Long Live The Vampire [Vanillia Carnelle]

Mélinda et Vanillia formaient, ensemble, un superbe couple. Les deux heureuses femmes venaient de coucher joyeusement avec Sya, le belle Ange, et, comme on pouvait s’y attendre, Sya n’avait rien rejeté dans ce moment. Elle avait tout pris, avec grand plaisir, et, plutôt que de boire tout son sang, Mélinda avait réussi à se réfréner, relâchant le doux corps de la magnifique Ange, afin de se concentrer davantage sur celui de son amante. Sya allait maintenant pouvoir se reposer, et surtout jouer avec d’autres partenaires, tandis que Mélinda et Vanillia, elles, se retrouvèrent à nouveau ensemble. Les deux jeunes mariées s’embrassèrent et se caressèrent mutuellement, Mélinda retournant poser une main sur les fesses de sa Vanillia, l’autre s’appuyant sur sa nuque. Elles allèrent ainsi tendrement et magnifiquement s’embrasser, leurs lèvres se pressant les unes contre les autres. Un baiser bien vampirique, où le plaisir se mélangea à la douleur quand Vanillia vint mordiller les douces lèvres de Mélinda. La brave et heureuse vampire en ressentit un frisson d’excitation, frisson renforcé par la sensation de cette queue qui caressait les siennes, de ce foutre qui se mélangeait au sien, et elle embrassa la femme, encore et encore, avec un appétit renforcé, ses ongles s’enfonçant dans sa douce nuque.

Avec les vampires, la douleur était toujours là, comme une sorte de seconde couche, complémentaire à la première. Ce baiser n’était qu’un léger entracte, car, très rapidement, Vanillia passa à l’assaut. Son entrain était compréhensible ; c’était le sang de Sya. Elle y goûtait pour la première fois, et même Mélinda, qui avait bien dû mordre Sya des dizaines et des dizaines de fois, ressentait encore, à chaque fois, une furieuse trique lorsqu’elle la mordait. Sya était ainsi, un réservoir de sexe et de Luxure, et c’était bien pour ça que Mélinda l’aimait.

Vanillia, de son côté, finit par se redresser, et, visiblement impatiente de passer à la suite, se déplaça, et déplaça également la vampire. Mélinda soupira lentement, et ses jambes se retrouvèrent à gauche et à droite de la tête de la femme, son bassin légèrement relevé… Une position que la vampire connaissait, bien entendu, et qui ne manqua pas de la faire sourire.

« Oh, ma chérie, tu te risques à de nouvelles figures… »

Amusée, et impatiente, elle utilisait ses pieds pour les coincer contre la nuque de la femme… Puis son sourire se transforma en un long cri de plaisir et un gémissement aigu quand elle sentit la queue de Vanillia s’enfoncer en elle, venant remuer dans sa chair.

« Oooohhhh… !! »

Les sodomies… Une grande passion mutuelle, partagée par les deux membres de ce couple très pervers.  Se pinçant les lèvres, la vampire gémissait joyeusement, poussant de longs soupirs de plaisir, tout en sentant le mandrin de Vanillia remuer en elle, d’avant en arrière, s’enfouissant joyeusement et profondément dans son petit cul.

« Haaaa… Oooohhhh… En-Encore, ma chérie, haaaa… !! »

Se faire enculer par Vanillia, c’était… Ah, c’était vraiment divin !

La sodomie ; une grande histoire d’amour entre les deux vampires. Pour Vanillia, cette pratique s’était imposée d’elle-même ; ayant perdu sa féminité – au terme génital – il était bien compliquée pour elle de faire autre chose que ça. C’est-à-dire que lorsqu’elle voulait se faire prendre, le seul moyen était de passer par la porte arrière. Avec le temps elle s’y était habituée et, même, avait appris à adorer ça. On pouvait clairement dire que Vanillia était devenue une grande sodomite, qui aimait autant s’en recevoir dans le fondement, que donner. Elle le prouvait à ce moment même où elle avait pris une position assez acrobatique, afin de mieux prendre sa petite femme. Mélinda qui avait coincer ses pieds derrière la nuque de la vampire, et qui allait déguster toute la hargne et la passion de sa chérie.

Vanillia esquissa un sourire avide, mélange de désir profond et d’envie perverse. Sa trique s’était alors enfoncée dans le corps de son épouse en une succion audible, mais qui résonnait bien comme un bel orgasme auditif. « Hiiii ! » Couina-t-elle de plaisir alors que son gland remua jusqu’au fond de ses entrailles, faisant d’ailleurs bien couiner Mélinda aussi. Puis, le rodéo commença quand la vampire se mit, tout naturellement, à remuer joyeusement en elle. Sa verge assoiffée bascula en arrière, pour mieux s’abattre en avant, dardant ainsi sans relâche cette petite rondelle. Dans cette position, non seulement l’effet de la sodomie était accru mais elle avait aussi tout le loisir, et le plaisir, de voir le visage et le corps de son épouse.

Son visage qui se pliait sous ses coups de reins ; ses petits seins qui remuaient de haut en bas ; sa verge qui se balançait hargneusement dans le même sens … Tout ça, c’était si excitant rien qu’à vue ! Et forcément, ça donnait encore plus envie à Vanillia de la baiser. « Grrrmpfff ! Ce que j-j’adore ton petit cul, ma chérie ! » Lui déclara la vampire, remuant joyeusement d’avant en arrière pour la pilonner. Sa verge se faisant langoureusement et avidement gober par la rondelle de Mélinda. Son gland tapait en elle fortement, suivant son rythme. Elle y allait plutôt rapidement, optant pour une cadence élevée et puissante, pour submerger sa sublime épouse en plaisir et sensations ! Pour un meilleur appui, elle posa ses mains sur ses douces cuisses, puis y enfonça ses doigts. « Hmmm ! » Gémit-elle à nouveau, enfonçant toujours aussi hargneusement sa veineuse trique dans ce fondement si accueillant, alors que ses lourdes et belles bourses venaient taper contre ses petites fesses.

Elle sentait les entrailles de sa chérie se presser contre sa queue, la stimulant de toute part, à tout instant, lui offrant un bien immense. C’était ça aussi, tout l’intérêt de la sodomie. Inutile de dire qu’elles allaient en être de ferventes consommatrices ! Pas seulement que maintenant ; mais durant toute leur vie. Vanillia prenait toujours autant de plaisir à enculer sa chérie que le premier jour, et ça, c’était bon ! « Hnnnnn ! » Soupira-t-elle en ouvrant grand le bouche, un sourire ravi aux lèvres. Son corps basculait d’avant en arrière, langoureusement, s’enfonçant avec tant d’amour et de fougue. Ce n’était pas sa verge qui allait dire le contraire ; elle en était toute heureuse de pouvoir se nicher ici. Il suffisait de voir la douleur qu’elle donnait à Vanillia, et par conséquent le plaisir, pour s’en rendre compte. Elle avait même enflé d’un peu plus, se retrouvant toujours mieux compressée.

Mélinda aimait beaucoup coucher avec Vanillia. Elle était sa femme, après tout, et, partant de là, les deux se faisaient mutuellement plaisir. Coucher avec elle, baiser, même, était un plaisir exquis, sans cesse renouvelé, toujours aussi jouissif et délicieux. Mélinda sentait Vanillia remuer dans son dos, comprimant sa queue dans l’étroitesse de son cul, remuant dessus, d’avant en arrière, la faisant soupirer et gémir.

« Hnnnn... Haaaaa... !! »

Dieu, quelle trique ! Quelle érection ! Vanillia n’y allait pas par le dos de la main, exactement comme Mélinda le voulait. Le sexe ainsi, c’était bon, c’était comme ça que Mélinda voulait coucher avec la femme. Avec safemme ! Dans cette ambiance chargée de stupre, Mélinda dansait d’avant en arrière, bouche ouverte, gémissant et soupirant, sous le regard amusé de ses esclaves. En soi, que leur Maîtresse se fasse sodomiser n’était pas particulièrement exceptionnel. Elle aimait enculer les gens, mais aussi se faire enculer. Cependant, il fallait bien admettre que les deux formaient un très beau couple, et qu’entendre leur Maîtresse hurler ne faisait que leur faire plaisir. Ce n’était pas un jour comme les autres. Leur Maîtresse s’était mariée, une chose incroyable. Une air de bonheur et de douceur planait dans la pièce, et, au-delà de ça, dans tout le harem.

Vanillia continuait donc à la prendre, jusqu’à ce que les deux épouses atteignent leur orgasme mutuel. Dans un immense soupir, Mélinda alla salir un peu plus leur immense lit, en s’étalant sur ce dernier, sentant, avec joie, la queue de Vanillia juter en elle, balançant du foutre, comme pour marquer son territoire.

« Ooooohhhh... !! Haaaaa... !! »

Elle soupirait longuement, de la sueur sur les cheveux, plaquant ces derniers contre son front, et se retourna alors, venant échanger avec Vanillia un long et magnifique baiser.

« Ma chérie, tu es vraiment une terrible amante... J’en ai le cul qui frissonne de partout, haaaa... »

Hop, nouveau baiser ! Elle mordilla les douces lèvres de sa tendre, se frottant contre elle, une main serrant ses cheveux.  Que de doucereuses et magnifiques sensations !

« Il est temps que je te présente quelqu’un, ma puce... Ma ‘‘fille’’, pour ainsi dire. Je l’ai récupéré quand elle était encore un petit bébé. »

Dans leur dos, une nouvelle protagoniste venait d’arriver, un sourire enjoué sur les lèvres et une lueur malicieuse dans le regard.

Edessa la Succube !

Coucher avec Mélinda, c’était sans doute la meilleure chose qui pouvait arriver à Vanillia. Ou plutôt, passer du temps avec elle ! Car lui faire l’amour, c’était vraisemblablement une activité comme une autre, même si elle avait la particularité de rapprocher les gens, et de donner beaucoup de plaisir. Mais fondamentalement, même si le sexe était l’un des piliers fondateurs de leur amour, la vampire aimait plus généralement être aux côtés de sa femme, tout simplement. C’était ça aussi, l’amour ! La simplicité. Le simple fait de sentir son odeur, ou passer sa main dans ses cheveux … Ou de savoir qu’elle était un soutient, et qu’elle serait toujours là auprès de Mélinda quand elle en aurait besoin. Toutes ces choses étaient aussi des éléments cruciaux qui renforçaient la puissance de cette union. Toutefois, en parlant de puissance, il fallait dire qu’en attendant la vampire n’y allait pas de main morte.

Vanillia enfonçait hargneusement sa juteuse trique dans la rondelle de sa femme, la faisant couiner et balancer de haut en bas. La sodomie avec elle était toujours aussi explosive, charnelle, sensationnelle, et Vanillia le démontrait encore. Ses bourses claquaient contre sa peau régulièrement, témoignant du fait qu’elle rentrait l’intégralité de son membre en Mélinda. « Hmmrrrr !!! » Ronronna alors la noble vampire, qui redoubla d’effort et de vitesse, sentant la dernière ligne droite arriver. Car en effet, la pression s’accumula encore et encore, finissant par sonner le glas de cette sodomie. Les deux épouses finirent par jouir de concert, relâchant chacune leur crème. Vanillia se vida les bourses dans les entrailles de sa chérie, la fourrant avec amour et beaucoup de générosité ! « Hiiii ma chériiiie !!! » Couina alors Vanillia, qui sentit son membre palpiter se cracher joyeusement une marée blanche.

Finalement, la pression retomba. Les deux femmes avaient copieusement joui ensemble, et Mélinda avait même un peu sali le lit. Un détail dans toute cette orgie, puisque après tout, qui se souciait du fait qu’il y avait du sperme dans les draps du lit … Tant qu’il appartenait à la maîtresse des lieux ! Cependant, Mélinda n’en resta pas là et après s’être redressée, partit chercher un bon et délicieux baiser auprès des lèvres de sa chérie. Baiser que l’intéressée accueillit à bras ouverts, ne refusant jamais le moindre bisou venant de sa Mélinda adorée. Puis, quand l’étreinte se termina, la belle Mélinda déclara alors à Vanillia qu’elle avait encore quelqu’un à lui présenter. Se frottant contre elle, la main dans ses cheveux, la mariée hocha vivement de la tête, visiblement très curieuse de voir de qui s’agissait-il.

Elle la déclina comme était sa fille mais apparemment, ce n’était pas la même chose qu’avec Akira. Elle l’avait récupéré quand elle était bébé, et quand l’intéressée fit son apparition, un sourire vint égayer le visage de la vampire. C’était alors une mignonne succube aux cheveux rosés, et aux cornes courbées. Son regard malicieux et sa démarche dénotait clairement de sa nature. « Enchantée ! » Dit alors Vanillia en secouant sa main. Tout comme Akira, c’était toujours un plaisir de faire connaissance avec les différentes filles de son épouse, car forcément, elles avaient toute pris un peu de leur mère. Et tout ce qui touchait à Mélinda, plaisait forcément à Vanillia.

« Je suis également enchantée de vous voir, Maîtresse. »

Edessa lui fit un ravissant sourire, en venant l’embrasser sur les lèvres, puis en descendant rapidement vers son sexe, qu’elle lécha, avant de le renifler, visiblement pour s’enivrer de la délicieuse odeur qui s’en dégageait. Pour elle, il n’y avait pas à tortiller longtemps du cul ; Vanillia s’était mariée avec Mélinda, elle était donc sa Maîtresse. Et, très rapidement, elle se mit à lécher et à embrasser le sexe de Vanillia.

« Vous avez un très joli membre, Maîtresse, il m’est très agréable de l’embrasser... »

Mélinda ne put que sourire, et caressa la tête d’Edessa, tout en retournant embrasser sa femme. Quelle fantastique soirée ! Mélinda s’était rarement sentie aussi heureuse. Elle venait de se marier, de tourner un long chapitre de son existence, et célébrait ce passage dans la joie et le stupre, dans une orgie magnifique et hors-normes. La belle Vanillia allait probablement quintupler ses expériences sexuelles ce soir, tant elle multipliait les amants. En tout cas, Mélinda, elle, se faisait plaisir, et, tout en caressant les cheveux d’Edessa, et en embrassant Vanillia, elle finit par rompre le baiser.

Elle se mit ensuite à lui parler, lui contant les origines d’Edessa :

« Edessa est une succube que j’ai récupéré quand elle était un bébé. Ceci fait que, pour elle, je suis autant sa mère que sa Maîtresse. Elle ne fait aucune différence entre les deux. »

La succube était l’un des piliers du harem, se targuant d’avoir couché avec tous les membres de ce dernier. Elle s’était séparée d’elle pendant des mois, afin de maîtriser sa magie rose. Edessa était revenue au harem encore plus forte et plus talentueuse qu’avant, capable d’utiliser la magie rose pour concevoir des clones sexuels, et autant d’autres choses que Mélinda adorait, comme les tentacules.

Elle avait de grands projets pour sa succube, qui était maintenant affairée à sucer le sexe de Vanillia. Son projet était de faire d’elle une Prêtresse de Lust. Edessa en avait les capacités, et elle resterait toujours son esclave, mais ce statut particulier ferait qu’elle permettrait à Mélinda de se rapprocher de Lust, et ainsi d’avoir des faveurs divines. Mais, pour l’heure, seul comptait le moment présent. Il allait de soi que Vanillia n’aurait raté ce moment pour rien au monde..

« Elle porte une robe faite spécialement pour moi... Faite pour se faire sodomiser. »

Edessa ne cherchait pas à faire jouir Vanillia, mais à réveiller sa virilité, afin que, précisément, elle puisse la prendre. En effet, si sa robe était normale sur le devant, sur le derrière, il y avait tout un assemblage  complexe de cordes et de nœuds, avec un insolent nœud à hauteur de sa croupe. C’était une robe avec laquelle Edessa se déplaçait fréquemment, en espérant, à chaque fois qu’elle sortait dehors, se faire prendre contre un mur par des inconnus.

« Crois-moi, tu vas très vite l’adorer, amour... »

La succube répondit poliment à la vampire qui lui sourit, la voyant se rapprocher. Vanillia constatait quelque chose, néanmoins. Sa femme semblait avoir pris le temps de s’occuper de certaines personnes, comme Akira ou bien encore, Edessa maintenant. Toute la considérait comme leur mère … Et Mélinda en retour disait bel et bien qu’elles étaient comme ses filles. Peut-être y avait-il des nuances – Akira était sa fille vampirique, Edessa sa fille d’adoption, etc – mais, en fin de compte, est-ce que cela traduisait d’un manque ? De quelque chose de plus profond et abstrait pour Mélinda. Quelque chose comme, le désir d’avoir réellement une progéniture ? Vanillia était au courant de la condition de son épouse, et la question trottait donc dans sa tête, surtout en voyant Edessa. C’était un sujet qui allait peut-être revenir à l’avenir …

Mais pour le moment, honneur au sexe et au plaisir ! La succube s’approcha et embrassa Vanillia, lui faisait ainsi gouter à ses merveilleuses lèvres. Un bon petit baiser courtois, avant qu’elle ne descende auprès de son sexe qui tirait un peu vers le ciel. Après une telle sodomie, il était un peu éprouvé mais, visiblement, il ne fallait plus pour dissuader Edessa. Celle-ci se pencha vers lui pour l’embrasser et le lécher. « Haaww c’est agréable ça … Embrasse-le autant que tu veux, petite puce … » Dit-elle, observant langoureusement le spectacle. Sentir sa trique se faire aspirer doucement, se faire suçoter avec tant d’attention excitait grandement la vampire, qui se mordilla doucement la lèvre. Mais ça, c’était avant que sa chérie vienne lui offrir un baiser tel qu’elle les aimait. Un baiser de Mélinda, c’était toujours un fantastique cadeau. Vanillia y participa avec passion, savourant à nouveau les merveilleuses lèvres de son épouse. Lèvres dont elle ne s’en rassasierai jamais.

Le baiser finit cependant par se rompre, et la vampire en profita alors pour raconter l’histoire d’Edessa. Une succube qu’elle avait récupéré quand elle était encore un bébé. Ce qui faisait que, aujourd’hui, elle voyait Mélinda réellement comme sa mère, mais aussi, comme sa maitresse. Vanillia hocha de la tête face à tous ses détails, savourant encore les délicieuses léchouilles sur son sexe que lui prodiguait l’intéressée. D’ailleurs, elle sentait que sa trique revenait peu à peu. Son sexe redevenait lourd, pulsant, veineux. Elle aurait tant eut envie d’enfoncer plus voracement son vit dans cette gorge, mais elle savait que cela ne devait sans doute pas être le but. « Edessa est très douée à ce que je sens … » Dit-elle, avec un petit sourire. Mélinda lui expliqua par la suite que la robe qu’elle portait était spécialement conçue pour qu’elle se fasse sodomisée. De quoi largement plaire à Vanillia, qui était accro à ceci. Elle leva un petit sourcil intéressée, et poussa un petit hoquet en sentant la langue de la succube fuser sur sa cerise.

Edessa avait réussi à réveiller sa virilité, puisqu’à présent elle tirait hargneusement vers le ciel, et était très veineuse, prête à en découdre. Forcément, cela donna beaucoup envie à la vampire. Surtout en voyant la belle croupe de la succube. « Je vais te prendre par là, petite succube … » Lui dit-elle, en lui faisait signe de se relever. Quand elle se retourna, Vanillia posa ses belles mains sur chacune de ses fesses puis, en les pelotant généreusement, se rapprocha du nœud. Jouant avec ses petits doigts, Vanillia finit par défaire le nœud, libérant ainsi le magnifique popotin de la créature. « Quel beau fessier ma parole … » Dit-elle, louchant fortement dessus. Elle se mordilla à nouveau la lèvre puis, se mettant en place derrière elle, saisit fermement son mandrin. Elle l’approcha de ce point, faisant chaudement taper sa cerise contre cette petite rondelle étroite. « Humm … » Gémit alors Vanillia, souriant comme jamais. Edessa était en effet une agréable petite surprise, dont elle allait savourer le plein potentiel.

Agrippant fermement ses hanches, Vanillia finit par pousser et … « Haaaa ! » Couina-t-elle, alors qu’elle s’enfonça très tendrement dans les entrailles d’Edessa, fourrant chaudement sa verge entre ses fesses.

« J’entretiens mon petit cul pour qu’il plaise toujours à Maîtresse… »

Sa queue caudale remuait de droite à gauche, se tendant sous le plaisir pendant que, à quatre pattes, elle sentait les mains de Vanillia caresser ses fesses. Tout comme Mélinda, Edessa avait très clairement hésité de cette passion primordiale pour la sodomie, pour tout ce qui, de près ou de loin, se rapportait à l’anal. Dans ce domaine, elle était clairement parfaite. Mélinda, de fait, tenait énormément à elle. Pendant des mois, Edessa s’était séparée de Mélinda afin de perfectionner ses talents magiques. Depuis qu’elle était revenue, sa succube était un enchantement personnel, qui utilisait à merveille sa magie rose pour offrir à sa Maîtresse des expériences sexuelles hors-du-commun.

La jeune vampire observait donc sa femme appuyer doucement sur le petit cul d’Edessa, qui en soupirait de plaisir, déplaçant sa queue pour caresser le sexe de la femme, ou frotter sa peau. Les doigts de Vanillia vinrent ensuite jouer sur cet insolent nœud noir, situé très précisément à l’emplacement de sa croupe. Pour Edessa, succube, le sexe était sa raison de vivre. Elle était, en ce sens, une véritable nymphomane. C’était plus qu’un simple besoin psychologique, Edessa avait physiquement besoin de faire l’amour. Si on ne la nourrissait pas en sperme ou en cyprine au moins une fois par jour, elle se fanait, comme une fleur qui manquerait d’eau pour s’épanouir.

Vanillia finit donc par retirer ce lacet, et sentir ses mains et ses doigts sur son corps ne manqua pas de faire gémir Edessa, qui crispa ses poings sur le lit, tout en remuant un peu son corps. La jeune et belle succube était doucement excitée par un tel spectacle, par l’idée de savoir que sa Maîtresse venait de se marier, et qu’elle avait donc, maintenant, deux Maîtresses.

« Hmmm… »

Attendant avec impatience le moment où Vanillia allait enfin daigner enfoncer sa verge en elle, Edessa tremblait lentement sur place. Les lacets se retirèrent, dévoilant ainsi sa croupe, avec le petit trou rose, bien propre, bien entretenu, qui n’attendait désormais plus que la magnifique verge de Vanillia. Elle la sentit alors, ce membre veineux, cette queue qu’elle avait caressé avec ses lèvres. De nombreuses personnes les regardaient, en souriant doucement. Des esclaves, Mélinda en avait beaucoup, et elles étaient toutes là, pour ce grand moment.

Mélinda s’était redressée, assise, et, sur ses cuisses, elle caressait  une délicieuse esclave, venant tout droitde la Terre, une jeune fille qui aimait beaucoup les nekos, Honoka Kimura, et dont le visage frottait sa queue et ses testicules.

« Votre femme est vraiment magnifique, Maîtresse…
 -  Oh oui… Ce ne serait pas ma femme, sinon… »

Elle caressait doucement les cheveux de la belle Kimura.

« Ne t’inquiète pas, elle visitera ton cul, à toi aussi, ma petite salope… »

Kimura en rougit de plaisir, puis la verge de Vanillia s’enfonça dans le corps d’Edessa.

« HAAAAAAAAAAAAAAAA… !! »

Autant dire que Mélinda avait droit à une vue magnifique ! Elle voyait le corps massif d’Edessa se faire joyeusement prendre par l’arrière, et, tout en caressant la joue de Kimura, elle incita cette dernière à venir la sucer, la bouche de Kimura se déplaçant pour gober la queue de Mélinda, queue qui avait rapidement retrouvé toute sa dureté.

Cependant, alors que Vanillia commençait à remuer dans le fondement d’Edessa, une femme s’approcha d’elle, frottant sa tenue en cuir contre elle, et enfonça rapidement un doigt dans le fessier de la vampire, son autre main venant pincer l’un de ses seins.

« Laisse-moi t’aider, ma beauté… »

La femme en question faisait partie des dominatrices du harem. D’une redoutable beauté, elle répondait aux doux nom de Mora.

Vanillia allait faire de nombreuses découvertes ce soir !

On pouvait dire que Mélinda s’était réellement dépassée ce soir-là, en matière d’organisation. Vanillia ne manquait pas d’activité et plus le temps passait, plus elle faisait de connaissance. C’était à se demander si elle n’allait pas se faire tout le harem ce soir … En était-elle capable ? Ce qui était sûr, c’était qu’elle était probablement moins endurante que sa chérie. Pour autant, après avoir aspiré un peu de sang, elle s’était senti de nouveau en forme et était prête à en découdre. Le sang de Sya avait eu un terrible effet, notamment, celui de la redonner une trique monstrueuse. Cet effet persistait encore, ne serait-ce qu’au moment où elle caressait allègrement la belle croupe de la succube. Elle avait bien lorgné dessus, puis s’était enfin décidée à saisir son mandrin, pour le mettre en place. Vanillia  ne tarda guère à saisir fermement les larges hanches de son amante à corne pour venir pousser de toute ses forces, s’enfonçant en elle avec joie.

Ainsi donc, sa trique poussa ses chairs et s’immisça avec force dans ses entrailles. Comme toujours, l’étroitesse de ce chemin procurait de formidables sensations à la vampire, la rendant toujours plus accro à la sodomie. « Haaaa ! » Couina-t-elle, finissant d’enfoncer la totalité de son membre dans ce canal, avant de lentement écarter son corps, pour le rabattre avec encore plus de force. Sa peau claqua contre la sienne en bruit fort, puis à ce moment-là, elle commença son rodéo. Vanillia pénétra de toute ses forces ce petit cul, rentrant et sortant de celui-ci avec toute la fougue dont elle était capable. Et puis, cette petite queue caudale était toute mignonne … Elle avait bien envie de la mordre ! Mais elle ne savait pas si cela ferait plus mal qu’autre chose. Vanillia savait que chez certaine succube, cette queue était très sensible et érogène mais, chez d’autre, c’était simplement un bout de chair comme un autre.

Dans le doute, elle ne fit rien, se contenant de labourer joyeusement ses petites fesses. Fesses qu’elle claqua fermement, les faisant bien remuer. Cependant, au beau milieu de cette délicieuse sodomie, un autre élément vint s’ajouter. En effet, Vanillia finit par sentir un poids lui rentrer dans le dos. Une voix s’éleva, et … Vanillia couina d’un seul coup en sentant son téton se faire pincer, et un doigt lui rentrer dans l’arrière-train. « HIIIIII ! » Couina-t-elle donc, de plaisir bien entendu. Cette femme était une dominatrice et sans doute Mélinda lui avait fait part de la faiblesse de Vanillia concernant tout ce qui touchait à l’anal. Vanillia courba l’échine pour encore mieux se frotte contre le cuir de sa tenue, rougissant et gémissant dans tous les sens face à ces pincements, et à ce doigté. Sa rondelle se contracta sous ce plaisir soudain, autant que ses tétons se mirent à durcir subitement. « Ouiiiiii ! » Gémit-elle pleinement, la bouche grande ouverte.

« Enf-Enfonces moi ce fouet !!! » L’implora-t-elle, tout simplement. Le manche de son fouet serait bien plus efficace et sensationnel que ses doigts, même si ceux-ci étaient très experts et faisaient un travail remarquable. Pour défouler son trop-plein de plaisir, elle asséna une violente et très bruyante claque sur la croupe de la succube.

Oh, ça, on pouvait effectivement dire que Vanillia avait droit à une sacrée soirée. Elle était au cœur d’une magnifique orgie, une bacchanale ashnardienne. Les corps et les beautés se succédaient autour de la femme, et, même si Mélinda restait sa femme, elle savait se montrer généreuse. Le voyeurisme était l’un des penchants du harem, un fantasme que Mélinda partageait. On aurait pu croire que voir sa femme se faire prendre puisse la rendre jalouse, mais, en réalité, elle avait tendance à trouver ça... Très excitant. Une chose que Kimura réalisait bien, car, tandis que Vanillia labourait furieusement le magnifique cul d’Edessa, sa queue se durcit encore un peu, tapant dans la bouche de la chatte de latex, qui se mit à couiner et à gémir, sans pour autant cesser de sucer la queue de sa Maîtresse.

« Haaaa... Oh, mes chéries, quelle vue magnifique vous m’offrez ! »

Vanillia goûtait assurément à l’une des merveilles du harem : Edessa. La succube adorée de Mélinda était une amante d’une grande qualité, une jeune femme expérimentée, qui passait presque toute sa vie à faire l’amour. Plus on la pénétrait, et plus elle se sentait heureuse, et elle aimait quand c’était long. Elle entraînait spécialement son cul pour qu’il soit à la ferme, rebondi, et extrêmement agréable à prendre. Vanillia s’y enfonçait avec un plaisir sincère, et, très rapidement, une autre femme avait décidé de la rejoindre.

Mora était une belle Asiatique, qui venait du Japon. Mélinda l’avait récupéré il y a quelques années, et elle venait d’une famille difficile. Elle avait rompu tous les ponts avec sa famille. Son père était un homme mauvais, alcoolique, qui battait sa femme, et qui avait envie de violer sa fille. La vampire avait récupéré Mora, et avait utilisé les penchants de violence de la femme à des fins sexuelles, faisant d’elle une excellente dominatrice, amatrice du cuir, du latex, et des fouets... Sans parler des relations anales, mais, comme ce fantasme était commun à tout le harem, il n’était pas presque pas nécessaire de le signaler.

« Hooo... Le fouet, carrément ? »

Elle mordilla son cou, tout en sentant les coups de reins de Vanillia, forts et solides. Comme toujours, avec Edessa, la douceur qu’on pouvait ressentir pour elle laissait rapidement place à de la brutalité. En un sens, Edessa était un modèle pour toutes les prostituées du harem. Plus on faisait preuve de violence avec elle, et plus elle adorait ça. Elle adorait notamment qu’on la prenne contre le mur. Edessa, en réalité, était le genre de femmes qui pouvaient trainer dans des endroits craignos juste pour que des hommes la prennent contre le mur. Elle adorait le sexe beau, mais elle adorait tout autant le sexe }laid. La jeune succube n’avait presque aucun tabou en la matière, ce qui la rendait si parfaite.

Cette perfection, Vanillia était donc en train de la ressentir, de l’explorer, de s’y engouffrer, et, alors qu’elle continuait à la prendre, Mora approcha le bout de son fouet, et tapa contre le cul de la femme.

« Hhhmmm... Allez, je suis sûre que ça peut rentrer ! »

D’une main, elle finit par maintenir la manche du fouet, et, de l’autre, pinçait l’un des seins, à hauteur du téton. Elle réussit ainsi à enfoncer un peu la manche, et, pendant ce temps, la queue caudale d’Edessa, qui fascinait tant Vanillia, s’était également déplacée, et, rendant la pareille à la femme de Maîtresse, fouetta ses petites fesses, claquant dessus.

« Tu aimes avoir un fouet dans le cul, hein ? Tu es aussi perverse que Maîtresse, toi... »

Avec sa main, elle tenait le bout de ce fouet, et le remuait, pour autant qu’elle pouvait le remuer, au vu de sa position. Elle cherchait ainsi à l’enfoncer un peu plus, tout en cherchant, bien évidemment, à la faire souffrir...

Parce que c’est ça qui est bon !

Vanillia, quand elle s’adonnait à fond dans ce qu’elle faisait, devenait une femme hyper productive. Que ce soit dans la tenue des comptes de ses vignobles, ou tout autre chose. Comme le sexe, par exemple. Pour illustrer ceci, on pouvait prendre ce qui était en train de se dérouler. Vanillia sentait le plaisir exploser en elle, à mesure qu’elle fourrait les merveilleuses fesses d’Edessa. Plus les minutes s’égrainaient, plus elle la sodomisait fort et brutalement, en lui assénant de belle gifles sur sa croupe. Sodomite dans l’âme, le sexe anal était pour Vanillia le plus puissant et le plus efficace des moyens pour la faire jouir fort, bien et rapidement. Edessa le subissait, et semblait d’ailleurs s’en régaler, au point de venir gifler à son tour les fesses de la vampire en s’aidant de sa queue.

Pour autant, Vanillia était en train de se pousser à ses limites, surtout quand une autre esclave – une succulente dominatrice – vint dans son dos et s’était mis à pincer ses petits tétons. La vampire, complètement euphorique et la langue pendante, avait supplié Mora de venir non pas la fouetter, mais venir lui enfoncer son fouet dans son séant. Oui, Vanillia avait cruellement envie de se faire fourrer, il en allait de son orgasme qui promettait d’être très explosif. Ainsi, la dominatrice lui avait accordé cette faveur et avait donc entreprit de satisfaire la vampire. Mora approcha le manche de son fouet des délicieuses fesses de Vanillia, qui soupira et couina. Ses coups de reins, terribles, forts, durs, continuaient à marteler avec une détermination sans fin le fondement de la succube. Sa trique n’en démordait pas, voire même, elle avait encore gonflée ! Cette sodomie était incroyable, et plus elle fourrait les entrailles d’Edessa, plus Vanillia prenait du plaisir.

Ses bourses claquaient violemment contre sa peau, et faisait même trembler ses délicieuses fesses. Mais bientôt, ça allait être Vanillia qui tremblerait de plaisir. Mora pinça à nouveau ses seins, puis se saisissant du manche de son fouet, l’approcha de la rondelle de l’intéressée. Elle la fit couiner fortement, puis d’une poigne ferme, se mit à enfoncer ce manche entre ses fesses. Vu la position, c’était un peu délicat mais Mora parvint sans problème à assouvir le plaisir vicié de la vampire, qui laissa échapper un profond soupir mélangeant douleur, et plaisir. « Hmmmrrr ouiii ! J’a-J’adore qu’on m’enfonce des tr-trucs !!! » Répondit-elle, peinant à parler de manière raisonnable. Sa trique continuait de pilonner le fondement d’Edessa, sans cesse, sans relâche. Elle surchauffait, elle gonflait de plaisir et d’extase, procurant d’indescriptibles et nombreuses sensations qui parcouraient tout le corps de Vanillia.

Mora se décida puis finit enfin par correctement enfoncer son fouet dans les fesses de Vanillia, puis elle se mit à le remuer. Elle conserva sa main sur son sein, pinçant ses petits tétons et amenant rapidement la vampire au bord de la folie … « HAAAA – HAAAAAAAANN OUI !!! » Gémissait-elle fortement, se faisant stimuler réellement de toute part. Ce fouet dans son cul … Lui procurait tant de plaisir ! Mora cherchait à l’enfoncer toujours plus profondément, et c’était tout ce que Vanillia souhaitait. Si ça continuait ainsi, elle allait avoir un double orgasme … Mais, alors qu’elle pensait s’en tirer ainsi, la féline et malicieuse Nylla refit apparition. Possédant un vrai tempérament de maîtresse, et étant particulièrement audacieuse et entreprenante, la Terranide s’était mise debout devant la vampire, en tâchant de placer une jambe de part et d’autre d’Edessa. Cette dernière se retrouvait donc en-dessous de la femme, qui se tenait fièrement debout … Trique en main.

« C’est l’heure de votre goûter, Maîtresse ! » Lui dit Nylla sur un ton particulièrement coquin, avant d’approcher sa trique pour que Vanillia la mange. La vampire obtempéra, mais … Ce fut la Terranide qui agrippa fermement, mais doucement, la tête de la mariée pour lui faire gober avec force sa verge. Ainsi, la vampire se retrouva la bouche complètement pleine de ce sexe, et Nylla couina à ce moment-là, se mettant à remuer d’avant et arrière … Fourrant amicalement la gorge de Vanillia. On pouvait dès à présent dire que … Vanillia était en train d’être baisée de partout !

Sans surprise, mais en rassurant tout de même Mélinda, le harem semblait avoir bien adopté Vanillia. Silencieuse spectatrice, mais non moins excitée (sa trique gonflait bien dans la petite bouche d’amour de Kimura), la vampire    observait ce spectacle avec fascination. Trois femmes finirent par se trouver autour de Vanillia : Edessa, Mora, et Nylla. Avec plaisir, Mora avait pu glisser son fouet en elle, déformant le cul de Vanillia, un cul qui, fort heureusement, était bien dilaté, et habitué à se dilater, à force d’être pénétré. Petit à petit, Mora avait pu enfoncer son fouet, et, tout en pinçant le sein de Vanillia, gifla avec son autre main son petit cul, faisant sautiller la lanière du fouet à chaque fois que le corps de la vampire se déplaçait. Il fallait bien admettre que la femme de Mélinda était à la hauteur de cette dernière : aussi belle que perverse. Ce talent, les filles l’avaient rapidement perçu et compris quand Vanillia avait rejoint le harem, et elle rejoignait donc leurs ébats sexuels.

Ce soir, Vanillia n’aurait guère l’occasion de se reposer. Mélinda, elle, se contentait de les observer pour l’heure, mais, assez rapidement, son corps allait à nouveau servir. Voir son amoureuse être ainsi prise, c’était vraiment magnifique. Une grosse queue s’enfonçait dans sa bouche, et Nylla, comme à son habitude, se montrait gourmande et assoiffée, avec une trique phénoménale. La Terranide venait de régions chaudes et sauvages, où elle vivait dans des jungles sensuelles, des endroits où la flore vous prenait pour vous faire l’amour, ce qui faisait des locaux des amants redoutables. Nylla en était la preuve.

« Hmmm… Quelle bouche vous avez, Maîtresse !! Haaaa, que c’est bon !! »

La proximité d’Edessa ne faisait rien pour calmer Nylla, car les spores aphrodisiaques de la succube étaient terribles, l’excitant encore plus. Un mandrin tapait contre la gorge de Vanillia, manquant l’étouffer, avant que la queue ne reparte en arrière. Le mandrin de Nylla, c’était quelque chose, en effet.

Mélinda, quant à elle, continuait à sentir Kimura la sucer, mais finit par se redresser. Elle retira son sexe, et caressa le visage de Kimura, notamment ses oreilles.

« Couche-toi sur le lit, ma petite chatte…
 -  Nyaaaaa… !! »

La tenue de Kimura était très spéciale. Elle avait été enchantée par Décatis, de telle sorte que son serre-tête avec les oreilles de neko, et la queue caudale, étaient faites pour produire des effets, afin de donner l’illusion qu’elles étaient vraies. À ce titre, quand Mélinda caressait la queue caudale de Kimura, qui pouvait la déplacer, cette dernière soupirait de plaisir, et il en allait de même pour ses oreilles de chat. La magie était vraiment chose pratique pour satisfaire les fantasmes les plus osés qui soit, et, depuis qu’on avait confié cette tenue à Kimura, la jeune fille l’enfilait fréquemment. Un choix que Mélinda ne pouvait qu’approuver.

Sentir Kimura sucer son sexe avait considérablement durci ce dernier, et, quand la petite chatte de latex se mit en position, Mélinda se coucha sur elle, et s’empressa de la pénétrer, enfonçant sa verge dans son corps, la faisant couiner. La Maîtresse en profita pour embrasser goulûment son esclave, tout en la pénétrant.

« Hmmmmm… »

La douce Kimura soupirait de plaisir, follement heureuse, comme toujours, de se faire prendre par la femme Et, tandis que Mélinda la prenait, dans le dos de la vampire, des mains gantées caressèrent ses fesses, puis une verge s’approcha de son corps.

« Haaa…
 -  Maîtresse… Je suis heureuse… Hmmm… De vous voir vous marier ! »

Une grosse queue s’enfonça en elle. Elle émanait de l’une de ses plus fidèles esclaves, Ayumi Nasegawa, qui, pour l’occasion, avait enfilé son cadeau : une combinaison sexuelle tekhane. Intégralement faite en latex, la combinaison moulait parfaitement ses formes, notamment ses seins et sa verge, à tel point que la femme pouvait déployer son membre sous la combinaison sans problème.

C’était donc une verge de latex qui s’enfonça dans le cul de Mélinda, un latex particulier, car conçu pour ce genre de choses.

« Haaaaaaaaaaaa…. !!
 -  Hmmmmmmmmmmmmmmm… !! »

La fête se poursuivait joyeusement au milieu de toutes ces femmes perverses et belles.

Si Vanillia se doutait que le harem de sa moitié regorgeait de créature de rêve en tout genre, elle fut pourtant loin d’en prendre totalement conscience. À vrai dire, elle commençait réellement à prendre conscience des talents présents dans ce harem quand Nylla, la terrible Terranide, décida de lui faire à nouveau gouter à son mandrin. Si une seule était si forte, si endurante et si performante, il devait bien y avoir d’autres qui l’étaient encore plus. Mélinda avait fait un excellent travail en réunissant toutes ces femmes ici. Des femmes exceptionnelles, douées, talentueuses qui usaient de toute leur maitrise et leur charme pour satisfaire leurs maitresses. Bien que Vanillia n’était maitresse que grâce à son lien avec Mélinda.

Ainsi donc la vampire suçait avec appétit le membre imposant, et fort bien juteux de la Terranide qui se léchait les babines tout en allant et venant dans cette gorge. Vanillia était complètement prise, de toute part ; d’un côté elle fourrait avec toujours autant d’énergie la succube, d’un autre elle se faisait sèchement sodomisée par un fouet, et de l’autre … Sa bouche était pleine par la trique veineuse d’une Terranide. Autant dire qu’à ce rythme elle allait jouir d’ici peu ! Et jouir … Ça allait être un véritable tsunami. La vampire gémissait fortement, lourdement, abattant ses mains et ses griffes contre le cul d’Edessa, s’acharnant dessus comme une affamée. Sa trique pulvérisait ses entrailles à gros coups de burins. Ses fesses étaient si étroites, si généreuses … Un pur régal que c’était ! La sodomie avec une telle créature était la plus agréable des choses qui pouvait arriver.

D’autre part, elle continuait de souffrir – de bien souffrir – grâce à ce fouet que lui enfonçait hargneusement Mora, sans aucune pitié. C’était ce qu’avait demandé Vanillia, certes, mais elle y mettait tellement d’énergie que ça en était tout simplement douloureux. Et la douleur, c’était ça ce qu’elle cherchait. Le clou du spectacle étant bien que Nylla fourrait encore et encore la gorge de Vanillia, tenant fermement sa tête entre ses mains. Sa gorge se déformait à chaque coup, mais bon sang, quelle délicieuse trique avait-elle … Vanillia s’en régalait de tout son être, suçant avec avidité ce membre. Le jeu dura encore quelques temps, avant que la vampire ne fut rapidement poussé vers l’orgasme libératoire. L’orgasme qui allait éclater en elle de toute part. En vérité, elle allait être balayée par toutes sortes de jouissance ; jouissance anale, phallique, etc. Ce fut au bout de quelques minutes, où elle laboura de toutes ses forces le cul de la succube, que notre vampire finit par céder complètement.

« HMMMMMM !!! » Couina-t-elle fortement, la bouche pleine alors que la verge de Nylla se mit à cracher un torrent de foutre. La vampire dut tout avaler, avec grand délice, tandis qu’elle-même fut foudroyée d’un puissant orgasme. Sa propre trique s’enflamma et se mit à éjecte de puissantes salves de semence droit dans le fondement de sa partenaire. Et, elle n’y alla pas de main morte ; elle cracha encore et encore, en continue, fourrant généreusement ses entrailles de sa chaude crème. Puis, finalement, au même moment, son anus se contracta abruptement tandis qu’elle sentit des milliers de papillons s’éprendre en son intérieur. L’orgasme anal la frappa de plein fouet, et si elle pouvait mouiller par les fesses, elle l’aurait fait. Par le fait qu’elle avait la bouche pleine elle ne put crier son orgasme, et Nylla semblait prendre un plaisir vicieux à l’empêcher de faire ça en conservant sa trique bien au chaud dans sa gorge. C’était qu’elle aussi, n’avait pas fini de l’abreuver. Vanillia buvait encore et encore ce nectar sucré … Oui, car la semence de Nylla avait étrangement un gout sucré, voire fruité ! Sans doute car elle était une Terranide exotique … Vanillia avait l’impression de boire un délicieux jus délicatement sucré.

Un pur régal !

La combinaison d’Ayumi lui allait à la perfection. Elle avait été acquise quand Mélinda s’était rendue à Tekhos, afin de financer l’acquisition d’un nouvel harem, destiné à étendre davantage ses activités et son influence. Elle savait qu’Ayumi fantasmait sur le latex tekhan, qui avait la particularité d’être très moulant, et elle lui avait donc offert ce cadeau, qui avait l’air de la ravir, puisque, faute de la voir dans sa traditionnelle swimsuit, on la voyait très souvent dans sa combinaison. Elle adorait pénétrer ses amantes avec ce latex, sentir les crissements et les couinements de la texture quand elle s’enfonçait dans les orifices de ses partenaires, et, en ce moment, c’était précisément ce qu’elle faisait, avec celui qu’elle estimait être le plus beau cul de la Création, au-delà même de Lust ou d’Aphrodite : celui de sa Maîtresse. Ayumi aimait vraiment la pénétrer, et, pouvoir sodomiser sa Maîtresse à l’occasion de son mariage, c’était un spectacle rare, une occasion unique et légendaire. Elle ne comptait donc clairement pas la laisser passer. Mélinda pouvait ainsi sentir ses mains se presser sur ses hanches, avant de se déplacer pour se poser sur ses fesses directement, les pinçant, pendant que sa solide verge remuait joyeusement en elle.

« Huuuuffff… Hmmmmm… Haaaaaaaannn… »

Ayumi allait jusqu’à la gifler, enfonçant sa verge jusqu’à la garde, ce qui donnait véritablement à la vampire le sentiment d’être joyeusement pilonnée. Les minutes défilèrent ainsi, jusqu’à ce qu’Ayumi ne finisse par se laisser aller. Sa résistance devenait de plus en plus forte. Mélinda l’avait à son service depuis des années, après tout, et il était difficile de compter le nombre de milliers d’heures sexuelles que la belle Futanari avait eu. Elle alternait fréquemment entre pénétrer les autres et se faire pénétrer, et commençait même à avoir quelques clients fidèles et réguliers au sein du harem, comme un couple d’Ashnardiens. Le mari aimait bien pénétrer sa femme avec elle, ou se livrer à un peu de voyeurisme, voire même satisfaire les désirs de sa femme en se faisant prendre par Ayumi.

C’est dans ces circonstances que, au bout de quelques longues minutes, son esclave finit par jouir en elle, fière, non seulement de la pénétrer, mais aussi de lui montrer ses exploits. Mélinda la laissa donc jouir en elle, soupirant joyeusement de plaisir, et se retourna lentement. Sa main caressa sa joue, tandis qu’Ayumi allait se coucher sur elle. Les deux femmes échangèrent ensemble un tendre baiser, et Mélinda frotta ensuite son nez contre celui d’Ayumi, tout en usant de son bassin pour la coucher sur le lit, une main caressant ses hanches, pour frotter ensuite un peu contre son sexe. Du fait de la combinaison, le sperme d’Ayumi recouvrait intégralement son sexe, un contact qu’elle aimait beaucoup, et qui provoquait des bruits encore plus spongieux.

« Tu as vraiment beaucoup progressé, ma chérie…
 -  Tout ça, je… Je le dois à vous, Maî… Maîtresse-haaannn… »

Mélinda lui sourit encore, et déposa un baiser sur son front, puis releva la tête vers Vanillia, qui venait de recevoir la crème parfumée de Nylla, et se retrouva seule. Ce fut là, pour la vampire, l’occasion de se rapprocher d’elle, non sans sentir, au passage, quelques mains caresser ses fesses. Tout autour d’elle, il y avait une formidable orgie de corps entremêlés, soupirants, s’embrassant, gémissant entre eux, les chairs claquant doucement et sensuellement. La vampire entendait ces délicieux soupirs, mais, avant de pouvoir rejoindre Vanillia, des mains se posèrent dans son dos, et elle couina en sentant une nouvelle verge s’enfoncer en elle, sans possibilité, néanmoins, de savoir d’où elle venait. C’était le corps d’une femme, très certainement, et la vampire se mit à gémir et à soupirer, se dandinant sur place.

La sodomie dura quelques minutes, où d’autres mains s’appuyèrent sur son dos, une autre femme venant embrasser celle qui la pénétrait.

« C’est le cul de Maîtresse…
 -  Oui, haaaa… Et il est délicieux, hmmm… »

C’est sur cette belle note que la femme ne tarda pas à jouir, aidée en ce sens par sa comparse, qui n’hésita pas à enfoncer ses propres doigts humides dans ses fesses. Il y eut plusieurs soupirs, et Mélinda remua davantage, avant de sentir cette grosse queue se vider encore en elle.

Une fois ceci fait, et, sans même qu’elle ne tourne la tête pour voir qui l’avait pénétrée, cette esclave étant déjà pris entre d’autres bras, Mélinda rejoignit Vanillia, couchée sur le lit. Une femme était en train de lui sucer la queue, et elle se pencha sur sa femme, l’embrassant tendrement, glissant une main dans ses cheveux, serrant sa tête contre la sienne.

« A-Alors… ? Hmmm… La fête te plaît… ? »

C’était une fête magnifique. Jamais dans toute sa vie Vanillia n’avait vécu une pareille chose ! C’était surréaliste, dans le bon sens. Une telle orgie, à une telle proportion … Ca donnait le vertige ! Mais, ce n’était pas un jour comme les autres et il fallait bien le fêter. Dans le sexe. Dans la sueur, aussi, mais ce n’était qu’un détail. Car effectivement, avec tous ces efforts notre petite vampire vigneronne commençait à être en sueur. C’était plus que du sport à ce rythme-là. La terrible Nylla finit donc de lui besogner la gorge, alors qu’elle jouissait généreusement en elle. Sa semence si douce et si, incroyablement, sucrée qui filait en elle. Un nectar savoureux et surprenant, que Vanillia bu jusqu’à la dernière goutte ! Au même moment, elle était-elle-même en train de remplir les intestins d’Edessa de sa chaude crème et était en train d’avoir un grand orgasme anal. Trois jouissances en même temps … Autant dire que Vanillia n’avait jamais ressenti ça auparavant.

Pourtant, elle en voulait encore. Elle en voulait plus, toujours plus ! Mais, il était temps de revenir à nouveau dans les bras de sa meilleure amante de la soirée ; sa femme. Sa Mélinda chérie, qui lui manquait à nouveau. Avant cela, alors que ses trois amantes se libèrent pour aller prendre leurs bras, et cul, d’autres amantes, Vanillia ne fut pas seule pour longtemps. À peine fut-elle libérée qu’une autre femme s’approcha d’elle et vint lui donner un grand baiser sur ses lèvres. « Hmm … Tu es belle, toi ! » Lui dit alors Vanillia en souriant doucement à une belle Terranide, qui était mignonne comme tout. La jeune Terranide sourit largement puis descendit plus bas, embrassant la douce poitrine de la vampire, puis embrassant son sexe pulsant. « Ohh, petite gourmande va … » Dit alors Vanillia en se pinçant les lèvres, sentant son amante venir prendre en bouche sa petite trique. Doucement, sans se mettre la pression, la Terranide la pompait en prenant son temps. Juste histoire d’exciter et de maintenir la jeune femme en bon état.

Suite à cela, Vanillia se laissa doucement bercée par les sensations, avant de sentir ses lèvres se faire capturer. Elle reconnut instantanément le gout merveilleux des lèvres de Mélinda, qui était revenue vers elle. « Hmmmm … » Ronronna-t-elle alors, rouvrant ses yeux pour les poser sur sa magnifique femme. Elle posa une main sur sa joue qu’elle caressa, et la dévora du regard. Serrant sa tête à la sienne, elle gloussa tendrement contre elle avant de déposer un gros bisou sur le bout de son nez. « La fête est magnifique, mon amour … Jamais je ne pourrai te remercier assez. » Lui déclara-t-elle d’une voix douce et chaleureuse. Puis à nouveau, elle ne résista à l’envie de l’embrasser à nouveau. Elle colla ses lèvres aux siennes et l’emporta avec elle dans un torrent de douceur et de passion, tout en câlinant ses petites joues avec ses mains. Sa langue fit irruption dans sa bouche et vint chercher en toute fougue la sienne, dansant furieusement avec. Un balais tendre, savoureux et très humide qu’elle partagea avec tant d’amour et de passion … Il n’y avait pas à dire, Vanillia était heureuse.

Alors que pendant son délicieux baiser, la Terranide continuait de tranquillement lui pomper le dard. Vanillia n’était pas encore prête à jouir, elle désirait pour le moment simplement ressentir les belles sensations liées à cette fellation. Ça la faisait couiner de temps à autre. Le baiser avec son épouse finit par prendre fin, la tirant doucement de sa rêverie. « On fera l’amour tous les jours, ma chérie … Et pas qu’une fois. Maintenant que nous sommes éternellement liées, nous allons largement en profiter ! » Lui déclara-t-elle, s’empressant de lui asséner un terrible baiser sur la joue. Puis, Vanillia sourit et la prit tendrement dans ses bras, la serrant de toutes ses forces contre elle. Elle lui fit un gros et intense câlin, comme elle les adorait.

Mélinda et Vanillia filaient le parfait amour, un amour décontracté, intense, et fusionnel. Fallait-il s’attendre à autre chose, de la part d’une vampire aussi gourmande que Mélinda ? Tout le monde connaissait son appétit sexuel, et cette orgie n’était rien de plus qu’une affirmation de cette situation. La vampire dominait son monde, et une magnifique orgie avait lieu, une bacchanale à la gloire de tous les Dieux du sexe, à l’honneur du Sexe même. Elles s’embrassaient, pendant qu’une Terranide offrait à Vanillia une magnifique fellation. Mélinda, elle, fourrait sa langue dans la bouche, jouant avec la sienne, gémissant toute contre elle.

« Hmmm... »

La bouche de Vanillia était tout simplement magique, et se perdre en elle était un plaisir sans fin, une joie que Mélinda retrouvait à chaque fois. Elle adorait l’embrasser, cette petite perverse, elle adorait sentir sa bouche tendre, ses lèvres fruités, percevoir ses soupirs, et en être à l’origine. Ensemble, elles formaient vraiment un merveilleux couple, et, yeux clos, Mélinda l’embrassait encore, avant de rompre le baiser, se mettant à sourire quand Vanillia annonça qu’elles se feraient l’amour longuement, au moins une fois par jour. Souriant donc, Mélinda alla frotter son nez contre celui de la femme.

« Ça me paraît être un bon début, ma chérie... »

Elles se firent ensuite un gros câlin, les bras de Mélinda allant également se serrer contre ceux de Vanillia, pendant que leurs corps s’écrasaient l’un contre l’autre. Au milieu de toute cette perversion, de toute cette débauche illimitée de sexe, il y avait une graine de tendresse, un zeste d’amour profond. Elles se firent un délicieux câlin pendant quelques instants, puis Mélinda commença à se déplacer. Insatiable, et surtout très énergique, elle se redressa un peu. Son corps était alors allongé contre celui de Vanillia, la Terranide occupée à la masturber s’étant en effet retirée.

Dans cette position, couchée contre elle, Mélinda caressa son visage, glissant ses doigts dans ses cheveux, venant tendrement les rabattre, jouant avec elle, son nez se frottant contre le sien. Leurs seins se caressaient ensemble, et Mélinda reprenait doucement son souffle. Elle se pencha alors, et l’embrassa sur le bout du nez, avant de lui mordiller doucement le cou.

« Mais ne compte pas te reposer maintenant, petite feignante, la soirée ne fait que commencer, et j’ai encore plein d’amies à te montrer ! »

Mélinda se redressa, et avança le long du lit, en se redressant. Sa main alla attraper celle de Vanillia, et elles avancèrent. Debout, elles pouvaient voir le magnifique orgasme. S’il y avait beaucoup de femmes, les hommes n’étaient pas non plus en reste, et Alice, par exemple, était en train de coucher avec Bran, emportée elle aussi dans la transe du moment. Mélinda avait pensé à tout, et, le long des murs, on avait mis des encens particulières, diffusant une odeur aphrodisiaque qui se répandait dans toute la pièce. La vampire sourit, et s’avança, jusqu’à rejoindre un couple qui était en train d’embrasser une délicieuse petite neko.

Les visualisant, Mélinda les présenta à Vanillia comme étant les Jumelles Karistal, des esclavagistes avec qui elle s’était associée, et des amantes très efficaces. Elles avaient naturellement été invitées, et étaient venues avec l’une de leurs dernières nekos, et l’incitèrent à se présenter. La neko se redressa alors, et, à quatre pattes, s’inclina devant Mélinda, léchant l’un de ses pieds.

« Luna s’appelle Luna, et elle souhaite à Madame Mélinda et à Madame Vanillia un mariage magnifique et plein d’amour ! »

Mélinda sourit, et embrassa Luna sur la tête, en fléchissant les genoux, caressant dans la foulée ses joues. Elle entendit la neko ronronner de bonheur. Les Karistal, de leur côté, s’étaient très spécialement habillées pour l’occasion, Yuko ayant un magnifique costume rouge avec plusieurs cœurs en guise de décolleté, et Yuka ayant une élégante tenue bleue sombre moulante.

Tout en les félicitant et en les complimentant, chacune alla les embrasser, tour à tour, un baiser sur chaque joue, d’abord Mélinda, puis ensuite Vanillia... Pendant que Luna, elle, reniflait la queue de Vanillia, et la léchait presque inconsciemment.

« Tu n’as pas menti, Mélinda, avança Yuko en caressant les fesses de Vanillia, elle est magnifique...
 -  Toutes les deux, vous formez un merveilleux couple... »