Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'obscène et l'ingénue [Pauline]

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James Howlett

E.S.P.er

L'obscène et l'ingénue [Pauline]

samedi 24 septembre 2016, 00:08:20

Anton Catalino observa son reflet dans le miroir de la salle de bain, et ne se reconnut pas. Echevelé, les yeux cernés et l’œil hagard, l’avocat n’était plus que l’ombre de lui-même depuis qu’il avait contracté cette diabolique obsession. Il actionna le robinet d’eau froide et s’en aspergea le visage, avant de s’essuyer et de sortir précipitamment de la pièce. Il faisait encore sombre dans le pavillon, mais en bon insomniaque, Anton savait se repérer à l’aveugle dans son propre domicile. Empoignant l’appareil photo reflex qu’il avait laissé sur le buffet avant d’aller se rafraîchir, il emprunta les escaliers pour rejoindre l’étage, la moquette posée sur les marches de bois étouffant le bruit de ses pas. La culpabilité lui vrillait les entrailles, mais le désir impérieux qu’il ressentait ne pouvait être réfréné. Ma pauvre Pauline, songea-il, alors qu’à la simple évocation de son prénom, il sentait un frisson lui courir le long de la colonne vertébrale. Sa femme ne serait probablement pas levée avant une heure ou deux. Quant à Pauline, elle émergeait rarement avant neuf heures du matin. Il s’arrêta un court instant sur le palier, le temps d’allumer son appareil photo et d’en régler la vitesse d'obturation, puis à pas de loup, se glissa dans le couloir jusque devant la porte entrouverte de sa fille.

« Bon… »

Si lorsqu’elle était enfant, Pauline dormait en pyjama, à présent elle se glissait entièrement nue sur les draps… Probablement l’un des restes des traitements dégradants qu’elle avait subi de longues années durant. Il y avait plusieurs semaines qu’elle avait regagné le foyer à présent, et si une routine commençait à s’installer, leurs rapports étaient encore complexes. Comment s’occuper d’une jeune fille qui avait été continuellement violée et martyrisée ? La mère de Pauline avait choisi d’ignorer le problème et de faire comme si rien ne s’était passé, alors qu’Anton au contraire, s’efforçait de comprendre la jeune femme qu’elle était devenue. Cependant, très vite, les courbes de la jeune femme et son air ingénu avaient réveillé de bas instincts chez lui. Sa femme et lui ne faisaient plus l’amour depuis des années, si bien qu’il avait pris l’habitude d’une masturbation coupable et compulsive. Mais depuis le retour, le support de ces séances d’onanisme n’était plus les sites pornographiques qu’il avait l’habitude de consulter, mais des projections de sa fille nue sous sa douche, ou pire, en train de se caresser.

« Allez. »

Anton repoussa délicatement la porte de la chambre de sa fille. Couchée en chien de fusil, la jolie brunette dormait à poing fermé sous les draps qui découvraient l’une de ses épaules d’albâtre. Ses vêtements avait été soigneusement repliés sur sa chaise, à côté de la fenêtre, jusqu’à la petite culotte. Hésitant un court instant, le père indigne saisit le sous-vêtement entre ses doigts tremblants, avant d’y plonger le nez et d’inspirer profondément. La culotte embaumait la sueur et la pisse. L’odeur entêtante lui monta à la tête, alors que le sang affluait massivement vers sa grosse verge. Fourrant la culotte dans la poche de son jean, il s’approcha de la belle endormie, et écarta doucement une mèche brune de son visage, pour découvrir sa joue. Puis lentement, comme un automate, il fit glisser le drap sur les hanches étroite de la jeune fille, dévoilant sa poitrine menue. Entre ses deux jambes fuselées, l'avocat pouvait apercevoir l'arrondi du mont de venus de l'ingénue. Oh mon Dieu... Le souffle court, Il recula de trois pas, puis leva l’appareil photo à hauteur de son visage pour prendre un premier cliché… Puis plusieurs autres.

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 1 samedi 24 septembre 2016, 10:48:43

Pauline était de retour chez elle depuis quelques semaines maintenant. Il avait été assez déroutant de redécouvrir ses parents. La jeune fille avait passé toute son adolescence à obéir aux ordres d'une maîtresse sadique et à subir une expérience humiliante dans un laboratoire secret. Elle n'avait pas tout raconté à ses parents. Elle s'était contentée de l'essentiel. Quel aurait été l'intérêt de leurs expliquer qu'elle avait été considéré comme une chienne ? Qu'elle avait porté un collier et une laisse. Le plus humiliant était d'avoir été attachée à une table d'opération par les scientifiques et d'avoir été forcée d'avaler de la semence qui s'échappait d'un tube qui avait été placé dans sa bouche. Le sperme mélangé à un produit chimique avait rendu la jeune fille différente par rapport au sexe. Le moindre contact lui donnait des envies pas vraiment catholique. Cependant les effets semblaient très lentement diminuer au fil des semaines.
Line dormait paisiblement alors que comme souvent son père la photographiait nue sur son lit. La jeune fille n'était pas au courant du nouveau passe temps d'Anton. Ses années en tant qu'esclave sexuelle lui avaient retiré toute pudeur et elle n'hésitait pas à dormir nue même avec la porte entrouverte. Pauline remua et se tourna pour continuer à dormir sur le dos. Elle écarta les cuisses et poussa un petit gémissement dans son sommeil. Il était relativement tôt et Pauline ne se réveillait jamais à cette heure mais un mauvais rêve la tira de son sommeil. Elle ouvrit légèrement les yeux et vit son père devant elle. Toujours à moitié endormie, cette dernière ne remarqua pas l'appareil photo et se dit qu'elle avait du crier dans son sommeil et que son père était venu en courant pour voir ce qu'il se passait.

-J'ai fais un cauchemar papa, bredouilla la jeune fille en refermant les yeux.

Pauline recommençait déjà à se rendormir malgré la présence de son père. Elle avait déjà oublié qu'il était dans la chambre et qu'il pouvait voir chaque recoin de son corps nu.

James Howlett

E.S.P.er

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 2 samedi 24 septembre 2016, 16:59:47

Lorsque Pauline ouvrit un œil, puis deux, le père indigne se recula d’un pas, et abaissa l’appareil photo pour ne pas que la petite ne l’aperçoive. « Ce n’est rien ma puce, rendors-toi, Papa veille sur toi », lui glissa-il, en lui embrassant chastement le front, caressant sa longue chevelure de jais.

Cependant, sa fille remua un peu, et le drap qui reposait sur ses hanches glissa encore davantage, découvrant le haut de ses cuisses, et ainsi, le haut de son pubis. Au désespoir, l’homme s’efforçait de réfréner ses pulsions, mais sa queue comprimée dans son pantalon lui faisait mal. A genoux au chevet de Pauline, il se vit déposer le reflexe, dé-zipper lentement sa fermeture éclair comme dans un rêve et en extraire un vit long et épais qu’il décalotta pour découvrir un gland gonflé et violacé. Les yeux rivés sur sa petite poitrine qui se haussait et s’abaissait au rythme de sa respiration paisible, le père de Pauline commença à branler sa grosse verge avec une lenteur consommée. De ses cheveux, sa grande main dériva vers le dos de la jeune femme, puis vers sa chute de rein, avant de se poser délicatement sur ses fesses. Son affreux désir incestueux avait ceci d'étrange qu'il ne cessait pas un seul instant de voir Pauline comme sa fille, mais qu'à cet amour paternel et inconditionnel, s'ajoutait une attirance insidieuse, irrépressible et contre nature. 

Arrête, Anton, tu ne peux pas franchir cette limite,
se morigéna-il.

Toutefois, ses doigts comme animés d’une volonté propre, pétrissaient doucement ce joli petit cul bombé, alors qu’il s’astiquait de plus en plus vite, se mordant la lèvre inférieure pour ne pas grogner. S’assurant que Pauline s’était complètement rendormie à la régularité de sa respiration, il approcha son sexe tendu près du visage de sa fille. Oh, comme il aurait aimé fourrer cette belle bite entre ces lèvres vermeilles entrouvertes ! Et si je… Anton hésita un court instant. Si sa femme le surprenait, en train d’agiter son chibre devant le visage de leur fille, s’en serait probablement terminé de leur mariage et… Il passerait probablement de longues années derrière les barreaux. Cependant la jouissance approchait, implacable, et l’homme se raidit bientôt, expulsant un premier jet de foutre brûlant qui s’écrasa sur la joue fraîche de Pauline, avant qu’Anton ne se détourne précipitamment pour se vider sur la moquette en grognant. Croyant voir Pauline remuer, l’homme rangea sa queue encore rigide, et s’enfuit comme un voleur sans demander son reste.

Lorsque Pauline se réveillerait, quelques heures plus tard, sa mère serait déjà partie travailler alors que son père se trouverait dans le salon, en train de siroter son café le journal à la main, comme si de rien n’était.

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 3 samedi 24 septembre 2016, 18:13:20

Pauline se réveilla lentement en s’étirant. La jeune fille remarqua que sa joue était humide. Elle pensa pendant un instant qu’elle avait beaucoup bavé mais après avoir pris un peu de semence sur son doigt et l’avoir goûté, elle reconnut immédiatement cette saveur. Cependant comment est-ce qu’elle avait fait pour se retrouver avec du sperme sur la joue ? La seule possibilité était qu’un visiteur était venu la nuit. Line devrait fermer la porte à clef et fermer les volets de sa fenêtre. Pauline recueillit tout le sperme sur ses doigts et l’avala. Son séjour dans le laboratoire scientifique l’avait rendu accroc à la semence. Elle remarqua d’ailleurs une belle flaque sur la moquette et soupira en pensant que le visiteur nocturne aurait mieux fait d’asperger son visage. Elle se mit à 4 pattes et commença à lécher le sperme. Quand finalement elle avait avalé la majeure partie du sperme elle décida qu’elle nettoierait le reste avec un produit. Elle masqua la trace qui restait en jetant un t-shirt dessus au cas où son père entrerait dans sa chambre.

La jeune fille mit sa robe de chambre et descendit dans le salon. Elle ne se sentait pas très bien et espérait convaincre son père de pouvoir rester à la maison. Depuis qu’elle était rentrée, son retour en cours avait été des plus compliqués. Dès qu’elle le pouvait, Pauline trouvait une excuse pour rester à la maison. Elle souhaitait seulement que son père lui donne son accord sans faire d’histoire. Line retrouva son père installé dans le salon avec un café et son journal.

– Bonjour ! s’exclama Pauline alors qu’elle avait encore un petit peu de sperme sur la lèvre inférieure sans le savoir. Je ne me sens pas très bien papa… Est-ce que je peux rester à la maison ?

Pauline sourit à son père pour tenter de l’amadouer. Elle savait que depuis son retour son père prenait très au sérieux sa sécurité. Elle avait même remarqué les regards furtifs qu’il lui lançait tout au long de la journée. S’il l’autorisait à rester à la maison elle ferait alors toutes les corvées qu’il lui ordonnerait de faire. Elle comptait bien être utile à son père si elle était dispensée de cours…

James Howlett

E.S.P.er

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 4 samedi 24 septembre 2016, 20:52:58

Bien loin de se douter avec quel désinvolture sa petite fille se repaissait de son foutre, Anton, ses lunettes posées sur le bout de son nez, s’efforçait de se concentrer sur la lecture de son journal. Il ne parvenait pas à se sortir les évènements de la matinée hors de l’esprit, et sa tasse de café fumante commençait à refroidir. Que se passerait-t-il si Pauline se rendait compte de son forfait ? Allait-elle le dénoncer ? Outre la crainte, la culpabilité lui rongeait les entrailles. Il avait aspergé sa fille, sa propre fille de sa semence, et il avait adoré ça. Rien que d’y repenser, son pénis enflait significativement. Quel monstre je fais, songea-il, en consultant les résultats sportifs de la nuit. Il entendit Pauline avant même de la voir, et son cœur s’emballa.

« Bonjour ma chérie », grogna-il, par-dessus les feuilles de son journal.

Anton sentit le sang lui monter au visage lorsqu’il s’aperçut qu’un peu de foutre avait séché sur la joue de la jeune fille, ce dont elle ne semblait toutefois pas s’être rendu-compte. Lorsque Pauline lui demanda si elle pouvait manquer les cours, l’homme ne put s’empêcher de soupirer.

« Ecoute Pauline je sais que tu as besoin de temps pour t’accoutumer à ce nouvel environnement que constitue le lycée mais… » la mère de Pauline n’étant pas présente, il pouvait rester seul avec elle toute la journée, ce qui était une perspective relativement séduisante. « Si toutefois tu ne te sens vraiment pas bien, tu peux rester ici. Mais j’aimerais que tu fasses tout de même tes devoirs, bien évidemment ». Anton ne pouvait s’empêcher d’observer le corps gracile de sa progéniture onduler sous le tissu de sa robe de chambre. Pauvre enfant, elle était si fragile

L’homme se leva pour aller embrasser sa fille sur le front et la serrer contre son torse athlétique. Il faisait bien quinze centimètres de plus qu’elle, et sa chevelure reposait sur ses pectoraux. « Tu devrais prendre une bonne douche pour te délasser, pendant que je travaille un petit peu dans mon bureau », lui glissa-il, en lui envoyant une petite claque sur le postérieur, avant de la délivrer à regret, de son étreinte. « Allez ouste ! »

Naturellement, Anton n’avait pas l’intention de travailler, mais d’observer sa progéniture et – probablement – de se masturber une seconde fois car le pauvre bougre bandait à nouveau. La salle de bain n’était pas pourvue de verrou, et heureusement Anton n’avait pas encore remplacé l’ancien rideau de douche qui était défectueux.

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 5 samedi 24 septembre 2016, 23:11:43

Pauline avait eu peur que son père ne l’oblige à aller en cours mais finalement il l’autorisa à rester dans la maison. Elle ne savait pas pourquoi il lui avait finalement donné son accord mais elle ne chercha pas à le savoir. Son père l’étreignit et la jeune fille profita de ce gros câlin avec son père. Quand elle était enfant, même si son père l’aimait, il était assez pudique et ne la prenait jamais dans ses bras. Elle était heureuse de voir que ça avait changé depuis son retour. Il la prenait même très régulièrement contre elle. Son absence avait dû lui faire beaucoup de mal. Il lui tapa doucement les fesses et lui dit qu’elle ferait bien d’aller se doucher, et en effet une douche lui ferait un bien fou. Elle se sentait toujours mieux réveillée après s’être lavée et habillée.
Elle monta donc rapidement les marches puis entra dans la salle de bain. Elle avait laissé la porte contre car après tout, il n’était pas utile de fermer une porte dépourvue de verrou. Pauline ouvrit l’eau de la douche et fit tomber sa robe de chambre sur le sol. Elle entra dans la douche et ferma les yeux pour savourer l’eau chaude qui coulait le long de son corps. Après quelques minutes à rester les yeux fermés sous l’eau, la jeune fille prit le savon et commença à parcourir son corps avec. Elle remarqua alors qu’elle n’avait pas ramené d’habits dans la salle de bain.

– Oh pas grave, papa est en bas, ce n’est pas grave si je vais dans ma chambre toute nue, marmonna Pauline pour elle-même.


Pauline se rinça lentement le corps puis coupa l’eau. Il n’y avait plus une seule grande serviette, elles devaient toutes être au sale. La jeune fille en prit une toute petite et mit un long moment à se sécher avec. Elle frotta énergiquement ses bras et son corps puis se fit plus douce pour sécher sa poitrine et son intimité. Line quitta la salle de bain et rejoignit sa chambre à la recherche d’habits. Elle était bordélique et même ses habits propres trainaient sur le sol. Elle se pencha en avant et farfouilla dans ses affaires à la recherche d’une culotte et en étant rassurée que son père devait certainement être au salon. S’il arrivait dans sa chambre il verrait les fesses nues de sa fille ainsi que son intimité et son anus…

James Howlett

E.S.P.er

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 6 dimanche 25 septembre 2016, 11:03:06

Anton patienta nerveusement pendant quelques minutes, faisant les cents pas dans le salon. Lorsqu’enfin le bruit de la douche se fit entendre, il rejoignit l’étage et emprunta le couloir qui menait à la salle de bain. Pauline n’avait pas jugé bon de fermer la porte, remarqua-il, en longeant le mur. Depuis son retour, les parents de Pauline avait remarqué que toute notion de pudeur semblait avoir déserté la belle enfant, qui se serait promenée nue dans la maison, si sa mère ne l’avait pas gentiment sermonnée. Glissant son visage dans l’entrebâillement de la porte, l’avocat se mordit la lèvre inférieure ; sa fille adorée, de profil, jouissait du contact de l’eau chaude sur son corps d’albâtre. L’insouciante aux yeux clos passait le pommeau de la douce sur sa peau de pèche, s’attardant de longues secondes entre ses jambes fuselées. Anton, l’œil fou, agrippa sa grosse queue à travers le tissu de son chino, et commença à la malaxer entre ses doigts fiévreux.

Tourne-toi, ma chérie, j’aimerais tant voir ta petite chatte,
l’implora-il silencieusement, en écrasant son gland brûlant.

Toutefois la position qu’elle avait adoptée faisait ressortir son petit cum rebondi que surmontait une cambrure accentuée. On pourrait presque poser une tasse de café sur son cul qu’elle ne chuterait pas, remarqua l’indigne, alors qu’un mince sourire étirait ses lèvres entrouvertes. Les mots que la petite murmurait ne parvinrent pas à l’oreille de son géniteur. D’une part parce que sa petite voix était en grande partie couverte par le bruit de la douche, d’autre parce que son père était bien trop concentré par les mouvements de son derrière. Lorsqu’elle ferma le robinet d’eau pour s’emparer d’une serviette, elle se tourna vers son père, lui offrant ainsi une vue imprenable sur ses petits seins ronds, qui remuèrent un peu lorsqu’elle commença à se frictionner. Finalement, elle écarta un peu les jambes, dévoilant une intimité rose, que surmontaient une petite toison de poils savamment entretenue ; Pauline savait prendre soin d’elle. Lorsqu’elle appliqua doucement la serviette sur ses parties intimes, Anton cru qu’il allait exploser dans son pantalon. En lieu et place de la serviette, il imaginait sa grosse bite se frotter de toute sa longueur contre cette vulve entrouverte, avant d’y pénétrer brutalement.

"C’est parfait ma chérie", murmura-il, sentant l’orgasme approcher.

Toutefois, Pauline enjamba le bac de douche, ce qui força son père à déguerpir. Dépassant la chambre de sa fille, il descendit quelques marches de l’escalier pour ne pas qu’elle le voit. Vraisemblablement Pauline n’avait rien remarqué, puisqu’elle entra directement dans sa chambre sans prendre la peine, une fois encore, de fermer la porte. Le cœur battant, Anton rejoignit le pallier, avant de s’approcher à pas de loup. Lorsqu’il parvint sur le seuil de la pièce, Pauline était penchée sur un tiroir de sa commode, exposant impudiquement ses parties honteuses, et notamment la corolle brune de son petit anus. La sodomie était, depuis son adolescence, le péché mignon d’Anton. Il n’y avait pour lui rien de plus dégradant pour une femme et jouissif pour un homme, que de prendre une femme par le cul, puis de se vider de ses entrailles pendant qu’elle hoquetait de douleur, de plaisir et de honte.

« Ah… »

Pris d’un léger vertige, la queue érigée à lui en faire mal, Anton chancela, fit un pas en arrière, et voulu s’appuyer sur le buffet du couloir qui jouxtait l’ouverture de la porte. Cependant sa main se referma sur un vase chinois, qui bascula, avant de chuter et de s’écraser sur son pied nu, arrachant un cri de douleur et de colère au trentenaire.  « Ah, merde, foutu vase ! », tonna-il en se souvenant, mais trop tard, que Pauline était juste à côté. La douleur l’avait emporté sur le désir, et sa queue avait retrouvé un volume normal, alors qu’il pénétra à cloche-pied dans la chambre de sa progéniture.

« Pauline enfin, ne reste pas plantée là ! aide-moi à m’assoir s’il te plaît. », lui ordonna-il, en lui désignant le lit du menton. Le karma, assurément.

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 7 dimanche 25 septembre 2016, 11:53:09

Pauline sursauta en entendant son père pousser un cri juste derrière la porte alors qu’elle fouillait dans ses vêtements. La jeune fille le vit entrer dans sa chambre à cloche-pied et en grommelant. Sa fille était nue mais elle ne se sentait absolument pas gênée, elle était plutôt préoccupée par ce qu’avait son père.

– Qu’est-ce que tu as papa ? questionna la jeune fille avant de se précipiter pour l’aider à s’asseoir sur son lit.


Elle remarqua rapidement qu’il s’était fait mal au pied et qu’il était rouge. Pauline retourna à la salle de bain prendre de la pommade et retourna rapidement dans sa chambre. Toujours nue, la jeune fille s’accroupit devant son père et commença à lui masser le pied avec sa main pleine de crème.

– J’ai vu le vase sur le sol en allant à la salle de bain. Comment tu as fait pour le faire tomber ? questionna Pauline tout en continuant de masser soigneusement son pied.

Pauline caressa le pied de son père pendant de longues minutes sans se douter qu’elle lui offrait une vue plongeante sur sa poitrine. La nudité était quelque-chose de totalement banal pour la jeune fille et elle ne s’imaginait absolument pas que son corps d’adolescente pouvait intéresser son père.

– Est-ce que tu as mal ailleurs ? demanda Pauline. Si je reste à la maison, alors autant que je te sois utile.

Line continua de caresser tendrement le pied de son père en attendant sa réponse. Elle se demandait tout de même ce qu’il faisait juste derrière la porte de sa chambre. Elle ne l’avait pas entendu s’approcher pourtant. Pauline avait la chair de poule et se dit qu’il était peut-être temps de s’habiller, mais elle le ferait seulement quand son père lui dirait que tout allait bien. Elle rougit un peu en sentant ses tétons légèrement pointer à cause du froid.

James Howlett

E.S.P.er

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 8 dimanche 25 septembre 2016, 23:04:50

Fort heureusement, Pauline était prévenante et quelques instants plus tard, Anton était assis sur le lit défait de sa fille, grimaçant de douleur en louchant sur son pied qui commençait à gonfler. Putain j’espère qu’il n’est pas cassé, ce que je peux être con ! En bonne fille attentionnée, l’adolescente se rua dans la salle de bain et en revint avec un tube de pommade entamé. Sans prendre la peine de passer quelque chose pour voiler sa nudité, sa fille s’accroupit sur la moquette, et attrapa son pied pour le lui masser entre ses petits doigts fuselés. Anton serra les dents lors des premières secondes, mais finit par se relâcher alors qu’une douce chaleur remontait le long de son mollet ; la petite savait s’y prendre. Elle savait être ferme sans pour autant appuyer au point de lui faire mal. Les yeux rivés sur sa petite poitrine qui s’agitait pendant qu’elle s’affairait, Anton entendit à peine la question de sa fille.

« Hein ? Heu… Je cherchais une ampoule, pour remplacer celle de la cuisine, elle a grillé hier soir. En passant devant la porte de ta chambre, je t’ai vue toute nue et… Disons que ça m’a surpris ».

En avocat modèle, Anton savait qu’un demi-mensonge était toujours préférable à une fable montée de toute pièce. Tendant une main vers la joue de sa fille, il la caressa de l’index et du majeur. « Tu ne devrais pas te balader comme ça… Imagine que quelqu’un de l’extérieur te voies, et qu’il décide de rentrer chez nous pour profiter de toi pendant que tu dors ? Tu sais que ta mère et moi ne voulons pas qu’il t’arrive quoique ce soit… »

Voyant Pauline frissonner, ce qui tendait ses petits tétons, Anton hésita. D’un côté, il ne souhaitait pas que Pauline prenne froids, mais de l’autre, il ne voulait surtout pas qu’elle se rhabille. Avisant la silhouette que la jeune femme avait négligemment jeté au sol, il tendit le bras pour s’en emparer. « Viens par ici ma grande, tes cheveux sont encore mouillés, tu vas attraper un rhume, si tu restes comme ça. Alors que sa fille s’exécutait, se rapprochant ainsi de son entrejambes, l’homme grimaça pour se redresser légèrement. Sa grosse bite avait recouvré son épaisseur, et tout mouvement lui était douloureux. S’efforçant de calmer les battements désordonnés de son cœur, il s’appliqua à frictionner énergiquement la longue chevelure de jais de sa progéniture.

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 9 lundi 26 septembre 2016, 10:30:53

Son père cherchait donc une ampoule et avait été surprit de voir sa fille nue. C'était un peu de sa faute si son père s'était blessé. Elle n'était pas pudique mais elle n'avait pas le droit de gêner sa famille en se baladant constamment sans vêtements. Elle se promit de faire attention quand son père lui expliqua que c'était dangereux et que si quelqu'un la voyait nue, il pourrait lui arriver malheur. Anton avait totalement raison.

- Tu as raison papa, pardon, bredouilla la jeune fille. Je vais devoir prendre l'habitude de m'habiller plus souvent. J'espère que ça ne t'embête pas trop de me voir sans habits. J'ai tellement l'habitude d'être sans habits que je n'y fais pas attention la plupart du temps. La preuve, je me suis douché mais j'ai oublié d'apporter des vêtements pour m'habiller.

Son père prit la serviette et lui demanda d'approcher, alors en bonne fille obéissante elle s'avança entre les jambes de son père. Il lui frictionna les cheveux pour les sécher. Il le faisait avec un peu trop d'entrain et Pauline se sentait secouer dans tous les sens. Désorientée elle tenta de poser ses mains sur les cuisses de son père mais l'une d'elle se posa entre ses jambes sur une bosse. Line ne réalisa pas tout de suite de quoi il s'agissait et elle  fit le tour de la bosse avec ses doigts avant de se rendre compte qu'elle caressait le pénis de son père. Elle était étonnée qu'il soit aussi grand et aussi dur. Était-ce son corps à elle qui le rendait comme ça ?

- Pardon papa, je ne voulais pas te toucher ici, déclara timidement sa fille avant de poser ses mains sur les cuisses de son père.

Pauline n'était pas gênée d'avoir touché le sexe de son père par dessus ses habits, mais elle pensait que lui devait se sentir très mal à l'aise et elle s'en voulut immédiatement. C'était forcément gênant d'être découvert en état d'excitation par sa propre fille...
« Modifié: mardi 27 septembre 2016, 14:37:56 par Pauline Catalino »

James Howlett

E.S.P.er

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 10 samedi 01 octobre 2016, 12:04:55

« Je pense que ce n’est pas un problème pour ta mère, mais en ce qui me concerne c’est différent. Tu as beau être ma fille, ton corps n’est plus celui de la fillette que nous avons perdu, mais celui d’une jeune femme. Et c’est, disons… Perturbant. »

Pour la première fois depuis un bon quart d’heure, Anton avait été franc avec sa fille, si ce n’est qu’il avait usé de la litote. Il ne pouvait quand même pas dire à Pauline que son petit cul le faisait bander. L’intéressée s’était lovée entre ses genoux pour qu’Anton puisse lui sécher les cheveux plus efficacement. Néanmoins, l’homme que le désir rendait maladroit la frictionnait un peu trop énergétiquement, et l’adolescente était un peu ballotée de droite à gauche. Ce qui devait arriver arriva ; déséquilibrée, la brunette tenta de se rattraper en posant ses paumes sur les cuisses de son père, mais l’une de ses petites mains dérapa et ses doigts se refermèrent sur la queue bandée d’Anton, qui poussa un grognement guttural.

« Hm. Pauline, enlève ta…ta main », balbutia-il, en attrapant le poignet de l’intéressée.

Si Pauline sembla surprise par l’érection de son père, elle n’eût pas la réaction hystérique à laquelle Anton s’attendait. Ce qu’il lisait dans ses yeux émeraude ressemblait davantage… A de la curiosité, et aussi à de la culpabilité.

« Ce n’est rien, c’est… Tu sais pauline, le désir sexuel est quelque chose de très complexe, et il arrive bien souvent que nous soyons émoustillés par des situations que nous savons être fondamentalement immorales. Mais ce n’est pas très grave, tant que le fantasme ne donne pas lieu à réalisation concrète… C’est ce qui m’est arrivé en te voyant toute nue. »

La voix d’Anton était bien trop plane pour que Pauline n’en soit pas alarmée. En posant sa menotte sur le vit de son père, l’adolescente avait amené l’obscène désir de son père à un point de non-retour. Le regard fiévreux, les poings serrés, les muscles de la mâchoire contractée, Anton ordonnait de tout son être à son corps traître de se lever, et de s’éloigner le plus loin possible de Pauline, mais ses jambes n’obéissaient pas. Lentement, comme dans un rêve, l’homme raffermit sa prise sur le poignet de sa fille et l’écrasa sur son sexe.

« Maintenant qu’elle est comme ça, il faut que cela cesse », s’entendit-il dire d’une voix sourde, ses beaux yeux bleus plongés dans ceux de Pauline. « Caresse-là un peu », lui ordonna-il, en faisant bouger les doigts de sa fille autour de son sexe. « Après tout, c’est de ta faute, ma chérie. C’est de ta faute si papa bande si fort. »   L’inversion accusatoire, on y était. Je suis en train de péter les plombs, mon Dieu. Etrangement lucide, l’homme ouvrit le bouton de son jean, d- zippa sa fermeture éclair et abaissa son jean sur ses chevilles. Quelques instants plus tard, son boxer vînt le rejoindre, alors que devant le nez de sa progéniture, se dressait un gros sexe veineux, surmonté d’un gland violacé duquel perlaient quelques gouttes de liquide séminal.

« Occupe-toi de mon sexe, ma puce », lui ordonna-il, sans trembler, conscient que la situation était désormais irréversible.

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 11 samedi 01 octobre 2016, 13:29:30

Pauline ne pensait pas avoir attisé le désir de son père en étant nue devant lui. Pour elle la nudité était tellement normale.  Il venait de lui avouer qu’il avait eu des pensées intimes envers sa fille. Elle était surprise mais cela ne la gênait pas. Elle avait été un objet sexuel pendant toute son adolescence, et elle avait dû servir des personnes horribles. Son père lui était gentil. Il ne voulait pas rester dans cette situation et Line le comprenait. Elle savait que la façon la plus simple pour calmer le désir chez quelqu’un était de le faire jouir. Anton ordonna à sa fille de caresser son sexe par-dessus ses habits et elle obéit docilement. Depuis qu’elle était rentrée, elle avait décidée qu’elle n’obéirait plus jamais à personne, excepté ses parents.

– Je suis désolée papa, je sais que c’est de ma faute si tu bandes, bredouilla la jeune fille en caressant la grosse bosse entre ses jambes.

Pauline se sentait fautive et ne voulait pas que son père lui en veuille. Elle ferait tout pour qu’il soit fier d’elle et qu’il l’aime. Son père retira son pantalon et son caleçon, pour finalement dévoiler une grosse verge juste devant le visage de sa fille.

– Le pénis de papa… bafouilla la jeune fille en le regardant avec admiration. Oui papa je vais m’en occuper.

Line lécha docilement le gland de son père et apprécia le goût du liquide qui en sortait. La jeune fille avait été vilaine en se montrant nue devant son père. Elle se ferait pardonner en lui obéissant et en lui faisant plaisir. Elle glissa timidement le gland d’Anton dans sa bouche et commença à le sucer doucement. Elle tourna tendrement sa langue autour du bout de sa verge en espérant que ce qu’elle faisait était bien. Pauline n’avait pas beaucoup confiance en elle et était de nature soumise. Elle souhaitait que son père lui pardonne si elle le suçait de son mieux.

– Est-ce que je suce bien papa ? questionna la jeune fille en lui lançant un petit regard timide.

Pauline n’attendit pas sa réponse et se remit à sucer amoureusement le délicieux gland de son père. Si cette relation pouvait être choquante pour la plupart des gens, la jeune fille n’y trouva rien d’étrange et trouvait presque normal de faire plaisir à son père.

James Howlett

E.S.P.er

Re : L'obscène et l'ingénue [Pauline]

Réponse 12 mercredi 02 novembre 2016, 10:58:20

Lorsqu’il était jeune avocat, Anton avait travaillé sur des histoires sordides de viol incestueux, ce qui avait contribué à instiller en lui l’idée qu’une telle relation était nécessairement condamnable, scandaleuse. Pas un instant il n’avait cru à l’idée selon laquelle la chose pouvait se faire naturellement, à cause d’une attirance réciproque et irrépressible… Et pourtant c’est ce qui était en train de leur arriver, à Pauline et à lui. Sa fille adorée approcha ses petites lèvres de son gland violacé, qu’elle lapa comme une petite chienne docile, avant de l’enfourner dans sa bouche, tortillant sa langue autour de cette grosse queue qui lui déformait les joues. Grognant de plaisir, il passait ses doigts tremblant dans les cheveux bruns de l’ingénue, appuyant parfois un peu sur l’arrière de son crâne pour faire davantage pénétrer son pénis en elle.
« C’est parfait ma puce. Utilise aussi tes deux mains pour me branler. N’hésite pas à serrer bien fort. »

Voire Pauline ainsi s’affairer sur son membre ne manquait pas de lui rappeler des souvenirs. La maman de Pauline avait été – et était toujours, même si elle s’était quelque peu assagie, une sacrée salope. Anton ne comptait plus les fois où sa femme avait sorti sa queue dans les endroits les plus insolites qui soient, pour se repaître de son foutre épais. Elle avait par la suite, développé un goût pour le sexe de groupe, et Anton avait partagé sa femme avec de nombreux amants et amantes. Vraisemblablement, Pauline prenait le même chemin.

« Elle te plaît la queue de Papa ? » grogna-il, d’une voix rauque. Soumettre ses partenaires n’était jamais suffisant pour le brillant avocat. Non, il aimait aussi les entendre se satisfaire de leur situation, et en réclamer toujours davantage. « Tu aimerais qu’elle te baise ? » poursuivit-il, hagard. Oh, comme il était heureux de redécouvrir ainsi sa fille ! le champ des possibilités que la naissance de cette nouvelle relation augurait était tout simplement fantastique. « Je prendrai d’abord ta chatte, et puis ton petit cul. Tu sais que c’est ce que préfère ta mère ? A chaque fois ça lui fait un mal de chien, mais la garce en redemande ! » L’homme divaguait, aux prises avec un orgasme qui s’annonçait fulgurant. « Rahh…ma puce… » Anton se raidit, agitant compulsivement son bassin d’avant en arrière, envoyant profondément sa bite dans la gorge de sa fille, trop excité pour s’assurer qu’il n’était pas en train de l’étouffer. Soudain, en nage, la tête rejetée en arrière, il expulsa plusieurs jets de foutre épais et blanchâtre entre les lèvres crispées de Pauline, lui remplissant les joues, alors que le surplus s’échappait de sa petite bouche malmenée pour couler sur son menton, le long de son cou et jusqu’à la naissance de sa petite poitrine.

Anton se vida entièrement en elle, avant de s’écrouler sur le lit, le regard perdu dans le vague. Il avait juté une quantité invraisemblable de sperme et il lui faudrait un certain temps pour se remettre d’un tel exploit…Mais il était certain qu’il ne comptait pas s’arrêter en aussi bon chemin.

« Viens ma chérie », lui intima-il, plus tendrement, en tendant la main vers elle, désireux de sentir son petit corps tiède contre le sien.


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