Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

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Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

You'll terminate what could germinate, If you suffocate the child within your soul. Ephemeraë and Vaas

Might be dangerous
Might be filthy
But to some it just might be
Kinda neat
Safe and sweet
Even cleanly ~

" - Oh, man. What the fuck is wrong there ? "

Ca parle Japonais partout autour de vous. De quoi vous donnez le tournis, si vous ne l'aviez pas déjà. Mais rassurez-vous ! Le mélange drogue plus alcool, accouplé à l'adrénaline de la fuite a eu raison de vous, et vous avez envie de dégueuler depuis déjà une demi-heure. Ca vous prend à la gorge comme un mauvais rhume, et ça parcoure vos entrailles. Heureusement qu'il y a un groupe de cons à vos basques, sinon vous auriez déjà perdu toute fierté dans une poubelle, à cracher votre bile. Mais non. Parce qu'une soirée sans merde, c'est pas amusant ! Il avait fallu que ces connards de Yazukas décident que vous trichiez à la roulette. Comment ? Magie, quoi. Bon, ils avaient raison, ouais. Après une petite fellation sur le croupier et un petit verre offert avec les sous que vous lui aviez dérobé durant la fellation (rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme), il avait été d'accord de tricher pour la soirée en votre faveur, tant que vous l'enculiez le soir-même, à la fin de son service. Pas de soucis, sugar, Eph' a des techniques pour enculer tout à fait elle ... Comme aller te dénoncer. Hé ! Don't look at me like that ! Il faut jouer de tout, sinon c'est vous qu'on baise.

Bref, pour résumer, vous êtes en train de courir dans les rues du Quartier de la Toussaint, le souffle haletant, un point de côté dans les côtes vachement agressif, et des cons qui vous suivaient comme des vieux chiens de garde. Bon Dieu de Bordel de merde. Vous tournez à une Rue, et sentez le canon d'une arme sur votre front. Echec de la mission. Try again. Vous dégainez une lame de votre manteau en cuir et l'enfoncez bien fort dans les parties génitales du Yazukas qui hurlent. Vous tournez l'arme dans les boules de l'homme qui se tord de douleur, de rage et tire. Blam, blam, blam. Trois Yazukas tombent au sol.

" - Thanks, sweety."


En relevant votre arme vous lui crevez un oeil et l'achevez. Game over. Mission accomplished ! Next Level. Difficulty : 10. Derrière vous, ça grouille d'hommes qui promettent de vous éviscérer, de vous enculer (décidément que des homos dans ce coin), de vous arrachez les yeux, de vous les faire bouffer et de finir par vous émasculer en vous pendant par la queue. Quel programme ! De vous donnez du baume au coeur et de l'énergie pour fuir. Un peu de parkour, deux murs escaladés, et une cheville fracassée, la vôtre si le doute était permis, et voilà que la foule derrière vous s'est doucement perdue dans les méandres de la ville et vous ralentissez enfin la cadence au coin d'une rue sombre pour frotter votre cheville. Hur. That hurts as Hell bitches.. Vous vous collez soudainement au mur. Ca grouille encore dans ce coin du quartier... Putain, mais ils vous laisseraient pas crever en paix. Le genre de mecs qui même agonisants viennent vous demander de payer votre dette, avec les intérêts et les compensations. Ces japonais sont pires que les Américains, ils sont butés comme pas possible, avec le diable au corps. Votre compréhension du Japonais est assez bonne mais quand ils commencent à s'énerver entre eux ou contre quelqu'un. Owowow, calm down. On est pas tous ici polyglottes et il vous a fallu les 6 mois d'existence dans ce pays pour maîtriser les voyelles et comprendre leur accent horrible. Cette langue est ridicule, en plus. Genre, sérieusement, qui parle comme ça, hein ? Collée au mur, dans vos pensées et avec la grande impression qu'une connerie se prépare contre vous, vous soupirez quand le groupe de Yazuka passent devant vous sans vous voir. Mm.

" - Hé, connard, lève le nez et regarde moi. Essaie même pas d'attraper une de tes armes ou je t'ouvre en deux. De là... A là." Il pose son sabre, ou un truc qui y ressemble sur votre menton et descend lentement la pointe de l'arme jusqu'à votre intimité. Message imprimé, vous levez les bras de chaque côté de votre corps. Il vous fait signe de vous tournez et vous colle face contre mur, passant ses mains dans les poches de votre pantalon en cuir. "Sacré cul". Yeah, darling... I know. 'Want to taste it ? Question répondue quand il baisse brutalement votre pantalon. Un grognement vous échappe mais vous ne dites rien pour l'instant. Il baisse à peine votre caleçon (pour une fois que vous en portez un, c'était la bonne idée de la journée), et écarte brutalement les deux monts de chairs pour venir s'enfoncer sans attendre entre vos fesses.

" - FUCK YOUR MOTHER, ASSHOLE !" L'insulte vous échappe alors que vous vous cambrez sous la douleur relative de la pénétration. Il aurait pu ... Il s'accroche à vos cheveux pour accentuer ses mouvements. Vous gémissez, le plaisir remplaçant vitesse grand V la douleur. Vous vous laissez faire pour l'instant. Vous auriez déjà pu le foutre à terre et l'égorger, mais vous êtes fatiguée de courir et baiser vous fera du bien. Il essaie de glisser ses doigts sur votre intimité, à la recherche désespérée d'un sexe masculin à masturber. La panique, l'incompréhension. Et il se fait ouvrir la gorge, la queue de l'homme encore ancrée entre vos fesses. Oh, ça l'a bien fait bander, putain. C'est donc vrai que ces asiatiques ont une relation super érotique avec la mort. Alors qu'il est tombé au sol, vous finissez par vous empalez sur son cadavre agonisant, tandis qu'il se tient la gorge des deux mains et que vous esquissez un sourire amusé. " - Don't panick, it'll be worse. Just let you die and come in me before ... " Vous l'achevez pendant un orgasme douloureux de sa part et il crève avec sa queue en vous. Une belle mort, en résumé. Anyway, il faudrait que vous bougiez. Vous allez pas baiser tout le gang non plus, quoi.

C'est une idée intéressante, certes, aguichante aussi, mais vous avez pas exactement le temps ni l'envie pour l'instant. Il serait temps que vous preniez vos cliques et vos claques et que vous disparaissiez de là. " - You're an American, sweet boy ?" Ah bah, fuck. Encore un autre. C'est des générations spontanées, en vrai. Soupir. " - What a man you are. I mean, you killed alone, 5 of my man. And that, with the panick.. Tu m'excuseras, je repasse au Japonais, chéri. Tout seul comme un grand. C'est joli. Un Américain, en plus, ça change des Japonais. Tu pourrais attirer la confiance des gens comme toi, t'en dis quoi ?" Vous ne réagissez pas pour l'instant. Vous comptez faire comme l'autre et le trucider quand il finira de faire son maître des mots avec son anglais approximatif. Mais voilà. Il n'est pas tout seul. En vous retournant, vous voyez six ou sept Yazukas qui attendent derrière lui. En tournant de nouveau de l'autre côté, la rue est infestée. Amazing. Vous vous relevez en remettant et votre sous-vêtement, et votre pantalon. Va falloir prendre une douche en rentrant. Si vous rentrez un jour... Vous haussez vaguement les épaules, en sortant une de vos cigarettes que vous glissez entre vos lippes.

" - Je sais pas de quoi tu parles, l'ami." Votre voix est rauque, votre accent japonais ... Intéressant. Vos yeux passent de l'homme à son arme, de l'arme à l'homme. Fusil à pompes, direct ? Ca va faire mal, ça. Pas envie de tenter l'expérience. Il vous tend son briquet pour que vous allumiez votre cigarette et vous soufflez lentement dans l'air. " Thanks, sweety." Un sourire se dessine sur vos lèvres. Si vous commencez à bien voir l'idée qu'il évoque. Plutôt que de mourir dans d'horribles conditions, il vous propose un marché là. Argent clinquant ou vie sauve, dans tous les cas, le marché est bon. Il reprend la parole en passant sa langue sur ses lèvres.

" - Je cherche un homme comme toi, pour une mission d'infiltration.
- Je ne fais pas d'infiltration. J'suis pas bon pour ça. Je veux bien tuer des gens mais pas m'infiltrer dans un réseau. Je vais pas aimer.
- T'as pas le choix. C'est ça ou je laisse mes hommes venger les leurs.
- Sérieux... C'est quoi encore cette connerie ? Et d'où vous choisissez des inconnus dans la rue ?
- Potentiel.
- Shut the fuck up, man. I'll just give you my potencial powerness in the ass.
- Je comprends l'Anglais, tu sais ?
- Comprends le bien fort.
- Alors ?
- Bah alors quoi ?"
Vous finissez par écraser la clope au sol et tendez votre main pour serrez la sienne. Pacte créé. Il esquisse un sourire en vous tendant une nouvelle cigarette alors que vous l'allumez de nouveau. Ca va encore dégénérer cette connerie. Il vous jette un regard et examine le cadavre de l'homme au sol. Un rire se fait entendre, grave et rauque. C'est le vôtre, alors qu'il remarque enfin le sperme qui a coulé du chibre de l'homme.

" - Je t'expliquerai un jour."


C'est ainsi que vous êtes arrivé ici. Sur les docks. On vous a introduit dans un famille de Yazukas. L'Américain aux moins d'argent, ils vous appellent. Vous êtes là pour infiltrer au mieux le gang adverse, et trouver un truc ... Un truc étrange. Le Rakyat ? Il vous a pas trop expliqué ce que c'était mais vous en avez conclu que c'était de la drogue. Et ça c'est bon. Vous finissez votre dose dans votre avant-bras alors que vous soupirez de plaisir. On vous a dit de ne tuer personne avant les ordres. Vaas sera le premier. L'homme avec lequel on vous envoie travailler. C'est pas que vous allez avoir des remords de tuer un gars qui aurait peut-être confiance en vous, mais c'est chiant d'attendre. C'est surtout dangereux d'attendre. Plus on attend, plus la bête se refroidit. Vous n'aimez pas ça. But, Indeed ... Vous êtes bloquée là, maintenant. Enlevant la ceinture autour de votre bras, vous inspirez longuement, en vous laissant tomber la tête dans un paquet de marchandises. Vous avez fait un tour d'horizon, vous avez un peu vérifié les accès et les issues de secours. Finalement, une nouvelle cigarette se perd dans votre bouche, vous mordillez le filtre, les mains dans les poches. Il vous attend. De loin, vous l'observez. Surveiller des putes, sérieusement. Vous n'avez aucune confiance dans les deux gangs et vous vous demandez encore s'ils vous ont pas déjà vendu. Vous finissez de massacrer votre cigarette et finissez par refermer le bouton de votre chemise. Vous ressentez une certaine appréhension. Vous l'avez déjà rencontré, c'est pas ça le problème... Vous le sentez juste pas. Ca bouffe vos entrailles, la peur pitoyable dévore vos intestins et vous finissez par grogner. Vous grattez nerveusement votre gorge avant de soupirer lourdement. Allez, allez. You can do that, Eph'. Don't panick. He can't hurt you. Play it smooth. Vous finissez par prendre un sourire goguenard en hochant légèrement la tête pour lui signifier que vous l'avez vu. Votre majeur joue sur votre pouce, et vous finissez par craquer, et allumez une nouvelle cigarette.

" - Alors, c'est quoi cette histoire ? J'étais bien, le cul dans la fange à surveiller tes putes."
Le ton est vulgaire, et vous vous décalez pour souffler la fumée sur le côté. Vous allez pas l'énerver dès le matin. Ca va faire deux/trois semaines que vous le côtoyez et qu'il vous fout à surveiller des putains de prostituées. Si c'était pour tester votre patience, il a été servit. Deux clients ont pas survécu à vos coups rageurs alors qu'ils essayaient de filer sans payer. Fuck, already dead ? Not even bad ... Vous avez pas encore trouvé ce qu'était la merde qu'on vous a demandé de trouver mais vous y arriverez... En tout cas, s'il vous fait la gentillesse de vous donner une raison de votre rencontre. Etre livrée à vous-même vous donne la liberté de fouiller. Puis de toute façon, vous détestez obéir aux ordres. Un truc en vous déteste ça. Vous attendez tranquillement qu'il prenne la peine de vous répondre. Vous n'êtes pas de nature si docile, mais c'est ça ou finir trucider par un des deux camps. Ils finiront tous profondément fuck in the ass, anyway. On ne se joue pas d'Ephemeraë comme ça.

Votre lèvre inférieure, charnue et gercée tremble un peu de manque. Déjà ? Vous avez envie de boire. L'alcool manque à votre système nerveux et la drogue n'a pas encore fait effet. Ca va aller. Vous fumeriez bien un peu d'opium aussi. Vous avez toujours pas tenté l'expérience depuis que vous êtes au Japon. C'est peut-être chinois, en plus ... Faudrait que vous voyez. Vos yeux se plaque dans ceux de Vaas. Vous ne baisserez pas les yeux devant lui. Vous n'êtes pas un être inférieur à son service, même s'il le pense. Et vous froncez les sourcils. C'est de la fumée, sur les docks ? Ah. Vous saisissez et reculez d'un pas. Putain, pas envie de faire ça. Vous aviez pas signé pour aller trucider des gangs adverses.

" - Tu préfères pas que je surveille les docks, plutôt ? J'suis meilleur avec une arme blanche, really. I mean... " Ca va être suspect. Vous en avez conscience. Vous finissez par soupirer. Ce bordel, c'est même pas clair dans votre cerveau. "As you want, darling." Votre voix s'étouffe. Vous aviez bien raison de pas le sentir. Vous relevez soudainement le nez et un sourire en coin écarte vos lèvres alors que vous écrasez votre cigarette avec les doigts pour la jeter dans l'eau d'une flaque. Ou alors tu me laisses gérer ça à ma manière ? Discrètement, par derrière, là où c'est le plus douloureux et jouissif. Ils s'attendent aux renforts sur le devant, pas à une ou deux personnes qui viennent les tuer par derrière, avec des couteaux et non pas tes armes à feu. Ca, c'est plus amusant. Directement. Ca, tu veux bien, même si c'est toujours un peu compliqué, cette histoire.

La petite vendetta est en train de devenir un gros bordel. Voilà pourquoi vous n'aimez pas l'infiltration ... Une fois rentré dans le jeu, on est obligé de suivre le rôle. Déjà que vous en jouez un pas mal dangereux de rôle, si en plus vous enfilez un masque de sbire pour les Yazukas ...

Vous auriez pas dû tricher à la Roulette.
« Modifié: mardi 29 mars 2016, 13:16:52 par Ephemeraë Mayfly »

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

Réponse 1 mercredi 30 mars 2016, 02:13:26

Le repaire de Vaas, c’était comme une adaptation moderne de Sodome et de Gomorrhe, ces deux cités bibliques qui, en ayant sombré dans la luxure et le stupre, recevaient le courroux divin. C’était un entrepôt situé en amont des docks, près de l’ancienne zone industrielle de Seikusu. Une zone industrielle qui avait connu son âge d’or pendant l’entre-deux-guerres, avant de péricliter, et qui avait définitivement fermé suite à la crise économique des années 1990’s. Jadis, cette zone servait de raffinerie et abritait de multiples usines, des scieries, des ateliers pour les poissons et autres produits issus de la mer. Un endroit charmant, qui était maintenant peuplé de rues sinistres avec des nids-de-poule et des crevasses, des lampadaires clignotants, des terrains vagues et des entrepôts abandonnés remplis de squatteurs, recouverts de tags, et hantés par les toxico’ et les putes. Le port de Seikusu, c’était la plaque tournante du crime organisé de la ville, et on disait même que celui qui contrôlait le port contrôlait la ville… Un peu comme à New York, où le syndicat portuaire, en son temps, contrôlait toute la ville. Et, pour contrôler le port, il fallait contrôler deux choses : la dope, et les putes. Tout le reste, y compris les armes, c’était du menu fretin. Au Japon, y a que ça de vrai : le cul, et la piquouse. Vaas le savait, et c’était pour ça que, quand il avait rejoint les Guramu, il avait été envoyé ici.

Depuis des éons, les Guramu contrôlaient le port. Depuis que Seikusu existait, en fait. À l’époque, le premier Guramu était un gus qui avait eu l’idée d’engager des mercenaires, notamment des ronin, pour former des Yakuzas, au sens traditionnel du terme. Tonton-Guramu était un bakuto, un joueur professionnel itinérant, qui avait mis la main sur le trafic du jeu de hasard à Seikusu, avec ses hommes. Il avait ensuite gagné de l’influence, et avait, dès le début, contrôlé les activités portuaires de la ville, notamment en se prélevant une quote-part sur les fonds issus de la vente de poissons en échange de la protection du stock et du port contre les voleurs.

Maintenant, le port était sous domination Guramu, mais contestée par d’autres clans, et cette opposition se cristallisait autour d’une famille russe qui avait émigré à Seikusu après la Révolution bolchévique : les Petrovski. D’anciens aristocrates proches du Tsar Nicolas II, qui avaient réussi à fuir. Depuis des années, les Petrovski avaient recueilli des réfugiés russes, et étaient retournés à la mère-patrie en 1990. L’éclatement de l’URSS leur avait offert les moyens de pouvoir s’installer à Seikusu. La révolte avait commencé par le refus de payer la protection des Yakuzas dans les quartiers populaires de la ville à forte population russe. Les Petrovski avaient mené des actions symboliques à l’époque : enflammer une laverie avec un Cocktail Molotov, saccager un magasin servant de couverture pour les tripots clandestins yakuzas, s’attaquer aux cargaisons de pachinkos… Les jeux de hasard représentaient une manne importante du revenu yakuza. Un premier conflit avait éclaté, mais, à la même époque, la loi Antigang avait été votée au Parlement japonais, une loi renforçant les pouvoirs de police contre les Yakuzas, et mettant officiellement fin à l’entente cordiale qui avait existé entre Yakuzas et pouvoirs publics pour repousser les communistes. La première guerre s’était terminée, et, entre-temps, d’autres clans yakuzas, voyant l’autorité des Guramu vaciller, en avaient profité pour contester sa légitimité, reprochant aux Guramu de ne plus respecter aucune tradition, contrairement à d’autres clans, comme les Akuma.

Les guerres de familles entre yakuzas, c’était une sorte de microcosme expérimental en géopolitique. Fascinant, selon Vaas. Et lui intervenait donc dans ce bordel, avec pour tâche de protéger les activités portuaires, notamment la prostitution, contre les putes russes. Pour ça, Vaas s’était rapproché de la Duchesse, cette fameuse tueuse en série, et lui refilait régulièrement des putes russes, soit comme cadeau, soit en allant les chasser ensemble. Parfois, il y avait des ratés, et ça tombait sur des putes des Guramu, mais, comme ça, on évitait les soupçons.

Et, donc, son entrepôt était un grand entrepôt situé près du port. Un entrepôt abandonné, en deux étages, avec une grande pièce centrale. Vaas y avait sa chambre, et son gang se composait de cinglés en tout genre : schizophrènes, cannibales, pédophiles… Le gratin du gratin s’y côtoyait. Cependant, il y avait une seule porte qui était inaccessible, comme dans le conte de Barbe-Bleue. Elle se trouvait au-rez-de-chaussée, et menait dans la cave. Pour tous, c’étaient là que Vaas stockait le rakyat, cette drogue indigène venue de Rook Island, et qui expliquait pourquoi l’Oyabun des Guramu, Akihiro Guramu, n’avait pas encore supprimé Vaas. On avait besoin du rakyat, tout simplement.

Quand l’Américain arriva, et qu’il fut présenté à Vaas avec un flingue sur la tempe, l’homme était en train de baiser une pute perso’, une ganguro qu’il avait ramené suite à une descente, Sakura. Traitée comme une Princesse, lavée et tout, Sakura était le sac à foutre de l’entrepôt. Sous les yeux de l’Américain, Vaas avait généreusement joui dans le cul de la salope, puis s’était ensuite tourné vers l’homme.

Le fait qu’il ait joui, et qu’il trouve l’Américain marrant, avait probablement évité à ce dernier de finir avec la cervelle en moins. Néanmoins, pour l’accepter dans son crew, comme disait l’Américain, on l’avait emmené en sortie, afin qu’il tue quelqu’un. Un type, n’importe qui. Une épreuve du sang, le genre de trucs que les mafias adoraient. L’Américain avait été très efficace.

Depuis plusieurs semaines, l’Américain jouait le mac’, intervenant pour protéger les filles, ou pour les baiser un coup, lorsque Vaas lui avait demandé de radiner pour une opération importante.

La cible ? Un immeuble maudit à l’extrémité du port. L’un de ces immeubles construits au siècle dernier, et qui n’avaient jamais été rénovés, si ce n’est aux frais de locataires exsangues. Qui pourrait s’en plaindre ? Quand votre bailleur était un clan yakuza, inutile d’espérer leur délivrer une assignation pour contraindre le bailleur à réparer les lieux, ou d’attendre une visite d’un Inspecteur de santé pour déclarer l’endroit insalubre.

Et c’était là, dans cet immeuble pourri construit à l’Occidental (escaliers à l’intérieur), que se trouvait la cible de Vaas. Une planque russe. Un appartement qui appartenait à la Mafia russe, et que ces derniers utilisaient comme lieu de transit quand ils accueillaient des putes. Le temps de les préparer. Vaas voulait faire du ménage, et, quand l’Américain arriva, ce dernier ronchonna vite… Ce qui amena Vaas à siffler entre ses lèvres.

« Tu sais, gars, chaque jour, je lance une pièce… Une petite pièce d’argent de rien du tout, et, chaque jour, quand je pense à toi, je me dis… ‘‘Hey, Vaas, ‘fais gaffe, parce que si, elle tombe du côté face, tu lui exploses sa gueule de petit merdeux d’arrogant d’Américain, mais, si elle tombe du côté pile, tu te farcis encore sa personne parce que, somme toute, tu trouves que sa bouche est parfaite pour sucer ta queue’’… J’dois admettre que t’as une sacrée chance de cocu jusqu’à présent, mais… Le vent, ça finit par tourner… »

Vaas hocha lentement la tête. Il parlait sur un ton calme, mais on pouvait sentir une certaine nervosité en lui, puis il posa sa main sur le torse de la nouvelle recrue, et le poussa contre la portière de la voiture.

« Alors, écoute-moi bien, petit merdeux d’enculé de fils de pute… Quand j’te dis de t’radiner, tu t’radines. Tu t’poses pas de questions à la con, tu déboules, parce que, okay, c’est moi, le Boss ? T’es d’accord avec ça ? Mais ouais, bien sûr que t’es d’accord avec ça, hein, qu’il est d’accord avec ça ? Tu vois, même les PUTAINS-DE-POUBELLES sont d’accord avec ça ! Alors, tu me CASSES ENCORE UNE FOIS LES OREILLES AVEC TES. PUTAINS. DE. REMARQUES. À. LA. CONS !! Et je t’OUVRE EN DEUX, T’AS COMPRIS, ÇA, SALE CONNARD DE BLANC-BEC DE MERDE ?! Je t’ouvre de là à là, ZAG ! ZAG ! Coupé net ! T’ouvriras moins ta gueule comme ça ! »

Et hop ! Une gifle conclut la démonstration, et envoya l’homme sur le sol. Et, tandis que l’homme reprenait ses forces, Vaas fléchit les genoux, et, comme si de rien n’était, caressa les cheveux de l’homme, puis descendit le long de son dos, pour presser ses fesses.

« Alors, on va suivre ton plan, parce qu’il est cool, et que c’est le matin, et que j’veux pas réveiller les gosses. On est que deux sur ce coup-là. T’vois, c’est pas une mission difficile, vraiment… On entre, on tue les trous-du-cul qui seront là, on pique ce qu’il y a à piquer, on ressort… Facile, rapide, propre, net, comme de rentrer dans ton cul et d’en ressortir. C’est ta chance de faire autre chose que renifler le cul des putes, et de prendre part à la Grande-Odyssée. T’voudrais pas rater ça, hein ? »

Vaas se releva alors, et vérifia le chargeur de son pistolet.

« Okay, on fait le tour… Passe devant, mon pote. »

Sa crise de rage semblait avoir totalement disparu, au profit d’une bonne humeur ambiante.

Travailler avec un patron schizophrène, ça n’était pas toujours une sinécure.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

Re : Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

Réponse 2 mercredi 30 mars 2016, 21:20:40

La pute vous avez marqué. Pas que vous aviez été choqué, il aurait fallu que les entrailles au sol pour que ça vous choque, and even like that, vous étiez sans doute au même niveau de perversité, luxure glauque. Non, ce qui vous avez marqué c'était votre dégout pour les Japonaises. Plus vous les vous fréquentiez, plus elles vous déplaisaient. Pas toutes bien sûr, mais votre préférence pour les putes européennes se développait de plus en plus. I mean, elles sont vulgaires aussi, elles font poupées aussi ... Mais non. Vous n'adhériez pas du tout au style des Asiatiques. Ca commençait d'ailleurs à devenir lourd dans cette ville, même si l'Empire des Yazuka et son trafic d'humains permettait à la city de se ravitailler en belles petites blondes ou rousses aux yeux bleus et verts noisettes. Ca vous avez manqué putain. D'ailleurs, dans votre réputation, vous trainiez le sillon de préférez la chaire européenne. Quand vous aviez droit à une pute, on vous envoyait une belle pin up blonde au lieu des japonaises aux allures de collégiennes. C'était d'ailleurs toujours des moments amusants, quand vous étiez payée en prostituée. Toujours aussi amusant de voir qu'on vous envoyait une putain de canon que vous ne pouviez pas vous taper. Bien sûr vous profitiez, mais c'était seulement dans un sens. C'était même frustrant de toucher de telles femmes, de les gouter, de les sentir jouir sous votre langue curieuse et chaude, de les voir rougir de votre certaine patience et connaissance du corps féminin. " Tu fais des cunnis comme une lesbienne, L'Américain. C'est étrange." Et au final, vous finissiez sur un siège défoncé à la regarder se toucher avec un sourire en coin. Il fallait entendre qu'elle dégage pour pouvoir enfin vous touchez. Votre travestissement n'avait jamais été aussi encombrant. Laissez entrevoir une telle faiblesse, aux Russes ou aux Yazukas ? Never. Tant pis pour votre vie sexuelle réduite à zéro depuis plusieurs semaines et votre frustration montante, l'abus de drogue que cet endroit vous provoquez ... Mais vous étiez tellement dans la merde qu'un faux pas de ce genre pourrait vous valoir votre vie.

Non. Aucune confiance. Etre une femme dans ce monde de brute n'avait rien de positif. Les femmes étaient des putes or they weren't. Elles étaient en train de sucer des queues, ou elles n'avaient pas à donner leur avis. Les seuls femmes avec du pouvoir étaient déjà des Yazukas, ou héritières de familles comme les Russes. Il aurait fallu qu'on vous mette à nue de force pour qu'on entende de votre bouche que vous étiez une femme. Eph' avait disparu en quittant Las Vegas, définitivement. Vous avez décidé qu'ici, dans cette mafia, dans cette luxure, dans l'odeur venimeuse de la perversité, vous n'alliez être plus qu'un homme. La faiblesse de votre sexe a disparu avec votre double féminin totalement émancipé et abandonné aux USA. That's for the best. Parfois vous en doutiez. Mais tant pis. C'était une décision prise, et vous ne comptiez pas revenir dessus. Finalement, dans vos pensées pour le moins inquiétantes, d'ailleurs votre lèvre inférieure tremblait au souvenir des USA, vous finissez par écouter Vaas déblatérer. Vous faire peur ? Il vous inquiétait sans vous effrayer. Il vous en touchait une sans faire balancer l'autre. Ou dans votre cas, il vous presser un sein sans faire pointer le deuxième. Un sourcil haussé, votre clope au bec qui se consume en des volutes de fumée au parfum doré de cannabis, vos yeux perdus dans l'horizon brumeux de ce matin gris, vous l'écoutez, d'une oreille. Un sourire en coin se dessine sur vos lèvres et vous retenez une flopée de réaction. Oh man, vous la suceriez bien cette queue là. Vous étiez en train de réveiller la bête en lui et vous vous laissez pousser contre la portière en fixant vos yeux gris acier dans ceux de l'Indonésien. Vous l'imaginez de ce coin de la terre. Il a une peau bronzée et hâlée qui lui donne un vieil air de surfeur. Le sourire toujours aux lèvres, sachant qu'il va exploser d'une minute à l'autre, d'une seconde à l'autre, vous inspirez un coup et écrasez la cigarette au sol. Autant ne pas la gâcher.

Instable. C'était le mot pour décrire le phénomène. Ce mec était un putain d'instable. Et même vous, vous deviez le reconnaître. Pourtant niveau problèmes mentaux, problèmes d'identité et instabilité, vous étiez plutôt bien placé dans le palmarès. Mais Vaas ? Niveau au dessus. La seule parole que vous fera tiquer, c'est sa supériorité. Votre boss. Il allait le sentir penser, votre boss, quand il crèverait lentement. Juste un coup, et dix longues minutes où le sang semble s'évaporer par une toute petite blessure, sans discontinuer, une fontaine de péchés, un exécutoire de madness. Il y a toujours quelque chose d’enivrant dans la mort. Il y a quelque chose de jouissif dans l'agonie. C'est un péché mignon bien cruel, mais voir quelqu'un succomber à vos blessures en râlant de douleur, ça vous excite as hell. Enfin, là n'était pas le propos et vous vous ramassez au sol. Ca y est, le loup a mordu, il range les crocs. Vous n'avez pas réagit à ses cris. Il vaut mieux laisser l'indifférence le calmer, plutôt que de l'exciter en réponses, grognements, agressivité. Pour avoir tenté deux trois fois l'expérience, c'est la solution la moins emmerdante.

" - Mm. Don't even touch me, Darling." C'est la seule chose que vous avez instauré comme ... "règle." Qu'il ne vous touche pas. Il peut le faire avec qui il veut, sauf avec vous. C'est une mesure de sécurité, pour lui, pour vous, pour votre liberté, votre indépendance. Vous vous mettez des barrières pour ne pas retomber dans votre propre travers, la soumission sexuelle. Alors que vous retirez sa main qui doit encore plus adoré se balader que cela vous énerve, vous finissez par vous relever en essuyant le sang qui coule de votre lèvre supérieure, d'un coup de langue d'abord, dans un délicieux bruit de sucion, avant d'utiliser un mouchoir. Vous vous étirez en arrière, votre dos craque, votre cambrure s'accentue. Un nouveau sourire. Niveau plan foireux, il est doué, mais pour l'infiltration ? Putain ce mec est un batard de rentre dedans. " Il sera vraiment temps que tu m'encules, old man, mon cul revient décidément trop dans ta bouche." Vous allumez une nouvelle cigarette en lui jetant un regard, long et calculateur. Il va vous faire chier avec ses armes à feu, une fois de plus. Décidément, tous des lâches.

Finalement, vous détachez simplement votre veste en cuir pour l'ouvrir sur votre armada personnelle tandis que votre regard se fait plus lointain. Plus froid. In game again, guys. Let the game begins. Vous attrapez son pistolet, en le tournant vers le sol. "Dernier recours, seulement. Je veux pas me faire de nouveaux orifices pour que tu m'baises. T'assomes, tu mords, tu fais ce que tu veux, you bitch, mais tu te sers de ça que si on est coincé. Et ne refais pas une crise, sweety, c'est ça où ils vont préférez mettre feu aux réserves. Don't think I'm that a noobie." Vous êtes presque certaine qu'il ne vous écoutera pas. What a tiring fucking cunt.

La porte s'ouvre sans trop de soucis. Discrets, pas un bruit. Le premier garde est tranquillement égorgé par vos soins et vous prenez le temps de lui voler son arme à feu. Autant en avoir une, l'autre fou derrière vous ne restera sans doute pas calme. Vous mettez la sécurité de l'arme et l'enfoncez dans la poche arrière de votre pantalon. Wait, that feels like a dick. So fucking in need of sexual assaults. Vous mordillez votre lèvre et finissez par faire signe à Vaas de se ramener. Vous montez les étages en vérifiant les portes fermées à clef, que vous bloquez d'une chaise ou d'un quelconque objet permettant de ralentir une sortie. Vous avez l'habitude de ce genre de mission, c'était un peu votre quotidien à Vegas, de bloquer des cons dans une baraque et d'ensuite aller les trucider pièce par pièce, quand le dealeur au coin de la rue commençait à prendre trop d'importance. Enfin, vers le 3ème étage, des bruits de voix en Russe se font entendre. De temps en temps du Japonais et de l'Anglais. Un frisson terrible vous parcourt. Vous reconnaissez sa voix ... Fuck it ... Votre cher Russe est là, avec votre dette dans la tronche et la raison de votre infiltration aussi. Certes, les ordres ont été donné de plus haut et vous êtes certaine que même une fois mort, les Russes continueront de vous donner des ordres, sans soucis. Mais il faudrait pas qu'il laisse échapper un truc à Vaas. Sinon votre cul, votre cervelle et votre chatte sont de la bouille dans les minutes qui suivent. Vous le saviez que c'était la merde, cette idée. Vous réfléchissez rapidement et soufflez, d'une voix encore plus rauque que d'habitude.

" - I can handle that. Tu restes dehors, et tu achèves à la machette ceux qui essaient de sortir. Pas d'armes à feu. Ne rentre pas. Let me do that my way, and it'll be over in ten minutes. Ou moins." Il ne va pas aimer votre ton, ni ce regard sombre que vous lui lancez, mais il a suivit votre plan, qu'il vous laisse décider de la suite des évènements. Ce genre de conneries, c'est votre dada. Ca fera passer la frustration sexuelle. Vous vous levez, ouvrez la porte, et la refermez derrière vous. Les Russes vous braquent avant que le petit big boss lvl secrétaire hoche la tête. " - La pute Américaine." Ah merde, ils sont nombreux. 5 dans cette pièce,  et 4 ou 5 dans une troisième pièce attenante à l'appartement séparée par une sorte de baie vitrée crade. " - Exactly."
" - Comment il nous a trouvé, Viko ?
- Putain bonne question. Comment tu nous a trouvé ?
- L'odeur de connerie ambiante, sans doute."


Ils vous ont en joue de nouveau mais vous levez les bras d'un air tout à fait innocent. Le silence est lourd. La tension monte quand le dénommé Viko à qui vous devez tout ce bordel, se rapproche. Votre coeur s'emballe, l'adrénaline fonce dans vos veines, la drogue fait enfin effet, tout devient rapide, saccadé, brutal, violent, un sourire fend vos lèvres. Les armes à vos hanches sont tirées de leur fourreaux, s'enfoncent dans le torse des deux hommes à côté de vous, les autres n'ont pas le temps de tirer que Viko a le crane transpercé, de part en part. Vous glissez sous la table que vous flip back pour les coups de feu qui s'enchainent. 3 sur la droite, 4 sur la gauche. Merde, vous l'avez mal calculé. Putain ... Vous arrêtez de réfléchir un instant alors que Viko tient votre menton entre deux de ses doigts en enfonçant le canon de son arme dans votre bouche. Vous restez calme, il finit par renoncer à l'intimidation et dégage votre visage au sol. Il se met sur vous, vous plaquant par terre. Vous esquissez un sourire en lui laissant le temps de vous retirez votre blouson rempli d'armes, votre langue se glissant lentement sur vos lèvres. Les armes ne sont plus braquées sur vous. So simple, sweety. Why are you so stupid ?

" - Allez finir de compter les lots. Tout de suite." Décidément, dans le coin, ils ont un problème avec le sexe et l'androgynie. Ils devraient savoir calmer leur pulsions, ça les sauverait. Fuck it, c'est même trop simple, quoi. C'est offert sur un plateau d'argent. Il approche les lèvres des votres, vous attrapez les siennes dans un langoureux baiser, qui se transforme en une morsure cruelle, alors que vous l'attirez vers vous. Sorry. Ils oublient toujours que vous contrôlez le jeu. Vous enfoncer votre stylet dans sa gorge, le sang coulant sur votre chemise impeccable, brûlant, bien étincelant. Il grogne, il râle, mais ses lèvres sont toujours en votre emprise et il ne peut proférer un cri qui alerterez ses hommes dans la pièce d'à côté. Il succombe, au bout d'une longue minute, emplissant votre torse de sang. Vous le repoussez au sol, et la main sur votre visage taché d'andrinople. L'odeur est comme un stupre amère, le gout de sa vie parfume encore vos lèvres. Vous vous faufilez dans l'ombre. Le temps nuageux est devenu menaçant. Quelle chance. Vous espérez juste que Vaas va encore se tenir tranquille, le temps que vous vous débarrassiez des merdeux. Si vous fermez la porte vitrée ils sont 10 dans une pièce. Entre les balles perdues et ceux qui vont fuir comme des couards, il en reste peut-être cinq. Vous attrapez votre manteau. C'est plus que faisable. Les sotcks sont tranquilles, le bordel est sans bruit, on alerte pas ceux qui sont dans le reste du bâtiments s'ils exis...

Coups de feu. Vous vous reculez dans un sursaut et les Yazukas débarquent. Echange de coups de feu. Vous filez entre les hommes, achevant l'un à l'arme blanche, essayant d'atteindre les stocks. Putain de con de MERDE DE BORDEL ! La coop' c'est pas pour vous. Vous êtes une solitaire, vous, celle qui gère ces conneries seule. Pas avec un putain de crazy bastard. Un des gars a eu la même idée que vous. La drogue prend votre coeur d'assaut, assez brutalement et vous avez un hoquet quand une balle perdue transperce le tendon de votre avant bras. FUCK THAT ! Vous essayer de le viser pour qu'il arrête d'appeler à l'aide et d'essayer de foutre le feu à tout ce qu'il trouve... Ca plus les balles qui s'enfoncent un peu partout, l'appart va finir par exploser. Vous l'achevez brutalement en sautant sur lui et le papier en feu qu'il tient, les flammes brûlant sauvagement votre ventre, venant dévorer votre haut plein de sang alors que vous vous acharnez sur la gorge de l'homme, avant de frotter votre peau avec un tissu sale, pour arrêter l'avancée gourmande de la brûlure.

- PUTAIN DE BORDEL DE MERDE ! What the fuck is wrong with you, asshole ?! Qu'est-ce que tu as dans la tête ? Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans fucking let me handle that MY WAY ? My way, my rules. Putain mais ... " Vous enfoncez les doigts dans votre plaie à vif après l'avoir entaillé pour retirer la balle dans un grognement sourd. Putain de douleur de merde. " Mais bordel." Le calme retombe déjà. Vous essayez de vous contrôlez. Alors que vous lancez la balle dans un coin perdu, vous regardez votre torse. Merveilleux. Fuck, fuck, fuck. Et c'est à ce moment précis, qu'un truc vous choque. Pourquoi vous avez pu pensé un instant qu'il resterait tranquillement à attendre que vous finissiez de le faire à la discrète ? Pourquoi cette idée vous a même traversé l'esprit. Ah oui, c'est vrai. Parce que le Russe mort par terre était votre patron. Mais même. Etre aussi conne, for real. Vous inspirez et finissez par vous relevez après avoir plus ou moins cautérisé la plaie et pansé tout ça. Vous auriez pu le faire en rentrant mais vous êtes certaine que le bâtiment regorge de Russes, ou en tout cas les environs et que ça aura suffit à les attirer. " - Fuck that shit. Prends ce que tu veux et on décolle. I'm sick of this." Vous enfilez votre blouson en cuir par dessus votre torse nu et bandé. " - Tu le sais aussi bien que moi, ils vont pas ... VAAS BOUGE TON CUL !"

Plus rapide que prévu, mais la dague finit son envol dans le crane du Russe qui attendait patiemment pour tirer sur le taré. Disciplinés, c'est déjà ça. Ou choqué par le carnage ? Vous ouvrez la fenêtre en grognant de douleur et zieutez la sortie. " - Fenêtre. Je te suis." Les couloirs doivent se remplir de Russes. - A part si t'as une meilleure solution, shitty solution I mean ?"

Sauter dans le tas, vous l'imaginez bien. Votre instinct de survie est pas trop pour, là. Certes vous pouvez courir, vous avez des armes à feu... Mais... Mais c'est sa faute, qu'il gère ses conneries, bon sang de merde !


Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

Réponse 3 jeudi 31 mars 2016, 13:49:25

Vaas n’aimait pas cet homme. Il le trouvait antipathique, et ingrat. Car Vaas estimait être un très bon patron. Il partageait tout avec ses hommes : la bière, les pizzas, les putes... Est-ce que d’autres employeurs pouvaient ainsi se targuer de partager leurs putes avec leurs hommes ? Est-ce que la Grosse Baleine confiait ses putes à ses lieutenants ? Vaas, lui, le faisait ! Mais l’être humain était ainsi... Qu’on lui donne la main, et il voulait vous bouffer le bras. C’était humain d’avoir les yeux plus gros que le ventre. Oui, il n’aimait pas Ephemeraë, l’Américain... Mais, dans la mesure où Vaas tuait parfois les types qu’il appréciait, ce n’était, en soi, pas très grave. Ce qu’il savait, c’était que le petit cul de ce type allait y passer. Mais, pour l’heure, Vaas avait d’autres soucis en tête. Cette planque... Il avait peu d’informations dessus, surtout sur le nombre d’hommes à l’intérieur. Grâce à la Baleine et à ses appuis, il avait obtenu une copie du bail, qui permettait de se faire une idée sur la taille. C’était un petit appartement, avec un salon principal, et plusieurs pièces au fond. Tout était pensé pour être très fonctionnel, normalement pour vivre en couple. Combien de tueurs seraient là ? Combien d’autres appartements loués sous des noms bidons appartenaient en réalité aux Russes ? Ils étaient en train de plonger dans la fourmilière.

Silencieusement, Vaas laissa l’Américain agir. Ce dernier égorgea un garde situé à l’arrière, dans une petite cour avec des herbes sauvages Le fait qu’il y ait un garde dehors signifiait que l’endroit était effectivement lourdement gardé. Voilà qui rappelait à Vaas de joyeux souvenirs, l’époque de Rook Island, quand il infiltrait les bases de Volker, afin de les saboter de l’intérieur. Parce que Vaas était instable, on avait toujours eu tendance à le sous-estimer, mais il était loin d’être bête. Dans sa démence, le mercenaire faisait même preuve d’une intelligence acérée, redoutable et affutée. On ne le piégeait pas si facilement, et il suivit la femme, grimpant les marches.

Le bâtiment était assez grand, avec plusieurs escaliers internes. Un vrai ensemble résidentiel, conçu après la Seconde Guerre Mondiale pour reloger rapidement les nombreux habitants, suite aux bombardements américains sur la ville. Une odeur miteuse infestait les lieux, du moisi et du renfermé, avec des lézardes le long des murs. Un endroit profondément délabré, jusqu’à ce qu’ils approchent de la porte... Et là, l’Américain ordonna à Vaas de rester derrière.

Les sourcils de l’homme se froncèrent, et il se tut pendant quelques secondes, avant d’attraper le poignet de l’homme, et de lui sourire.

« Fais ton show, alors... »

Et, pendant qu’Ephemeraë rentrait, Vaas sortit de sa poche une cigarette, et se mit à fumer, adossé contre le mur. De l’autre côté du mur, il entendait des cris, des soupirs, des grognements. L’homme n’intervenait pas, se contentant de tirer sur sa clope. La porte de l’appartement se trouvait dans un couloir en forme de quadrilatère, au centre de l’immeuble, comme dans ces immeubles de cités américaines. L’escalier central se trouvait là, et, de temps en temps, il voyait des portes s’entrouvrir. Le mercenaire, indifférent à ce qui se passait autour de lui, finit par jeter sa clope sur le sol, et l’écrasa du talon, puis glissa sa main sous son débardeur, et en sortit son pistolet, puis  avisa la porte, où il commençait à entendre des coups de feu.

Du pied, Vaas l’ouvrit violemment, et tira sur le premier type qu’il vit, sans savoir qui était l’heureux élu : l’Américain, ou un Russe ? Une tête explosa joyeusement, répandant du sang sur le sol, et le Russe s’écroula sur le sol. Armé d’un pistolet-mitrailleur, un autre le visa, et Vaas tira à nouveau, l’atteignant au genou, le faisant hurler de douleur.

Deux autres Russes débarquèrent depuis le fond de la pièce, et Vaas bondit derrière unc anapé. L’un des Russes portait un fusil à pompe, et tira, explosant un coussin, tandis que plusieurs balles traversèrent le canapé. Abrité là, Vaas  bondit sur le sol, et tira en retour, atteignant la jambe d’un des deux Ruskofs, tandis que le deuxième lui tira dessus avec une pistolet-mitrailleur. Les balles dessinèrent une série de trous sur le sol, plusieurs échardes de bois volant près de Vaas... Quand Ephemeraë jaillit, et égorgea l’homme, qui s’écroula sur le sol, le doigt sur la gâchette. Les tirs atteignirent un lustre situé en hauteur, et ce dernier tomba violemment, s’écrasant sur plusieurs caisses remplies de drogue posées sur le sol. La drogue s’envola au milieu de la pièce, et Vaas tira à travers, atteignant un autre homme qui ouvrit la porte d’une chambre, où deux Russes étaient en train de baiser une pute quand Vaas et Ephemeraë étaient entrés.

*BANG ! BANG ! BANG !!*

Les balles transpercèrent le torse du Russe, qui tomba sur le lit, crachant son sang sur les jambes de la femme. Le second attrapa un AK-47, et tira avec sa Kalachnikov. Les balles défoncèrent le mur, brisant les vitres d’une commode en faisant exploser des assiettes. Vaas tira à nouveau, en renversant une table. Depuis la cuisine, une porte libéra alors un Russe armé d’un fusil à canon scié, qui tira sur la table. Plusieurs morceaux de bois volèrent, poussière et odeur de poudre régnant dans la pièce.

Vaas attrapa une chaise, et la balança sur l’homme, puis tira ensuite, faisant couler le sang. L’individu armé d’une Kalachnikov cibla alors Vaas, et tira. Le mercenaire bondit en avant, mais une balle frôla quand même sa jambe, tandis qu’une fenêtre explosa. Le tueur canarda la cuisine à travers les murs. Plusieurs balles atteignirent le frigo, faisant couler du lait et du jus d’orange sur le sol, tandis que Vaas gisait au milieu du sol, à côté du cadavre du Russe, qui le fixait de ses yeux vides et exorbités.

Le mercenaire récupéra le fusil à canon scié du type, et finit par tirer à travers le mur, en voyant que plusieurs morceaux de plâtre commençaient à se décoller. Le Russe poussa un hurlement déchirant de douleur quand sa main sembla exploser, puis Vaas sortit rapidement, et le planta avec son poignard, transperçant sa gorge, puis rejeta l’arme d’un coup, faisant vomir son sang.

La situation sembla enfin se calmer, Vaas et Ephemeraë se tenant au milieu d’un énorme carnage. Dans la chambre, la pute hurlait, car l’homme qui était en train de lui lécher le minou il y a encore quelques minutes était désormais mort sur ses cuisses.

Vaas sentit alors l’Américain lui gueuler dessus. Le fait est que Vaas avait oublié que l’homme lui avait donné des ordres, et il regarda la pute en fronçant lentement les sourcils.

« Hey... Est-ce que je t’ai déjà dit quelle est la définition de la folie ? »

La réponse attendrait, car lui et Ephemeraë entendirent des bruits venant du reste l’immeuble. Des renforts ennemis débarquaient, et l’homme se dirigea vers la fenêtre, invitant Vaas à le suivre.

« T’es taré ou quoi ? Tu te prends pour Superman ? »

Ils étaient en hauteur. Sauter de là, c’était du suicide.

« Remue ton cul, salope ! »

Vaas se rapprocha de l’entrée, et poussa une commode. Cette dernière se renversa bruyamment, bloquant les Russes situés dehors. Vaas se retourna ensuite rapidement, et entendit des grognements de l’autre côté. Sa route le guida vers la cuisine, et il ouvrit le frigo. Au milieu des bris de verre, il vit plusieurs bouteilles de vodka, et un sourire amusé éclaira ses lèvres.

« Héhé... Russian way, darling ! »

Il retourna dans le salon, et entendit alors les hurlements de la pute. Vaas, intrigué, se rapprocha de la porte, et se mit à sourire en voyant la tête du cadavre, pile entre les cuisses de la femme.

« Et ben putain... Ça, c’est ce que j’appelle une petite mort ! »

La femme hurlait en russe, et Vaas sortit de la chambre, le temps de trouver un mouchoir, puis de l’enflammer, tout en retirant le bouchon de la bouteille de vodka. Il avisa alors la femme.

« Trouve-toi une arme, ma chérie, ils ont un super lit... Et j’veux pas me faire poursuivre pour tapage, alors... On les nique, puis j’irais te défoncer ton petit cul de salope. »

Il se dirigea vers la chaîne HI-FI, heureusement épargné. La porte, elle, volait en éclats, et, assez rapidement, Vaas mit le son à fond.

Des musiques russes jaillirent alors, et les Russes finirent par arracher un pan. Ils virent alors une silhouette, et tirèrent dessus, abattant la prostituée des Petrovski, que Vaas avait libéré pour la balancer vers la porte. L’homme profita de cette distraction pour balancer son Cocktail Molotov, à travers le trou dans la porte.

« <Non !
 -  <Attention !> »

Le feu jaillit alors, et Vaas en profita pour utiliser la Kalachnikovqu’il avait récupéré, tirant à travers la porte.

« BANDE DE PETITES MERDES, VOUS VOUS PRENEZ POUR QUI, HEIN ?! AAAAAAAAHHH... !! VENEZ, VENEZ VOUS FAIRE NIQUER LA GUEULE, MES SALOPES !!  ALLEZ, VENEZ, VOUS POUVEZ FAIRE MIEUX QUE ÇA, TAS DE PÉDÉS !! WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAWWWW... !! »

Tout en tirant, Vaas avait les yeux écarquillés, la langue pendante, comme un dément en pleine transe. Le Kalachnikov tremblait entre ses mains, jusqu’à ce qu’il en épuise le chargeur.

Dans sa tête, il venait d’abattre une cinquantaine d’ennemis, presque une armée entière.

Dans les faits, il avait permis à l’appartement d’avoir beaucoup d’aération.

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal

Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

Re : Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

Réponse 4 jeudi 31 mars 2016, 22:00:22

Tous dans ce bled avait une relation au sexe putain d'étrange. Non pas que ça vous gênait que ça baise tout le temps, partout, que le lycée soit un repère de détraqués sexuels, mais putain, Las Vegas s'était calme à côté de ce trou. Même niveau mafia, pour une ville assez petite, il y avait de quoi survivre 100 ans au dos des différentes mafia. Vous en restiez purement étonnée, dans le bon sens du terme, in fact. C'était un bon changement, vous auriez toujours du boulot ici, pour tuer des gens. Enfin, si vous restiez vivante. Et ça, c'était pas sûr parce que fuck, he was such a motherfucker, this fucking man ! Always there, when you wanted him to be far from you. He was just exasparating and you wanted to take a knife and cut that neck from the right ear to the left one ! And then to make him eat his own testicles ... 'Cause that would be great to watch. L'Anglais revenait toujours quand on vous énervait et vous aviez eu du mal à l'engueuler en Japonais, tellement les insultes s'accumulaient à la frontière de vos lèvres charnues. Mais vous deviez garder votre calme avant de vouloir réellement et totalement l'achever. Pour l'instant, c'était lui qui pouvait vous achever quand il voulait, et votre bras vous lancait grave. Shit, that hurts as hell. Ca faisait un bail que vous vous étiez plus pris de balle. D'habitude, ils n'ont pas le temps ou alors ils ne savent pas viser. Mais vous étiez prêt à parier que cette balle venait de l'arme de l'aut'con. Vous auriez du gardé la balle pour vérifier. C'connard de merde vous le paierait. Vous vous tournez brutalement en arrière quand vous entendez une porte s'ouvrir. Oh fuck she is hot ! La Russe était canon et un sourire se dessine sur vos lèvres alors que l'autre lui crache tout son amour de manière très imagé. Celle là, vous la voulez bien et vous l’achèverez après l'avoir baisée. Enfin baisée ... Vous sortez de vos pensées pour faire face à ce carnage de sang, de balles, de violence. Putain, ça c'est beau. Excitant au possible, vous ne pouvez vous empêcher de gémir légèrement en glissant un doigt dans la plaie d'un des cadavres pour faire saigner encore plus son cadavre. Mais pas vraiment le temps de se toucher dans le sang, ils vont pas tarder. Vous finissez par le regarder, en haussant un sourcil. Putain, comment pouvait-il être aussi con, just like a fucking child ! Sauter, ouais, puis voler aussi ? Avec des ailes d'anges et une kalach pour trucider la ville entière ? Abruti !

Vous alliez répondre qu'on appelait faire ça du parkour et que l'appart de dessous devait se vider, et qu'il vous serait aisé de glisser le long d'un tuyau pour rentrer par une autre fenêtre et disparaitre comme des fantomes, mais Monsieur n'est pas décidé. Il a le diable au corps et l'excitation du mec est pire que la votre. Votre drogue se réveille d'ailleurs de nouveau et votre coeur bondit brutalement contre vos côtes, pour essayer d'aller faire un tour. De toute manière, il sortira pas par là. Well, what must be done, have to be done ... Vous jetez un regard à Vaas, la fièvre montant à vos joues, à votre front, l'envie de fumer aussi, vos doigts tremblent, votre bras continue de vous labourer l'esprit, tout se mélange, tout s'accélère, les cris de rage et de douleur deviennent des bruits de fonds, vous attrapez une arme abandonnée par un des Russes. La musique rajoute de la merde à la situation et vous vous êtes aussi paumée qu'enragée, énervée que perdue, la frustration sexuelle de ces quelques semaines à vous branler le soir explosant avec les effets de votre piqure. La tête tourne, la scène est floutée, les flammes jaillissent, la pute tombe trouée par les balles. Fuck, she was cute. Et vous réagissez enfin à cette putain d'envie qu'il a de vous prendre le cul. Ouais, vous avez une relation à l'anal assez ... Extrême. Assez intense. Assez particulière. C'était tout ce que vous détestiez, mais c'était en même temps le truc qui vous excitez le plus. Sans doute le côté mec qui ressortait, à force de vouloir jouer les travestis, votre chatte avait un peu disparue avec vos seins et votre féminité. Vous finissez par exploser l'ampoule qui éclaire ce massacre pour foutre la pièce dans la lumière sombre de l'orage qui tonne à l'extérieur. Votre coeur continue de faire les cents pas dans votre torse, vos seins vous font mal, les cris résonnent dans votre esprit... Putain, de bordel de merde. C'est pas le moment pour un fucking badtrip ! Et pourtant ça y ressemble, alors que tout se stoppe. Les Russes sont explosés, certains sautant dans l'air, immobilisés par les tours que vous joue votre cerveau, Vaas et son air de dément est bloqué, avec cette langue pendant. Vous n'auriez qu'à vous mettre à genoux pour le sucer. Ca ne vous étonnerait pas qu'il bande vu l'excitation qui est montée dans la pièce. En baissant les yeux, vous êtes nue, nue avec une putain de queue bien épaisse un peu comme celle que vous voudriez ressentir en vous. Et vous voilà qui le prend par derrière et vous voilà qui ressentez votre propre pénétration en Vaas dans votre chatte trempée. Luxure, stupre, sang, violence, drogue, brûlure, mal, mal, mal, chaud...

" - RAAAAAAAH !" Vous revenez à vous dans un cri rauque qui s'arrache à votre gorge tatouée alors que vous haletez, la tête lourde, le souffle court. Putain de connerie. Manquait vraiment plus que ça. Vaas était en extase et vous devez lui donner un coup derrière les genoux pour qu'il se mette enfin à couvert alors que le matelas se fait défoncer par les balles. Un sourire se dessine sur vos lèvres, un sourire un peu vague, un peu joueur alors que votre langue passe sur vos lèvres. " - Faudra que tu m'défonces contre un mur apparemment, darling." Un rire cristallin, si différent du rauque de votre voix s'échappe, nerveux et tremblant, alors que vous passez la main dans vos cheveux, pour détacher la queue de cheval, laissant la coupe mi longue venir envahir votre cou. Votre gorge frissonne sous la caresse de vos cheveux, et un grognement se fait entendre. Vous vous gérez pas là. Vous êtes en manque, en manque d'alcool, en manque de drogue, en manque de sexe. Vous filez un chargeur plein à Vaas, alors que les Russes hésitent encore à entrer, se demandant combien se trouvent dans l'appartement défoncé. Vous allumez tranquillement une cigarette, attrapant un de vos couteaux pour couper le bras d'un russe mort, et tirer dessus pour le détacher du corps. Le bras est tout simplement lancé sur les russes, alors que vous vous relevez pour tirer dans le tas, sifflant pour montrer la droite de l'appartement à Vaas. "Bitch, prend ce côté." Et soudain, la solution vous apparaît. Tomber.

Tomber, tomber, tomber ! Le frigo, les bouteilles, le sol. Vous roulez au sol, attrapant le corps de la pute pour qu'il serve plus ou moins de bouclier humain, continuant de tirer dans le tas, laissant Vaas gérer ça comme il peut, comme il veut, that's his fucking problem, anyway. Vous attrapez la dernière bouteille de vodka encore en vie et déchirait simplement votre haut déjà bien brûlé, zieutant une nouvelle fois votre torse aux abdos dessinés, brûlé sur presque sa totalité. Connard. Vous sortez votre briquet, et visez simplement les pieds des russes. Mieux que de les brûler, avec un peu de chance, le sol déjà un peu mort pourrait finir de s'écrouler ? Puis de toute façon, c'est toujours plus efficace quand on brûle du bas, et non du haut. Ouais, vous avez tenté les deux sur certains de vos contrats, et c'est comme pour Vaas, à force de tenter, vous connaissez les réactions ! Dans un grognement, vous jetez donc finalement la bouteille, qui tire des cris aux Russes. " - Not even Bad, Vaas !" Bon, ça ne marchera pas et vous évitez de près une balle qui frole votre joue. Hé ! Not the face, fucker !

Et putain ça fonctionne. Ces cons sautent sur les flammes pour les faire s'arrêter, et le sol déjà bien foutue finit son parcours à l'étage d'au dessous, happant avec lui certains meubles et une bonne partie des Russes, comme dans un trou noir. Vous vous éclatez de nouveau de rire. Ca c'était comique. Vous glissez sur le sol et finissez par soupirer, tirant sur les derniers vivants en bas, par le trou, alors que Vaas finit ceux en haut. C'était putain d'épique, en vrai. Vous haletez, encore rouge de votre badtrip, de votre excitation et vous relevez votre lèvre supérieure d'un air mal à l'aise. Fuck, such an horny slut. Sans doute pendant votre badtrip, mais vous sentez que vous avez putain de mouiller. Peut-être aussi l'adrénaline ? Ca faisait un sacré bout de temps que vous aviez pas ressentit un tel apaisement de votre rage. Vous réattachez vos cheveux. Quelle connerie, vous auriez presque pu crier que vous étiez une nana dans cet état second. Mpf. Vous donnez un coup dans un cadavre en revenant vers le lit où vous aviez laissé votre manteau en cuir, toujours en Chemise déchirée, le torse brûlé, la bande qui cache vos seins plus visible que jamais. Vous n'en avez rien à carrer, en vrai, un peu inconsciente après ce massacre. Vous tirez un coup de pistolet dans la chaine Hifi, exaspérée.

" - Putain. J'ai cru que j'y passais cette fois. Les prochains plans foireux, pense à quelqu'un d'autre, please, bitch. J'ai pris assez cher pour deux trois fois, là." Vous vous baissez pour attraper votre veste, remarquant le manque de dague. Ah, fuck, faudrait aller chercher les couteaux envoyés un peu partout. Soupir. Un peu de vodka aurait été la bienvenue là. Mal à la tête, sa mère. " - Putain de musique russe de merde."

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

Réponse 5 vendredi 01 avril 2016, 21:47:00

Vaas était dans l’un de ces putains de films d’action, quand tout foutait le camp, et que ça tirait dans tous les sens. De la fumée et de la poussière flottaient en l’air, tandis que le sol se mettait à craquer. Dans l’appartement du dessous, le voisin, effaré, avait depuis longtemps extirpé son gros cul de son fauteuil, s’arrachant à la contemplation d’un film pornographique devant sa belle télé à écran plat, et avait appelé la police. Les flics ne se déplaçaient jamais quand il se plaignait de la musique tonitruante du dessus, et, la seule fois où il avait été se plaindre à ses voisins, que ce soit quand ils mettaient leur musique de merde à fond, ou quand ils s’envoyaient en l’air, ils l’avaient suspendu au vide de l’escalier, le tenant par les pieds. L’homme s’était fait dessus, avant qu’une femme ne sorte de l’appartement, style femme fatale, avec un couteau. Elle avait léché la gorge de l’homme avec son couteau, avant de lui lécher l’oreille, puis, avec ses gants noirs, avait serré ses couilles. Il avait bandé dur, et elle avait dit que, la prochaine fois, elle lui ferait bouffer ses propres couilles, avec un timbre de voix si calme, si froid, si détaché, que l’homme avait compris qu’il avait tout intérêt à oublier cette histoire.

Cependant, l’immeuble était vieux. Il y avait des fissures au plafond, les poutres étaient rongées par les termites, et ce n’était pas les Yakuzas qui allaient se remuer de faire les travaux nécessaires. Autrement dit, quand, suite à la poussière, le voisin vit des craquements, il commença à se reculer prudemment.

Au-dessus, la bataille tournait au chaos le plus complet. Vaas et Ephemeraë étaient en train de combattre une armée de tueurs, et, après avoir vidé son chargeur, Vaas récupéra le chargeur que la femme lui envoyait, à destination de son pistolet, et récupéra le fusil à pompe. Il tira, et explosa un pan de la porte, faisant hurler un Russe quand une chevrotine lui arracha la moitié du visage. Son sang vint asperger le visage d’un comrade.

« Ah, putain, ça, ça rappelle le bon temps ! J’en bande, la vache ! »

Avec la musique techno de merde qui défilait, il était en phase, comme dans le niveau final d’un jeu vidéo. Les Russes, de leur côté, se mirent également à tirer à travers les murs, à l’aide de Kalachnikov. Les balles arrachèrent des morceaux de pla^tre, et Vaas bondit derrière une autre planque, tandis que la porte volait en éclats. Un homme bondit sur le meuble, et se reçut des chevrotines en plein ventre. Il fila en arrière, soufflé par l’impact, le sang jaillissant tout autour de lui.

Entre-temps, Ephemeraë était en train de faire du boucan, et, du fait de la détonation et de la musique, nul n’entendait les craquements.

Deux Russes rentrèrent en mitraillant Vaas, qui bondit dans une autre porte, débarquant dans la salle de bains, avec les toilettes. Il vit plusieurs morceaux de carrelage voler en éclats.

« <C’est lui !>
 -  <Vaas ?!>
 -  <Tuez cet enfoiré !> »

Vaas avait de la poussière sur la tête, et un autre Russe passa. La musique se tut alors brusquement, et on entendit alors un grincement. Les Russes se regardèrent entre eux... Puis il y eut d’autres craquements, et, soudain, dans un antique grondement, la grosse poutre située dessous se fracassa. Le sol vacilla alors, et, dans un hurlement terrorisé, les tueurs tombèrent en contrebas, dans un bruit terrifiant.

« HAHAHAHA ! Bandes de merdeux ! »

Le mercenaire sortit de sa planque, et, avec l’aide d’Ephemeraë, abattit les Russes, tirant à plusieurs reprises à travers la poussière. Il entendit quelques hurlements, des gémissements plaintifs, puis, quand le nuage de poussière commença à retomber, ce fut pour voir un sinistre spectacle. De multiples morts, tandis que l’effondrement du plafond avait fragilisé l’étage du dessous.

Vaas contempla cela pendant quelques secondes, puis Ephemeraë tira sur la chaîne HI-FI, explosant cette dernière, mettant fin à la musique.

« Quoi, les plans foireux ? Ça a marché à la perfection, poupée ! On a niqué leur sale gueule. Tu t’attendais à quoi, hum ? À ce qu’on vienne gentiment taper à la porte pour leur demander faire moins de bruit, parce que, excusez-moi, messieurs, mais vos sales gueules de Russes dérangent les voisins ? C’est la Mafia russe, ma salope, pas une putain de crèche ! On l’appelle la ‘‘Mafia Rouge’’, et c’est pas pour rien. »

En Russie, la Mafia russe était terriblement influente. Les statistiques officielles, souvent en-deçà de la réalité, étaient formelles sur l’état de corruption du pays : une entreprise sur quatre était rackettée par la Bratsva, et les presque 6 000 groupes de la Mafia russe avaient en tout plus de 100 000 hommes, et contrôlaient entre 70 et 80% du secteur privé, soit directement, soit indirectement. Vaas n’était peut-être pas un spécialiste en chiffres, mais le pognon, ça lui parlait. Et, surtout, les Russes étaient connus pour être particulièrement brutaux... Même si ça ne voulait pas dire grand-chose, en soi, car, de base, un mafiosi n’était pas un enfant de chœur. Cependant, les Russes avaient pour eux une mentalité très russophile.

Vaas secoua la tête, et rejoignit la fille dans la chambre... Sans plus de ménagement, il la poussa alors, l’envoyant s’étaler sur le lit.

« Bon... Je dirais qu’on a un quart d’heure avant que les flics débarquent, alors ça laisse le temps pour un petit acompte avant que je te fasse la fête. T’aimes bien insulter, hein ? Ça tombe bien, je vais t’en donner l’occasion en t’enculant comme une petite pute. »

Vaas lui fit un nouveau sourire, et retourna caresser les fesses de son homme de main, avant de serrer ses mains dessus.

Le repousser risquait de s’avérer très difficile.

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Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

Re : Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

Réponse 6 samedi 02 avril 2016, 20:54:16

La scène était apocalyptique. Ca vous rappelait vaguement quelque chose. Un autre bordel du genre. D'ailleurs, ça c'était passé dans un casino. Vous vous rappelez encore Le Dealeur qui vous avez amené dans ce casino. Putain de beau casino, bling-bling possible, qui puait l'alcool et la drogue, le sexe et la pisse. C'était un paradis pour vous. C'était malsain, glauque, l'argent coulait à flot, l'alcool aussi et la drogue circulait entre les tables, tout autant que les putes. Vous aviez bien aimé le premier soir, même si vous aviez perdu à peu près tout l'argent du Dealeur. La nuit avait été longue, la journée encore plus alors qu'il en avait profité pour vous punir. Comme s'il avait besoin d'une putain de raison pour vous baiser, hein ? Nan, par contre pour sortir le shibari et des choses plus ... Violentes, ouais. Il aimait bien rendre ça plus excitant avec une très bonne raison pour vous attacher au lit et vous assouplir de force. Une fois, alors qu'il était bourré, il vous avez cassé la jambe. Cette fois-là, vous aviez sentit une onde de douleur si intense se mêler au plaisir que vous en aviez jouit immédiatement. La douleur était devenue indécente, et le plaisir incontrôlable. Ou peut-être l'inverse ... Anyway, au bout de quelques soirs Le Dealeur avait pris un grand plaisir à vous expliquer pourquoi il vous menait là, et vous aviez mit ce fusil à pompe dans les mains avec un grand sourire, glissant un doigt dans votre pantalon pour l'enfoncer en vous, sans que vous ne réagissiez, trop dégoutée par ce qu'il vous demandait. Vous vous plaisiez dans cet endroit, il le savait. Il le faisait purement et simplement exprès. Vous aviez tout défoncé, avec son aide. Un à un les serveurs étaient tombés, une à une les barmans s'étaient fait exploser le ventre, les croupiers avaient fuit avant de se prendre des volées de balles dans les jambes et dans le dos. Le sang s'était répandu dans chaque parcelle de l'établissement, le massacre était total. Puis ça avait été le tour du mobilier. D'abord les machines à sous, qu'il vous avez fait fracassé à coup de pieds jusqu'à ce que vous en pleuriez de rage et d'épuisement. Puis les roulettes, puis les tables de Poker ... Il avait finit par vous mettre à genoux devant les jetons, comme un condamné devant sa potence, en vous faisait ouvrir grand la bouche, pour y enfoncer les jetons, un à un, jusqu'à ce que vous en étouffiez. La rage, la colère ... And Hope. Ouais.

Il vous avez sauvé. En tout cas, il vous avez sauvé pour quelques mois de votre addiction. Le dégout avait fait place à l'envie de perdre du temps dans les casinos, et ce traumatisme avait été une bonne psychanalyse d'après lui. Vous en étiez pas certaine, mais vous vous rappeliez encore la scène terrible de ce casino, that so lovely casino, massacré par votre amant et vous, les éclats de verres se mêlant au sang, l'alcool se mêlant aux boyaux, et les sirènes des flics qui se rapprochaient alors qu'il continuait inlassablement d'essayer de vous faire bouffer des jetons, pour que vous les vomissiez et ne puissiez plus les voir sans vomir. Il voulait vous traumatiser, il voulait que le réflexe conditionné soit tel que vous ne puissiez plus vous approcher d'un casino sans en avoir le ventre retourné, l'esprit lourd et la rage à l'estomac. Malheureusement, la volonté, votre volonté, avait été plus forte. Even against the greatest ennemy, you'll never abandon.   Faire face à vos peurs ? Non. Vous préfériez perdre votre jeunesse dans la drogue et la luxure, l'addiction et les jeux. Et c'était comme ça que vous aviez finit par atterrir dans des conneries de ce genre. From Hell Paradise to Hellish Lands Ici ? C'était pire. Ici, vous auriez pu être dégoutée d'exactement tout ... Du sexe, excessivement dégueulasse. De la drogue, excessivement commode à trouver et à prendre... Et de l'alcool. Bon sang, entre les liqueurs japonaises et la vodka allemande, sérieusement ? Vous auriez pu vous nourrir exclusivement d'alcool, encore et encore, jusqu'à devenir vous même de l'alcool, bien lourd. On vous aurait mit une flamme à côté, vous auriez pu explosé, quelques jours auparavant. Et le lendemain ? Plus qu'une gueule de bois. Ca allait que Vaas c'était réveillé pour vous obliger à bouger votre cul, sinon vous auriez finit comme une putain de momie, momifiée de l'intérieur.

Vous ne l'écoutiez pas. Vos yeux étaient dans le vide, vous repreniez difficilement votre souffle. C'était plus de votre âge, these stupids fights. Vous finissez par relever la tête quand la voix de Vaas se rapproche. Putain, cette voix. Un accent étrange, une voix étrange. Pas vraiment grave, pas vraiment aigue non plus, mais avec une sorte de ... Folie dans l'accent. Bien sûr qu'il en avait bandé. Vous étiez un peu dans les vapes, en vérité. Mal à la tête, mal au bras qui avait certes arrêté de saigner mais qui lançait bien et mal au torse. Ca faisait un peu beaucoup. Vaas ? Même pas une coupure ! Lucky Bastard... Vous vous étiez sacrifié pour lui, limite. Ah, il vous le paiera. Tout se paierait un ...

" - OH BASTARD ! Don't touch me ! Vaas ! Recule. RECULE FOR FUCK SAKE !" Vous vous époumonez sous la surprise avant de le sentir sur vous, votre corps au milieu des balles, dans le matelas troué et en morceau. Votre visage a quelques centimètres du sien ... Il n'y a rien de sensuel, dans ses mouvements. Il y a l'excitation de la bataille, la sueur de la mort, la violence de la folie. Et Dieu, vous, ça vous excite dix fois plus qu'un baiser perdu dans les épaules ou qu'une douce caresse. Il vous turn on sans aucun soucis, en quelques secondes alors que votre corps souple se perd entre ses bras, se cambrant dans un gémissement aigu. La fièvre vous monte à la tête, votre voix se tord en un grognement puissant alors que votre bras blessé s'enfonce dans les restes de mousse, se calant sans que cela soit douloureux. Ok... Let's do it. Votre corps ondule doucement et vos dents attrapent sans aucune tendre la lèvre inférieure de Vaas, pour la mordiller, avant de la suçoter, langoureusement, votre langue venant brutalement se frayer un chemin entre ses lippes tremblantes encore de rage. Un sourire en coin se forme sur vos lèvres et vous soufflez, dans un son rauque. "- Laisse moi croire en tes capacités sexuelles, encore un peu et sucer cette queue, tu veux, honey ?

Une manière comme une autre de garder pour vous votre redoutable secret. Puis, vous êtes hungry et la bosse que dévoile le pantalon de Vaas n'aide strictement en rien, vous avez envie de gouter à son chibre puissant que vous pouvez imaginer, vous avez envie de venir lécher ce phallus là, de le dévorer même, entre vos lèvres pulpeuses et charnues qui ne demandent qu'à être remplies. Vous entrouvrez la bouche pour laisser échapper votre langue qui vient se perdre, furieuse dans la gorge de Vaas, votre souffle brûlant. De votre bras valide, vous défaites simplement sa ceinture pour vous saisir de son membre sans plus de procès, vos mains fines pressant légèrement la chaire, alors que vous attendez qu'il bouge pour pouvoir vous glisser le long de son torse et venir plaquer vos lèvres sur le gland. Votre langue entourera le gland, avant que vous n'enfonciez de vous même le chibre dans votre bouche, laissant le gland découvrir le début de votre gorge dans un gémissement de plaisir. Oh putain. That has a been a fucking long time ... Vous esquissez un sourire avant que votre langue ne viennent entourer le membre, alors que vous commencez de larges va et viens sur le membre. Vous n'auriez pas votre bande, et vous n'essayeriez pas de garder votre genre secret, vous auriez déballé vos seins pour pressez cette queue entre vos deux bonnets 95B. Mais décidément, vous devez faire croire que vous n'êtes qu'un homme adorant la queue. Les yeux fermés, prête à subir les attaques de Vaas que vous ne connaissez que trop bien pour profiter seulement d'une fellation, vous accentuez vos mouvement en glissant une main sous la queue, caressant lentement les testicules de l'homme de votre main, dans un gémissement encore plus intense. Oh l'odeur du sexe ... Such a tease...

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

Réponse 7 dimanche 03 avril 2016, 00:45:04

Était-il un homme, ou était-elle une femme ? Le doute était permis, car ce type était très androgyne. Et est-ce que coucher avec un homme dérangerait Vaas ? Pas spécialement. Enfin, c’était comme les nanas, ça dépendait de la gueule du mec. Mais, en soi, il n’était pas hostile à l’idée. Il embrassa donc l’homme... Ou la femme... Bref, il embrassa la PSNI (Personne au Sexe Non Identifié), et sentit cette dernière mordiller sa lèvre, ce qui ne manqua pas de l’exciter davantage. De base, Vaas bandait déjà. C’était comme ça chez lui. L’action, l’adrénaline, l’odeur de la poudre, les pistolets fumants, le sentiment d’avoir accompli sa journée en honorant son patrimoine génétique de guerrier néanderthalien, étaient autant de raisons autrement plus jouissives que le cul bien moulé d’une petite pute pour le faire bander comme un putain de taureau. C’est la violence que Vaas aimait ça dans le sexe, la puissance et la force. Il ne concevait pas l’amour comme un truc doux et paisible, mais comme une passion, comme la foutue Passion du putain-de-Christ, avec douleurs abdominales, et corps élancés dans la souffrance. Il aurait pu être un expert du sadomasochisme s’il n’était pas aussi cinglé.

Ephemeraë le repoussa alors, et Vaas se retrouva contre le mur, puis vit le type ouvrir son pantalon, faisant sortir sa queue. Bien sûr, il aurait pu repousser cette tentative, être contre, mais... Honnêtement, qui était contre une fellation ? Sûrement pas lui ! Ah, ça, il adorait qu’on lui suce la queue, qu’on s’agenouille devant lui, en position avérée de soumission, sans chercher à se rebeller, juste pour lui montrer qu’on lui était soumis.

« Okay... Suce ma queue, sois ma petite pute... »

Sa main se crispa sur les cheveux d’Ephemeraë, et il vit sa bouche venir gober son sexe. Ouais... Ouais, carrément ! Elle se débrouillait bien, la petite. Homme ou femme, ça n’avait pas d’importance. Là, tout de suite, right now comme elle aurait pu dire, elle agissait comme si elle était une pute, et c’était donc comme ça que Vaas souhaitait la traiter.

La main d’Ephemeraë vint ensuite caresser ses bourses.

« Oh ouais, bitchie, t’es douée, putain ! Ah, crois-moi, après une bonne tuerie, y a rien de mieux qu’une petite pipe! C’est... C’est comme la putain de cerise sur le putain de gâteau. »

Il sourit encore, de toutes ses dents, basculant légèrement sa tête en arrière, crispant ses mains sur la tête d’Ephemeraë, forçant cette dernière à lui faire des gorges profondes.

« Vas-y, ma salope, tu peux mordre. Fais-moi mal, putain... Allez, p’tite pute ! »

DC d’Alice Korvander.

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Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

Re : Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

Réponse 8 dimanche 03 avril 2016, 18:06:11

La question ne se posait même plus. Tant que vous suciez, quelque soit votre sexe, vous suciez. Et putain que c'était bon ! Vous hésitiez un peu sur la raison d'un tel bonheur, mais godness ... Ouais. C'était vraiment bandant. 'Fin excitant. Enfin, bref, vous preniez autant votre pied que le fou qui en profitait au dessus de vous, et ce malgré la douleur lancinante dans votre bras, et les putains de sirènes de flics qui semblaient se rapprocher sans jamais vraiment vous atteindre. Les flics, le métier d'incompétents par excellence. Ici, ils ne servaient qu'à venir voir que oui, il y avait des morts et que oui, c'était très triste. Mais c'était tout. Arrêter des mafieux ? Ils n'avaient pas dû le faire depuis ... some ten years, at least ? Un sourire se dessina sur vos lèvres alors que vous l'entendiez. Pour vous, la fellation, c'était le signe du pouvoir. Un mouvement de mâchoire et cette queue partait en steak haché. Le pouvoir, il était là, pouvoir faire autant de mal que de bien, pouvoir faire hurler de douleur ou gémir de plaisir, tout ça avec des lèvres ou des dents. La virilité d'un homme à porté de main, toute son estime, toute sa confiance en lui, vous la contrôliez, là, maintenant, tout de suite. C'était une sensation envahissante, qui vous rendait encore plus .. Hystérique. Ouais, c'était le mot. Vous finissez par grogner lentement alors que votre langue parcourt le membre, langoureusement, dévorant ce chibre puissant qui s'offrait à vous, comme une fucking offrande face à votre faim sexuelle. Vous suivait lentement le mouvement des mains de l'homme, alors que vous fermez un peu les yeux, accélérant vos mouvements de va et vient sur le membre, dans de lourds soupirs brûlants. Mpf... Vous en profitez, avant de relever votre nez rond, d'un coup, dans un grognement de surprise. Ow, vous avez l'impression de flotter. C'est violent quand même, la dose d'alcool et de drogue que vous devez avoir dans le sang, pour que l'excitation vous provoque des tels effets ... Vous accélérez un peu, votre main glissant doucement pour venir attraper la fesse droite de son Boss, pressant lentement alors que vous laissez le membre s'enfonçait encore plus dans votre gorge, vous obligeant à vous cambrer en arrière dans un grognement intense.

" - T'veux pas jouir, sweetie ? Les flics arrivent."

Vous grognez un peu et accélérez encore, avant de brutalement ressentir l'orgasme du jeune homme dans votre bouche, la semence s'étalant dans votre bouche sans aucune pitié alors que vous étouffez légèrement, toussotant, Vaas vous obligeant à garder son membre entre vos lippes tremblantes. Vous hoquetez un peu, avec de petits gémissements alors que lentement, vous êtes obligée de swallow le liquide en grognant, relevant les yeux vers Vaas avec un regard coléreux. Vous finissez par mordiller la chaire pour qu'il retire sa queue de votre bouche, crachant le reste sur le côté, un filet de bave glissant le long de votre menton, mêlé à du sperme, alors que vous baissez les yeux, sifflant.

" - You bitch... Je dois vraiment passer à l'infirmerie, là ... C'est pas que j'ai un putain de trou dans le bras mais je commence à douiller." Passant lentement votre bras sur vos lèvres pour retirer les dernières traces de votre blow job. Vous vous reculez un peu, et lui lancez un long regard, attendant qu'il se retire d'au dessus de vous pour vous donner l'occasion de vous relever. Vous glissez sur le côté, dans un putain de cri aigu. " AND FUCK !" Vous attrapez malgré tout votre manteau de cuir et tentez de vous remettre debout. Vos yeux se ferment, doucement alors que geignement aigu vous échappe, un grognement de plus en plus fort. Vous sentez votre tête qui tourne, votre tête qui tourne encore ... Vos doigts se crispent brutalement sur le drap, alors qu'une grimace se dessine sur votre visage. Ca tourne, ça tourne... Encore... Et le souffle s'accélère, et les objets deviennent flous, et la douleur s'accentuent, encore, encore.. Et ça tourne. Vous tombez sur le côté, brutalement, dans une perte de connaissance tout à fait ridicule mais surtout soudaine, votre tête tapant contre le côté du lit. Votre bras a continué de saigner, et là où vous vous étiez allongée pour sucer Vaas, une grande tâche andrinople s'étale. Votre souffle est haletant avant que tout ne s'arrête brusquement. Puis, une seconde et quelques plus tard, votre halètement reprend, sans que vous ne repreniez conscience. Dans cette position, votre salive commence doucement mais surement à vous étouffer. Votre tête est lourde, votre corps est douloureux, votre esprit est en loque.

Nan, décidément, nan. That was not a good idea. L'arrière gout âcre de la semence continue de vous empoisonner la gorge, alors que votre est parcouru d'un putain de soubresaut, un spasme qui pour autant ne vous fait pas reprendre conscience. Les taches sanglantes, écarlates, qui ont giclées sur votre peau apparaissent brutalement comme agressive, tant votre peau s'est blanchie sous la perte assez soudaine de sang. La montée de l'excitation, sans doute ? Ou la descente d'adrénaline. Vos lèvres pourpres, encore tremblantes et humides sont restées entrouvertes, dévoilant le bout de votre langue qui caresse vos dents. Etalée ainsi sur le lit, le corps fragilisé par l'attaque et les blessures, inconsciente, il y a quelque chose de terriblement sexy dans la scène. Peut-être est-ce la féminité qui se ressent dans la vulnérabilité de votre position, ou la douceur de vos traits quand vous ne les tirez pas.

En tout cas, les flics, eux, se rapprochent alors que vous continuez de fondre sur le matelas, la tache de sang sous votre épaule s'agrandissant lentement, comme un poison qui prendrait lentement plus de place, plus de pouvoir, en s'étalant encore et encore. Votre souffle qui a repris est lourd, un peu sifflant. L'ensemble est pitoyable et flaibard, une preuve que l'autodestruction fonctionne. Quand votre corps n'est plus apte à supporter des douleurs et des blessures qui ne vous auraient pas gênés avant, c'est la preuve flamboyante que vous êtes bien arrivée à vous détruire, lentement, de l'intérieur. I've tried to kill myself, twice. But, both times, I didn't have the courage. You know, I just felt like I was not able to do it. I couldn't pull the trigger. I couln't just look at myself in the mirror and do it. It was impossible. Every fucking times, I was not able to kill myself, although I could kill anybody else. Even my mother, even my daughter. But I'm a coward. I can't do it. I'm a fucking coward, I'm a FUCKING COWARD. Just like my Mum, just like my Bro', just like my lover. I'll die a coward, as I live one. I'll die old. I'll die ill. And even whan I'll suffer from my age, I'll not avec the fucking courage to do it. I'm not brave. I'm not even human. I'm just ... Some stupid ... Thing. A physical body, unable of his own actions, who has to obey.

Such a waste of life, such a waste. I'm not proud. I'm not brave. I'm not useful.

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

Réponse 9 lundi 04 avril 2016, 13:25:17

Vaas laissait la petite pute le sucer, là, bien comme il fallait, tandis que, en toile de fond, la ville se réveillait. Ça, c’était la grosse différence par rapport à Rook Island. Là-bas, quand on détruisait n camp, ou qu’on incendiait un village, on n’entendait rien d’autre, après, que le soufflement de l’air et le bruissement des feuilles. Mais, ici, au moindre petit coup de feu tiré en l’air, tout un régiment de flics débarquait. Vaas savait donc que le temps était compté, mais, Dieu, qu’il avait eu envie de se faire sucer ! C’était un besoin irrépressible, et, partant de là, sentir la bouche d’Ephemeraë remuer sur sa queue ne put que lui faire plaisir… Hélas, la jeune femme sembla être à bout, et Vaas sembla alors réaliser, alors que son dos rebondissait lentement contre le mur, et que ses mains se crispaient sur sa tête.

Ephemeraë bascula alors sur place, et Vaas, sortant de sa transe, vit alors qu’elle saignait. Une plaie, et qui l’amena à s’écrouler sur le sol.

« Ben merde… »

Vaas n’avait pas encore réalisé qu’elle avait été blessée, et contempla donc la femme sombrer, pendant que la police arrivait à l’entrée de l’immeuble, écartant les multiples badauds. Vaas et Ephemeraë n’avaient pas fait dans la dentelle, et, quand le plafond s’était écroulé, de multiples vitres avaient explosé. Des canalisations avaient pété, provoquant des fuites d’eau, et un épais nuage de poussière avait flotté autour de l’immeuble, faisant croire à un attentat à la bombe.

Le mercenaire arracha un pan de sa chemise, et noua cette dernière autour du bras de la femme.

« Putain, bébé, non, putain, ‘me lâche pas… Je t’aime, PUTAIN, ‘fais pas la conne ! »

Vaas, semblant paniqué, tapota les joues de la femme, puis sortit de sa ceinture une seringue spéciale, conçue à partir des plantes si particulières qui poussaient sur Rook Island. C’était une seringue faite à partir d’une plante médicinale verte qui poussait sur son île, et il la planta dans le corps de la femme, ce qui eut pour effet de la réveiller. Pas de quoi la sauver sur le long terme, mais, sur le court terme, Vaas espérait que ce surplus d’adrénaline allait la réveiller.

Quand il la vit ouvrir les yeux, il l’embrassa rapidement.

Pendant ce temps, les policiers grimpaient dans l’escalier commun.

« ’Faut qu’on décampe, ma beauté, je te laisserai pas mourir. Merde, tu m’as fait une de ces peurs ! »

Souriant encore, Vaas alla l’embrasser à nouveau, puis se redressa ensuite. Les flics d’assaut se rapprochaient de plus en plus.

« T’as l’air douée pour savoir comment filer, ma petite… Alors… En piste ! »

Foutre le camp d’ici, c’était une priorité, maintenant !

DC d’Alice Korvander.

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Ephemeraë Mayfly

Humain(e)

Re : Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

Réponse 10 lundi 04 avril 2016, 22:00:01

A Las Vegas, les flics étaient partout. Incompétents, mais partout. C'était une fourmilière de flics en civil, en uniforme, en costume, en gilet pare-balles. Ils étaient un peu comme des parasites qui vous faisaient chier au quotidien, vous piquaient comme des puces et vous sucaient le sang comme des fucking connards. Les flics et vous ? Une grande histoire de sexe et de corruption. Vous aviez bien servi au Dealeur pour corrompre les flics déjà véreux qui ne demandaient que du cul et de la luxure pour se taire à jamais. De toute façon, deux solutions s'offraient à eux : soit ils acceptaient de se faire la pute du Dealeur (means you, anyway), soit ils finissaient par se la fermer avec la tête dans une bassine d'eau gelée à tenter de respirer par les trous de balles dans leurs crânes. Certains incorruptibles finissaient trois pieds sous terre avec leur queue entre les dents (Don't fuck with us, you fucking cop ! Mais les autres finissaient avec leur queue entre vos dents à vous, avant de se taper des putes du réseau du Dealeur. Alors ouais, les flics vous les connaissiez, et le plus souvent, de près, de très près, très intimement. Plus lâches que ces mecs, ça n'existaient pas. La plupart auraient eu la chance et le pouvoir de trucider le Dealeur une dizaine de fois, s'ils en avaient eu le courage, mais voilà, ils crevaient la peur. Ils en auraient vomit leurs tripes et il suffisait d'un regard noir pour que toute tentative de rébellion envers l'autorité mafieuse et brutale du Dealeur, soit matée. Non, décidément, c'était beaucoup trop simple.

Vaguement, vous sentiez un truc qui se passait autour de vous, mais c'était pas très clair. Vous ressentiez des choses, un peu vagues, un peu floues mais bordel, vous êtes incapable de dire ce qui fut le plus perturbant. Vous réouvrez brutalement les yeux, en essayant d'inspirer, comme si le souffle vous manquait, prêt à étouffer avant de sentir trois choses justes perturbantes. Les lèvres de Vaas sur les vôtres, le parfum d'une drogue inconnue qu'on venait de vous injecter, et l'écho un peu flou d'un putain de "I love you" by Vaas. Et ça, c'était le pire. Vous restiez là, haletante, le regard dans le vide alors que vous sentiez votre bras un peu bandé, remarquant la déchirure dans sa chemise. Ok. C'était de nouveau trop pour vous là. Ok, ce mec était fou, certes, mais là, ça faisait trop de folie vous concernant brutalement et directement. Genre, vous aviez pas entendu un "Je t'aime" depuis quoi ... Deux ans ? Le Dealeur le susurrait pour vous faire enrager de temps en temps, parce qu'il savait que ça vous rendait totalement paumée. Ouais, vous étiez pas trop habituée à des putains de déclarations, totally fucked up. Finissant par grogner, vous baissez les yeux pour attraper votre veste, en papillonnant des cils. Hanlala. Cette vie était devenue trop compliquée pour votre âge. Vous allez prendre votre retraite et ne plus jamais entendre Vaas vous dire qu'il vous aime parce que vous l'avez sucé so well. Vous restez silencieuse alors que vous claquez votre langue à votre palet, en vous relevant, un peu chancelante. Vous vous appuyez une seconde sur l'épaule du mercenaire indonésien et lui lancez une petite grimace qui se veut sympathique.

" - Ouais. On bouge." Vous ne parlez même pas du fait que putain, il a l'air de savoir que vous êtes une nana. Enfin, ça ne vous a pas encore effleuré, et pourtant, lui a l'air de s'en être convaincu sans y avoir même réfléchi. L'instinct sans doute. Vous attrapez le drap, tirant brutalement dessus pour le déchirer de part en part et le jeter par le trou fait par le cocktail molotov vers l'étage d'en bas, comme si vous alliez vous en servir pour descendre. " Mais t'es con ou ?" Vous l'attrapez par la chemise alors qu'il faisait mine de vouloir descendre par là, et le tirait vers la fenêtre, finissant de la fracasser d'un coup de coude. Vous vous accrochez pour sortir, regardant les trois étages en bas avec un frisson, vous accrochant à un tuyau avec un petit soupir. Vous ne comptez juste pas descendre, ça serait trop dangereux, mais vous regardez un peu sur les côtés. Il y a un toit qui vous tend les bras, deux batiments à droite. Il suffit ... Il suffit de traverser le batiment que vous venez de fracasser de gauche à droite et sauter sur le toit, et vous barrer par les escaliers de secours. Retrouver la voiture, et vous prendre des mois de vacances. Vous jetez un regard à Vaas, en passant votre langue sur vos lèvres, glissant lentement contre une seconde fenêtre, en vous collant bien au mur, la souplesse naturelle de votre corps s'aidant de votre force acquise par le parkour. " Tu suis, darling ?" Vous inspirez. C'est légèrement stressant, mais faudrait aller beaucoup plus vite. Un regard autour de vous et vous accélérez, difficilement, votre tête continuant de tourner un peu. Les flics sont entrés dans la pièce que vous venez de quitter et un rire nerveux, quoique silencieux, vous échappe. C'était moins une.

" - Ils sont en bas ! Descendez, descendez ! La fenêtre ! Regardez la fenêtre.
- Fuck."
[/color]Vous vous attrapez brutalement à l'avant bras de Vaas, pour vous pendre en vous tenant de l'autre main au bord du mur, et donnez un grand coup dans la fenêtre en dessous de vous, à l'étage inférieur, avant de remonter à la force des abdos.
" - Non, non ! Ils sont en dessous ! Descendez, putain !"
 
Vous souriez en coin, remontant difficilement, aidée par Vaas, avant de finir votre épisode escalade en roulant sur le toit, dans un long soupir. Putain, ce bordel. Vous restez au sol, pour l'instant, les flics semblant patrouiller, un peu sur leurs gardes. Votre visage à quelques centimètres de celui de Vaas, vous tirez la langue, pour brutalement attraper ses lèvres dans un baiser passionné, sauvage, vos dents mordillant la peau alors que votre souffle est brûlant. Vous le regardez droit dans les yeux, en haussant un sourcil joueur. La lèvre inférieure de Vaas entre vos dents, vous mordez un peu plus pour le faire saigner, léchant les petites gouttelettes en souriant. " - Ne me dis plus jamais je t'aime. Ca me stresse, ces conneries." Vous soupirez un peu, alors que vous tournez sur le dos, semblant doucement aller mieux. Il a mieux arrêté le sang que vous et la balle ayant déjà été enlevée, vous pouvez un peu respirer mieux. Vous regardez le ciel, toujours gris, la pluie continuant de tomber, brumeuse. Haletante, vous finissez par vous relever doucement avant de saisir la silhouette d'un policier. "Ils sont encore là, these balls heads..." Lentement, vous tournez la tête vers Vaas, en glissant le doigt sur la piqure de la seringue en passant votre langue sur vos lèvres, un peu excitée encore. Décidément, l'adrénaline c'était plus qu'actif sur le sexe. "C'était quoi, ta drogue ? Putain de fort."

Un silence. Puis, la bouche ouverte pour boire les goutes d'eau alors que vous refermez les yeux, vous sifflez. Vous l'observez du coin de l'oeil, avec une petite rougeur aux joues. "J'aurai pensé que tu préférais me voir morte. D'ailleurs, je suis une nana. Si t'étais pas certain."

Oh pauvre chérie. Vous avez été touchée par le fait qu'il vous maintienne en vie ? C'est mignon.

Et pathétique.

Vaas Montenegro

Humain(e)

Re : Scary places And creatures with scary faces ~ Pv Vaas ~

Réponse 11 mercredi 06 avril 2016, 08:39:18

Fuir comme un rat, ce n’était pas habituel pour Vaas, même si, techniquement, il se mit plutôt à fuir comme un singe, passant par la façade de l’immeuble pour rejoindre un toit à proximité. Le parkour… Ce n’était pas sa spécialité, mais il savait en faire, un peu. Le fait est que l’homme était plus muscle qu’agile, ce qui faisait que, s’il était capable d’escalader, il était bien loin d’égaler le niveau de ces singes qui dansaient le long des immeubles, glissant et rebondissant de tuyaux en tuyaux. Vaas n’avait néanmoins aucune envie de se heurter à une armée de flics. Non pas qu’il ressente un respect particulier envers les forces de l’ordre, loin s’en faut, mais il n’avait pas envie de se battre dans une lutte perdue d’avance.

C’est ainsi que le duo, en fuyant les policiers, arriva sur le toit d’un petit immeuble adjacent à celui où ils s’étaient battus. Quelques badauds réussirent à les filmer pendant leur escapade, avant que le rebord du toit ne les dissimule. Vaas se retrouva sur le sol, et Ephemeraë se posa sur lui, et l’embrassa. Un baiser inattendu, sauvage, qui le prit de court, dans le sens positif du terme. Il goûta au parfum de ses lèvres, et sourit ensuite, quand Ephemeraë lui avoua, d’une part, qu’il ne fallait pas lui balancer des « Je t’aime », et, d’autre part, qu’elle était bien une nana.

Vaas se contenta d’un hochement d’épaules.

« Tu m’as sucé la queue comme si t’étais née pour faire ça, j’avais pas d’autres choix que de te déclarer ma flemme vu comment t’avais traité ma queue… Homme ou femme, ça change rien, tant que tu suces comme une nana. »

Il fallait vivre avec son temps, mais le fait que, pendant son bref baiser, Vaas n’ait pas senti une quelconque bosse entre les cuisses de son acolyte, pouvait signifier bien des choses. Une femme se faisant passer pour un homme ? Au Japon, pays extrêmement sexiste, c’était très compréhensible. L’homme se redressa ensuite, et marcha vers elle. Ephemeraë lui tournait le dos, et il posa une main sur son épaule, la caressant, et plaqua sa tête contre son torse, dans une sorte d’étreinte romantique et sensuelle, avec Vaas la regardant en l’enlaçant.

Vaas l’embrassa sur la tête.

« Je t’aime, my sugar… Ce que je t’ai donné, c’est de la pure, du produit qui vient de mon île. Le rakyat…  Tu le sens dans tes veines, qui te protège, qui se noue avec toi, qui tisse des liens le long de ton corps et de ton organisme… Ressens cette force primale, mi amor, et imprègne-t-en… »

Le tueur termina cette drôle de déclaration par un nouveau baiser sur les lèvres de la femme.

« Si je m’écoutais, je te baiserai sur place, là, comme ça, right now… J’adore ta manière de parler anglais, c’est sexy… »

Mais il fallait d’abord se casser. Il rompit alors son étreinte, et s’approcha d’une porte blindée, avant de l’ouvrir. Les flics ne tarderaient pas à faire le tour du bâtiment pour les attaquer en douce.

Vaas descendit ainsi une volée de marches, qui les amena, lui et Ephemeraë, à longer un restaurant. Ils passèrent par les cuisines, puis par la réserve, sous le regard ébahi et un peu craintif des employés. Voir deux types passer devant vous avec des vêtements déchirés, des traces de sang sur le corps, et de la poussière noire, forcément, ça intimidait un peu. Le duo sortit ainsi, par la réserve, dans une ruelle, et Vaas se mit à courir un peu plus rapidement vers la rue.

Sur sa droite, un concert de gyrophares, de bandes jaunes, de barrières. Sur sa gauche, la liberté. Il s’approcha de la première voiture qui passait par là, tenant Ephemeraë par une main, et pointa son flingue sur la tête du chauffeur.

« SORS DE LÀ, CONNARD !! »

Vaas l’aida un peu, ouvrant la voiture, et balançant l’homme, ébahi, sur le sol.

« Ma-Mais que… ?! »

Et *VLAN !*, Vaas lui asséna un coup de crosse sur le nez, provoquant un doux craquement, puis, tandis que le type gémissait sur le sol en pissant le sang, le mercenaire grimpa dans la voiture, laissant Ephemeraë grimper. Vaas posa sa main sur le levier de vitesse, l’autre sur le volant, et pencha sa tête vers elle en souriant.

« Tu t’sens pas comme la putain de Bonnie et l’enfoiré de Clyde, là ? Nous deux contre toute la société et toutes ces conneries… »

Vaas fit alors marche arrière, puis tourna pour amorcer un demi-tour. Il avait conduit à Rook Island, le long de routes cahoteuses, avec des branches d’arbres qui pouvaient vous éclater la gueule sans faire gaffe. Des routes bien plus dangereuses que les routes bien goudronnées d’une ville. Il passa ensuite la première, et fonça pour rejoindre sa file de circulation, et se permit même d’appuyer à plusieurs reprises sur le klaxon.

Ils s’en étaient sortis !

DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal


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