Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

Sur les traces de madame Carter... [PV Alexia Luflor]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

William Carter

Cela faisait presqu'un mois maintenant qu'il était arrivé dans la ville de Seikusu. Il avait entamé une enquête sur ses origines tout en commençant ses cours en tant que professeur. Concilier les deux n'avaient pas été facile mais Will connaissait suffisamment l'histoire et le programme scolaire pour faire des cours sans les préparer à l'avance. Ceci lui offrait de précieuses heures libres pour ses investigations... plusieurs semaines passées à se renseigner tout autant à droite qu'à gauche, à fréquenter des personnes de la haute société tout comme des malfrats et des petites frappes avec peu d'envergures; Carter finit par obtenir une piste.

Un marchand à l'air louche lui confia qu'il se souvenait de son père ainsi que de la belle jeune femme qui le suivait main dans la main. Son père l'aurait présenté à l'époque comme étant sa femme bien que Will savait de son père qu'il ne s'était jamais marié avec elle. Ce détail mit en méfiance notre professeur... une improvisation de la part de l'inconnu pouvant révéler qu'il ne savait rien en réalité. Mais ce dernier fit une description de son père et de sa "mère" si fidèle  de ses deux parents que notre homme ne put que concéder qu'il disait très certainement la vérité.

Aussi, Will accepta de lui verser une certaine somme d'argent en échange des informations qu'il détenait. Ainsi, le marchand lui révéla que Carter n'avait aucune chance de la retrouver s'il persévérait à chercher dans cette ville. Sa mère, selon les dires du commerçant, était originaire de la ville-état de Nexus. Un lieu si lointain qu'il en devient presque inaccessible. William qui était certes un professeur d'histoire avant tout, connaissait tout de même parfaitement  la géographie et cette ville ne lui disait rien... ce lieu lui était si inconnu et étranger que cela ressemblait presque à l'invention d'un esprit malade ou d'un escroc.

Une demi-heure passé à malmené le pauvre indicateur qui ne cessait d'affirmer ses propos, malgré les coups, finirent par convaincre le professeur de leur possible véracité. Cependant, nouveau problème! S'il disait vrai, comment pouvait-il se rendre là-bas alors qu'il ne connaissait l'endroit et qu'y aller était quasi-impossible pour de simples êtres humains selon le marchand. Carter daigna débourser un peu plus pour savoir ce qui l'intéressait, l'arnaqueur lui confia alors l'adresse d'un "passeur". Celui-ci était apparemment en mesure de l'emmener dans cette ville et ce en très peu de temps.

William prit l'adresse et partit une fois qu'il eut terminé de mettre en garde l'escroc de sa terrible erreur s'il s'avérait qu'il lui avait mentit et fait payer pour ça. Le prof se rendit donc chez le "passeur", ce dernier vivait et travaillait dans une vieille taverne, il n'y avait d'ailleurs qu'un ou deux clients là-bas. Ne désirant plus débourser un sous pour le moment, notre jeune homme s'avança vers le tavernier, dont le commerçant lui avait fait une description, puis lui déclara qu'il venait de la part de son indicateur, que ce dernier lui offrait un voyage pour la ville-état de Nexus au plus vite. Le tavernier tomba dans le panneau, il semblait être un brave type mais n'était visiblement pas malin du tout...

Carter fut conduit au fond de la taverne dans une autre salle, là se trouver une porte noir et sale tout au fond d'un couloir d'une dizaine de mètres. Le taverne expliqua alors qu'il devait avancer jusqu'au bout puis ouvrir la porte... avant que notre homme ne puisse se tourner et oser ses questions, le "passeur" l'avait quitté, sortant du couloir et fermant la porte a clé derrière lui. N'ayant pas le choix, William avança lentement. Pour finalement arriver devant la porte qui ne lui inspirait pas plus confiance qu'il n'en avait eut pour le marchand... malgré cela il décida de faire avec, posant sa main sur la poignée puis la tournant avant d'ouvrir il se sentit finalement happée de l'autre côté. Comme aspiré dans un vortex ou autre chose...

Quelques secondes plus tard il reprit conscience allongé sur le sol d'un couloir identique à celui où il se trouvait précédemment mais il était de l'autre côté de la porte noir. Se relevant doucement, et vérifiant qu'il n'avait rien perdu au passage: tant au niveau bien matériel que corporel... Il finit par relevé son regard pour observer l'autre bout du couloir. Plus loin à une dizaine de mètres... une porte bien évidemment! Il s'y rendit rapidement cette fois-ci. Il fit tourner la poignée rouillé puis poussa lentement la porte dans un grincement aigue.

De l'autre côté se trouvait une taverne également... et si la précédente était vide a mourir d'ennuis en l'attente d'un client, celle-ci était remplit à raz-bord mais pas par du beau monde. Les têtes dominants les lieux faisaient peur, de vrais visages d'assassins et brutes en tout genre... alors qu'à l'inverse il y avait des serveuses au visage radieux et même angélique. Will devait l'avouer, il était complètement paumé... ne comprenant pas ce qui avait put se produire en ouvrant la porte du couloir, ni où il était tombé mais rien n'était de bonnes augure pour lui. Ceci pour une raison très simple... il était le seul homme (beau évidemment) en costume sobre mais très élégants dans ce bar pourrit au milieu d'une bandes de racailles et de criminelles . Il se ferait très vite remarquer et là ça allait barder pour lui...

Il prit un léger temps de réflexions analysant la situation et les lieus, tout en restant devant la porte du couloir d'où il venait... il devait lui rester une minute avant d'être repérer, et à partir de ce moment là tout ces fouteurs de merdes se feraient un plaisir d'essayer de mettre en pièce notre cher Carter avec ses allures de "bourges". Il se dit alors, un léger frémissement parcourant son échine sous le coup d'un sentiment bien humain:


*Et ben... je suis pas dans la merde moi...*


Répondre
Tags :