction du complexe, la laissant avec les deux qui s'étaient plus ou moins prit le bec plus tôt, avant de tomber en commun accord, et elle jugea dés lors presque possible une tentative de fuite de sa part, se redressant alors difficilement en jugeant un peu de ses chances d'éliminer les deux opportuns sans alerter leur alliés. Pour l'instant, ils se trouvaient bien trop éloigné l'un de l'autre, mais avec un peu de chance, ils finiraient dans peu de temps par s'approcher d'elle, et dans ce cas là, elle aurait l'ultime possibilité de les assommer, voir même d'en tuer un pour ensuite se servir de l'autre pour couvrir sa fuite, sous la menace d'une mort certaine si il n'obéissait pas, ce qui aurait toute tendance à fonctionner après qu'il ait contempler l'élimination de son camarade. Enfin, toute cette théorie aurait put en effet se tenir si quelques mauvaises surprises ne l'attendait pas, et bien malheureusement pour elle, alors même qu'elle se voyait déjà triomphante, elle ne manqua pas d'ouïr leurs propos, et ce avec une soudaine crainte pour son état, surtout après que l'un des hommes ait fouillé les placards du lieu pour sortir une épaisse boîte de premiers secours, dont il sortit une seringue et un petit flacon.

« T'es sur que ça vas pas l'endormir ? J'te fais confiance t'sais, mais bon la médecine c'pas mon truc !
 -  Paaaaaas de soucis. Ecoute, cette petite pute a une jambe en vrac, et même si j'aime les entendre pigner, c'est plutôt quand je me sers de ma queue pour leur rappeler qui, de l'homme ou de la femme, est l'être supérieur.
 -  Ouais mais... Tu connais l'dosage ?
 -  Au poil mon gars, j'ai du réparer plus d'un bras pété par le vieil archi-prêtre, il a tendance à s'amuser avec ses vides-couilles. Crois moi, elle vas juste se sentir ramollie, et sa jambe elle va l'oublier... Par contre, elle vas les sentir ses muqueuses du coup, cette chienne.
 -  L'idée me plait bien !
 -  Bande de malades ! Salopards, déments, SEXE INFERIEUR ! »

Si ses provocations n'avaient jusqu'ici pas atteint leur cible, ce coup-ci, elle ne manqua pas de voir immédiatement les deux visages se tourner vers elle avec un mélange d'incrédulité et d'outrage, comme si elle venait de proférer exactement ce qu'elle n'aurait pas dut dire si elle souhaitait encore avoir la vie sauve, ou être considérée un seul instant comme une victime lambda, et non une impie à leurs yeux, méritante de mille souffrances. Ils ne répondirent pas, mais en revanche, l'homme à l'aiguille s'approcha dés lors sans attendre, et la lui planta droit dans la cuisse, avant de finalement vider immédiatement le contenu de la seringue dans celle-ci, propageant le tout directement dans son muscle qui se détendit bien rapidement, pour qu'ensuite le reste des capillaires sanguines se mettent à véhiculer le produit dans son corps déjà faible. En effet, la douleur disparaît immédiatement, et alors que l'homme vient l'attraper par les cheveux pour la forcer à relever le visage, Belphégor lui offrant dés lors le plus beau regard de provocation et d'insoumission qu'elle pouvait lui offrir, il vint la tirer avec force en avant pour la projeter contre le sol avec violence, la faisant couiner de douleur alors que son corps protesta comme il put de ce traitement, par le biais de quelques soubresauts bien pathétiques. Rapidement, son pied encore botté lui atterrit sur le visage, l'obligeant à conserver la face contre terre sans même qu'elle ne puisse lutter contre son poids, bien qu'elle en eusse grand envie, et il s'exprima avec une voix colérique, mais impérieuse, lui énonçant quelques tristes vérités, mais surtout, à quel point il allait s'en amuser d'ici peu :

« Tu sais, petite chienne, si tu veux pas avoir de sévères problèmes, tu devrais faire profil bas. Tu sais, je crois que j'ai de beaux projets pour toi : D'abord tu vas vider mes couilles, puis mon pote vas aussi te faire ta fête. Ensuite, on va te filer aux chiens, avec un peu de chance, ils t'apprécieront suffisamment pour ne pas te dévorer, mais ils t'apprendront qui est le sexe faible dans l'histoire, d'une si bonne manière que tu finiras par aboyer pour parler... Et d'ailleurs, on va commencer dés maintenant ! »

Elle trembla, voulut lutter, mais dénué de ses forces, et sous l'effet de l'anesthésiant, elle n'eut que la capacité de faire mine de frapper l'un de ses tortionnaires quand ils la levèrent, et la posèrent sur la table. L'instant d'après, son maillot de bain lui fut arraché, ses seins tombèrent doucement, promesse certaine pour ces hommes d'amusement,et son antre intime se dévoila à leurs yeux. Tout ce qu'elle put faire, c'est protester :

« Immondes pourceaux, sale engeance, je... Je vous tuerais.
 -  Oh c'est vrai que nous avons des porcs aussi, je crois qu'on les conviera à ta.... "réhabilitation" »

. . . . .

-Du coté d'Elise-

Efficace, mortelle, rapide, il y avait bien des adjectifs pour définir la belle femme aux cheveux violets qui parvenait, malgré sa bien légère tenue, à progresser au milieu des fanatiques et de leurs forces pour se diriger de plus en plus hâtivement en direction de sa camarade d'action, et cela commençait à provoquer une forte irritation du coté des forces religieuses, voyant d'un bien mauvais oeil la présence de cette furie qui les humiliait au fur et à mesure de sa progression. Bien sur, les divagations qu'ils avaient obtenus de la jeune femme laissait tout à penser qu'elle était à moitié folle, mais pour autant, il ne prenait pas le sujet à la légère, du moins il le prenait de moins en moins, et commençait à trouver un peu de sérieux dans les plans qui étaient rapidement communiqués pour permettre à tous d'arrêter cette avancée infernale qui en était rendue à deux étages vidés des forces du saint ordre ésotérique des profondeurs. Pourtant, et sans même que qui que ce soit en ai la réponse claire, chacune de leur tentative semblait devancée par les tactiques militaires de la jeune femme, certaines personnes pourtant entraînées à tirer ayant le malheur de découvrir une visée à la précision inhumaine, ou des déplacements dont ils n'avaient guère prévu le soudain déploiement, finissant troué de balles, où laisser pour mourant par l'efficace mercenaire Tekhane, en pleine quête de sauvetage. Finalement, les communications radios s'enflammaient de plus en plus, certains des fidèles témoignant de leur manque de motivation à faire face à cette furie, et ce fut les propos de l'archi-prêtre qui résonnèrent au travers du matériel haut-de-gamme, exprimant quelques terribles décisions.

« Ksshhrt... à tout les fidèles. Repliez vous dans l'étage -4, concentrez vous sur la surveillance des explosifs. Groupe E, suivez le protocole en cas de résistance militaire.... Ksshhrt. »

Rien de bien précis pour la femme qui jusqu'ici agissait comme une divinité vengeresse, mais sa progression fut étrangement simplifiée en cette occasion, lui permettant de quitter l'étage inférieur deux dans lequel elle se trouvait pour finalement atteindre l'étage se situant plus bas, et qui se trouvait désormais vide de toute présence, comme si on lui laissait pleine capacité pour atteindre l'étage suivant, et donc les membres qui s'y étaient réfugiés. Le piège, bien sûr, paraissait évident, mais elle se devait tout de même de traverser les lieux pour atteindre les prochains escaliers, et encore plus, elle se devait ensuite de parcourir le domaine inférieur pour dés lors pouvoir atteindre le lieu où avait été trouvée sa chère Belphégor, et donc la libérer des quelques tortionnaires qui avaient mis la main sur elle. Surtout que bon, au vu de leur moeurs, si la fameuse femme qu'ils avaient récupérés était en effet la chasseuse de prime au tempérament aussi flamboyant que sa chevelure, il n'était à n'en pas douter qu'elle risquerait de très mal vivre leur misogynie primaire, non sans parler des touchers auxquels il la soumettrait le cas échéant. En tout cas, tout semblait parfaitement calme, plus la moindre communication dans les environs, pas le moindre membre armé à des centaines de mètres à la ronde, et plus encore, à cette profondeur, plus le moindre son de panique ne se faisait entendre. C'est comme si, soudainement, Elise s'était retrouvée seule au milieu du grand complexe, et qu'elle était désormais l'unique personne vivante des lieux... Du moins pour l'instant...

Car alors qu'elle atteint le tiers de son avancée dans le nouvel étage, quelque chose de bien particulier se produit. La ventilation des lieux, l'intégralité de celle-ci, se met soudainement en marche, et non contente de délivrer un souffle d'une grande fraîcheur, léchant légèrement la peau dénudée d'Elise pour lui offrir une légère chair de poule, le tout de l'étage commence lentement à être envahit par un gaz léger, qui bien content de ne pas directement s'échapper en direction du sol, semble suffisamment léger pour rester au niveau des hauteurs, emplissant rapidement les couloirs d'une couverture opaque. Une quantité astronomique de gaz suffocant, quelques chose qui normalement aurait dut être utilisé en dernier recours face aux forces de l'ordres qui auraient eut le malheur de s'approcher avec de l'équipement léger, afin d'aller rapidement désactiver les charges explosives, mais qui avaient été utilisés finalement pour chercher à incapacité la femme qui semblait, à elle seule, faire le travail de toute une escouade. L'épais brouillard, n'occupant au départ que les environs du visage de la femme, se mit d'ailleurs à emplir l'espace de manière incontrôlée, descendant d’abords au niveau du bassin, pour rapidement avoir même occupé l'espace jusqu'à la hauteur des chevilles. Rapidement, il n'est même plus possible de respirer quelques part sans ingérer la fumée, et se mettre à cracher et s'asphyxier progressivement, jusqu'à s'évanouir. Le gaz finira par être coupé au bout d'un moment, pour ne pas que le quatrième étage inférieur n'en souffre, mais malgré tout cela, c'est avec appréhension que des équipes remontent, espérant trouver, plus haut, la forme inconsciente de cette némésis imprévue...

Auront-ils cette chance ?

Elise Grantierre

Humain(e)

Petit à petit, la mercenaire progressait à travers les étages de la station avec la même ferme intention de retrouver son amie avant qu'il ne lui arrive malheur, si elle n'avait pas périe dans sa chute. Les soldats de l'ordre avaient envahit tout le complexe et étaient à la recherche d'otage ou étaient placé à des endroits stratégiques pour neutraliser toute intervention militaire venu de l'extérieur sans imaginer une seconde que la menace viendrait des cabines d'essayage d'une des nombreuses boutiques du parc. À part quelques patrouilles et un ou deux checkpoint, les allées étaient plutôt déserte, les otages avaient été amener dans des endroits plus facile à surveillé et à protéger en qu'à d'attaque. Ce qui rendait la progression d'Elise très simple au départ. Le message envoyé par le survivant avant sans doute été prit à la légère mais les premiers hommes qui avaient été envoyé pour voir ce dont il en retourne, avaient croiser le chemin de la mercenaire et ils furent très vite éliminer par celle-ci. Elle avait l'avantage de la surprise mais très vite les soldats formaient des groupes d'interventions plus nombreux et plus alerte, mais malgré ça, la miss les neutralisa en usant de ruse et d'habilité surhumaine, n'oubliant pas de ce servir en équipement sur les corps des fanatiques pour récupérer munition et autre accessoire utile.

Plus Elise s'engouffrait dans le complexe, plus les hommes venaient armés et nombreux, mais cela ne suffisait pas à l’arrêter. Utilisant des passages détourner, ou plus simplement en snippant ses adversaires avec un simple pistolet quand ceux-ci avaient le malheur de montrer leur affreuse tête, les groupes d'attaques ne faisaient que ralentir sa progression. Mais eu fur et à mesure qu'elle les éliminait, un vent de panique envahit progressivement le cœur de ces tarés au point que certains osaient désobéir aux ordres, quitte à être sévèrement punis, que de partir à la chasse de cette femme. Ils lui avaient même donné un nom: la Furie. Ce qui la fit sourire à plusieurs reprises. Ce que ces idiots n'avaient pas compris jusqu'à présent c'est que la jeune femme avait toujours une longueur d'avance sur eux car elle avait gardé la radio de sa première victime, caché dans la poche du gilet pare balle qu'elle lui avait prise. Depuis le début, elle écoutait leur conversation et savait quelle méthode ils allaient employer pour tenter, en vain, de la neutraliser. Cette technique n'allait sans doute pas durée très longtemps quand ils auront enfin comprit le stratagème, mais pour le moment ça restait efficace, comme peux le témoigner le tas de cadavres et de blessés gisant à travers le parc aquatique. 

Puis un message de celui qui semblait être le grand Pope résonnait dans la radio. Il demandait à ses hommes de ce replier dans les étages inférieurs pour surveiller les explosifs et d'appliqué le protocole en qu'à d'attaque militaire. Tout ça pour une simple femme, c'était un sacré honneur qui lui faisait là, elle était enfin prise au sérieux par le grand patron, même si elle savait pertinemment que c'était un piège, elle n'avait pas le choix et devait continuer dans les étages inférieurs pour trouver sa camarade. Le niveau -3 avait complétement été déserté par les cinglés pour rejoindre le -4 où ce trouvait les bombes. Ils préparaient quelques choses, c'était certain, mais il n'y avait pas beaucoup de possibilité pour aller plus bas que de traverser cet étage car l’ascenseur était inutilisable.

La traversé du 3eme sous-sol ce passa sans encombre, il n'y avait pas un chat. Les soldats devaient l'attendre plus bas, plus armé que jamais. Mais alors qu'elle parcourait l'étage, freiné dans son avancé que par sa prudence qui la forçait à ralentir le pas pour surveiller le moindre recoin pour ne pas tomber dans une embuscade, la ventilation se mit en marche. S'ils pensaient la neutraliser en la refroidissant, ils se mettaient le doigt dans l’œil tellement profondément que s'ils forçaient un minimum ils pourraient ce gratter le trou de balle. La fraicheur n'était pas des plus agréable c'était certain, mais avec le gilet qu'Elise avait récupérer plus tôt sur un des gars, c'était supportable. Le problème c'était surtout le gaz qui commençait à envahir la zone, un gaz épais et opaque qui étaient surement là pour assommer les malheureux des forces militaires qui étaient descendu aussi bas, ça voudrait dire qu'ils cherchent à protéger quelques choses qui se trouvaient encore plus dans les profondeurs du complexe. Surement les bombes, mais peut aussi aussi le chef de tout ça. C'était un gaz lourd qui ne laissait que peut de chance à ceux qui avaient la malchance de le respirer et était suffisant pour endormir quelqu'un en un minute ou moins.

Le gaz ce dissipa aussi rapidement qu'il était venu et un groupe d'homme arriva au 3eme sous-sol afin de capturer celle qui leur pose problème depuis plus d'un heure maintenant. Il était impossible qu'une humaine normalement constitué puisse respirer ce gaz et être en encore debout, si jamais elle n'était pas inconsciente, alors cette femme était une sorte de démone. C'était la seule explication logique à tout ce qu'elle venait de faire, tout ces massacres alors qu'elle était seule et inférieur à cause de son sexe. Les soldats se dispersèrent pour fouiller l'étage à la recherche du corps comateux de la jeune femme. Dans un premier temps, ils ne la trouvèrent pas, ce qui fit naitre une certaine inquiétude au sein du groupe de récupération. Ils parlaient de démon ou de déesse de la vengeance. Mais un soupire de soulagement leur vint à l'esprit quand un d'entre deux annonça au autres par radio qu'il avait enfin trouver la miss inanimée dans un coin. C'était une victoire pour eux et très vite ils partirent en direction de leur camarade qui venait de trouver la Furie afin de le féliciter, même s'il n'y était pour rien dans cette histoire.

La victoire et la félicité ce transformèrent très vite en cauchemars quand le reste du groupe rejoignit leur camarade, celui-ci avait la gorge tranché et une silhouette gracile avec un masque à gaz les regardaient, un couteau ensanglanté dans la main. C'était la Furie. Elise avait utiliser un masque à gaz qu'elle avait pris sur un des hommes au étages supérieur et avait utilisé celui-ci pour ce protéger du gaz assommant. Les soldats de l'ordre passaient vite du sourire à la grimace d’effroi en voyant cette "chose" sur le cadavre d'un des leur. Tout ce qu'ils avaient entendu jusqu'à présent sur cette menace venait de ce matérialiser sous leurs yeux. Avant que la stupeur et la crainte ne quitte les cinq hommes, la fille au masque à gaz envoya son couteau en plein dans la poitrine de l'un d'eux et glissa jusqu'à un magasin où elle se mit à l'abri tandis que les quatre restant tiraient dans sa direction en adoptant un repli stratégique. Deux autres périrent des balles de la miss au cheveux violet, en plein entre les deux yeux. Les deux survivants s'enfuirent aussi vite qu'il le pouvait jusqu'à ce que l'un d'eux tomba au sol après s'être prit une balle dans la jambe.

Elise s'approcha de celui-ci en retirant son masque à gaz pour dévoilé son visage et ses cheveux à celui-ci qui venait de tomber au sol. Elle se pencha au dessus de lui avec le sourire.

- Coucou toi. Tu serais assez gentil pour me dire où ce trouve votre chef? S'il te plait.


- Va.. Va chier salope. J'te baise toi et ta mère.


- Je vois....


La miss pointa son pistolet vers l'entrejambe de celui-ci et tira sans sommation. Le cri que poussa sa victime résonnait dans tout le 3eme sous-sol.

- .... ça risque d'être compliqué comme ça. Puis j'ai deux mamans. Renseigne toi un peu. Pff.

- Harrf... Je... je peux pas te dire où il est... Il me tuerait.

- Hum. C'est vrai que j'ai nullement envie de te tuer, juste te faire atrocement souffrir jusqu'à ce que tu prie ton Dieu de n'avoir jamais existé.

Puis la demoiselle déposa le canon de son arme encore chaud contre l'épaule du truand. Il était perturbant de voir le visage de la jeune fille à ce moment là car elle ne montrait nullement qu'elle s’apprêtait à torturer un type jusqu'à la mort. Non elle restait d'un naturel souriant malgré la situation.

- No.. Non... Arf.. Tire pas.... Il... Il est avec ses garde du corps. Aie... Tu ne l'atteindra jamais.

- Je suis Furie, mon grand. Une déesse cruelle descendu du ciel pour venger toute les femmes que vous avez malmené. Alors ton grand prêtre à deux balle je mange dix à son petit déj quand j'ai très faim.

Elle était entrée dans son rôle de démone car ça l'amusait beaucoup de ce dire qu'un groupe de mercenaire avait peur d'elle au point de la considérer comme une sorte de créature surnaturel.

- Bon. Où sont les otages?


- Il... Il y en a aiiie.. Au 4eme sous-sol, au niveau 0 aussi. Je ne connait pas leur emplacement exacte mais il y en a un peu partout... Arffggg...

- Je vois. Tu ne sert pas à grand chose on dirait....

Dit elle avant de l'assommer d'un bon coup de poing dans le visage puis de le laisser là pour qu'il se vide de son sang. Ces gars là avaient assez de moyens pour mettre en déroute un groupe de policiers, donc ils allaient poser problème, mais pas autant qu'un groupe de Formiens. Du coup elle n'avait pas le choix et devait continuer plus profondément si elle voulait retrouver Belphy, sans avoir de précision quand à son emplacement exact. Au pire elle demandera "gentillement" à d'autre mec où pourrait se trouver la rouquine. Mais pour le moment il n'y avait qu'une seule option, descendre encore plus et éliminer ceux qui se dressent face à elle.



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