[FINI] Medical Sex [Shiro Ishimi]

Le tableau était effectivement très atypique, comme une lente et intense gradation dans le sexe et dans la luxure. Les trois petites perverses se perdaient ensemble, et Alice, la pauvre, était maintenant traversée par d’incroyables vagues de plaisir, incontrôlables et irrépressibles, vagues résultant, outre de la culotte enfoncée en lui, de ses dents qui suçaient son sang, et provoquaient aussi une accélération de son rythme sanguin à hauteur de son sexe. En ce moment, Mélinda et Shiro avaient tout simplement perdu Alice, qui était partie dans une sorte de transe féérique et transcendante, s’évanouissant et se fondant dans le sexe. Mélinda, elle, continuait à boire ce sang, un sang terriblement délicieux, car, outre émanant d’Alice, une beauté qui s’entretenait bien, le sang était aussi proche du sexe, ce qui lui donnait un arrière-goût supplémentaire. Du fait de sa position, Alice le lui offrait sans restrictions, et, comme Shiro la sodomisait pendant ce temps... Le résultat final était à la hauteur de ce qu’on pouvait attendre.

Si Mélinda avait pu faire autre chose que mordre Alice, elle aurait pu confirmer que, en effet, elle aimait autant sodomiser les beaux culs que se faire sodomiser. C’était, en un sens, son petit fantasme personnel, car la vampire aimait beaucoup ce qui avait trait à l’anal, car, de tous les trous possibles, c’était, pour elle, celui qui procurait le plus de sensations, le plus intense, une douleur terrible, mais jouissive. Ainsi, outre ôter à ses esclaves leur virginité, elle adorait aussi les sodomiser

« Hmmmm... Mmmhmmm... »

On pouvait l’entendre soupirer, par-delà les bruits de succion, pendant que Shiro venait la remplir, et même la mordiller, enfonçant ses dents contre sa nuque. Rien de quoi effrayer Mélinda, c’était même tout le contraire, la vampire en frissonnait encore plus, couinant de plaisir, sa queue restant toujours aussi dure. Elle jouissait peu, mais, du fait de ce sang, jouissait abondamment, inondant ainsi le ventre de la belle tête blonde, qui continuait à remuer le long des chaînes. Ayant la tête à l’envers, elle était clairement en train de planer.

Au bout de cette séance, Mélinda finit par retirer ses lèvres. Il ne fallait pas non plus boire trop de sang, mais elle laissa en revanche les godes, déposant un baiser sur cette culotte, puis libéra Alice, qui tomba mollement sur le sol, son corps s’aplatissant dans de légers soupirs au milieu d’une belle trace blanche. Mélinda se retourna alors vers Shiro, et on pouvait voir ses yeux pétiller de bonheur et de malice. Elle embrassa alors fougueusement la femme, enroulant ses bras autour de sa nuque, caressant et grattant son dos dans la foulée.

« Hmmmm... »

Le sexe dur de Mélinda se frotta à celui de Shiro, et elle lui sourit ensuite, après un baiser mielleux et intense, où sa langue lécha celle de Shiro, et où ses dents mordillèrent les lèvres de Shiro.

« Baiser avec moi, Shiro, c’est un sport aussi intensif que de coucher avec Tessia... »

La comparaison était élogieuse, car Tessia était une puissante succube, et, sexuellement parlant, très difficile à épuiser... Si ce n’est impossible. Mélinda sourit à nouveau à Shiro, puis se retourna vers Alice.

« Hum... La Princesse va mettre un peu de temps à se remettre, et elle est vraiment dans un état lamentable... »

Mélinda prenait un air faussement gêné, tandis que la malice continuait à pétiller dans ses yeux. Alice se tortillait encore sur le sol. Les godes continuaient à s’enfoncer dans son corps, même si Mélinda avait eu la gentillesse d’en diminuer l’intensité, de telle sorte qu’ils se contentaient juste de l’accompagner, confirmant aussi, au demeurant, la grande perversion de celle qui, jadis, avait été particulièrement innocente et naïve dans ce domaine. Alice, en quelque sorte, était l’un des plus beaux succès de la vampire, qui ne se lassait pas du spectacle... À tel point qu’elle prit une photo de ce corps épuisé, parcouru de plaques rouges et de traces blanches, allant même jusqu’à filmer la scène.

Elle reposa ensuite le téléphone portable, et fléchit les genoux à côté d’Alice.

« On ne peut pas laisser une Princesse comme ça, Shiro... Que dirais-tu de la nettoyer... »

Mélinda lui tira ensuite la langue, et posa son propre doigt sur son appendice lingual, avant de confirmer ce qu’elle avait en tête :

« ...Avec ta langue ? »

Shiro s'amuse à sodomiser Mélinda tout en lui mordant la peau du cou pendant un temps qui lui semble infini tant tout ça est excitant : sodomiser une vampire avec un vrai sexe tout en la regardant boire le sang du bassin d'Alice. Après que toutes les femmes en présence aient joui un nombre indéterminé de fois, la princesses est enfin libérée de ses entraves, et son corps s'aplatit sur le lit au milieu d'une flaque blanche de sperme. La vampire se tourne ensuite vers Shiro et l'embrasse en enroulant ses bras autour de sa nuque. L'infirmière couine doucement de ce contact doux et délicieux, tandis que sa queue, encore dure mais très sensible car elle vient juste de jouir, se frotte à celle de son amante, et qu'elle sent ses ongles pointus lui gratter le dos.

« Baiser avec moi, Shiro, c’est un sport aussi intensif que de coucher avec Tessia... »

Pour l'instant, Shiro se range du côté de Mélinda, en reconnaissant qu'elle a rarement eu droit à de tels expériences sexuelles. Puis les deux dominantes tournent leur regard vers Alice, qui continue à se tortiller en suivant le rythme ralenti des godes toujours en elle. La vampire pousse la perversion jusqu'à prendre des photos et des vidéos de cette belle princesse perverse sur son téléphone. Ensuite, elle propose à son invitée de nettoyer son corps... en utilisant leurs langues.

« Hhmm... le goût de la sueur et du sperme... ce sera une première, mais pourquoi pas ? »

L'infirmière se joint à sa nouvelle amie pour retourner Alice sur le dos. La jeune fille est toute transpirante, le souffle lourd, et son odeur forte aurait de quoi dégoûter des amants pointilleux. Mais ce n'est pas ça qui va arrêter ce duo de maîtresses puissantes et obsédées. Lentement, elles se mettent à lécher le moindre recoin de peau de ce corps en chaleur, épongeant les divers liquides à sa surface. La belle blonde couine et gémit en sentant ces deux petites choses roses qui se déplacent sur sa peau, allant des coins neutres aux zones les plus sensibles. Un vrai nettoyage en profondeur.

A la fin, Shiro et Mélinda ont complètement récuré le corps d'Alice, mais cette dernière en a joui une fois de plus, souillant de plus belle le lit. L'infirmière ne peut pas laisser passer ce genre d'occasion, d'autant plus que ses yeux bandés rendent son ouïe plus sensible. Elle vient donc murmurer des paroles perverses à son oreille avec sa voix magique.

« Tu sais Alice... quand je suis arrivée ici, je croyais avoir juste affaire à une princesse un peu frustrée, qu'un orgasme ou deux suffiraient à te mettre à terre... Mais en fait, ton appétit sexuel est aussi grand que le nôtre. Si je n'avais pas la certitude que tu es bien la fille d'un roi, je te prendrais pour la première traînée sortie d'une ruelle sombre.
Dis moi... est ce que ça t'excite qu'on te traite comme une pute ? Parce que, si tu veux, on peut descendre bien plus bas dans le vice. »

Mélinda n'était sûrement pas à court d'idées, et Shiro ne l'est pas non plus. Mais avant, elle veut être sûre que son jouet ne se cassera pas si elle le secoue un peu trop.

Les deux femmes s’occupèrent donc, après avoir bien sali Alice, de la nettoyer. La jeune femme était couchée sur le lit, sonnée, épuisée, et, quand elles la couchèrent sur le dos, elle émit un léger soupir, un bref couinement. Mélinda n’avait pas bu énormément de sang, mais elle savait qu’Alice accusait le contrecoup, et c’était aussi pour ça, en partie, qu’elle avait laissé sur elle cette culotte spéciale, afin d’entretenir son sang, de continuer à en favoriser la circulation. Tout était fait pour qu’Alice ne dorme pas trop vite, et, fort heureusement, en la matière, la tête blonde pouvait se montrer très surprenante. Mélinda, en tout cas, se faisait longuement plaisir, léchant les seins d’Alice, puis se déplaça encore. Parfois, ses cheveux heurtaient ceux de Shiro, et, ensemble, les deux femmes continuaient à la nettoyer, léchant ses jambes, ses mollets, puis allant jusqu’à lécher ses aisselles, sa nuque, remontant le long de ses bras.

« Haaaa… »

On pouvait voir le corps d’Alice se dandiner sur place, ses lèvres s’entrouvrant pour soupirer de plaisir, ses mains se crispant. Quand Mélinda se pencha sur son estomac, pendant que Shiro léchait son visage, elle en profita pour embrasser et lécher sa culotte noire, souriant en entendant les vrombissements des godes. Ils remuaient dans le corps de la brave jeune femme, la faisant se tortiller sur place. Mélinda se redressa donc, et l’embrassa encore sur le nombril, léchant sa peau, puis remonta ensuite, tout en écoutant Shiro la titiller.

Alice venait de jouir, et la jeune femme, derrière ses yeux bandés, déglutit quand Shiro se mit à lui parler. Elle lui proposa en effet de continuer à la traiter comme une pute, et, tandis qu’elle parlait, multipliant les propos et les invitations salaces, les mains d’Alice se crispèrent doucement, la jeune femme soupirant faiblement, entrouvrant joyeusement ses lèvres.

« Hmmm… »

Mélinda vint se coucher à son tour, sur l’autre côté d’Alice, écrasant ainsi le corps de la tête blonde, l’embrassant à son tour.

« Tu aimes quand on te traite comme une pute, Alice, je le sais… Et rien de ce qui se passera ici ne sortira de ces murs… »

Alice se pinça encore les lèvres, et finit par hocher la tête, de haut en bas, tournant cette dernière vers Mélinda, puis vers Shiro.

« Oui… Ici, nous sommes entre nous, alors je peux laisser toute ma perversion s’exprimer… »

Elle soupira encore, déplaçant ses mains pour en poser chacune sur les fesses de ses deux belles amantes.

« Montre-moi tout ce dont tu es capable, Shiro… Libère toute ton imagination sur mon corps, hummm… »

Alice crut bon de préciser, en gémissant une nouvelle fois, car elle sentait le genou de Mélinda remonter entre ses cuisses, tapant sur ses godes.

« Hnnn… Je… Vas-y, Shiro, comme si je… Comme si j’étais la… La plus s-salope de… De toutes tes putes… ! »

La demande était faite.

Avec tout ce qui s'est passé, Shiro se doute qu'Alice aime vraiment qu'on la traite comme une vulgaire prostituée accroc au sexe, mais elle ne sait pas encore dans quelles proportions. Du coup, quand la princesse lui dit qu'elle est prête à laisse s'exprimer toute sa perversion, et demande à sa maîtresse de faire appel à toute son imagination sur son corps, un sourire diabolique se dessine sur les lèvres de l'infirmière.

« Très bien. Dans ce cas... je ne vais pas me retenir. »

Mais comment s'y prendre ? Après tout ce qui a déjà été fait sur le corps de la jeune fille, difficile de faire pire. Cependant, en bonne connaisseuse du sexe, la jeune femme sait qu'il n'est pas forcément nécessaire d'agir physiquement pour faire naître le désir. Parfois, de simples mots peuvent faire l'affaire. L'infirmière se penche donc au creux de l'oreille de sa soumise pour lui murmurer ses instructions.

« Je vais enlever ton bandeau, et tu vas venir nous lécher les pieds, à moi et Mélinda. »

Aussitôt dit, aussitôt fait, Alice se retrouve à genoux sur le sol, à passer sa langue entre les orteils des deux femmes. Shiro savoure ce geste pour le sentiment de contrôle qu'il lui procure plus que pour le simple plaisir physique. Mais ce n'est là que la première partie de son plan.

« Maintenant, nous allons chacune à notre tour raconter un fantasme ou une expérience sexuelle que nous avons eu. Racontez des choses bien excitantes, comme ça nous serons toutes mises en chaleur et nous pourrons nous déchaîner ensuite. Allez, je commence.
Il y a une semaine de ça, j'ai invité Tessia pour un repas romantique en tête à tête. A peine avions nous fini de manger qu'elle m'a attrapé et s'est mise à me besogner sur la table du repas, au milieu des restes de nourriture, de boissons, et de la vaisselle. Nous avons cassé deux assiettes et une bouteille vide, mais c'était génial. Jamais je ne m'étais senti aussi cochonne qu'en faisant l'amour au milieu de la nourriture. D'ailleurs, après avoir fini, Tessia a décidé qu'une vilaine cochonne comme moi devait prendre une douche. Évidemment, elle m'a suivi et, entre deux séances de ''nettoyage'', elle m'a encore prise en me plaquant contre le mur. Une fois sortie de la douche, elle ne m'a même pas laissée me sécher et m'a tout de suite emmenée dans ma chambre pour continuer à me faire l'amour. J'avais la peau aussi humide que mon intimité, et je glissais sur mes draps. Finalement, au bout d'une heure, j'ai fini par tomber dans les pommes. Mais comme ma succube adorée n'était pas complètement satisfaite, elle a utilisé ses pouvoirs pour matérialiser des rêves roses dans mon inconscient, où je me voyais encore en train de copuler avec elle. »

Vivre au quotidien avec une démone du sexe implique de savoir tenir la distance, heureusement l'infirmière a de l'expérience avec elle. Même si elle finit toujours par plier devant Tessia, tant que le plaisir est au rendez-vous, pourquoi se plaindre ?

« A votre tour les filles. »

Après cette intense séance de sexe, les filles avaient besoin de repos. Ayant clairement fait comprendre à Shiro qu’Alice voulait qu’elle se lâche, l’infirmière semblait toutefois être un peu trop fatiguée pour continuer sur ce rythme, et ordonna donc à Alice d’aller leur lécher les pieds. Les deux filles étaient assises sur le rebord du lit, et Alice se mit devant elles. Mélinda, toutefois, lui demanda rapidement de venir les rejoindre, car Shiro voulait désormais parler, et non agir. En soi, la vampire n’était pas contre ce moment de calme dans leur tempête de sexe et de foutre. Il existait en effet une indéniable interaction entre le fait de parler et de faire l’amour, car les mots avaient un poids, et pouvaient déclencher l’excitation, en stimulant l’imagination.

Shiro leur parla donc de l’une de ses soirées avec Tessia, ce qui ne manqua pas de faire sourire Mélinda.

« Oui, elle est comme je me souviens d’elle. Il est, techniquement, impossible d’épuiser sexuellement les succubes et les incubes, car ils se nourrissent du sexe. N’est-ce pas, Alice ?
 -  Oui, euh... Elle était... Enfin, c’est à la fois agréable et... Terrible de lui faire l’amour. »

Inépuisable, Tessia poussait ses amants dans leurs ultimes retranchements. Au sein du lycée, Mélinda savait qu’elle commençait à former une petite communauté d’esclaves autour d’elle, ce qui, en un sens, était un élément commun à la plupart des professeurs. Le sexe était omniprésent à Mishima, et s’affirmait sous bien des façons. Un lycée réellement exceptionnel sur ce point. Difficile de prétendre le contraire, et Shiro en était l’incarnation, comme Mélinda, et même Alice, dans une certaine mesure.

C’était maintenant au tour des deux filles d’exprimer, soit un souvenir, soit un fantasme. Alice, qui avait la respiration lourde, et le visage rubicond, était encore en train de reprendre des forces, ce qui amena Mélinda à enchaîner :

« Eh bien, honnêtement, je ne sais pas trop par quoi commencer... Comme tu t’en doutes, Shiro, j’ai une expérience sexuelle très impressionnante, qui pourrait concurrencer Aphrodite en personne, ou encore Lust. Alors, quelque chose de bien excitant... Hum... »

Elle se pinça les lèvres, avant de sourire, trouvant un épisode à raconter.

« Mon mariage... C’était une sacrée fête, n’est-ce pas, Alice ?
 -  Oh ça oui...
 -  Pour t’expliquer, Shiro, outre ce manoir, je dirige un harem. Et, à l’occasion de mon mariage, mes charmantes courtisanes avaient conçu un lit immense, qui faisaient la taille d’un salon. Un lit destiné à une immense orgie incluant tout mon harem. Nous avons été plusieurs centaines d’hommes et de femmes à nous faire l’amour sur ce lit, pendant plus d’une semaine. Moi et ma femme, nous n’avons pas arrêté de faire l’amour, utilisant des drogues et des stimulants à base de magie rose pour tenir. Finalement, ce n’était plus que notre perversion qui nous empêchait de nous écrouler. »

Une superbe orgie, réellement. Mélinda tendit alors sa main, et caressa la joue de Shiro, glissant ses doigts sous quelques-unes de ses mèches de cheveux.

« Si je t’avais connue à l’époque, ma chérie, tu aurais été invitée... Ce sera pour notre anniversaire de mariage, Vanillia et moi, nous nous sommes dits que ce serait une excellente manière de fêter à nouveau notre mariage. »

Mélinda se retourna ensuite vers Alice, qui se pinça les lèvres, et, malgré sa rougeur, liée à la fatigue, ses joues semblèrent s’empourprèrent davantage.

« À toi, ma chérie... »

Alice se pinça les lèvres pendant quelques secondes, mains sur ses genoux, puis sourit ensuite. Mélinda lui caressa le dos, grattant un peu sa peau.

« Allez, tu n’es pas devenue muette, quand même...
 -  N-Non, c’est juste que... Moi, ce serait plutôt un fantasme... »

Elle sourit à nouveau, avant de se lancer, Mélinda l’embrassant sur l’épaule à plusieurs reprises, pour qu’elle finisse par le lâcher.

« Je... Il y a un homme, à Sylvandell, que j’aime beaucoup. Un elfe... Melendil. Lui et moi, nous faisons régulièrement l’amour, et... Mon fantasme, c’est de m’imaginer entre prise entre lui et... Et ton frère, Mélinda. Sentir ces deux hommes me prendre en sandwich, leurs torses musculeux et en sueur m’emprisonner, leurs queues s’enfoncer en moi, me perforant pendant des heures... »

Alice se mordilla encore les lèvres, toute rouge.

« Hum... Peut-être que je t’offrirais ça dans les jours prochains, ma chérie... Mais toi, Shiro... Tu en penses quoi, du fantasme de notre belle Princesse ? »

La tête blonde, en tout cas, en était gênée... Ce qui pouvait prêter à sourire, vu tout ce qu’elle avait subi jusqu’ici entre les mains de ces deux femmes.

Le souvenir de Shiro fait bien sourire Mélinda, qui voit que Tessia est restée comme elle l'était dans son souvenir. Oui, l'infirmière a pu vérifier d'elle-même, et à maintes reprises, qu'il est impossible d'épuiser une succube quand il s'agit de sexe. Son excitation sert de nourriture à la créature, et cette dernière reprend des forces tandis que sa partenaire s'épuise. Mais comme c'est toujours une expérience extrêmement jouissive, il n'y a pas de raison de s'en plaindre.

C'est au tour des deux autres filles de parler. La vampire raconte l'orgie qu'elle a organisé le jour de son mariage, dans un lit grand comme un salon, où plusieurs centaines d'hommes et de femmes ont fait l'amour pendant une semaine, recourant souvent à l'usage de drogue et de magie rose pour tenir le plus longtemps possible. L'infirmière s'imagine la scène, et le plaisir qu'elle aurait pu ressentir à faire partie de cette fête. Elle aura peut-être la chance de le vivre, si elle arrive à se faire inviter à l'anniversaire de mariage de son hôte.

Au moment de parler, la princesse semble être devenue muette. Pour l'aider à s'exprimer, Mélinda se met à lui gratter le dos tout en embrassant son épaule. Excitée par la vue, Shiro se décide à faire de même de son côté, jusqu'à ce que la belle blonde parle enfin de son fantasme : se faire prendre en sandwich entre un elfe et le frère de Mélinda, pour qu'ils la perforent pendant des heures avec leurs mandrins. Après ça, la vampire demande à Shiro son avis sur le fantasme d'Alice.

« Je ne suis peut-être pas la mieux placée pour en parler, vu que les hommes ne me font aucun effet, mais j'ai clairement entendu l'excitation dans la voix de notre belle princesse quand elle parlait de Melendil et de ton frère. Alors il faudrait vite faire en sorte que ce fantasme se réalise. Bien sûr ça ne sera pas pour ce soir, mais je suis sûre que ça arrivera bientôt. »

Logiquement, maintenant que la vampire sait que la princesse désire son frère, elle fera tout pour le lui offrir.

« En attendant, j'ai envie de te frustrer un peu plus, pour voir à quel point tu as envie qu'on te fasse l'amour. »

Shiro va s'allonger près de la tête du lit, et présente ses fesses à Mélinda tout en lui faisant signe de la main.

« Allez viens ma belle. J'ai très envie de sentir ton joli jouet se glisser dans mon petit cul. Et surtout, je veux voir comment va réagir notre pute de compagnie. »

Va-t-elle se contenter de regarder calmement, va-t-elle se masturber, va-t-elle essayer de s'incruster ? Impossible à prévoir.

Coucher avec deux hermaphrodites, se faire prendre par elles comme une chienne, avait visiblement moins choqué Alice que de devoir avouer ses fantasmes. C’était une situation paradoxale, mais que Mélinda pouvait comprendre. Il était bien plus facile de jouer le rôle d’Alice, celui d’une soumise se laissant bercer par les fantasmes des autres, que de devoir en suggérer. Se mettre à parler, à proposer des idées, c’était entrer dans une toute autre logique, et, ce qui compliquait les choses, c’était qu’Alice était amoureuse de Melendil. Ça, Mélinda était la seule à le savoir, car, de tous les confidents potentiels de la tête blonde, il n’y en avait aucun qui soit plus au fait de la Princesse que son amie vampirique.

Et Mélinda, au demeurant, comprenait tout à fait ce fantasme. Alice avait déjà couché individuellement avec Bran (à de multiples reprises) et avec Melendil (là encore, de très nombreuses fois). Des séances fabuleuses pour elle, alors, à imaginer le duo que ces deux-là formeraient… Mélinda aussi caressait cette idée, et elle savait que, pour cela, Alice excitait doucement son amant elfique, afin de le rendre de plus en plus pervers. Leur fantasme commun était une séance d’échangisme entre le couple Bran / Mélinda et le couple Alice / Melendil. Une séance comme ça promettrait sûrement d’être mémorable…

Néanmoins, Shiro, en tant que pure lesbienne, y resta relativement désintéressée, et proposa rapidement de jouer encore un peu avec Alice, proposant quelque chose qui n’était pas sans rappeler à Mélinda ce que Tessia aimait faire avec la jeune femme. Comme quoi, les deux étaient bel et bien faites pour être ensemble.

« Hum… J’approuve cette idée, mais il faut mieux préparer notre petite voyeuse, Shiro… »

Alice rougit à nouveau, tandis que Mélinda alla récupérer un fauteuil, avec des sangles, et le déplaça, l’orientant face au lit. Ce n’était pas la première fois que Mélinda jouait avec les nerfs d’Alice.

« Allez, Alice, tu connais le chemin !
 -  Mais… Je suis déjà bien excitée comme ça ! »

Elle se mordilla ensuite les lèvres, tournant la tête sur le côté, ce qui ne manqua pas d’amuser Mélinda, qui fit craquer ses doigts en se rapprochant d’elle.

« Ça, ma petite, c’est à tes Maîtresses d’en juger… Et, selon moi, c’est encore loin d’être le cas ! »

Alice rougit encore, mais, à ce petit jeu, elle savait qu’elle allait perdre. Contre Mélinda, on ne luttait pas longtemps, et la femme finit par lui mettre un collier autour du cou, avec une laisse, et tira dessus, la faisant tomber sur le sol.

« Allez, petite catin ! Shiro, viens m’aider… Utilise une cravache pour fesser notre petite chienne rebelle qui refuse de faire ce que ses Maîtresses lui ordonnent ! »

Les coups de cravache vinrent pleuvoir sur le fessier d’Alice, qui couina, avant de se rapprocher du fauteuil, au bout de plusieurs coups. Là, Mélinda s’empressa d’attacher les poignets sur les sangles du fauteuil. Ce n’était pas la première fois qu’Alice finissait sur ce fauteuil, et elle avait donc toutes les raisons d’en avoir peur, car la frustration était quelque chose de terrible. Le fauteuil était également doté d’un serre-tête, qui empêchait l’individu assis dessus de détourner la tête. Le regard d’Alice ne pourrait ainsi voir rien d’autre que le lit, ce qui ne manquait pas d’exciter Mélinda, qui en profitait pour caresser ses joues, tout en fermant le serre-tête à hauteur de sa nuque, l’empêchant de bouger. Elle alla jusqu’à pousser le sadisme voyeuriste en lui mettant un gag-ball sur les lèvres.

Mélinda se détacha ensuite, et sourit à Shiro, l’embrassant sur les lèvres, juste devant Alice. Le baiser dura quelques secondes, et elle le rompit, pour glisser quelques mots à l’infirmière :

« Tu tiens bien de ta femme, toi… Elle aussi, elle adore frustrer mon Alice… »

Il fallait croire que c’était un sport familial. En attendant, Mélinda donna une gifle sur les fesses de Shiro, puis l’invita à se déplacer. L’infirmière retourna ainsi se mettre à quatre pattes, et Mélinda grimpa sur le lit, tournant brièvement la tête vers Alice.

« Tu aimes la vue, ma chérie ?
 -  Hmmm-hmmm…
 -  Je vais baiser Shiro, et, quand nous aurons joui toutes les deux, on te libérera la bouche, et, si ce que tu dis est assez convaincant, on te prendra toutes les deux en sandwich… Qu’est-ce que tu en penses, Shiro ? »

Elle n’attendait plus que l’aval de l’infirmière avant de la sodomiser violemment… Comme à son habitude.

Shiro se réjouit de voir Mélinda approuver son idée, mais la vampire décide qu'il faut d'abord frustrer un peu plus leur petite voyeuse. Elle va donc chercher un fauteuil avec des sangles qu'elle pose face au lit, et demande à Alice de venir s'asseoir dessus. Devant la résistance de cette dernière, sa maîtresse décide d'employer la ''manière forte'' et lui attache un collier autour du cou, avec une laisse, et se met à la tirer. Très vite, l'infirmière intervient et, attrapant une cravache posée près de l'endroit où Mélinda a pris le collier, elle se met à donner des fessées à la princesse tout en l'insultant joyeusement.

« Allez vilaine chienne, va t'asseoir sur ce fauteuil. A défaut d'être une princesse pure, sois au moins une salope obéissante. »

Une fois Alice finalement assise, la vampire se fait une joie d'attacher les sangles autour de ses poignets, ses chevilles et sa nuque, l'empêchant de bouger et de regarder ailleurs que vers le lit. Elle complète le tableau de frustration avec une gag-ball et vient ensuite retrouver son invitée, qu'elle embrasse pendant plusieurs secondes sous les yeux de la blonde.

« Tu tiens bien de ta femme, toi… Elle aussi, elle adore frustrer mon Alice… »

« Tessia n'est pas encore ma femme. De toute façon, je doute de pouvoir la convaincre de se marier avec moi. Nous serons un couple libre avec un enfant. »

Après une bonne claque sur les fesses, Shiro retourne à quatre pattes sur le lit, montrant bien son fessier à Alice, tandis que Mélinda vient se mettre en place pour la sodomiser.

« Je vais baiser Shiro, et, quand nous aurons joui toutes les deux, on te libérera la bouche, et, si ce que tu dis est assez convaincant, on te prendra toutes les deux en sandwich… Qu’est-ce que tu en penses, Shiro ? »

« C'est parfait. Allez vas y, prends moi bien fort. »

L'infirmière sent le mandrin de la vampire se frotter contre sa petite rondelle, s'y enfoncer progressivement jusqu'à mi-chemin et finir le trajet d'un coup sec, faisant couiner la femme de plaisir.

« Aahh ! »

Dès les premiers mouvements, Shiro se rend compte que la technique de sodomie de Mélinda est très proche de celle de Tessia : brutale et énergique. Si elle n'avait pas été habituée à se faire prendre longuement et violemment par le cul, elle n'aurait sans doute jamais tenu jusqu'à la fin. Et maintenant, elle ne ressent que du plaisir à se faire pilonner ainsi.

« Oohh... haann... Mélinda... ce que t'es bonne... aahh ! »

L'infirmière a un peu de mal à voir autour d'elle, mais elle aperçoit quand même la princesse du coin de l’œil, qui a l'air délicieusement frustrée sur son fauteuil. D'une certaine façon, il est assez jouissif de voir le plaisir tendre tout son corps sans qu'elle ne puisse rien faire. Elle ne peut pas intervenir, se toucher, gémir ou détourner les yeux, elle ne peut que regarder et maudire les deux femmes vêtues de noir de lui montrer un spectacle aussi excitant sans la laisser se satisfaire.

Au bout de plusieurs minutes, Shiro et Mélinda finissent enfin par jouir. L'infirmière sent son fondement se remplir de foutre chaud et épais et, dans un ultime soupir, se laisse tomber sur le matelas. Quelques secondes après avoir repris son souffle, elle va voir Alice avec Mélinda pour recueillir ses impressions sur ce qu'elle vient de voir.

Pour une simple femme, Shiro avait une fougue exceptionnelle, et un appétit sexuel impressionnant. Mélinda, néanmoins, ne se faisait pas spécialement d’illusions. Elle était sûre que Tessia devait, à sa manière, former la petite femme. Mélinda avait déjà pu constater, en faisant l’amour avec la femme, que, si Tessia aimait prendre son temps, et bien frustrer ses partenaires, elle pouvait faire preuve d’une vigueur sexuelle qui était très impressionnante, et n’avait rien à envier à quiconque. Ce fut donc sans ménagement que Mélinda retourna visiter le corps de Shiro, mais avec, cette fois-ci, outre l’envie bien légitime de baiser cette petite femme, d’offrir à Alice, silencieuse observatrice, un spectacle qui soit digne de ce nom.

La vampire alla donc s’enfoncer en elle, crispant ses mains sur ses fesses, et donna de magnifiques claques. Le latex, encore, se mit à crisser, à couiner, avec ce son si caractéristique, et si agréable à entendre. Mélinda sodomisait cette fille et Alice depuis des heures, mais elle n’arrivait définitivement pas à s’en lasser. Oh, quel spectacle ! La vampire regardait la femme, voyant ses longs cheveux roses qui remuaient sur son corps. Elle soupirait de plaisir, se mordillant les lèvres, pinçant les moelleuses fesses de l’infirmière.

« Ah, Shiro, hmmm... !! »

Cette fille avait vraiment un cul magnifique. La verge de Mélinda s’y enfonçait voracement, filant dedans, pour repartir en arrière, et à nouveau devant. Et, tout en la prenant, elle pouvait sentir l’impatience d’Alice. Elle se dandinait sur place, la pauvre, couinant et gémissant, salivant abondamment. Même avec le gag ball sur ses lèvres, la salive réussissait à passer. Elle soupirait lentement. Oh, ce n’était pas la première fois que Mélinda faisait ça. Son amie était terriblement perverse, et, quand Alice était plus jeune, il y a quelques années, la vampire s’était amusée à l’attacher très souvent, développant sa perversion en la forçant à regarder de longues séances de sexe, pour qu’elle rejoigne ensuite son amie et ses esclaves. Le traitement était atypique, mais non moins efficace, et avait plutôt bien marché sur la Princesse.

Seulement, Mélinda y avait pris goût, et Alice subissait à nouveau ce spectacle horrible. Han, qu’elles étaient belles, toutes les deux ! Alice ne pouvait s’empêcher de les observer avec passion, une passion dévorante, car elle sentait son sexe flamber sur place. Papillonnant des yeux, la tête blonde couinait encore, tentant, vainement, de défaire ses liens. Elle n’y arrivait tout simplement pas, et gémit encore, essayant de les appeler, mais, en retour, n’entendait rien d’autre que leurs gémissements éhontés, leurs profonds soupirs de plaisir.

« Hmmmm-hmmmm...
 -  Ah, Shiro !! Mmmhmmm, ma chérie... !! Ton cul est vraiment magique ! »

Et elles continuèrent, encore et encore, pendant des minutes qui lui semblaient insupportables. Impossible de tourner la tête, alors elle fermait les yeux, mais les gémissements étaient encore pires, explosant dans ses oreilles. Alice sentit même des larmes de frustration rouler le long de ses joues, avant que les deux femmes ne finissent par se rapprocher. Mélinda, dans un ultime soupir, venait de jouir joyeusement en elle, et, une fois ceci fait, ne tarda pas à se rapprocher d’Alice, venant caresser son visage, son corps en sueur proche du sien.

« Haaa... Alors, ma chérie, hmmm... Tu es toute chaude, dis-moi...
 -  Hmmmm-hmmmmhmmm... !! »

Mélinda sourit malicieusement, et commença par ôter le serre-tête, puis glissa ses doigts contre la boucle retenant le gag ball, à l’arrière. Elle allait le retirer, mais retint ses doigts, en souriant à nouveau.

« Il va falloir être très convaincante, ma petite Alice... Sois la plus vulgaire possible, et je laisserai à Shiro le soin de déterminer si ta conviction pour te faire prendre comme une chienne est suffisamment convaincante pour que nous venions te soulager de ton tourment... »

Alice couina encore, semblant déglutir, tandis que la vampire, elle, se régalait de ce sang en fusion, qui bouillonnait à toute allure dans le corps de la jeune femme. Oh, quel sang délicieux ! Mélinda retira alors la boule, qui tomba sur les cuisses d’Alice, rebondissant dessus pour tomber ensuite par terre. Déglutissant sur place, la Princesse releva la tête, soupira, puis se lâcha alors :

« Pi... Haaa... Baisez-moi... Baisez-moi comme une grosse chienne, car... Haaa, j’ai envie de vos queues, j’ai envie de vous sentir me baiser comme une grosse salope ! Hmmm... »

De tels mots dans la bouche d’Alice étaient terriblement excitants. Elle se mordilla les lèvres, et reprit :

« Je vous en supplie, baisez-moi ! Prenez la pute que je suis, et fourrez vos grosses bites en moi, défoncez-moi, haaa... ! J’en peux plus, je... Je veux que vous me baisiez comme si j’étais la Reine des chiennes, pitié ! »

Shiro avait pu savourer le mandrin de Mélinda entre ses fesses, et maintenant elle se dirige vers la pauvre Alice, attachée et frustrée, avec de la bave au coin de la bouche et des larmes le long des joues. Quand la vampire décide enfin de lui retirer sa gag-ball, elle lui explique qu'elle va devoir être la plus vulgaire possible si elle veut être apaisé de toute cette frustration qui bout en elle. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que, une fois la gag-ball tombée, la princesse ne mâche pas ses mots.

« Pi... Haaa... Baisez-moi... Baisez-moi comme une grosse chienne, car... Haaa, j’ai envie de vos queues, j’ai envie de vous sentir me baiser comme une grosse salope ! Hmmm... Je vous en supplie, baisez-moi ! Prenez la pute que je suis, et fourrez vos grosses bites en moi, défoncez-moi, haaa... ! J’en peux plus, je... Je veux que vous me baisiez comme si j’étais la Reine des chiennes, pitié ! »

L'infirmière est toute émoustillée après ce petit monologue pervers. Pour elle, la décision est facile à prendre.

« Je crois qu'elle en a vraiment envie. Elle mérite qu'on lui offre sa libération. »

Sur ces mots, les deux maîtresses libèrent leur soumise de ses attaches, mais Shiro, après avoir partagé un délicieux baiser avec sa soumise, lui énonce une dernière règle qu'elle devra respecter si elle veut être libérée.

« Tu as dit que tu voulais être prise comme la reine des chiennes. Alors à partir de maintenant, je ne veux plus t'entendre parler, je veux t'entendre aboyer. Et aussi, tu dois te déplacer à quatre pattes. Tu n'auras le droit de parler et de marcher debout que pour faire les choses que tu ne peux pas faire autrement. Cette règle prend effet maintenant et restera en application jusqu'à demain matin. Ça te va ? »

En bonne soumise assoiffée de sexe, Alice accepte immédiatement cette règle, et l'infirmière libère sa tête en souriant.

« Alors file sur le lit. Allez. »

La princesse se met à quatre pattes et va jusqu'au matelas tout en aboyant. Sur le chemin, sa maîtresse lui donne une ou deux tapes sur le cul pour bien la motiver. Une fois avec elle sur le matelas, elle se met dans son dos, frottant son mandrin contre sa chatte humide et dégoulinante.

« Aboie une fois si tu veux que je te la mette ici. »

Elle frotte un peu, puis remonte son sexe jusqu'à l'autre entrée de la lycéenne, son anus étroit.

« Aboie deux fois si tu la veux ici. Et aboie trois fois si tu préfères l'avoir dans la bouche. »

Le sexe était vraiment une chose admirable. Aussi intelligent et cultivé que l’on soit, on ne pouvait jamais y échapper. C’était aussi simple que ça, et ce paradoxe, le paradoxe sexuel, avait toujours fasciné la vampire. Que ce soit des esclaves issus de bas-fonds populaires ou des souverains très éduqués, le sexe était une valeur cardinale dépassant toutes les conditions et les différences sociétales, car il relevait de pulsions ancestrales, préhistoriques, contre lesquelles on ne pouvait pas lutter. Le sexe était ainsi cette force fondamentale qui vous guidait, et qu’il fallait apprendre à maîtriser, sous peine de se faire maîtriser par elle. Alice, en un sens, le savait, et le remarquait. La jeune femme était terriblement frustrée, et suppliait qu’on la prenne, balançant toutes les insanités possibles pour qu’on daigne enfin la satisfaire.

Néanmoins, Shiro étant l’invitée, Mélinda lui laissait le choix. Fort heureusement pour Alice, l’infirmière sexy acquiesça, aussi excitée que Mélinda. Elles avaient beau coucher ensemble depuis des heures, Shiro et Mélinda étaient toujours aussi excitées. D’une simple humaine, c’était vraiment impressionnant. Elle avait un redoutable appétit sexuel, ce qui, à chaque fois que Mélinda se faisait ce constat, lui rappelait qu’être la copine de Tessia devait être une vie pleine d’énergie et de vitalité. Shiro, néanmoins, tout en acquiesçant, donna à Alice un ordre ultime. Cette dernière ouvrit les grands yeux, l’écoutant silencieusement, et hocha la tête. Mélinda en avait profité pour retirer les attaches d’Alice, Shiro venant l’aider. Alice était maintenant libre, et s’humecta les lèvres, puis répondit ensuite à la phrase de Shiro par un simple, mais non moins enjoué, aboiement.

« Wouff !! »

Alice se posa sur les genoux, puis fila en avant, et, à quatre pattes, rejoignit le lit, laissant derrière elle de légères traînées de cyprine. Mélinda souriait, suivant Shiro et Alice, voyant l’infirmière lui battre régulièrement les fesses. Alice grimpa ensuite sur le lit, et Shiro resta dans son dos, continuant à jouer avec elle, caressant son sexe érigé contre son corps. Mélinda avait proposé que les deux la prennent, mais elles avaient toute la nuit pour faire ça, et, pour l’heure, elle se voyait bien observer la scène. Alice avait donc le choix entre la position, mais, au vu du feu qui bouillonnait en elle, elle ne tarda pas à trancher :

« WOUUFF !! »

Un seul aboiement. Le choix était fait, et Mélinda, de son côté, avait ouvert un placard, et en sortit une caméra. Depuis que ses esclaves lui avaient appris à utiliser cet appareil, elle n’hésitait pas à filmer, et enclencha l’appareil. Elle retourna ensuite vers le lit, filmant le couple.

« Allez, mes chéries, ceci est pour la postérité... Hein, Alice ? Voir ma Princesse se transformer en une chienne, il faut bien que je filme ça. On le regardera ensemble, ma puce, tu es d’accord ?
 -  Wouff ! Wouff !! »

Alice ne se retenait plus, et, en souriant, Mélinda, qui s’était mise face à elle, tendit sa main, lui caressant les cheveux comme pour flatter la petite chienne, avant de remonter l’objectif pour filmer le corps de Shiro.

« Un petit mot pour la postérité avant de la baiser ? demanda Mélinda. Tu penses réussir à la faire couiner longtemps ?
 -  Wouff ! »

Mélinda frissonna alors, et, baissant la tête, constata qu’Alice avait avancé sa tête pour lécher son sexe, donnant des coups de langue dessus, ce que la caméra filma en se baissant. Souriant, la vampire tapota à nouveau la tête d’Alice, qui avait dû bien se tendre en avant pour pouvoir lécher l’extrémité de ce sexe.

« Quelle impatience, petite chienne ! Je n’aurais pas cru que tu puisses être aussi salope, pour être honnête... »

Autant dire que la nuit était encore bien loin d’être terminée !

Alice aboie une seule fois, Shiro se met donc en position pour la pénétrer par la grande porte. Déjà, ses lèvres intimes bavent d'envie à l'approche de ce mandrin qui caresse son entrée. De son côté, Mélinda se ramène avec une caméra pour filmer la scène pour la postérité, demandant une déclaration à l'infirmière.

« Eh bien je l'espère, et j'espère ne pas surestimer mes capacités. A première vue, je dirais que je peux la faire couiner une bonne demi-heure, peut-être plus. »

En même temps, la princesse avance sa tête pour pouvoir lécher le bout de la queue de la vampire, faisant frissonner cette dernière. Visiblement, la blonde ne pouvait pas attendre plus longtemps pour se faire prendre.

« Très bien ma belle... prépare toi à hurler. »

Shiro se met alors à onduler des hanches, allant et venant joyeusement dans l'intimité d'Alice avec son mandrin épais, la faisant couiner et gémir comme une grosse chienne en manque de sexe. L'infirmière assure sa prise autour du bassin de la princesse et pousse jusqu'au plus profond de sa chatte pour lui donner le plus de plaisir possible.

« Oh oui... haann... ça c'est ma chienne à moi... oohh... que c'est bon... »

Portée par le plaisir, Shiro se met à donner des fessée à Alice pour la faire hurler toujours plus.

« Haann... tu es une sale chienne... pire que la plus sale... des putes... aahh... je vais te défoncer... te faire hurler... oohh oui... et tu vas aimer ça. Aboie pour moi ! AAAHHH ! »

L'infirmière ne le sent pas mais, face à autant de plaisir, elle perd lentement le contrôle de ses pouvoirs, et sa voix devient plus enivrante encore qu'un aphrodisiaque. Les deux autres femmes présentes dans la pièce sont susceptibles d'en être affectées de diverses façons, aussi bonnes que mauvaises.

On pouvait féliciter Alice pour sa résistance et pour sa patience. Elle avait dû supporter le spectacle délicieusement insoutenable de ces deux beautés, perverses et malicieuses, se faisant longuement et sensuellement l’amour. Aucune personne de censée, à moins d’être totalement frigide, ou hermétiquement hostile au beau sexe, ne pouvait rester insensible devant ce spectacle... Et, en tout cas, ce n’était clairement pas le cas de la tête blonde, dont le sang bouillonnait furieusement, vibrant dans son corps.

*Oh, c’est si délicieux, une vraie symphonie du cul...*

La pauvre petite était vraiment en manque, et n’arrivait même plus à faire semblant. Quand Shiro et Mélinda s’approchèrent d’elle, la vampire sentit clairement un poids s’ôter de la poitrine d’Alice, puis elles s’enfoncèrent ensuite en elle, presque simultanément, Mélinda venant rapidement s’appuyer en posant ses mains sur les seins de la Princesse. Les mains gantées de Shiro, elles, s’appuyèrent sur les fesses d’Alice, et, quand les deux femmes la pénétrèrent, la jeune vampire se délecta des soupirs et des hurlements d’Alice, qui fut tellement heureuse, tellement heureuse, de se faire prendre... Oh oui, l’énergie incroyable dont Mélinda et Shiro faisaient preuve à son égard était tout simplement magique, et, de fait, Alice eut un orgasme au bout de quelques secondes de pénétration.

Mélinda, elle, ne la ménagea nullement, et s’enfonça rapidement dans son cul, remuant son corps en matraquant ses seins, les pinçant, mordillant son cou.

« Tu as déjà joui, hmmm... ? Petite coquine !! Tu en avais vraiment envie, h-hein ? Hmmm... De... De sentir nos queues s’enfoncer en toi !!
 -  HAAAAAANNNN... OOOO-OUUUUUIIIII !! OOOOUUUUIIIIIIIIIII !! HAAAAAAAA... !! »

Shiro y allait également de son petit couplet, la tête blonde se retrouvant ainsi coincée entre deux dominantes pure souche. Elle ne pouvait ainsi rien faire d’autre que gémir, se tortiller, et, toutes ses inhibitions ayant sauté, aboya, en réponse à la demande de Shiro, crispant ses mains sur les épaules de la femme, la griffant même involontairement.

« Haaaaa... W-Wooouuufff... !! Wooouuffff... !! Hnnnnnnnnnnnnn... !! Wwwwoouuuffff... !! »

Sa tête se pencha sur l’arrière, venant s’appuyer contre l’épaule de Mélinda, qui pinça alors douloureusement les seins de la femme, crispant ses doigts sur ses tétons, faisant alors hurler la jeune femme, et multiplia ses coups de reins, sentant rapidement Alice partir dans un deuxième orgasme, aussi puissant que le premier.

Partie comme elle était partie, leur Princesse allait se transformer en véritable femme-fontaine...

Le plaisir du moment est si fort que, en moins d'une minute, Alice a un orgasme retentissant, et sa mouille vient copieusement arroser la trique de Shiro. Immédiatement après, les trois femmes changent de position : la princesse fait face à l'infirmière, s'asseyant dans le creux de ses jambes et enfonçant à nouveau sa queue dans sa fente mouillée, et Mélinda vient se placer derrière sa soumise pour la prendre en sodomie, prenant appui sur sa belle poitrine. Elles se retrouvent toutes plongées dans un tourbillon de luxure et de paroles salaces, qui libèrent les inhibitions de chacune, et la lycéenne se met enfin à aboyer en réponse à la demande de l'infirmière, crispant ses mains sur ses épaules jusqu'à la griffer.

« Aahh... oh ma belle chienne en chaleur... ce que tu peux être bonne à prendre... haaannn... »

Shiro est, comme ses deux amantes, en pleine folie sexuelle, et elle se demande même si ses pouvoirs n'ont pas fini par l'affecter. En tout cas, regarder Alice se faire tripoter les seins par Mélinda a de quoi l'exciter, et elle sent bien son érection devenir plus forte dans l'intimité de la belle. En quelque minutes à peine, les deux dominatrices parviennent à faire jouir leur chienne docile, qui envoie encore un flot de mouille assez impressionnant sur le corps de l'infirmière, ravie d'avoir droit à autant d'attention. Elle relève le visage de la blonde pour lui donner un baiser, et enchaîne avec ses pouvoirs.

« Eh bien ma grande, tu ne m'avais pas dit que tu étais une chienne-fontaine. Tu aimes quand ta mouille fuse hors de ton vagin, et qu'elle arrose le corps de tes maîtresses ? »

Visiblement c'est le cas, à voir l'expression de plaisir sur son visage.

« Alors on va continuer. »

Les minutes suivantes sont entièrement consacrés à Alice, qui se fait prendre dans toutes les positions possibles par Shiro et Mélinda. Les deux maîtresses explorent tous les trous de leur petite chienne, la faisant hurler et jouir sans relâche, recouvrant le lit et une partie du sol de la chambre de sueur et de fluides sexuels. A la fin, l'infirmière et la vampire sont fatiguées, et la princesse est laissée haletante sur le lit. Difficile de dire si elle peut continuer ou pas, mais Shiro n'a pas envie de s'arrêter en si bon chemin.

« Vous savez les filles... je crois que je commence à prendre goût à l'autorité. Je comprends pourquoi tu aimes tant être la maîtresse, ma chère Mélinda : c'est un sentiment très plaisant. Et il y a une envie que j'aimerais... non, que je vais combler dès maintenant. »

Elle fait craquer ses doigts et affiche un sourire délicieusement pervers en regardant la vampire.

« Approche Mélinda, et viens sur mes genoux. Je vais te donner une fessée devant notre petite chienne. »

Bien sûr, Mélinda est libre de refuser, mais Shiro a le sentiment qu'elle va accepter, pour le plaisir pervers de passer de dominante à dominée.

Après tant d’attente, Alice méritait bien une sacrée baise… Et ce fut exactement ce à quoi elle eut droit. Infatigables, les trois filles étaient visiblement bien décidées à battre leur record personnel de sexe et de sauteries. Prise entre les deux femmes, Alice put ainsi les sentir remonter encore en elle, remuant dans ses entrailles. Mélinda pinçait ses seins, et ne tarda pas à jouir dans ses fesses, ce qui ne fut que le début d’une longue orgie où les pensées s’évanouirent. Les corps furent désormais les seuls à dominer et à diriger cette relation tripartite. Les trois beautés au visage angélique se transformaient en véritables bêtes affamées, sexuellement insatiables, multipliant les coups de reins dans le corps de la tête blonde. Après l’avoir prise en sandwich, elles la relâchèrent pour pouvoir mieux la prendre, Mélinda se couchant sous elle, et Shiro venant lui bourrer la bouche, crispant ses doigts sur ses cheveux. Le sperme ruisselait peu à peu, ainsi que la mouille. Le fait qu’Alice jouisse autant était le signe manifeste qu’elle était surexcitée. Avec les pouvoirs de Shiro, qui étaient décuplés, et le traitement qu’elle avait subi, elle sembla en réalité enchaîner les orgasmes, tant et si bien que, à chaque fois qu’un phallus se retirait de sa chatte, de la mouille ruisselait de cette dernière. Elle imbiba les jambes d’Alice, le corps de Mélinda, le sperme de Shiro, qui fusait en quantité dans sa bouche, se déversa également sur sa poitrine, sans parler du mobilier.

Les positions se multiplièrent graduellement, avec, comme toujours, le désir de pénétrer Alice. Son corps n’était désormais plus qu’un objet sexuel entre les mains de deux perverses, qui ne l’embrassaient même plus, se contentant de la baiser, au renfort de multiples soupirs, gémissements, et grognements. Mélinda la griffait, la mordait même un peu, sentant le corps d’Alice se recouvrir de sueur, la chambre entière n’étant plus qu’un amas de stupre. Elles quittèrent le lit pour qu’Alice se retrouva couchée sur le sol, baisée sur le ventre, avant de voir une queue s’enfouir dans son visage. Elle s’agitait nerveusement, frénétiquement, son corps se soulevant et s’abaissant sous le rythme des coups de reins qu’elle subissait.

Alice finit à quatre pattes, une bite dans le cul, une autre retournant labourer sa bouche, et ses bras se mirent à pendre, des bras ballants qui oscillaient dans le vide, tandis qu’elle papillonnait des yeux. Quand les deux femmes se retirèrent, Alice s’écroula sur le sol, avant d’être traînée sur le lit, où Mélinda la mordilla dans le cou en s’enfonçant dans son cul, répandant une onde de douleur qui fit hurler Alice, avant que Shiro ne vienne la faire taire en l’embrassant, et en retournant en elle. Le corps d’Alice était comme un aimant attirant les deux femmes, et la jeune femme finit par s’écrouler sur le tapis, après un ultime coup dans ses fesses. Mélinda la laissa s’écrouler sur le sol, couchée sur le flanc, et caressa son visage, retirant quelques mèches de cheveux qui obstruaient sa vue.

« Huuu… Pffff… Tu es encore consciente, Alice… C’est impressionnant… »

Mélinda respirait lourdement, de la sueur coulant en abondance sur son corps. Elle caressa les joues de la femme, glissant ses doigts sur ses lèvres, et déposa un bref baiser sur sa bouche, entendant Alice soupirer faiblement. Ses doigts en latex parcoururent ensuite les lèvres de la tête blonde, mais même ce contact, aussi frissonnant soit-il, ne semblait guère suffire à la réveiller. Ereintée, elle entrouvrit néanmoins les lèvres, permettant ainsi à Mélinda de caresser ses dents.

Shiro se mit alors à parler, et la vampire tourna la tête, esquissant un léger sourire en se relevant, faisant crisser ses bottes. Shiro voulait jouer à la Maîtresse avec elle, et Mélinda se rapprocha lentement d’elle.

« Tu es… Audacieuse, Shiro… Mais, rien que pour ta résistance, pour ton énergie… Je veux bien me prêter à ce petit jeu. »

Mélinda avait rangé son sexe en elle, et se rapprocha lentement. Des plaques rouges ornaient son corps, trahissant sa fatigue. Comme Shiro le soupçonnait, Mélinda avait rarement l’habitude de jouer la soumise, mais elle était aussi une Maîtresse assez ouverte, une ancienne esclave, et qui, en conséquence, aimait bien, parfois, se soumettre. C’était une chose qu’elle comptait faire en ce moment, et elle se rapprocha donc, caressant les jambes de Shiro.

« Mais… Tu comptes me donner une seule fessée, hum ? »

La vampire lui sourit, et rejoignit ensuite le lit, puis se glissa en avant, venant ainsi se coucher sur ses cuisses, remuant légèrement son petit cul.

« Bats-moi, ma chérie… Réveille la Maîtresse qui est en toi, Shiro… »