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Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

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Leona

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 30 jeudi 29 septembre 2016, 15:26:24

C'était avec une immense colère que je regagnais la chambre, masquant le moindre rictus sur mon visage qui aurait pu en dire trop long à ses parents. Si je voulais humilier Pauline, je ne voulait pas que ses parents soient au courant du petit jeu qui se jouait entre nous, il n'était pas non plus dans mes projets de la frapper devant son père ou sa mère. Mais le plus étonnant fut surement la réaction de la brunette une fois dans la chambre, elle me menaçait ouvertement et m'insultait comme signe de rébellion. Devant ce drôle de spectacle je restais stoïque en attendant que ça passe, croisant bientôt le bras sous ma poitrine... seulement, je fut prise de cours et le haut de ma robe tomba le long de mon corps. Et ben... c'est qu'elle cachait une vraie bestialité de tigresse ma petit Pauline, mais j'étais tellement étonnée par le mouvement et mes tétons empoignée fermement que je pensais surtout à ne pas crier de surprise là... ouvrant de grand yeux, rougissant, et me mordillant la lèvre. Ca... elle allait le payer extrêmement cher.

Pu... putain lâche mes !!!

Pas le temps de finir de parler, elle tire sur mes tétons et la douleur plaisante les fait aussitôt pointer avant qu'un cri ne s'étouffe entre ses lèvres. Elle fait quoi là ? Elle me menace comme la plus mauvaise des soumises le ferait, elle s'indigne et elle m'embrasse maintenant ? Et pas le petit baiser forcé qu'ont a partagé dans la cuisine non, un baiser passionné à en excité la plus prude des vierge. Là, je ne sais plus trop quoi faire, et elle trouve encore le moyen de me traiter de salope par dessus...

Et alors ? Si je veux te faire mal je te fais mal. Si j'ai envie de t'étouffer parce que ça me fait triper je continuerais à t'étouffer par tous les moyens que je veux.

Puis je la gifle, férocement, de toute mes forces dans un élan magistrale avant de lui tirer les cheveux et de... l'embrasser férocement à mon tours. Putain... c'est qu'elle arrivait à m'exciter à faire sa petite féline comme ça... même mon baiser avait été spontané, je n'avais même pas penser à l'embrasser avant de partager cette gifle.

Je fait ce que je veux de ton corps tant que je le décide

Je retire une nouvelle fois ses cheveux vers moi pour l'embrasser à presque nous en cogner la tête sous le choc. Je crois même que je lui mordille la lèvre inférieur à plusieurs reprise dans ma bestialité habituelle, mais ce qui est sure c'est que je la repousse d'un geste violent contre son lit, la noyant dans mon regard bleu et hautain.

Tu nous a fait quoi là comme numéro ? C'était juste un délire devant tes parents, je suis pas ta petite amie alors n'attends pas que je tombe amoureuse de toi. D'ailleurs tu t'es permis beaucoup trop de libertés, tu dormiras attachée cette nuit.

Ne remontant même pas ma robe et au contraire la retirant, je fixait Pauline étalée sur le lit, les cheveux en bataille à cause de ma poigne. C'est que j'avais presque envie de lui sauter dessus et de lui faire l'amour tout de suite, elle m'avait vraiment excitée avec ses conneries... Mais ça ne me plaisait vraiment pas qu'elle prenne tant de libertés, non vraiment pas !

Ah et j'oubliais, ton pyjama est dans l'emballage là bas.

Qui oserait appeler un pyjama une tenue aussi sexy qu'une tenue en latex comprenant une robe des gants et des longues cuissardes ? Il fallait vraiment s'appeler Leona pour avoir de tels idées. En réalité cependant il s'agissait d'une tenue destiné à sa longue journée de demain... mais comme elle avait été punie, elle dormirait attaché et dans cette tenue tellement sexy et moulante qu'elle en serait humiliante...

Quand je sors de la douche je veux te voir avec, il ne faudrait pas que tu commence à prendre ces punitions et mes ordres pour un jeu...

Puis je me dirigeais hors de sa chambre, cherchant la salle de bain en me baladant les seins à l'air sans le couloir, sans aucune gênes !

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 31 jeudi 29 septembre 2016, 16:41:26

Pauline avait adoré s'en prendre à la poitrine de Leona, tout comme elle avait aimé l'embrasser. Leona était surprise que son esclave de rebelle mais elle allait devoir s'y habituer. La jeune fille n'allait pas passer sa scolarité à mendier pour respirer et à se faire réduire le cul en charpie.

- Fais ce que tu veux mais ne viens pas te plaindre ensuite ! répliqua Pauline tout en échafaudant un plan tordu dans son esprit.

Leona gifla violement le visage de sa soumise puis l'attrapa par les cheveux pour l'embrasser sauvagement à plusieurs reprises. Pauline était très excitée et adorait ce que lui faisait cette peste.

- Tu fais ce que tu veux de mon corps ? Ben regarde ce que tu as fais de mon corps en même pas une journée. J'ai le cul en sang et la douleur me fait suer. Tout mon corps porte des marques de ton traitement. J'ai mal à la gorge après avoir avalé de l'eau de travers à la piscine. Si tu vas trop loin je vais finir à l'hôpital ou je vais te sauter dessus et te frapper jusqu'à ce que tu te décides à me laisser tranquille...

Leona l'embrassa sauvagement et la jeta sur le lit. Pauline rigola en l'entendant se plaindre de son petit numéro.

- Je sais que tu n'es pas ma petite amie, et j'en suis heureuse ! Je cherchais seulement à justifier ce baiser. Si tu en es pas satisfaite je m'en moque. Je supporte de moins en moins tes agissements ! Une maîtresse ça doit prendre soin de son esclave. Tu crois vraiment que je vais accepter de me faire violer, frappée et humiliée indéfiniment ? Je dormirais attachée si tu veux, mais je dormirais nue. Mon corps est beaucoup trop douloureux pour dormir avec des habits.

Leona rêvait si elle s'imaginait que Pauline porterait cette tenue. Elle profita de l'absence de sa tortionnaire pour aller chercher deux verres qu'elle remplit avec du jus de fruit. Elle prit ensuite dans son sac une fiole qu'elle avait piqué à l'infirmerie. Elle contenait le même liquide anesthésiant qui avait faillit l'étouffer pour de bon. Elle le versa dans l'un des verres. Pauline se déshabilla totalement pour ne plus souffrir du contact avec les habits. Elle attendit encore quelques minutes puis Leona arriva dans la chambre. Elle accueillit sa maîtresse avec un sourire et lui tendit le verre.

- Un petit rafraîchissement maîtresse ?

Si elle buvait ce mélange détonant, elle subirait ensuite le genre de tortures qu'elle avait l'habitude de faire à son esclave. Pauline s'imaginait déjà jouer avec le corps de Leona alors que cette dernière serait consciente mais complètement amorphe.

Leona

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 32 jeudi 29 septembre 2016, 17:21:32

En repensant aux mots de Pauline dans ma douche tout semblait si stupide. Mourir étouffée ? Impossible, pour qui elle me prenait ? Une maitresse débutante ? Je connaissais les limites dans ce que j'exerçais si elle est tombée dans les pommes c'est simplement de sa faute pour m'avoir trop énervée. Elle voulait aussi me désobéir et dormir nue ? Qu'elle essaye donc... Et quant à prendre soin d'elle elle n'avait pas encore bien saisit quel genre de personne j'étais... Je n'étais pas une maitresse, juste une autre ado profitant de la situation pour me passer le temps et m'amuser.

Idiote... tu me prends trop à la légère... Disais-je seule dans mon bain.

Une fois propre et les cheveux recoiffées je sortais en me baladant encore une fois nue, repassant par la chambre pour me changer. Avec stupeur, je découvre que Pauline n'as toujours pas enfilée ma tenue... mais me tends à la place un verre de jus de fruit. Bien, au moins elle essaye de s'excuser, je n'ai pas besoin de lui faire la morale et a comprit d'elle même ce que cela signifiait de m'appartenir. C'est donc avec joie que je saisis la boisson pour dessécher ma gorge, sans même me douter de ce qu'il y a à l'intérieur... Comment aurais-je pue deviner qu'elle avait eu la présence d'esprit de préparer un coups en volant un flacon à l'infirmerie...

Je dois avouer que ça fait du bien, mais ne va pas croire que je vais te pardonner pour si peu, tu va dormir attacher ... et porter... ta tenue...

Je commençais à étrangement tanguer sans me rendre compte de ce qu'il se passait et je n'avais toujours pas la présence d'esprit de me dire qu'elle m'avait piégée... A la place, je cherchais plutôt un appuie contre le mur en regardant Pauline, posant le verre sur la table basse pour ne pas le casser accidentellement. C'est qu'en plus, étrangement... je me sentais super bien...

Je commence... à être fatiguée... encore enfile ta tenue tout de suite... sinon

Sinon pas grand chose dans mon état... mais quel était cette étrange sensation euphorique qui m'envahissait jusqu'à m'en embrouiller les sens ? Je me sentais comme... légèrement ailleurs.

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 33 jeudi 29 septembre 2016, 18:19:01

Leona n’avait pas eu la moindre suspicion sur ce que pouvait contenir son verre et elle le vida rapidement. Pauline eut un sourire victorieux alors qu’elle était fébrile et se demandait si son piège allait fonctionner. Les effets de ce merveilleux mélange ne tardèrent pas à se montrer et la jeune fille tanguait tout en parlant avec difficulté.

– Oh viens, il faut t’allonger, déclara Pauline en guidant sa maîtresse sadique sur le lit. On va voir si ça va te plaire de devenir ma chose et de subir tout ce que j’ai envie de te faire.

Pauline avait subi pendant tellement d’années, et là elle était en position de force, c’était jouissif.  La peste était déjà nue, ce qui faciliterait grandement les choses. La jeune fille s’accroupit au-dessus de Leona et commença à la gifler au visage pour voir si elle était en capacité de se débattre. Après une demi-douzaine de baffes sur les joues, Line en conclut que Leona était officiellement devenue son jouet pendant toute la durée d’effet du produit subtilisé à l’infirmerie. Elle plaqua son vagin sur la bouche de Leona et lui pinça le nez. C’était à son tour d’étouffer, et de sentir l’étau resserrer ses poumons. L’adolescente n’avait jamais montré d’intérêt pour ce genre de choses, mais faire souffrir cette fille était très excitant et son vagin mouilla abondamment les lèvres de la soumise d’un soir. Pauline remua ses hanches pour frotter les lèvres de son intimité contre la bouche de Leona tandis qu’elle devenait rouge. Si son nez était parfaitement bouché, elle pouvait quand même respirer un tout petit peu par la bouche. Pauline continua de remuer son sexe contre la bouche de Leona pour l’humilier pendant un petit moment puis elle s’arrêta. Elle alla ramasser l’œuf vibrant et l’enfonça dans l’anus de la jeune fille et voulant qu’il soit logé profondément en elle, Line décida de continuer de forcer le passage avec sa main. L’anus de Leona n’était pas lubrifié et Pauline dû remuer sa main pour réussir à l’enfoncer jusqu’au poignet.

– Voilà, ton petit joujou est au fond de ton cul vilaine fille ! Tu n’auras qu’à pousser quand tu voudras qu’il sorte, ricana l’adolescente.

Line prit ensuite la cravache de sa maitresse  et lui frappa les seins avec sans se retenir. Quand elle entendit Leona gémir, elle décida de lui mettre sa culotte pleine de cyprine en bouche. Elle recommença à frapper les seins de Leona et ne s’arrêta que quand ils eurent une jolie teinte violette. Il était maintenant temps de s’en prendre à son intimité. Pauline avait une idée pour lui rendre ce qu’elle avait subi, et lui brûler le vagin, mais elle voulait se faire plaisir avec tant qu’il était encore en état…
L’adolescente releva l’une des jambes de Leona et plaqua son intimité trempée contre celle de sa tortionnaire. Elle remua ses hanches et savoura le frottement de leurs deux sexes, de leurs deux clitoris. Pauline continua de faire l’amour avec Leona tout en tripotant un de ses seins meurtri avec sa main de libre jusqu’à ce qu’elle finisse par jouir et arroser le vagin de Leona avec sa cyprine.

– Oups, j’avais oublié que tu étais partie te laver. Quand j’en aurai fini avec toi tu pourras y retourner. Si tu tiens toujours debout. Prête pour la suite, salope ? demanda Line avec un sourire malicieux.

C’était la première fois que Pauline agissait de cette façon avec quelqu’un. Habituellement c’est elle qui avait droit au fouet, aux ordres et aux humiliations. Se retrouver de l’autre côté était extrêmement jouissif. Et humilier une personne aussi détestable que Leona rendait le tout encore plus excitant. Elle comptait bien profiter de sa position de force pour s’amuser autant qu’elle le pourrait avec sa petite soumise.

Leona

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 34 vendredi 30 septembre 2016, 11:07:45

Tout était aller si vite que je ne comprenais pas, j'étais passer d'une seconde à l'autre de ma fière position à celle de la misérable soumise... De l'autre côté du mur, celui ou logeait normalement Pauline, tout était beaucoup moins confortable et je ne put que subir malgré mon esprit qui cherchait à combattre la drogue... en vain... je me faisais du mal pour rien et je me retrouvait à mon tours bientôt étouffée. Bien loin des maigres compétences de Pauline en apnée je pu résister un bon moment, même si j'ouvrais de grands yeux ne bougeant de droite à gauche. Sentir l'air manqué prodiguait une extase rare et me faisait mouillé sous le danger inévitable de la situation, bien que je ne lui avouerait pas... Je crut même défaillir dans un orgasme incontrôlée lorsque mes yeux se révulsèrent lentement... j'avais bu la tasse dans sa cyprine en respirant au mauvais moment... envoyant une giclée dans mes poumons qui me fit toussoté. Nul doute que j'aurais recouvert les draps de mon nectar si elle m'avait couper la respiration 5 petites secondes de plus.

D'un côté, heureusement qu'elle n'était pas aller aussi loin, la situation était déjà bien assez humiliante comme ça pour se laisser aller à jouir, surtout lorsqu'elle y rajouta l'oeuf, encore humide de sa propre cyprine.

Ahhhh ... AHHHHHH.. sa... salope de !!! De chienne !

Je n'eus même plus les mots pour décrire quel serait sa punition, mais elle comptait vraiment que j'arrête de l'étouffer après ce qu'elle venait de me faire ? Lorsque je récupèrerais les commandes je m'amuserais à lui couper la respiration jusqu'à lui en faire perdre les pédales ! Cette petite inconsciente allait morfler comme jamais ! Ses années de soumissions allaient vites avoir des allures de paradis...

Je vais te... connasse.... profite bien... profite bien parce que je vais te ... faire morfler comme jamais !

J'avais vraiment du mal à parler avec la colère te les coups qui me faisaient presque hurler... Tiens c'est vrai, j'aurais pu hurler à gorge déployer pour alerter ses parents et la faire passer pour une folle... elle aurait eu une sacré punition de la part de son père et de sa mère... mais ça aurait aussi voulu dire qu'ils m'auraient vu dans cette sale position et ça ... je ne l'aurais jamais permis. Cette situation embarrassante devait rester un secret éternel capturer entre ces draps.

Alors je mordais ma lèvre jusqu'au sang, laissant bientôt un filet rouge perler le long du menton. Mes dents de devants avaient presser si fort la chaire de mes lèvres si rouges que j'en avait légèrement percer la peau. A cela s'ajoutait mes gigotements de droite à gauche et mes spasmes de douleurs sous la cravache. La douleur pourtant n'était rien face aux deux humiliations qui envahissaient ma chaire. La première fut bien évidement Pauline qui souillait mon corps en me jouissant dessus... la deuxième... c'était que malgré moi, malgré tout ce que j'aurais voulu... mon clitoris et mes tétons pointaient furieusement en réponse au traitement.  J'y trouvais une excitation malsaine et mon corps chauffait d'une agréable sensation qui se logea dans mon bas ventre.

Alors quand je me sentais moi aussi venir juste après qu'elle ai frotté trop longtemps son intimité à la mienne, je trouvais la force de lui tirer les cheveux pour lui coller la tête entre mes cuisses, et lui éjaculer toute ma cyprine en plein visage pour la souiller elle aussi... Une fois le visage bien noyé dans mon orgasme féminin, je la poussa hors du lit en lui envoyant un coups de genoux dans le bas ventre... C'était tout ce que je pouvais faire de mieux dans mon état, encore en proie à ses délires d'inverser les rôles et sa merci si elle voulait continuer à se venger... Pourtant, je n'allais ni me laisser faire ni fermer ma gueule, quitte à aggraver mon cas. Je m'offrait même le luxe de la provoquer.

Quoi... t'appelle ça une punition ? Tu devrais retourner à ta place immédiatement et apprendre alors... Tes coups, c'était juste du coton... et t'as vraiment essayé de me couper la respiration là ? J'ai à peine eu le temps de me rendre compte que je ne pouvais plus respirer ! Tu m'as pris pour une enfant de 5 ans ?

Au fond... sans m'en rendre compte... je faisais peut-être exprès pour voir si elle redoublait d'effort et de sadisme... comme pour assouvir un fantasme si profond qu'il m'était moi même inconnu...

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 35 vendredi 30 septembre 2016, 11:53:43

Leona avait réussi à surprendre Pauline et si cette dernière s’était délectée de la délicieuse cyprine de sa camarade, le coup de genou lui avait été bien moins agréable. Pauline lécha ses lèvres trempées en souriant pour montrer à cette peste rebelle qu’elle adorait son jus intime, puis elle donna un violent coup de cravache sur son clitoris. Alors comme ça Line n’avait pas assez puni Leona ? Très bien, elle compenserait son inexpérience par des abus dont cette petite chienne vicieuse se souviendrait longtemps. L’adolescente prit la corde qui lui avait servi de laisse et attacha fermement les mains de Leona dans son dos. Ainsi elle arrêterait peut-être de tenter vainement de se rebeller. Pauline alla ensuite chercher une bougie de décoration qui se trouvait sur son bureau. Elle était un petit peu moins large qu’une canette de soda, et heureusement parce que sinon elle doutait que cette chose n’entre dans son intimité. Le long de la bougie était également aussi décoré par de fausses pierres précieuses et des strass. Certaines de ces fausses pierres précieuses étaient plutôt pointues, c’était parfait pour punir Leona.

– C’est beau n’est-ce pas ? questionna Pauline en lui collant la bougie devant les yeux. Cette jolie bougie va finir dans ton vagin !

Pauline frotta le bas de la bougie contre l’intimité trempée de Leona pour la lubrifier un peu et ainsi faciliter la pénétration de l’imposante bougie. Quand elle jugea que l’objet était prêt, elle força le passage dans le vagin de la peste. La jeune fille dû forcer pour enfoncer l’épaisse bougie dans le sexe et la poussa le plus possible en elle. Son vagin était ouvert à son maximum et à la grimace que faisait Leona, cette pénétration devait être très douloureuse. Mais ce n’était pas suffisant. Pauline alluma la bougie puis prit en photo cette jolie soumise sous tous les angles possible.

– Tu m’as brûlé le vagin avec la corde, alors je vais te brûler le tien avec cette bougie. Je ne l’enlèverais pas avant que tes lèvres intimes ne soient recouvertes de cire, déclara Line avec un sourire cruel.

Leona avait fait la fière en brayant qu’elle avait trouvé sa façon de l’étouffer pitoyable. L’adolescente n’avait pas apprécié et enfonça profondément sa culotte dans la bouche de Leona et y garda sa main pour être certaine qu’elle ne respire pas. Sa gorge était à présent bouchée par la culotte trempée. Pauline regarda Leona  tenter de respirer en vain pendant de longues secondes. Tant que son corps ne convulserait pas pour protester contre ce traitement, Line resterait là à l’observer s’étouffer. Elle regarda aussi la bougie alors que de la cire commençait à couler et qu’une première goutte brûlante toucha son intimité.

– Alors ça te plait ? Tu aimes sentir ton sexe devenir brûlant ? questionna Pauline en tirant violement un de ses tétons et en le pinçant de toutes ses forces.

Torturer ainsi Leona était jouissif. Jamais la jeune fille ne s’était imaginée capable de faire ça, mais plus cette peste était cruelle avec elle, et plus elle avait envie de l’être également. Après tout elle sentait encore son cul lui faire mal. Elle lui ferait bien pire ! D’ailleurs elle se rappela que l’œuf était toujours profondément ancré dans le cul de Leona. Pauline prit la commande et l’activa pour rappeler à sa soumise que chacun de ses orifices lui appartenaient.

– Tu as de la chance qu’on soit chez moi salope. Si on avait été chez toi ou ailleurs et que tu avais jouis sur mon visage, je te garantis que j’aurais aussi arrosé ton visage, mais pas avec de la cyprine ! dit Pauline en regardant sévèrement Leona.

Leona

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 36 vendredi 30 septembre 2016, 13:34:53

Je n'aurais peut-être pas du la provoquer, Pauline ne semblait plus la même depuis qu'elle avait prit les commandes et la bougie enfoncée dans mon vagin me faisant déjà mal même sans la chaleur. A cela se rajoutait le stress de la flamme qui réchauffait la cire et la faisait couler. Me faisant écarquiller de grands yeux derrière les sons étouffées de la culotte. Culotte qui s'enfonça dans ma gorge quand Pauline eut la fabuleuse idée de me couper toute retraite et... mon oxygénation par la même occasion. Aussitôt mes bras gesticulaient dans tous les sens comme des serpents excités, cherchant à se débattre pour se défaire de cette cruelle entrave. Le pincement sur les tétons n'aidait en rien et je poussais un grand gémissement de plainte à travers la culotte qui en plus d'étouffer mes voix respiratoire étouffait mes cris.

* Putain, je peux vraiment plus respirer cette fois... *

Mes poumons chauffaient vite, mais bien plus lentement que mon intimité qui était un vrai volcan. La flamme se rapprochait des lèvres intimes et la cire chaude coulait en me brûlant à m'en faire hurler... Mes cuisses bougeaient dans tous les sens pitoyablement. Je ne savais plus vraiment ce qui était le pire, le fait de commencer à m'étouffer pour de bon ou d'avoir le vagin bruler et irradié par la chaleur insoutenable ? Tours à tours les deux se bousculaient et passaient au premier plans de mes priorités... dans une savoureuse sensation d'abandon. Mon corps commençait à tressauter de quelques spasmes et mes yeux commençaient à partir en arrière dans une quinte de toux...

* Respirer... je dois respirer... *

Mais l'oeuf me réveilla et me fit ouvrir en grand les yeux une fois de plus, me faisant hurler dans la culotte maintenant trempée de salive au fond de ma gorge. Mon bas ventre en recherche d'air poussait de grand coups comme pour appeler avec pitié un peu d'air... Je commençais sérieusement à y voir flou et à nager dans une extase malsaine.. une excitation que le manque d'oxygène accentuait honteusement en me faisant déborder de bonheur. Mes joues d'un rouge plus vif qu'une tomate auraient pourtant tendances à prouver le contraire et mon corps parcouru de spasme comme une anguille électrique montre que j'atteins mes limites. Même en étant résistante, je ne pouvais tout bonnement pas tenir des lustres sans respirer non plus...

A 2 doigts de m'évanouir encore une fois, c'est la chaleur de la cire cette fois qui me réveille dans une douleur à en faire perler le bord de mes yeux de petites larmes, qui font couler un long sillage noirs autours en se mêlant à mon maquillage. Mon intimité est brûlée d'une chaleur intense et indescriptible, la cire chaude et fondue coule sur et dans mon intimité. Ele allait vraiment payer pour de bon... c'était ma dernière pensé clair en jouissant encore à en faire trembler mes jambes... mes muscles étant eux tout contractés à cause du manque d'air trop avancé. J'essayais même de pousser de petits cris qui ne ressortaient de ma gorge qu'en de petites plaintes asphyxiées, dont le sons s'échappaient dans un sifflement de suffocation. C'est qu'en plus, elle me déclenchait un putain d'orgasme cette salope de grosse soumise, en me coupant l'air si longtemps...

Mais qu'elle n'y prenne pas trop gout, j'allais pas la remercier pour autant.

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 37 samedi 01 octobre 2016, 11:16:24

Pauline remarqua que Leona venait de jouir et surtout que cette dernière semblait atteindre ses limites. Line avait beau lui en vouloir, elle ne voulait pas se retrouver dans une situation délicate et devoir appeler les pompiers. Que diraient-ils en voyant ses seins recouverts de marques, la cire sur son intimité ? Non il valait mieux éviter d’en arriver là. L’adolescente retira sa culotte de la gorge de cette peste, la laissant enfin respirer. Elle n’eut droit qu’à une ou deux inspirations car la jeune fille l’embrassa sauvagement tout en lui pinçant le nez.

– Tu as jouis, je ne m’y attendais pas. Mon but n’est pas de te faire du bien, déclara Pauline avec une pointe de frustration.

Pauline retira brutalement la bougie du vagin de son esclave. Elle observa son intimité avec satisfaction. La cire chaude avait recouvert son sexe et il y en avait certainement aussi en elle. La jeune fille retourna Leona et déversa la cire brûlante qui s’était accumulée au sommet de la bougie le long de la raie de sa camarade. Elle éteignit finalement la bougie en plaquant le bout brûlant contre son anus. Il était temps de passer à la suite. Pauline ne pourrait plus s’asseoir pendant plusieurs jours, il était donc normal que Leona subisse le même sort. Elle agrippa fermement la cravache et commença à frapper férocement ses fesses avec. Elle ne s’arrêterait pas tant que son cul ne serait pas en sang. Le claquement de la cravache sur les fesses de la soumise d’un soir résonnait dans toute la chambre, et Line espérait que ses parents n’entendaient rien. Elle devait avoir moins de force que Leona car son cul ne saignait toujours pas malgré les belles marques qui recouvraient chaque parcelles de son magnifique fessier. Frustrée, Pauline prit la grosse bougie et força l’entrée de son anus avec. Si ses fesses se refusaient à saigner, alors ça serait son petit trou qui serait en sang. Elle força pour enfoncer une partie de la bougie qui était bien trop grande pour ce cul. Elle le remarqua aussi au corps de Leona qui se tordait de douleur. En faisant de petit va et viens avec la bougie, la jeune fille se rendit compte qu’une des strass les plus pointues était recouverte de sang.

– On dirait que tu saignes ma pauvre, j’espère que ça ne fait pas trop mal, dit Pauline en violant encore plus fortement l’anus de Leona avec l’énorme objet.

Malgré tout Pauline s’en voulait un peu. D’accord Leona était la pire des salopes, mais était-ce une raison pour qu’elle se rabaisse à agir comme elle ? La jeune fille retira la bougie du son petit cul et remarqua qu’elle saignait bien plus qu’elle ne l’avait prévu. Il était plus de 22 heures et il était temps de dormir. La lycéenne abandonna sa vengeance et embrassa tendrement les lèvres de Leona avant de se coucher contre elle. Il était difficile de dire combien de temps l’anesthésiant ferait effet, mais elle espérait que ça durerait assez longtemps pour que les deux filles s’endorment. 

Leona

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 38 samedi 01 octobre 2016, 12:08:55

J'ouvre lentement les yeux dans la pénombre de la chambre, seule une petite lumière fuse entre les volets pour offrir un brun de vision. A en juger par Pauline qui s'est endormi sur ma poitrine il doit se faire déjà tard... quand me suis-je endormie d'ailleurs ? Pendant que mon esprit embrumé essaye de se rappeler tous les détails une douleur vive se réveille dans mes fesses lorsque je me tourne pour regarder l'heure. Outch... oui, la bougie... je m'en souviens maintenant... Comment cette garce ose dormir paisiblement contre moi ? Tête contre ma poitrine comme un oreiller ? La douleur dans mon anus est déchirante et je suis contrainte de me mordre la lèvre pour ne pas pousser de petits cris quand je me déplace dans le lit. Finalement, le petit réveil électrique posé sur le bureau indique 2H du matin... j'ai donc du dormir un peu près 4 heures... je pense même que je me suis évanouie sous le manque d'air, la douleur et la drogue... Tiens... de la drogue ?  J'avais encore ces petits cachets blanc et stimulant sexuellement que je lui avait donné à la piscine.. j'avais presque oublier... Parfait pour une petite vengeance nocturne pendant que Pauline est plongée dans son petit rêve. Elle croyait quand même pas que j'allais dormir comme une gentille petite fille non ? J'allais lui passer l'envie de me faire ce genre de coups ! j'allais lui offrir une punition à la note salée en attendant l'humiliation poussée que j'avais prévu demain...

C'est ça dors bien petite garde... Dis-je à voix basse en affichant un rictus sadique au coin des lèvres, agrippant d'une façon violente sa tête pour l'enfouir dans ma poitrine et l'étouffer avec.

Bien évidemment au bout d'une petite minute, le manque d'oxygène qu'elle rencontre en étant fermement plaquée contre ma poitrine doit s'initier dans son rêve et la réveiller... Elle veut se dégager ? Pas de soucis... qu'elle attende juste d'être un peu étourdie la garce ! Et quand c'est le cas, que je la libère ! Je profite de son essoufflement pour la bourrer de ces cachets blancs ! Maintenant son visage en arrière, bouche bien fermé et nez pincé pour l'obliger à avaler ! 5 ? 7 ? Impossible de dire combien de cachets glissent dans sa gorge cette fois, mais le cocktail sera détonnant et la transformera en vrai fontaine dans une poignet de minute.

T'en fais pas je vais te laisser dormir... tu dois être en forme pour demain je ne suis pas un monstre... je te souhaite juste bon courage pour y parvenir.

Lui empoignant seichement les cheveux, je pousse Pauline contre le mur de l'autre côté, profitant de la surprise pour lui ligoter fermement les poignets au dessus de la tête. A semi immobilisé, je lui laisse deviner la suite de ce que son serait son supplice en saisissant un petit sachet en plastique, qui accueillait à la base mes divers maquillage. Ce sachet en plastique pas très grand, je venait le lui enfilé autours de son visage, prenant soin qu'elle ne puisse pas le retirer en le serrant avec une corde au niveau du cou. Sans l'étrangler bien sure, le but était de la faire étouffer lentement et progressivement dans ce sachet en plastique, durant toute la nuit. Enfin, elle n'allait pas en mourir... mais si elle respirait à 100% de ses capacités normalement, on va dire qu'avec ce sachet, elle ne pouvait respirer qu'à 20% de ses capacités... de quoi la rendre folle et légèrement suffocante au fil de la nuit, surtout avec le plastique qui viendrait se coller à la peau à chaque inspiration.

Tu va bien dormir non ? Etouffée, droguée .. et suspendu dans la chambre.

Suspendu ? oui elle avait bien entendu ! Je liais les cordes qui maintenaient ses poignets attachées vers le haut à une autre corde, pour la maintenir debout et qu'elle ne puisse pas s'échapper. L'autre bout de la corde était en effet reliée au lustre sur le plafond et l'obligeait à rester de bout, sur la pointe des pieds.... Elle ne pouvait pas s'échapper. Si en plus de cette position inconfortable et du sac plastique qui bridait fortement sa respiration on y ajoutait la drogue qui allait la faire jouir toute la nuit comme une chienne au moindre contact... elle allait passé une bien salle soirée ! et aurait bien du mal à dormir comme ça... D'ailleurs pour augmenter sa sensibilité à jouir je lui enfilait soigneusement une de mes culottes en latex, moulant parfaitement son sexe en feu qui commençait déjà à être tout excité ! Elle allait jouir, jouir.. et encore jouir à s'en épuisé... à en souiller la culotte en latex imperméable qui serait remplis de cyprine jusqu'à en déborder partout... elle deviendrait toute collante !

Bonne nuit... si j'ose le dire ainsi...

Et je m'allongeais dans son lit d'un air fière bien que la douleur au postérieur me faisait grimacé... j'avais encore du sang et un mal de chien... Mais sa position satisfaisante m'offrait une belle vision pour m'endormir paisiblement...

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 39 samedi 01 octobre 2016, 13:09:46

Respirer, il faut respirer. Pourquoi était-ce si difficile pour la jeune fille de respirer ? Pauline ne comprend pas ce qui lui arrive, tout ce qu’elle sait c’est qu’elle étouffe. Puis subitement elle comprend ce qui se passe. Leona l’étouffe contre sa poitrine. La jeune fille se rend compte qu’elle aurait dû laisser cette peste solidement attachée toute la nuit. Elle tenta de se débattre pendant un long moment. Quand la panique commença à la gagner, Leona la libéra, la laissant aspirer de grandes goulées d’air, mais elle en profita pour lui enfourner un nombre conséquent de cachet. Nez pincé et bouche fermée par une main, la jeune fille ne tenta même pas de la gruger et avala les nombreux cachets sans protester. Leona avait repris le dessus sur sa situation et ligota lui attacha les poignets avant de placer un petit sachet sur sa tête qu’elle noua avec une corde autour de son cou. Mais qu’est-ce qu’elle se trouvait conne, il était évident que Leona allait lui faire payer chèrement ce qu’elle lui avait fait. Elle avait été stupide de ne pas la ligoter fermement. Affolée, la lycéenne respirait rapidement et remarqua que le sachet venait se plaquer contre sa bouche. Elle devait se calmer et respirer tout doucement. Très peu d’air arrivait à se glisser dans le sachet.

– S’il te plaît, ne fais pas ça, gémit la jeune fille. Fais tout ce que tu veux mais retire ce sachet !

Pour seule réponse, Leona lui déclara qu’elle allait la suspendre au lustre pour qu’elle passe la nuit debout. Elle tira un peu trop sur la corde et Pauline dû même se mettre sur la pointe des pieds. Pour conclure son plan machiavélique, cette salope lui avait mis une culotte en latex. Cette dernière réveilla immédiatement la douleur de son fessier meurtri. Pauline ne tenta plus de faire changer d’avis Leona, car elle savait que c’était inutile. Elle devrait passer le reste de la nuit comme ça, à étouffer et à jouir alors que son cul était très douloureux. Cependant la douleur ne dura pas, car les nombreux cachets faisaient de plus en plus effet. Pauline devenait folle et désirait plus que tout pouvoir se caresser, ou sentir une grosse bite la prendre sauvagement. C’était la pire des tortures. Sa respiration s’accéléra alors qu’elle était de plus en plus excitée et le sachet épousa les contours de son visage. Elle ne pouvait pas calmer sa respiration à cause du plaisir qui la submergeait, et à cause de cela elle étouffait et poussa de tout gémissement. Pauline finit par jouir et remplir sa culotte en latex de cyprine, mais son envie ne diminua absolument pas, bien au contraire. Elle désirait tellement se faire prendre qu’elle accepterait n’importe quelle verge en elle, pourvut qu’elle la baise brutalement. Si elle pouvait parler, Pauline aurait certainement suppliée sa maîtresse de lui offrir une grosse verge qui la pénètrerait comme un animal. Au lieu de cela elle sentit son plaisir atteindre un nouveau pic alors qu’elle venait de jouir une nouvelle fois.
Les nombreux cachets avaient totalement endormi son cerveau et ses envies de rébellions. Elle n’était plus qu’une esclave docile qui obéirait à tous les ordres de sa maîtresse. Pauline ne se sentait absolument pas humiliée par sa situation, et elle doutait de pouvoir se sentir humiliée peu importe la situation dans laquelle elle pourrait bien se trouver tant qu’elle serait submergée par le plaisir.
La nuit passa trop rapidement au goût de Pauline qui aurait préféré jouir encore plus. Elle avait arrêté de compter après avoir dépassé la dizaine de jouissance. Sa culotte était pleine de cyprine et elle avait l’impression qu’elle finirait par exploser tellement son sexe était brûlant de désir. C’était extrêmement frustrant de ne pas se faire baiser dans une telle situation. Line vit que le soleil commençait à se lever et qu’il serait bientôt temps d’aller en cours. Elle aurait dû penser à se doucher, mais elle se moquait d’être sale, elle pensait uniquement aux nombreux pénis qui se trouvaient au lycée et qui pourraient la baiser.

Leona

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 40 samedi 01 octobre 2016, 14:35:31

Lors le matin se lève c'est une Pauline différente qui se présente à moi. Attachée et le plastique autours du visage humidifié de salive, je ne l'entendais qu'à peine respirer à l'intérieur. Quoi de plus normal, après 5 heure sous un tel traitement elle devait avoir un mal de chien à respirer, et l'air qu'elle s'efforçait de prendre, chargé en carbone était le même qu'elle avait rejeté toute la nuit, l'usant... encore et encore en le réutilisant à outrance. Mais que dire de sa culotte qui débordait comme un verre d'eau trop plein, ses cuisses ruisselait de cyprine et une petite tape contre le revêtement en latex suffisait à comprendre le nombre incalculable de jouissance qu'elle avait dut subir. Un son d'éclaboussement comme lorsque l'ont marchait dans une flaque d'eau s'en ressenti en faisant jaillir de belles giclées sur les bords.

Brave toutou...

Je retire enfin le sac en plastique pour lui glisser immédiatement un autre cachet dans sa bouche. Elle allait devenir folle ? Surement, ça lui passerait au moins l'envie de faire n'importe quoi. Je lui déliais aussi les mains et la poussa à terre, la tirant jusque dans la cuisine en m'assurant qu'il n'y avait personne. Bingo, comme je pensais ses parents s'était levés tôt pour aller travailler et la maison était vide. Je pus alors forcé Pauline à rester à quatre pattes comme un animal avant de lui apporter une gamelle de lait.

Tu bois comme une chienne avec ta langue, sinon je t'enfonce la tête dans ta gamelle et tu connais la suite

Quant à moi bien sure ce fut un parfait petit déjeuner avant de passer à l'habillage de ma soumise, qui n'était autre que le reste de sa tenue en latex. Longue cuissardes à haut talons, paires de gants, robes moulante... la belle pouvait maintenant se dandiner dans une tenue excitante qui moulait ses formes et ses tétons pointant à en exploser la tenue... qui ne céderait pourtant pas si facilement. Contente ou non, c'est dans cette tenue que je l'obligeait à se balader dans la ville, la giflant chaque fois qu'elle essayait de se toucher. Sa culotte encore totalement souillée était restée sur elle et je ne lui avait pas prit de douche... ça commençait vraiment à sentir la luxure et à puer la cyprine entre ses cuisses souillées.

Voila petite chienne... je te laisse faire ta journée mais je te surveillerait... j'interviendrais peut-être même de temps en temps qui sait. Mais je vais te dicter deux consignes importantes. La première c'est que tu ne dois pas retirer cette tenue quoi qu'il arrive et quoi qu'ont te dise... elle sied parfaitement à la salope que tu es. Ensuite ce soir, tu dormira au pensionnat, dans ma chambre... Et ce n'est pas négociable... Ah, et j'oubliais.

Il me restait encore 6 cachets, et je lui en glissait 2 dans la bouche. A ce rythme, elle allait juste faire une overdose si ce ne serait pas déjà le cas avec ces deux médicament de plus... qui allait faire perdre les pédales à son corps...

Bonne journée salope... Lui disais-je d'un ton amusé et à la fois sadique en la faisant tomber au sol d'un grand coups de pied au cul... devant tous les élèves qui rentraient en cours... tête la première dans une flaque de boue.

C'était le début d'une belle journée !

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 41 samedi 01 octobre 2016, 18:09:01

Leona retira enfin le sachet de la tête de sa petite esclave qui put enfin respirer à plein poumons. C’était une délivrance et une merveilleuse sensation que de sentir autant d’air en elle. Sa tortionnaire lui glissa immédiatement un nouveau cachet en bouche alors qu’elle était toujours dans un grand état d’excitation. Un seul cachet durait plusieurs heures, et cette nuit elle en avait avalé une demi-douzaine. Il était évident que Pauline serait folle de désir pendant toute la journée. Leona poussa sa chienne sur le sol et l’obligea à la suivre jusqu’à la cuisine à quatre pattes. Dans un tel état d’excitation, la jeune fille n’avait plus du tout d’amour propre, et elle s’en moquait. Tout ce qui comptait c’était avoir du plaisir, toujours du plaisir, énormément de plaisir !
Elle lui apporta une gamelle avec du lait et sa soumise ne se fit pas prier et commença à boire en lapant le liquide jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus du tout. Sa maîtresse l’habilla ensuite avec la tenue en latex qu’elle lui avait acheté. Pauline ne fit pas d’histoire et se laissa faire docilement. Ses tétons pointaient et étaient largement visible. Les deux lycéennes partirent donc en direction de l’établissement scolaire. Line ressemblait à une salope faisant les trottoirs mais elle s’en fichait et tentait de se caresser quelques fois mais Leona la gifla à chaque fois.

– Je ferai de mon mieux pour obéir à vos ordres maîtresse, déclara Line alors que Leona venait de lui interdire de retirer sa tenue, et l’avait obligé à la rejoindre dans sa chambre le soir.

Pauline espérait pouvoir se faire baiser par un étudiant mais elle devait obligatoirement garder sa tenue. Leona vérifierait surement le soir si sa culotte était encore pleine de cyprine. Cette dernière enfourna encore deux autres cachets dans la bouche de sa soumise qui les avala sans protester. Elle finit par la jeter dans une flaque de boue. Elle aurait pu être extrêmement gênée mais ce n’était pas le cas. Elle décida quand même d’aller se nettoyer dans les toilettes. Elle entra dans ceux des garçons en espérant que l’un d’eux voudrait bien caresser son intimité par-dessus la culotte en latex. Malheureusement la pièce était vide et Pauline se décida à aller nettoyer son visage au lavabo. Les nombreux cachets avalés avaient fait d’elle une chienne en chaleur, et elle savait qu’elle allait encore jouir plusieurs fois aujourd’hui. Quand elle se retourna elle vit un lycéen choqué de la voir dans cette tenue.

– Caresse-moi… S’il te plaît, il faut que je jouisse, avoua Pauline en s’approchant du jeune homme.
– Qu’est-ce qu’une pute fait dans un lycée ? J’ai une heure de libre, tu as de la chance, déclara le garçon en l’attirant dans une cabine. Met toi à genoux et suce-moi si tu veux que je te caresse.

Le garçon n’attendit pas qu’elle se mette en action et appuya sur sa tête pour la placer entre ses jambes. Il déboutonna son pantalon et sortit une verge tendue qui pointait vers le visage de Pauline. Folle d’excitation, la jeune fille n’hésita pas et glissa le pénis dans sa bouche puis commença à le sucer tout en caressant son vagin par-dessus la culotte. L’adolescent était très vite excité par cette fellation et agrippa la tête de la jeune fille. Il commença à baiser sauvagement sa bouche et continua pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’il déverse des flots de sperme dans sa bouche. Maintenant qu’il avait jouit, il allait certainement la caresser comme il l’avait dit. Mais ce dernier ricana et essuya son gland sur la joue de Pauline avant de partir. Frustrée la jeune fille avala son sperme et continua de se caresser jusqu’à ce qu’elle jouisse à son tour. Un peu de cyprine coula le long de ses cuisses. Line se releva et prit la direction de la salle de cours. Elle était en retard, mais ce n’était pas très important. Si elle tombait sur un autre garçon, elle le supplierait en espérant qu’il accepte de la caresser. Pauline était frustrée et désirait une bite dans son vagin, c’était son désir le plus cher. Peu importe à qui appartenait le sexe…
Leona avait transformé sa jeune esclave en chienne avide de sexe, et dans son état d’excitation elle ne pouvait pas lui en vouloir. Elle voulait même la remercier.

Leona

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 42 dimanche 02 octobre 2016, 12:15:15

Surveillant mon esclave de temps à autre avant les cours, je la vit rentrée dans les toilettes des hommes, surement pas par maladresse. La petite soumise voulait sa ration de verges en elle et était prête à tout pour y avoir droit, même à s'humilier en s'exhibant dans les toilettes des garçons. Lorsqu'elle ressorti, je pu comprendre à sa frustration qu'elle n'avait pas trouvé preneur, et puis de toute façon elle n'avait pas le droit de retirer sa tenue, ce qui incluait la culotte. Si l'élève lui aurait retirer pour jouir en elle, il aurait été lui aussi sauvagement puni... Je lui aurait même offert l'ultime humiliation de se faire tabasser par Pauline en la désignant comme sa maitresse.... sa maitresse... une soumise de bas étage comme elle, de la pire espèce et des plus avides de sexe.

Pendant le cours puisque je séchais comme à mes habitudes, je m'amusais à regarder par les petites lucarnes vitrées près du plafond, sur le haut des murs de la salle de classe. Je pouvais donc observer Pauline pendant une heure complète, se frottant les cuisses dans un agréable sons faisant grincer le latex. Un coup d'oeuil vers sa culotte laissait facilement deviner là aussi toute l'excitation qui logeait encore au fond d'elle. Mais croyait-elle vraiment que la journée de cours allait s'arrêter à jouir dans sa belle culotte noire ? Souillée de litres de cyprine ? Avec ce qu'elle l'avait fait la vieille l'envoyer en salle de classe dans cette tenue de salope n'était pas assez, et la droguer à lui en faire perdre les pédales non plus... Et puis j'étais mal luné aujourd'hui, j'avais vu ce superbe soutient-gorge hier soir en boutique et je m'étais dit que je l'achèterais avec ma carte bleu aujourd'hui pendant que je séchais les cours... Mais mon père après ma fugue avait eu la bonne idée de la couper... n'ayant encore que 17 ans, je ne pouvais rien y faire et il m'était impossible de débloquer mon argent en banque.

Tiens... ça me donnait une bonne idée, avec une telle tenue de prostitué je savais ce que j'allais faire d'elle ce soir... J'allais me servir de son corps pour me faire un peu d'argent de poche. Il me faudrait juste de quoi imprimer un message en boucle et à le distribuer aux élèves... ou à quelques adultes du lycée comme mademoiselle l'infirmière qui voudrait surement se lâcher dans l'anonyma après l'avoir vue nue et ligotée sur son lit.

Enfin, une heure plus tard lorsque la cloche sonna j'attrapais directement Pauline par les cheveux pour la balancer dans le toilette des filles, qui était vide pour l'instant.

Tu n'iras pas au prochain cours Pauline, j'ai d'autres projets pour toi pendant une heure. Tu vois, je t'ai trouvé une utilité, tu seras ma prostitué personnel. Ca te plait ? Même si c'est pas le cas tu n'as pas le choix, tu va te faire prendre dans tous les positions et de partout... toute la nuit ! Pour me rapporter de l'argent de poche. Et tu ne dormiras pas tant qu'il y aura des clients. Filles, garçons... professeurs... Ils feront ce qu'ils veulent de toi pour seulement 1000 yens... oui, 1000 yens... c'est seulement ce que vaux ton misérable corps... c'est décevant n'est-ce pas ?

Plaquant ma bottine contre sa culotte en latex pour faire jaillir le jus, 3 filles rentrent dans les toilettes. Ce n'était pas un hasard et elles faisaient parties de la classe de Pauline. Elles avaient elles même sécher le cours et m'avait surprises en train de photocopier mes invitations. Comme elles n'aiment pas trop les élèves calmes comme Pauline et que la passion de ces pestes étaient de rabaisser les autres filles de leurs ages, elles avaient trouvés l'idée intéressante et m'avaient louer Pauline pour une heure complète. Nul besoin de dire que Pauline allait morflée entre les mains de ces deux blonde et de cette plantureuses brunes, qui étaient le parfait clichés des pierres conasses qu'ont puisse faire dans un lycée. Il suffisait de les regarder pour comprendre que leurs discutions tournaient autours du dernier sac à main à la mode, et qu'elles vouaient une passion à pourrir la scolarité des filles plus faibles qu'elles.

Une heure comme convenu, vous avez le droit à tout sauf aux lésions irréversibles.

J'avais laissé un peu de mon propre matériel sexuel parfait pour punir une vilaine élève... mais j'étais étonnées de voir qu'elles étaient elle même déjà bien équipées...

Quant à moi je restais devant la porte des toilettes pour être sure que personne ne rentre. Un ennuie d'une heure total à monter la garde... mais qui valait tout de même 3 fois 1000 yens...

[HRP] 1000 yens = un peu moins de 10 euros [HRP]

Pauline Catalino

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 43 dimanche 02 octobre 2016, 14:02:31

Pauline alla à son cours et inventa un prétexte bidon pour excuser son retard. Les professeurs savaient que la jeune fille avait eu une adolescence particulièrement éprouvante, même s’ils n’étaient pas au courant des détails sordides. La prof d’anglais indiqua à la lycéenne d’aller s’asseoir tout en se disant qu’avec une tenue de ce genre, elle avait plus l’air d’une prostituée que d’une élève. Il restait une demi-heure de cours et elle passa affreusement lentement. Pauline se tortillait sur sa chaise. Elle avait toujours mal au cul et elle voulait toujours se toucher. Combien de fois son corps était-il capable de jouir ? La dizaine de pilules avalées en moins de 24 heures avaient transformé son vagin en un volcan dont les éruptions étaient violentes et extrêmement fréquentes.
Quand enfin la fin du cours d’anglais sonna, la jeune fille sortit rapidement en se demandant si elle devait retenter sa chance dans les toilettes des garçons. Malheureusement elle n’en eut pas l’opportunité car Leona l’attrapa par les cheveux et la tira avec elle jusque dans les toilettes des filles. Sa tortionnaire lui déclara qu’elle serait à présent sa prostituée et qu’elle devrait lui rapporter de l’argent en se faisant prendre par toutes les personnes qui en auraient envie. Pauline répondit à sa maîtresse sans  croire à ce qu’elle disait. Les cachets avaient vraiment fait d’elle une chienne en chaleur bien docile…

– Je serai heureuse de vous apporter de l’argent maîtresse. Je ferai de mon mieux pour vous satisfaire et ce même si mon corps n’est pas très attirant et ne vaut pas une belle somme, avoua Pauline en baissant les yeux.

Line espérait surtout se faire prendre par de nombreux lycéens, et trouvait presque que l’idée de sa maîtresse était un merveilleux cadeau. Mais elle changea rapidement d’avis en voyant Juliette, Marie et Inès entrer dans les toilettes. C’était des pisseuses qui adoraient faire circuler des ragots dégueulasse sur les personnes qu’elles n’aimaient pas, et elles étaient loin d’aimer Pauline. Cependant la jeune fille voulait satisfaire sa maîtresse pour que cette dernière continue de lui donner des cachets et qui sait, si elle était sage, elle aurait peut-être droit à plein de lycéen ce soir.

– Regardez les filles ! Pauline fait vraiment la pute ! s’exclama Marie avant de rire.
– Je savais que c’était une pute, je ne suis pas étonnée. Et si on s’amusait un peu ? questionna Inès tout en sortant son téléphone de la poche. On va la filmer pendant qu’elle fait des trucs dégueulasses ! Très bien retire ta culotte !
– Non, je ne peux pas. Leona ne veut pas que je la retire avant ce soir, bredouilla Pauline.
– Tu n’as pas l’air de comprendre, on paie pour faire ce qu’on veut de toi ! Leona a été claire, il vaut juste éviter de te faire trop mal. Alors retire ta culotte ou ta maîtresse ne sera pas contente !

Pauline gémit mais finit par accepter et retire sa culotte, déversant des flots de cyprine qui se répandent sur ses jambes et sur le sol carrelé. Inès avait filmé toute la scène avec délectation puis fit un gros plan sur le visage de la prostituée.

– Ben dis donc ! Tu as mouillé comme une vraie salope ! Mais quelqu’un risque de tomber et se casser le cou. Met toi à quatre pattes et lèche la flaque de cyprine ! Et toi Inès filme bien, qu’on voit que c’est Pauline qui lèche, déclara Marie avec un sourire vicieux.

La jeune fille se mit à quatre pattes et commença à lécher sa cyprine comme une petite chienne et mit un bon quart d’heure pour tout lécher. Les filles regardaient en riant et en la filmant. Quand elle avait enfin fini, elles la forcèrent à s’asseoir sur les toilettes dans une cabine et elle dû faire pipi devant elles. Pauline détourna les yeux pour qu’elle ne soit pas filmée en train de faire ses besoins mais Juliette la gifla et lui ordonna de fixer la caméra et de faire ce qu’elles avaient demandé. Line écarta légèrement les cuisses et urina tout en regardant la caméra. C’était humiliant mais elle devait faire tout ce qu’on lui demandait. Au moins les pestes ne désiraient que l’humilier et ne semblaient pas intéressées par les tortures physiques. La lycéenne finit par embrasser et lécher la cuvette des toilettes pour satisfaire un dernier caprice écœurant du trio et remercia intérieurement les femmes de ménage qui nettoyaient tous les soirs les toilettes. Les trois salopes quittèrent finalement la pièce et donnèrent 3000 yens à Leona. La prostituée quant à elle préféra attendre que sa maîtresse vienne la rejoindre pour lui donner de nouveaux ordres, et se contenta de remettre sa culotte en latex encore trempée.

Leona

Humain(e)

Re : Un secret qu'il vaudrait mieux garder [ Pauline Catalino ]

Réponse 44 dimanche 02 octobre 2016, 16:09:28

Les 3 garces semblaient bien satisfaites de leur coups et je recomptais la monnaie non sans un sourire... j'avais trouvé la vraie poule aux oeuf d'or et bien que Pauline était assez mignonne pour augmenter le prix la somme très basse attirait facilement les clients et les étudiants qui n'avaient qu'un peu d'argent de poche. 1000 yens pour faire ce qu'ont voulait d'une charmante jeune fille... c'était quoi après tout ? Pas grand chose...

Mais alors que je comptais laisser sa pause déjeuner à ma petite vache à fric un surveillant vint à moi avec un regard hautain. Oh mince... un élève avait du parler de ma combine, encore un lèche botte qui voulait bien se faire voir du corps enseignant. Mais je ne me démontais pas et croisais les bras en soutenant le regard, bloquant toujours la porte des toilettes. Quel fut la surprise quand l'homme d'une vingtaines d'années, costaud, cheveux bruns rasés, et barbes bien taillée tendit une liasse de billet... exactement 1000 yens. Bon ok, Pauline aurait du se reposer mais je jouais avec le feu si je refusais ce service à un surveillant...

Jn'en ai pas pour longtemps, j'veux juste salir un peu sa bouche en m'vidant

Sa façon de rouler les mots me faisait presque marrer, je dut me retenir pour ne pas me moquer de l'homme à la carrure impressionnante... Lui, il n'était pas japonnais !

Bon ok... je vais la préparer, mais juste 30 minute elle doit prendre son repas après.

Ah ah pas b'soin qu'tu t'inquiète ! j'vais lui donner son repas moi !!

Poussant la porte pour voir l'état de Pauline, je prends ses poignets et je les attache au robinet du lavabo, Lui donnant un autre de mes 6 cachets, faisant descendre ma réserve à 5. Pour être sure qu'elle l'avale, je lui fait boire quelques gorgées d'eau tout en vérifiant sa culotte d'un grand coups de bâton dans son intimité. Ca giclait beaucoup moins... elle avait retirer sa culotte, mais ça avait du être l'ordre des 3 pestes. J'aurais aussi du leurs préciser de pas retirer sa culotte.

Ce n'était pas prévu mais tu as un autre client, un surveillant qui a l'air d'avoir un tas d'idée tordu en tête cette fois-ci... alors ne fais pas de vagues et fait tout ce qu'il te dit même si tu n'aime pas.

Sortant, je laisse la place au jeune homme qui se met vulgairement nu devant moi en baissant sa braguette avec un sourire. Gros pervers dégoutant... je su tout de suite ce qu'il allait faire quand il parlait de lui donner son repas, et le doute n'était plus permis lorsqu je le vit saisir un bâillon à anneau avant de sortir. Une forme de bâillon bien pratique avec un anneau qui allait directement se caler entre les lèvres pour maintenir la bouche ouverte dans un grand O... Elle devrait avaler tout ce qu'ont lui donner sans possibilité de refus.

Ah ah ! p'tain j'ai envie d'faire ça depuis que j'tai vu dans cette tenue d'salope ce matin ! t'as beau être une élève tu m'fou vraiment la trique habillé comme ça ! une vraie catin !

Sans plus de cérémonie les cheveux de Pauline sont saisit avec une poigne à en faire hurler de douleur, annonçant le mental de l'homme musclé qui n'irait pas faire dans la finesse. D'ailleurs, sa grosse verge un peu trop épaisse pour le petit cou de Pauline s'enfonça d'un coups violent, percutant le fond de sa gorge dans de longues pénétration à en faire tousser la brunette. A chaque percée, sa bite chaude et suante déformait ce cou gracieux en dessinant une grosse bosse. La pauvre Pauline devait ressentir une douleur indescriptible en se faisant violer ainsi sa bouche, et elle qui n'aimait pas étouffé pour me l'avoir reprochée était gratifié d'une gorge profonde qui ne laissait que peu de temps morts pour respirer un peu d'air. L'homme lui semblait aimer ça et la regardait dans les yeux pendant son désarroi, lui donnant des coups de genoux dans l'abdomen à chaque fois qu'elle essayait de fermer les yeux pour ne pas le regarder...

Ahhhhhhhhhh, Houuuuuuuuuuuuuu, c'si étroit !!! tiens toi prête à r'cevoir ton gouter !!!

Ce malotru lui enfonça totalement la verge sans retrait en ne faisant même pas attention aux haut le coeur de la brunette, il s'était ancrée si profond qu'ont devinait facilement à l'oeuil nue les sursauts de la verge dans la gorge, qui palpitaient alors que les bourses étaient collés sur le menton de Pauline, lui offrant cette odeur virile et bestiale. Il ne fallut que quelque seconde pour que le fond de sa gorge ne se noie dans de grosses goulées chaudes et épaisses... Voila donc ou il avait voulu en venir par lui donner son repas...

Le problème, c'est qu'il y en avait tant qu'elle ne pouvait simplement pas tout avaler, ses joues rouges montraient déjà clairement ses difficultés à retenir sa respiration avec ce mandrin coincé dans la gorge. La semence qu'elle ne put avalé devait bien aller quelques part et ne put que remonter pour jaillir des narines de Pauline, lui faisant boire la tasse avec la semence. Quant il se retira enfin, il n'attendit pas des heures avant de finir son travail en profitant du bâillon à anneau pour uriner dans son gosier... soit disant pour laver la semence qui était restée dans la bouche alors qu'il l'utilisait juste comme urinoir, sans en soucier d'en mettre à côté, sur son jolie visage.

Hé c'est terminé, on avait dit juste un quart d'heure pour qu'elle se repose... c'est fini depuis 5 minutes là. Si tu veux t'amuser repasse ce soir avec de l'argent

C'va on s'en fiche de son état non ! jte paye 2000 yens ! ouai 2000 juste pour encore 30 minute stu veux !

Je te laisserais pas bousiller ce qui m'appartiens... on avait dit 15 minutes, va t'en avant que je dise aux autres enseignant quels sont tes petits penchants dégoutant !

Bien qu'ont aurait pu croire que ce n'était vraiment qu'une question de business, c'était un instinct de protection envers Pauline que j'affichais clairement. Il l'avait mise à bout et j'avais décidé que ça suffisait ainsi pour le moment. Alors une fois qu'il avait fini son petit besoin je détachais la brune en prenant sa tête contre ma poitrine, caressant ses cheveux malgré la forte odeur d'urine présente sur elle...

Tu va te reposer un peu dans ma chambre maintenant.


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