Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Sacrifice sexuel [PV]

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Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 15 vendredi 16 octobre 2015, 00:19:12

Si Sarah avait agréablement surpris Gabriel au moment de sucer de par sa propre initiative son sexe, ce sentiment agréable s'estompait désormais, alors que la princesse agissait comme une frigide. Le jeune roi faisait pourtant tel qu'on lui avait enseigné, à savoir que la douleur initiale chez une femme était normale, mais qu'en persévérant le plaisir finirait par venir. Il s'était attendu aux cris de douleur, à ce qu'elle cherche initialement à le repousser, mais ce qui le décevait, c'était qu'au fur et à mesure qu'il la baisait, et qu'il se retenait pour l'honorer du mieux qu'il le pouvait, c'était que son attitude n'évoluait pas. Elle criait, pleurait comme une pimbèche, et peu à peu Gabriel commença à s'énerver. C'était donc à ça qu'il aurait droit après des années de frustrations à combattre pour protéger un royaume de pimbèches baignant dans le luxe ? Il s'était entraîné dur durant toute sa vie, avait subi moultes châtiments coporels, blessures de guerres, frustrations en tous genre...pour ça ?
Sur le moment, seule sa mère les ayant rejoint, parvint à maintenir chez le jeune roi une excitation suffisante. Il sentit dans les caresses de sa mère, qui alla palper son cul musclé tandis qu'il remuait, ce qu'il recherchait. Le désir d'une femme pour son corps, le désir de sa mère, elle avait largement participé à sa frustration sexuelle durant ces années, et elle allait enfin s'offrir à lui. Pour le coup, l'idée de baiser sa mère lui sembla bien plus prometteuse que celle de perdre son temps avec sa soeur, mais malgré sa colère naissante il gardait en tête sa responsabilité envers le royaume. Il devait engrosser Sarah, il devait perpéturer sa lignée, et seule cette princesse qu'il considérait désormais comme une grosse frigide pouvait légitimement porter son futur fils. Quel gâchis pensa-t-il. Gabriel n'avait pas une haute estime pour les femmes d'Illiändor, dont il ne voyait guère l'intérêt hormis leur nécessaire présence pour copuler et permettre des naissances, mais au moins celle qu'il avait vu à l'oeuvre avaient-elles donné le coeur à leur tâche. Certaines, qui avaient couché avec sa mère et ses chevaliers, sous ses yeux, avaient à de multiples reprises fait part de leur envie, si elle l'avaient pu, de baiser avec lui, jeune prince fougueux. Aussi était-il surpris, et déçu, de voir que la femme pour laquelle il avait du se réserver sa première fois, n'était pas à la hauteur.

O...oui mère...

Son visage était déformé à la fois par le plaisir et la colère, il était donc difficile de discerner entre les deux pour l'assemblée, qui était elle d'avantage focalisée sur sa prestation. Au moins lui tenait-il son rôle, et faisait preuve devant témoin qu'il n'était pas un impuissant, ce qui était vu à Elliëndor comme un grand handicap et une honte, dont la royauté ne pouvait pas se permettre de faire montre. Il aurait été presque tenté de laisser la princesse là, et de se tourner vers sa mère, mais son devoir était implacable, et sa mère comptait sur lui...
Alors il continua, en se rapprochant de l'oreille de Sarah.

S...Salope...toutes ces années à t'attendre pour que tu...hum...sois frigide ?

Gabriel se retira alors de son sexe, puis sans ménagement se saisit de sa soeur par les hanches pour la retourner, et l'allonger sur le ventre. Il écarta alors ses cuisses, puis retourna se fourrer dans son sexe. Il ne voulait plus voir son visage, pas alors que ses efforts, de son point de vue, trouvaient une oreille sourde. Il continua ainsi à la baiser, en maintenant une de ses mains contre la hanche de la Princesse, et l'autre l'agrippa par les cheveux pour fourrer le visage de la femme contre les couvertures, afin d'étouffer un peu ses pleurs et ses gémissements, qui l'agaçaient.
Il sentit au bout d'un moment sa jouissance venir, et il accéléra donc le rythme, sourd à toute éventuelle protestation que pourrait faire Sarah, et enfin, il s'enfonça d'un coup pleinement en elle quand il se sentit venir. Gabriel jouit enfin, après une bonne demi-heure de baise intense, il poussa un long râle en se soulageant, au plus profond du vagin de sa soeur, qu'il était en train de rendre enceinte. Il se vida pendant une longue minute en elle, donnant quelques coups de butoir de temps à autres, puis il se retira, non sans toutefois aller murmurer à l'oreille de Sarah.

Te voilà désormais enceinte ma chère soeur...

Puis il se retira d'elle, lui laissant ainsi l'occasion de respirer tout de même, car elle était la mère de son enfant, qui en ce moment même par le biais de la magie de la potion de fertilité, devait commencer doucement à se former dans son ventre. L'assemblée bien qu'heureuse et ayant applaudi le couple venant de concevoir le futur héritier royal, se questionnait. Le père de Gabriel ne s'était en effet pas arrêté là, et la reine Myriam à l'époque avait été un peu plus...enthousiaste que ne l'était sa fille. Le jeune roi lui, n'avait toutefois pas l'intention de continuer à baiser une frigide, il venait de l'engrosser, son devoir principal avait été fait, et il regarda alors sa mère...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 16 vendredi 16 octobre 2015, 08:46:02

Les hommes avaient la mémoire courte. Ils ne se souvenaient jamais de la totalité d’une scène, simplement de sa chute. Sarah ne ressentait en ce moment aucun plaisir, ou, plutôt, son plaisir était occulté par la douleur. Sa mère lui avait bien dit que ça ferait mal, mais on ne pouvait pas imaginer une telle douleur. Le rituel était prévu pour se passer dans la douleur, et c’était une douleur que les femmes devaient porter, car, dans ce domaine, la souffrance serait toujours du côté des femmes. Et Sarah, elle, était une petite fleur fragile, qui pleurait, enfant, à chaque fois qu’elle se coupait. Tout cela, Myriam le comprenait volontiers, car, étant la mère de Sarah, elle avait été similaire à elle. Elle observait donc le couple s’adonner au plaisir, même si elle comprenait la déception de Gabriel. Des années de frustration donnaient sur un moment en demi-teinte, où lui seul prenait du plaisir, ce qui, tout de même, faisait tâche. On attendait tout de même du souverain d’Elliëndor qu’il fasse grimper aux rideaux ces salopes d’Illiändor.

La première séance venait de se terminer, et Gabriel, après avoir observé le corps de Sarah, qui émettait quelques soubresauts, se retourna vers sa mère. C’était un homme fort et puissant, et il était évident que cette séance ne l’avait guère contenté. Cependant, le rituel n’était pas encore complet, car il n’avait pas encore sodomisé Sarah... Et, aussi entreprenante que soit Myriam, elle ne comptait pas porter atteinte à la volonté des Dieux.

« Le rituel n’a pas eu que pour but de vous faire souffrir pendant des années, mes enfants. »

Cette conversation ne sortirait jamais de l’enceinte de ce lit, et elle était, en réalité, l’une des principales raisons expliquant la présence d’une tierce personne dans ce lit conjugal. La main de Myriam alla tendrement caresser les cheveux de Sarah, tandis qu’elle se mit à parler, poursuivant son propos :

« Avant qu’il n’ait lieu, les hommes d’Elliëndor grandissaient dans la frustration, car ils n’allaient chercher les femmes d’Illiändor que quand ils étaient adolescents, d’âge suffisamment mûrs pour se battre et porter des armes. Ce que tu as vécu, Sarah, c’est ce que tes ancêtres ont ressenti, et ce que tu as ressenti, Gabriel, tes ancêtres l’ont ressenti. Le sexe, instrument de plaisir entre les êtres, était devenu une arme de cruauté et de haine, et, au lieu de développer l’harmonie entre les sexes, il devint le moteur d’une guerre terrible qui a bien failli emporter nos royaumes. »

Sarah renâclait. Si elle écoutait bien sa mère, elle comprenait aussi tout à fait ce qu’elle disait. Une arme de cruauté et de haine... C’était exactement ça ! Gabriel lui avait fait terriblement mal, et elle était également mortifiée, morte de honte, car elle n’avait pas le courage de sa mère, et, surtout, elle avait échoué. Toutes ces années de préparation pour rien, tous ces exercices avaient échoué devant la queue de cet homme, et devant une souffrance terrifiante.

Myriam reprit ensuite ses explications :

« J’ai été comme toi, Sarah... Quand j’ai été présentée à ton père, Gabriel, il m’a violé avec une fougue similaire à la tienne. Les gens ne s’en souviennent pas, mais j’ai pleuré, moi aussi. Et c’est normal. Tu entends, ma petite puce ? C’est normal d’avoir mal... Le sexe est souffrance, et, si les Dieux nous ont punis, c’est pour que nous apprenions à nous connaître, et à mieux nous aimer. Il faut que tu sois doux avec Sarah, Gabriel, car le sexe est à la fois douceur et violence. Tu dois embrasser chacune des facettes du sexe si tu veux vraiment profiter de ce moment. Sinon, tu ne feras que besogner des femmes, sans y prendre le moindre goût... Et ce serait dommage, vu comment ta sœur est belle, non ? »

Les mots de Myriam étaient emplis d’une sorte de curieuse sagesse, une sagesse sexuelle, dans un monde qui avait été déchiré par les abus sexuels. Tout cela, Myriam aurait pu le leur dire avant, mais ça n’aurait eu aucun effet, ou, en tout cas, pas le même qu’en ce moment.  Myriam continuait à caresser les cheveux de Sarah, et l’amena à la retourner. Elle s’était glissée derrière la tête de Sarah, et ses deux mains caressaient tendrement son visage, ses pouces gantés venant essuyer ses larmes.

« Tu ne peux pas accuser ta sœur d’être frigide, Gabriel, pas quand on a vu la manière dont elle a sucé ta queue... Et c’était une expérience plaisante, non ? Bien plus, en tout cas, que si tu avais dû la forcer tout du long. Mais une bouche est moins sensible qu’un vagin. Encore moins quand c’est une queue de cette taille qui rentre en elle... Regarde Sarah, regarde comme elle est fragile et sensible... »

Les joues toutes rouges, Sarah clignait des yeux à plusieurs reprises, sans trop savoir quoi faire, ni quoi penser. Ce qu’elle avait vécu avait effectivement été terrible, mais sa mère ne comptait pas lâcher l’affaire. Néanmoins, Sarah se sentait le besoin de devoir se justifier :

« Pa... Pardon, j’ai... J’ai voulu vraiment faire de mon mieux, mais...
 -  Je sais, mon cœur, et tu n’as rien à te reprocher. Je te le dis : ça fait partie du rituel. Tu... Vous deviez connaître la douleur que vos ancêtres ont ressenti, car c’est cette douleur-là qui a été la base de nos conflits. Maintenant, vous allez vous refaire l’amour, mais, avant cela, Gabriel, je veux que tu commences par glisser tes doigts dans le corps de Sarah... Et toi, Sarah, je ne veux plus que tu pleures. Quand tu ressentiras à nouveau la vague, il faudra que tu hurles, et que tu balances tous les gros mots qui te viennent à l’esprit.
 -  Mais...
 -  Je tiens à ce que vous le fassiez ! Les Dieux vous regardent, mes chéris. Alors, honorez-les dignement ! »

Sarah renifla à nouveau, puis hocha la tête.

« O-Oui, Maman...
 -  Parfait ! Alors, tu vas commencer maintenant... Dis à Gabriel que tu as honte de ne pas avoir été une bonne salope, et que tu feras tout, à l’avenir, pour être la Reine des putes. »

N’étant pas sûre d’avoir compris tout ce que sa mère lui avait dit, mais sachant qu’elle ne voulait que son bien, Sarah rougit légèrement, puis se mordilla ses belles lèvres, avant de suivre son conseil :

« Je... Je suis désolée, mon Prince, de... De ne pas être à la hauteur, de ne pas avoir été une... Une bonne salope. Je vous prie de... De bien vouloir me pardonner, car... J-Je... Je... Je ferais tout ce qu’il m’est possible de faire pour devenir votre... Votre Reine des putes ! »

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 17 lundi 30 novembre 2015, 13:41:26

Si ces mots avaient été prononcés par la bouche d'une autre femme, nul doute que Gabriel les aurait pris pour des imbécilités qui ne méritaient pas qu'il s'y attarde. Il était un roi conquérant, guerrier, et n'avait que faire de douceur dans l'art de diriger un royaume aussi porté sur la guerre et la souffrance qu'Elliëndor. Mais Myriam était sa mère, celle qui lui avait donné la vie, celle qui lors de ses visites avait passé du temps avec lui, à le voir grandir, à l'éduquer parfois. Elle était, pour ainsi dire, la seule femme pour qui Gabriel avait du respect, et il l'écouta, non seulement car elle était sa mère, mais aussi car elle avait été à leur place bien des années auparavant. Elle avait pour elle l'expérience, et plus que quiconque, son avis et ses conseils avaient de la valeur.
Il n'y avait que devant la reine mère qu'un roi d'Elliëndor ravalait sa fierté légendaire, et de fait pouvait admettre qu'il avait tort. Certes, il n'était pas allée doucement avec Sarah, mais comment aurait-il pu ? Toutes ces années de frustration déchargées en un instant, l'homme déjà impulsif de base n'avait tout simplement pas pu se retenir. Mais Myriam, la mère de Gabriel, désammorça la situation, et avec ses arguments, parvint à calmer le jeune roi.

Bien mère. Je ferais en accordance avec vos conseils.

On attendait du roi d'Elliëndor qu'il soit inflexible et sûr de lui, mais cette règle pouvait subir des écarts, notamment face à la reine mère, dont même les vigoureux soldats du royaume reconnaissaient la sagesse en plus de sa légendaire beauté. Ses yeux se posèrent donc sur sa soeur, Sarah, encore toute tremblante après avoir subi le passage de sa queue monumentale. Quelle petite chose fragile, Gabriel se demandait honnêtement, à ce stade, si elle serait capable de tenir durant les neuf mois du rituel...mais pour contenter samère, il était prêt à lui accorder une seconde chance.
Quand il l'entendit s'excuser, et déclarer vouloir mettre tout son possible pour devenir sa reine des putes, Gabriel poussa un soupir, et s'approcha alors doucement de sa soeur, approchant son visage proche du sien.

Excuses acceptées ma soeur...ma chère soeur. Je suis un homme d'un naturel brutal, car il en est ainsi d'Elliëndor, et à plus forte raison du roi. Mais j'essayerais d'être doux...pour toi.

Gabriel avait le souvenir de son père et de sa mère, formant un couple fermement uni, et qui s'aimaient, et souhaitait qu'il en soit de même pour Sarah et lui malgré leurs caractères diamétralement opposés. Il ne pouvait en tout cas pas nier sa beauté. Ses yeux bleux, ses cheveux blonds, et son corps de rêve, le faisaient bander comme un taureau, et il voulait fourrer sa queue en elle encore et encore. Mais elle n'était pas encore prête à subir pleinement ses assauts, il fallait...la préparer.
Il la regarda un moment dans les yeux, puis les ferma alors qu'il approcha sa bouche des lèvres de sa princesse, sa soeur, cherchant à l'embrasser. Il était agenouillé en face d'elle, tandis qu'une de ses mains massat ses seins, en essayant du mieux possible de contenir sa poigne de guerrier, et de l'autre il enfonca doucement deux doigts dans l'intimité de sa soeur, et remua...doucement. Gabriel faisait d'authentiques efforts pour se retenir, ce qui se sentait à sa respiration saccadée alors qu'il embrassait Sarah. Il se faisait encore souffrir, mais si cela pouvait permettre à sa soeur d'embrasser pleinement son rôle...

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 18 lundi 30 novembre 2015, 21:30:44

Il était difficile de déterminer qui dirigeait vraiment, entre le Roi d’Elliëndor, et la Reine d’Illiändor. L’Homme et la Femme, deux archétypes, deux forces opposées. L’Homme était brutal, vif, fougueux, dominateur, là où la Femme était patiente, douce, calme, intelligente, et aimante... Surtout aimante. Et cet argument, s’il pouvait paraître idiot, avait toute son importance quand on voyait la manière dont Gabriel, silencieusement, écoutait sa mère. Elle savait tout de son enfant. Elle savait qu’il était brutal, violent, cruel, et qu’il serait un Roi fort et redoutable, qui n’hésiterait pas à tuer et à torturer ses ennemis... Là où Sarah, elle, était incapable de faire du mal à une mouche. L’acte le plus grave qu’elle eût jamais fait, de toute son existence, avait été de marcher sur la queue d’un chat. Elle était un concentré d’innocence, de gentillesse, de douceur, de poésie, de beauté... Une petite fleur belle, mais aux pétales fragiles. Myriam savait très bien quel fardeau Sarah allait supporter en devant satisfaire Gabriel, et c’était pour ça qu’il était fondamental qu’elle y assiste. Sans elle, Gabriel traumatiserait Sarah à vie, et ce traumatisme était susceptible de détruire l’alliance fragile entre Elliëndor et Illiändor.

Sarah, elle, avait surtout honte d’elle-même. La jeune femme connaissait toute l’importance de ce rituel, et elle essayait vraiment, vraiment et sincèrement, de faire de son mieux, mais... Son corps n’avait pas pu, tout simplement, et elle avait honte... Oh, elle se sentait tellement honteuse, car elle savait que, pour sa mère, ce genre de choses était très naturel. Si Sarah échouait, les Dieux seraient mécontents... Comment éprouver du plaisir pour ce qu’elle avait fait ? Elle ne s’en sentait clairement pas capable, alors que sa mère, en comparaison, se faisant régulièrement besogner par les virils soldats d’Elliëndor... Quelle était sa force ? Les joues toutes rouges, Sarah la regarda, comme pour la supplier de partir... Et tout en se sermonnant de vouloir partir.

*Tu es la Princesse d’Elliëndor, tu dois être forte ! Le royaume l’exige ! Les Dieux le veulent ! Les hommes et les femmes baisent ensemble depuis qu’ils existent, alors cesse de faire ta petite capricieuse !*

Elle se sermonnait mentalement, mais en peinant à trouver la force d’affronter son viril et robuste amant. Il était beau, pourtant... Oh oui, beau comme le plus beau de tous les hommes ! Mais elle avait honte, elle n’était pas digne de lui... Le sexe avait toujours effrayé Sarah, elle en avait toujours eu secrètement et fondamentalement peur, en se demandant comment une verge aussi grosse pouvait rentrer en elle, tremblant de tous ses membres à chaque fois que les servantes parlaient de leurs séances de coucheries, notamment quand les soldats d’Elliëndor venaient à Illiändor pour besogner des femmes. Sarah avait conscience d’avoir été privilégiée, car, à son âge, toutes les autres filles avaient vu leurs mères se faire prendre. C’est ainsi que les choses marchaient. Le viol n’existait pas dans les royaumes, et chaque homme avait le droit de coucher avec la femme de son choix.

L’homme se pencha ver selle, et l’embrassa tendrement.

« Mmhhmmm... »

Elle sentit l’une des lourdes mains de l’homme venir caresser son gros sein, tandis que l’autre s’approchait de son intimité... Et, pendant ce temps, Myriam posa l’une de ses mains sur la tête de Gabriel, venant le caresser tendrement, glissant ses doigts dans ses mèches de cheveux. Avec une infinie tendresse, elle le caressait, telle une mère attentionnée.

« C’est bien, Gabriel, mon chéri... Je veux que tu prennes conscience que la beauté d’une femme ne se résume pas qu’à ses cuisses... »

Voilà le plus difficile, avec ces imbéciles d’hommes... Leur faire comprendre des choses simples et évidentes, et, tandis qu’il l’embrassait, Sarah se mit à gémir, en posant ses mains sur ses hanches... De gémir de plaisir, à tel point que, assez rapidement, ses lèvres intimes allèrent s’humidifier. N’en restant toutefois pas là, Myriam se pencha vers son fils, tandis que, tout en caressant ses cheveux, son autre main alla masser son solide cul.

« Mordille son cou, Gabriel.. Lèche et mordille cet endroit, et délecte-toi de ses gémissements et de ses couinements. Prépare-là, et tu verras... Elle viendra fondre sous ton impériale queue... »

Le plaisir était en train d’éclater dans le corps de la belle Sarah, venant durcir sa généreuse poitrine...

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 19 lundi 30 novembre 2015, 22:29:29

Ce que Gabriel faisait était pour ainsi dire inédit de sa part, lui qui avait toujours été habitué à être un prince dominateur, et qui allait être amené à devenir un roi plus fort et autoritaire encore que ne l'avait été son défunt père. Mais au sein d'une société guerrière telle que ce royaume, qu'il dirigeait récemment avec une poigne de fer dans un gant de fer, la population voyait cela comme la promesse d'un dirigeant fort, qui les mènerait à de glorieuses victoires contre leurs voisins.
Se montrer doux, réservé, se retenir, n'était ni dans ses habitudes ni dans son tempérament. Mais même un roi devait savoir s'adapter parfois. La colère passée, il avait compris l'intérêt de persévérer malgré sa déception initiale. Le rituel n'était pas achevé, et il ne pourrait réellement l'être que lorsque lui et sa sœur s'uniraient vraiment et pleinement. Gabriel fit donc de véritables efforts, et lutta contre ses propres pulsions, qui lui dictaient de prendre sauvagement cette femme, peu importe ses supplications. Dans un sens, les liens du sang lui permettaient d'aller à l'encontre de sa propre nature bestiale et dominatrice. Même si il ne l'avait jamais vraiment connu, Sarah était sa sœur, et allait être sa future épouse, ainsi que la mère de ses enfants. Elle n'était donc pas n'importe quelle pute d'Illiändor, c'était la sienne. Quand bien même Sarah se ferait passer dessus par une bonne partie du royaume au cours des mois à venir, elle serait la reine, son épouse, la plus belle et désirable de toutes les putes.

C'était une version très modifiée du « romantisme », mais c'était bien tout ce dont pouvait être capable un roi aussi profondément guerrier et machiste que Gabriel. En somme, il ne voulait pas que sa relation avec Sarah soit forcée. Il voulait qu'elle soit sa salope, qu'elle hurle de plaisir quand il la prendrait, qu'elle soit droguée à lui, tout comme l'avait été sa mère vis à vis de son père. Obtenir un tel état de soumission volontaire de la part de sa sœur était pour Gabriel primordial, il avait été plus déçu que colérique lorsque Sarah n'avait pas éprouvé de plaisir à le sentir en elle, car il avait idéalisé sa première fois. La chute avait été d'autan plus raide que, lorsqu'elle s'était mise à lui sucer la queue, Sarah avait véritablement fait preuve d'une passion qui avait surpris et ravi Gabriel. C'était cette passion, cette envie de lui qu'il voulait voir renaître chez Sarah, et si cela impliquait de momentanément se retenir, alors il se ferait violence.
Gabriel avait sa queue tendue comme jamais, il n'avait pas débandé même après avoir joui deux fois, tout son corps lui hurlait le besoin de se soulager, de prendre le cul de sa sœur et de la baiser, de la faire hurler jusqu'à ce qu'elle n'aie plus de voix, et de continuer encore.

Mais derrière lui, caressant ses cheveux alors qu'il embrassait et doigtait sa sœur, la voix mélodieuse de sa mère contribuait à le calmer. L'homme respirait fortement tout en embrassant Sarah, car il faisait des efforts physiques et de volonté pour ne pas tout simplement la violer. Il la voulait, la voulait tellement...
Mais quand il sentit, peu à peu, les doigts qu'il remuait dans le vagin de sa sœur, se couvrir de cyprine, il se sentit comme...revigoré. Elle gémissait doucement contre ses lèvres, commençait à y prendre du plaisir, à s'habituer à une présence dans son intimité. Tout n'était donc pas perdu, et Gabriel trouva la force en se disant intérieurement que, si il se montrait fort et encore un peu patient, alors il pourrait vraiment obtenir ce qu'il voulait.

*J'ai souffert durant des années...que sont quelques minutes de plus ?*

Mes ses efforts n'étaient pas vains, sa sœur commençait à se laisser aller. En bon fils qu'il était, et face à l'efficacité des conseils de sa mère, Gabriel décida une fois de plus de les suivre à la lettre. Myriam, sa mère, savait après tout ce qui marchait pour procurer du plaisir à une femme, et sa présence s'avérait très précieuse pour guider le jeune roi. Ses lèvres se séparèrent de celles de sa sœur, et il les glissa le long d'une de ses joues, pour ensuite se fourrer dans le creux de son cou. Entre volonté de la baiser, et celle de lui faire plaisir, le roi était déchiré en deux, mais sa mère toujours le rappellait du bon côté de la barrière. Il embrassa sa sœur dans le cou, léchant sa peau tout en fourrant son visage dans le creux que cette partie de son anatomie formait. Gabriel continua aussi de la doigter, et inspiré par l'humidité ambiante qu'il ressentait à cet endroit, accéléra juste un peu, pour suivre l'augmentation du plaisir de sa sœur, sans toutefois se montrer brute. Gabriel avait compris sa leçon. Mais au bout d'un moment, le jeune roi ne parvint plus à contenir une partie de son excitation.

Sarah...

Il lui murmura dans le creux du cou, avant de descendre son visage à hauteur des seins de la princesse. Il était attiré par cette poitrine, que de sa main il avait senti durcir. Mais alors qu'il en malaxait un, l'autre était laissé à l'abandon, et Gabriel avait envie de le sucer.
Ce qu'il fit, sans perdre de temps, il goba le têton dans sa bouche, et commença à le sucer. Un peu vigoureusement, mais il était évident que par rapport à sa prestation précédente, Gabriel continuait de se retenir, seulement sa passion ne pouvait être complètement contenue. Il éprouvait un plaisir réel à caresser le corps de cette femme, à le sentir contre lui.
De mémoire, Gabriel n'avait jamais bandé aussi dur qu'à ce moment précis.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 20 lundi 30 novembre 2015, 23:01:48

Les hommes d’Ellïendor étaient brutaux, sauvages, dominateurs, mais aussi très fiers... Et cette fierté, quand on savait comment la manipuler, faisait tout. Pour un guerrier, il n’y avait rien de plus frustrant que de laisser une femme insatisfaite, ou de ne lui procurer aucun plaisir en la prenant. Les autres guerriers se moquaient de vous, remettant en cause vos performances sexuelles, et, dans un environnement où le sexe était tout, ce genre de choses était inenvisageable... A fortiori quand vous étiez prédestiné à devenir le Roi. Gabriel ne pouvait donc pas se permettre d’échouer. Il fallait qu’il fasse hurler Sarah, qu’il la fasse jouir, abondamment... Une tâche difficile, car lui était fougueux, impatient, hâtif, et elle nerveuse, tendre, et avec une peur virginale d’être déflorée. Deux contraires qui se heurtaient, et c’était à Myriam qu’il incombait de les calmer tous les deux, et de les amener à s’harmoniser. Rien de bien surprenant à ça, c’était le rôle d’une mère aimante, après tout. Ainsi, elle caressait ses cheveux, mais se concentrait surtout sur ses fesses. Gabriel avait de belles fesses musclées, dures et tendres, de taille parfaite. Et elle n’était même pas sûre qu’il tienne compte de ses caresses, vu comment il bandait dur, et qu’il était tout entièrement concentré sur le corps de Sarah...

...De Sarah, dont les couinements se multipliaient. Elle avait une voix terriblement douce, tendre et mielleuse, qui n’était en rien nerveuse, et qui était l’expression de son innocence et de sa douceur incarnée. Elle soupirait en sentant l’homme mordiller son cou, répandant de la douleur... Mais, loin de la restreindre, cette douleur avait quelque chose d’excitant, lui donnant envie d’avoir encore plus mal, afin de ressentir davantage de plaisir.

*Ce... Ce n’est pas normal, pourquoi est-ce que je ressens du plaisir ?*

Elle se faisait mordre ! Et elle ressentait du plaisir... Impensable ! Et sentir les doigts de l’homme en elle... Ses lèvres intimes étaient parfaitement épilées, et la sensation était terriblement douce, surtout quand les doigts de l’homme s’approchaient de son bouton de plaisir, déclenchant alors, dans le corps de Sarah, d’incroyables et incompréhensibles vagues de plaisir, qui la faisaient gémir. Pour autant qu’elle s’en souvienne, elle n’avait jamais ressenti une telle onde de plaisir, pas même quand sa Maman lui faisait des câlins pour l’aider à dormir, ou quand on lui offrait un gros gâteau au chocolat bien chaud avec de la crème anglaise ! C’était... C’était comme si elle était en train de manger cent gâteaux au chocolat ! Le plaisir atteignait des sommets, et, attentive, Myriam voyait les joues de Sarah rosir, tandis que ses beaux yeux se fixaient sur ceux de sa mère, en quête de réponse.

Gabriel susurra alors son nom...

« Haaa... Ga... Gabriel... »

Oh oui ! Voir le frère et la sœur ainsi, ça valait tout l’or du monde ! Ah, si seulement les hommes étaient moins brutasses ! Si seulement ils réalisaient à quel point la Femme était une beauté fragile et parfaite ! Elle se redressa un peu, laissant ainsi à Gabriel l’occasion de venir jouer avec ses seins, de les sucer, en s’attaquant à ses tétons... Et Sarah gémit encore, se tortillant sous lui, en sentant sa grosse queue heurter sa chair... Mais il y avait maintenant quelque chose de différent. Elle avait eu peur, il y a quelques minutes... Peur de ce membre tendu, de ce sexe assoiffé, de ce mandrin disproportionné... Une peur qui l’avait restreinte, mais qui n’était maintenant plus d’actualité, car c’était une tout autre sensation qui dominait. Une sensation... Curieuse, étrange...

« H-Hîîî... Ga... Gabriel... Haaannn... »

Ses seins aussi devenaient très douloureux. Il suçait son téton, provoquant, là encore, une douleur... Magnifique ! Elle n’arrivait pas à comprendre, mais elle gémissait, et couinait, et ses gémissements étaient tellement aigus, tellement excitants, que, rien qu’à les entendre, il y eut plusieurs érections dans l’assemblée. Ah ! Comme ils avaient hâte de prendre cette femme, de la baiser, encore et encore. Les gènes s’affinaient de génération en génération, disait-on, et, à chaque fois,  Illiändor leur ressortait une beauté encore plus pure et encore plus belle que la précédente. On se masturbait donc sous les robes, tandis que Gabriel, lui, était de plus en plus en chien.

Fort heureusement, Myriam avait des solutions pour soulager les hommes, et, tout en parlant, sa main sur ses fesses se rapprochait de sa croupe...

« Tu vois, Gabriel ? Tu sens comme les seins de Sarah sont bons ? Comme elle sent bon ? Si tu l’avais pénétré, tu n’aurais pas pu y goûter... Les femmes ont un corps parfait, et, comme tu le vois, tout est logique... Ce corps parfait est fait pour aguicher les hommes, mais aussi pour les préparer à se faire prendre... Se faire prendre par toi et par ta grosse queue. Sens... Sens comme elle mouille, sens comme elle a envie de ta queue... »

Que sa voix était douce, qu’elle était perverse ! Myriam maîtrisait son domaine, et elle fourra alors l’un de ses doigts gantés dans le cul de Gabriel.

« Lààà... Hum... J’ai toujours eu envie de te sodomiser, mon cher fils. Tu sais que ton cul m’a toujours fait fantasmer ? Mords ses seins... Pince ses tétons, fais-là couiner... Puis tu pourras la prendre, et la baiser avec toute ta force... Et l’insulter... Et la faire hurler ! »

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 21 mardi 01 décembre 2015, 12:49:25

On arrivait enfin à ce moment que Gabriel avait attendu depuis des années, toute sa vie pour ainsi dire. Sarah était en train de se lasser aller, d'enfin éprouver du plaisir face aux multiples caresses que Gabriel lui offrait. Cette sensation d'enfin progresser, de ne plus être face à une frigide, l'encourageait d'autant plus à faire des efforts de son côté, puisque ces derniers étaient récompensés. Il trouvait à nouveau contre lui cette femme qui, de son propre chef, lui avait sucé la queue, et l'avait fait jouir tellement fort, celle dont il avait l'impression qu'il pourrait effectivement considérer comme sa reine.
Quand Sarah soupira son nom, se mit à gémir, à trembler contre lui, Gabriel sentit une bouffée d'excitation le parcourir. Plus que jamais il avait envie de la prendre, et ce d'autant plus alors qu'il sentait sa sœur sur le point d'être enfin prête à pleinement l'acceuillir entre ses cuisses, cette intimité qu'il doigtait depuis plusieurs minutes. Les doigts du roi, ainsi qu'une partie de sa main, étaient couverts du jus intime qui s'échappait, aussi s'imaginait-t-il déjà glisser sa queue dans son vagin, qui devait être encore plus acceuillant que lorsqu'il l'avait prise pour la première fois.

Sa mère, juste derrière lui, n'était pas en reste. Il s'agissait d'une femme également très belle, et qui avait souvent joué avec son fils, en se faisant rudement baiser sous ses yeux à plusieurs reprises, et Gabriel éprouvait la même attirance incestueuse pour sa mère que pour sa sœur. Rien que sa voix, suave et délicieuse, aurait suffit à le faire bander, mais elle caressait en prime son cul musclé, avant, alors qu'il s'occupait de la poitrine de Sarah, d'enfoncer un doigt dans son anus. Le jeune roi se crispa sur le coup, et poussa un grognement suite à cette pénétration, qui toutefois n'était pas désagréable...juste surprenante. A sentir ce doigt remuer dans son cul étroit, Gabriel sentait étrangement qu'il bandait encore plus fort, mais cette fois au point qu'il en aie mal, il avait l'impression de porter une enclume en acier à la place de son entrejambe, et autant le dire tout de suite, Gabriel n'en pouvait plus. Il redressa sa tête, et alla embrasser fougueusement sa sœur, tout en s'appuyant contre son corps afin de s'allonger sur elle, et de fait de la faire s'allonger sur le lit. Gabriel était au dessus d'elle, et après l'avoir embrassé, la regarda intensément, le visage crispé par la douleur.

Sarah...je te veux, j'ai envie de toi, de te prendre. Dis le moi, dis moi que tu le veux.

Gabriel ne voulait pas réitérérer sa précédente expérience, qui avait été un échec. Il pensait que sa soeur était présentement prête, mais il voulait l'entendre de sa bouche, qu'elle le supplie de la pénétrer, qu'elle lui assure qu'elle allait aimer cette fois.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 22 mardi 01 décembre 2015, 19:05:06

Sarah pouvait désormais clairement sentir la queue durcie de l’homme, formant comme un pieu qui se frottait contre sa chair. Elle ignorait si c’était gros ou pas, car elle n’avait jamais vu de pénis auparavant... Mais, à elle, ça lui semblait... Gros. Comment un tel truc pouvait rentrer en elle ? Elle en avait peur, oui... Mais une peur qui était tempérée, en ce moment, par une profonde et impressionnante excitation. Sarah avait terriblement envie de cet homme, et elle en prenait conscience, au fur et à mesure que son corps était en train de souffrir. La douleur devenait terrible, car, pour la contrebalancer, il fallait plus de plaisir, mais une dose supplémentaire de plaisir entraînait aussi une hausse de la douleur... Un véritable cercle vicieux dans lequel la femme était en train de plonger, sous le regard attentif de sa mère, qui remuait tendrement son doigt dans le fondement de Gabriel. Surpris, le jeune Prince n’avait toutefois nullement repoussé sa mère, mais cette brève sodomie n’avait fait que l’exciter davantage, renforçant son érection et son impatience, ce qu’il finit par dire devant la jeune femme.

La Princesse déglutit en le regardant, et, quand il la poussa pour s’allonger sur elle, Myriam retira son doigt de son cul, tout en restant à côté, assise sur les genoux, ses talons s’enfonçant dans ses fesses. Sarah goûta au baiser de l’homme, et se mordilla ensuite les lèvres. L’une de ses lèvres tremblotait nerveusement, tandis que ses joues étaient, de nouveau, toutes rouges.

« Je... Je suis sincèrement désolée de... De ne pas avoir été à la hauteur des attentes de mon Roi... »

Elle se pinça les lèvres à nouveau, et ses mains se posèrent sur les épaules Elle le voyait dans les yeux du Roi... Sa souffrance, son impatience, sa frustration. Sarah le faisait souffrir ! Souffrir de ne pas devoir la pénétrer... Elle s’en sentait gênée, et reprit donc rapidement :

« Pénétrez-moi de toute votre vigueur, ô mon Roi... Et... Je vous en conjure... Ne vous arrêtez pas. Je... Je ne suis plus une petite fille, je dois être forte, je... Je dois être votre pute... Prenez-moi, baisez-moi... Et ne vous arrêtez pas avant de vous être rassasié dans mon corps... »

La peur était bien là, mais Sarah avait aussi conscience qu’elle devait agir, qu’elle devait honorer sa famille, son clan, son royaume. Elle ne pouvait pas se permettre d’agir en petite Princesse gâtée ! Dans le royaume, la virginité était considérée comme un crime à la Nation ! De même quand on refusait de coucher avec un homme. Le viol n’existait pas, et une femme refusant de s’offrir à un homme qui n’était pas violent envers elle pouvait être condamnée pour abstinence sexuelle.

Alors, Sarah devait se forcer !

D’autant plus qu’elle avait maintenant envie de cette queue, mais, si elle disait à Gabriel de ne pas hésiter, c’est parce qu’elle craignait un hypothétique sentiment de reflux, et ce même si on intimité était trempée...

Myriam fit alors un sourire, et se pencha vers Gabriel, ses seins venant frotter son dos, et elle murmura près de son oreille :

« Baise-là très fort... Aussi fort que tu peux... »

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 23 mercredi 02 décembre 2015, 13:57:13

La souffrance que Gabriel éprouvait à ce moment était étrangement plus grande, plus grande encore que tout ce qu'il avait pu accumuler comme frustration au cours de ces années. La raison en était simple, il avait goûté au corps d'une femme, et il était plus facile de lutter contre l'envie de baiser quand on ne savait pas ce que ça faisait. Même si une partie de son coït avec Sarah avait été décevant, sa fellation avait elle été excellente, et il ne pouvait plus supporter ce corps chaud tout contre lui sans la prendre.
Gabriel avait mal, terriblement mal, et il lui fallait faire preuve d'une forte volonté pour lutter contre ses pulsions, il n'était d'ailleurs même pas certain de pouvoir continuer à les repousser désormais. Mais à ce moment précis, sa soeur s'excusa de ne pas avoir été à la hauteur, et après avoir posé ses mains sur les épaules musclées de son roi, elle lui demanda de la baiser. Gabriel sentit un poids se retirer de lui, et ce d'autant plus lorsque sa mère, qui se blottit dans son dos, posant ses seins contre, lui murmura à l'oreille de la baiser aussi fort que possible. Le déclic venait donc de se faire, Gabriel allait enfin pouvoir se satisfaire, endosser son rôle de roi puissant et conquérant, en prenant pleinement sa future femme, sa soeur, sa reine.

Gabriel poussa un grognement, alors qu'il se colla d'avantage entre les cuisses écartées de sa soeur. Une intimité chaud et humide y attendait sa queue dressée, et il remua son bassin afin de l'aligner avec l'entrée de sa grotte intime. Il s'y enfonça, mais fournit un dernier effort afin de ne pas pénétrer d'un coup sa chère soeur, son sexe se faufilla donc progressivement dans le vagin de Sarah, qui l'englobait peu à peu, jusqu'à ce que Gabriel soit entièrement en elle.

Raaaaaah putain ! Hurmpf...

Le vocabulaire fort limité de Gabriel était compréhensible, cette intimité était étroite, et comprimait son gros mandrin, qui s'était malgré tout faufilé. Cette partie si sensible de son corps se trouvait donc dans un agréable cocon chaud et humide, mais il ressentit vite le besoin de remuer, et commença donc. Toutefois si Gabriel avait pu se retenir jusque là, il ne pouvait tout simplement plus faire quoi que ce soit de la sorte. Il posa ses mains sur le matelas, de part et d'autre de sa soeur, afin de se soutenir avec ses bras, et commença à donner de frénétiques coups de bassin pour faire remuer son sexe.

Oh Sarah, c'est...hum...c'est bon en toi ! Oh ma délicieuse salope, ma sublime pute !

Gabriel était comblé, Sarah semblait elle aussi prendre du plaisir à le sentir la pénétrer cette fois, malgré la taille de son engin qu'elle devait encore une fois pleinement sentir. Le corps en sueur, etla respiration haletante, le roi remuait en elle, faisant grincer le lit et remuer le matelas sur lequel le couple était en train de baiser, devant une foule qui se masturbait en les observant. Il baisait sa soeur, avec sa mère juste à proximité, son sexe lui faisait toujours mal, voire même de plus en plus, mais le fait de remuer dans ce con chaud diluait la douleur.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 24 mercredi 02 décembre 2015, 16:18:08

Les dernières secondes étaient toujours les plus terribles, toujours les plus lourdes. Myriam avait goûté, dans sa vie, à des milliers de queues, à des milliers d’amants... Si elle avait dû accoucher de chacune des pénétrations qu’elle avait reçue, elle aurait donné naissance à un troisième État ! Avec toute cette expérience, elle savait très bien comment le désir sexuel fonctionnait, et il n’était jamais aussi intense qu’à la fin, car la frustration était le ciment du désir. Les deux étaient liés, et il fallait bien les doser pour un plaisir maximal. Un art dans lequel les hommes étaient des incompétents patentés, car ils raisonnaient par instinct, à chaud, en fonction de leurs érections. Voilà pourquoi Myriam s’était toujours assurée d’éduquer Gabriel, et de lui faire preuve d’amour et d’affection. Elle était la figure maternelle, une figure que Gabriel aimait, respectait, et chérissait, même ici. Et c’était important, car elle était la seule que l’homme, en proie au désir, pouvait écouter... De quoi compliquer encore l’équilibre des pouvoirs entre l’Homme et la Femme. Elle avait donc donné son feu vert, et Sarah déglutit une dernière fois, ayant naturellement peur, et ce malgré son excitation... Car elle avait goûté à cette queue, et la souffrance qu’elle avait ressentie était inexplicable...

Sarah avala donc sa respiration quand elle sentit Gabriel remuer, déplaçant son mandrin, et, tandis qu’il se déplaçait, Myriam put le voir... Et se mordilla les lèvres en le voyant. Les gènes s’affinaient de génération en génération... Elle le vit pénétrer Sarah, louchant sur les quelques cicatrices ornant son magnifique dos, lorgnant sur ce corps magnifique... Deux beautés qui s’unirent dans un même élan.

« Haaaa... !! »

Un éclair de douleur la traversa, et ses mains se crispèrent sur les épaules de Gabriel, ses ongles s’enfonçant dans sa chair, la meurtrissant. Le mandrin de l’homme perça son hymen instantanément, ce qui amena Sarah à pousser un long et magnifique cri de douleur et de plaisir :

« HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN... !! »

Ensuite... Ensuite, elle sentit le mélange, le paradoxe... La douleur se confondant avec le plaisir, les deux émotions se nourrissant et se mélangeant mutuellement pour un plaisir incomparable, et d’une intensité jouissive. Tout explosa dans le corps de la jeune femme, qui se mit à tortiller sur le lit, et à soupirer, à soupirer longuement, avant d’hurler, d’hurler encore, et encore, en sentant ce gros membre se perdre en elle. Qu’elle était grosse ! Oh, qu’elle était grosse, sa queue ! Elle la déchirait de l’intérieur, comme si on lui plantait une épée dans le corps, la rendant folle !

Mais ses cris n’exprimaient plus le dégoût, la peur, ou la souffrance, mais une sorte de joie sauvage, primordiale, qui était en train de se déverser en elle, de se répandre dans tous les atomes de son corps, d’éclater en elle, marquant sa chair, la faisant bouillir sur place...

« HAAAAAAAAAAAAAAANNNNNNNNNNNNNNN-HHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN... EN.. ENCOOORE-HAAAAAAAAAAAAAAAAA... !! »

Oui, encore, encore, ENCORE !!

Elle était en train de devenir complètement folle !

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 25 vendredi 18 décembre 2015, 13:06:32

En dehors de son père, que Gabriel avait toujours respecté et vu comme une figure d'autorité, un modèle à suivre et à dépasser, le jeune roi éprouvait à l'égard de sa mère des sentiments différents mais tout aussi importants. Il l'aimait, comme un fils aimait sa mère, mais également d'un côté pûrement incestueux. Au cours de sa vie, Myriam avait couché avec beaucoup d'hommes, et l'avait fait très souvent devant les yeux de Gabriel dès que ce dernier avait atteint l'adolescence, afin que bien que vierge, il ne soit pas ignare du sexe. Elle avait toujours été la figure maternelle, douce et aimante, à chaque fois qu'elle était venue pour soulager, avec sa présence, le jeune homme qui vivait une vie dure pour le préparer à son rôle de roi. Le son de la voix de sa mère suffisait souvent à calmer ses élans de colère hérités de son père, et maintenant que ce dernier était mort sur un champ de bataille, Gabriel estimait encore plus important de suivre les conseils de sa mère dans certains domaines.
Et une fois encore, le jeune roi se félicitait de les avoir écoutés. Gabriel s'était à nouveau enfoncé dans l'intimité de sa sœur, qui était si humide, et étroite, que la pénétrer avec sa queue impressionnante était en soit un effort. Mais quel effort délicieux ! Son sexe allait et venait, frottait contre les parois internes du vagin de Sarah, qui se serraient contre, et il baignait dans un océan chaud, humide, et doux. L'expérience qu'il ressentait était désormais bien différente, car si Sarah se mit à hurler, ce n'était pas uniquement de douleur. Le jeune roi pouvait le sentir, alors qu'il la baisait, que c'était différent. Sarah n'essayait pas de le rejeter comme avant, mais embrassait son plaisir, se collait contre lui, et acceuillait sa verge impériale pleinement.

Gabriel était en train de faire ce qu'il avait toujours voulu, ce pour quoi il avait tant attendu, il faisait mouiller sa sœur, la faisait hurler de plaisir alors qu'il était en train de la baiser. Elle en réclama d'avantage, plus..."encore". Lorsqu'elle hurla ce simple mot, ce fût comme une décharge éléctrique qui traversa tout le corps de Gabriel, qui alors se mit à redoubler d'ardeur. Encore un peu précautionneux avec sa sœur, il décida toutefois de se lâcher à présent. Le roi, puissant homme, se mit à réellement la baiser, de toute sa force, il retirait sa verge presque intégralement pour retourner l'enfoncer en force. Il grognait, respirait fort, comme un animal, mais il ne violait pour autant pas sa sœur, du moins plus maintenant.

Ah putain ! Enfin...Sarah...

Il était plus avare en hurlements, car au contraire de Sarah qui avait une position passive, lui se devait de fournir l'effort physique de la baiser. Son corps, musclé, couvert de cicatrices, était en sueur, mais pour rien au monde le roi n'aurait arrêté. Il était bien, si bien dans cette intimité qu'il perforait, de toutes ses forces, et contre cette femme qui la griffait, qui se blotissait contre lui, qui gémissait de plaisir.
Gabriel descendit durant un moment son visage vers les seins de sa sœur, qui le hantaient tant ils étaient parfaits. Ronds, gros et pourtant si fermes, il les suça pendant quelques instants, mais comme dans cette position il ne pouvait plus donner de coups de bassin aussi forts, il arrêta vite, car il se sentait sur le point de jouir. Il se colla alors tout contre elle, s'allongeant pleinement sur son corps, l'écrasant, pour venir parler à son oreille, tandis qu'il remuait toujours en elle.

Je vais jouir à nouveau ma belle...m'assurer que tu sois enceinte. Tu va porter mon fils...hum...ma délicieuse petite pute. Je vais te...te baiser toute la nuit...te noyer de foutre, te féconder...tu es à moi...ma reine...

Puis il se redressa en s'aidant de ses bras, et entama la dernière ligne droite. Il regardait Sarah, se délectant de son visage déformé par le désir, et plus il remuait, plus il se sentit proche de jouir. Puis, il donna un dernier coup puissant pour s'enfoncer au plus profond du vagin de Sarah, et il éjacula à nouveau en elle, dans son intimité fertile. Libérant, vague après vague, des jets de sperme en elle, le roi demeura un moment ainsi, au plus profond de sa sœur, remuant juste son bassin de gauche à droite. Jusqu'à ce qu'il se détende, la respiration lourde, il se retira, mais non sans aller embrasser Sarah, qui en l'était avait désormais toutes les chances de porter l'héritier de Gabriel, son fils. Mais pour autant, Gabriel n'était pas encore satisfait, en témoignait sa queue toujours aussi tendue, toujours aussi dure.

Il reste encore une virginité que je dois te prendre Sarah...ton cul. Mère ?

Il s'adressa alors à Myriam une fois de plus. Ses conseils avaient été utiles jusqu'ici, et même si il était un roi intransigeant, le fait de considérer Sarah comme la mère de son enfant sembla soudainement le rendre plus...consciencieux par rapport à elle. Le rituel était toutefois très strict, la princesse devait à présent recevoir sa première sodomie, et subir la queue royale dans son délicieux cul.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 26 vendredi 18 décembre 2015, 15:18:44

Tout comme Gabriel, Sarah avait, en sa mère, une confiance profonde, solidement enracinée. Elle partait du principe que jamais sa mère ne pourrait lui faire, ou lui vouloir, du mal. Et, suivant cette logique, elle croyait en elle. Même maintenant, quand sa mère lui avait dit qu’elle était susceptible d’éprouver du plaisir, Sarah avait continué à la croire, même si tout son être lui avait dit que ce serait impossible, que c’était trop douloureux... Gabriel avait beau être quasiment Roi,  il avait encore besoin de sa mère pour se contrôler. Mais, pour Myriam, c’était normal. Les hommes étaient ainsi, forts, têtus, emportés. Ils étaient un courant ardent, une tempête, là où les femmes étaient une mer calme, une mer apaisée et plane dissimulant les remous souterrains. Les femmes et les hommes ne s’opposaient pas, ils avaient des différences qui leur permettaient de se compléter. Elluëndor et Illiändor en étaient l’exemple le plus pur, deux royaumes conçus sur des différences sexuelles qui cohabitaient dans une étrange et impensable harmonie.

Sarah avait donc confiance en sa mère, et elle avait eu raison de la croire, car le plaisir explosait maintenant en elle. Sous les puissants mouvements de Gabriel, le lit craquait et grinçait, et les puissants hurlements de Sarah se coupaient parfois quand l’homme s’enfonçait tellement contre elle et en elle qu’il venait à lui bloquer la respiration. Il s’enfonçait en effet si fortement que Sarah n’en arrivait même plus à parler, et se contentait alors de se crisper contre son corps... Puis Gabriel repartait en arrière, avant de revenir en elle, et, et... Oh, c’était magnifique ! Divin, même ! Sentir ce membre venir en elle, sen tir cette grosse queue tendue qui venait lui pilonner sa petite chatte. La douleur était toujours là, mais elle n’était plus un repoussoir, elle était, au contraire, une sorte de moteur, quelque chose qui vous poussait à en vouloir plus...

« Haaa... Ouuuuiiii... »

Sarah était bien incapable de s’expliquer en quoi ce qu’elle ressentait était si bon, et elle en avait même oublié sa mère. Seul comptait Gabriel, son corps, son visage. Les douces mains de Sarah, chaudes, caressaient son dos, se crispant sur sa peau ferme et dure. Elle adorait sentir ses cicatrices, glisser ses doigts le long de sa peau, sentir la dureté de son corps. Elle aimait surtout, pour le moment, caresser les petites lignes dans son dos, trace de ses cicatrices. Quel grand guerrier ! À Illiändor, on apprenait à respecter les cicatrices, car elles étaient, sur le corps des hommes, des témoignages de leur gloire. Toute émoustillée, Sarah était transportée dans un monde qu’elle ne connaissait pas du tout, sous le regard ravi de Myriam... Myriam, qui était en train de se dire que son choix était le bon, et que Gabriel et Sarah allaient former un merveilleux couple royal. Car Gabriel était un très bon amant, Myriam, à sa manière, y avait veillé. Elle ne comptait plus le nombre de fois où elle avait couché devant lui, voyant sa rage et sa frustration dans ses yeux, mais parvenant toujours à se faire obéir de lui. Elle avait voulu se faire obéir de lui à travers le sexe, car il lui avait semblé que ce serait le meilleur moyen pour qu’il prenne au mieux Sarah... Ce qu’il était actuellement en train de faire, et ce avec un indéniable talent.

Myriam l’encourageait donc, tandis que l’homme continuait, encore et encore. Yeux ouverts, Gabriel lui annonça qu’il allait jouir, ce qui amena Sarah à se mordiller les lèvres. Enceinte... Sa mère lui avait dit que sa grossesse avait été quelque chose de merveilleux, et toutes les femmes que Sarah connaissait adoraient avoir des bébés. Elle se souvenait notamment d’une courtisane, au ventre bien rond, avec qui Sarah adorait poser sa tête contre son ventre, pour sentir cette douceur, mais aussi pour entendre le bébé... Enceinte ! Cette idée l’excita encore plus, et elle hocha la tête.

« O-Ouuuiii... Oui, a... Oui, amour... »

Elle voulait l’assurer qu’elle avait envie de ce bébé, mais elle avait du mal à parler... Puis elle poussa un nouveau cri quand, dans un soupir et un coup de reins, l’homme retourna s’enfoncer en elle. La main de Sarah se crispa sur sa nuque, et, tandis que lui la regardait, elle remuait, son visage bondissant à gauche et à droite. Elle se pinçait les lèvres, ou gémissait en les ouvrant bien, autant d’expressions faciales d’une profonde sensualité. Probablement un ravissement à voir  pour son entreprenant et fougueux amant, qui continuait à la prendre, encore et encore, tandis que elle, petite chose fragile et excitée, lui offrait sa mouille sans concession. Elle mouillait joyeusement, tout en soupirant et en se tortillant, encore et encore, sous les coups de ce puissant amant, qui l’observait… Et, quand elle avait à ouvrir les yeux, elle tentait de le fixer, tout en soupirant. Ah ! Qu’il était beau ! Et… Ah ! Que c’était bon !! Elle se faisait prendre, il la baisait avec rage, avec hargne. Elle payait pour les autres, elle payait pour toutes ces années de frustration, toutes ces années à voir sa mère s’envoyer en l’air, à voir ses soldats parler de leurs multiples conquêtes sexuelles, elle payait pour cette chasteté forcée… Elle payait, et elle payait avec envie !

Quand Gabriel vint enfin se vider en elle, Sarah eut un orgasme… Un orgasme foudroyant. Myriam en aurait pleuré de joie ! Voir ses deux bébés, si heureux, si heureux à se prodiguer, ensemble, du plaisir… Oui, ils étaient d’une incroyable beauté, magnifiques. Des amants parfaits ! Elle les regarda jouir ensemble, avec un sourire sur les lèvres, tandis que Sarah, elle, était remplie… Ses yeux s’étaient embués de plaisir, et, après cette vague, cette vague de jouissance, où elle avait senti le sperme de son amant en elle, elle sourit rêveusement.

« Je… Je suis… Je suis enceinte… »

Elle lâcha ce mot d’une petite voix, toute douce, toute faible, une voix qui exprimait l’entièreté de son plaisir immédiat. Son cœur battait follement la chamade, et, au même moment, Gabriel demanda à sa mère des conseils pour s’enfoncer dans son cul… Myriam sourit donc, et, d’une main, caressa le front de Sarah, tout chaud et couvert de sueur.

« Oui, Sarah, tu es enceinte… La graine a germé dans ton ventre, et elle poussera… Votre premier enfant. »

C’était la promessse qu’ils feraient ensemble un autre bébé. Un héritier pour Elliëndor, une héritière pour Illiändor. Sarah hocha lentement la tête, son corps joyeusement enfoncé dans le lit.

« Maintenant, il faut encore que Gabriel te prenne ton petit cul pour terminer le rituel, Sarah…
 -  Oui, Maman… »

Gabriel était un amant fougueux, il était normal qu’il ne soit pas encore totalement rassasié. D’une main, Myriam caressait le front de sa fille, et, de l’autre, elle frottait la nuque de son fils.

« Mets-toi à quatre pattes, Sarah… Puis, toi, Gabriel, tu pourras la prendre… Mais, avant ça, il faudra la préparer. Comme tu l’as fait tout à l’heure… »

Sarah se redressa donc, et alla se mettre à quatre pattes.

« Bombe ton petit cul, ma chérie… »

La douce voix de sa mère continuait à la suivre, et Sarah continuait à obéir, docilement, tandis que Myriam poursuivit, à l’intention de son beau et fort fils :

« Masse son petit cul, malaxe-le, pince-le… Puis, quand tu commenceras à te l’approprier, utilise tes pouces pour écarter ses fesses, et lèche sa croupe… Surtout son petit bouton rose. Il faudra le lubrifier un peu avant de la prendre, et, avant d’enfoncer ton impériale verge, tu pourras commencer par glisser un doigt ou deux, afin de la préparer… Ta queue est si grosse qu’elle nécessite un peu d’entraînement. »

Sarah entendait tout cela en rougissant. Elle continuait à respirer lourdement, mais elle était la fille d’Illiändor. Elle n’allait pas abandonner si facilement. Elle serait forte et perverse… Comme sa mère !
« Modifié: dimanche 18 juin 2017, 15:39:04 par Princesse Alice Korvander »

Yulia Vesselovski

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 27 dimanche 18 juin 2017, 16:34:56

Malgré un bref moment, où Gabriel avait bien cru que sa première fois serait gâchée par la frigidité de sa soeur, le jeune souverain avait fini par enfin pleinement savourer la fin de sa chasteté forcée. Sous les conseil de sa mère, il était parvenu à briser la carapace de Sarah, qui avait enfin fini par mettre du coeur à l'ouvrage. Ils avaient fait l'amour, et Gabriel était aprvenu à la faire jouir, ce qui pour tout homme dans son royaume était une question de fierté, et il avait accompli son devoir en se vidant à son tour en elle. Grâce à la potion que Sarah avait pris tantôt, avant qu'ils ne commencent le rituel, Gabriel était certain que sa semence donnerait naissance à un fils...mais ce n'était pas pour autant que le rituel était achevé. Il restait encore à Gabriel à prendre sa soeur par le cul...et après ça...après ça il pourrait enfin profiter à la fois de sa soeur et de sa mère, vu que Sarah et lui auraient effectué le rituel devant témoins, comme la tradition le voulait.

Mais il restait encore cette phase, probablement la plus délicate de toutes, la première sodomie de Sarah. Gabriel était toutefois confiant, sa soeur se montrait bien plus réceptive au fait de coucher avec lui, de l'avoir pour mari, et de porter son enfant. La taille du sexe du roi toutefois, promettait dans tous les cas que la pénétration par le cul étroit de la jeune reine ne serait pas évidente. Sarah, suivant les instructions de sa mère, se mit à quatre pattes en présentant son cul, magnifique, bombé, ferme, à son frère. A la voir dans cette position, Gabriel songeait qu'il prendrait souvent sa soeur ainsi, car la magnifique rondeur de ses fesses lui donnaient la même trique qu'un animal en rut.

Ce fut au tour de Gabriel de recevoir des instructions de sa mère, auxquelles il acquiessa. Le jeune roi avait beau être un guerrier puissant, il ne connaissait guère les choses de l'amour et du corps, interdit qu'il avait été même de toucher à une femme, et le rituel prenait un tournant qu'il appréciait depuis que sa mère lui donnait de vrais conseils quand à la façon d'approcher le corps de sa soeur. Le jeune roi n'avait donc aucune raison d'aller à l'encontre des précieux conseils que sa mère lui prodiguait. Il hocha la tête, silencieusement, puis s'approcha de sa soeur en se positionnant derrière elle, et posa fermement ses deux mains sur ses fesses.

Ma Reine...tu as un cul béni par les Dieux.

Gabriel se faisait un vrai plaisir de sentir ces fesses fermes sous ses mains, empoigner cette chair avec ses doigts, et surtout entendre sa pute de soeur gémir sous le contact de ses mains. Il se baissa alors, écartant les fesses de Sarah pour avoir accès à sa croupe, et le Roi y fourra son visage. La langue curieuse de Gabriel atteint sans difficulté le petit trou serré de Sarah, et l'on pouvait voir cette fois que le jeune roi semblait prendre en compte les besoins de sa reine d'éprouver aussi du plaisir. Il préparait consciencieusement l'accès pour le passage de sa verge, et finit également par glisser un, puis progressivement deux doigts dans son cul, avant de revenir lécher pour lubrifier et dilater les parois.
Le jeune roi répéta cela un certain nombre de fois. Dans l'assemblée, beaucoup ne pouvaient plus se retenir, et certains couples s'étaient déjà formés et copulaient sur les gradins tout en regardant le couple royal à l'oeuvre. Puis, enfin, Gabriel se redressa, et son impériale verge coulissa le long de la croupe de sa délicieuse soeur.

Il est temps...

Gabriel toutefois ne se montra pas aussi hargneux et pressé qu'au début. Maintenant qu'il avait joui une fois, et qu'il goûtait enfin au corps d'une femme, ce dernier était plus à même de se contrôler. Il guida donc d'une main son sexe vers l'entrée de l'anus de sa femme, et commença à s'enfoncer, il y allait toutefois de façon progressive. Même après l'avoir dilaté, l'accès au cul de Sarah était toujours étroit, mais c'était en bonne partie due au gabarit exceptionnel de la virilité du roi. Ce dernier grognait, respirait lourdement, alors qu'il se frayait peu à peu un passage. Il fallait, pour que le rituel soit complet, que Gabriel glisse intégralement son sexe dans le cul de Sarah, afin qu'ils ne fassent pleinement qu'un. Quand enfin ce fût fait, toutefois, ce fût comme si tout le monde dans l'assemblée, Sarah et Gabriel compris, ressentirent une douce chaleur les envahir.  Myrima elle saurait s'en souvenir, car c'était une manifestation des Dieux, qui donnaient par ce biais leur bénédiction envers ce couple royal, qui avait réussi le rituel.

Oh Sarah !

Gabriel se mit alors à remuer son bassin, incapable de tenir d'avantage en restant passif, avec les parois du cul de sa femme qui serraient tant son sexe.

Princesse Alice Korvander

Humain(e)

Re : Sacrifice sexuel [PV]

Réponse 28 dimanche 18 juin 2017, 20:38:05

La sodomie... Plus que tout le reste, elle effrayait Sarah. Vierge, la jeune Princesse n’ignorait toutefois rien des choses de l’amour. Et elle savait qu’une sodomie était un exercice particulièrement intense, et très difficile. C’était éprouvant. Sa mère avait été claire là-dessus quand elle lui en avait parlé. Elle lui avait dit qu’elle en souffrirait, mais que cette souffrance donnerait lieu à un plaisir immense. Pour le coup, Sarah avait un peu peur, et rougissait donc. Bien que très excitée par ce qu’elle vivait, elle déglutit en se mettant à quatre pattes. C’était inévitable, elle allait devoir y passer, et sa respiration s’accéléra quand elle sentit les deux mains de l’homme, fermes et puissantes, se poser sur ses fesses, venant doucement la malaxer.

« Ha... ! »

Sarah déglutit, et releva la tête, se pinçant les lèvres. Autour d’elle, les gens continuaient à les regarder, assemblée silencieuse de nobles et de puissants. Et elle rougit de plus belle en constatant qu’ils étaient tous occupés à se masturber. L’assemblée devenait de plus en plus lubrique devant le spectacle de ce couple royal en train de se faire l’amour. Sarah savait que ce n’était qu’un début. Étant la fille royale, elle disposait d’une endurance sexuelle exceptionnelle, qui allait justement être mise à rude épreuve.

Gabriel complimenta ses fesses, et Sarah rougit à nouveau.

« Ô mon roi... » gémit-elle.

Sarah soupira encore, et laissa l’homme malaxer son cul pendant un certain moment. Au bout d’un moment, son Roi finit par fléchir les genoux, et elle couina en sentant sa langue s’approcher de son fondement, ses pouces écartant ses fesses. Sa croupe était ainsi accessible, ainsi que ce petit trou rose. Myriam, en souriant, se redressa lentement, et se pinça les lèvres en voyant l’homme lécher le cul de sa fille.

« Oui, mon chéri, c’est bien... Prépare-là bien. Même pour toi, ce sera beaucoup plus agréable, car ta queue est vraiment très grosse... »

Pendant qu’il léchait le fondement de Sarah, sa mère retourna caresser les longs cheveux de son fils, tout en posant son autre main sur le milieu de son dos, grattant son dos. Sarah continuait à gémir et à couiner, en sentant le plaisir croître, au fur et à mesure que la langue de son amant se glissait en elle, s’enfonçant dans sa chair. Elle couina encore, des gouttes de sueur commençant à glisser de ses cheveux, ses mains se crispant sur le lit, au fur et à mesure que le désir croissait en elle.

Sarah sentit alors Gabriel se redresser, et se pinça une nouvelle fois les lèvres quand elle sentit sa virilité caresser sa croupe.

« Mon... Mon Roi ! »

Ce furent là ses derniers mots, car, ensuite, Gabriel s’enfonça en elle. Ses yeux s’écarquillèrent alors, et elle poussa un hurlement de plaisir et de douleur, en sentant un barreau de chair s’enfoncer en elle, défonçant sa porte arrière, et commençant à se faufiler dans son corps. Même si Gabriel avait bien léché son trou, ce petit cul n’avait encore jamais goûté une verge, et restait donc très étroit.

« Là, là... N’essaie pas de t’enfoncer une fois en elle, mon chéri. Cette salope n’a jamais eu une bite comme la tienne dans le cul... Retire-toi, et reprends, encore, et encore... Pilonne-là bien fort, mon cœur. »

Sarah gémit encore, criant une nouvelle fois, fermant les yeux, en sentant le phallus de son amant partir, puis s’enfoncer en elle, s’enfonçant toujours plus profondément. Elle se pinça les lèvres, et sa salive coula de ses lèvres. Ses doigts se crispèrent encore, et elle laissa l’homme remuer plus généreusement en elle, s’enfonçant de plus en plus profondément dans son corps.

« Mmhhhmmm... Haaaaaaaaaaaaaa... !! »

Le plaisir commençait à exploser dans son corps.


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