Ijime [Anaëlle Debu]

Il y a des gens comme ça, des gens sans aucun désir sexuel. Ce n'est pas par pudeur ou par ignorance, ils sont fait ainsi, même la vision de leur idéal ne leur fait aucun effet. Pour ce qui est du cas d'Anaëlle, elle n'avait encore jamais eu d'envie mais était-ce parce qu'elle était insensible ou simplement indifférente, même elle ne doit pas avoir la réponse. Il fallait avouer qu'elle n'était pas vraiment quelqu'un de désirable malgré son très joli visage.

Elle n'avait aucune expérience alors elle se laissait faire, Pamela lui avait dit qu'elle ne lui ferait pas de mal alors elle n'avait plus peur et puis ce serait sans doute appréciable.

Anaëlle rosit lorsque sa prof vint l'embrasser et elle apprécia le goût de ses lèvres et elle ne pu s'empêcher de se lécher les lèvres quand ce fût fini. Et elle hocha la tête pour dire que ça lui avait plu. Elle sourit doucement :

"Je veux bien que vous fassiez ce que vous vouliez faire avec ces tentacules. Mais je ne sais pas quoi faire en même temps."

Ivy sentit enfin quelque chose perler quand elle embrassa Anaëlle. Elle s’était en effet presque demandée si la jeune femme n’était pas frigide. Pamela n’avait encore jamais rencontré de personnes qui le soient, et elle fut donc rassurée en constatant que le désir existait aussi dans le corps de cette jeune femme enveloppée. Elle avait tout simplement dû le refouler, tant et si bien que même les phéromones d’Ivy n’avaient pas permis de le faire éclore dès le début. Ce baiser, néanmoins, provoqua quelques couleurs sur le visage rond d’Anaëlle, qui se pourlécha ensuite les lèvres. Le geste ne manqua pas de faire sourire Ivy, qui s’en mordilla les siennes brièvement.

« Tu aimes les baisers, hein ? Tu as raison, mes lèvres sont très agréables... »

Elle était aussi en droit de se demander si ce baiser n’était pas le premier que la jeune femme n’ait jamais reçue. Néanmoins, elle l’avait bien aimé, et précisa qu’elle était d’accord pour jouer avec elle, mais qu’elle ne savait pas quoi faire. Pamela acquiesça alors en hochant la tête, et se déplaça un peu.

« Tu es vierge, n’est-ce pas ? Alors, rassure-toi, tu n’as rien à faire, ou presque... Mes tentacules se et moi-même, on se chargera de tout. Tout ce que tu as à faire, c’est de subir, et de te laisser aller. Apprécie ce moment, Anaëlle, car je te l’offre. »

Pamela n’allait pas se mentir ; Anaëlle était loin d’être un premier prix de beauté. Elle avait certes un très joli visage, mais il était difficile de faire abstraction sur tous ces kilos et sur toute cette graisse. Cependant, la beauté était un concept assez superficiel pour des tentacules, et tout ces kilos en trop allaient probablement offrir à la femme un plaisir intense. Pamela se rapprocha donc à nouveau de ses jambes, qui s’étaient écartées sous l’effet des tentacules, et posa ses mains sur les cuisses de la femme.

Le tentacule phallique se déplaça alors, se rapprochant du visage de la femme.

« Ne t’inquiète pas, nos tentacules ne sont pas des amants surexcités, ils peuvent attendre... Commence tranquillement, Anaëlle. Embrasse ce sexe, familiarise-toi avec. C’est la première fois que tu vois un phallus d’aussi près, alors, profite-en... »

Pour l’aider, l’un des tentacules desserra sa prise à hauteur de l’une de ses mains, permettant ainsi à Anaëlle de le masturber si elle en avait envie, ou, en tout cas, de le toucher, afin de mieux le sentir, et de se l’approprier.

C'était en effet la première fois qu'elle se retrouvait dans ce genre de situation, elle n'avait jamais eu d'amoureux ni d'amoureuse. Elle était donc totalement novice, ne sachant pas trop quoi faire, elle attendait donc que Pamela la guide un peu pour savoir quoi faire. Cette dernière se rapprocha et fit se mouvoir ses tentacules devant son visage et ses mains en lui disant de se familiariser.

Elle tremblait un peu avant de se décider de caresser le tentacule qui était à portée de main. Elle pressait doucement le gland contre son index avec son pouce avant de le prendre à pleine main et commencer un petit mouvement de pompe. C'était sans doute ce qu'elle devait faire.

Pour celui qui se trouvait au niveau de son visage, elle approcha doucement sa bouche et y déposa un bisou avant de lui donner de petit coup de langue comme s'il s'agissait d'une glace. Le tentacule était certe long mais très fin alors elle voulait innocemment savoir jusqu'où elle pouvait le faire descendre si elle le prenait en bouche. Elle posa donc doucement ses lèvres dessus avant d'avancer et l'envelopper dans sa bouche. Elle avançait lentement et commença son petit jeu consistant à le prendre le plus loin possible dans sa gorge.

L’initiation sexuelle de la belle Anaëlle pouvait commencer. Le tentacule remuait lentement près d’elle, et elle en caressa un, tout en approchant ses lèvres d’un autre. Sans rien dire, toute concentrée à sa tâche, Anaëlle embrassa ce long tentacule. Bien évidemment, la texture n’était pas la même que la peau humaine, mais, malgré tout, cette peau était douce et tendre, très agréable à embrasser et à lécher. Ivy ne comptait pas aller plus loin pour l’heure, mais, visiblement, elle avait sous-estimé l’appétit sexuel de la jeune femme, qui était doucement en train de le prendre en bouche.

« Oh, mais tu es impatiente, ma chérie... »

Pamela caressait les cuisses de la femme avec ses mains, glissant sur ses plis de graisse, pinçant ses bourrelets, pour le plaisir de le faire. Elle sentit Anaëlle tenter d’avaler ce tentacule, en allant aussi loin que possible, et, quand le bout du tentacule heurta sa glotte, il y eut un inévitable mouvement de haut-le-cœur. Le tentacule se retira alors, laissant le temps à Anaëlle de pousser quelques éternuements, puis sa senseï ne manqua pas de lui sourire.

« Je te l’avoue, je ne pensais pas que tu serais aussi gourmande... Mais prends ton temps, c’est la première fois que tu goûtes à un chibre, il faut savourer ce moment. »

D’ores et déjà, le tentacule se rapprochait de nouveau de la jeune femme, titillant le bout de son nez.

« Mais, avant que tu ne retournes jouer avec, dis-moi... Est-ce que tu aimes ça ? Est-ce que... Est-ce que ça te plaît, Anaëlle ? »

Elle ne pouvait pas encore dire si elle aimait ou pas, c'était juste bizarre comme sensation. Elle avait l'impression de sucer un beignet de calamar sans sa panure, na n'avait pas vraiment bon goût ni mauvais. Mais elle quand même faire de son mieux et voir si ça devenait meilleur en continuant. Elle prenait donc le plus possible du tentacule dans la bouche mais le fit entrer trop loin et le retira en ayant envie de vomir.

Elle haussa les épaules quand Pamela lui dit qu'il fallait savourer et lui demanda si ça lui plaisait :

"Je ne sais pas, c'est ni bon ni mauvais. C'est bizarre comme sensation. Vous pouvez peut-être m'aider pour que j'aime vraiment ça ?

Elle continuait cependant de caresser les tentacules qu'elle avait en main, les masturbant à vitesse moyenne. Pour le moment elle préférait cela.

C’était une initiation sexuelle, et, comme toute initiation, il était important de ne pas brûler les étapes. C’était la tâche à laquelle Pamela s’activait en ce moment. Elle avait offert à Anaëlle sa première fellation, qui en resta assez dubitative, préférant visiblement, pour l’heure, caresser les tentacules que les sucer. Une telle chose n’était pas, en soi, si surprenante que ça. Une fellation effrayait toujours, au début. Outre le caractère assez dégoûtant de l’acte, c’était aussi assez difficile, car on pouvait facilement étouffer, ou vomir, en provoquant des sentiments de haut-le-cœur. Ivy hocha donc la tête, ses mains continuant à caresser ses épaisses cuisses, et les tentacules remuèrent encore, soulevant le corps d’Anaëlle, la mettant à la verticale, devant elle. Pour mieux la retenir, des tentacules s’étaient davantage crispés sur ses poignets, même si elle avait toujours, dans ses mains, les deux tentacules phalliques qu’elle caressait et empoignait.

Pamela lui souriait tendrement, une lueur perverse dans les yeux, ses mains caressant son estomac, agrippant ses bourrelets, les pinçant, puis un nouveau tentacule alla délicatement s’enrouler autour du cou de la femme. Elle fut alors penchée en avant, et Ivy, remontant ses mains, caressa tendrement les joues de la femme, puis entrouvrit ses lèvres, et l’embrassa à nouveau. Les tentacules commençaient à passer doucement aux choses sérieuses, filant sous ses vêtements, et, pendant que Poison Ivy l’embrassait, un tentacule caressait la culotte d’Anaëlle, frottant l’emplacement de son intimité.

« Hmmmm... »

Sa langue filait dans la bouche d’Anaëlle, répandant ses spores aphrodisiaques, sa main se déplaçant pour appuyer sur sa nuque, l’autre se déplaçant également pour masser l’un des seins de la femme, le pinçant à travers son chemisier.

« Je vais longuement m’occuper de toi, ma chérie... »

Anaëlle ne connaissait absolument rien au sexe, elle savait évidemment comment ça fonctionnait et quelques positions coquines, elle n'était pas non plus totalement ignorante. Ce n'est pas parce qu'elle n'a jamais été interessé par le sexe qu'elle n'a jamais rien regarder sur le sujet même sans en avoir le désir il arrive un moment oú le corps change et que les hormones commence à faire leurs effets.

Elle se laissait donc totalement faire et répondait au baiser de Pamela pour ne pas couiner à cause des tentacules qui la parcouraient. Le baiser était agréable et elle prit même l'initiative de frotter sa langue à la sienne. Elle avait envie d'apprendre même si elle ne remettrai sans doute en pratique avant un moment.

Elle regardait sa professeur pendant qu'elle la caressait :

"Vous pouvez me déshabiller, ça sera sûrement plus simple.

Les lèvres d’Anaëlle s’avéraient être d’une douceur incroyables. Presser ses lèvres sur les siennes était, en conséquence, un spectacle particulièrement délicieux, et Pamela ne pouvait que se délecter de ce goût unique. Elle avait toujours aimé les baisers, et il était bien naturel que, tout en l’embrassant, Ivy commence à jouer avec son corps, à honorer ce dernier par des caresses sensuelles bien précises. Pamela savait y faire, et elle sentait le corps d’Anaëlle répondre très favorablement à ses avances.

*C’est vrai, j’ai eu peur pendant un moment. Après tout, tu aurais pu être une hétérosexuelle convaincue, Anaëlle, mais je le sens, maintenant... Le désir qui pulse en toi, et vibre dans ton corps...*

Elle en était maintenant imbibée, et Pamela sourit à nouveau quand Anaëlle alla jusqu’à lui demander de la déshabiller, indiquant que ce serait plus facile. Pamela, en rompant le baiser, hocha lentement la tête, son nez frottant celui de la femme.

« Oui, ne t’en fais pas pour ça, Anaëlle... »

Pamela l’embrassa ensuite sur les joues, sentant sa bouche s’enfoncer contre la chair, tandis que ses mains déboutonnaient habilement et rapidement son chemisier. D’autres tentacules tirèrent ensuite sur le vêtement, le retirant rapidement, le balançant au sol. Anaëlle se dressait ainsi devant elle, avec tous ses bourrelets, et avec son énorme poitrine, conséquence de ce surplus graisseux considérable qu’elle traînait avec elle.

Le soutien-gorge suivit le même chemin que le reste, Pamela le lui retirant. La professeur fit ensuite s’approcher deux tentacules un peu spéciaux. Ils n’étaient pas phalliques, mais se composaient d’une épaisse bouche aux grosses lèvres. Ils se rapprochèrent de ses seins, et s’ouvrirent alors, libérant de petits tentacules, prenant la forme de langues rosacées, qui vinrent lécher les tétons, s’entortillant dessus... Puis les tentacules se posèrent sur les seins, en engloutissant une bonne partie.

« Tu as des seins gros, ça devrait être particulièrement agréable pour toi... »

Les tentacules tiraient sur les seins, les écartant, s’attaquant aux tétons avec leurs langues multiples, mais aussi, en réalité, à toute la surface qui était engloutie par les tentacules.

« Vas-y, laisse-toi aller... »

Elle ne s'était jamais préparer à cela, elle n'était pas ignorante sur le sujet mais n'avait jamais rien essayer même pas de se l'imaginer. Il fallait bien avouer que perdre sa virginité avec des plantes tentaculaires dirigées par sa professeur n'était pas quelque chose que l'on prévoyait même pour les plus rêveurs. Anaëlle se laissait donc totalement faire, ne bougeant que très rarement. Elle gémit un peu lorsque son corps fut libéré de sa prison de tissu.

Son énorme poitrine  était en proie à d'intenses palpitations de plaisir avec ses tentacules qui la léchait et la tirait. Elle fermait les yeux pour profiter de ce qu'elle subissait. C'était étrangement plaisant et elle gemissait lorsque ses tétons se faisaient lécher et tirer.

Elle commençait à avoir de plus en plus chaud. Elle lâchait les tentacules qu'elle caressait depuis un moment et força un peu sur celles qui retenaient ses poignets pour pouvoir aller jouer avec sa lourde poitrine. Elle se malaxait les seins et s'occupait de la partie, encore très large qui n'était pas utiliser par les tentacules. Elle avait de plus en  envie d'aller plus loin.

Qui mieux que Pamela Lilian Isley pour perdre sa virginité ? L’Empoisonneuse avait toujours su enflammer les désirs, égayer les sens, stimuler les corps. Elle était ainsi, une femme de désir, une intense pulsation de vie et de plaisir. Avec elle, il fallait avoir la force de caractère d’un Batman pour lui résister. Pour les autres, on succombait délicieusement à ses fantasmes, et on se laissait porter. Anaëlle avait droit à sa précieuse récompense, un cadeau assurément inattendu pour elle, profondément atypique, mais qui, pour autant, collait très bien à l’atmosphère surnaturelle et fantasmagorique du lycée.

Les tentacules d’Ivy pompaient donc les seins de son élève, la traitant, et elle sentait l’impatience de la jeune femme croître, au fur et à mesure que son corps s’adaptait à toutes ces vagues de plaisir qu’elle percevait. Malgré sa masse et son poids, elle n’était qu’une plume aux yeux des tentacules de Pamela, qui la soulevaient sans trop de problèmes. Anaëlle indiqua clairement en vouloir plus quand ses mains allèrent tirer sur ses propres seins, comme pour accompagner les mouvements que les tentacules faisaient, de multiples langues rosâtres s’attaquant à ses tétons.

« Ne t’inquiète pas, Anaëlle, ceci n’est qu’un début... »

Ivy continuait à l’accompagner, avec sa voix mélodieuse, profondément sensuelle. Les tentacules hissèrent le corps d’Anäelle, tout en écartant ses jambes, amenant ainsi le bassin de la femme à hauteur du visage de Pamela. Cette dernière, sans guère attendre davantage, s’en rapprocha, et posa ses mains le long de ses cuisses, ses pouces glissant sur ses lèvres intimes. Trahissant l’inexpérience de son élève, une toison de poils l’accueillit, et elle en sourit.

« Il faudra que je t’apprenne à t’épiler, aussi... »

Pour l’heure, Ivy avait néanmoins une autre cible. Ses doigts caressaient ses poils pubiens, et elle approcha encore son visage, soufflant sur son sexe, apercevant ses lèvres intimes, une délicate fissure rosâtre se découpant au milieu de la forêt brune, et approcha sa langue, son visage venant se coller contre le corps d’Anaëlle. Son nez s’enfonça contre ses poils, et sa langue partit à l’assaut, se heurtant à la forêt de poils d’Anaëlle, les léchant, tout en forçant le passage.

Il était temps pour Anaëlle de découvrir les joies intenses et profondes que le sexe pouvait procurer...