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La fée porte-bonheur [PV Rari]

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Orta Walkyrien

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La fée porte-bonheur [PV Rari]

lundi 28 novembre 2016, 16:22:39

Début de l'automne, et le soleil se couche désormais beaucoup trop tôt. Je marche dans une plaine avec des herbes hautes, sèches, seul quelque colline au loin marque le paysage. La nuit est déjà tomber depuis une heure, et les étoiles préfèrent se cacher derrière un ciel lourd de nuages, si épais qu'on pourrait penser qu'ils s’apprêtent à écraser le monde de leurs tailles. Un vent violent souffle depuis déjà longtemps, cherchant à souffler tout ce qu'il peut sur son passage, même moi s'il en avait les moyens. Cela ne pouvait présager qu'une tempête, mais le climat restait encore stable. Je n'avais pas marcher tant que ça, mais la vitesse à laquelle les nuages passaient au dessus de ma tête, en sens inverse, me donnait l'impression d'avoir déjà traversé le pays. Ma cape noir tirait sur mes épaules, pour pouvoir partir au gré des éléments, et seuls mes épaules nus me permettait encore de la garder à mes côtés.

Finalement, une ville apparut à mes yeux, quelques lumières dansantes, chahuter par l'orage, et une masse sombre bloquant toute visibilité. Il s'agissait de Gornorf, une ville fortifié vivant à la frontière des terres sauvages, existant pour repousser les assauts des villages autochtones. Deux gardes commencèrent à me voir approcher, à peine éclairer par leurs lampes menaçant de s'éteindre à tout moment. Des murs de pierre entourait toute l'agglomération, surveillé par plusieurs tours assez hautes pour voir sur des kilomètres à l'extérieur. Je venais de l'est, le côté opposé des terres sauvages s'étendant à l'ouest, et je me trouvais donc au côté le moins surveiller de la ville. Les deux gardes parurent totalement surpris de voir quelqu'un approcher si tard et malgré la tempête. Presque recroqueviller sur eux-mêmes, ils faisaient pitié devant leur grande porte de bois d'au moins quatre mètres. L'un d'eux me lança une fois que je fut à porter:

-Halte-là ! Qui êtes-vous et que faites vous ici ?
-Walkyrien. Je vais à l'auberge des blés chantants.

Peut-être aurait-il voulut m'arrêter, mais les yeux rouges ressortant dans le noir que je posais sur eux, et l'air menaçant que je pouvais avoir les découragea rapidement. Ils savaient que si je voulais entrer, ça n'allait certainement pas être eux qui aurait les moyens de m'arrêter, ni cette porte. Celui qui m'avait adresser la parole ne put même pas me répondre et ne réussit qu'à ordonner l'ouverture de la porte à ses collègues. L'énorme passage en bois fit un bruit du tonnerre en s'ouvrant, dépassant même celui du vent. N'attendant pas qu'on m'en donne la permission, je m’engouffra dans la ville alors que le passage se fermait à nouveau derrière moi. Le vent était beaucoup moins fort à l'intérieur, coupé par les hautes murailles de pierre. La ville restait néanmoins peu éclairé, et paraissait même plutôt pauvre. Au vue de sa situation, presque tout l'argent finissait dans le militaire et la sécurité, et les nobles se faisaient très rares. Beaucoup de soldats déambulaient dans les rues, sombre et nombreuses, presque labyrinthique, afin de réussir à couper toute force ennemie qui tenteraient d'envahir la ville.

Je ne connaissais pas les lieux, mais j'étais capable de retrouver assez rapidement l'auberge des blés chantants grâce aux explications que l'on m'avait donné. Il y a plusieurs jours de cela, dans une des villes que j'avais put visiter, j'entendis parler de la part d'un homme d'un endroit caché dans les terres sauvages, gardés par une civilisation indigène féroce. Personne ne sais ce qu'il se trouve exactement dans ces lieux, mais de nombreuses rumeurs parlent d'un dieu qui y résiderait encore aujourd'hui. Bien sûr, personne ne sais si c'est vrai, mais ce qui est sûr, c'est que le lieu est profondément lié à une entité divine. Il ne m'en fallut pas plus pour vouloir obtenir plus d'informations sur le sujet. On me raconta que cette endroit était sous-terrain et sûrement immense, contenant des trésors plus grand que ceux de tous les rois, et des secrets capable de renverser la face même du monde. Le nom de ce lieu est Nahualka, et j'appris aussi que, pour pouvoir s'y rendre, je devais chercher une certaine Rari, une exploratrice qui savait ou trouver le lieu, et qui cherchait depuis longtemps à y pénétrer.

Me voilà donc en ce lieu, après plusieurs jours de voyage sans faire de pauses. J'ouvris la porte de l'auberge qui faisait aussi taverne vu le bruit qu'on pouvait entendre à l'intérieur, des rires, du mouvement et de la musique. Mon entré stoppa alors tout le monde, ne laissant plus qu'un silence peser sur ce lieu, habituellement si joviale. Il faut dire qu'avec mon apparence à faire pleurer de peur les inconnus et l'aura de puissance que je dégageais, pas facile de passer inaperçu. Mais j'avais l'habitude de cela depuis un moment, c'est pourquoi je m'approcha simplement de l'aubergiste, un homme de 1m85 qui faisait sûrement videur aussi. L'auberge n'était pas des plus luxueuse, on pourrait même dire qu'elle était simple, quelques tables en bois parsemant le lieu, entouré de plusieurs tabouret de même qualité, seul le bar en face de la porte cassait la monotonie du lieu, ainsi qu'un escalier dans le fond à droite de la pièce. La lumière était faible, surtout pour deux tables ou on ne voyait presque pas les occupants, au fond à gauche. Je m'arrêta donc devant le plutôt grand homme et lâcha sans aucune présentation ou autre marque de politesse:

-Je cherche Rari.

Rari

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    Description
    Âgée de près de 160 ans, la Fée Rari a décidée de partir à l'aventure plutôt que de rester dans sa foret à se tourner les pouces dans des fleurs. Elle est bien moins timides et beaucoup plus entreprenante que ses consœurs féeriques.

Re : La fée porte-bonheur [PV Rari]

Réponse 1 mardi 29 novembre 2016, 12:32:00

Il y a quelques temps, Rari était arrivée dans ce village fortifiée pour remplir quelques missions et gagner ici aussi une certaines réputation, non pas pour la renommée en elle même, mais plutôt pour qu'on lui offre des missions plus importantes et dangereuse et, de fait, plus palpitantes. Lorsqu'elle avait réussit à ramener vivant un criminel qui planifiait des attaques contre le fort, le patron lui avait alors parlé d'un client mage, qui désirait obtenir un objet au fin fond de Nahualka, un immense donjon souterrain dont l'entrée se trouvait quelque part dans la forêt, gardée par de redoutables autochtones. La récompense était élevé, du fait de la dangerosité de la mission et des précédents aventuriers qui n'en étaient pas revenus. La fée avait toutefois acceptée la mission et partit le lendemain.

Honnêtement, trouver l'entrée ne fut pas bien dur. En volant loin au dessus de la cime des arbres, il lui fut facile de la trouver : une sorte de grotte entre deux arbres morts entremêles et au milieu d'une série de cascades et de rapides. Les ossements éparpillés autour devaient sans doute être les corps des aventuriers précédant ayant échoués, et servant probablement de gardiens, au vu des résidus de magie qu'elle ressentit. Elle pu toutefois les éviter et s'engouffrer dans le donjons souterrain, et éviter la plupart des pièges. Elle eu néanmoins quelques combats à faire, plus ou moins longs, avant d'être stoppée par une protection magique particulièrement puissante. Rari n'avait toutefois pas les compétences nécessaires pour la désactiver et dû rebrousser chemin. Elle ne rentra au fort que tard dans la soirée, épuisée mais toujours en vie.

Même si elle n'avait pas réussie la mission, elle était revenue en un seul morceau et avec des informations relativement importantes sur la localisation de Nahualka et sur ses protections. Elle eu donc droit à 40% de la récompense initiale, ce qui faisait tout de même un joli pactole. Rari était toutefois déterminée à y retourner, dès que son commanditaire trouverais un moyen de désactiver la protection magique qu'elle lui avait décrite. Ils étaient en train d'en discuter autour d'un verre, le lendemain soir, lorsqu'une sombre silhouette entra dans la taverne, jetant un froid immédiat sur l'ambiance. Sans un bruit et dans un silence de mort, l'ombre se déplaça tel un spectre jusqu'au comptoir et le tavernier indiqua leur direction.

Rari était assise à une table, une chope d'hydromel à la main et fixait l'étranger avec un certain intérêt. Celui-ci toutefois, sera sans doute surpris en constatant que la table en question était plus petite et posée sur une autre table. En fait, Rari avait simplement réduit meubles et objets afin de s'assoir à une table, sur une table, ce qui offrait sans aucun doute une image assez atypique, compte tenue en plus de sa nature et de sa tenue. L'inconnu approcha donc et Rari posa sa mini chope sur sa petite table et croisa les bras.

- C'est moi que tu cherche ? Que me veux-tu ?

Orta Walkyrien

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Re : La fée porte-bonheur [PV Rari]

Réponse 2 mardi 29 novembre 2016, 14:22:38

Le tavernier ne semblait vraiment pas dans son assiette, on aurait presque crut qu'il venait de rencontrer la mort en personne. Après une petite seconde, il désigna une table un peu plus loin, proche d'une fenêtre donnant sur l'extérieur, plongé dans le noir. Le vent pouvait encore se faire entendre de là. J'observais la table et ne vis qu'à première vue un homme assis, dans une tenue ample qui cachait presque tout son corps. Mais la personne que je cherchais était une femme, et c'est là que je vis la petite table sur l'autre avec une personne minuscule assise, une choppe à la main. Je m'approchais donc de cette table pour un peu mieux détaillé les deux personnes. L'homme avait un air assez dur, malgré la surprise, totalement chauve, et d'une carrure très sèche, svelte.

Mais le plus intéressant fut cette petite personne qui me regardait avec intérêt, fallait dire que j'avais fais sensation. J'observais rapidement la table, réduite à sa taille et me dit que cela ne pouvait qu'être magique, aucune raison de créer un tel meuble, même pour une cliente exceptionnelle. J'oublia donc bien vite l'homme et me demanda que pouvait bien être cette personne, c'était bien la première fois que je voyais une fée, et je n'en avait encore jamais entendu parler. On en apprend tous les jours. Ses ailes attirèrent mon attention, elles ne semblaient pas être magique, cette personne n'était donc sans doute pas humaine, mais je ne ressentais rien de démoniaque émané d'elle. J'étais plus curieux qu'autre chose, n'ayant rien contre les races non-humaines, enfin, à condition que je n'ai rien à leur reprocher, comme tous. Ses vêtements semblaient vraiment fin, trop fin même, si elle avait eu une taille normal, aucun doute sur le fait qu'elle aurait déjà été abordé par tous les hommes de la taverne.

-C'est moi que tu cherche ? Que me veux-tu ?

Elle avait posé sa choppe sur sa mini-table et serré les bras, me regardant d'un air perplexe. Pas une seconde elle semblait être impressionner, comparé à tous les autres qui commençaient déjà à prier pour leurs vies. On pouvait dire qu'elle était intéressante avec ses ailes, sa magie, et surtout un caractère qui me semblait être plutôt bien trempé. Mon aura commença à peser sur les deux autres, rendant livide l'homme qui était à table avec la fée. Je ne pris pas le temps de m’asseoir, restant debout au bord de la table. Je regarde surtout la fée, ayant presque déjà oublié l'homme et répond:

-Si tu es Rari, oui. Je veux aller à Nahualka. On m'a dit de trouver pour ça, que tu pourrais m'aider à le trouver.

Ma voix n'était pas vraiment des plus chaleureuses, bien que je ne semblait pas non plus agressif, et je ne le faisais vraiment pas exprès, le social était une plus grande épreuve pour moi que de chercher à sortir des enfers. Toutefois, je ne prenais pas de haut la petite fée, je n'était clairement pas du genre à comparé les uns avec les autres, j'avais même un peu plus d'intérêt pour cette étrange personne, me demandant quel genre de pouvoir elle pouvait avoir et qui elle pouvait être. J'attendis donc ça réponse alors que les autres clients cherchèrent à m'ignorer et reprendre le fil de leurs occupations. Je n'avais rien prit à boire et à manger, malgré que cela faisait plusieurs jours que je n'avais rien avaler. J'allais donc devoir le faire à un moment ou un autre, et dormir aussi, mais la simple idée qu'un dieu se trouvait non loin de moi, dans un donjon.
« Modifié: mercredi 30 novembre 2016, 12:43:44 par Orta Walkyrien »

Rari

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  • Fiche

    Description
    Âgée de près de 160 ans, la Fée Rari a décidée de partir à l'aventure plutôt que de rester dans sa foret à se tourner les pouces dans des fleurs. Elle est bien moins timides et beaucoup plus entreprenante que ses consœurs féeriques.

Re : La fée porte-bonheur [PV Rari]

Réponse 3 mercredi 30 novembre 2016, 13:09:48

- Si tu es Rari, oui. Je veux aller à Nahualka. On m'a dit de trouver pour ça, que tu pourrais m'aider à le trouver

- Les nouvelles vont vite. Je ne suis rentrée de Nahualka qu'hier soir seulement.


Le plus probable devait être qu'il cherchait ce donjon depuis un moment, que certains étaient au courants de cela et donc, que cet inconnu à l'aura magique impressionnante avait été prévenu telepathiquement, sans doute via un relais, vu que son commanditaire n'avait pas assez de puissance magique pour transmettre un message mental sur plus d'un kilomètre. C'était plus un chercheur qu'un véritable mage. Rari se tourna vers le chauve et celui-ci sembla comme revenir à la vie, remis de ses émotions.

- Je présume donc que vous êtes M. Walkyrien. Voyez vous Mlle Rari, la protection magique à laquelle vous avez été confrontée est l'une des plus puissante de Terra. Seuls quelques mages sont capables de la briser, dont notre homme ici présent fait partit. Hors, il se trouve qu'il est lui aussi à la recherche de quelque chose en ce lieu, pour des raisons qui ne regardent que lui. Vous avez besoin de lui pour accéder au cœur de Nahualka, et il a besoin de vous pour trouver le donjon et éviter la plupart des pièges. Vous formerez une bonne équipe.

Rari hocha la tête et regarda de nouveau l'inconnu. Il semblait effectivement dégager une certaine aura de puissance. Sa magie n'était pas aussi impressionnante, mais elle n'était pas loin d'avoir le même niveau, même si cela se ressentait d'avantage au milieu de la nature. Elle termina sa chope et la posa lourdement sur la table.

- Très bien, si vous n'avez aucune objection, on partira demain matin. Si les autochtones rodent la journée, ils restent moins redoutables que les monstres nocturnes. Ah, et je ne voyage qu'avec les gens dont je connais le prénom.

La fée se leva et fit léviter tout les petits objets vers une autre partie de la taverne, où ils reprirent leur taille normale.

- Vous pouvez utiliser ma chambre. C'est pas comme si je prenais toute la place après tout.

Orta Walkyrien

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Re : La fée porte-bonheur [PV Rari]

Réponse 4 mercredi 30 novembre 2016, 13:45:07

Hier soir ? Mes yeux se posèrent sur l'homme encapuchonné, alors qu'il commença à parler pour expliquer la situation:

- Je présume donc que vous êtes M. Walkyrien. Voyez vous Mlle Rari, la protection magique à laquelle vous avez été confrontée est l'une des plus puissante de Terra. Seuls quelques mages sont capables de la briser, dont notre homme ici présent fait partit. Hors, il se trouve qu'il est lui aussi à la recherche de quelque chose en ce lieu, pour des raisons qui ne regardent que lui. Vous avez besoin de lui pour accéder au cœur de Nahualka, et il a besoin de vous pour trouver le donjon et éviter la plupart des pièges. Vous formerez une bonne équipe.
-Ne me dîtes pas Monsieur.

Je ne comprenais toujours pas l’intérêt de ses pronoms que les gens de ce pays avaient parfois l'habitude d'utiliser pour parler avec d'autres personnes. J'avais d'ailleurs compris que celui qui venait d'être utiliser était une sorte de marque de respect. Et bien que je ne souhaitais pas non plus qu'on m'insulte sans vergogne, ce genre de mots pour essayer d'amadouer les gens ou encore les manipuler. Les humains faisaient ce qu'ils voulaient entre eux, mais ce genre de choses n'était juste pas fait pour moi.

Mes yeux retournèrent en direction de la fée, alors que je venais à nouveau de mettre mal à l'aise l'homme, qui reposa de nouveau sa choppe et après qu'elle ait sans doute évaluer mes pouvoirs. Ma magie était assez faible en soi, je ne connaissais que très peu de sorts ou de capacités, et la majorité est offensive. Mais ma puissance elle, que je laissais encore dormir, avait de quoi effrayer les dieux eux-mêmes, il fallait au moins ça. Et enfin, je ne m'inquiétais pas vraiment de mes pouvoirs, car j'étais aussi un excellent épéiste, sans aucun style connu, ayant développé le mien, mais qui s'était toujours révélé efficace. Toutefois, les pouvoirs de la fée n'étaient pas en reste non plus, elle devrait se révéler être une allié de premier choix.

- Très bien, si vous n'avez aucune objection, on partira demain matin. Si les autochtones rodent la journée, ils restent moins redoutables que les monstres nocturnes. Ah, et je ne voyage qu'avec les gens dont je connais le prénom.
-Aucune objection. Et c'est Orta.

Le mieux que je puisse faire pour parler avec des gens que je ne connaissait encore pas, s'en était navrant. Voyager de nuit n'était pas quelque chose qui me faisait peur, et les monstres nocturnes non plus, mais après un tel voyage et avec cette tempête, il valait mieux se reposer pour la nuit, oui.

- Vous pouvez utiliser ma chambre. C'est pas comme si je prenais toute la place après tout.

Je ne répondis rien à cette remarque, préférant suivre la fée à l'étage et la voir entrer dans une chambre pas très grande (à mon échelle en tout cas), mais amplement suffisant. Je ferma la porte une fois rentrer et inspecta les lieux d'un bref regard. Les murs en bois ne semblait pas très épais, mais avaient le mérite de ne pas être pourris, une seule fenêtre, pas très loin du lit, il faudrait la surveiller, et un lit propre mais certainement aussi moelleux que du gravier. Cela ne me dérangeait pas outre-mesure, j'étais habitué à pire. Je posa donc ma cape sur le lit et entreprit de me déshabiller pour m'occuper laver rapidement mes vêtements et moi-même, la pudeur n'était pas non plus quelque chose que j'arrivais bien à comprendre.


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