Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

The Russian Way [PV]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Doutzen Kroes

Humain(e)

The Russian Way [PV]

mercredi 21 septembre 2016, 22:19:38

La main gifla sèchement le visage de la jeune femme, l’envoyant s’écrouler violemment sur le sol.

« Ta gueule, salope ! hurla l’homme, chauve, gros et gras. Tu feras ce qu’on te dit, sale pute, tu te prends pour qui, hein ?! »

La jeune femme avait beau hurler, supplier, ou même vouloir se défendre, il était trop tard pour elle. Beaucoup trop tard... Elle était ici, dans cette cave sordide, entre les mains de Boris Traznich, un individu peu recommandable, qui bandait en frappant les femmes, et le seul réconfort qu’elle avait eu émanait de Reto, qui avait dit à Boris, en lui remettant la jeune femme, de ne pas trop l’abîmer, car son visage avait de la valeur. Boris avait compris, mais ce n’était, en soi, pas trop grave. Il était un spécialiste du fait de tabasser les femmes, en faisant en sorte que personne ne le réalise, ou ne pose de questions par la suite.

Boris était donc face à cette femme, une petite pute arrogante, fille unique de Vladimir, ou, plutôt, feu Vladimir. Reto avait retrouvé ce sale rat dans un chalet perdu dans l’Oural, alors qu’il bénéficiait, lui et sa fille, d’un programme de protection des témoins. Vladimir n’avait pas été n’importe qui, car il était un comptable. Dans toute organisation mafieuse, il y avait ce petit homme, dont on parlait peu, mais qui, à bien des égards, était l’élément central de l’organisation le comptable. Il était en effet le seul à pouvoir écrire, car son rôle était de blanchir l’argent de la mafia, de tenir les comptes. C’était un poste central, et la police les recherchait activement. Mettre la main sur un comptable, c’était avoir accès à une manne d’informations colossale. Pour s’en convaincre, il se suffisait de rappeler l’histoire de Tommaso Buscetta, un pentito de Cosa Nostra, la fameuse mafia sicilienne, qui, grâce à ses témoignages, avait permis d’arrêter des centaines de mafiosi. Autant dire que, quand un comptable voulait se mettre à parler, il fallait le faire rapidement taire.

Vladimir, en l’occurrence, était en instance de divorce avec sa femme, qui avait fui dans un autre pays, et c’était dans le cadre de ce contentieux qu’il avait choisi de trahir ses camarades. Quand les Petrovski avaient appris qu’il comptait les doubler afin de pouvoir avoir les droits de garde sur sa fille, Reto avait décidé de quitter le Japon pour s’occuper de lui. Ils avaient ainsi retrouvé sa trace, et avaient attaqué le chalet, tuant les agents de police, avant de tuer Vladimir. En bonus, il y avait la fille de ce dernier, la rétribution de Reto pour être intervenue : Sasha. Quand il avait entendu parler de cette fille, il avait mis son veto sur elle, acceptant d’intervenir contre Vladimir, uniquement s’il pouvait emmener Sasha chez lui. Ses supérieurs avaient accepté.

Reto avait voulu violer Sasha sur place, mais cette dernière s’était avérée moins docile que sa petite Doutzen adorée, puisque, quand il avait posé sa main sur elle, elle l’avait mordu jusqu’au sang. Il l’avait violemment giflé, et, avant de l’emmener à Seikusu, avait décidé de lui faire une petite leçon. On lui avait mis une cagoule sur la tête, et on l’avait embarqué dans un van, en direction de la Sibérie. Ils étaient partis à Irkoutsk, l’une des plus grandes villes de la Sibérie, où les Petrovski y avaient historiquement d’importants liens, et un bordel sinistre, où il avait balancé la jeune femme.

Le gérant du bordel était le fameux Boris, un homme violent, agressif, et alcoolique. Il se tenait face à la jeune femme, furibond. Le visage de Sasha était sale, et, tandis que cette dernière reprenait ses esprits, elle pourrait voir que la salle où elle se trouvait ressemblait dangereusement à une salle de torture.

« Tu as une sale gueule, pétasse... De quoi faire fuir les clients ! Heureusement, on a de quoi s’occuper de toi ! »

Il se rapprocha d’elle, et posa ses deux mains sur son cou. Boris était un vrai ours, avec des bras puissants, et il étrangla la jeune fille, jusqu’à la faire sombrer dans l’inconscient... Puis la prépara.

Cette nuit, elle allait être une attraction gratuite pour tous les clients, et avait été habillée en conséquence, suspendue par les poignets à des chaînes au plafond, ses jambes traînant sur le sol d’une cave. Elle ne pouvait pas voir quoi que ce soit, et entendait très difficilement, mais dut sentir des mains grasses palper ses seins, et des membres en érection se presser dans son dos, s’approchant de son vagin, qu’on avait proprement épilé, afin de la pénétrer rudement...
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 1 mercredi 21 septembre 2016, 23:57:24

La vie de la jeune Sasha avait pris un tournant dramatique, et dans des circonstances qui avaient été complètement indépendantes de sa volonté. Âgée de tout juste de 17 ans et ayant pour rêve de commencer des études dans le domaine de la finance, elle était l'archétype même de cette nouvelle génération de russes, du moins ceux, rares, qui avaient la chance de baigner dans un luxe affolant. Elle était clairement ce genre de personnes fières qui ne traînait pas avec le premier venu, le genre qui choisissait ses relations car elle se sentait supérieure à une partie de la population, autant physiquement que mentalement, et personne dans son entourage ne l'avait jamais réprimandée pour ça, au contraire.
Sasha ne s'était jamais doutée que son père travaillait pour la mafia russe, elle en était absolument certaine, et n'avait jamais eu l'idée de dénoncer quoi que ce soit aux flics, car elle savait aussi que c'était là une grande partie des revenus conséquents de son père, qui lui finançait un train de vie plus que confortable. Seulement, il avait fallu que sa mère décide d'arrêter de jouer les faux semblants, et de partir du jour au lendemain rejoindre l'un de ses amants à l'étranger, et n'engage une procédure de divorce. Cet élément, plus le fait qu'il risquait de perdre la garde de sa fille, avait littéralement fait péter les plombs à Vladimir, le père de Sasha, qui avait alors commis une folie: marchander des informations en échange de garanties quand à la garde de sa fille.

Et ça, ils avaient fini par le payer.

Tous les flics, toute la distance qu'ils avaient pu mettre entre eux et la mafia, n'avait pas servi à grand chose. C'était un véritable commando, organisé et armé jusqu'aux dents, qui avait fait irruption dans leur demeure isolée et protégée par la police, des agents qui avaient été massacrés jusqu'au dernier, et c'était avec horreur que Sasha avait même vu son père se faire tuer d'une balle dans la tête, juste sous ses yeux. Après ça, l'un des membres du commando avait voulu la violer, clamant qu'elle était sa récompense pour ce travail accompli, mais même si elle était une femme, elle était aussi sportive et d'un caractère bien trempé. Quand il avait posé ses mains sur elle, Sasha l'avait mordu jusqu'au sang, de rage, et il avait fallu alors la séquestrer.

Là, présentement, la jeune femme n'avait aucune idée de combien de jours s'étaient écoulés, ni même d'où elle se trouvait. Mais à l'allure de l'endroit qu'elle vit, quand on lui avait retiré sa cagoule, elle avait immédiatement compris qu'il s'agissait d'une maison close, et le genre délabré acceuillant une clientelle peu fortunée. Bien sûr, elle s'était débattue, et avait insulté ses tortionnaires de tous les noms, surtout ce gros chauve qui n'avait pas l'habitude qu'une femme lui tienne tête. Seulement Sasha était une forte tête qui n'avait plus grand chose à perdre, elle doutait en effet que la police puisse la retrouver, car la mafia pouvait aisément dissimuler ses traces, sans compter qu'après tous ces jours à voyager, elle devait se trouver désormais bien loin. Elle avait alors résisté, refusant de se soumettre à ce gros porc dégeulasse, ou même au connard qui avait tué son père, et quand le propriétaire du bordel s'était mis à l'étrangler, elle avait bien cru mourir en sombrant dans l'inconscient.

Mais une heure plus tard, elle reprit conscience...dans une certaine mesure. Une épaisse cagoule en latex lui recouvrait la totalité du visage, et elle pouvait juste obtenir de l'air en respirant par la bouche depuis un petit tuyau, même si elle ne pouvait pas le voir. Coupée de son audition et de sa vue, elle pouvait tout juste sentir qu'elle était accroupie sur un sol froid, nue en grande partie, et que ses bras étaient maintenus en l'air par des liens solides. Cette privation de ses sens contribua à la faire paniquer, mais certainement pas autant que ces mains qu'elle sentit se presser sur sa poitrine nue, ainsi que...

*Non putain non !*

Il ne fallait pas être un génie pour comprendre qu'elle était là pour servir de vide couilles à une horde de bouseux, afin de lui apprendre le respect sans doute. Elle se mit à gémir, essaya de se débattre, mais sans vraiment que ça fasse d'effet. Limite, d'une certaine façon, qu'elle ne puisse ni voir ni entendre ses tortionnaires était préférable, et ces derniers avaient probablement du juger que la bouche de la jeune femme n'était pas un trou qu'il serait sage d'essayer, vu qu'elle les aurait très certainement mordus. Elle entendait à peine les voix autour d'elle, sans doute des commentaires graveleux, alors qu'elle sentait les chaines retenant ses bras se hisser, la forçant à se mettre en position debout, et encore elle sentait des mains palper ses seins, ses fesses, ses cuisses...

Mgnnnnn !!!!

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 2 jeudi 22 septembre 2016, 02:41:25

Pour attirer les gens, Boris avait dit qu’il accueillait une oligarque de Moscou. Il n’en fallait pas plus pour faire venir les clients. En Russie, les tensions entre la capitale, richement développée, et occidentalisée, et la campagne, étaient une réalité. Beaucoup de gens, dans les coins les plus reculés de la Sibérie, croyaient par exemple toujours que Staline était en vie, et, pour le reste, bon nombre d’individus regrettaient l’ère du communisme. Pour eux, l’arrivée du capitalisme n’avait fait qu’aggraver les choses, en creusant davantage les inégalités économiques et sociales, des inégalités qu’on retrouvait au plan géographique, où le niveau de vie à Moscou était bien différent du reste du pays. Et, en Sibérie, l’éclatement de l’URSS avait provoqué une chute massive de l’industrialisation. Depuis les années 1920’s, les Soviétiques avaient fortement exploité les champs sibériens, qui abritaient quantité de minéraux et de gisements naturels. L’effondrement du bloc communiste avait déstabilisé cette région, et avait permis aux oligarques russes de s’enrichir, provoquant la colère des Russes, qui avaient vu en eux une clique de voleurs avares et cupides, exactement ceux dont la propagande soviétique enjoignait de se méfier.

Par conséquent, il y avait bien du monde ce soir. Boris en connaissait la plupart. Des bûcherons, d’anciens ouvriers ou mineurs au chômage depuis que les usines avaient fermé, ou encore d’anciens soldats ayant quitté l’armée quand l’URSS s’était écroulée... On trouvait quantité de gens aigris, et, ce soir, la jeune femme allait subir les assauts de toute cette bande d’hommes se trouvant dans la salle de torture.

On la souleva donc un peu en tirant sur les chaînes retenant ses poignets, par le biais d’un treuil. Les gémissements de la femme l’excitaient, et ils ricanaient grassement entre eux.

« Quelle salope...
 -  Ces putes ont l’habitude de se faire tringler par des golden boys, ou même par des sales chiens d’Occidentaux...
 -  Elle va goûter à de vraies queues !
 -  Regardez ces jambes de salopes, toutes propres, toutes douces ! Je suis sûr qu’elle suit des traitements auprès d’esthéticiens ! »

Ils parlaient d’une voix profonde, leurs mains caressant le corps de la femme, glissant sur ses jambes. Ils s’étaient tous déshabillés, certains dégageant une odeur assez repoussante, l’ensemble formant un cocon de saleté et de puanteur... Et, même malgré son masque, la jeune Sasha ne pouvait que le sentir, tandis que deux mains vinrent pincer douloureusement ses seins. Une grosse queue s’enfonça alors dans son vagin, la prenant par l’arrière, les gémissements de la femme et les cliquètements des chaînes ne les excitant que davantage. Ils se masturbaient, se caressant férocement.

L’homme qui la baisait était un ancien ouvrier, qui avait travaillé dans une usine, avant qu’elle ne ferme. Il avait un ventre proéminent qui s’enfonçait dans le dos de la femme, et de grosses mains. Sa queue était bien dure, car il fallait bien admettre que, même s’il ne pouvait pas voir le visage de la femme, elle avait un corps terrible. Il écrasait ses seins, en léchant son oreille à travers le masque, ou mordillant ce dernier.

« Tu m’entends, salope ? Tu as beau être une pute, tu es... Putain, ce que t’es bonne ! J’crois que j’ai jamais baisé une telle chatte, ma salope... Oh, sale pute ! »

Il pinça encore ses seins, notamment ses tétons, et quelque chose éclata soudain sur le ventre de Sasha.

L’un des hommes autour d’elle venait de jouir, balançant son sperme sur son corps...
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 3 jeudi 22 septembre 2016, 13:30:45

Sasha ne s'était jamais sentie aussi opressée qu'à cet instant, outre le fait de savoir qu'il y avait autour d'elle de multiples hommes en train de la pelotter, la cagoule en latex qu'elle portait était étouffante, quand bien même elle pouvait respirer par la bouche. Elle était désormais maintenue debout dans une position inconfortable, ses bras tirés au dessus de sa tâte et maintenus ainsi par des chaines, et tout le reste de son corps était nu, livré aux mains sales et peu délicates de ces hommes qui la palpaient comme un morceau de viande.
Sasha n'entendait que des bribes de ce qu'ils disaient, vu que les sons étaient étouffés, car la cagoule recouvrait la totalité de sa tête, oreilles comprises. Malgré tout, elle comprit que ces hommes l'insultaient, et malgré la cagoule qui recouvrait son nez, une odeur très désagréable lui remonta néanmoins aux narines. Une odeur de transpiration, de saleté, et d'alcool, qui émannait de ce groupe qui l'entourait. La jeune femme sentait leurs sales pates sur tout son corps, et elle avait véritablement l'impression d'être salie par eux. Par réflexe, elle continuait d'essayer de se débattre, mais après ces jours à être malmenée, il lui restait assez peu de forces, et c'est avec un certain désespoir qu'elle savait qu'elle allait se faire violer.

MGNNNNNN !!!! RMGNNNNNN !!!!! HMMMMMM !!!!!!

Sasha se mit à pleurer sous sa cagoule, et poussa des hurlement étouffés quand elle sentit un sexe s'enfoncer dans son vagin. L'homme la prenait par derrière, et se collait dans son dos. La jeune femme sentait son ventre gros, et son torse poilu, en sueur, se frotter contre elle, et avec ses deux mains, il maltraitait littéralement ses seins. Serrant les poings, Sasha tirait férocement sur les liens qui la retenaient pour essayer de se libérer, car elle avait mal, terriblement mal. Non seulement elle se sentait à raison salie par ces salauds qui ne devaient connaître aucune notion d'hygienne, mais le rapport en lui même était douloureux. Absolument pas excitée par la situation, au contraire même, le vagin de Sasha n'était donc pas lubrifié par de la cyprine, et le sexe de cet homme qui remuait fortement en elle lui faisait donc atrocement mal.
La jeune femme cru bien vomir quand il approcha sa bouche de son oreille, de façon à ce qu'elle puisse entendre ses paroles dégeulasses, puis il se recula pour ensuite poser ses mains sur les hanches de la jeune femme, et cette fois la baiser vérritablement. L'ancien ouvrier n'y allait pas de main morte, et outre le plaisir évident qu'il tirait du fait de baiser une belle jeune femme comme Sasha, il prenait aussi un plaisir sadique à violer une riche russe comme elle. Sous sa cagoule, Sasha fermait les yeux, elle avait la respiration lourde et pleurait, et poussa des gémissements de dégoût quand elle sentit qu'on lui éjacula sur le ventre. Son corps était balottée d'avant en arrière, puis au bout d'une poignée de minutes, l'homme accéléra encore le mouvement, pour ensuite s'arrêter en s'enfonçant pleinement en elle, et éjacula en grognant contre son oreille.
Satisfait, l'homme se retira, et un filent de sperme coula de l'intimité abusée de Sasha, qui tremblait sur place. Ces salauds n'utilisaient même pas de préservatif, et s'ajouta donc au viol la peur de tomber enceinte ou de chopper des MST, ce qui n'était pas à exclure vu la gueule qu'elle imaginait de ces hommes. Un autre vint prendre la place vacante dans le dos de la jeune femme, mais plutôt que de directement enfoncer sa queue, il doigta quelques instants Sasha, qui poussa des gémissements de protestation.

Cette sale pute est sèche, putain fait tout faire soit même.

L'homme prit alors Sasha par les hanches et la força à se déplacer un peu en arrière. Du fait de ses bras toujours attachés au dessus d'elle, la jeune femme fut donc forcée de se courber, bombant ainsi bien involontairement ses fesses. L'homme, qui était un bucheron, approcha donc son visage des lèvres intimes de Sasha, qu'il écarta avec ses doigts graisseux, puis il cracha à plusieurs reprises dans son intimité, avant d'enfoncer un doigt pour répandre ce semblant de lubrifiant dans son sexe.
Pendant ce temps là, un autre s'amusait à la torturer, devant elle, en la privant à intervalles réguliers de son apport en oxygène, en pincant entre ses doigts le tuyau relié à sa bouche qui était sa seule façon actuellement de respirer. Sasha poussait alors des gémissement paniqués, étouffait, et ces réactions amusaient ces hommes qui ne manquaient pas au passage de la claquer, ou de pincer ses seins.
Puis, quand le bucheron sembla satisfait, il se redressa, et positionna sa queue devant l'entrée du vagin de la jeune femme, pour s'enfoncer en elle d'un coup.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 4 jeudi 22 septembre 2016, 14:58:42

Il n’y aurait aucun héros pour venir la sauver, aucun chevalier en armure rutilante qui défoncerait la porte pour occire les malandrins qui la violaient. La police ne ferait rien. Ici, comme dans tant d’autres régions de la Russie, la Mafia russe était très puissante, et, à Irkoutsk, les Petrovski étaient très influents. Sous le régime tsariste, de nombreux opposants politiques avaient été envoyés ici, et avaient servi pour travailler dans les mines, sous des conditions climatiques extrêmes. Cette ville avait été l’un des premiers fiefs historiques de la famille des Petrovski, qui avaient eux-mêmes procédé à l’incendie de cette ville, en juillet 1879. Ils avaient ainsi pu devenir les propriétaires terriens de multiples terrains, sur lesquels on avait bâti des immeubles, des commerces, des boutiques... Les Petrovski avaient survécu au communisme, et avaient étendu leur influence sur la ville. Sasha était un cadeau aux habitants, et ce qu’elle vivait ce soir se renouvellerait à chaque fois qu’elle irait ici. C’était sa leçon d’humilité.

Dans son dos, un premier homme avait joui, et un autre la pénétra également, après l’avoir légèrement préparé. Les autres ricanaient grassement, et s’amusèrent à l’étouffer, se délectant de ses gémissements, de ses soupirs, de la manière dont elle se débattait. Aucun de ces hommes ne voulait qu’elle s’endorme, ou qu’elle trépasse, mais qu’elle subisse leurs assauts pendant toute la nuit. Ils constatèrent ainsi que la trompe avait une légère ouverture, ce qui ne manqua pas de leur donner des idées.

Pendant qu’elle faisait méchamment baiser par l’arrière, plusieurs hommes s’approchèrent  d’un béquer.  Difficile de comprendre, à première vue, ce qu’un objet comme ça, faisait ici, mais eux le savaient... Chacun à tour de rôle, ils urinèrent ainsi dans l’instrument, le remplissant aux trois quarts du liquide jaune et poisseux, ricanant entre eux.

« Elle va voir, cette salope...
 -  Merde, putain, je bande tellement que j’ai du mal à pisser dans le trou...
 -  ’Suffit de pisser, putain, c’est pas compliqué ! »

Ils grognaient entre eux, nerveux, excités, tandis que la jeune femme continuait à se faire prendre. Pour l’ouvrier, cette nana était vraiment super bonne. Généralement, les putes, ici, étaient des boudins, des femmes grosses. Les belles nanas blondes à forte poitrine étaient réservées à d’autres villes qu’une cité perdue dans les profondeurs de la Sibérie. Alors, pour un tel cadeau, il y avait forcément quantité de monde. L’homme la pénétrait donc rudement, enfonçant sa grosse queue en elle. Le pire était que tous ces gens n’étaient pas des mafieux, ou des asociaux sans famille. L’ouvrier, par exemple, s’appelait Ivan, et avait une femme, et deux enfants. Pour autant, il allait régulièrement au bordel local, sans jamais se sentir coupable. Et comment pourrait-il ressentir la moindre once de remords, quand il couchait avec une nana si sexy ?

Ivan léchait et mordillait son masque, l’entendant gémir, se délectant de ça. Il était tellement excité qu’il n’arriva pas à se contrôler. L’homme aimait bien le latex sur les femmes, a fortiori sur leur visage, et éjacula donc particulièrement rapidement, se vidant à son tour en elle, dans un profond soupir.

Sa queue resta néanmoins nichée en elle pendant quelques instants, tandis que, pendant ce temps, les autres s’approchaient de la trompe en caoutchouc permettant à la femme de respirer. Ils la soulevèrent, et approchèrent l’extrémité du béquer. Il y avait pile la place requise. Ivan se retira alors, et le liquide déferla alors dans la bouche de la femme, qui ne pouvait rien faire d’autre que boire leur urine.

Le béquer fut ensuite déposé, et des ricanements gras filaient tout autour de la femme. Des bruits de pas se faisaient entendre autour d’elle, puis des coups s’abattirent alors sur ses fesses.

« Elle a un de ces culs, putain ! »

Ce qui devait logiquement arriver arriva. Un homme s’approcha d’elle, et, sans guère attendre, suça son doigt, puis l’enfonça dans le fondement de la femme, tandis que, devant elle, un homme s’était saisi d’un fouet, et le fit claquer sur elle. Plusieurs coups frappèrent son visage, et, même malgré le masque de latex, la douleur devait être particulièrement forte. Le fouet frappa ensuite son ventre, dessinant des zébrures rouges dessus, puis la pointe de ses seins.

Sa torture ne faisait que commencer, et, déjà, d’autres urinaient encore dans le béquer, afin d’alterner et de varier les « plaisirs »...
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 5 vendredi 23 septembre 2016, 13:06:25

Elle les aurait tous  tué si elle avait pu. Outre le désespoir, c'était aussi et surtout la colère qui dominait largement l'esprit de la jeune femme. Elle en voulait à son père d'avoir été idiot au point de trahir la mafia, elle en voulait à cette dernière de l'avoir trainée dans cet endroit miteux, et de fait à l'heure actuelle, elle en voulait à la Terre entière. La cagoule en latex sur sa tête avait été une nécessité, et pas seulement pour protéger son joli visage des assauts de ces hommes, mais aussi pour cacher ce regard de haine qu'elle n'aurait pas manqué de lancer à ces hommes. Quand à sa bouche, elle aurait été inutilisable de toutes manières. Reto, l'homme qui avait tué son père, avait pu s'en rendre compte en personne, la jeune femme était une vraie furie malgré son apparence angélique. Ce gangbang, c'était un moyen comme un autre de la briser.
De fait, jamais Sasha ne s'était sentie aussi sale. Elle qui prenait un grand soin de son corps et qui exigeait que ses partenaires fassent de même, le fait de sentir ces hommes sales tout autour d'elle la dégoutait, mais surtout, surtout, sentir leurs sexes non protégés de glisser en elle. Qui pouvait savoir quelles saloperies sexuellement transmissibles certains de ces  péquenots avaient ? Un deuxième homme venait de se glisser dans son dos pour la baiser, commençant ainsi un cycle d'une tournante qui allait durer très longtemps. Sasha était, dans cette partie éloignée du pays, une attraction rare, d'autant que pour s'assurer qu'un maximum de monde vienne, les hommes n'avaient même pas à payer. Le seul et unique but de cette soirée était clair: briser  la jeune femme.

L'homme qui se trouvait derrière elle termina rapidement, et se vida en elle, joignant sa semence à celle de celui qui l'avait précédé. Sasha, comme elle était privée d'une bonne partie de ses sens, se trouva malheureusement particulièrement réceptive aux autres de ses sens qui n'étaient pas entravés, notamment le toucher. Elle sentit donc pleinement le sexe de l'homme tressauter, cracher un sperme visqueux et chaud dans son intimité déjà abusée, et resta après quelques instants avec sa queue plantée en elle, embrassant et mordant son masque avant de se retirer. Juste après avoir senti l'homme s'ôter d'elle, Sasha sentit à nouveau l'arrivée d'air dans sa bouche s'arrêter, elle avait cru au départ que ces salauds lui bouchaient à nouveau son arrivée d'air, mais elle sentit rapidement un liquide chaud et au gout répugnant lui arriver sur la langue.

*Que...*

MGNNNNNN !!!!! RHMMMMMM !!!!!

Sasha tenta à nouveau de se débattre quand elle comprit ce que ce liquide devait être, à savoir de l'urine. Poussant l'humiliation jusqu'au bout, plusieurs clients avaient mélangé leurs urines dans un récipient pour ensuite le faire boire à la jeune femme par le biais de son tuyau d'arrivée d'air. Comme le tuyau donnait dans le masque sur un bouchon qui maintenait la bouche de Sasha ouverte, cette dernière ne pouvait donc pas recracher ce qu'ils versaient, et comme le manque d'air se fit rapidement sentir...Sasha se trouva rapidement avec une seule solution, et se mit à boire leur pisse.

*Enfants de salauds...je...*

Sous son masque, tout en déglutissant à intervalles réguliers, la jeune femme se mit à gémir sous sa cagoule, et ce d'autant plus quand elle sentit de puissantes claques se poser sur ses fesses, les faisant rougir en imprimant les marques des mains qui les claquaient. Mais cette douleur ne fût rien en comparaison de celle qu'elle ressentit quand on lui glissa un doigt dans le cul. La jeune femme se tendit alors comme une corde de violon, et poussa un hurlement étouffé par sa cagoule, tandis qu'en prime, un autre la fouettait.

Putain le cul de cette salope est étroit...
Sans déconner ? Tu crois qu'elle est vierge là ?
Possible. Soit ça, soit elle a eu droit qu'à des petites bites...mais on va faire découvrir à cette petite précieuse ce que c'est, de sentir un vrai mec dans son cul !

L'homme qui lui doigtait le cul se trouva excité par le fait de le sentir aussi serré. Dans les faits, si Sasha s'était déjà essayée à la sodomie à quelques reprises, elle n'y avait jamais pris goût et avait donc fini par arrêter d'essayer. Si l'homme avait initialement pensé la préparer un peu, le hurlement qu'elle poussait alors qu'il la doigtait l'inspira. Il le retira alors subitement, puis écarta les fesses de sa victime à l'aide de ses mains tout en présentant son sexe, puant, et gros, à l'entrée de son anus étroit. Sasha tendait de se débattre, mais rien n'y fit, l'homme commença à s'enfoncer difficilement en elle. La jeune femme, par réflèxe, serrait les fesses pour empêcher cette intrusion, mais cela n'empêcha pas l'homme de petit à petit enfoncer son sexe dans son cul, et cela ne rendit que le processus encore plus douloureux. Sasha le sentit forcer le passage, encore et encore, jusqu'à s'être finalement enfoncé jusqu'à la garde. Elle avait l'impression d'être déchirée de l'intérieur, et l'homme de son côté commença à remuer en elle, en grognant de plaisir.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 6 vendredi 23 septembre 2016, 13:57:33

Le viol de Sasha ne faisait que commencer, et suivait une stratégie bien précise. La briser était effectivement l’objectif de Reto... Mais pas uniquement. En réalité, il ne voulait pas tant la briser que la soumettre. Il voulait qu’elle comprenne qu’il était désormais le mâle qui aurait droit de vie et de mort sur elle, le mâle-Alpha. Trahis-moi, et tu souffriras. Il fallait que la femme comprenne que Reto avait le pouvoir, et, s’il avait imposé le masque en latex sur son visage, c’était aussi parce qu’il savait que, si ces types avaient vu son regard plein de fierté, ils l’auraient sévèrement battu. Ce n’était rien de plus qu’une leçon, car Reto, en réalité, avait de grands projets pour cette femme. Mais, pour ça, il fallait calmer cette louve, limer ses griffes, sans pour autant les lui ôter.

En attendant, elle se faisait donc battre et humilier, et, visiblement, boire l’urine de tous ces porcs n’avait pas manqué de l’énerver. Elle s’était furieusement débattue, et, tandis qu’un homme la sodomisait, les autres ricanaient grassement, sentant leurs queues se tendre entendre. Au milieu des coups de fouet, le sperme de ces hommes éclatait sur son corps, sur ce ventre parfait, sur ses hanches, sur ses magnifiques jambes, ou encore sur ses seins. L’humiliation se mélangeait à la torture, car l’homme dans son dos continuait à la sodomiser, à l’enculer bien fort, se délectant de sentir ce petit cul se resserrer. S’enfoncer dans cette femme était douloureux, mais la douleur, en réalité, ne faisait que rendre la chose plus plaisante.

« Ouais, ce qu’elle est bonne, cette salope !! »

Un homme joua avec le treuil, et tira dessus, l’abaissant, amenant ainsi le buste de Sasha à filer vers le bas, la jeune femme se retrouvant ainsi agenouillée sur le sol, en position de levrette. L’homme, qui avait retiré sa queue pendant la durée de ce processus, posa ses mains sur ses hanches, gifla sévèrement son petit cul, puis la pénétra à nouveau rudement, amenant Sasha à hurler encore. Ils entendaient ses hurlements, ses gémissements, et ricanaient, se rapprochant encore, pendant que le corps de Sasha filait d’avant en arrière. Les chaînes cliquetaient encore, et des mains caressaient son masque, ainsi que des queues, frottant son visage, s’enfonçant contre ses joues, la malmenant, l’oppressant, l’humiliant encore.

Une queue s’appuya contre l’emplacement de sa bouche, comme pour mimer une fellation. Des mains continuèrent à claquer les fesses de Sasha, puis le premier homme eut un orgasme, se répandant en elle, avant d’être rapidement remplacé par un autre. Celui-ci la prit également par les fesses, et le temps défila. On se succédait dans son dos, prenant alternativement, soit son cul, soit sa chatte, jusqu’à ce que le treuil ne la relève à nouveau.

Sasha se retrouva ainsi de nouveau en position « debout », mais, cette fois, un autre homme se pressa devant elle, et agrippa ses hanches, soulevant ses jambes, la forçant ainsi à les enrouler autour de sa taille, d’autres compères venant maintenir ses jambes... Puis l’homme la pénétra, sentant avec plaisir les seins de la femme s’enfoncer contre son torse poilu, sa langue venant lécher le masque, glissant dessus, ses mains allant s’appuyer sur son cul. Un autre homme s’empressa alors de s’enfoncer dans son dos, glissant rapidement sa queue dans son délicieux petit cul, et posa, lui, ses mains sur les seins de la femme, les pinçant encore.

« Han ouais, elle est si boonnneee... !!
 -  Putain, ouais, quelle salope... !! »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 7 samedi 24 septembre 2016, 14:08:07

Les hurlement de douleur que Sasha poussait sous sa cagoule en latex étaient sincères, elle avait beau savoir que serrer les fesses ne servirait  à rien d'autre qu'intensifier la douleur, elle ne pouvait lutter contre ce réflexe de son corps pour tenter d'interdire à ce corps étranger de pénétrer en elle. Plus le temps passait, et plus l'homme remuait vite dans son cul, intensifiant encore la douleur que la jeune femme ressentait. Quand les chaines s'abaissèrent, la jeune femme avait si mal que ses jambes étaient incapables de supporter le poids de son propre corps, et elle se trouva dans cette position prive en levrette, sodomisée à nouveau.
Ses cris toutefois commençaient à perdre en intensité, on pouvait du coup surtout entendre des plaintes et des gémissement étouffés sous cette cagoule, alors que la jeune femme continuait à pleurer. Elle avait terriblement mal, une sensation de brûlure qui se répandait dans son ventre, alors qu'elle se sentait également sale. Les autres hommes, loin de rester inactifs, avaient continué à la fouetter, et son corps était couvert de marques rouges, mais également de sperme sur une bonne partie de l'avant de son corps, qui avait commencé à sécher et à coller sur sa peau. Lorsque l'homme qui la sodomisait se vida en elle, elle n'eut droit qu'à un bref moment de répit avant qu'un autre ne vienne abuser de son anus qui, bien que désormais dilaté, n'en demeurait pas absolument douloureux.

Sasha perdit à ce stade toute notion de temps, prisonnière de cette cagoule, elle était bien incapable de déterminer depuis combien de temps on la violait. On avait toutefois joui sur elle et en elle un nombre incalculable de fois, du sperme coulait le long de son intimité et de son anus, ses entrées intimes ayant vu déjà durant cette soirée plus de visiteurs que durant tout le reste de sa vie. Si elle avait un beau corps, Sasha n'avait pour autant jamais été une nymphomane, et si il lui arrivait de coucher à l'occasion avec des garçons qui la séduisaient, elle était très loin d'être d'un naturel volage.
Ainsi, outre le fait qu'on la baisait sans relâche depuis probablement quelques heures, ce qui était possible vu que les clients se relayaient pour la baiser, Sasha avait faim, soif, manquait de sommeil, et avait perdu beaucoup d'énergie à essayer de lutter en vain. Ses orifices abusés étaient dans un piètre état, son entrejambe et l'intérieur de ses cuisses étaient couverts de sperme, mais ça ne gênait pas les hommes qui continuaient de la prendre comme des sauvages sans morale. Ses gémissements, si ils étaient toujours présents, étaient plus une réaction instinctive à la douleur qu'elle ressentait, car le plaisir que prenaient ces hommes à la prendre était à sens unique. Sasha ne chercha même pas à se débattre quand le treuil la redressa de nouveau, et cette fois, les choses empirèrent encore. Au lieu de simplement avoir à subir un seul de ces porcs à la fois, ils décidèrent de la prendre à la fois par la chatte et le cul, en même temps.

A cet instant, Sasha craqua. Désespérée, elle craquait de sentir ces salauds former un étaux autour de son corps, elle les sentait à la fois dans son dos et devant elle, pincant ses seins, son cul, et elle les sentait lécher son masque, ce qui était également en soit répugnant malgré la protection que la cagoule prodiguait. Salie, humiliée, et fatiguée, Sasha ne pouvait pourtant pas s'évanouir à cause des coups de fouet qu'on lui donnait régulièrement, et aussi car ses fesses lui faisaient atrocement mal, une douleur qui était entretenue perpétuellement vu qu'on arrêtait pas de la sodomiser. A ce stade, la totalité du corps de la jeune femme était un concentré de douleur. Marqué par des coups de fouet, malmené par leurs mains rudes de ces hommes, elle avait surtout terriblement mal dans toute la zone de son bassin, mais aussi de ses bras à force d'être ainsi maintenus en l'air. Son corps était désormais tel une poupée de chiffon, qui remuait au rythme des coups de butoir de ses violeurs. Encore et encore, ils se relayaient pour la baiser, et encore, ils jouissaient en elle. Que ça soit son vagin ou son anus, ses deux orifices étaient depuis bien longtemps trop remplis, et le surplus avait coulé le long de ses jambes depuis maintenant quelques heures, donnant à Sasha la désagréable sensation d'avoir ses jambes baignant dans du foutre dont une partie avait déjà séché.
L'odeur était ignoble, et pas seulement celle de ces hommes, mais aussi et surtout la sienne propre. Après avoir été autant violée, autant abusée, la jeune femme était couverte de sperme sur une bonne partie de son corps, et son entrejambe ainsi que l'intérieur de ses cuisses étaient poisseux, il n'y avait pas d'autre terme. Pour une jeune femme comme elle qui prenait grand soin de son hygiène, se savoir dans un tel état, se savoir baisée par de véritable porcs, était humiliant, dégradant. Elle ne cherchait même plus à lutter, car elle n'en avait clairement plus la force.

Le ballet continua encore ainsi un long, très long moment, on se succéda en même temps dans son cul et son vagin au bas mot des dizaines de fois. Puis, au bout de ce qui devait être probablement quelques heures, les deux derniers hommes se retirèrent d'elle après avoir jouir une nouvelle fois. On fit alors descendre le treuil, au maximum, et Sasha se retrouva alors par terre, son corps baigna dans la grosse flaque de sperme qui s'était formée sur le sol. Un homme s'approcha alors de la cagoule, et dévissa l'embout qui maintenait le tuyau lui permettant de respirer, et le retira alors, libérant la bouche de la jeune femme, du moins en partie, car cette dernière était toujours forcée à être ouverte par la mini structure qui avait entouré l'embout.

Allez les gars, on se finit tous au moins une fois sur le visage et la bouche de cette salope. Maintenant qu'elle est prête, on l'entendra pas nous insulter.

Une horde d'hommes s'approcha alors, certains s'agenouillant près de son visage, et l'un deux joui presque instantanément directement dans la bouche de la jeune femme, qui sentit du sperme éclater sur sa langue et dans sa bouche, mais aussi sur sa cagoule.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 8 samedi 24 septembre 2016, 14:47:51

Quand Boris revint, Sasha gisait sur le sol, inerte, les bras mollement retenus par les chaînes métalliques. Sans ces derniers, elle serait probablement écroulée dans ce mélange de foutre, de pisse, et de sang qui gisait sur le sol. L’homme ouvrit la porte en souriant, tenant dans sa main un cigare, et souffla dessus, avant de le jeter au sol. Il faisait très froid dans les couloirs de cette cave, mais, pourtant, dans cette pièce, une chaleur étouffante régnait. Boris le sentit en même temps que l’odeur écœurante. Les gars s’étaient défoulés sur le corps de cette femme, et de multiples zébrures rouges parcouraient son corps, ainsi que des traces de sperme. Ils avaient joui sur son masque, sur ses lèvres, et avaient même tiré sur le masque, pour jouir dedans, utilisant ensuite leurs mains pour étaler ce sperme à l’intérieur du masque. Il ne restait plus qu’une femme brisée et esseulée. Boris aurait pu s’en arrêter là, mais ce serait méconnaître son plaisir.

« Ne t’endors pas si vite, petite Princesse, tu dois penser au dessert, maintenant... »

Elle devait comater, et il referma la lourde porte derrière lui, puis s’approcha d’elle. Sa grosse main saisit le masque, et il la tira en arrière, puis relâcha le visage de Sasha, pour le voir tomber mollement en avant. Elle respirait encore, mais n’avait plus aucune force. Boris hocha lentement la tête, ses bottes trempant dans la flaque de sperme.

« Je vois, tu n’as plus de batteries... Tu sais, et je dis ça, mais j’ignore si tu m’entends, mais, pour moi, une femme, c’est comme une voiture. C’est capricieux comme une bagnole, ça peut être aussi bien carrossé qu’une Lada, le genre de trucs qui te donnent envie d’écrabouiller le volant... Ou ça peut être aussi sexy qu’une Volga, et, t’sais, y a un lien entre les deux... Parce que, généralement, quand t’as une caisse qu’est bien foutue, t’as un putain de bon moteur derrière. Et toi, ma chérie, toi, t’es pas une Lada, t’es une pure Volga. »

Tout en parlant, probablement à lui-même, il récupérait des objets sur un établi, puis se rapprocha ensuite. Il souleva à nouveau la femme avec le treuil, et considéra un instant son masque. Elle avait été si épuisée qu’ils avaient pu jouir dans sa bouche, et du sperme dégoulinait encore de ses lèvres. Boris la releva donc, puis approcha les objets de ses seins, et en posa chacun sur un téton. Il s’agissait de pinces.

« Et, quand une voiture a plus de jus, y a qu’une seule solution pour relancer la batterie... Remettre du jus. »

Boris se rapprocha alors de la batterie de voiture située sur l’établi, et le mit en marche. Le courant électrique se diffusa, et fila le long des pinces, puis électrifia Sasha à un endroit sensible : ses tétons. L’électricité se diffusa alors, et fit clignoter la lampe. L’installation électrique était plutôt défectueuse, et il ne fallait donc pas abuser des bonnes choses. Boris laissa donc ça pendant quelques secondes, avant de couper la batterie, persuadée que, cette fois, Sasha était réveillée.

Il retourna ensuite près d’elle.

« T’es réveillée, SALOPE ? Hein ? Hein ?! DEBOUT, SALE CHIENNE ! »

Et, sans plus attendre, sa main partit, et gifla sèchement le visage de Sasha, claquant fortement sa joue, la faisant hurler de douleur.

« Tu croyais quoi, hein ? T’arrêter si facilement ?! Foutue salope... Ça, ce que t’as subi, les putes comme toi, vous le subissez tous les jours dans vos boîtes de nuits pourris de Moscou ! Là, je te propose un supplément... Le supplément spécial Sibérie, hey, tu m’en diras des nouvelles, salope ! »

Boris retourna près du treuil, et Sasha dut alors sentir quelque chosese frotter contre ses jambes, une sorte de truffe remontant jusqu’à ses cuisses, cherchant vainement à la lécher, une muselière recouvrant le museau d’une bête massive. Et, alors que le dernier degré dans l’horreur sexuelle s’entamait, Boris abaissa à nouveau le treuil, remettant Sasha à quatre pattes, puis s’approcha de son chien, un redoutable molosse.

« Da, da, Sergeï, je sais que tu as reniflé de la bonne chatte... »

Sergeï avait effectivement du mal à se retenir, et, quand la muselière se retira, le puissant dobermann se rapprocha de Sasha, et la renifla, tout en aboyant férocement :

« WOOFF !! WOOOFFF !! »

Le chien tourna autour de Sasha, qui, maintenant qu’elle avait la bouche libre, pouvait supplier tout ce qu’elle voulait, rien n’arrêterait Sergeï. La puissante bête se glissa ainsi dans le dos de la femme, et posa ses lourdes pattes à droite et à gauche d’elle, avant d’approcher sa queue, énorme, massive, mortelle... Il haletait au-dessus d’elle, sa bave s’écoulant de sa langue pour tomber sur le masque de la femme, son ventre caressant son dos, puis s’affala sur elle...

Et, juste avant qu’il ne le fasse, Boris lâcha une ultime provocation, en s’agenouillant à côté de Sasha :

« Hurle. »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 9 dimanche 30 octobre 2016, 22:59:14

Sasha avait depuis un bon moment perdu toute notion de temps ou d'espace, elle ignorait où elle se trouvait, combien de temps s'était déroulé depuis son enlèvement et le meurtre de son père...elle n'avait même pas la moindre idée de pourquoi tous ces mecs s'étaient à ce point acharnés sur elle. Son seul tort, littéralement, avait été d'être la fille de la mauvaise personne au mauvais moment, et si elle avait encore été en état de tenir un quelconque raisonnement, elle se serait rebellée contre la profonde injustice qu'elle vivait. Seulement au delà de ça, la jeune femme était exténuée, et brisée psychologiquement. Cela faisait au moins plusieurs heures qu'elle était privée de la vue et de l'ouïe, et qu'elle n'avait pu qu'être baignée dans un torrent de sensations désagréables, des hommes se succédant pour la baiser sans cesse. Et alors qu'ils étaient partis, et qu'elle pendait mollement au bout de ses bras retenus par les chaines, elle était tout bonnement en profond état de choc. Sasha avait fini par plus ou moins se déconnecter de cette réalité, ne serais-ce que pour réussir à supporter moralement ce qui lui arrivait. Sa tête pendait vers le bas, et de ses lèvres encore entrouvertes coulait du sperme qui allait sur le sol. Elle avait mal partout, à ses seins d'où des hématomes allaient sûrement finir par apparaître, mais surtout bien entendu au niveau de ses orifices intimes, et plus particulièrement son cul désormais bien dilaté...

Possédant encore le masque en latex sur elle, la jeune femme avait même du mal à entendre quoi que ce soit, aussi le monologue de Boris, le gérant de cette maison close, tomba dans des oreilles sourdes. Les pinces sur les tétons ne lui provoquèrent qu'un faible gémissement, une sorte de réflexe vis à vis de la douleur qu'elle ressentit, mais par comparaison à ce qui s'était produit durant cette soirée...et bien son corps semblait presque anesthésié à force d'avoir été malmené. En revanche, quand le courant passa et la secoua, la douleur devint si forte et soudaine qu'elle agit, littéralement, comme un électrochoc.

AAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!!

Sasha se contorsionna frénétiquement tout le temps que dura le coup de jus, et quand il s'arrêta, elle se mit à pleurer. Réveillée, oui elle l'était, mais la jeune femme avait depuis longtemps dépassé son propre seuil de tolérance. Elle reprit conscience d'à quel point elle était sale, à quel point ces mains grasses et ces queues dégueulasses l'avaient souillée, à quel point elle était remplie du foutre de ces mecs. Rapidement elle se fit gifler, tout ce qu'elle pouvait faire était gémir, car sa bouche était encore maintenue ouverte de façon forcée par le cerclage qui avait servi à lui maintenir son tuyau de respiration dans la bouche.
C'était à peu près vers ces instants là que Sasha, qui avait cru qu'elle ne pourrait pas descendre plus profondément, se rendit compte qu'elle avait grandement sous estimé ce que l'être humain peut infliger comme sévice. Elle se cambra instinctivement d'un geste de dégout quand elle sentit une espèce de truffe humide se fourrer dans son entrejambe. Elle n'avait pas fait de suite le rapprochement, mais elle fini alors par entendre de puissants abboiements, tandis que Boris, qui l'avait tantôt relevée pour lui infliger son supplice, était en train de la redescendre.
Alors qu'elle se sentait redescendre, Sasha prit alors consicence, avec horreur, de ce que l'homme avait l'intention de faire. Il...il allait laisser son chien la baiser !

GAAAAAAAAHAAAAAAAAAAA !!!!!!!

Non, non ça c'était vraiment de trop pour elle, l'humiliation et la dégradation ultime. Elle aurait presque redemandé aux hommes de revenir la baiser plutôt que de subir un tel sévice sexuel, elle était prête à ça pour ne pas tomber aussi bas. Seulement il s'avéra bien vite que l'homme n'en avait rien à foutre, et prenait au contraire con pied à l'idée que Sasha se fasse baiser par un chien, qui n'en était visiblement pas à son coup d'essai. Une fois Sasha mise en position de quatre pattes, à ceci près que ses bras étaient toujours maintenus en l'air par les chaines, elle sentit tout de suite après le chien, massif, la monter. Ses pattes lui griffèrent le dos, le temps qu'il prenne sa place, et elle le sentit se rapprocher, se coucher sur elle, et son sexe taper contre son entrejambe, cherchant à rentrer.
Craignant de se faire mordre par cette bête, qui grogna quand elle tenta de se secouer pour le faire partir, Sasha se mit juste à pleurer...avant de hurler longuement, quand le chien s'enfonça dans son intimité qui avait déjà été usée plus que ce qu'elle pouvait endurer cette nuit. Le chien grogna d'autant plus fort une fois son sexe planté dans la jeune femme, et il s'enfonça jusqu'à ce que le noeud gonflé de son sexe n'entre aussi, ce qui fit souffrir d'autant plus la jeune femme quand il se mit à remuer.

Il fallu au chien, très excité, à peine une minute pour se mettre lui aussi à jouir dans l'intimité de la jeune femme. Mais contrairement à un homme lorsqu'il avait tiré son coup, ce n'était là que le début, car le sexe du chien gonfla alors tellement qu'il était désormais impossible qu'il se retire sans que lui et Sasha n'en souffrent énormément. Le chien resta donc collé à la jeune femme, se vidant en elle, et il en serait ainsi pendant de nombreuses minutes à venir. Boris lui avait attendu ce moment, et en profita alors pour retirer le masque de latex qui couvrait le visage de Sasha, et la saisit par les cheveux tout en se tenant agenouillé devant elle, la queue à l'air, et visiblement non lavée depuis un moment au vu de l'odeur qui s'en dégageait.

Si tu sais ce qui es bon pour toi sale pute, tu va commencer à me sucer. Et je te conseille de t'appliquer connasse, sans coup tordu, sinon je peux t'assurer que Sergueï ici présent s'occupera de toi...tu serais pas la première pute qu'il boufferait vivante. ALLEZ !

Comme pour donner encore plus de crédit aux paroles de son maître, Sergueï fit mine de mordre la nuque de Sasha, qui sentit ses crocs, sa machoîre puissante...et en trembla de peur, avant de s'exécuter. Elle ouvrit la bouche, et avança ses lèvres à la rencontre de ce sexe au gout aussi affreux que l'odeur, et commença à le sucer, tandis que le chien, bien fourré en elle et remuant à l'occasion, entreprit d'à nouveau jouir en elle.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 10 lundi 31 octobre 2016, 00:07:52

C’était le point d’orgue de leur soirée : Sergeï. Le puissant chien de Boris, et, pendant qu’il se mettait sur la femme, les hommes filmaient. Non seulement pour leur souvenir personnel, mais aussi pour vendre ensuite ce film. Les snuff movies pornos’ et zoophiles, c’était toujours un paquet d’oseille à la clef, car c’était le genre de trucs qu’on ne trouvait pas en Europe de l’Ouest, et que les Européens s’arrachaient. Tout était garanti authentique, certifié honnête, et c’était ça que les clients recherchaient. Et Dieu, que c’était beau ! Même en filmant ça avec leurs Smartphones derniers cris, les hommes se masturbaient, se délectant du moment. La queue massive du chien s’enfonça lourdement dans l’intimité ruisselante de sa victime. Ils l’entendirent hurler de douleur, et tout ça ne fit que les exciter davantage.

Tandis que Sergeï la pénétrait, plusieurs hommes éjaculèrent, balançant leur sperme sur ses cuisses, sur son ventre, ricanant entre eux, tandis que le chien grondait, se concentrant, bandant ses muscles. Se faire prendre par Sergeï, c’était un tout autre degré qu’un simple humain, car la queue du chien se mit à gonfler, formant ainsi une sorte de « nœud », de telle sorte qu’il était impossible de la retirer sans qu’il ne termine. Un viol cauchemardesque, en conséquence, et Sasha ne pouvait rien faire d’autre qu’hurler, sans même pouvoir appeler à l’aide, car les hommes l’encerclant, des hommes gras, puants, sales, se délectaient de la souffrance de cette femme. Pourquoi tant de haine ? Tant de cruauté ? Outre ce mal inné qui sommeillait en chaque homme, il y avait aussi l’opposition, très forte en Russie, entre les habitants de la capitale, vus comme des riches profiteurs, et ceux de la campagne. Sasha, avec son visage parfait, était l’incarnation de ce que ces gens enviaient et haïssaient en même temps, et elle continuait donc à se faire prendre.

Sergeï eut un premier orgasme, qui ne l’arrêta nullement. Sasha aurait beau supplier, le chien était très endurant, et ne comptait pas la laisser partir si facilement.

« Dieu, qu’est-ce que cette salope est bonne !
 -  Ah ça ouais, putain ! R’gardez-moi cette bombe, putain de merde !
 -  Haha ! Je suis vidé, mais, rien qu’à la voir se trémousser, j’ai encore envie de la baiser ! »

Cette idée sembla donner des émules, car Boris se rapprocha, et retira la cagoule de la femme, puis enfonça sa grosse queue dans sa bouche. Même si Sasha n’avait pas la force de bouger, il le fit à sa place, lui baisant violemment la gueule, tapant contre sa gorge, maintenant ensuite sa queue pendant quelques secondes, avant de se reculer, et de s’enfoncer à nouveau, encore et encore.

« Ouais... Ouais !!

Sergeï aboyait, des queues jouissaient encore contre elle, et, quand Boris se vida en elle, il constata que Sasha ne réagissait même plus. Quand il relâcha sa tête, elle bascula vers le sol, son corps n’étant plus retenu que par les chaînes, ses chevilles raclant le sol, pendant que son chien continuait les coups de reins. Sasha s’était effondrée sous l’effort, sa bouche vomissant encore du sperme.

« Cette salope s’est endormie ! »

Est-ce que cela allait les calmer ? Sergeï, en tout cas, continuait à la bourrer fougueusement, léchant même le cou de la femme, en signe affectueux, sa salive glissant le long de son épaule. Il était content de son amante, et la récompensait...

...Tout en continuant à la bourrer.



« DEBOUT ! »

Un ordre sec. Une voix forte. Le noir succédant au noir. Il entendit des gémissements, étouffés par le gag-ball, recouvert de salive, et le crissement du latex.

La femme avait profondément dormi, comme si son corps avait cherché à se défendre après cette profonde agression qu’elle avait subi. Mais il n’avait pas eu peur. Reto savait que cette femme était endurante, endurante et têtue. Voilà pourquoi il avait, pour elle, un projet spécial. Tout ce qu’elle avait subi, ça n’avait été qu’un prélude, qu’une introduction.

Et là, ils attaquaient le début de leur relation.

Dans une chambre d’hôtel de luxe, à Omsk, s’apprêtant à prendre, d’ici quelques heures, le Transsibérien, à destination de Vladivostok. Il était assis sur un fauteuil, face à elle, assise sur une chaise de la cuisine, recouverte d’une combinaison très moulante en latex, avec, sur le visage, un masque de latex noir, lui barrant intégralement le visage. On avait néanmoins ouvert le masque à l’arrière, de manière à pouvoir faire sortir ses cheveux, sous la forme d’une longue natte.

Pour le reste, il l’entendit revivre quand le latex se mit à crisser, et ferma les yeux, appréciant les sonorités élégantes de la combinaison sur le corps de cette femme. Il attendit quelques secondes, avant de se relever.

« Alors, Sasha, tu as bien dormi ? »

Elle ne pouvait pas encore lui répondre, et il se rapprocha d’elle, allant dans son dos, et posa ses mains sur l’harnais retenant son gag ball, et le lui retira, la laissant ainsi respirer.

« Tu as deux solutions à partir de maintenant, Sasha, et je te demande de bien y réfléchir, car elles vont décider de ton futur. Soit tu te mets dans de bonnes dispositions, et tu pars avec moi, soit je prends le Transsibérien seul... Et Boris retourna te chercher. Sergeï, son chien, a vraiment adoré te baiser. Il a battu tous les records d’endurance avec toi, et Boris serait très ravid e pouvoir recommencer avec toi. Alors... Que décides-tu ? »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 11 lundi 31 octobre 2016, 13:38:23

Le choc électrique que Sasha avait reçu tantôt, si il avait été efficace pour lui faire reprendre conscience, n'avait en revanche qu'un effet temporaire, surtout si l'on revenait à l'assaut contre elle. Prise par un chien qui n'entendait pas la laisser tranquille avant un moment, forcée de prendre en gorge profonde la queue d'un de ses bourreaux, tandis que d'autres continuaient à côté de la salir en éjaculant sur elle...tout ça était bien de trop à supporter. Le manque d'air qu'elle ressentit quand Boris se mit à enchaîner les gorges profondes sur elle fut juste l'ultime facteur qui fit qu'elle sombre profondément, et perdit connaissance. Son esprit, bien conscient qu'il ne pourrait échapper à ces vices, avait prit la seule issue de secours qu'il lui restait désormais.

Sasha fut ainsi déconnectée pendant un long moment, impossible pour elle de déterminer combien de temps en revanche, mais quand elle se réveilla en sursaut, elle s'était à nouveau retrouvée avec un masque de latex sur la tête, ainsi qu'une gag-ball l'empêchant de parler.

Ghhhhhhh...

En position assise sur une sorte de tabouret, elle sentait ses poignets attachés dans son dos, mais si elle avait ses jambes libres, se lever et se déplacer était hors de question. Elle était privée de la vue et de l'ouïe en grande partie, impossible pour elle de pouvoir se repérer. elle sentit aussi qu'elle n'était plus nue, mais portait une combinaison intégrale dans la même matière que la cagoule. Avait-elle été lavée ? Qu'avait-elle subi d'autre après être tombée dans les pommes ? Elle ne se souvenait absolument de rien passé un certain stade.
Ce n'était d'ailleurs pas tant le ton élevé de la voix qu'elle entendit qui la fit sursauter au point de se réveiller, mais bien d'avantage le fait qu'elle en reconnu le propriétaire, qui n'était ni plus ni moins que celui qui avait tué son père et l'avait enlevée. Reto, l'un des chiens de guerre de la mafia, celui qui était responsable de tout ce qui lui arrivait depuis lors.
Il lui retira la gag-ball, permettant à la jeune femme de mieux respirer, puis dans son dos lui exposa les deux solutions qui selon lui déterminaient l'avenir de Sasha.

Je préfère encore y retourner jusqu'à ce que j'en crève, plutôt que de te donner cette satisfaction fils de pute.

Le ton était donné, le simple son de sa voix avait suffi à rallumer le feu de la rébellion chez Sasha. Reto n'avait pas fait que tuer son père en la forçant à regarder, il avait aussi voulu la violer, mais s'était trouvé mis à mal dans sa fierté quand Sasha s'était débattue comme une furie, le mordant et le griffant jusqu'au sang, il avait même fallu l'aide de ses hommes pour pouvoir lui faire lâcher prise.

Si tes gorilles m'avaient pas séparé de toi, je t'aurais arraché la gorge avec mes dents jusqu'à ce que tu te vides de ton sang comme le porc que tu es. Va te faire foutre Reto, va bien te faire enculer.

Sasha tremblait toutefois en disant celà. Elle savait que Reto s'assurerait qu'elle souffre un maximum pour ce qu'elle était en train de dire. Mais s'abaisser face à cet homme là ? Jamais. En dehors de sa fierté, elle le haïssait désormais beaucoup trop pour même penser à se soumettre à lui pour sauver sa peau, elle ressentait envers lui une haine viscérale. Il était clair que si elle avait été moins restreinte, elle aurait essayé n'importe quoi pour le faire souffrir.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 12 lundi 31 octobre 2016, 14:16:40

Dès qu’elle eut l’occasion de parler, ses esprits retrouvés, Sasha ne tarda pas à l’insulter copieusement, préférant retourner se faire baiser comme une chienne, plutôt que de l’affronter. Après sa répartie, un lourd silence s’abattit dans l’appartement, durant plusieurs secondes... Avant que Reto ne se mette à éclater de rire. Un rire franc et fort, qu’il accompagna en tapant sa cuisse de sa main.

« Ah, Sasha, tu es une vraie Russe, toi ! Fière, dure, inébranlable ! Et les Occidentaux s’étonnant que nous mettions nos opposants politiques dans des goulags, après ça... »

Était-il surpris ? Pas tant que ça. Irrité ? Oui, un peu, mais, là encore, il s’était attendu à ce que Sasha soit aussi inébranlable que du diamant. Elle était très fière, et ce que Reto avait en tête allait être très dur avec elle. C’était un défi, mais c’était bien ça que l’homme aimait : les défis. Les challenges. Plus la tâche semblait impossible, et plus Reto se surpassait pour l’accomplir, pour défier les pronostics. Le malfrat fit signe de la main, et, dans le dos de Sasha, des bruits de pas se firent entendre, puis des mains se posèrent sur son masque, tirant la fermeture située à l’arrière, pour retirer ensuite ce dernier, permettant à Sasha de voir...

...Et la vision du soleil filant par les fenêtres de la chambre d’hôtel ne manqua pas de l’éblouir, elle qui n’avait pas dû voir le soleil depuis plusieurs jours. Tandis qu’elle s’y faisait, Reto, de son côté, croquait dans une pomme. Il était assis sur le rebord de la table, à côté d’un ordinateur-portable, qui était relié, avec un câble, à l’écran plat situé face à la femme.

« Tu me plais, Sasha. Mais tu vas quand même entendre tous mes arguments... Doutz’ ? »

Dans le dos de Sasha, Doutzen, silencieuse, attrapa une télécommande, et appuya dessus, permettant alors de voir un film, une vidéo. La caméra filmait une rue pavée, et l’objectif fila sur la droite, zoomant sur une structure métallique, une flèche qui pointait vers le haut, et qui était aisément identifiable : la Tour Eiffel. L’objectif s’y attarda pendant quelques secondes. Doutzen, de son côté, venait de poser ses mains gantées sur les épaules de la femme, comme pour la maintenir au silence. Elle était attachée à une chaise, et ne pouvait rien faire d’autre que regarder. Elle portait une magnifique combinaison en latex, qui lui allait à ravir.

La caméra montra ensuite l’intérieur d’un petit studio cossu situé dans les combles de l’immeuble, et s’attarda sur la table, filmant la première page d’un journal, « Le Parisien ». Un doigt ganté jaillit ensuite, et se posa sur l’emplacement de la date, où la caméra zooma ensuite, permettant de voir que le film avait été pris il y a au moins... Moins de trois jours. La caméra se déplaça encore, et filma ensuite un fusil de précision et un trépied, installé dans un coin.

« Grâce à l’Union Européenne, et à la libre circulation des marchandises, tu n’imagines pas à quel point il est facile de faire circuler nos armes, maintenant... » commenta sobrement Reto.

La caméra filma à nouveau la rue, et zooma sur une femme qui s’avançait, portant un manteau blanc et une robe bleue. Difficile de la voir, mais, le temps que l’image se stabilise, on pouvait peu à peu discerner son visage... Jusqu’à le voir, clairement, dans le viseur.

La mère de Sasha.

Reto fit pause au même moment, et lui présenta un téléphone-portable.

« Alors, fini de jouer. Je me suis bien marré en t’envoyant chez Boris, mais, si tu continues à me faire chier, j’ordonne à Karl de tuer ta mère. Tu croyais vraiment qu’elle nous échapperait ? Face aux traîtres, la politique des Petrovski est capitale. Tu sais comment les Russes fonctionnent, ma chère... Poutine a été jusqu’au Mexique pour supprimer Trotski, alors même que son ancien rival ne représentait alors plus aucune menace crédible. Tu peux me haïr pour ce que je t’ai fait, mais sache que ce n’est que grâce à moi que ta mère est encore en vie... J’ai insisté pour qu’on l’épargne, mais ma générosité peut avoir des limites, surtout quand on ne me rend pas ma mansuétude. »

C’était un odieux chantage, oui, mais Reto était loin d’en avoir honte. C’était même sa carte maîtresse pour réussir à faire ce qu’il voulait de cette jeune fille.

« Alors ? Tu te montres plus raisonnable, ma chérie ? »
« Modifié: mardi 01 novembre 2016, 13:49:02 par Doutzen Kroes »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 13 mardi 01 novembre 2016, 22:19:30

La vérité, dure et implacable, était que Sasha n'avait désormais plus que ses mots comme arme. On pouvait faire de grandes choses avec de simples mots, du moins c'était ce que certains proverbes voulaient laisser entendre, mais en réalité, les mots n'étaient rien sans moyens de leur donner une réalité tangible. De l'argent, de l'influence, des alliés, autant de choses qui pouvaient donner du sens, une crédibilité, une réalité à des mots. Ceux de Sasha étaient malheureusement jetés dans du vent, ils n'étaient qu'un bravado de quelqu'un qui n'avait plus grand chose d'autre à faire pour avoir simplement, au moins, la sensation de ne pas complètement perdre tout contrôle. La jeune femme était en dehors de sa zone de confort, et de loin, pas simplement parce qu'elle avait été enlevée et violée, mais aussi et surtout parce que la richesse dans laquelle elle avait grandi l'avait habituée à disposer d'une certaine autorité. Que ça soit dans n'importe quel élément de sa vie, Sasha aimait avoir une influence dessus, pas simplement laisser les choses se produire ou en être une simple spectatrice, mais une actrice pleine et entière. C'était pour ça qu'elle avait entamé des études, entreprit une ébauche de projet de sa propre entreprise qu'elle aurait fait fructifier, pour ne pas être juste une jolie poupée qu'on pourrait marier à un riche oligarque.
Mais le pire, c'était qu'en comparaison de ce qui l'attendait, ça aurait probablement été un destin pour le moins enviable.

Sasha savait bien ce qu'elle faisait en insultant de la sorte Reto. Il n'y avait vraiment pas d'autre élément que sa fierté légendaire et sa haine qui l'avaient poussée à se condamner ainsi...avec un certain désespoir. N'était-elle après tout pas, quel que soit son choix, condamnée ? Entre passer le reste de sa vie dans un bordel moisi de Sibérie, et devoir lécher les pompes de l'homme qui avait tué son père sous ses yeux, y'avait-il vraiment un sort plus enviable que l'autre ? Il étaient certes fondamentalement différents, mais pouvait-on vraiment parler d'un choix facile à faire quand il impliquait de toutes manières de devoir abandonner à jamais toute dignité humaine ? Sasha était fière en effet, comme n'importe qui d'une certaine façon, mais elle avait un sens de l'amour propre très poussé, et c'était quelque chose que ses deux parents avaient toujours voulu pour elle, qu'elle aie suffisament d'ambition et de force de caractère pour devenir une "femme forte". Et puis, il y avait aussi très probablement le sang russe qui coulait dans ses veines, qui en faisait une personne difficile à dompter, comme ne manqua pas de le noter Reto après avoir entendu sa réponse. Le fait qu'il en rigole ne manqua pas d'irriter d'avantage Sasha, mais à quoi bon proférer d'autres insultes ? Son sort était décidé, et tout ce qu'elle pouvait faire allait être de l'affronter en restant autant digne que possible jusqu'à la fin...même si elle doutait de pouvoir tenir le choc, son expérience de viol collectif venait de la marquer durablement après tout.
Une autre personne que Reto prit sa place dans le dos de Sasha quand il se déplaça, et elle sentit des mains fines, féminines, tirer sur la fermeture éclair maintenant sa cagoule en latex. Elle se fit retirer, et pour la première fois depuis des jours, la jeune femme fut confrontée à la lumière naturelle du Soleil. Privée de sa vue depuis un bon moment, le Soleil l'éblouit, la forçant à froncer les sourcils, fermer les yeux tout en détournant la tête le temps qu'elle s'y habitue de nouveau, que sa vision s'y adapte, ce qui lui permit de voir Reto assis non loin d'elle, juste à l'autre extrémité de cette table de cuisine. Sasha bien évidemment le regardait avec une hostilité non dissimulée, il voulait encore tenter de la convaincre de changer d'avis...ce qui instinctivement fit penser à la jeune femme qu'il y avait anguille sous roche.

Derrière elle, Sasha avait reconnu Doutzen, qui était littéralement une des armes des Petrovski pour le recel d'informations sensibles. Sasha ne l'avait jamais croisée en personne, étant donné qu'elle en connaissait assez peu sur les activités de la mafia en général, mais elle en avait à l'occasion entendu parler. Mais la jeune femme qui se tenait dans son dos, et avait posé ses mains gantées sur ses épaules, n'étaient pas vraiment la priorité pour elle en ce moment. Silencieuse, la jeune femme regarda l'écran qui diffusait un enregistrement pris quelques jours auparavant à Paris...ce qui fit que Sasha, rapidement, sentit presque son visage se décomposer à mesure que les éléments se compilaient dans sa tête.

*Non...non...*


Les lèvres de Sasha s'entrouvrirent, tremblantes, quand l'image s'arrêta sur un plan fixe de sa mère, qui fort heureusement ne se trouvait pas en Russie à ce moment. Sasha avait prévu de partir la rejoindre quand elle avait appris la décision stupide de son père de trahir la mafia, mais les choses s'étaient enchaînées si vite qu'elle n'avait pas pu s'enfuir comme elle l'aurait voulu. Maintenant...sa mère aussi était un cible, suivie par la mafia, et Reto menaça sans compromis d'ordonner son exécution si Sasha ne se montrait pas plus coopérative.
A ce stade, la mère de Sasha était le seul point de pression qui pouvait vraiment encore exister contre elle. Après ce qu'elle avait subi, la jeune femme n'était plus vraiment réceptive aux menaces à sa propre encontre...mais sa mère n'avait rien à voir dans tout ça...et c'était sa mère...

Maman...

Sasha se sentit commencer à pleurer quand elle vit Reto avec un téléphone portable à la main, prêt sans aucune hésitation à ordonner que sa mère, la femme qui lui avait chanté des chansons pour qu'elle s'endorme en étant petite, celle qui l'avait toujours soutenue pour qu'elle fasse des études, et ne se cantonne pas à un simple rôle de jolie poupée russe, soit abattue.

Espèce de salaud...tu...

Les mots commençaient à manquer à la jeune femme, qui semblait proche du point de rupture. Son visage était déformé par la panique et la peur, tandis qu'elle pleurait à chaudes larmes. Elle dégluttit alors, et tenta de reprendre un peu ses esprits, et de rationnaliser tout ça, même si c'était diablement difficile.

Et qu'est-ce qui me prouve seulement que...qu'elle est encore en vie ? Pour autant que je le sache, t'aurais déjà pu la tuer depuis lors et juste jouer avec moi. Et quand bien même, qu'est-ce qui t'empêches de la tuer plus tard hein ? TU VEUX QUOI DE MOI PUTAIN ?!?!?!

Sur ces derniers mots, la jeune femme s'était mise à hurler, et avait d'ailleurs donné de violents coups d'épaule pour que Doutzen s'éloigne d'elle, ne supportant alors plus qu'elle la touche alors qu'on parlait littéralement du sort de sa mère.

Doutzen Kroes

Humain(e)

Re : The Russian Way [PV]

Réponse 14 mercredi 02 novembre 2016, 00:00:17

Dans toute bonne négociation, il fallait tâtonner, jusqu’à trouver le point de faille, la zone sensible, là où il fallait taper pour faire mal. Une négociation, c’était comme un combat de boxe, ou comme un match de poker. On faisait quelques tours de chauffe, histoire de stimuler son adversaire, à la recherche de ses points de faiblesse, de ses tics, de quoi le dégommer sur place. Aevc Sasha, Reto avait exécuté cette méthode, et était maintenant tombé sur le point de chute. Au-delà de la fierté de Sasha, il y avait l’indéfectible d’une fille envers sa mère. Elle se décomposa sur place en voyant le film, puis, refusant de se laisser aller à le supplier, ce que Reto n’aurait pas aimé, elle se mit à l’incendier, arguant qu’elle n’avait aucune preuve qu’il était encore en vie, tout en lui demandant ce qu’il attendait d’elle.

*Ah, enfin ! On peut discuter !* songeait Reto avec amusement.

Claironnant de joie, Reto laissa passer quelques secondes, pendant que Doutzen, respectant ses consignes, allait glisser ses mains le long des épaules de la femme, allant ensuite vers ses longs cheveux, qu’elle se mit à caresser, enfouissant ses doigts gantés dedans, tirant délicatement dessus. Sasha pouvait l’invectiver, ça ne changerait rien. Les ordres, Doutzen les tenait de son « père », et, face à lui, elle ne se révolterait pas si facilement.

Reto, de son côté, finit par parler, en se mettant debout, croisant les bras sur sa poitrine.

« Pour commencer, Sasha, ta garantie, c’est ma parole. Tu peux m’accuser de tout ce que tu veux, mais je suis quelqu’un d’honnête. Je ne mens jamais. Alors, si je te dis que ta mère est en vie, non seulement tu peux me croire, mais aussi me remercier, car, sa vie, elle ne tient qu’à moi. »

Que voulait-il dire par là ? Quelques secondes passèrent, avant qu’il ne précise davantage, en se rapprochant d’elle. Doutzen le connaissait bien, et savait que Reto était infiniment plus manipulateur que ce qu’on pouvait croire de prime abord, en voyant son gabarit impressionnant, et sa musculature épaisse.

« Tu sais comment ça fonctionne, non ? Ton père était un comptable, et tu es suffisamment maligne pour savoir que, dans une mafia, ce sont les types comme ça qui connaissent tout. Il pouvait faire tomber toute l’organisation, alors, pourquoi crois-tu que toi et ta Maman adorée êtes encore en vie ? Les ordres du Parrain étaient très clairs vous concernant. Tuez. Les. Tous. Fin de citation. Ta mère, notamment, car je suis sûr qu’elle a avec elle quelques dossiers compromettants pour notre organisation. J’ai dû user de mon influence pour vous épargner, et, si tu ne m’avais pas mordu comme une sotte, je ne t’aurais pas envoyé chez Boris. Tu saisis, maintenant ? Non ? Parce qu’il va falloir que tu te l’imprimes profondément dans ton crâne, petite pute... »

Tout en parlant, il s’était lentement rapproché d’elle, et sa main agrippa le menton de Sasha, Reto se livrant alors à l’un de ces exercices d’intimidation préférés, plantant son regard acéré, froid, dominateur, dans les yeux de la femme. Aussi manipulateur soit-il, Doutzen savait que son père avait un comportement très proche de celui d’un loup, très dominateur, et fronça lentement les sourcils, avant de reprendre calmement :

« Tu ne dois ta vie qu’à moi... Mais aussi celle de ta mère. Alors, si tu veux vivre, mais aussi qu’on foute la paix à ta mère, tu as intérêt à écouter ma proposition, à ravaler ta langue de merde, et à comprendre où est ta position. Tu crois que tu ne peux rien subir de pire que ce que Boris t’a fait, ma chérie ? Imagine... Imagine qu’on fasse subir ça à ta mère, parce que, si je puis là pour vous protéger, c’est ce qui arrivera. Les Petrovski feront un exemple de vous, et ils vous tortureront, toutes les deux, longuement, très longuement... On a des anciens du KGB et du FSB, des mecs qui ont fait pleurer des agents secrets américains comme des bébés ! Qu’est-ce que tu crois que deux pétasses feront contre eux ? Alors, ma chérie, tu vas FERMER TA PETITE GUEULE, et tu vas M’ÉCOUTER !! »

Il lui avait hurlé au visage, avec une voix forte, profondément grave, avant de la relâcher, puis se redressa. Reto pouvait parler très fort, sa voix hurlant comme si le tonnerre venait de s’abattre. Il attrapa ensuite la main de Doutzen, et la plaça devant Sasha.

« Ce que je veux n’est pas compliqué. Regarde, Sasha. Elle, c’est Doutzen. Et je veux que tu sois... Sa sœur. »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Répondre
Tags :