Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Mishima's Bitch [PV]

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Mishima's Bitch [PV]

Réponse 15 mercredi 01 août 2018, 13:21:42

Cette pute rendait Genji dingue, le subtil mélange de son apparence de ganguro avec son attitude de salope décomplexée lui filaient toujours une trique exceptionnelle, ça et le fait qu'elle était une pure nymphomane qui adorait se faire baiser. Clairement Genji n'était pas amoureux d'elle, mais ça ne l'empêchait pas de régulièrement rêver d'elle la nuit tant son corps et ses manières l'attiraient. Il avait dépensé un petit paquet de thunes afin de l'avoir pour lui régulièrement durant ces trois mois à venir, mais Maria était une telle assoiffée de bite, et tellement bonne, que ça les valait pour Genji. Oh que ouais, il allait s'assurer d'en avoir pour son argent, et il allait la baiser par tous les trous.
Genji termina de se renfroquer lorsque Maria remit ses vêtements. Le jeune homme avait encore envie de la baiser, mais le local à poubelles allait vite montrer ses limites...et surtout il voulait passer à la vitesse supérieure. Baiser Maria dans un métro bondé de monde, c'était un fantasme qu'il avait bien l'intention de réaliser, surtout que cette pute n'avait pas froid aux yeux et se livrait régulièrement à ce genre d'exercices avec ses clients, et cette fois ça allait être au tour de Genji de goûter à ce plaisir interdit. Juste avant de partir toutefois, Maria lui fit cadeau de sa petite culotte léopard qu'il attrapa au vol, et qu'il renifla un coup juste avant de partir et de la glisser dans son sac.

Même si il venait juste de tirer son coup, Genji avait encore de beaux restes de sa trique. La perspective de la baiser dans le métro l'excitait, et comme elle se trouvait juste devant lui, Genji pouvait mater son cul, le tout en sachant pertinnement qu'elle n'avait plus de culotte sous cette jupe de lycéenne. Genji la suivait, car il ne savait pas où elle habitait, et elle le mena jusqu'aux quais d'une station de métro, avant de lui sauter dessus pour l'embrasser. La rame n'était pas encore là, alors ils avaient tout à fait l'occasion de s'échanger un langoureux baiser au beau milieu de la foule. Si Maria avait été sa petite amie, sans doute se serait-il montré un peu plus réservé, mais elle était juste une pute qu'il avait chèrement payé pour pouvoir la baiser, aussi ne se priva-t-il pas de poser ses mains sur son cul pendant qu'il l'embrassait. La rame de métro arriva, et juste à ce moment Maria fit un commentaire flatteur sur sa queue qui s'était désormais bien redressée.

C'est normal bébé, tu me chauffe comme jamais...je vais te défoncer comme personne ne l'a jamais fait.

Ni une ni deux, ils montèrent dans une rames du métro, et parvinrent à se faufiler contre une des parois. Maria se plaqua face contre une des baies vitrées, tandis que Genji lui se colla dans son dos, plaquant son bassin contre le sien, et sa queue contre son cul. Cette pute en profita d'ailleurs pour dandiner son cul de façon à frotter ses fesses contre sa verge, mais lui ne resta pas passif. L'une de ses mains se faufila directement sous la chemise de cette salope pour aller pincer l'un de ses seins, tandis qu'il glissa l'autre sous sa jupe. Sans la protection de sa culotte, il fut d'autant plus facile pour Genji de glisser deux doigts dans sa chatte humide pour commencer à la doigter, le tout en voyant le petit "fuck me" qu'elle avait dessiné sur la vitre à l'aide de sa buée.

Oh ouais...j'vais te fourrer le cul espèce de salope.

Ouais, elle le chauffait tellement à frotter ses fesses contre sa bite que Genji se sentit très clairement parcouru de l'envie de la sodomiser, là, dans ce métro avec plein de gens. On pouvait bien l'observer, il s'en foutait, les cas d'exhibitionnisme dans le métro de Seikusu étaient tellement fréquents que les autorités avaient presque abandonné l'idée d'inverser la tendance, et rares étaient les amandes ou les arrestations. Genji glissa donc sa main du sein de sa pute jusqu'à la braguette de son pantalon, qu'il ouvrit pour laisser sortir sa queue, avant de soulever la mini-jupe. Le bout de son gland s'appuya directement sur ses fesses chaudes et rebondies, avant de se glisser le long de sa croupe. Rapidement, il trouva l'entrée étroite de son anus, et il poussa pour commencer à s'enfoncer en elle. Le jeune homme grogna en sentant l'étroitesse de ses parois anales contre sa bite, mais il forçait néanmoins, le tout en continuant de lui doigter la chatte.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Mishima's Bitch [PV]

Réponse 16 jeudi 02 août 2018, 00:25:22

Avec Maria, il fallait clairement s’attendre à une vie assez sulfureuse, et très intense. Comme Genji était bien placé pour le savoir, la jeune femme était une incorrigible perverse. Une redoutable nymphomane qui aurait sans aucun doute pu poursuivre ses études, et avoir une vie bien rangée. Mais Maria avait terminé ses études prématurément, s’était dotée d’un pseudonyme, et, depuis lors, avait obtenu l’autorisation du lycée pour être une prostituée locale, tant qu’elle tâchait de rester « discrète ». L’administration du lycée estimait que tempérer les ardeurs sexuelles des élèves était un excellent moyen de les faire bien travailler. C’était l’approche choisie par Mishima, et celle-ci marchait plutôt bien. Le lycée, malgré sa réputation sulfureuse, avait d’excellents résultats, mais en serait-il toujours le cas après trois mois de sexe intense avec une femme comme Maria ? Le pire était à craindre ! Genji était bien placé pour savoir que cette femme avait un insatiable appétit, et qu’elle ne ferait rien pour se calmer pendant ces trois mois ! Fort heureusement, Maria savait aussi, même si elle ne le lui dirait jamais clairement, que Genji était son client le plus pervers, le plus gourmand. C’était aussi pour ça qu’elle avait accepté d’être sa partenaire « exclusive » pendant trois mois, ou, en tout cas, de dormir avec lui.

Le métro seikusien était bondé. Le Japon était un pays qui avait fortement misé sur les transports en commun, et notamment ferroviaires. Les trains japonais étaient parmi les plus performants du monde, et le métro était donc bondé, surtout à l’heure de pointe. Personne ne pourrait donc les remarquer, et, même si c’était le cas, à Seikusu, le sexe crapuleux était presque normal. Maria se frotta donc contre Genji,  mais n’eut pas à le chauffer trop longtemps pour sentir le corps de l’homme se blottir dans son dos, ses mains se glissant sous son chemisier.

« Hmmm, ohhh... Genji-chaan, haaa... »

Elle gémit en sentant l’homme palper ses seins, et celui-ci dut rapidement sentir les tétons pointer, déformant son chemisier, apparaissant en transparence. Après tout, les uniformes du lycée Mishima étaient souvent  très moulants à hauteur des seins. Le fait est que le tailleur du lycée utilisait les standards du rectorat, sans savoir que, à Seikusu, les femmes avaient généralement un tour de poitrine bien plus proportionné que la moyenne. Les uniformes avaient donc tendance à se serrer, ce qui, toutefois, ne dérangeait nullement Maria. Elle se pinça les lèvres, crispant ses doigts sur la vitre.

Genji abaissa la fermeture de son pantalon, et le train s’arrêta alors à une station. Il y eut du mouvement, mais surtout un moment de calme, qui permit à Genji de soulever la minijupe de la femme, et de fourrer plus facilement sa queue vers une zone sensible. Maria s’amusa alors à le provoquer en jouant la fausse prude, se tortillant sur place et en se mordillant les lèvres :

« Genji, n-non, pas... Pas ici, je... »

Mais l’homme s’enfonça en elle, et le train démarra alors. Une secousse couvrit le couinement que Maria poussa tout en s’écrasant contre la vitre. Elle sentait la grosse queue de Genji en elle, pendant que l’homme se déplaçait doucement.

*Merde, sa bite... Si grosse... !!*

Elle ferma les yeux pendant quelques secondes. À côté d’eux, un jeune adolescent, avec un casque sur la tête, s’était assis. Il lui suffisait de lever la tête de son téléphone portable pour voir Maria en train de se faire ramoner le derrière, même si la minijupe s’était rabattue pour couvrir la verge de l’homme. Elle sentit Genji grogner contre son oreille, et soupira encore, se pinçant les lèvres, tout en mouillant contre ses doigts. Sa cyprine dégoulinait des doigts du jeune homme, glissant le long de ses cuisses pour décorer le sol, formant de petites gouttes, tandis que le train accélérait doucement, s’enfonçant dans les tunnels de Seikusu.

« Hmmm... Gan... Genji, haaaaa... !! »

Loin de la paniquer, l’idée d’être potentiellement observée par de multiples yeux l’excitait furieusement. Elle avait déjà confié à Genji être une grosse exhibitionniste, volontiers du genre à coucher avec de parfaits inconnus dans des lieux publics. La possibilité d’avoir du public la stimulait toujours autant, et ses doigts remuèrent contre la vitre, tandis qu’elle laissait dessus l’empreinte de ses lèvres, fermant les yeux en sentant la grosse queue de Genji remonter profondément en elle.

« Hoooo... !! Bon sang, bordel, haaaannn... Gaaaanji, hmm, tu me défonces le c-c-cul, haaaa... »

L’image n’était pas si fausse que ça, vu la taille de sa verge, et le fait qu’il devait remuer assez lentement, tout en conservant sa queue bien plantée en elle, pour qu’on ne puisse pas la voir.

Maria savourait en tout cas chaque minute qu’elle passait ici, et mouillait en conséquence.
« Modifié: jeudi 02 août 2018, 14:16:17 par Princesse Alice Korvander »

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Mishima's Bitch [PV]

Réponse 17 jeudi 02 août 2018, 13:15:29

A ce stade, quand bien mes des gens les auraient vu et s'en offusqueraient, Genji n'aurait en aucun cas pu s'arrêter maintenant qu'il était lancé. Le jeune homme grogna de plaisir tout en plaquant solidement sa pute contre la fenêtre, avec sa grosse bite se frayant peu à peu un chemin dans l'antre étroite de ce cul. Putain qu'elle était étroite ! Genji en fut sincèrement surpris car il ne s'imaginait pas que le cul de Maria, qui avait du acceuillir déjà des kilomètres de bites, soit aussi serré. Mais ce n'était clairement pas pour lui déplaire, il adorait le fait de devoir lutter pour s'enfoncer entre ses délicieuses fesses, devoir forcer peu à peu le passage, et surtout sentir son sexe prisonnier et compressé dans ce cul divin. Bordel de merde, Maria le rendait vraiment fou tant elle était bonne et perverse ! Même certaines élèves de Mishima, qui étaient pourtant réputées dans tous les Japon pour être des grosses salopes, n'arrivaient pas à la cheville de Maria pour Genji.

Ah putain ! Hmmmf t'es...t'es si étroite salope ! Tu...tu t'es encore jamais pris...aaaaaaah...une bite aussi grosse que la mienne ou quoi ? HM !

Genji avait du mal à rester discret, même si il murmurait à l'oreille de Maria et qu'il s'efforcait de ne pas bouger son bassin trop rapidement, c'était difficile. Tout son corps lui hurlait de déchirer les vêtements de cette salope, et de vraiment la sodomiser avec violence, vu qu'elle aimait ça ! Maria n'était pas en reste, et kiffait clairement d'avoir une grosse bite comme la sienne enfoncée dans le cul, et il sourit lorsqu'elle lui avoua qu'il était en train de le lui défoncer.

Attends seulement qu'on soit chez toi bébé...Ah...t'arrivera même plus...à t'asseoir quand je t'aurais...Oh putain mais quel cul !

Genji soufflait comme un boeuf dans le cou de Maria, tandis qu'il était enfin parvenu à s'enfoncer pleinement en elle, au point que ses couilles tapaient contre la base des fesses de la jeune femme. C'est à ce moment là que Genji se rendit compte qu'ils n'étaient plus discrets du tout, car le lycéen qui était assis sur un siège à côté d'eux les regardait avec un air à la fois étonné et...envieux. Genji toutefois continua comme si de rien n'était, et s'approcha de l'oreille de Maria.

On a un spectateur juste à côté...ça te fait mouiller hein sale truie ? Tu te fais sodomiser en public, on te regarde, et tu kiffe ça...j'ai jamais connu une pute aussi détraquée que toi bordel.

Genji se mit à accélérer légèrement ses va et viens. Il avait alors posé l'une de ses mains sur la bouche de Maria pour éviter que cette pute ne couine trop fort, et il continuait de la doigter de l'autre.

Quand je t'aurais rempli le cul de mon foutre, je veux que tu aille sucer le gars qui nous regarde, juste à notre gauche. Tu va le sucer pendant que je te prendrais à quatre pattes, comme une chienne, c'est compris salope ?

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Mishima's Bitch [PV]

Réponse 18 jeudi 02 août 2018, 15:39:33

Maria poussait de longs soupirs, essayant au mieux d’étouffer ses cris, en sentant les coups de reins de Genji dans son dos. Son amant y allait passionnément, mais compte tenu du lieu, ses mouvements étaient serrés, étouffés. Régulièrement, Maria s’appuyait à la rambarde quand le train filait le long d’un virage, et ralentissait ensuite. Genji adaptait ses mouvements à cleui du train, et, heureusement, ils venaient de jouer avant dans le local à poubelles, et, de manière plus générale, avaient ensemble une grande expérience. Tout cela donnait à Genji une certaine endurance, de sorte qu’il arrivait à conserver sa queue en elle, sans trop se faire surprendre. Après tout, ils avaient déjà fait l’amour dans des lieux publics au lycée. Mais, hors du lycée, dans le métro, c’était une première, et un délicieux début pour des aventures encore plus osées ensuite !

Le train s’arrêta donc devant une station, et d’autres individus partirent. C’est à ce moment que l’adolescent à côté leva la tête... Et écarquilla les yeux en voyant le visage contrit de Maria, le corps écrasé contre la vitre, ses mains glissant sur la vitre, son souffle laissant des traînées de buées sur le carreau. Impossible de se tromper, et il baissa la tête, avisant la main de Genji, et la mouille. Sa bouche s’ouvrit en un « O » silencieux, un cri de stupeur qui ne sortit pas de ses lèvres, tandis que le train reprit sa course.

« Hmmmm... !! »

Genji réalisa alors qu’ils étaient observés, et posa alors sa main sur la bouche de la femme, étouffant ses gémissements et ses soupirs. Du coin de l’œil, elle observa le curieux observateur, qui avait une belle érection, une bosse qui déformait son pantalon. Il ne disait rien, et semblait même tripoter son téléphone, avant de mettre en place la vidéo. Maria soupira alors, et ses lèvres mastiquèrent les doigts de Genji, sa langue glissant dessus.

« Mmmhmm... »

Maria se tortilla sur place, se pinçant les lèvres en sentant la queue de l’homme continuer à gonfler en elle. Il était très énergique, et proposa finalement qu’elle intervienne sur leur observateur. Maria soupira doucement, rougissant de plaisir. Ne pouvant pas lui répondre avec la main sur sa bouche, elle hocha doucement la tête en remuant sur place, pendant que l’autre, qui avait entendu ça, déglutit sur place, filmant la scène.

Le train remonta alors, sortant du tunnel pour rejoindre une partie aérienne de la voie. Là, Genji accéléra encore un peu, et se répandit contre elle à la station, jouissant silencieusement. Maria le sentit se vider en elle, et ses yeux se révulsèrent dans ses orbites, savourant ce sperme qui montait en elle. Ah, quelle jouissive sensation ! Genji se retira ensuite doucement, et Maria se retourna alors vers le jeune homme.

« Hey, je, j’ai rien à voir avec vous, moi, je...
 -  Toi, peut-être, mais lui, il dit autre chose », répliqua Maria en caressant la bosse du pantalon.

Elle s’agenouilla alors, et déboutonna la ceinture du jean de l’adolescent, qui se tortilla sur place.

« Filme-moi bien, mon chéri, je veux que tu te masturbes chaque soir en voyant mon visage, et en repensant à ça... Et je veux aussi que tu enregistres bien le fait que je viens de jouir contre le mur en me faisant éclater le cul par mon petit-ami. »

Le jeune homme, qui n’étudiait pas à Mishima, mais avait entendu parler de la réputation sulfureuse du lycée, déglutit alors, et regarda la paroi, où de la mouille dégoulinait... Puis sa queue se retrouva à l’air libre. Maria l’enfourna alors dans sa bouche, et commença à la pomper doucement, levant son regard mielleux pour croiser celui du jeune inconnu. Il déglutit encore, se tortillant sur place, crispant ses poings.

« Pu-Putain, haaaa... »

Maria avait très rapidement opté pour une longue gorge profonde, qui dura bien une quinzaine de secondes, avant de remuer d’avant en arrière sur son membre, provoquant une série de claquements obscènes et spongieux, recouvrant de salive la queue de son amant improvisé...


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