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Décime et Jugement [PV Yuko]

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Charles-Edouard Arquebuse

Humain(e)

Décime et Jugement [PV Yuko]

vendredi 14 octobre 2016, 02:39:26

- Maître. Votre invité est présent.

Charles-Edouard était à son bureau, la tête dans des feuilles de rapport, qu'il comparait avec ceux sur l'ordinateur, pour déceler les quelques erreurs possible. Il vint à observer Amélie, une servante ayant la trentaine, une jolie femme avec des formes assez fines, blonde aux yeux bleus, elle était d'une famille qui sert les Arquebuse depuis fort longtemps, la servitude de cette famille n'étant pas à rediscuter.  Il vint à s'adosser au siège, venant à retirer ses lunettes.

- Faites le entrer.  

Le conseillé du Maire de la ville vint à entrer, dans une tenue très soignée, il n'aurait de toute manière pas passé le grillage s'il était venu en jogging.  Charles-Edouard sortit de son siège pour venir lui serrer la main.

- C'est un plaisir de vous rencontrer en chair et en os. Monsieur le Maîre est-il toujours souffrant ?

- Il va bien mieux, grâce à votre médecin, nous vous avons une dette envers vous, son état aurait été bien plus alarmant sans votre réactivité.  

- Cela est tout à fait normal envers une personne importante de notre famille. Vous ne nous devez rien. Mais revenons en aux faits je vous prie. Que me vaut votre visite ?

Charles-Edouard vint à inviter le conseillé de s'asseoir, retournant derrière son bureau.

- Votre père ...

Le futur dirigeant eut un léger rictus.

- Que me veut-il ?

Le conseillé vint à sortir un mouchoir pour s'éponger le front, il était très nerveux, venant à hausser un sourcil du maître de maison, qui réfléchissait à quel idée avait eut son père.

- Et bien vous allez bientôt être en âge de vous marier et il a fait une demande auprès du Maire pour trouver des  ... Personnes pour vous donner du savoir pour satisfaire votre futur femme...

Charles-Edouard ne put retenir un rire franc.

- N'ayez crainte d'utiliser des terme plus vulgaire. Père souhaite que je sois instruits par une fille de joie ? Que je sache il a dû vous demander de choisir des femmes selon ses critères, qui ne sont guère les miennes. Faites donc voir cette fameuse liste.  


Charles-Edouard prit connaissance des femmes, avant de mettre la liasse de feuille dans un déchiqueteur. Il vint à observer le conseillé avec un regard sérieux et qui donnait froids dans le dos. C'est alors qu'un bruit se fit entendre à la porte et que Sakura entrait, venant à hésiter.

- Ho excusez moi ... Je repasserais.

Le futur dirigeant prit la parole, usant aussi d'un geste pour que Sakura reste.

- Ce n'est rien, nous avions fini, n'est-ce pas  ? Dîtes à mon père que je trouverais une personne qui convienne à ce poste et que s'il souhaite m'imposer un choix, que cette personne soit au moins de mon âge et non  des fossile vivant.


Charles-Edouard vint à discuter par la suite avec sa chère et tendre, afin de faire comprendre à cette dernière que le dirigeant actuel souhaitait qu'il soit formé aux arts du sexe. Bien évidement Sakura vint à rougir, malgré la contenance qu'elle devait montrer. Après une bonne heure, il fut convenu qu'il ferait une sélection lui-même et laisserait le choix ultime à Sakura. Cette dernière eut beaucoup de difficulté, ne comprenant pas beaucoup le nom des pratiques et Charles-Edouard se gardait bien de l'instruire dessus, ce n'était pas son travail pour le moment.  Il ne fut pas déçu du résultat.

Charles-Edouard vint à payer un détective pour enquêter sur cette Yuko, mais ne parvint qu'à donner plus de mystère sur cette femme. Il désirait pas dilapider davantage de temps et d'argent. L'association de Yuko était assez rôdé, d'autant que de nombreuses connaissance utilisait cette association pour se faire plaisir. Il avait donc choisit de ne pas faire de vague. Il en savait déjà bien plus que la plupart des clients de la fameuse Yuko.

Il prit soin de contacter l'association pour offrir un don pour l'aide, assurant qu'il n'allait pas demander plus. Charles-Edouard était connu pour bien rétribuer le personnes travaillant pour lui ou qui se montrait coopératif, sans être simplement appâter par l'argent de sa famille.  Il vint à envoyé un mail à cette jolie demoiselle, venant à faire court et concis.

Dans le contenu, il n'était pas précisé le tarif demandé, ni une notion de prostitution. Le fond et la forme était tourné vers un style proche d'une convocation pour un entretient d'embauche. Il y avait même en pièce jointe une lettre de recommandation pour une boutique de prêt à porter, afin que Yuko soit vêtue de manière décente. La seule obligation pour Yuko était d'imprimer cette lettre et aller à la boutique, qui ne poserait pas de question. Dans le mail il était aussi dit que la tenue achetée serait pour elle. Bien évidement l'usage de la lettre sans venir à la convocation serait soumis à une poursuite, la lettre faisant d'ailleurs mention du but de l'achat.

Sakura quand à elle était rassurée que cette demoiselle était encore mineur et  plus jeune d'un an, cela la permettrait de garder un minimum d'autorité. Elle comprenait que l'instruction de son mari était important, mais elle ne pouvait s'empêcher d'être inquiète.

La convocation, au reçu du mail, était pour le jeudi après-midi, soit deux jours plus tard, de quoi laisser à Yuko le temps de venir à la boutique et se préparer convenablement. Charles-Edouard comptait bien sur le fait que cette demoiselle sache bien se tenir et respecter ses clients comme ils le souhaitent.

Le choix était entre les mains de Yuko, d'autant que l'association où elle était pouvait certifier que la famille Arquebuse n'était pas du genre à tendre des pièges et étaient assez généreux.
Si gorge déborde de mensonge, votre bienséance sera votre unique salut.

- Parole de Charles-Edouard Arquebuse
- Parole de Sakura Hazabusa
- Parole des serviteurs/servantes
-Parole des autres personnes.


Yûko

Humain(e)

Re : Décime et Jugement [PV Yuko]

Réponse 1 vendredi 14 octobre 2016, 12:43:40

Yûko ne se réveilla pas cher elle, mais dans le lit d'un love hôtel, ce matin la, encore nue mais seule, un peu décoiffée aussi. La veille, elle avait eu pas moins de trois clients en même temps, des fils de nouveaux riches, qui voulais se taper une fille en âge d'aller au lycée. Rien que pour cette nuit, elle avait gagnée 90 000 ¥, et c'était sans compter sur ses autres clients de la journée précédente. L'argent était transférée directement à l'association, qui ne retenait que 10% de l'argent, avant d'envoyer le reste sur son compte dans une banque privée liée à celle-ci et qui ne posait pas de question. C'était aussi cette même association qui l'avait aidée à créée son profil, étant illettrée.

Avant de faire quoi que ce soit d'autre, Yûko décida de prendre une douche et de se décrasser un peu de tout le sperme séché collé sur elle. Cela lui prit une bonne heure et, lorsqu'elle sortit de la douche, elle vit sur son portable une alerte mail. Même si elle ne savait pas lire, elle était encore capable de reconnaître des pictogrammes. Elle renvoya le l'ail directement à l'agent qui la prenait en charge au sein de l'association et l'appela aussitôt après.

- Bonjours Yûko, bien dormis ?

- Comme une marmotte... T'as reçue le mail ?
Demanda t'elle en s'asseyant sur le coin d'une table.

- Je suis en train de le lire... Dis donc, t'as encore tapée dans l'œil d'une riche famille. Il me semble que les Arquebuse sont une des plus généreuses en ville.

- Qu'est ce qu'il demande ?

- Il n'as pas vraiment précisé de formule. Le fils de l'actuelle dirigeant désir seulement te rencontrer pour un entretient d'embauche. Il a déjà toutefois déjà payé le prix pour ta formule "prise en main".

- Oh, il veut donc que je lui donne quelques cours sexuels ? Remarque, les enfants de riches n'y connaissent pas grand chose quand il sont dans des familles plus stricts que les nouveaux riches. Il veut sans doute pouvoir honorer sa promise comme il faut.

- Il te demande aussi d'imprimer le mail et de le présenter dans un pressing pour chic à porté. Tu pourra aussi conserver à vie la tenue. J'envoie les trajets directement dans ton GPS. Ton rendez-vous est dans deux jours.


Yûko la remercia et raccrocha. Sur son portable, elle vit effectivement de nouveaux pictogrammes apparaître sur la carte. Celui d'un chapeau stylisé pour le pressing et celui d'une maison et d'un ¥ pour le nouveau client. La jeune fille ne perdit pas de temps et se rendit directement au pressing après s'être rhabillée de son top et de son shorty. Ne pouvant bien entendu imprimer le mail de son portable, elle espérait qu'ils seraient compréhensif à l'accueil. En chemin, bien des regards s'attardèrent sur elle et elle dû donner sa carte de visite à quelques reprises, avant d'arriver à destination. Il ne fallut pas longtemps avant que la femme de l'autre côté du comptoir ne réagisse.

- Mademoiselle ? Je craint que vous ne vous soyez trompée de boutique. Les boutiques de tenues plus adaptées à votre rang sont située dans les bas quartiers de la ville, avec les autres individus de votre espèce. Aussi je vous prierais de bien vouloir quitter ce lieu, avant que je ne prévienne la sécurité. De toute manière, nos prix sont bien au dessus de vos moyens miséreux. Nous ne traitons qu'avec la haute société et...

Yûko mît fin à son monologue discriminatoire en lui mettant son portable (et le mail des Arquebuse) sous le nez, ce qui eu l'effet plus que bénéfique de la faire taire net. Elle en devint même blême.

- Oh... Vous êtes Mademoiselle Yûko ? Pardonnez moi, je suis confuse... Attendez un instant je vous prie, Monsieur Arquebuse à fait préparée des tenues qui, selon lui, vous iraient à ravir, même si vous ne pourrez en choisir qu'une seule.

Elle repartit au font de son pressing et la jeune fille se fit la réflexion qu'il venait sans doute d'une famille prestigieuse et influente, pour que cette femme réagisse ainsi à la simple mention du nom de famille. La vendeuse revint quelques minutes plus tard avec plusieurs robes et chaussures, et une longue séance d'essayage débuta. Lorsque son choix se porta finalement d'avantage sur une tenue plutôt qu'une autre, ce fut le tour des retouches. Finalement, Yûko sortit du pressing près de 3h plus tard. Il ne lui restait plus qu'à rentrée chez elle et tout déposer avant de sortir baiser avec ses clients du jour...

Deux jours plus tard, Yûko se présentât au portail d'un grand manoir, vêtue d'une élégante robe blanche et chaussée de talons aussi immaculés que le reste de sa tenue. Il lui avait fallut toute une journée pour apprendre à marcher avec et c'était une voiture de l'association qui l'avait déposée devant le manoir (elle n'aurait jamais pu venir avec les transports en communs dans cet accoutrement). La jeune fille avait également été coiffée un peu plus élégamment pour le coup. Elle sonna donc à l'interphone et attendit.

Charles-Edouard Arquebuse

Humain(e)

Re : Décime et Jugement [PV Yuko]

Réponse 2 vendredi 14 octobre 2016, 23:39:57

Il n'y eus aucune réponse à l'interphone, pendant bien cinq seconde, avant qu'un petit bruit signale que quelqu'un avait répondu.  

- Veuillez devez être mademoiselle Yuko. Attendez quelques minutes, le temps que j'arrive vous ouvrir.

Charles-Edouard quand à lui regardait la nouvelle arrivante depuis son ordinateur, ayant un accès total sur toute les caméra de la propriété, il se permit de zoomer un peu quand la servante vint à arriver au grillage. Il s'agissait d'Amélie. Elle se distinguait fortement des autres par une sorte d'aura de maturité.  

- J'espère ne pas vous avoir fait trop attendre. Je me nomme Amélie, mais ne faisons pas attendre le maître et la maîtresse. Veuillez me suivre s'il vous plait mademoiselle Yuko et ...

Elle observait les jambes et les pieds de la jeune adolescente.

- N'hésitez pas à me si je dois ralentir le pas, nous ne somme pas là pour meurtrir vos jolis pieds.


Amélie adaptait parfaitement sa marche à celle que Yuko pouvait tenir. La servante portait des talons et savait que cela pouvait être difficile quand on en a pas l'habitude. Elle guidait la demoiselle directement vers la demeure, passant sur la voie principale, chaque côté étant garnit d'un jardin entretenu et magnifique.

- Le Maître pourra vous paraître intimidant aux premiers abords, mais il est très agréable à vivre, aussi ne prenez pas la mouche s'il vous parles de façon hautaine. Vous devez comprendre qu'il a un statut à conserver. Mais changeons de sujet. Je vois que vous avez choisi une robe que je lui avais recommandée. Vous avez un très bon goût mademoiselle, nul doute que vous avez marqué de bon point. Pour ne rien vous cacher des choix volontairement de mauvais goût étaient dans le lot. si j'ai un conseil à vous donner, c'est de dire la vérité quand le maître ou sa futur-femme vous poses une question et si vous ne voulez pas répondre, dîtes-le.

Elles arrivèrent et la servante fit entrer Yuko dans le bureau, qui était simple, mais imposait. Charles-Edouard  était présent, ainsi que Sakura, tout deux derrière le bureau. Le jeune homme prit la parole.

- Veuillez prendre place je vous pries mademoiselle Yuko.


Il vint à tendre la main vers une chaise qui était très confortable. Charles-Edouard ne détachât pas le regard de la prostituée, observant le moindre de ses gestes, Sakura quand à elle était souriante.

- Je souhaiterais avant toute chose savoir si vous avez reçu un bon accueil à la boutique et par Amélie. Je souhaiterais aussi savoir votre première impression dans ma demeure. Vous devez certainement être un brun habitué, ayant cru comprendre que vous appréciez les personnes riches, mais les impressions peuvent varier. Après, si vous avez des questions à poser, n'hésitez pas, nous sommes là pour convenir du travail que vous devrez fournir et il m'est bien plus agréable de travailler dans de bonne condition.  
Si gorge déborde de mensonge, votre bienséance sera votre unique salut.

- Parole de Charles-Edouard Arquebuse
- Parole de Sakura Hazabusa
- Parole des serviteurs/servantes
-Parole des autres personnes.


Yûko

Humain(e)

Re : Décime et Jugement [PV Yuko]

Réponse 3 samedi 15 octobre 2016, 00:13:14

Yûko n'eu pas à attendre longtemps. Une voix féminine résonna dans l'interphone et peu après, elle vit une servante venir à sa rencontre pour ouvrir le portail et se présenter, avant de l'inviter à la suivre. Heureusement, celle-ci vit rapidement que la jeune fille n'était pas habituée aux talons — ayant plus l'habitude des bottines — et Yûko la remercia lorsqu'elle ralentit le pas.

- Le Maître pourra vous paraître intimidant aux premiers abords, mais il est très agréable à vivre, aussi ne prenez pas la mouche s'il vous parles de façon hautaine. Vous devez comprendre qu'il a un statut à conserver. Mais changeons de sujet. Je vois que vous avez choisi une robe que je lui avais recommandée. Vous avez un très bon goût mademoiselle, nul doute que vous avez marqué de bon point. Pour ne rien vous cacher des choix volontairement de mauvais goût étaient dans le lot. si j'ai un conseil à vous donner, c'est de dire la vérité quand le maître ou sa futur-femme vous poses une question et si vous ne voulez pas répondre, dîtes-le.

Elle hocha la tête, prenant bonne note de ce qu'elle venait de lui dire. Elle fut toutefois surprise que la futur femme serait également présente. Habituellement, quand un garçon prenait cette formule, c'était pour ensuite faire croire à sa petite amie qu'il était naturellement doué au lit. De mémoire, c'était bien la première fois qu'elle aurait affaire aussi bien au garçon qu'à la fille... Un double cours sexuel peut être ?

Finalement, on l'invita à entrer dans un bureau et, si Yûko était certes une prostituée qui vivait au jour le jour, elle avait tout de même quelques manière typiquement japonaises, qu'elle avait appris à utiliser à force de côtoyer la haute société de la ville. Ainsi, elle s'inclina respectueusement, comme le voulais le code de conduite du pays, après quoi elle fut invitée à s'assoir, ce qu'elle fit.

- Je souhaiterais avant toute chose savoir si vous avez reçu un bon accueil à la boutique et par Amélie. Je souhaiterais aussi savoir votre première impression dans ma demeure. Vous devez certainement être un brun habitué, ayant cru comprendre que vous appréciez les personnes riches, mais les impressions peuvent varier. Après, si vous avez des questions à poser, n'hésitez pas, nous sommes là pour convenir du travail que vous devrez fournir et il m'est bien plus agréable de travailler dans de bonne condition.

- Et bien... Concernant la boutique, j'ai eu l'accueil que reçoivent généralement les personnes de mon statut social, jusqu'à ce votre mail soit lu. Rien d'inhabituelle en somme.


Elle ne le disait pas clairement, mais le sous-entendu était lui, bien présent.

- Je dois aussi vous dire que mes clients habituels se moquent bien des tenues que je porte, tant le résulta final est le même. Vous êtes bien le premier a vous en soucier. Amélie m'a réservée en revanche un bien meilleur accueil. Concernant votre demeure, je n'ai par contre aucun avis particulier, sans vouloir vous offenser. Mais vous devez bien comprendre que, lorsqu'on vit dans ma situation et avec une telle activité, on apprend vite à faire abstraction de ce genre de détails.

Si elle devait s'émerveiller à chaque fois qu'elle entre chez un client, elle deviendrait, paradoxalement, très vite dépressive, en repensant à la vie qu'elle aurait pu avoir, si son enfoiré d'oncle n'avait pas tout foutu en l'air avec ses plans tordus.

- Je dois vous admettre que je suis un peu surprise de voir que votre future femme est également présente. Habituellement, les jeunes hommes qui font appel à mes services pour ce genre de leçons, évitent d'en parler à leur moitié... De fait, être en présence de la votre est... Perturbant...
« Modifié: samedi 15 octobre 2016, 00:20:26 par Yûko »

Charles-Edouard Arquebuse

Humain(e)

Re : Décime et Jugement [PV Yuko]

Réponse 4 samedi 15 octobre 2016, 01:32:05

Charles-Edouard écoutait et semblait bien entendre les propos que Yûko proférait, venant à glisser son regard vers l’écran de son ordinateur portable au moment à elle parlait de la boutique. Il retournait son attention sur la demoiselle, quand elle vint à parler de son manque d'attention et d'impression, tout comme le fait qu'il était le premier à avoir offert une tenue. Il ne put retenir un rire en entendant Yûko parler de la présence de sa femme.

- Visiblement nous sommes assez atypique, c'est ce que je souhaiterais dire pour vous réconforter dans votre simple vision, mais je n'en ferais rien.  Vos clients doivent manquer à beaucoup d'engagement pour oublier le fait que toute personne employée, quelques soit le travail, mérite une reconnaissance et du bon traitement. Vous n'avez certainement eu affaire qu'à de simple bâtard en rûte.  Si ma future femme est présente il s'agit tout simplement de son désir de vous rencontrer, ne cachant rien et faisant de même envers moi. Concernant vos précédents clients,  vous devriez gonfler vos chiffres et proposer une réduction en cas de présent, à défaut de vous attirer de meilleurs clients, vous auriez certainement une meilleure garde-robe, sans quoi vous ne seriez pas venue dans la boutique. Concernant cette boutique ... Amélie ?

La servante vint à s'incliner.

- Oui , maître.

Charles-Edouard prit un ton un peu sombre.

- Veuillez contacter le gérant  et lui demander de me fournir de l'identité de la personne qui a accueillit  mademoiselle Yûko. Ma future femme s'est prise la peine de les avertir en avance, une invitée de notre famille ne mérite pas un tel traitement. Veuillez aussi me sortir le contrat de partenariat et me faire une liste des concurrents, je souhaite que tout soit fait dans la journée et avoir un rapport détaillé.

- Comme il vous plairas maître.

La servant vint à quitter la pièce, laissant les trois personnes seules. Sakura prit la parole.

- Mademoiselle Yûko, sachez que si vous êtes ici c'est parce que j'ai pensée que vous étiez parfaite pour ce travail, aussi ma présence est de vérifier que vous atteignez mes attentes, ainsi que ceus de mon futur mari.

La fille Hazabusa vint à avoir un sourire, mais son aura semblait devenir un peu plus sombre.

- J'espère que vous n'aurez pas faire des choses fâcheuse envers mon futur mari.

Charles-Edouard vint à se racler la gorge.

- Concernant le forfait que nous avons payé, nous souhaiterions vous proposer un ... complément. Ce forfait est pour une semaine, or  nous estimons que vous avez un rang presque équivalent à une servante, assignée à une tache précise pour une durée dépassant une journée. Aussi voilà ce que nous avons à vous proposer.

Le jeune homme vint à poser ses coude sur le bureau, croisant les doigts de ses mains. Il prenait une posture typique des marchand.

- Ma futur femme et moi-même vous cédons une chambre, une garde-robe pouvant être fait aujourd’hui même, contenant vos préférence et aussi des tenues plus adaptées à ce domaine. Les frais dont vous aurez besoin  seront à notre charge. En échange vous devrez, en plus de votre tâche, aider les servantes. Dans le cas d'un travail bien effectué, un envoi des biens à votre domicile pourrait être envisagé.  Il ne s'agit que d'une proposition et nous pouvons aisément comprendre une vous souhaiteriez conserver un mode de vie plus banal. Comme on vous l'a certainement dit, notre famille récompense ceux qui le mérite. Vous n'êtes pas obligé de répondre tout de suite, nous vous laisserons jusqu'à demain si nécessaire.  Avez vus des questions mademoiselle Yûko ?
Si gorge déborde de mensonge, votre bienséance sera votre unique salut.

- Parole de Charles-Edouard Arquebuse
- Parole de Sakura Hazabusa
- Parole des serviteurs/servantes
-Parole des autres personnes.


Yûko

Humain(e)

Re : Décime et Jugement [PV Yuko]

Réponse 5 samedi 15 octobre 2016, 02:37:22

Le rire la mis un peu mal à l'aise, mais Yûko compris bien vite que les jeunes en face d'elle ne se cachaient absolument rien... Donc la future femme savait déjà que son futur époux allait faire un adultère avec une prostituée avant même leur mariage ? Parfait, ça évitait au moins des problèmes futurs s'ils étaient surpris. La question était surtout de savoir si elle assisterait ou non aux cours. Mais bon, elle Vera bien le moment venu. La jeune fille resta impassible lorsque la boutique fut mentionnée, après tout, ce n'était pas ses affaires, même si elle était certaine de ne plus jamais y remettre les pieds.

A la place, elle réfléchit à la possibilité de gonfler les prix. C'était tentant mais si elle avait mis de tel prix, c'était justement pour ne pas trop attirer l'attention sur ses activités. Au delà d'un certain seuil, elle pourrait s'attirer des ennuis. Et à vrai dire, il était plus rentables d'enchaîner les clients dans une journée, plutôt que d'en avoir qu'un seul, même avec des moyens.

- Mademoiselle Yûko, sachez que si vous êtes ici c'est parce que j'ai pensée que vous étiez parfaite pour ce travail, aussi ma présence est de vérifier que vous atteignez mes attentes, ainsi que ceux de mon futur mari. J'espère que vous n'aurez pas faire des choses fâcheuse envers mon futur mari.

- Euh... D'accord...
*A part que j'vais m'taper son mec quasiment sous ses beaux yeux, j'vois pas trop c'que j'peux faire d'plus fâcheux...*

Charles-Édouard vint alors lui faire la proposition de l'héberger dans une chambre le temps des leçons. Elle aura droit à quelques bonus mais en échange, elle devait aussi aider les servantes. L'idée était tentante, surtout que l'association ne pourra sans doute pas lui affréter une voiture tout les jours et que venir en tenue de jeune vierge riche était comme une invitation aux agressions dans les transports.

- Avez vus des questions mademoiselle Yûko ?

- Et bien... N'ayant jamais fait le travail d'une servante, il me faudra probablement une formation rapide aux différentes tâches, même s'il s'agit seulement d'apporter mon aide. Je ne voudrais pas briser un vase par maladresse. Mais concrètement, ma seule question est de savoir si vous me fournirez une tenue de servantes pour ces tâches ou si il me faudra les exécuter en tenues chics.


Et inversement, si elle couchera avec lui en tenue chic ou en tenue de servante.

Charles-Edouard Arquebuse

Humain(e)

Re : Décime et Jugement [PV Yuko]

Réponse 6 vendredi 21 octobre 2016, 12:38:55

Charles-Edouard écoutais la question et vint à relever ses lunettes, avant de pousser un petit soupir.  

- Nous n'allons pas vous laisser faire du ménage toute seule alors que vous n'avez pas reçu la formation dont tout les membres ont depuis leurs enfances. Il faut être soit fou, soit complètement inconscient pour laisser une fille de la plèbe faire un travail qui nécessite des compétences. Vous serez supervisé par une personne apte à vous former et j'attends de vous que vous vous pliez à ses recommandations.

L'homme vint à appuyer sur  bouton de son téléphone, avant de reprendre les explication.  

- Votre question ne me surprend guère pour une fille de basse classe. Pensez-vous réellement que nous allons vous faire salir une robe ayant un certain prix dans une tâche nécessitant une tenue appropriée?  


La question avait sa réponse, n'étant là que pour rabaisser Yûko. Charles-Edouard se plaisait toujours à descendre les personnes n'ayant pas son rang et étant assez sympathique du fait que sa futur femme soit japonaise et que cette jeune lycéenne l'était aussi.  

- Amélie vous feras une tenue adaptée et ajustée. Tout comme vous aurez une petite sélection pour les vêtements du soir. si rien ne vous convient, Amélie pourra vous faire une tenue à vos goûts en six heures. Comme nous l'avons dis, cela sera à notre frais. Pour chaques situations vous aurez une tenue adaptée, c'est le minimum que je puisse attendre de vous.

On vint à toquer à la porte, laissant entrer un homme assez grand.

- Vous m'avez appelé Monsieur ?


Charles-Edouard  vint à se lever.

- Voici mademoiselle Yûko. Elle sera sous votre gouvernance, devant participer aux activités des servantes en plus du travail qui lui est assigné. Elle n'a aucune expérience, je compte sur votre savoir-faire pour en faire une servante convenable.


Le majordome vint à saisir la main de la nouvelle venue et lui fit un baise main.

- Je me nomme Roland Bluford, mais vous pouvez m'appeler simplement Roland. Je présume que mademoiselle Yûko commence aujourd'hui ?

Charles-Edouard vint à sourire.

- C'est à mademoiselle Yûko de décider.
« Modifié: vendredi 21 octobre 2016, 13:14:43 par Charles-Edouard Arquebuse »
Si gorge déborde de mensonge, votre bienséance sera votre unique salut.

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