Un contrat fort peu apprécié [PV Slade]

Slade n'était pas dupe, en effet, il n'aimait ps les réactions du frère de sa fiancée… en effet, il était un rien possessif et n'aimait pas la proximité entre les deux, qu'il ne l'aime pas et qu'il ne veuille pas du mariage était une chose, que l'on tourne ainsi comme un vautour autour de ce qui était destiné à devenir sien… oui, la possessivité était déjà présente… il eut unn petit sourire alors qu'il regardait la jeune femme se relever et Jubal grogner… il n'eut aucune réaction devant ls propos du frère, si ce n'est une, il planta son regard dans le sien en lui lançant un avertrissement silencieux : qu'il fasse gaffe à ce qu'il dit sinon, il le tuerait lui-même… sans la moindre hésitation, comme une forme e menace tacite…

« Oui, allez-y, je vous en prie, mais je vous prierai de ne pas entrer dans la suite nuptiale de suite… elle est réservée pour LA nuit... »

Il y avait une pointe de rancoeur dans sa voix… puis, il leur tourna le dos et les laissa s'en aller pour regagner lui-même ses appartements, un rien agacé et fatigué, comme si elle lui avait demandé plus d'efforts qu'il ne l'avait cru… il eut la chance de pouvoir être massé, être lavé, être huilé même avec des onguents qui délassent… c'est ainsi qu'il avait une odeur fraiche et délicate alors qu'il se rendait, dans une tunique de soie noire très chère, réhaussée d'argent faisant resortir sa peau d'une pâleur presque maladive tant il avait le teint proche de celui de la neige…

Il se rendit dans le salon et fit servir une petite collation : du vin et quelques canapés typique d'ici, fait à partir d'animaux locaux depuis le raevir jusqu'au phoque… il sourit et en prit un alors qu'il faisait mander la jeune femme dans le salon pour tenter de discuter un peu du fonctionnement de tout cela, le mariage, son avis à ce sujet, et autres choses du même genre, entre temps, il avait fait envoyer l'armure de la jeune femme au forgeron pour faire certains ajustements au niveau de la forme, notamment parce qu'il avait vu qu'il y avait un jeu au niveau de l'abdomen et la sangle droite était trop lâche, de ce qu'il avait vu.

Finalement il l'entendit arriver avant de la voir, il y avait une antochambre dans cette pièce, un peu comme un hamml avant de prendre la forme d'un U qui permettait un peu de tranquilité, étant dans le fond du U elle ne pouvait pas le voir, mais il se leva pour aller l'accueillir et l'inviter à passer de l'autre côté, admirant au passage la tenue qu'elle avait prise. Ou, elle lui allait bien… elle lui tournait le dos alors qu'il s'approchait, pieds nus, et il se racla la gorge en lui tapotant l'épaule.

« Hum hum. Bonsoir…. Jolie tenue, j'aime beaucoup, elle vous met en vleur, même si les couleurs de ma maison sont le noir et l'argent, mais je suppose qu'un peu de liberté ne fait pas de mal... »

Il lui sourit, un rien agréable avant de l'inviter à le suivre jusqu'à un fauteuil où il s'assit l'inviitant à s'asseoir en face, aimablement. Il lui sourit et la regarda avec un rien de désir dans le regard avant de reprendre la parole, servant deux coupes de vin.

« Je suis ravi que nous puissions nous retrouver sans votre chien de garde… j'en suis vraiment désolé… mais comprenez moi bien, je n'aime pas la façon qu'il a de vous regardr, comme si vous étiz à lui, d'abord parce que c'est votre frère, et ensuite parce que moi seul aurait de droit si je le voulais de vous regarder de cette manière... »

Il lui sourit avant d'ajouter.

« Bref, je n'ai pas pu ne pas remarquer que nous n'étions pas d'avis contraire sur ce mariage, mais nous pouvons au moins choisir la manière doint il va se faire ;.. il st de coutume chez les fey que l'attente d'un enfant soit un prérequis pour un mariage… comment cela se passe-t-il chez vous ? »

Astrid était sortie retrouver cet homme, choisit par la Reine Mab pour devenir l'époux de sa sœur. Jubal la vit disparaitre derrière la porte et fut envahit par un chagrin indescriptible. Il était en train de la perdre. Une fois qu'elle serait unie à cet idiot, se reverraient-ils seulement ? L'idée de ne jamais la revoir sembla le briser. Il avait une envie furieuse de faire une connerie. Celle de rattraper Astrid et de fuir avec elle. Il ne parvenait pas à l'imaginer loin de lui, dans les bras d'un autre homme. Pourtant il savait bien que cela arriverait un jour. Personne ne savait qu'il était fou amoureux de sa sœur, pas même elle. Il était de deux ans plus vieux qu'elle, et pourtant, c'était elle qui le maternait. Ils ne formaient qu'un tous les deux, ils n'avaient jamais été séparés. Ce jour ne pouvait pas déjà être arrivé !
Il fallait qu'il parle à leur père à tout prix, tenter de trouver une autre solution. Il ne pouvait pas laisser faire ça !
Aussi, il ne prit pas tout de suite du repos et s’attela à écrire une lettre, suppliant son paternel de trouver un autre arrangement. Une fois fait, il fait les cents pas dans sa chambre, inquiet. Il s'arrêta alors près de la baignoire, là où Astrid avait laissé la serviette de toilette qu'elle avait utilisé. Il la prit entre ses mains et inspira son parfum, les yeux fermés. Et les paroles de l'homme revinrent soudain à son esprit : "je vous prierai de ne pas entrer dans la suite nuptiale de suite… elle est réservée pour LA nuit...". Ses doigts se refermèrent avec violence sur la serviette et ses mains se mirent à trembler de rage. Il ne pouvait pas l'accepter...

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Astrid observait une sorte de vase entièrement fait de glace, sculpté à la main, et d'une beauté incroyable. Un tel ouvrage était surprenant et elle n'en avait jamais vu de tel. Bon, elle était peu intéressée par la décoration et les arts en général, mais cela ne faisait pas de mal de se pencher un petit peu dessus de temps en temps, n'est-ce pas ? Elle n'attendit pas vraiment longtemps avant que son futur époux n'apparaisse dans son dos et attire son attention. La jeune femme se retourna donc pour lui faire face.

Il s'était également changé et sentait bon l'huile parfumée. Au moins ce n'était pas un rustre dénué d'hygiène. Parce qu'elle en avait déjà croisé des gros dégueulasse. Bref. Elle glissa une de ses mèches blonde derrière son oreille tandis qu'il lui souhaitait bonsoir et la complimentait sur sa tenue. Elle y jeta un œil, comme si elle avait déjà oublié ce qu'elle avait enfilé. Ce qui était le cas, en fait. Blanc et or, et non noir et argent comme les couleurs du nord. Elle haussa les épaules. Non, elle avait choisit blanc et or, les couleurs de sa maison, tout simplement. Ils n'étaient pas encore mariés et elle tenait bien à rester une Winterfell aussi longtemps que possible, des pieds à la tête ! Chose étonnante, il lui sourit. Un sourire sincère et non moqueur et provocateur comme plus tôt. Astrid fit donc un effort pour se détendre et s'assagir tout en le suivant dans une pièce adjacente.

Elle s'installa dans un fauteuil, faisant face à celui de son hôte. Elle ne put s'empêcher d'observer les alentours de nouveau, avant de se concentrer sur les verres qu'était en train de leur servir Slade. Un geste délicat, elle qui adorait le bon vin. Espérons que celui-ci ne soit pas de la piquette. La jeune femme fut piquer au vif lorsqu'il parla de Jubal comme de son "chien de garde". Ses regard ? Qu'est-ce qu'ils avaient ses regards ? Elle se doutait bien de ce qu'il voulait dire par là et fronça légèrement les sourcils.

- Jubal est l'un de mes frères et rien de plus. Nous avons grandit et nous sommes entraînés ensemble, pendant 18 ans. Nous nous aimons profondément et nous ne pouvez rien contre cela. Il me regarde comme il regarde une petite sœur qu'il doit protéger, c'est tout. Il m'a toujours un peu trop couvée...

Bref, elle était aveugle. Pour elle, tous les regards et les pensées de son frère envers elle étaient chastes. Elle ne se doutait pas un instant qu'il puisse être amoureux d'elle. Slade enchaîna sur les propos du mariage. Quoi ?! Un enfant ? Cette idée fit frémir la jeune femme qui arqua un sourcil. Oh là ! Tout doux ! Il leva une main qu'elle secoua avec un rire anxieux.

- Ah non, non, pas d'enfant... enfin... si. Un enfant est toujours le bienvenu pour sceller les deux familles, bien sûr, mais... mes sœurs se sont mariée avant d'enfanter. Nous n'avons pas de... de prérequis pour ça. En général nous enfantons lorsque nous sommes... disons... prêtes.

Elle était devenue toute rouge. Avoir un enfant, elle ? Pas question !  Enfin quoi... on avait dit un mariage, pas la pouponnière ! Pourquoi est-ce qu'on lui avait pas fait lire les petites astérisques planquées dans le contrat, hein ? Bon, peut-être que ce n'était pas obligatoire, avec un peu de chance. Mais il fallait qu'elle soit réaliste. Si elle se mariait vraiment avec cette homme et devenait son épouse, il allait bien falloir un jour ou l'autre qu'elle lui donne un héritier. Elle savait parfaitement comment ça se passait. Elle soupira. Pourvu qu'elle ait le choix !
Elle prit le verre de vin et but une gorgée avant de rajouter :

- Je vous avoue sincèrement que ce mariage ne m'enchante guère. On ne m'a pas franchement demandé mon avis. Je n'ai accepté que pour sauver mon pays de l'hiver et faire la fierté de mon père. Voilà tout. Moi... je voulais seulement aller botter le cul des Ashnardiens.

Voilà qu'elle commençait à jurer, tel qu'elle avait l'habitude de le faire en général. Bon, ce n'était peut-être pas terrible devant ce chevalier du nord, mais bon. C'était sortit tout seul ! Elle attrapa un petit four, mordant dedans délicatement. C'était bon. Elle ignorait ce qu'il y avait dedans, mais c'était agréable. Et oui, elle avait beau être une guerrière de caractère, elle avait encore des manières. Sinon elle aurait bien fourré ce truc en entier dans sa bouche tant elle avait un petit creux. L'angoisse, peut-être. Et ce combat acharné qui lui avait donné l'appétit.

- Je propose de nous marier vite et bien. Je n'aime pas laisser traîner quelque chose qui me déplais. Et je voudrais que nous fêtions cela chez moi, à Winterfell, entourés de ma famille. J'y tiens beaucoup.

Avec de la chance, dans une semaine ou deux, tout cela serait terminé. Il fallait maintenant que l'homme accepte sa proposition...

Non, il ne la regardait pas comme une sœur… il le savait, il n'était pas dupe, et si elle voulait l'ignorer, libre à elle, oui, c'était son frère, mais au moindr egeste déplacé à partir de maintenant, il lui crèverait les yeux et s'il continuait il ferait pire… il regarda la jeune femme et lui sourit alors qu'elle  prenait la défense de son frère, mais cette fois-ci, c'était moqueur, réellement… enfin bon, quoi, elle ne pouvait pas tout avoir… si elle croyait cela, elle était digne de dérision… enfin, inutile de trop en faitre non plus puisqu'il s'agissait d'un sujet sérieux… il sourit et regarda la jeune femme avant de finalement opiner du chef… oui, les autres faisaient comme ça.

« Je conçois votre envie de faire cela à la manière de votre peuple, mais nous ne pouvons pas non plus renier les traditions du mien ;.. c'est à l'épouse de s'adapter à l'époux et non l'inverse, et si j'avoue que fêter le mlariage chez vous au liue d'ici marrange, ainsi je mettrais fin à vos problèmes  avant de mariage, preuve de ma bonne foi… qu'en pensez-vous ? Pour ma part, sachez qu'il n'y a ni fierté ni honneur pour moi dans ce mariage… La reine ordonne, j'obéis, c'est aussi simple que cela… j'en subirais des conséquences bien pire si je ne le faisais pas… c'est aussi simple que cela… c'est terriblement dangereux que de contrarier la reine Mab… et ça la fait rire quand on la traite de pire garce de Terra, ce qui n'est pas peu dire... »

IL sourit après cela pour rajouter.

« Je ne suis pas certain des résultats de ce mariage… mais qu'importe, il y a une chose que vous devez savoir à mon sujet… je ne vieillis pas, en premier lieu, et la reine Mab vous accordera ce privilège si vous devenez mon épaouse, mais j'ai un ;.. problème on va dire... »

Il eut un sourire un peu penaud avant de finalement retirer le haut de sa tenue, et de se tourner, de près et immobile, elle pouvait voir ls petites écailles translucides le long de son dos. Puis, une fois qu'elle ait pu les observer, les toucher même, il se retpurna et plongea son regard dans ses yeux  alors qu'ils prenaient une allure reptilienne avant de reprendre leur allure normale, ça avait de quoi la déranger davantage, non ?

« Voilà, vous savez ! Maintenant dites moi, est-ce que vous pourrez supporter cela ? Sachant que j'en ai appris de belle sur votre frivolité…. Vous comprendrez qu'avant  d'avoir lemoindre enfant, quand cela viendra, nous devrons prendre certaines précautions pour que je puisse m'assurer  d'être le père vraiment le moment venu... »

Il eut un petit sourire avant de boir eson vin, il était délectable quoiqu'un peu sec…

« Avez-vous des questions, ou d'autres choses que je devrais savoir pour éviter les mauvaises surprises ? »

C'est à l'épouse de s'adapter, niah niah niah ! Astrid aurait presque put se mettre à bouder et à lever les yeux au ciel. Bah voyons ! Comme d'habitude ! Les femmes ne sont bonnes qu'à obéir, tais-toi et écartes les cuisses, hein comme on disait. Tss. La jeune femme n'aimait pas beaucoup. Si elle avait choisit d'être une guerrière, c'était parce qu'elle n'avait pas le tempérament d'une jeune femme bien élevée, polie et soumise à son époux. Loin de là ! Voilà pourquoi le mariage ne l'enchantait pas du tout. Devoir se plier au bon vouloir de son homme... quelle barbe ! Surtout avec un mari comme celui-là, franchement ! Il fallait pouvoir le supporter, non ? Et Astrid n'aimait pas qu'on lui marche sur les pieds, elle n'aimait pas qu'on lui donne des ordres. Bref, ça lui plaisait toujours pas cette affaire !  Heureusement, il acceptait de célébrer cela chez elle, une fois qu'il aurait améliorer le climat. La jeune femme s'adoucit, heureuse de cette nouvelle. Bon, c'était déjà ça ! Tout ce qu'elle voulait, c'est que son pays puisse retrouver une saison normale qui lui permette de reprendre le commerce et tout le reste !

Alors comme ça, lui aussi s'était contenté d'obéir aux ordres ? Ouais... elle devait être une sacrée garce pour qu'il courbe l'échine devant elle. Au fond, la demoiselle aurait bien aimé voir à quoi elle ressemblait cette si terrifiante Reine du Nord. Tant pis. C'est alors que l'homme lui fit des confidences assez... incroyables. Il ne pouvait pas vieillir. Bon. Bah c'est pas elle que ça gênait, hein. Il aurait plus qu'à changer de femme une fois qu'elle serait trop vieille et décrépit pour lui. Ah non... non elle aurait le droit de ne pas vieillir ? Ah... voilà qui était intéressant et donnait à réfléchir. Ce n'était pas un don sur lequel on crachait, c'était certain. Il avait désormais toute son attention...

Heu... un problème ? Astrid s'attendait à beaucoup de chose, mais pas à ça. Elle aurait penché pour un sexe minuscule, à la rigueur... mais pas à des écailles dans le dos. Elle ouvrit de grands yeux ronds et, en effet, ne put s'empêcher d'approcher sa main pour effleurer les écailles. Alors ça... c"était... dégoutant ? Non, pas tant que ça... c'était bizarre quoi. Elle savait bien qu'il n'était pas normal ! Quant il se retourna, elle eut un geste de recule. Wow... voilà maintenant qu'il avait une sorte d'allure... de serpent. Ou de reptile en tout cas. Elle grimaça. Non pas qu'il était affreusement laid comme ça, mais tout de même... c'était pas... normal. Elle savait pas trop quoi dire à ce sujet. Donc elle resta silencieuse, pour l'instant. D'où ça lui venait tout ça ? Est-ce qu'elle pourrait le supporter ? Bah... oui. Sûrement. C'est alors qu'il entra dans le sujet de sa "frivolité" comme il disait. Comme quoi ça posait problème, histoire qu'il soit bien certain qu'une fois enceinte, elle portait bien son enfant et pas celui d'un autre. La jeune femme prit un air outré.

- Hey ! Qui vous a raconté ça ? Et puis des précautions, j'en prend, je suis pas stupide !

Un enfant le moment venu... bah ! Il pouvait toujours se brosser, hein ! Ça le regardait pas avec qui elle couchait, bon sang ! Elle soupira et reprit :

- Votre truc de serpent là... ça ne me gêne pas. Sauf si c'est pour vous retrouver avec une gueule d’alligator dans les années à venir...

Oui, là, ça deviendrait fort gênant. Maintenant elle pouvait poser des questions. Ou bien lui annoncer certaines choses qu'il devrait savoir avant d'avoir de mauvaises surprises. La jeune femme ne put s'empêcher de se mettre à rire de bon cœur, avant de prendre une gorgée de vin pour se calmer. Souriante et amusée, elle regarda son hôte avant de répliquer :

- Rassurez-vous. Pas d'écailles, de queue de rat, ou ce genre de chose, non. Vous savez tout ce qu'il a à savoir sur moi. Mais j'ai une question, oui.

Elle finit par se lever et s'approcha doucement de lui, le regard doux. Signe qu'elle n'allait pas lui en mettre une au cas où il aurait des doutes. Elle le regarda de la tête aux pieds. Puis elle lui tourna autour, comme si elle jaugeait quelque chose. Puis, enfin, elle cessa, se retrouvant de nouveau devant lui.

- J'aimerai savoir d'où vous venez et qui vous êtes exactement. J'ai le droit de savoir tout ce que je veux sur mon futur mari, non ? Vous avez quelque chose de plus que les gens d'ici et puis comme vous nous l'avez dit... vous n'êtes pas un Fey. Alors ?

Sa main se leva pour caresser une mèche de cheveux blanc de l'homme. C'est vrai qu'il était entouré de mystère celui-là. Il n'était pas un Fey, il avait quelque chose de différent, alors forcément, elle aurait bien aimé savoir où il était né, comment il s'était retrouvé là, s'il avait une famille... ce genre de chose.

Elle eut la seule réaction un tant soit peu digne… elle ne dit rien pour son physique, c'était déjà cela de pris, par contre, elle s'indigna de ses paroles… oui, sa frivolité était un problème… il eut un regard pour elle avant de lui lancer, un rien sec, bien que cela ne soit du qu'à la surprise et non pas à une quelconque animosité…

« Ce n'est pas parce que vous vous protégez que les autres le savent ou vont allr jusqu'à le supposer…. Je ne veux pas que quiconque puisse mettre la légitimité de mon ou mes enfants en doute parce que voyus aimez papilloner… je suis souple sur beaucoup de points mais pas ça, ce n'est pas pour moi, loin de là, mais c'est pour eux un batard n'est jamsi bien traité… je ne le sais que trop bien… maintenant, si vous voulez continuer, soit, mais il faudra mettre en place des règles, aussi bien pour moi ue pour vous... »

Oui, aux deux ou à aucun, ça au moins c'était sur… il ne voyait pas comment lui imposer cela autrement qu'ainsi ou par la force, et mieux valait éviter les rancoeurs… il eut un rien de sourire tout de même alors qu'elle reprenait cette histoire de serpent… non, cela prendrait plutôt des siècles , voire plus de mille ans avant qu'il n'en arrive là, donc bon elle avait le temps de voir venir…. Donc inutile de s'en soucier… pour le reste, s'il savait tout d'elle, il trouvat cela dommage… il regarda la jeune femme et nia de la tête… non, il ne lui dirait pas tout, par principe, d'abord, et ensuite parce que sans un petit jardin secret, il n'y avait pas de piquant, juste une routine ennuyante…

« Bon, je vais te tutoyer, et fais de même, car vouvoyer va finir par m'emmerder... »

Il eut un petit sourire avant de rajouter :

« Si tu veux savoir un peu plus sur moi, soit, mais je ne dirai pas tout, d'abord parce que je pense que chaque personne a droit à un jardin secret, privé, et toi même tu n'as pas besoin de tout me dire, seulement si cela importe ou si ça risque de me concerner à un moment ou à autre… tes coucheries par exemple… enfin bref, peu importe… évitons donc ce sujet…  délicat dirons-nous.. ; bref, je suis né dans un petit patelin où je n'ai pas eu de chance, ma maladie de naissance m'a, avec mes dons originels mis à l'écart jusqu'à ce que je sois recruté par la reine Mab elle m'a promis pouvoir et un colossal ralentissement de ma maladie contre mes service et la charge de chevalier de l'hiver... »

Il sourit et tendit le bras… une minuscule tempête de neige se mit à se créer juste sur la surface de sa main… elle disparut aussi vite qu'elle venait….

« Je dispose de nombreux dons, mais ce serait long de tous les énumérer… beaucoup trop long… enfin bon, grosso modo, je suis plus fort que la moyenne, 'jai une peau très dure, et je manipule tout ce qui est lié au froid, en plus d'une ou deux choses... »

Il but un verre de vin et se resservit aussitôt.

« Je crois que j'ai fait le tour…. Autre chose ? Et ta fesse ? Bien cicatrisée ? »

Bon, décidément le fait qu'elle soit un peu frivole lui posait des problèmes. Elle se mit un peu à bouder. Alors, quoi ? Il voulait qu'elle lui reste fidèle à jamais, c'est ça ? Et puis quoi encore ? Elle avait 18 ans, merde, elle n'avait même pas eu le temps de s'amuser deux ou trois fois qu'il fallait déjà qu'elle se range ? Non, mais quel ennui ! Il plaisantait, pas vrai ? Voilà qu'il s'inquiétait de l'enfant en disant savoir pertinemment comment était traité un bâtard. Oh. Astrid qui allait s'époumoner finit par ravaler son venin. Bon, elle ne pouvait que supposer qu'il en avait fait lui-même l'amère expérience. La demoiselle s'adoucit un peu. Ce n'était pas de la pitié, c'était juste du respect. Elle était de sang purement royal et ne connaissait pas ce genre de souffrance, celle d'être repoussé pour votre sang et non pas pour ce que vous êtes. D'être jugé et méprisé. Elle ne l'avait jamais vécue. Elle avait seulement souffert du fait que sa mère voulait faire d'elle une petite princesse bonne à marier. Finalement, elle avait réussi tiens... Même si au fond, Astrid restait une guerrière.

Slade sourit, mais c'était surement une façade. Il n'allait certainement pas lui donner de détail sur son enfance apparemment, ni sur autre chose. Il voulait garder sa part de secret. La jeune femme haussa les épaules. Peu importe, tant pic, elle se fichait bien de ses petits secrets au final. Il voulait qu'ils se tutoient ? La jolie blonde le regarda d'un air hésitant. Elle ne se voyait pas le tutoyer. En fait, elle ne tutoyait que son frère. Elle n'avait tutoyé personne d'autre durant toute sa vie. Même pas ses parents. Le protocole oblige, sans doute. Bon... Bah, elle allait devoir faire un effort. Encore une fois.

Quant au fait d'éviter le sujet de ses coucheries, oui, faisons comme ça ! Elle n'allait certainement pas lui en parler ! Et puis quoi encore ? Il voulait des détails ? C'était intime, et elle n'était pas prête de révéler quoi que ce soit. Il disait lui-même qu'ils devaient garder des petits secrets, et bien voilà. Elle en gardait ! Y a des choses qui ne se disent pas. Elle se contenta d'écouter ce qu'il acceptait de révéler. Que la Reine Mab l'avait engagé en quelques sortes, et lui avait donné des pouvoirs incroyables. Puissants. C'est pour ça, d'ailleurs, qu'il lui avait mis la raclée tout à l'heure. Pff... Trop facile. Et il osait être fier ? Y avait pas de quoi fanfaronner sur une victoire aussi débile. Mais un détail termina de dégeler un peu le cœur de notre blondinette. Slade était... Malade. Une maladie qui l'aurait tué si sa reine ne lui avait pas fourni tous ses pouvoirs. Oh... Merde.

Lorsqu'il fit apparaître une espèce de tempête dans sa main, elle ouvrit de grands yeux étonnés. Elle n'avait jamais vraiment vu quelqu'un pratiquer la magie et elle devait bien admettre que c'était classe. Elle le détestait, mais l'enviait aussi pour ça. Pff... Veinard ! Il termina son verre et se resservit en lui demandant si sa fesse avait bien cicatrisé. Astrid but une gorgée et répondit d'une voix sèche :

- Mon cul va très bien, merci.

Elle n'oubliait pas que c'était lui qui lui avait fait ça, hein, et qu'il avait pu s'empêcher de le lui rappeler !

- D'ailleurs, si tu pouvais éviter ce genre de chose. Je veux bien accepter d'être ta femme, je veux bien même faire sembler d'être follement amoureuse et fidèle si ça te chante, mais je refuse que tu me marques comme ta petite chienne. Si ça te fait plaisir de croire que tu me possèdes et que je suis à toi, très bien. Mais tu te fourres le doigt dans l'œil ! Je suis pas à toi ! Je le serais jamais. À toi, ni à personne. Toi et moi, on est juste deux parties d'un putain de contrat et rien de plus.

Non, mais oh ! Elle vida son verre d'un trait et lui tourna le dos, croisant les bras comme une petite fille qui boude. Elle avait un caractère de merde et elle l'assumait. Elle n'allait pas se laisser mener par le bout du nez longtemps sous prétexte que ce type était bourré de pouvoirs, qu'il était chevalier de je-sais-pas-quoi, ou autre chose ! Il allait faire son boulot et faire cesser l'hiver, ils allaient célébrer ce mariage bidon pour faire plaisir, et basta ! Pas question qu'elle devienne son joujou, son petit jouet qu'on balade et qu'on montre à tout le monde pour faire joli.
Qu'est-ce qu'il pouvait être agaçant ! Il ne pouvait pas être... Juste... Gentil ?

Il sourit en voyant que ça l'agaçait un peu… il regarda la jeune femme dans les yeux, de son regard de glace, mais une glace presque chaleureuse… non, elle ne comprenait pas… il regarda la jeune femme et eut un regard désespéré… voyait-elle en cela une marque d'appartenance ? Allons, il ne fallait pas être stupide… il ne l'avait pas marqué pour ça… il l'aurait fait à chaque adversaire fémimin à sa place… il faisait ça pour faire couler le sang de manière discrète, une défaite et elle payait le prix du sang, tout simplement… pour lui c'était logique, en fait, c'était même particulièrement  pragmatique… il ne se battait pas pour rire… et la victoire serait forcément dans le sang… quant à faire ça sur sa fesse au lieu du visage… hum… disons que c'était un bon moyen pour lui de lui rappeler qu'elle avait encore du travail avant d'arriver à son niveau et parce que c'était amusant…

« Tu ne comprends définitivement pas… si je voulais te marquer, j'aurai utilisé le fer rouge, et crois moi si je l'avais voulu ce n'est pas toi qui m'en aurait empêché… je me suis contenté de faire couler ton sans altérer ta beauté…. Pourquoi sur les fesses ? Parce que personne hormis moi n'est supposé les voir et encore moins les palper une fois mariés… et que cette marque est là pour te rappeler une leçon de combat primorudiale, il y a plus fort que soi, toujours… et cette petite marque invisible opu presque à l'oeil nu en sera un rappel… de plus, un vrai combat ne finit que dans le sang... »

Il eut un regard pour elle, un regard qui montrait une simple chose : sa colère était vaine, il ne la suivrait  pas sur ce terrain glissant de qui appartient à qui…

« Je me fiche que joue le rôle de l'épouse amoureuse, montre les dents et fusille moi du regard à chaque fois que je te parle si tu veux, ou boude comme une enfant capricieuse, le fait est qu'on va être marié, et notre consentement est aussi important qu'une bouse, alors autant mettre les choses au point maintenant. J'aurai marqué n'importe qui d'autre de cette manière,… non, j'aurai laissé ue cicatrice visible par tous, une belle balafre… vas-tu m'épargner cette délicate attention pour toi ? Auquel cas, promis ce sera en travers du visage… tu aimes te battre, moi aussi, ne viens pas te plaindre d'une conséquence de ta défaite… le vaiqueur parade, le vaincu se plie, tout simplement... »

Il se prit un nouveau verre et le but presque cul sec avant de conclure.

« Le choix est tien, mais si s'envoyer des remarque dans la figure est la seule chose que l'on peut faire de suite, je vais sans doute aller me coucher, libre à toi de faire ce que tu veux, bientôt tu y seras chez-toi… demain matin, il y aura une batterie de servante prêtes à te laver, te maser, te préparer, t'habiller, te torcher si tu leurs demande… il y en aura toujours une avec toi, prête à fair ece que tu lui dmanderas, c'est ma maisonnée, aucun risque de contrat avec un fey par accident… et si à l'occasion j'ai la possibilité de parler avec mon futur beau-frère j'apprécierai, il saura m'apprendre sans doute des choses sur toi... »

Et accessoirement il lui ferait comprendre qu'il n'aimait pas la manière de regarder celle qui allait être sa femme…

Astrid avala sa salive. Elle avait la gorge un peu sèche et but une gorgée de vin. Les dents légèrement serrés, elle du bien admettre qu'elle s'était emportée. Elle n'était définitivement pas dans son élément ici. Non, elle n'était pas à l'aise. Slade n'était pas foncièrement mauvais, quoiqu'un peu agaçant, et l'endroit avait beau être froid, il n'en était pas hostile pour autant. Non... il y avait autre chose, mais elle n'aurait su dire quoi en réalité. Ou alors c'était simplement ce mariage qui l'énervait depuis hier ! Franchement, quelle idée ! Elle ne s'y ferait sans doute jamais. Mariée si jeune... c'était comme être enchainée ! Elle aurait préféré être libre comme l'air pour encore des années ! Et voilà que ses parents et une Reine des Glaces décidaient tout à coup de lui gâcher la vie !
Tout ce que disait Slade avait un fond de vérité, et elle se contentait de le fixer avec sérieux, les sourcils froncés. Elle allait se marier avec lui, oui. Et devrait alors respecter certaines règles. Bon. Mais au fait, est-ce qu'elle s'était attendu à vivre le grand amour un jour ? Bizarrement, non. Les romans à l'eau de rose, très peu pour elle. Peut-être qu'elle aurait fini vieille fille au final... ou aurait finit par se plier à la volonté de ses parents à un moment ou un autre. Ils avaient simplement... trop accéléré les choses.

L'homme avala son verre de vin cul sec, sous le regard étonné de la jeune femme. S'il continuait comme ça, il allait être saoul ! Astrid finit par laisser échapper un profond soupir.

- Ça ira, je crois que j'ai compris. Tu es le meilleur, et une fois mariés, j'essaierai de ne pas bafouer ton honneur en allant copuler à droite ou à gauche. Même si, sincèrement, ça me dérange. Ça te va ?

Un peu boudeuse, la demoiselle, tout de même. Elle but une autre gorgée, vidant son verre du même coup. Des servantes ? Voilà qui lui semblait être une bonne idée. Elle était une princesse après tout, elle avait bien le droit à ce genre de luxe ! Slade ajouta qu'il aurait aimé avoir l'occasion de parler à Jubal. Lui apprendre des choses sur elle ? La jolie blonde arqua un sourcil.

- Pourquoi pas. Mais je pense que ce sera une perte de temps. Jubal ne sait rien de plus sur moi que tu ne sache déjà, et même si c'était le cas, jamais il n'irait me compromettre. Peu importe ! Je lui ferais passer le message...

Elle attrapa un petit canapé dans lequel elle croqua. Appréciant manifestement son goût, elle le termina, puis se servit une nouvelle coupe de vin pour se rincer la gorge. Elle aurait donné n'importe quoi pour retrouver sa liberté et repartir à l'aventure ! Mais un mariage n'attend pas, hein ? Ils n'avaient jamais eu le choix de toute manière. Astrid finit par s'approcher doucement de l'homme et effleura sa joue d'une caresse avec un sourire étrangement enjôleur.

- Si tu m'interdis d'être frivole à l'avenir, j'espère que tu es un amant qui vaut le coup. En ce qui concerne le sexe, j'ai parfois un appétit d'ogresse...

Elle rit doucement, amusée, puis se détourna pour s'installer dans un canapé.

- Si tu vas te coucher, je ne vais pas tarder à rejoindre ma chambre non plus. Le voyage, notre combat, et cette discussion auront fini par m'épuiser.

Elle s'étira un peu, s'imaginant déjà se prélasser dans des draps chauds jusqu'au matin !

Bon, elle avait compris selon elle. Il regarda la jeune femme et lui sourit. Si tout était clair, alors soit. Il eut un léger sourire avant de finalement. Opiner du chef, oui, ça lui allait. Au moins comme ça, tout était posé. Il ne bafouerait pas le sien non plus en échange en multipliant les galipette à droite et à gauche. Il lui sourit et la regarda avnt de finalement lui lancer, sur un ton aimable, amène, doux, bref, parfait :

« Je ferai de même de mon côté, ainsi, nous serons à égalité. »

Il reprit un verre sans le boire tout de suite alors qu'elle vidait le sien, il le lui remplit pour qu'elle soit capable de boire de nouveau si elle le désirait. Il lui sourit alors qu'elle reprenait la parole. Elle avait eu une petite moue boudeuse. C'était mignon comme tout. Alors autant qu'il ne cherche pas plus loin. Au final, ce mariage avait de bons côtés ! Il eut un petit rire alors qu'elle parlait de Jubal sans se gêner.

« Non, non, je m'en chargerais moi-même, si tu le permets. Je pense qu'une discussion avec mon futur beau frère semble un impératif dans la mesure où je suis sensé t'épouser.Je sais qu'il ne m'aime guère, et je dois avouer qu'il ne m'a pas fait forte impression. Mais je pense quil serait bon d'arrondir les angles… et si tu veux, je pense que personne ne verra d'inconvénient  ce que tu sois présente pour nous tempérer si nous nous emportons. »

Il sourit avant de la voir se lever, lui caressant la joue au passage non sans quelques commentaires fort distrayant . Il lui sourit et la regarda alors qu'elle allait s'installer sur un canapé adjacent. Il la rejoignit, s'asseyant à ses côtés avant de lui lancer.

« Je suis encore frais comme un gardon. Je te pensais plus endurante que cela... »

Il avait l'oeil taquin alors qu'il venait passer un bras autour des épaules de la jeune femme avant de finalement lui susurrer à la manière d'un amant.

« Tu as un appétit d'ogresse, vraiment ? Je voudrais bien voir ça…. Je peux être parfois un peu brutal, très demandeur, et j'ai la réputation de conduire mes conquêtes jusqu'aux portes de la mort tant je les épuise…. Reste à savoir si tu es à la hauteur bien sur…. Et si après nous serons forcés de le savoir, mais là, ce soir, tu as encore la possibilité de choisir librement  de venir jouer et te mesure à moi dans le domaine intime sans contrainte ni morales ni physiques…. La grande question, c'est : es-tu trop fatiguée pour ça ? »

C'était vrai qu'elle pouvait dire non sans être forcée ou dire oui en toute liberté, pour le moment, encore...

Le principal était qu'ils soient à peu près d'accord sur l'ensemble du contrat et ses conditions. Certes, un mariage, ce n'était pas du tout ce qu'elle avait envisagé, mais tant pis. Après tout, grâce à cela, leur île serait à l'abri de cette tempête hivernale et tout reviendrait dans l'ordre. Elle y survivrait.
Slade aussi avait adoucit son ton, sans doute satisfait qu'elle aille de son côté et cesse de rouspéter comme une enfant capricieuse. Et s'il pouvait, lui aussi, calmer ses ardeurs une fois son époux, elle en serait rassurée. Elle aussi, après tout, avait une image à tenir ! Elle était Princesse avant tout.
L'homme avait rempli son verre et la jeune femme apprécia le geste, le remerciant d'un léger sourire.

Slade préférait se charger du cas de son frère tout seul. La jeune femme ne voyait pas bien pourquoi il voulait tant d'adresser à lui, mais après tout, Jubal était un grand garçon. Elle n'avait pas de quoi en faire une histoire. De plus, son futur époux semblait tolérer sa présence lors de cette entrevue. Astrid sourit. S'ils s'emportaient ? Mieux valait être là dans un cas pareil, oui.

- Très bien, alors je serais là.

Elle se fit soudain joueuse, le provoquant un peu pour s'amuser. Mais lorsqu'elle sous-entenda l'idée d'aller bientôt se coucher, il parut un peu déçu. Il s'installa sur le canapé à ses côtés, un bras entourant ses épaules. Voilà qui était drôle... il semblait assez intéressé par son "appétit d'ogresse" et le fait de pouvoir tester son endurance. Alors ? Était-elle trop fatiguée pour ça ?
Astrid réfléchit un peu, amusée. S'envoyer en l'air avec lui ? Mmh... Elle se pencha légèrement sur lui, son visage très proche du sien.

- Et que faîtes-vous de ce vieux principe qui ordonne aux futurs époux de ne point s'accoupler avant le mariage, Chevalier ?

Elle sourit, laissant avouer que c'était une plaisanterie, puis déposa un baiser sur les lèvres de l'homme, sensuellement, avant de se détacher.

- Tentes donc de me montrer ces "portes de la mort" dont tu parles, chéri...

Le chéri était purement une taquinerie. Elle ne se laisserait sans doute pas allé à l'appeler ainsi quotidiennement. L'avenir le dirait !
En tous les cas, oui, elle voulait coucher avec lui ce soir, maintenant. Pourquoi pas après tout ? Autant profiter de cette soirée.

Bien, elle seraiot là donc il essayerait de ne pas lui crever les yeux en sa présence, promis, pour le reste, il doutait que cela puisse se résoudre autreent que dans le sang. Le sien, pas celui du chevalier… Jubal avait vu la facilité avec laquelle il avait défait Astrid, non ? Il eut un petit sourire avant de finalement se dire qu'il devrait réussir à se tenir, ce n'était pas fait… il sourit et regarda la jeune femme avant de finalement se dire qu'il avait peut être une bonne partie de jambe en l'air avant ça, alors autant éviter d'y penser.

« Parfait... »

Il sourit à sa taquinerie… si elle voulait du chevalier blanc, elle ferait de la couture, pas du champ de bataille. Il lui sourit avant de finalement se dire qu'elle devrait sans doute s'y faire si elle espérait un chevalier blanc. Il lui sourit, répondant à sa première taquinerie.

« Si tu voulais  un preux chevalier, fallait te mettre à la couture... »

Il éclata de rire avant de l'entendre reprendre les paroles, non sans un baiser. Sentait-elle la froideur de ses lèvres contre les siennes. Oui, son corps était plus froid que la normale… Il sourit et regarda la jeune femme avant de l'enlacer et l'embrasser avec fougue, sauvagerie même un peu, lui mordant sans violence les lèvres avant de lui mordiller le cou et lui lui susurrer.

« Imagine donc… si je ne me retiens pas tu seras incapable de te lever, mon cœur... »

Oui, elle voulait jouer aux surnoms, il pouvait aussi, et on verrait bien qui serait le premier à court à ce sujet. IL était tout à fait capable de tenir la longueur, mais elle ? IL eut un petit sourire avant de venir mordiller ses chairs malgré les tissus, venant jouer avec ses mamelons au travers des tissus. Il  laissait glisser ses doigts sur son dos, usant doucement de ses ongles le long de son dos, jusqu'à ses reins alors qu'il l'attirait sur lui,

« Déjà tout à l'heure, je t'ai trouvé drôlement bien foutue... »

Il saisit son haut et tira d'un coup sec pour laisser libre court à sa poitrine avant qu'il ne s'empare de l'un de ses seins entre ses dents, le mordillant et le malmenant légèrement alors que ses mains desncednaient au-delà de ses reins pour saisir ses fesses et l'attirer davantage sur lui.

« Et si tu me montrais quelle ogresse tu peux être… je te montrai comment je peux être bestial... »

Il sourit avant de lui laisser un magnifique suçon dans le cou.

La couture ? Certainement pas ! Sa mère avait bien tenté, lorsqu'elle était petite, d'en faire une bonne petite princesse et future épouse modèle, mais fort était de constater qu'elle avait échoué. L'impétuosité de sa fille avait suffi à lui faire abandonner cette idée. Et c'était bien mieux ainsi, vraiment ! Astrid n'avait jamais regretté son choix, bien au contraire. Elle était faite pour le champ de bataille, quoiqu'on en dise, et quoique lui réserve l'avenir. Mais sans doute allait-elle devoir réviser ses priorités une fois mariée...
Les taquineries avancèrent, montrant clairement que les deux protagonistes ne désiraient plus qu'une chose : baiser. Tout simplement. Et bien quoi, la nature était faite ainsi, et la jeune femme n'allait pas aller contre son désir. Elle était une Princesse et ce qu'elle voulait en général, elle se débrouillait toujours pour l'obtenir ! Heureusement, elle n'eut pas vraiment à insister pour que le chevalier accepte avec joie cette petite partie de jambes en l'air.

Sa réponse fut sans appel, il emprisonna les lèvres de la jeune femme avec fougue, allant même jusqu'à mordre ses lèvres. Mais elle ne s'en formalisa pas. Elle n'était pas adepte du sadomasochisme poussé, enfin pas qu'elle sache, mais elle aimait bien ce genre de traitement. Les hommes trop doux et trop légers l'ennuyaient. Il pensait qu'elle serait peut-être incapable de se lever s'il ne se retenait pas ? Bah ! Si c'était le cas, elle n'aurait cas rester au lit davantage. Mais elle en doutait. Il vint jouer avec le bout de ses seins, caressant son dos et ses reins pendant qu'elle fermait les yeux et souriait. Ses seins, doucement, commencèrent à durcir sous l'excitation. Il glissa ensuite un compliment qui l'amusa. Elle répondit :

- Les femmes de Mélisi sont connues pour ça..., mais je suis de loin la plus alléchante.

Elle ne s'envoyait pas des fleurs, c'était simplement vrai. D'ailleurs, son père devait gérer une foule de prétendants depuis quelques années. Dommage pour eux. Il arracha alors le haut de sa tenue sans ménagement, s'emparant de sa poitrine avec sa bouche et ses dents. Il lui saisit ensuite les fesses pour l'attirer contre lui. Astrid le laissa faire, frissonnant d'impatience et très amusée de la situation. Alors comme ça il voulait qu'elle lui montre ? Soit.
Tandis qu'il lui faisait un suçon dans le cou, elle s'installa à califourchon sur ses genoux et glissa ses mains jusqu'au pantalon du chevalier qu'elle détacha. Elle put alors caresser le sexe de l'homme avec douceur.

- Mmh... pas mal. Les hommes du nord sont-ils tous aussi bien montés ?

Elle ria, passant cette fois sa main sous le sous-vêtement pour caresser le sexe au contact de sa peau douce. Elle le branlait, avec douceur, mais fermeté, plantant son ses yeux dans les siens. Elle retourna ensuite l'embrasser, glissant sa langue pour aller jouer avec celle de Slade. La nuit allait être mouvementée...

Elle semblait aussi demandeuse que lui, non ? Il eut un petit sourire alors qu'il sentait sa poitrine si bien sollicitée  que ses pointes durcissaient, il ne cesserait pas jusqu'à ce qu'elles deviennent douloureusement pleines d'envie… ses mains, quant à elles, pétrissaient ses fesse avec fermeté et force, mais pas cette force lachée comme ça déchainée, juste cette force que l'on pouvait sentir comme latente, comme une force retenue en vue de la suite. Il lui sourit avant de finalement diriger ses doigts de long de ses cuisses.

« Les feys sont imbattable en beauté sache le, mais tu es une humaine superbe ! »

Il reprit ses attentions avec une assiduité presque vorace, alors qu'elle se glissait hords de portée pour elle même jouer un peu. Il le lui avait demandé, non ? IL sourt et risonna sous le contact aveant de lui susurrer dans le feu de l'action.

« Essaye d'éviter de mordre trop fort, tu te ferais mal... »

Ce n'était pas de la provocation, loin de là, mais d'un autre côté, si elle voulait tenter, elle pourrait essayer… qui sait, il valait mieux prévenir que guérir. Il eut un soupire de ravissement alors qu'elle continuait, à califourchon sur lui avant de finalement lui saisir de nouveau les fesses, et de se décider à réduire en lambeau le peu de tissus qui lui restaient… il lui  caressa alors directement les fesses, y enfonçant de temps à autres  ses ongles avant de finalement lui mettre une légère tape à son commentaire.

« On le dit, mais je suis exceptionnel ! Attends que ça durcisse et tu verras ! »

Il ne fanfaronnait pas le moins du monde, ou du moins, il ne faisait que dire la vérité. IL était monté comme un âne !  Enfin, n'exagérons pas pour autant, n'est-ce pa !  IL eut un grand sourire et se mit à soupirer d'aise en sentant la main de la jeune femme aller et venir le long de cette hampe qui prenait lentemet e l'ampleur jusqu'à un oli paroxysme. Il eut un ricanement avant de lui lancer, sur un ton plus qu'amusé.

« Tu vois, c'est ce que je te disais... »

Il revint saisir sa bouche avec fougue et sauvagerie avant de la renverser sous lui, laissant ses doigts errer jusqu'à son intimité pour la caresser et d'un coup, la fouiller avec deux doigts, comme s'il envahissait un endroit pour le conquérir. Son ouvement était certes impérieux, mais aprèès tout , il 'lavait prévenue, non ? Il lui continua à jouer avec son intimité jusqu'à ce que finalement il lui dise, sur un ton de confidence.

« Allez, ne te relâche pas ! Je ne dois pas être le seul à bosser ! »

Les Feys, imbattables ? Une beauté glaciale, sans doute. Elle n'en avait jamais croisée et n'était pas jalouse, de toute façon. Si Astrid avait été une fille bien élevée par moment et une petite princesse exemplaire, peut-être aurait-elle grogné à l'idée que sa beauté soit ainsi surpassé. Mais elle s'en fichait. Elle était une guerrière, pas une fille à maman. Et si elle prenait tout de même soin d'elle, son but n'était en rien de devenir la plus belle gueule du pays !

Slade la prévint que si elle tentait de le mordre, elle pourrait y laisser ses crocs, ce qui la fit sourire. Allons-bon ! Il avait si peu confiance ? Il est vrai que la jeune femme aurait pu s'y amuser en d'autres circonstances, mais aujourd'hui elle ne s'y risquerait pas.
En effet, la belle blonde n'attendait plus qu'une chose, que le sexe du chevalier durcisse et grandisse au maximum. C'était un minimum pour un ébat réussi, pas vrai ? Et elle ne fut pas déçue. Elle devait bien admettre que ce chibre avait une taille plus que satisfaisante. Elle esquissa un grand sourire en fixant le membre et lança :

- Sacrée nom... les Dieux t'ont bien gâtés dis-moi ! J'aime ça...

Avec Astrid de toute manière, plus c'était gros, mieux c'était ! Et bien quoi ? Normal, non ?
Slade prit de nouveau possession de bouche avec avidité. Elle répondit au baiser avec empressement également, avant de se retrouver sous le corps du chevalier de l'hiver. C'est alors qu'il pénétra deux doigts dans son intimité, faisant gémir la demoiselle de surprise et de plaisir. Ah ! Voilà qui était bon...
Astrid soupira de désir avant que Slade ne l'encourage à agir à son tour. La jeune femme sourit avec un air taquin.

- Et pourquoi pas ? Tu es doué pourtant...

Décidément, ce petit jeu là ne faisait que commencer. Elle ricana, puis glissa sa main entre eux pour attraper de nouveau le sexe imposant de l'homme. Elle souffla alors sur un ton particulièrement lubrique :

- Tu veux que je m'occupe de ça, hein ? Bien...

De toute manière, elle avait prit sa décision. Elle le repoussa pour le rasseoir correctement et s'agenouilla devant lui sur le sol. Elle caressa un peu le membre, curieuse de savoir si elle parviendrait à l'avaler entièrement, puis se mit à la lécher goulûment et avec soin, ne laissant rien au hasard. Le sexe, dur et gonflé, était plus qu’appétissant. Si bien qu'un bout d'un moment, elle finit par entrouvrir ses lèvres pour enfoncer lentement le membre dans sa gorge. Elle s'arrêta à la moitié. Hum... elle pouvait faire mieux. Elle commença quelques vas et viens ainsi, sans trop s'avancer, s'appliquant à la tâche. Mais plus elle le suçait, plus elle enfonçait ce sexe profondément dans sa gorge. Elle avait l'habitude... elle finirait bien par avaler cette queue toute entière !

Oh, elle aimait le machin qu'il avait entre les cuisses ? Voilà qui était intéressant !  D'habitude, il avait plus de chances de faire peur… il regarda la jeune femme et lui sourit, un clin d'oeil taquin apparut un fugace instant alors qu'elle continuait de jouer de ses lèvres, de ses dents sur la peau du chevalier de l'hiver qui en frissonnait de plaisir, presque aussi d'anticipation vuis à vis de la suite… il eut un petit rire et un frisson.

« Méfie toi que je ne te ravage pas avec ce cadeau ? »

Il eut un petit sourire alors qu'elle glissait sa main entre eux pour venir caresser cette virilité apparemment très désirée… il opina du chef, à cette idée… il eut un léger rire alors qu'elle le repoussait et descendait du canapé.pour se placer à genoux face à lui. Il lui sourit et la regarda faire, caressant le membre alors qu'il s'était approché du bord du canapé, assis, pour que ses bourses soient en libre accès.

Elle commençait à caresser celle-ci avant de commencer, un rien vorace, à le prendre en bouche. Hum… ça bouche était chaude et agréable alors qu'elle  coulissait le long de la verge sans jamais  la prendre entièrement. Par incapacité ou par envie de faire durer… il n'en savait rien !  Il eut un petit gémissement de plaisir avant de lui lancer.

« Moi qui proposais de te bouffer le minou pendant ce temps… tant pis pour toi ! »

Il eut un petit sourire amusé alors qu'il  se penchait pour lui malaxer le sein sans réelle douceur, pinçant et tirant un peu sur sa pointe de chair durcie avant de remonter, lui caresser la joue puis  glissa derrière sa tête pour venir la saisir par la nuque, emprisonnant aussi ses cheveux de miel dans sa poigne pour la tenir ainsi et forcer l'empalage complet de la bouche et de la gorge de sa future femme sur sa verge et il commença à l'accompagner de coups de reins, jouant  à forcer sa gorge pour s'enfoncer en entier dans sa bouche et il se mit à lui brutaliser pendant quelques instants la bouche avant de rester bien au fond d'elle pendant quelques secondes, l’asphyxiant légèrement avant de la relacher.

« Ta bouche est géniale… et ta gorge aussi… ça me donne envie de jouir dedans... »

Ce qu'il venait de faire, c'était précisémet ce qu'il aimait, un rien brutal, oui, un rien seulement...