Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Amour filial [PV]

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Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 45 mardi 28 mars 2017, 11:44:10

Andy avait toujours été une grande gueule. Dans ses rapports sociaux, s'il n'était pas systématiquement l'alpha, il savait se faire respecter, y compris par la force lorsque les circonstances l'exigeaient. Plutôt dissipé en cours, il ne reconnaissait réellement l'autorité de personne. Lorsqu'il consentait à se comporter correctement, il estimait faire une fleur à ses professeurs. Sa relation avec Maria n'avait pas échappé à la règle. Grisé par leur relation incestueuse, il avait tenté d'abolir l'ascendant naturel de sa mère sur lui... Et il était presque parvenu. Mais aujourd'hui, le corps secoué de spasmes de plaisir, un gode coulissant brutalement dans son rectum, le jeune homme se rendait compte qu'il avait tenté de briser l'ordre naturel des choses et qu'il en subissait à présent les conséquences. Conséquences à la fois douloureuses et... terriblement jouissives.

« Par...Pardon maîtresse, j'ai été impoli...Hum... »

Lorsque sa mère dévoila le miroir qui se tenait devant eux, Andy écarquilla les yeux, rougissant à son propre reflet, et à la position scandaleuse dans laquelle il se trouvait. Maria, aussi fière qu'une impératrice, l'enculait vigoureusement, faisant ballotter sa grosse trique juteuse d'avant en arrière. Le fessant et le griffant sans vergogne, elle coulissait à présent aisément dans son cul, l'écartelant toujours davantage, le punissant à la hauteur de ses fautes. Hors de lui, le jeune homme profitait de la mince liberté de mouvement que lui offrait ses entraves pour reculer ses fesses musclées contre les hanches de sa maîtresse, s’empalant consciencieusement sur le gode.  Soudain, Maria s'écrasa dans son dos pour saisir sa grosse verge entre ses doigts fuselés et... Commencer à le branler, écrasant sans pitié sa hampe boursouflée, ses lèvres entrouvertes tout contre son oreille. C'en était bien trop pour le jeune homme. Au faîte du plaisir, un grognement rauque s'échappa de ses lèvres alors que sa grosse trique frémit dans la main de sa mère, avant d'expulser une quantité invraisemblable de foutre brûlant, souillant le sol, son propre torse et les doigts serrés de sa mère.

« Aaaaaaah....Mom… »

Son éjaculation lui sembla durer une éternité. Éternité pendant laquelle il fut agité de violents soubresauts, son corps athlétique tendu comme la corde d'un arc. Puis il fut pris d'un violent vertige et retomba vers l'avant, presque inerte, les yeux mi-clos et la bouche entrouverte, le souffle court ; l'orgasme avait été fulgurant. En nage, le regard vitreux, presque indifférent à la verge encore fichée dans son anus violenté, le jeune homme, incrédule avisa les longues giclées de foutre qui souillaient le sol de la cave. Il ne se souvenait pas avoir déjà juté autant dans sa courte existence.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 46 lundi 03 avril 2017, 00:09:30

Quand avait-elle franchi autant le point de non-retour ? Quand est-ce qu’elle était devenue la femme qu’elle était actuellement ? Cette perverse qui labourait le corps de son fils ? Et qui prenait littéralement son pied ! Maria ne se retenait plus, elle sodomisait brutalement sa chair, tout en continuant à le masturber. Et, le pire, c’était que son fils adorait ça. Impossible de le nier quand on avait une telle érection ! Il adorait sentir la violence de sa mère, cette autorité inébranlable qui s’exprimait à travers le sexe, et dont le but était de ramener son fils à de plus justes proportions à son égard. Elle continuait donc à le prendre, sans ménagement, tout en approchant de l’orgasme. Elle connaissait son fils, elle savait quand il était sur le point de craquer...

...Et il craqua.

Son corps se relâcha brusquement, Andy se trémoussa sur place, et relâcha d’épaisses quantités de foutre, jouissant abondamment sur le sol, se tortillant sur place, faisant cliqueter toutes les chaînes. Maria, elle, était plaquée dans son dos, de sorte que son gode s’enfonçait jusqu’à la garde dans sa croupe, ne le ménageant guère.

« Oohhhh... »

Elle se redressa finalement, et s’écarta, retirant son gode du beau cul de son fils, pour observer le travail. Il y avait du foutre partout autour de l’homme, y compris sur la main de Maria, celle qui avait tenu le manche pendant la manœuvre. Loin d’en être choquée, elle souriait, au contraire, avec une lueur profondément malicieuse dans la prunelle de ses yeux.

*Ça a marché ! Ça a vraiment marché !*

Du moins, c’était le sentiment qu’elle avait. Elle venait de torturer son fils, de le violer, mais Andy avait fini par adorer ça. De cela, Maria était sûre. Jusqu’à quel point est-ce que cela garantirait son autorité ? N’y avait-il pas le risque que, finalement, Andy joue volontairement au mauvais garçon pour avoir sa punition ?

*Oui, bien sûr, mais au moins saura-t-il alors qu’il a franchi les limites...*

Maria n’avait aucun précédent, à sa connaissance, pour savoir si elle prenait les bonnes décisions. De fait, dès qu’elle s’était engagée dans une relation incestueuse avec son fils, elle s’était placée en-dehors de la morale et des faits admis par la société. Elle s’était mise hors des rails, et devait maintenant apprendre à gérer ce qu’elle avait fait toute seule. Elle goûtait à ce frisson de luxure, qui était comme une roue, continuant à croître en elle, en appelant toujours plus.

Pour autant, il restait encore à Maria une ultime étape à faire, une ultime vérification à effectuer. Se raclant la gorge, elle reprit :

« Eh bien, tu as beaucoup joui, Andy... Est-ce que tu as compris la leçon, maintenant ? Que tu dois obéissance à ta Maîtresse ? »

Elle se rapprocha de lui, et murmura dans le creux de son oreille :

« Par contre, tu peux baiser ta mère autant que tu veux, petit monstre... »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 47 samedi 05 août 2017, 08:59:16

Humilié, le ventre couvert de son propre foutre, les chairs tièdes et meurtries, Andy avait promis une obéissance sans bornes à Maîtresse Maria. Après cette punition amplement méritée, sa mère l’avait autorisé à l’enculer à son tour et il ne s’était pas fait prier.
 
Curieusement, cette expérience les avait encore rapproché, et avait permis à sa mère de mieux s’imposer auprès de lui. Dorénavant, lorsqu’elle lui ordonnait quelque chose, Maria n’avait plus besoin de revêtir sa tenue de cuir pour se faire obéir… Ce qu’elle faisait toutefois de temps à autre pour varier les plaisirs. Et Andy aimait autant coucher avec la douce Maria, qui acceptait d’autant plus de se faire prendre sans ménagement par son vigoureux garçon en se faisant copieusement, que l’instant d’après elle pouvait lui demander de lui lécher les pieds. Bref, à la fois mère et amante, maîtresse et soumise, Maria était la seule et unique femme de sa vie. Toutefois, cet état de fait devait quelque peu évoluer dans les semaines à venir.
 
Il y avait dans la classe d’Andy, une jolie blonde prénommée Ashley. Ashley Duncan était issue d’une famille particulièrement riche, même pour le gratin de l’école. Son arrière-grand-père et son grand-père avaient respectivement exercé des positions politique et juridique parmi les plus prestigieuses et son père dirigeait une entreprise en assurance qui fonctionnait à merveille. Ashley avait donc absolument tout ce qu’elle voulait. Vêtements, bijoux limousine, garçons… Elle n’avait pas un mauvais fond, mais il lui arrivait fréquemment de se comporter en garce capricieuse, même si elle le regrettait souvent ensuite. Elle sortait généralement avec des garçons de bonne famille et ignorait royalement ceux qui étaient de basse extraction…Comme Andy.

A vrai dire, Andy – même si les filles s’accordaient en général pour dire qu’il était plutôt mignon – était l’un de seuls élèves de sa classe à ne pas être d’extraction grande-bourgeoise. Aussi était-il souvent l’objet de moqueries plus ou moins discrètes. La plus véhémente était naturellement Ashley, qui n’hésitait pas à le traiter de clochard et accréditait publiquement l’idée que Maria avait couché avec le proviseur pour qu’Andy puisse intégrer le lycée. Aussi Andy la détestait-il cordialement. Dans le même temps il éprouvait une attirance très forte pour son corps d’ado athlétique – la petite faisait du tennis-. La blondeur de ses cheveux, son impulsivité et la forme de sa poitrine – petite mais haut-perchée contrastaient énormément avec Maria, mais si mère avait naturellement la première place dans son cœur, il mourrait d’envie de culbuter brutalement cette petite effrontée. Ce qu’il ignorait, c’est qu’Ashley éprouvait des sentiments assez proches des siens à son endroit ; d’un côté elle le méprisait réellement, de l’autre, elle rêvait qu’il la coince un jour ou l’autre pour lui faire payer sa mesquinerie.
 
Andy et Maria en avaient discuté plusieurs fois – depuis que Maria lui avait montré qui commandait à la maison, Andy se confiait plus souvent à elle, et Maria affirma que la jeune femme méritait une punition exemplaire… Par extraordinaire, Maria avait connu Valentina Duncan à un club d’écriture vingt ans plus tôt, et s’étaient très bien entendues, même si elles avaient perdu contact. Andy ne sut pas exactement comment Maria avait procédé, mais un beau soir, en plein milieu du repas, Maria lui annonça que le lendemain – dimanche- Ashley viendrait prendre le thé chez eux. Le lendemain, Maria s’était faite belle, et avait forcé Andy à faire de même. Il portait une chemise qu’il sortait trois fois l’an du placard et un pantalon en laine mérinos. Il s’était même vaguement coiffé. D’un air morne, il surfait sur son téléphone, alors que sa mère préparait la table. Qu’avait-elle besoin de faire autant de chichis pour cette petite conne d’Ashley, puisque de toute façon, elle allait finir à quatre pattes… Du moins l’espérait-il ! En effet, Andy n’avait pas encore développé un goût très raffiné de la luxure...

Lorsque la sonnette de la porte d’entrée retentit, le jeune homme haussa un sourcil  mais dédaigna de se lever pour aller accueillir sa petite camarade, laissant sa mère s’en occuper.
« Modifié: samedi 05 août 2017, 18:29:18 par Princesse Alice Korvander »

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 48 dimanche 06 août 2017, 14:54:20

Plusieurs jours après...

« Franchement, Maria, vous devriez faire attention...
 -  Comment ça, Jerry ?
 -  Ce premier chapitre que vous m’avez envoyé, là... Vous voulez vraiment lancer une nouvelle série ? Parce que Béatrice Harper & Nina Troy, ça marche du tonnerre, et je...
 -  Vous n’avez pas aimé ce premier jet ?! »

Pointe d’angoisse subite. Ses doigts se crispèrent sur son iPhone. En quelques jours, elle avait écrit un premier chapitre d’une toute nouvelle histoire, et l’avait envoyé par mail à son éditeur, la seule personne au monde à savoir que Maria Dawson, son pseudonyme, était en réalité Anna Loveclair.

« Hein ? Vous rigolez ? C’était... Waaw, je dois vous admettre que je me suis masturbé comme un gros porc en le lisant, j’ai même dû m’y reprendre à plusieurs reprises ! Franchement, Maria, vous avez un talent fou, et cette histoire, là... Ça peut aller très loin !
 -  Oh...
 -  C’est le genre de trucs qui font toujours un scandale dans notre bonne société puritaine... L’inceste, c’est du sérieux, mais votre histoire... Elle est vraiment excellente. »

Maria se pinça les lèvres en souriant, rougissant légèrement. Raconter les aventures de Béatrice et de Nina, ça ne la tentait plus. En revanche, elle avait envie de coucher par écrit une version romancée (ou presque pas) de ce qu’elle vivait avec son fils, couchant ainsi par écrit tous les sentiments contradictoires qu’elle ressentait, puisqu’elle était à la fois horrifiée par cette relation très incestueuse... Et en même temps très excitée. Dans son histoire, elle pouvait exprimer les sentiments contradictoires que ça lui inspirait. Et Jerry aimait ça, car, à sa manière, Maria justifiait la relation incestueuse. De quoi créer des scandales à répétition, ce que les éditeurs adoraient, car on parlait de leurs livres.

En l’occurrence, Maria avait avec son fils une relation intense et fusionnelle. Sa technique de « Maîtresse » Maria avait fonctionné à la perfection, parvenant à calmer les ardeurs d’Andy... Sans pour autant que leur vie sexuelle ne diminue. Ils n’arrêtaient pas de baiser, copieusement, et diversifiaient maintenant leurs expériences avec du sadomasochisme. Le fait est que son fils s’avérait, malgré ses beaux muscles, être un bon masochiste... Et, elle, Maria, prenait de plus en plus goût au fait d’être une « Maîtresse »...

Ashley allait donc être leur proie. Pendant que Maria était sous sa forme dominatrice, et qu’elle masturbait son fils, il lui avait parlé de cette fille. Une bourgeoise, belle, mais cassante, et qui, cependant, était assez attirée par Andy. Elle s’était déjà moquée de lui, cherchant à faire l’intéressante, et Ashley y avait vu l’occasion d’agir sérieusement contre elle. Elle avait longuement pesé le pour et le contre, avant de finir par ordonner ce plan.

La soirée allait être très spéciale, et, après sa conversation avec Jerry, Maria vérifia une ultime fois toutes les étapes de leur plan, puis entreprit de se changer. Elle alla ensuite voir son fils... Dans une magnifique robe noire en cuir, qui lui allait à la perfection, et l’observa dans son costume. Elle l’aida à finir son nœud de cravate, avant de l’embrasser.

« Ne t’inquiète pas, mon chéri, tout va très bien se passer ce soir... »

Ce dernier baiser, juste avant qu’Ashley ne sonne à la porte, lui permit néanmoins de constater que son fils avait déjà une érection. Elle alla ouvrir à Ashley la porte de l’immeuble en appuyant sur le bouton de l’interphone, puis s’agenouilla, et ouvrit son pantalon, faisant sortir son gros membre.

« Là, voilà... »

Elle le suça donc, pompant son dard, sa grosse queue qui lui faisait tant envie. Il se débattit un peu, pendant que, dehors, Ashley avait rejoint leur palier, et sonnait à la porte... Mais rien n’arrêterait Maria tant que son fils ne jouisse pas, ce que ce dernier finit heureusement par faire. Maria se releva alors, en souriant.

« Voilà pour calmer ta grosse soif, ma chérie... Ne t’inquiète pas, tu auras l’occasion de me baiser dans ma robe. »

C’était la première fois qu’elle l’enfilait, après tout, et elle était flattée de voir que, non seulement elle lui allait bien, mais elle excitait aussi sensiblement son fils ! Elle ouvrit ensuite la porte, et fit un ravissant sourire à Ashley.

« Bonsoir, Ashley ! Je t’en prie, entre ! »

Elle lui fit un grand sourire, pendant qu’Ashley louchait très furtivement sur son décolleté, avant de sourire en retour, sans se douter du geste qui avait eu lieu il y a à peine quelques secondess.

« Merci pour cette soirée, Madame Dawson... Et salut, Andy ! Tu t’es mis sur ton trente-et-un, ce costume te va très bien ! »

Ashley avait, pour sa part, enfilé une élégante robe noire, et très moulante aussi...

De quoi offrir à Andy une longue soirée en perspective !

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 49 mardi 08 août 2017, 12:26:58

Lorsque la sonnette retentit, Andy avait le nez sur l’écran de son téléphone portable, qui affichait le jeu « clash of clan », sur lequel il passait beaucoup – trop – de temps ces derniers jours. Mais il oublié bien vite sa distraction du moment lorsque Maria sortit de la salle de bain. Elle portait une robe scandaleuse, à la limite de l’indécence, mais que son élégance naturelle et son port altier rendait seyante. Elle moulait ses belles fesses bombées, et cette généreuse poitrine dont Andy aimait tant martyriser les tétins.

« Maman, tu es magnifique », souffla-il, sincèrement, alors que sa mère remettait en place le nœud papillon qu’il avait maladroitement tenter de nouer autour de son cou. Agacé, le jeune homme pinça les lèvres et remonta le menton pour lui faciliter la tâche. Pourquoi diable avait-il besoin de se mettre sur son trente et un ? Ça n’était qu’un thé ! Lorsque maria l’embrassa toutefois, son agacement se mua immédiatement en excitation et ses doigts s’égarèrent sur la croupe de sa mère. « Hum… »

Puis celle-ci s’éloigna, afin d’aller ouvrir à Ashley. Andy la suivit tranquillement, composant un sourire de façade. Malgré son enthousiasme lorsqu’il baisait sa mère, et les mots fleuris qui franchissaient alors ses lèvres, Andy restait au quotidien, un garçon réservé, sensible au regard des autres. Ashley va sûrement me trouver ridicule, songea-il, en se mordant la lèvre inférieure. Maria du percevoir son appréhension, puisqu’elle le rassura en souriant. Il ne connaissait le plan de la jeune femme que dans ses tenants et aboutissants – amener la blondinette à coucher avec eux deux -, mais il lui faisait entièrement confiance. Sous ses dehors de housewife polie et sexy, Andy savait que sa mère était très intelligente… Mais aussi une incorrigible chienne. S’accroupissant sur ses hauts talons, Maria libéra sa grosse queue pulsante et goba avidement son gland violacé entre ses lèvres entrouvertes.

« M’man, arrête, pas maintenant ! Elle va arriver ! »
protesta le jeune homme, dont le cœur s’emballait. « Ooh… » La tête lui tournait. Il entendait le pas tranquille d’Ashley dans les escaliers, alors que sa mère le suçait, sans chercher à dissimuler d’obscènes bruits de succion. Andy cessa de résister. Attrapant les cheveux de jais de sa mère entre ses doigts, il ondula du bassin, envoyant ses couilles percuter le menton de sa mère. « Mhh hmm… », grogna-il, alors que l’orgasme s’approchait déjà, fulgurant. Un instant plus tard il s’appuyait contre la porte d’entrée en haletant, remplissant la bouche de Maria de son foutre épais, au moment où Ashley appuyait sur la sonnette. Maria se redressa rapidement et le reboutonna, avant de lui promettre mont et merveille. « J’espère bien, grogna-il », en s’efforçant de se remettre de ses émotions.
Ce fut donc un Andy au regard un peu halluciné, mais d’une élégance rare, que découvrir la jeune Ashley, qui ne l’était pas moins. « Ash tu… Toi aussi… cette robe te vas super bien ! » Bien mieux que l’uniforme du lycée en effet. Andy n’avait jamais vu Ashley autrement qu’en jupe, chemiser et longues chaussettes blanches…Cette petite robe lui donnait un air plus mature qui n’était pas pour lui déplaire. Un peu gêné, Andy regarda le bout de ses chaussures et… Son cœur fit un bond. Sur le parquet ciré, entre Andy et Ashley, se trouvait une petite tâche de sperme encore liquide, qui avait dû couler des lèvres de sa mère, sans qu’elle ne s’en rende compte. « Ahh. », laissa-il échapper, en reculant d’un pas. La lycéenne s’en était-elle rendu compte ? Visiblement pas, puisque sur invitation de Maria, elle pénétra chez eux, jetant des coups d’œil curieux à droite et à gauche.

« Heuu, on va passer au salon, Ash », reprit Andy, qui s’improvisait hôte pour éloigner le plus rapidement possible la jeune femme de l’entrée. Andy et Maria ne vivait pas dans un palace, c’était certain ! Mais grâce à ses livres, sa mère dégageaient des revenus de plus en plus confortables qui lui avait permis de faire ré-décorer la maison dans un style épuré et élégant. Dans le couloir qu’ils traversèrent, plusieurs reproductions d’estampes se faisaient face, et Andy vit la jeune femme rougir vivement, lorsqu’ils dépassèrent un tableau érotique. Finalement le trio, emmené par le jeune sportif déboucha dans le salon, et s’installa autour de la table basse sur lequel un service à thé fumant avait été déposé. Andy gêné, s’efforçait de pas regarder trop longtemps Ashley, non plus que sa mère pour ne pas que la blondinette ne soupçonne quelque chose d’étrange. Malgré lui, il ne put s’empêcher d’échanger un regard complice avec Maria. Ah, si la lycéenne savait que cette maman modèle venait d’avaler son foutre !


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 50 mardi 08 août 2017, 23:38:40

Le trio rejoignit donc le salon, Maria fermant la marche. Elle aperçut sur le départ une petite trace sur le sol, et sourit, comprenant la gêne d’Andy. C’était amusant de le voir si violent avec elle, si puissant, et si timide avec les autres, si nerveux. Ashley l’inquiétait, tout en l’excitant aussi. Il avait envie de coucher avec elle, et Maria aussi... Dans le dos de la femme, elle put voir sa chute de reins, et sourit, commençant toutefois à réaliser qu’elle était en train de risquer de perdre le contrôle. N’allaient-ils pas trop loin, en effet ? Est-ce qu’Ashley n’allait pas s’affoler ? Mais, après tout, elle avait bien accepté un dîner en compagnie de la mère d’Andy.

*Et puis, Andy est convaincu qu’elle l’aime...*

Pour quelle autre raison serait-elle venue ici ? Le regard de la jeune femme se posa sur les tableaux du couloir, notamment sur un tableau érotique. Rien de bien choquant, bien sûr, mais on put voir des gants en latex, et des combinaisons qu’on n’oserait pas sortir en public. Le regard d’Ashley s’attarda brièvement dessus, et elle rougit légèrement, avant de s’asseoir à table.

Le regard d’Andy croisa brièvement celui de sa mère, qui sourit encore. Avec sa robe en cuir et ses longs gants noirs, elle avait tout d’une dominatrice en puissance.

« Andy tenait beaucoup à cette soirée, Ashley...
 -  Ah bon ? sembla s’étonner cette dernière.
 -  Oui... Andy parle beaucoup de toi, en réalité, mais... Le fait est qu’il est un peu timide avec les filles.
 -  Oh... C’est bien ce qu’il me semblait !
 -  Et, puisque c’est l’homme de la maison, je compte sur lui pour aller chercher les apéritifs. »

Maria sourit à son fils, qui fila donc rapidement, bien conscient qu’il pouvait entièrement faire confiance à sa mère... Même si elle allait avoir besoin de lui. Assise face à Ashley, elle vit le regard de cette dernière glisser brièvement sur son décolleté, puis ses joues s’empourprèrent.

« Vous... Euh... Vous avez vraiment une belle robe, Ma... Madame...
 -  Oh, je t’en prie, tu peux m’appeler Maria, tu sais... »

La jeune femme hocha la tête, en se mordillant les lèvres. Maria devait bien reconnaître qu’elle était très belle.

« Andy m’a dit que tu venais d’une famille assez aisée...
 -  Oui... Enfin... Disons que c’est compliqué.
 -  Ton père, c’est John Duncan, non ? Le gérant d’une entreprise d’assurance récente, non ?
 -  Ouais... Enfin... »

Maria savait que cette société était très critiquée, et risquait en ce moment une class action pour pratiques commerciales agressives et démarchage contre les personnes âgées. L’entreprise de John Duncan, Protecting Wealth Insurance, PWI, s’était spécialisée dans la vente à distance de mutuelles pour personnes âgées, par le biais de démarchage téléphonique. Maria savait que les associations de défense des consommateurs avaient beaucoup d’adhérents protestant contre les mutuelles foireuses de PWI, et un cabinet d’avocat était en train de prévoir une action de groupe. Mais tout ça, Ashley n’avait guère envie d’en parler. Certes, son père avait de l’argent, mais il vivait surtout à crédit.

« En tout cas, j’espère que ma présence ne te dérange pas. Je m’en voudrais de briser ton rendez-vous galant avec Andy...
 -  Ce... Euh...
 -  C’est bien pour ça que tu es venue, non ? Mais, rassure-toi, je vais vous laisser seuls. C’est juste que... Tu vois, j’ai éduqué seule Andy, et je sais comment il fonctionne. Il veut toujours que je sois là en début de soirée, ça le rassure. Mais ne t’en fais pas, je vous laisserais seuls, je ne veux pas m’imposer ! »

Maria avait envisagé divers scénarii et plusieurs moyens d’approche, mais... En ce moment, il fallait surtout improviser !

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 51 vendredi 11 août 2017, 19:52:58

« M’man, enfin ! »

Andy rougit à son tour. Il savait que Maria ne se moquait pas seulement de lui pour l’asticoter…Même s’il nourrissait quelques doutes à ce propos. Lui timide ? Bon d’accord, probablement un petit peu…Mais pas lorsqu’il baisait sauvagement Maria en tout cas, ce qu’il lui communiqua par un regard appuyé sur son décolleté, à l’insu d’Ashley, qui s’installait sur un fauteuil.

« D’accord, j’y vais, j’y vais… »

Le jeune homme quitta la pièce pour se rendre dans la cuisine. Il s’empara d’un plateau, sur lequel il disposa trois verres et plusieurs bouteilles d’alcool, après quoi il se rapprocha en catimini de la salle à manger, prêtant l’oreille. Contrairement à lui, sa mère avait toujours été très à l’aise pour mener une conversation. Ashley, une fille pourtant populaire et habituée à côtoyer beaucoup de monde paraissait timide auprès d’elle. Cette dernière ne semblait pas très encline à parler de sa vie de famille. Au lycée, le bruit courrait que malgré tous les présents dont il la gâtait, la jeune fille avait une relation très conflictuelle avec son père, et qu’elle avait même quitté le domicile familial plusieurs fois.

Hum.

Andy leva les yeux au ciel lorsque sa mère évoqua à nouveau sa timidité. Pour qui diable le faisait-elle passer ! Mais en même temps… Elle n’avait pas tort, puisqu’Andy n’aurait jamais osé inviter la belle Ashley à sortir, sans l’aide de Maria. Se raclant la gorge, le jeune homme traversa la pièce avec son plateau, qu’il posa avec précaution sur la table basse, avant de retourner s’asseoir à côté de sa mère, sur le canapé…Celui-là même qui accueillait régulièrement leurs fougueux ébats. Quant à Ashley, toujours intimidée, elle se trouvait de l’autre côté de la table basse, sur un fauteuil en cuir, une jambe posée sur l’autre, ce qui faisait remonter sa petite robe noire sur ses cuisses. Surprenant le regard d’Andy, cette fois elle le soutint une bonne seconde, avant de s’emparer de l’un des trois verres.

« Je t’ai pas vu au lycée, la semaine dernière… Tiffany m’a dit que tu étais malade. J’espère que tu t’es bien remise en tout cas. »   

Il hésita à dire qu’elle lui avait manqué, mais trouva la formulation un peu ridicule. Il essaya d’en trouver une autre, mais n’y parvint pas. Rajustant sa position sur le canapé, son genou rencontra la cuisse nue de Maria. Trop habitué à ces contacts pour ne pas oublier qu’ils étaient suspects, il la tapota gentiment, appréciant la tiédeur de sa peau.

« Enfin bref, je suis content que tu sois venue… Oh tu sais, il faudra que je te montre mon mouchoir dédicacé par Pete Rose ! C’est Mom qui l’a rencontré dans l’avion… mais elle n’avait qu’un mouchoir en soie, du coup c’est là-dessus qu’il a signé… Quant Tom a vu ça, il était vert de rage ! »


Comme d’accoutumée, quand Andy était stressé, il racontait n’importe quoi. « Tom » était le dernier petit copain en date d’Ashley et leur relation s’était plutôt mal terminée, puisque ce dernier s’était amusé à envoyer les photos érotiques de la jeune femme à tout son entourage plus ou moins lointain, en disant à qui voulait l’entendre, qu’Ashley était une salope. Mais contre toute attente, Ashley lui adressa un léger sourire, alors qu’elle se détendait un peu, décroisant les jambes, offrant involontairement à Andy et Maria une fugace vision de sa culotte en dentelle – noire naturellement. Andy échangea un coup d’œil discret avec sa mère, qui n’avait évidemment rien manqué du spectacle.


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 52 mardi 15 août 2017, 02:41:21

« Et Tiffany m’a dit que tu lui en avais parlé. »

Visiblement, discuter avec Maria ne semblait pas déranger Ashley plus que ça. Pourtant, la jeune femme aurait tout à fait compris qu’elle puisse être embarrassée à l’idée d’être en rendez-vous galant avec la mère de son potentiel petit-ami. En fait… C’était vraiment le scénario typique du Tanguy nerveux, incapable de parler à une fille sans l’aide de sa mère. Le cas typique du trentenaire qui restait à la maison parce qu’il avait peur de sortir… Mais, dans leur cas, c’était un peu plus compliqué que ça. Maria hésitait, en réalité. Devait-elle partir, les laisser discuter, et revenir ensuite ? Ou rester là ? Ashley avait une vie difficile. Elle était belle, et avait l’habitude de s’habiller de manière provocante. Maria avait vu son Instagram, justement suite à son aventure avec Tom, et elle avait rapidement compris qu’Ashley manquait d’affection chez elle. Son père ne la battait sûrement pas, mais, avec les activités en difficulté de son entreprise, il avait moins de temps à lui consacrer.

*Peut-être est-ce pour ça qu’elle accepte aussi facilement ma présence…*

Tiffany était la meilleure amie d’Ashley. Elles se connaissaient depuis l’enfance, toutes les deux. Et Ashley avait été absente pendant toute une semaine, suite à l’épisode douloureux avec Tom. Tiffany en avait longuement parlé à  Andy, comme si elle savait que son fils était un garçon de confiance, quelqu’un qui respectait les femmes. Tom était le quaterback du lycée. Très populaire, il souffrait aussi d’un grand manque de confiance en lui, en raison de ses mauvaises notes, et était, en conséquence, un garçon violent et jaloux, possessif. Il avait parfois giflé Ashley quand il s’énervait, et, même s’il s’excusait sans arrêt après elle, Ashley avait vécu pendant plusieurs mois un véritable enfer, face à un petit-ami possessif. Pour Maria, il ne faisait aucun doute que, si Ashley avait souhaité qu’elle reste ici, c’était parce qu’elle offrait une présence rassurante.

Andy se mit à parler de la première anecdote à l’esprit, et, quand il évoqua Tom, Maria vit clairement les sourcils d’Ashley se froncer, ses dents se crisper… Mais elle n’en laissa rien paraître, et sourit même, tout en décroisant les jambes. Le geste n’échappa nullement à Maria, qui sourit délicatement à son fils.

« Mais j’ai été… Malade. »

Inutile d’insister davantage. Maria choisit d’intervenir à ce moment pour sauver la conversation, et éviter de s’embarquer dans des terrains glissants.

« Vous faites encore un bal de fin d’année au lycée, non ?
 -  Euh… Si, si, pourquoi ? »

Maria sourit encore.

« Mon fils n’en a peut-être pas l’air, mais je lui ai appris à danser, tu sais. Je sais que votre lycée est un peu ringard au niveau du bal de fin d’année, et aime les grands classiques… J’ai participé à l’organisation de certains bals, moi aussi. Chaque année, il y a toujours Johnny B. Goode. Je crois que l’un des organisateurs est un fan de Retour Vers Le Futur.
 -  Mouais… Honnêtement, je trouve ça un peu ringard, mais… Mon père tient à ce que j’y aille. Et je trouve que tu portes très bien le costume, Andy. »

Un nouveau sourire traversa les lèvres, qui se pencha alors en avant pour récupérer un toast, faisant craquer sa robe… Et mettant en valeur son décolleté. Et, cette fois, elle vit clairement Ashley, non seulement regarder son décolleté plongeant, mais aussi ses joues s’empourprer à nouveau.

*Tiens, tiens… Se pourrait-il que tes déconvenues avec les hommes t’aient amené à te pencher vers l’autre sexe, Ashley ?*

Petit à petit, Maria discernait Ashley, tout en se faisant vraiment l’effet d’être une espèce de couguar traquant les jeunes adolescents… Et, loin de la gêner, l’idée ne manquait pas de l’exciter. Après tout, Maria était pour le partage et le rapprochement des générations.

Et elle était de plus en plus convaincue qu’Ashley n’était pas contre non plus…

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 53 lundi 21 août 2017, 15:31:49

Andy et maria vivaient depuis de très nombreuses années en vase clos. Maria travaillait à la maison, et ne s’absentait que quelques jours pour ans, pour déjeuner avec son éditeur. Ecrivant sous pseudonyme, elle n’acceptait évidemment pas les séances de dédicaces, mais répondait parfois à ses fans par courriels. Aussi était-elle le plus souvent présente pour Andy, qui, en retour, préférait la compagnie de sa mère à celles de ses petits camarades. Naturellement, le fait de coucher tous les jours – voire plusieurs fois par jour – avec elle, avait renforcé cet état de fait. Aimé et comblé sexuellement par sa mère, le blondinet n’avait aucune raison de se chercher une petite amie. Il n’avait pas d’amie fille non plus, même si ces derniers temps, Tiffany, la meilleure amie d’Ashley se montrait sympathique à son endroit. Vidant un second verre de vin blanc sans véritablement s’en rendre compte, il haussa les sourcils lorsque Maria évoqua le bal de fin d’année, qu’il avait pour ainsi dire complètement oublié. Sa mère lui avait effectivement fait répéter de nombreux pas de danse, d’abord pour s’amuser lorsqu’il était enfant, puis plus sérieusement lorsqu’il avait grandi. Andy était en réalité assez doué, mais jusqu’à présent il n’avait dansé qu’avec sa mère. Il avait en effet manqué les deux bals précédents, n’osant pas inviter de cavalière.

« On pourrait y aller ensemble si tu veux. Au bal », lâcha-il, un peu trop vite. « Ça me ferait vraiment plaisir de t’avoir comme cavalière ! »

Après tout, Andy était un compétiteur, malgré son tempérament paisible. Et montrer ses talents sur une piste de danse était quelque chose qui lui manquait parfois. « Si tu veux, on peut faire un essai », résolut-il, en souriant. Andy savait qu’avec les filles, il fallait savoir prendre les choses en main. L’alcool aidant, il était parvenu à dépasser sa timidité. Attrapant la télécommande de la chaine stéréo, il l’alluma et les premières notes de Start a fire de John Legend retentirent, alors qu’Andy s’était levé, tendant la main à leur jeune invitée. Le regard d’Ashley vers sa mère ne lui avait pas échappé, non plus que son trouble évident. Sa mère plaisait-elle à la jolie peste ? Il fallait dire qu’il n’y avait guère plus ravissante que Maria pour éveiller des pulsions saphiques. Sa mère lui avait récemment raconté qu’elle avait déjà fait l’amour avec des femmes, mais ne s’était guère étendue sur le sujet… Quoiqu’il en soit, cela expliquait pourquoi elle décrivait aussi bien les relations sexuelles entre Beatrice Harper et Nina Troy, les héroïnes de ses romans. 

« Suis-moi, tu verras ce n’est pas difficile », lança-il, en l’amenant doucement vers lui. Un frisson lui électrisa l’échine à son contact ; en réalité c’était la première fois qu’il touchait Ashley Duncan. En fait, c’était presque la première fois qu’il touchait une autre femme que sa mère.

La main de la jeune femme était tiède et douce, plus petite que celle que de sa mère. Posant doucement sa main sur la hanche de sa cavalière il improvisa quelques pas simples de gauche à droite, s’assurant qu’Ashley le suivait, ce qu’elle faisait assez bien, ses yeux rivés aux siens. Moins expérimentée que sa mère, la jeune fille, comme la plupart des adolescentes se déhanchais déjà sur les pistes de danses depuis plusieurs années. Ce fut d’ailleurs elle qui s’enhardit un peu, se laissant partir en arrière, pour revenir vers son cavalier une fois son bras tendu. De là où elle se trouvait, Maria devait avoir une vue absolument mémorable sur le fessier rebondi de la lycéenne, moulé dans sa petite robe noire, ainsi que sur ses petits seins qui tressautaient, en l’absence de soutien-gorge. Un peu échauffée elle aussi par l’alcool, la blondinette rougissait. Voyant qu’elle fatiguait, Andy finit par interrompre la danse, s’inclinant devant sa partenaire en souriant, avant de se tourner vers sa mère, plutôt fier de lui.

« Je suis sûr qu’avec un peu de pratique, nous pourrions gagner le prix du meilleur couple du lycée ! » Andy s’empourpra légèrement. « Enfin, je voulais dire couple de danseurs. »

A chaque bal, Andy savait que l’école récompensait le meilleur duo, en prenant en compte des caractéristiques assez opaques, telles que les tenues, coiffure, qualités de danseurs ou… Influence des familles respectives sur le conseil d’administration, cette dernière donnée étant bien évidemment inconnue du jeune homme. Ce prix, Ashley ne l’avait jamais gagné, tout simplement parce que Tom, son ex, détestait danser. Le prix étant symbolique, et les gagnants ne remportaient qu’une bouteille de champagne, mais pour Andy, c’était décidé : il allait le remporter, avec Ashley Duncan à son bras. Saisissant de nouveau la petite télécommande de la chaine stéréo, Andy en baissa le volume et retourna s’asseoir, mais cette fois à côté d’Ashley, et donc en face de sa mère. La main d’Ashley était toujours dans la sienne, et la blondinette ne fit pas mine de la retirer, alors qu’elle portait son verre à ses lèvres.


Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 54 mercredi 23 août 2017, 13:22:41

La « petite peste » avait l’air bien timide et bien sage ce soir. Était-ce la présence de Maria qui la perturbait ? D’aucuns auraient pu l’être. Après tout, faire un rendez-vous galant en compagnie des parents de l’autre, ce n’était jamais très agréable. Pour autant, Maria était convaincue que ce n’était pas tant sa présence qui dérangeait, qu’autre chose. Ashley lui faisait l’effet de ces filles qui aimaient faire les pestes pour attirer l’attention, ces personnes en manque d’affection qui, se refusant de l’admettre, se comportaient mal. Tandis que son fils entraînait la jeune femme à côté de la table pour lui montrer qu’il dansait bien, la mère, elle, réfléchissait. Cette scène ressemblait en réalité à l’une des scènes qu’elle affectionnait écrire dans ses romans. Et, comme si elle était à la place de l’un de ses personnages, Maria réfléchissait soigneusement aux options à suivre. Ce qu’ils proposaient à Ashley n’était nullement avouable. Il s’agissait, non seulement de faire l’amour dès ce soir, mais aussi à trois, le tout dans une relation incestueuse. Autrement dit, beaucoup d’éléments qui rendaient la chose difficile à accomplir, et aux enjeux considérables. Maria n’avait nullement envie que la relation avec son fils devienne publique, d’où ses réflexions.

Son fils dansait bien, et, pendant qu’il le faisait, Maria s’était servie un verre de sangria, en buvant quelques lampées tout en voyant, petit à petit, Ashley tournoyer près d’elle, sa robe moulant très bien son agréable fessier. Andy ne s’était pas trompé sur son compte. Ils avaient parlé de leurs préférences sexuelles à un moment, après avoir fait l’amour pendant une bonne partie de la nuit. Son fils l’avait brutalement sodomisé en la prenant en levrette, et, après, il lui avait demandé si elle avait déjà couché avec des filles. Tout était parti comme ça, une brève conversation, mais qui avait visiblement donné des idées à Andy… Tout comme elle en avait eu en comprenant que, comme elle, son fils était bisexuel.

Qui aurait cru, en l’état actuel, que les vieux clichés sur le bal de fin d’année marcherait ? Mais Maria était bien placée pour savoir que, malgré le vent de modernité qui soufflait en ce début de nouveau millénaire, les traditions avaient encore la vie dure. Les Américains restaient encore attachés à ce bon vieux bal, qui était un moyen de cohésion sociale, et de rapprochement.

*Pour autant, je suis sûr qu’il n’y a pas que le bal derrière ta présence ici, Ashley…*

Cette dernière souriait, en complimentant les talents de danseur d’Andy.

« Ta mère n’a pas menti, tu es vraiment doué, Andy ! »

Elle s’assit à côté de lui, et Maria fit alors une rapide précision :

« Je ne mens jamais quand il s’agit de mon fils… Mais tu peux m’appeler ‘‘Maria’’, tu sais, nous sommes entre nous. »

Maria lui fit un léger sourire en coin, révélant une partie de ses belles dents blanches, faisant délicatement rougir la jeune femme.

« Oui, euh… Je ne sais pas si c’est très approprié, en vrai… Vous…
 -  Hin-hin ! On ne me vouvoie pas non plus, ça me vieillit. Tu me trouves vieille, peut-être ?
 -  Hein ? Euh… Non ! Vous… Euh… Tu… Enfin… Ça va, quoi… »

Maria sourit encore. Elle l’avait suffisamment écrit pour savoir que le désir était comme un train qui partait en gare. Au début, c’était lent, la machine cahotait, comme si elle allait s’arrêter dès le début, se heurter à une avarie quelconque… Puis, après, la machine s’ébranlait, et démarrait, décollait rapidement. Elle se redressa alors, et précisa aller chercher de nouveaux toasts. Elle partit alors, et Ashley se pinça les lèvres. Difficile de ne pas voir la légère rougeur sur ses joues. La jeune femme regarda Maria partir, et se tourna vers Andy, avant de lui préciser, à voix basse :

« Dis, euh… Je sais que je ne devrais pas dire ça, mais…  Ta mère est vraiment canon. »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 55 mardi 29 août 2017, 11:24:24

La soirée organisée par Maria était particulièrement agréable. Après tout, Andy buvait du vin en compagnie de deux magnifiques jeunes femmes, que pouvait-il y avoir de mieux en ce monde ? C'est du moins ce dont le jeune athlète essayait de se persuader, s'efforçant d'écarter toute pensée déplacée de son esprit. Lorsque Maria et lui avaient discuté de ce soir, il imaginait que les choses glisseraient d'elles-même vers le stupre à un moment donné... Comme c'était souvent le cas avec sa mère. Force était de constater que tel n'était pas le cas. Après tout, toute aussi polie qu'elle fut, Ashley était une étrangère. Elle appartenait au monde extérieur, un monde étriqué et bien-pensant qui reprouvait l'inceste... Et même la sexualité dans son ensemble. Si elle découvrait qu'Andy et Maria faisaient l'amour et qu'elle en était outrée, de terrible conséquence risquaient de frapper le couple incestueux. Une fois rassis, les sourcils légèrement plissé de sa mère lui révélèrent qu'elle partageait peut-être une partie de ses réflexions.

« Merci, Ash », répondit-il en souriant, sensible à la flatterie, d'autant qu'il la savait méritée. « Tu n'étais pas mal non plus. »

Semblant oublier sa menotte tiède, toujours dans celle de son partenaire, Ashley discutait avec sa mère, qui mettait un point d'honneur à la faire rougir. Andy ne put s’empêcher d'esquisser un petit sourire en songeant que la blonde terrorisait jusqu'à certains de ses professeurs au lycée, mais qu'elle balbutiait comme une gamine prise en faute devant la beauté sculpturale de sa mère. Après une dernière boutade, Maria se leva et quitta la pièce, le laissant en tête à tête avec la Pom-Pom girl. Surprenant une nouvelle fois son regard sur la croupe de sa mère, Andy fit mine de n'avoir rien remarqué.

« Maman ? Oh tu sais, c'est difficile pour moi d'en juger, après tout je suis son fils... »,
rétorqua-il, en affectant un air détaché. « Mais c'est vrai que mes copains m'ont toujours avoué qu'ils la trouvaient superbe.... Mais t'es la première fille qui me dit ça ! » Il savait qu'il la prendrait en défaut en rusant de la sorte, le lesbianisme ou la bisexualité étant encore assez mal vu chez les riches descendants de wasp, et ne se trompa pas. 

Profitant du trouble de la jeune femme, il se rapprocha d'elle, jusqu'à ce que son épaule nue touche la sienne. Avec douceur, Andy se pencha en avant pour replacer quelques mèches rebelle de l’adolescente derrière son oreille. « T'inquiète pas, Maman et moi on est plutôt tolérants ! » Jetant un coup d’œil vers la porte, comme s'il craignait le retour de sa mère, qu'il entendait s'affairer dans la cuisine, Andy reprit d'une voix posée. « Moi je trouve que c'est toi qui est canon, cette petite robe te met carrément en valeur ». Andy avait beau être jeune, il savait qu'il valait mieux complimenter une femme sur ce qu'elle avait choisi de porter que sur sa beauté. Après tout, une jolie femme n'avait en soi aucun mérite, au contraire de celle qui prenait le soin de s'apprêter pour un rendez-vous galant. L'alcool avait beau l'avoir détendu, il avait le cœur qui battait à tout rompre. Et si elle l'envoyait sur les roses ? Ca allait être la méga-honte demain, au lycée... Glissant son bras autour des épaules de la jeune femme, en profitant d'une musique plus langoureuse que la précédente, il apprécia la tiédeur et la fermeté de ce corps d'adolescente sportive, qu'elle entretenait soigneusement. Le parfum qu'elle avait choisi montait à la tête et petit à petit, son souffle se raccourcissait, alors qu'une chaleur sourde s'emparait de son bas-ventre. 

*Allez Andy, c'est le moment !*

Avec cette maladresse propre aux premiers émois, Andy se pencha un peu trop brusquement vers Ashley, mais ce fut avec douceur qu'il joignit ses lèvres à celles de la petite blonde, sa main posée sur sa nuque tiède. Ashley avait des lèvres douces, au goût presque sucré qu'apprécia le jeune sportif en fermant les yeux...Avant de reculer lorsqu'il entendit sa mère rentrer de nouveau dans la pièce. Non pas qu'il pensait que Maria reprouverait son acte – bien au contraire, mais il ne fallait pas qu'Ashley se doute de quelque chose.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 56 lundi 04 septembre 2017, 01:05:54

Difficile de croire, quand on savait combien il la bourrait, que son petit Andy était en réalité un grand timide. Mais Maria le connaissait bien, et savait qu’il fallait lui laisser un peu de temps pour s’approprier une situation, et ainsi aller mieux. C’était un bon garçon... Même s’il aimait baiser sa mère. Maria s’écarta donc, car elle sentait qu’Andy était proche, qu’il la ferrait. À ce niveau, il aurait fallu être aveugle pour ne pas voir la confusion d’Ashley, et en déduire que la situation l’excitait fortement... Tout se déroulait encore mieux que ce qu’elle pensait, et elle choisit de se rendre aux toilettes, en réalisant qu’elle était bien plus excitée que ce qu’elle pensait. Elle tira sa culotte, et se masturba donc, en laissant son imagination filer, se pinçant les lèvres pour retenir ses gémissements.

Ashley, de son côté, rougit en réalisant qu’elle s’était sans doute fourvoyée en commentant ainsi le corps de la mère d’Andy, et se rebiffa sur place, en craignant que son ami n’interprète mal ses propos.

« Hein ? Oh, non, ce... Ce n’est pas ce que... »

Il lui lança alors qu’elle était « canon », et Ashley rougit furieusement, en baissant les yeux, et en sentant une chaleur croître en elle. Elle se rabattit ensuite derrière un sourire, et glissa quelques mèches de cheveux derrière ses oreilles :

« Eh bien, Andy, je crois que l’alcool te désinhibe un peu... Mais je dois bien admettre que ce n’est pas déplaisant. »

Il continua même, jusqu’à l’instant fatidique, où ses lèvres se posèrent aux siennes. Un bref baiser... Qui dura ensuite. Ashley ferma les yeux, et posa ses mains sur le torse de l’homme, en soupirant encore, répondant alors clairement à son baiser, un frisson involontaire s’échappant de son organisme au contact du corps de l’homme contre le sien. Elle entendit soudain des bruits de pas, et sursauta, prise sur la faute, en voyant Maria revenir. Cette dernière s’arrêta sur le palier du salon, sa culotte et sa robe remise en place, et observa le duo, sans rien dire.

« Je... Euh...
 -  Tu as embrassé mon fils ?! demanda brusquement Maria.
 -  Je... Euh...
 -  Change de disque, ma fille, tu te répètes.
 -  H-Hein ? »

Maria secoua la tête, et se rapprocha alors. Elle sourit plus franchement, et posa sa main sur le menton de la femme, qui, sans rien dire, écarquilla les yeux... Puis Maria l’embrassa alors en retour, brûlant toutes les étapes, profitant de la confusion de la jeune femme. Et elle sentit bien que quelque chose venait de se coincer dans l’esprit d’Ashley, qu’elle n’arrivait pas encore à joindre les deux bouts.

« Mais... Qu’est-ce que vous faites ?
 -  Il n’y a aucune raison de t’inquiéter, Ashley, tenta de la rassurer Maria. Moi aussi, je te trouve très belle, tu sais... »

Ashley cligna des yeux, la panique commençant à naître en elle, ce que Maria voyait dans ses yeux.

« N-Non, lâchez-moi, ça... Ça devient trop dingue, là, putain ! »

Elle la repoussa alors, visiblement pas encore prête à sombrer dans la luxure, et se précipita vers la surprise. La panique aurait pu gagner l’esprit de Maria, mais elle se contenta de sourire à Andy. Elle avait déjà prévu toutes les éventualités, et Ashley le réalisa en constatant que la porte était fermée.

« Hey... Hey putain, libérez-moi, merde ! Au secours !! »

Maria ordonna à son fils de la neutraliser, en lui tendant une bouteille de chloroforme, qu’elle imbiba dans une serviette. Il était plus rapide qu’elle, plus costaud, et comprit surtout que sa mère ne plaisantait pas. Ashley faisait une crise de panique, refusant d’admettre ce qu’elle avait ressenti... Mais il était trop tard pour elle pour reculer.

*Il est temps de passer aux choses sérieuses.*
« Modifié: dimanche 10 septembre 2017, 12:55:14 par Princesse Alice Korvander »

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 57 vendredi 08 septembre 2017, 19:31:38

Maria s'était longuement attardée, permettant à Andy de s'enhardir, mais lorsqu'il décolla ses lèvres de celle d'Ashley, elle était bel et bien là, campée sur ses talons sur le pas de la porte. Andy se retint de sourire devant la déconfiture d'Ashley. Il était sur un petit nuage. Ashley ne l'avait pas rejetée. Bien au contraire, elle avait pressé ses lèvres contre celle de l'adolescent, s'abandonnant dans ses bras musclés. Un bref regard appris à Andy que sa maman s'était branlée : le rouge de ses joues et son regard légèrement trouble étaient éloquents...Et puis il la connaissait par cœur, à présent. Profitant de la surprise de la blondinette, sa mère traversa le salon en trois enjambées et se baissa pour à son tour embrasser Ashley, pressant ses lèvres entrouvertes contre les siennes. Andy lui-même en fut surpris, alors qu'une sourde chaleur s'emparait de son bas-ventre, le sang affluant vers sa queue.

« Woah... »

Voir sa mère embrasser une autre fille, c'était probablement le truc le plus excitant qu'il ait jamais vu ! Mais le jeune homme ne put guère profiter davantage du spectacle, puisqu'Ashley commença à paniquer, se débattant entre ses bras. Il fallait se mettre à la place de la jeune femme, vu de l'extérieur, la situation était clairement complètement barrée.

« Ash, calme-toi, tu... on ne te fera pas de mal, tu sais ! »

Bien au contraire. Mais cela, malgré l'excitation qu'elle ressentait, Ashley n'était pas prête à l'entendre, encore moins à l'accepter. Du moins pas encore. La jeune femme tenta de se lever, probablement pour s'enfuir, mais la main d'Andy sur son épaule la rassit avec autorité, après un rapide regard échangé avec Maria. Le jeune homme avait une confiance absolue en sa mère. Le risque qu'il étaient en train de prendre était énorme, voire fou, mais si Maria pensait qu'ils ne risquaient rien, alors elle devait avoir raison. Comme dans un rêve, il se vit ceinturer solidement la jolie petite blonde d’un bras, saisissant le mouchoir imbibé que sa mère lui tendit. Appliquant posément le tissu sur les lèvres d’Ashley, qui commençait à hurler, il la berçait tranquillement, faisant preuve d’un sang-froid qui le terrifiait presque lui-même. La dernière chose que se rappellerait Ashley de cette fin de soirée, serait l’énorme renflement dans le pantalon d’Andy alors qu’il la maîtrisait.

« C’est bon, elle dort », remarqua finalement Andy, alors que le corps gracile de l’adolescente se relâchait, et que ses bras retombaient le long de son corps. La reposant délicatement dans le canapé, il interrogea sa mère du regard. « On fait quoi maintenant, on la descend ? » La réponse à cette question était évidente. Contrairement à la maison, le sous-sol était très bien isolé. Qui plus est, Maria et Andy l’avaient récemment réaménagé pour qu’il soit plus agréable. Ne pouvant résister, Andy remonta doucement la robe d’Ashley sur ses cuisses, avant d’écarter la petite culotte de cette dernière pour dévoiler une vulve luisante et entrouverte, qu’il désigna à sa mère avec un sourire entendu.

Lorsque la jeune femme se réveilla, elle était suspendue à une croix en bois, entravée aux poignets, ainsi qu’aux cheville. La position dans laquelle Andy l’avait attaché – suivant les conseils de sa mère, n’était pas trop inconfortable, mais les liens étaient suffisamment serrés, afin qu’elle ne puisse pas s’enfuir. Elle portait encore ses vêtements, mais un chiffon lui avait été enfoncé entre les dents, pour étouffer ses cris éventuels. Autour d’elle, les murs de la cave avaient été repeins. La salle avait été joliment meublée, et un grand lit trônait au beau milieu de celle-ci. A vrai dire, malgré l’absence de fenêtre, il était dorénavant difficile de réaliser qu’on se trouvait dans une cave… Du moins une partie de celle-ci. Car de l’autre côté d’une porte en bois, demeurait une pièce peu hospitalière, dans laquelle Maria punissait Andy, lorsqu’il n’était pas sage… Ou qu’il le réclamait.

« Re-bienvenue parmi nous, Ash. On aurait aimé éviter d’en arriver là, mais tu criais vraiment trop fort et cela risquait de nous attirer des ennuis… Maman et moi préférons rester le plus discrets possible. » Il marqua une pause. En vérité, Ashley n’avait peut-être pas encore tout compris… Mais cela n’allait pas tarder. Le jeune homme se tourna vers sa mère, qui jusqu’ici était restée un peu en retrait. « Maman et moi avons quelque chose à t’avouer… » 

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 58 lundi 11 septembre 2017, 01:09:22

« C’est tout à fait normal qu’elle panique, Andy. L’être humain a une impressionnante capacité à s’adapter à sa routine, et à refuser toute forme de changement qui lui apparaît comme trop fort. »

Peut-être auraient-ils aussi pu y aller plus doucement, plus longuement ? L’approche sûre aurait été que Maria n’intervienne pas, qu’elle laisse Andy sortir avec Ashley, et qu’elle précise la nature exacte de leur relation après coup. Mais cette approche sûre avait aussi ses défauts. Ashley, une fois très proche d’Andy, aurait pu paniquer en apprenant que son amant lui avait menti depuis tous ces jours. La vérité, à la réflexion, c’est qu’il n’y avait, dans ce type de scénario, aucune situation idyllique. Maria se reposait sur ce qu’elle avait entendu d’Ashley, à savoir que la jeune fille n’avait pas grand-chose de puritain, ni de très catholique. En manque de reconnaissance et d’amour de ses parents, elle avait une réputation sulfureuse au sein du lycée. Et puis, elle était clairement bisexuelle. Maria était sûre de pouvoir la convaincre. Ashley lui rappelait certains des protagonistes qu’elle avait écrit, ou des personnes sur lesquelles elle s’était renseignée, de jeunes ingénues qui se réfugiaient dans le sexe, l’alcool, et la drogue, pour que quelqu’un puisse les aimer. C’était, somme toute, continuellement le même problème : un manque de reconnaissance et de reconnaissance de l’enfant vis-à-vis de ses parents.

Le trio se trouvait donc dans la cave, une belle pièce que Maria et Andy avaient aménagé comme une véritable salle SM, leur donjon. Après tout, ils étaient dans un immeuble commun, mais les caves étaient très solides. De plus, Maria disposait d’une cave assez grande, permettant d’entreposer, non seulement un lit, mais aussi plusieurs membres. C’était une pièce qu’elle remplissait progressivement. Quand Ashley se réveilla, elle se mit à gémir.

Maria avait pris soin de remplacer le chiffon d’Andy, facile à retirer, par un instrument plus connoté sexuellement, un gag-ball, et sourit en se rapprochant lentement de la femme, qui semblait totalement paniquée.

« Ashley, Ashley... Il faut que tu te calmes, ma chérie, et que tu m’écoutes très attentivement.
 -  MMMHMMMM... !! HMMMMMMMMMMMMMMM... !! HMMMMMMMMMMMMMM... !! »

Maria soupira, et croisa les bras, en attendant qu’Ashley se calme. Elle se débattait, tirant vainement sur les sangles, les yeux au bord des larmes, probablement convaincue qu’elle allait se faire tuer. Inutile de vouloir raisonner avec elle dans cet état de panique, Maria choisit donc de rester silencieuse pendant quelques instants, jusqu’à ce qu’Ashley ne commence à se calmer, après avoir constaté qu’elle était bel et bien prisonnière.

« Nous avons, moi et mon fils, une offre à te faire, Ashley. Si tu n’avais pas paniqué tout à l’heure, nous n’en aurions pas été jusque-là. Nous t’avons attaché uniquement pour pouvoir te parler sans que tu ne paniques. »

Ashley resta silencieuse, les fixant avec des yeux assassins, oscillant entre la mère et le fils.

« Tu as le droit de refuser, Ashley, bien sûr... Pour te l’expliquer sommairement, Andy t’aime beaucoup... Mais il m’aime aussi beaucoup, et j’aime également beaucoup mon fils. Mais bon... Je pense que le mieux, pour que tu le comprennes, est une démonstration... »

Maria se déplaça alors, et rejoignit le lit. C’était un beau lit en forme de cœur, aux couvertures rouges, avec, sur les barreaux, une série de sangles, confirmant ainsi que le lit ne servait qu’à des fins sadomasochistes. Elle se mit alors à quatre pattes sur le lit, et fit signe à Andy de venir.

« Montre à notre invitée combien tu aimes ta Maman, Andy... Baise-moi très fort ! »

Une démonstration, c’était le meilleur moyen d’illustrer ce qu’elle avait à dire.

Jack Taylor

Humain(e)

Re : Amour filial [PV]

Réponse 59 jeudi 21 septembre 2017, 13:32:02

Lorsqu'Andy et Maria couchaient ensemble, ils accomplissaient un acte hautement immoral, pour lequel Maria risquait éventuellement la prison, ou du moins le placement de son fils en famille d'accueil. Mais comme Andy était - plus que - consentant, cette éventualité était improbable, tant qu'ils gardaient leur relation secrète. Pour cette raison, le couple baisait la plupart du temps à la maison, même si Andy s'enhardissait parfois à caresser sa mère au café, ou au cinéma. La dernière fois qu'ils étaient allé voir un film ensemble, Maria avait passé la majeure partie du temps à suçoter silencieusement son gland, jusqu'à ce qu'il ne gicle entre ses lèvres. Mais cette fois-ci, la situation était bien différente. Andy et Maria venaient de se rendre coupable du kidnapping d'une jeune fille âgée d'à peine seize ans. Si le blondinet n'avait pas hésité lorsque sa mère lui avait donné l'ordre de neutraliser Ashley, il savait que les minutes qui allaient suivre allaient être cruciales pour le reste de leur vie. Il n'y avait en vérité qu'une alternative. Soit ils parvenaient à séduire Ashley, soit elle irait tout raconter à sa police dès qu'ils l'auraient libérée. Si on la libère... Andy frissonna devant ses propres pensées. Son cœur battait la chamade, malgré l'attitude calme et posée qu'il se forçait à observer devant la captive.

« Héé.... »

Les protestations étouffées d'Ashley étaient vigoureuses, et elle bougeait avec une vigueur surprenante, pour une fille de son gabarit... A croire que son épouvante décuplait sa force. La peur qu'il lisait dans ses yeux le peina, jusqu'à ce qu'elle laissa place à une forme de résignation rageuse. A présent, tout du moins, elle écoutait Maria, qui tâchait de la raisonner... Visiblement en vain. Mais sa mère avait une idée en tête, qui ne manqua pas de surprendre Andy, qui haussa les sourcils, les yeux rivés sur les fesses de Maria qui ondulaient alors qu'elle se dirigeait vers le lit.

« Oh, Mom... », grogna l'adolescent, en se mordant la lèvre inférieure, alors que sa queue se gorgeait de sang, formant une bosse improbable dans son pantalon. Maria n'avait pas changé de tenue. Elle portait encore cette scandaleuse robe noire, qui moulait excessivement ses formes généreuses. Andy se rapprocha d'Ashley, pour écarter une mèche de ses jolis cheveux blond et la replacer derrière son oreille. « Regarde bien, Ash, ce n'est pas tous les jours que tu verras ça », lança-il gaiement, avant de l'embrasser sur le front, frôlant sa cuisse avec son membre tendu, avant de se détourner.

Se débarrassant promptement de sa chemise, l'adolescent dévoila son corps glabre et athlétique, avant de se diriger d'un pas décidé vers sa mère, qui lui tendait sa croupe. Sans vergogne, il claqua plusieurs fois ce cul laiteux. Maria prenait soin de son corps, et ses fesses, bien que fermes, restaient suffisamment moelleuses pour tressauter lorsqu'on les fessait. « Cambre-toi bien, Mom, fais bien ressortir ton gros cul », lui intima-il, alors qu'il dézippait sans vergogne sa fermeture éclair, empoignant sa grosse queue veineuse dont le gland gonflé, était déjà poisseux de pré-sperme. « Montre à Ashley comme tu es belle....Et chienne », ajouta-il, fiévreusement. De ses doigts tremblant, il remonta la robe de cuir sur les hanches de sa mère, puis fit à l'inverse glisser sa culotte sur ses chevilles, dévoilant sa moule baveuse de cyprine et la corolle brune de son anus. Il mourrait d'envie la sodomiser, mais se réservait pour plus tard, posant son gland entre les lèvres entrouvertes du sexe de sa mère. Pour Andy, la pénétration vaginale faisait partie des préliminaires ; les choses sérieuses débutaient seulement lorsqu'il enfouissait sa queue dans le cul de sa mère. « Tu t'es masturbée, vilaine », constata-il, en reniflant bruyamment la culotte humide qu'il venait de lui ôter. La sentant s'impatienter contre sa grosse queue, le jeune homme sourit et se pencha en avant, avant de la pénétrer d'un coup sec en grognant d'aise. 

« Ah, putain », s'échauffa-il, en écrasant ses reins contre les fesses de sa mère, ses couilles pleines tout contre le renflement de sa vulve. Raffermissant sa prises sur ses hanches, il posa un pied sur le lit pour équilibrer sa position, avant de commencer à la limer sans douceur, faisant glisser sa grosse queue juteuse en elle. « T'es tellement bonne Mom ! »

Andy se lasserait-il un jour de la croupe généreuse de sa mère ? Probablement pas. Avec l'excitation, le jeune homme avait perdu la réserve qu'il affectait une heure plus tôt au salon, et baisait sa mère comme s'il s'agissait d'une vulgaire catin... Ce qu'au fond elle était...Une fois sur deux. A la fois pute et maîtresse, le corps de Maria s'agitait d'avant en arrière, ses longs cheveux de jais giflant son beau visage. Quant à Ashley, sur le côté, elle en était réduite à observer en silence le spectacle surréaliste de ce couple incestueux qui s'accouplait et qui semblait avoir oublier sa présence.... Mais Andy n'avait pas oublié Ashley. Il percutait le cul de sa mère avec rage, pour les beaux yeux de la blondinette, soucieux de lui montrer l'étendue de sa vigueur.


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