Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Rencontre particulière avec une nonne combattante... [PV Kamori Seika]

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Kalriiel

E.S.P.er

« Fais chier ! » Disais-je en esquivant l’attaque du soldat, ou plutôt de l’officier Ashnardien. D’un revers de bras j’enfonçais l’extrémité de mon fourreau dans ses côtes, le faisant gémir et cracher une gerbe de sang. Ça me dégoutait de devoir blesser ainsi mes anciens camarade, mais je n’avais pas le choix, il fallait absolument que je m’en sorte vivant. Deux ou trois contre-attaques plus tard, une fois mes adversaires au sol j’en profitais pour devenir invisible, histoire qu’il ne me trouve plus, je me laissais donc fondre dans le vent pour m’éloigner de la zone. Une fois suffisamment loin je reprenais consistance et je me mettais à courir à toute jambe pour mettre plus de distance entre eux et moi. J’étais en colère contre moi-même donc je ne faisais même pas attention à mes arrières. Comment j’avais pu relâcher à ce point ma vigilance, au point de me faire prendre dans une embuscade, tendu par d’ancien membre de mon régiment en plus. Heureusement que j’étais suffisamment puissant pour m’échapper, mais au passage ils avaient réussi à me blesser. En attester la longue coupure au niveau de ma hanche gauche, sous ma cape, d’où perlaient des gouttes de sangs. Jurant entre mes dents, j’appuyais dessus de ma main libre pour faire pression et ainsi retenir du mieux que je pouvais l’hémorragie, certes minime mais bien présente malgré tout. Au bout d’un moment je réalisais que je m’étais rapproché de la capitale Ashnard, au lieu de m’en éloigner… Quel idiot putain. J’étais tellement pressé de m’enfuir que je n’ai pas fait gaffe. Et mes poursuivants étaient suffisamment compétents pour retrouver ma trace.

La seule solution était de trouver un endroit pas loin pour me cacher. Je fermais les  yeux pour fondre mon esprit dans l’air et ainsi visualiser mon entourage. Me concentrant je repérais un cimetière pas loin de la zone, peut être que là-bas, je pourrais m’y réfugier. Je souriais tout bas, alors que je reprenais un peu espoir. Sans attendre je me remettais à courir entre les arbres en me rapprochant du cimetière. Mais au bout d’un moment, je pouvais sentir à travers l’air, que mes poursuivants c’était rapproché de moi. Serrant les dents, je réfléchissais rapidement à un autre moyen de les semer. Levant mes yeux vers le ciel, je réalisais que les branches des arbres étaient vraiment hautes et assez solide pour supporter un corps humain. Soupirant, je m’envolais, n’ayant pas la force de sauter, je laissais le vent me porter, avant de me poser sur une des branches. Me concentrant ensuite, je devenais invisible pour pas que les poursuivants me repère. Heureusement que cette facette de mon pouvoir, était méconnue. Silencieusement je les voyais courir en contre bas, prenant un malin plaisir à les regarder s’éloigner dans la mauvaise direction. Une fois sur qu’ils ne me suivraient pas, je redescends en souplesse sur le sol et je repris ma marche vers le cimetière.

Me tenant toujours la hanche ou mon sang continuait de suinter, j’essayais de ne pas m’effondrer sous la décharge de douleur. Je me servais de mon long katana comme d’un bâton pour me retenir. Pour ne pas penser à la douleur, je laissais mon esprit vagabonder, retournant en enfance, je me rappelais des longues heures d’entrainement que mon père m’imposer, sur le maniement des armes mais aussi sur le renforcement de mon corps.  Le nombre de combat que j’avais été obligé de faire contre mon père et le nombre de défaite que j’avais reçu et me faisais encore frissonner aujourd’hui. Revenant au moment présent, je remarquais une grande bâtisse, qui était caché derrière les arbres. A première vu c’était une église. C’était peut-être une meilleur cachette qu’un cimetière, je me détournais donc de mon objectif précédent pour me rendre à l’église. Une fois devant, je donnais trois grands coups de poing dessus pour frapper. Le bruit résonna longtemps dans la bâtisse avant qu’un long silence prenne place. En absence de réponse j’ouvrais les lourdes portes avant de me faufiler à l’intérieur. Il faisait très sombre, alors que j’avançais prudemment, titubant un peu, alors que le sang continuait de couler le long de ma jambe, depuis ma hanche. J’avais les sens aux aguets, le plus calme possible en avançant sur l’allée principal qui menait au pupitre. « Il y a quelqu’un ? »

Kamori Seika

Humain(e)

Une fois dans la vie de Sayaka, elle avait connue des jours paisible et s'entendait bien avec tout le monde (malgré que les hommes des villages ou des communes environnants la reluquait avec un drôle de regard au visage comme si l'envie de vouloir coucher avec elle au lit était trop intense), elle ne remarqua pas les quelques anomalies concernant les villageois qui la croisait et les quelques murmures qui se propageait derrière son dos... En dépit de sa naïveté, elle ne se douta vraiment de rien et ne faisait jamais attention au rumeurs qui courait sur son sujet et sur ses camarades de même faction mis a part que lorsqu'elle était en mission, là elle se renseignait hâtivement sur la nature de son objectif. Bon cela se déroula bien avant qu'elle ne déserte de l'ordre Ecclésiastique d'Ashnard pour se lancer pour partir à la recherche de sa mentor portée disparue et aussi bien avant qu'elle ne sombre dans la folie perverse en s'adonnant a des plaisirs sexuels avec des monstres et/ou en s'accouplant avec des créatures cauchemardesques tout en donnant naissance à des bestioles visqueuse après être devenue la mère porteur de ses progénitures et en étant corrompue de son humanité. Cet trame de son histoire se déroule dans son passé, il y a plus de deux ans quand elle vivait encore à l'église.

Seika était une championne de sa catégorie dans sa discipline martiale, la plupart des autres filles l'enviait à cause de son rang hautement élevée mais personne ne pouvait savoir ce qui la motivait autant, elle s’entraîne progressivement et continuellement parce qu'elle cherche à rattraper le niveau de sa maîtresse, car Enjou Sakuya lui a dit ceci une fois: "devient plus forte que moi et un jour tu pourra m'accompagnée ou que j'aille !"
Depuis la jeune femme se souvint toujours de ce message qui marquait indiquait clairement sa détermination. Voilà que Sakuya venait de partir depuis deux semaine pour une quête concernant des riverains en difficulté face à une créature humanoïde qui ferait des ravages dans leurs champs en se nourrissant de leurs culture, les hommes avait placardé cet annonce mais constatant qu'aucun aventurier ne comptait leur venir en aide, il transmirent le message par le biais d'un groupe de jeune qui déposa la feuille sous la porte d'entrée de leurs paroisse, les villageois avait confiance au capacité combatif des nonnes du monastère et c'est pourquoi, la mentor de Kamori accepta ce travail et partit en promettant de revenir à sa confidente. Cela rendit Kamori triste en partie de ne pas revoir son amie et un peu inquiète sur le fait que Sakuya ne soit pas encore rentrée de sa mission, elle ne pouvait rien faire si ce n'est qu'attendre pour une durée déterminée. La prêtresse-Jaeger menait son quotidien en restant cloître au sein de l'abbaye pendant que ses camarades s'exerçait, Seika semblait perdue dans ses pensées et ne songeait qu'a revoir celle qu'elle aime et quelle chérie dans son cœur, elle devint parfois ignorante sur les bribes de conversation que les autres jeunes filles rétorquait à son sujet mais elle s'en fichait pas mal, elles n'ont qu'à dires ce qu'elles veulent, c'est leurs problème pas la sienne ! Evidemment, il n'était pas possible de rester calme tout en se contenant nerveusement sans risquer de péter une durite en s'en prenant aux autres parce que voilà leur sarcasmes devenait de plus en plus pénible.

Kamori sortit alors prendre l'air et partit un peu en exploration à moins d'un kilomètre de sa communauté, elle avait entendue parler d'une église qui fut raser durant la guerre, le bâtiment n'avait pas été détruit mais la structure tenait toujours debout et ce malgré qu'elle fut incendiée. Seika arriva près de l'entrée et regarda les haut-murs de l'église abandonnée, il n'y avait pas un chat a proximité et l'intérieur en était vide (naturellement des idiots ont du faire courir une rumeur que comme quoi, l'église en ruine serait hantée), elle se posa sur un banc de bois en partie calciné et regarda la voûte puis la fresque du dessin représentant Celui-qui-est et de la tragédie qui avait mener a sa crucifixion... Le jour baissait déjà sa lueur et la place fut remit à la nuit, la jeune femme s'était endormie sur son banc en s'allongeant sans s'en rendre compte, une goutte d'eau qui provenait du plafond lui fit ouvrir un œil mais sans complètement l'éveiller  mais alors qu'elle se rendormit, des bruits sourds l'éveilla immédiatement en sursaut, elle sembla un instant stressé mais retrouva ses esprits. Qui pouvait bien circuler dans cet endroit ? un réfugié ou un fuyard ou un criminel, s’interrogeant pour elle-même, elle n'eut pas le temps d'aller plus loin dans ses réflexions car une voix masculine parvint a ses oreilles:

"Oh mince alors... ! il semblerait que cet homme soit exténués... je.. je ferait bien d'aller le voir..." 

La Traqueuse-combattante hésita quelque seconde à se manifester et pensa prendre la fuite en sortant discrètement par un lucarne mais se ravisa de le faire et parti voir l'homme en faisant claquer les talons de ses cuissardes noires sur le sol poussiéreux pour faire comprendre à l'homme qu'elle était présente.

Oui je suis là! je viens a votre encontre !

Alors qu'elle se dirigeait vers le drôle de type, elle put le détailler que vite fait, vu son accoutrement et du katana qui lui servait de béquille, il devait surement s'agir d'un guerrier solitaire mais le plus surprenant fut de le voir couvert de sang, bon d'accord, il était blessé mais pas complètement mais il avait du mal à garder la station debout et peinait pour garder son équilibre, Seika accouru jusqu'a lui et l'aida à se tenir debout en s'appuyant sur lui et en passant un bras sous son épaule.

Monsieur ! est-ce ça va ?... qui êtes-vous ? et comment êtes-vous parvenue à vous déplacer ainsi durant tout le long de votre voyage dans cet état ?... je veux dire qu'un homme normal aurait perdue connaissance depuis longtemps a cause de sa douleur et de son hémorragie ... mais vous... vous avez l'air d'avoir surpasser votre blessure pour pouvoir tenir jusqu'a votre arrivée ici...   

La jeune femme l'aida a prendre place sur un banc, l'allongea et se servit d'un épais tissu provenant de teinture pour lui faire un bandage épais sur son entaille et se servit de l'eau de pluie provenant des fissures pour nettoyer la plaie et en essuyant les traces d’hémoglobines qui maculait sa peau et lui mit une compresse au front et se posa à ses cotés en le regardant tout en gardant une main sur son katana et en caressant le fourreau avec ses motifs, elle attendit que l'homme reprenne connaissance pour prendre de ses nouvelles avant de lui demander son identité.


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