Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une nouvelle recrue dans la team Bowmore ! [PV Isiel Ducaiin & James Bowmore]

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Machin

Dieu

Une brume épaisse planait sur la ville, plongée dans une chaude nuit d’été. Cette brume n’était pas là pour attester du mauvais temps. Ni pour transformer chaque passant en aveugle, ni pour embêter les paysagistes. En réalité, il planait sur la ville une heure noire, noire pour un des êtres que cette terre à enfantée mais, s’étant émancipé de ses origines, il s’en alla. Cet homme poursuivis son but tout le long de son parcours dans l’immortalité. Gardien d’un pouvoir dépassant l’entendement, il fit trembler les hautes sociétés divines et rien ni personne n’arriva à mettre fin à sa vie. Les dieux souhaitaient la stabilité, supprimant les être démoniaque, porteur de malheur et de destruction. Seulement le combat du bien contre le mal est futile pour l’homme dont je vous parle. Toute chose en excès est une erreur. Pour savoir différencier le bien du mal, il faut garder l’équilibre des forces. Ainsi tourne les mondes que les dieux ont façonnés et qu’ils tentent de changer. Un peintre ratant son œuvre n’a pas d’espoir de la faire changer, la peinture est déjà sur la toile et bien qu’imparfaite, il faut faire le choix entre l’accepter ou la brûler. Mais il est trop tard pour brûler les mondes. Dans la guerre qui opposa cet homme, que l’on appelle « Fils d’Odin ». Si c’est à Thor que vous pensez, passer votre chemin. Il s’agit là d’un simple bâtard, un demi-dieu insolent, qui obtint la réputation d’immortel. La mort elle-même respire à chacune de ses respirations et marche sur ses pas, son âme endormie étant liée à la sienne … A jamais. Mais si cet être ne peut être tué alors il faut tout de même s’en débarrasser. Un stratagème. Il fut mûrement réfléchi, par un groupe de divinités majeures. Et quand il atteignit le rejeton inassumé d’Odin père de toute chose, son pouvoir fut drainé. L’obsidienne est un outil redoutable, surtout allié à cette malédiction, et quand on lui apposa cette fatale combinaison, Luce Ighaharim Felykraemoth, le dévoreur de dieu, l’élevé, le tout puissant, fut dans l’obligation d’avoir recours à une très vieille habitude qu’il avait depuis longtemps oubliée : la fuite … Mais l’histoire du retour à la source de cette entité légendaire doit être racontée par lui. Ses mots … C’est lui qui les a vécus.

   Les rues animées de Seikusu sont un lieu de rencontre la nuit, comme un lieu de passage. Les gens y affluaient pour sortir alors que le ciel pas encore tout à fait noir surplombait les gratte-ciel. Les ruelles étaient pleines de jeunes qui prenaient l’air, hors des boîtes de nuit, une cigarette entre les doigts. C’est dans une ruelle plus calme, aux murs sales et au sol jonché de détritus, ou un groupe de couple discutait que c’est arrivé. D’abord un fort vent se leva … Puis des flammes … Un symbole japonais apparut un peu au-dessus du sol. Un symbole de feu. Puis d’autre qui formèrent un cercle. Il était écris en traduction mot à mot : « FISSURE» - « PASSAGE » - « MUR » - « MONDE ». Ils reculèrent effrayé par ces apparitions puis les symboles se mirent à tourner furieusement jusqu’à ce que le tourbillon recrache un homme en armure … Moi ! En gros c’est moi cet homme. Mon long manteau de cuir était partiellement déchiré … Et, tout fumant d’une énergie rougeâtre je me redressais en haletant. Soudain mes gantelets éclatèrent en morceaux qui disparurent d’eux même … Ma manche était déchirée jusqu’à l’épaule et un long filet de sang coulait dans la morphologie musculaire de mon bras. « Du sang … C’est nouveau … » dis-je en soupirant. C’était fini ? J’avais réussi à fuir ? Poussant un soupir je fis quelque pas hors de la ruelle. Les gens me regardait passer avec effrois ou curiosité, tel les mortels savent le faire … Rien ne leurs échappe si ce n’est l’existence concrète de leurs créateurs, et la boîte mobile d’un individu excentrique … Mes bottes avaient disparue elle aussi … Je marchais pied nu en ricanant. Et ils pensaient m’avoir avec cette malédiction ridicule ! Quelle bande de branleur … Je vais juste devoir retirez cette fichue malédicti … pensais-je coupé par la découverte d’un brassard d’obsidienne placé un peu en dessous de mon épaules. Me grattant le torse j’eus un haussement d’épaules et l’empoigna dans le but de l’arracher. Et mon calvaire débuta ici.

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A la seconde où j’ai touché  ce brassard il entama une rotation paresseuse alors que quatre trous se formèrent à la surface de la chose, chaque ouverture en ayant une autre en face de lui. Puis des sorte d’épines d’obsidienne se matérialisèrent et l’objet cessa de tourner … Je n’arrivais plus à bouger, même lorsque au milieu de la route une voiture manqua de me renverser … Même quand les mortels furieux d’avoir un ahuri au milieu de la route hurlait leurs mécontentement … Et même quand ces épines s’enfoncèrent dans mon bras … Hurlant de douleurs, je bondis dans les cieux, enfin libre de mes mouvements pour m’enfuir du centre-ville. J’étais arrivé dans un quartier plutôt riche, mais je m’en fichais. Je marchais en titubant alors que mon pouvoir était drainé. Des grognements rauques s’échappaient de mes lèvres. La faiblesse m’empara alors que je m’écroulais dans un tas d’ordures. Mes vêtements se transformèrent en haillons et, apeuré, je pris Pongol contre moi. La pauvre chose venait d’emmagasiner une quantité colossale d’énergie et restait fermée sous sa forme de masque. J’entendais encore sa voix, ses grognements … ( Oui la dracoliche géante parle ! Attend deux seconde … Je sais que t’es mon joueur mais d’où tu te permet de venir ici en RP ?! Casse tôa tu va gâcher la scène triste ! … Ok, ok pas la peine de gueuler …) Elle me rassurait … Je crois j’ai du mal à l’entendre. Je l’entends de moins en moins … Dans ma panique je ne vis mes bras devenu fluet, je ne vis pas non plus les mèche rousse-blonde qui me tombaient sur le visage … Mon pouvoir était drainé … Mon enveloppe charnelle était passée en « mode de survie » en restreignant mes capacité physique pour compenser. Je me vis dans une flaque d’eau : Mon visage était adorable, quoique plein de poussière et de crasse et strié de larmes. Les haillons larges cachaient les zones sensibles, malgré la taille de la poitrine que je venais d’obtenir. La voix de Pongol se tu … En fait, c’était moi qui n’étais plus capable de l’entendre. Le bracelet explosa laissant une unique épine encore planté dans mon épaule, laissant mes petits nerfs céder à la panique. Me recroquevillant en adoptant la position fœtale, j’éclatai en sanglot en me tenant les jambes, dans la nuit d’été … Les bruit de la ville me venait assourdit, je saignais de l’épaule  … Et en tenant ce masque blanc contre mon cœur, je vis la véritable peur pour la première fois … Être seule et isolée … Blessée … Apeurée … Mes haillons ocre était tinté du rouge de mon sang, alors que mes cheveux, trempé de sueurs, côtoyait la saleté du sol. Abandonnée au désespoir, mes paupières se fermèrent, laissant les larmes couler alors que dans des murmures coupés de sanglots mes appels au secours étaient perdus dans le vague …

Isiel Ducaiin

Créature

Ce soir-là, j'étais en vadrouille depuis plusieurs semaines j'avais découvert les joies de la vie nocturnes. Je sortais d'un bar boite après avoir dansée et ris. Je ne savais pas encore ce que cette nuit là allait être la découverte d'une pauvre âme perdue. Je marchais en explorant le moindre recoins de cette ville n'ayant pas une seule peur de faire de moindre mauvaise rencontre. Car je me savais plus forte que ses frêles humains ... en pensant à cela s'était cette décharge d'énergie que j'avais sentie une heure avant. Cela m'avait fait frissonner puis cela avait disparue rapidement, je soupirais en me dirigeant vers le dernier endroit que je l'avais senti.

En suivant la piste du départ ... je tombais sur une sorte de symbole sur le sol et des résidus de pouvoir. Je continuais la piste alors, en traversant la rue en plein milieu, il avait encore des traces de voitures s'étant emboutie pour esquiver quelque chose ou quelqu'un ... cela me conduisit dans une petite ruelle ou des bruits étranges en provenait. Je sentais la présence de trois hommes et une personne qui dégageait de la magie ou du pouvoir, mais très faiblement.

En avançant j'entendais clairement les humains rigolaient entre eux tendis que je voyais la jeune femme criée faiblement et pleurée tripoter puis caresser par deux des hommes tandis le troisième filmait. En première vue cela ne ressemblait pas à batifolage, mais à un ... viol. Le sang me montait et la rage aussi, comment des pauvres mortelle pouvaient touchait ainsi un être magique ainsi sans son accord ... de plus l'état de celle-ci.

Je fis le signe de l'ombre qui me fondit dans la noirceur de la ruelle et m'enveloppait d'ombre, seule mes yeux rouges comme deux flammes ... j'avançais d'un pas lourd et je m'approchais sans qu'il me repère alors que je ne me cachais pas plus que cela, pitoyable humains fut ma seule pensée. Au moment que le violeur en chef allait violait la jeune femme tenue par le second au sol. Ma main fusa comme une lame sortis de son fourreau, la jeune femme pouvait me voir derrière celui là. Mais avant que l'homme ne comprenne ce qu'il venait d'arriver. Sa gorge fut en partie arraché et il regardait le sang gicla et je le jetais sur le côté. Je passais le côté en choppant le second par crâne pour l'encastrer dans la poubelle et le bruit se fit ignoble en craquant d'un bruit affreux ... il ne bougeait plus. Le troisième hurlait de peur en me captant maintenant une forme noire ... et il tenta de fuir. Mais je ne laisserait pas fuir ... en faisant une bonne mesure en le faisant flambait qui le fit hurler de douleur en se jetant contre des poubelles. Puis se crie fini par s'arrêter ... l'odeur se fit ignoble.

Je me tournais enfin vers la jeune femme qui se planquait dans des détritus de peur ... je la sentais et son regard posait sur moi. J'annulais les sorts qui me couvraient pour l'approchait. Je lui souriais doucement la soulevant doucement.

-N'ai crainte ... ils ne te toucheront ... plus. Je t'améne où tu seras en sécurité ou personne ne pourra te faire du mal. Tu as ma promesse.

Je sortis de la ruelle en marchant indifférente aux regards des personnes apeurées par moi et la jeune femme. Car ils avaient entendu les cris du dernier homme mourir. Je ne tardais pas à arriver à la maison de James, car je voulais la mettre en sécurité au plus vite. En entrant je le déposais sur le canapé.

-Tu veux manger ou à boire ? Te laver ?

J'attendais sa réponse en voulant lui montrer que je ne voulais pas lui faire le moindre mal. Je gardais même une distance de sécurité pour qu'elle ne sente pas menacée.

James Bowmore

Humain(e)

Journée crevante. Aller au lycée c'est bien mais ça commençait à entraver sérieusement l'enquête de James. Cela étant ce monde parallèle avait de lui même prouvé, sans réellement chercher qu'il y avait de nombreuses choses anormales. Magie, créatures surnaturelles et autres trucs incroyables du même genre. Isiel et Candy résidaient depuis quelques temps au manoir Bowmore. Une elfe noire et une androïde d'une puissance incroyable. James les cachait dans son manoir car il savait que dans un monde humain, elles ne passeraient pas inaperçus et risquerais de finir disséqués dans un labo. Enfin dans le cas de Candy, il était plus probable qu'elle commette un génocide ou deux, valait mieux éviter ça.

James sirotait tranquillement un whisky dans la bibliothèque du manoir, lisant un bon bouquin de science fiction. Isiel était en ville ce soir là, elle avait pris l'habitude de faire preuve de prudence donc de ce côté là, l'irlandais ne s'inquiétait pas trop, elle saurait faire preuve de discrétion, surtout de nuit. Candy elle devait surement être dans sa chambre ou quelques part dans le manoir en train de faire on ne sait quoi. Dans tout les cas l'atmosphère était calme ce qui était plutôt bienvenue après cette journée de lycée particulièrement assommante. Épuisé, James lâcha la lecture de son bouquin pour aller se coucher. Cependant il entendit du mouvement dans en provenance du salon.

"Isiel doit être arrivée... je vais aller lui dire bonne nuit"


Il poussa alors la porte du salon pour apercevoir Isiel face au canapé, s'adressant à quelqu'un manifestement allongé dedans. D’où James était il ne pouvait pas voir de qui il s'agissait, le dossier camouflant la personne dans le canapé mais la voix était féminine. Inclinant légèrement la tête d'un air interrogateur, James s'adressa à Isiel :

"Tu as amenée une amie Isiel? Qui est ce?"

C'était quelque chose de surprenant, car avoir un contact aussi proche avec quelqu'un de ce monde était dangereux, Isiel pouvait se faire repérer en moins de deux en tant que drow. Pourtant elle avait bel et bien amené une inconnue au manoir. James ne se doutait pas encore qu'il s'agissait là d'une créature surnaturelle supplémentaire.

Machin

Dieu

Ces gens … Ces gens m’ont touché … Pas physiquement seulement … Ils ont tenté de me violer ? Alors c’est ça qu’on ressent quand la peur du viol se met en place ? Est-ce … Vraiment ça ? Je ne comprends pas … Est-ce vraiment ça que je faisais ressentir a toutes les personnes que j’ai violenté ? Cela fait des milliards d’années … Que suis-je devenu ? Ai-je réellement été un être si infâme ? Je-je ne comprends pas. Ils vont me violer … Et je mérite ce qu’il m’arrive … J’ai gardé mon pouvoir pour moi tout seul trop longtemps et j’en paie les conséquences … Mes yeux se fermèrent et j’attendis que la sentence s’abatte sur moi … Mais j’entendis des cris … Pas les miens ! Mes yeux s’ouvrirent et je vis une ombre … Immense ! Terrifiante ! Je rampais en pleurant dans un tas d’ordure, alors que l’écharde d’obsidienne trainait sur le sol, remuait dans ma peau. L’ombre se dissipa mais je refusais de regarder, apeurée. Seulement elle me prit dans ses bras. Et j’entendis une voix douce, qui semblait se graver sur moi à chaque syllabe. J’ouvris finalement les yeux pour voir le visage d’une elfe noire … Elle a un joli visage …   

Elle me rassura mais je n’entendis pas, j’étais occupée à la regarder. Elle me transporta dans une grande maison et m’installa dans le canapé, me proposant à manger et à boire. Je n’ouvris pas la bouche malgré le fait que demander les deux me démangeait. J’étais sale et affamée. Mes grands yeux d’un roux doré fixaient la jeune femme. J’ouvris doucement la bouche pour parler d’une voix claire et timide « J-j’ai faim ... » dit-elle, n’ayant rien perdu de son sens de la priorité. Soudain une voix se fit entendre. . Un homme … La petite renarde se cramponna à la drow de peur que les intentions de l’homme soit mauvaise.



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