Le retour de L'esclave au pres de sa maitresse. (Mélinda)

Mélinda avait laissé à Ximma quartier libre. Plus tard, elle aurait un planning, mais, pour l’heure, il fallait encore que la vampire trouve un moyen de l’incorporer au harem, de mieux la comprendre, et de savoir comment gérer ses multiples personnalités. Ce n’était pas si simple que ça à faire, surtout quand, en parallèle, on préparait un mariage. La vampire laissa donc Ximma faire le tour du harem, retrouvant toutes ses amies. Mine de rien, le harem de Mélinda était un agréable asile, une ère de paix et de prospérité où les membres pouvaient vivre en toute quiétude et avec sérénité. La vampire la laissait donc faire, tout en se demandant comment les choses allaient se passer avec son esclave, maintenant revenue auprès d’elle, similaire à avant... Et en même temps très différente.

Le soir arriva donc, et une femme toqua à la porte de la chambre de Ximma. Ayumi était là, fidèle à ce qu’on lui avait dit de faire, à savoir venir ce soir dans la chambre de Ximma pour faire l’amour avec la facette démoniaque de l’esclave, Xia. Une chose qui effrayait et excitait Ayumi en même temps. Elle était effrayée, dans le sens où elle savait la violence et la cruauté dont Xia pouvait faire preuve, mais elle était aussi excitée, car elle aimait bien coucher avec des femmes fortes, fortes et belles, ce que Xia, en toute sincérité, était.

Ayumi entra donc dans la chambre, tenant dans sa main un plat.

« Salut, Xia... Comme tu n’es pas descendue, je me suis chargée de t’amener à manger. »

Des bougies avaient été allumées dans la pièce, éclairant cette dernière. Il y avait un candélabre sur le tiroir, avec de multiples bougies, donnant à la pièce une ambiance intimiste et très chaude. Ayumi, elle, tenait un plateau en argent, avec un morceau de pain, de la viande, un pichet d’eau, de la salade, et quelques légumes. Elle se rapprocha tranquillement, et le posa sur une table à côté du lit. Si Xia était toute nue, Ayumi, elle, portait son sling bikini.

« Tu te plais bien ici ? Enfin, tu viens juste d’arriver, mais... J’espère que tu resteras. Maîtresse m’a aussi chargé de te dire que tu auras bientôt un rendez-vous avec l’Archimage Samara. Elle a pris contact avec son assistante, Kazuha, qui se chargera de transmettre ta requête. »

Xia voulait purger son sang, et, pour cela, elle avait besoin de l’aide de magiciens et d’alchimistes. Ayumi déposa le plateau, puis regarda la femme, avant de lui sourire, tout en profitant pour joyeusement se rincer l’œil.

« T’es franchement très sexy... »

Oh ça oui !

Xia était nue sur son lit. La démone était nue car elle n’aimait pas porter de vêtement et qu’elle n’en avait pas besoin. Sa race avait une particularité, une membrane recouvrais en générale son sexe et ses tétons. Donnant une impression d’inexistence, comme une poupée pour enfant. Si elle n’aimait pas les vêtements c’était par rapport à ses tatouages, signe de son clan et de ses faits de guerre et de massacre en son nom.  Xia était assise sur le lit attendant avec patience. ses ailes dans son dos était replier formant un bloque d’os craquelant au moindre mouvement de leur part. Elle était parfaitement immobile  jusqu’à  entendre frapper à la porte.

-Entre.

Restant immobile, elle regarda Ayumi rentré avec un plateau repas. Contrairement aux autres qui partageait se corps et lui volait ses pouvoir, Xia en était la propriétaire original et possédait une quantité de magie bien supérieur. Contrairement à elles, Xia ne souffrait pas d’une faim constante et n’avait pas senti le besoin de manger. Pour autant, elle ne comptait pas refuser le repas qu’il lui était offert par Mélinda. La nouvelle sur le rendez-vous possible avec la démone qui pourrais peut être lui purifier son sang, lui arracha un sourire mauvais laissant apercevoir sa dentition, clairement pas faite pour manger de la salade.

-Me plaire est un bien grand mot. Moi je me sens bien dans que sur un champ de bataille et dans le sang de mes victimes. Ici c’est trop calme…mais ça ne te regarde pas, tu remercieras ta maitresse si elle obtient un résultat.

Jusque que là, Xia ne c’était jamais vraiment intéressé au sexe, mais depuis qu’elle avait partagé le corps de l’esclave et y avait gouté à travers elle, la démone avait décidé de le testé elle-même. L’endroit était idéal pour ça et ça lui permettrait peut être de s’occuper le temps de mettre en place la requête de sa déesse. C’est ce manque d’expérience sur le sujet qui fait que le compliment ne l’affecta pas plus que ça.

-Ayumi ? C’est bien ça ? Ne tournons pas autour de la question. Apprend moi se que veux savoir. Apprend moi le sexe et je verrais pour te récompensé par la suite. J’ignore encore comment, mais je trouverais bien. Quelqu’un comme toi doit pas être bien dur à satisfaire.

Ayumi adorait le sexe. Comme toutes les esclaves de Mélinda, elle avait, en elle, un potentiel de perversion qui était assez impressionnant. Elle aimait autant coucher avec des femmes fortes qu’avec des femmes faibles, et savait très bien s’adapter. La belle femme était une sportive, très athlétique, qui aimait ce qu’elle appelait le « sex sport », c’est-à-dire faire l’amour en faisant du sport… Comme se faire sucer pendant qu’elle faisait de la musculation. Bien bâtie, endurante, elle était, au sein du harem, une esclave de premier choix, faisant partie de cette catégorie d’esclaves qui, même sans aucun pouvoir officiel, dans les faits, dominaient les autres esclaves. Elle avait donc déjà couché avec des démones, comme Samara, qui l’avait copieusement sodomisé, et elle était, en conséquence, particulièrement ravie de pouvoir faire l’amour avec Xia.

Assise sur son lit, la démone était d’une beauté particulièrement sauvage, avec sa peau pâle et ses innombrables tatouages tribaux. Nue, ne ressentant visiblement aucune envie de s’habiller, elle lui demanda vite de passer à l’essentiel, ce qui ne manqua pas de faire sourire Ayumi.

« Cool… Je t’avoue que je ne savais pas trop comment t’aborder, mais… Y aller de manière directe, ça me va. »

Il ne fallait pas se fier aux apparences. Malgré son tempérament de fonceuse, Ayumi maîtrisait très bien les arcanes du sexe, et savait parfaitement comment en jouer. Souriant légèrement, elle s’assit sur le rebord du lit, à côté de Xia, et caressa l’une de ses cuisses, sentant la douceur et la solidité de sa peau, puis posa son autre main sur son torse, et la renversa. Xia avait beau être une impitoyable tueuse, Ayumi sentait son inexpérience, et elle se doutait que ceci devait l’énerver. Le sexe, c’était fondamental, et Ayumi savait très bien ce qu’elle risquait en se moquant. Elle coucha donc Xia sur le dos, puis se dressa lentement au-dessus d’elle.

« Mais… Tu te trompes sur un point, Xia. Le sexe… Le sexe, c’est une bataille. »

En souriant, Ayumi se rapprocha à nouveau d’elle, et l’embrassa, non pas sur les lèvres, mais dans le creux du cou, en mordillant sa peau. Xia avait une peau résistante, ce qui faisait qu’elle pouvait mordiller sans trop de problème, tout en déplaçant l’une de ses mains pour caresser l’un de ses seins.

« Que crois-tu qu’est le sexe, Xia, si ce n’est une bataille ? Comme dans une bataille, il faut de l’énergie, il faut la déployer, encaisser les coups, et la victoire est constituée par ton orgasme. »

Elle remonta un peu, venant lécher la joue de la femme, approchant ses lèvres de sa bouche.

« Ceux qui disent que le sexe n’est que douceur et caresses se trompent. Ça, ce n’est qu’un aspect du sexe. Avant toute chose, le sexe, c’est une forme de violence, une violence jouissive où la personnalité profonde des gens s’affirme. C’est beaucoup de choses à la fois, Xia, mais il y a, indéniablement, de la violence, et de la force physique. Tu peux croire être asexuée, mais nulle créature, sur Terra, ne l’est. Le sexe est ce qui nous unit tous, une sorte de base commune à l’ensemble des espèces vivantes. C’est la consécration et l’expression de la vie à l’état pur. »

Elle ponctuait ses explications de baisers et de caresses, grattant les hanches de la femme.

« Ton corps est magnifique... Limma est une soumise d’exception, mais toi, Xia, tu es tout l’inverse... Tu verras, tu aimeras le sexe, comme on aime le faire après une dure journée de labeur, pour se détendre le soir... »

Elle se rapprocha finalement de ses lèvres, afin d’y déposer un baiser...

Assise sur le lit Xia regardait cette femme qui était rentré et devait lui apprendre le sexe. Dans cette tenue, beaucoup en la regardant aurais pensé à la beauté de son corps, à l’excitation qu’elle pouvait provoquer, mais pas Xia. La démone elle voyait surtout d’innombrable façon de la tué. Lui broyer le cou avec ses dents, les coupé les membres avec sa queue, les détruire les tympans avec son crie, lui lacérer le corps de ses griffes…Elle avait un corps musclé et développé et pourtant à ses yeux elle lui paraissait si fragile…Enfin elle n’était pas ici pour la tué.

Aymi sans la moindre peur s’approcha d’elle. Ce manque de peur si près d’elle ne lui plaisait pas, d’habitude si proche d’elle seul, les autres démons ne tremblait pas…cette fille se sentait en sécurité. Xia n’y était pas habitué. Elle se laissa touché, laissant ses mains se promené sur son corps, sur ses cuisses, son ventre, elle se laissa coucher. Pour le moment aucune excitation ne se faisait ressentir. Sa légère morsure ne lui faisait pas grand-chose, par contre sa main sur son sien, lui faisait déjà un peu plus d’effet. Mais pour l’instant elle n’y prêtait pas grande attention, elle écoutait surtout ses explications.

Comparé le sexe à une bataille, voilà qui était bien choisie pour lui parler. Pour l’instant elle la laisser agir, pas par soumission, mais par ignorance. Elle pouvait bien sûr se servir des connaissances de Limma en fouillant dans ses souvenirs, mais ce n’était pas le but. Non Xia voulait vraiment découvrir le sexe. La nature voulait que ce soit avec un homme, mais le faire avec des femmes n’était pas impossible et aujourd’hui c’est ce qui avait était choisie pour l’instruire.

Xia n’était pas complément vierge, en réalité, elle avait déjà subi une première expérience sexuelle avec Mania sa déesse, mais c’était à travers un rêve et la déesse ne l’avais pas fait de façon…disons normal. C’est pourquoi, elle ne préféra pas s’inspiré de cette expérience sur elle. Une fille comme elle risquerait d’en ressortir blessé. En parlant de la Déesse son œil flottait au-dessus d’elles et semblait très intéressé par la scène.

-N’hésite pas à me dire quoi faire, profite en tant que je t’y autorise. Quand je saurais faire je n’accepterais plus d’ordre.

La belle Ayumi avait conscience de jouer avec le feu. Elle était une tête brûlée, un véritable garçon manqué dans sa personnalité. On la connaissait pour le nombre de fois où elle coinçait ses amantes pour les prendre contre les murs. C’était une spécialiste du sexe forcé, et, en un sens, elle aurait tout à fait pu, sur Terre, être poursuivie pour viol. Elle était la preuve qu’il y avait bien des personnalités différentes au sein du harem, et, malgré ce tempérament taillé dans le marbre, elle était très soumise à sa Maîtresse. Alors, oui, elle avait bien entendu peur de Xia, car elle savait tout ce qu’on disait sur elle, mais elle n’en montrait rien.

Xia, d’une voix calme, lui glissa qu’elle la laissait faire, et qu’elle prendrait ensuite la direction, quand elle saurait comment faire. Ayumi acquiesça lentement, et se redressa un peu, son corps collé au sien.

« C’est entendu, Xia... De toute façon, je serais bien folle, à vouloir commander à une femme aussi puissante que toi. »

Juste en l’embrassant, Ayumi sentait ses muscles, sa puissance. Elle embrassait maintenant son cou, et se rapprocha de ses lèvres. Son souffle rebondit contre le sien, et sa main, sur son sein, continua à agir, venant pincer son téton, tirant dessus, et elle l’embrassa.

« Tu aimes faire mal, hein ? glissa-t-elle entre deux baisers. Faire souffrir, entendre tes victimes hurler de douleur ? »

Ayumi pensait avoir plutôt bien cerné le profil de Xia. Une démone qui aimait tuer, mais qui préférait probablement davantage faire souffrir que tuer. Ayumi se lançait dans une pente savonneuse, mais c’était comme ça qu’elle espérait accomplir sa mission, à savoir amener Xia à apprécier le sexe. Car, au-delà de sa puissance, avec sa peau claire et ses espèces de tatouages sur son corps, Xia était emplie d’une certaine beauté qu’il était dommage de ne pas utiliser.

Lui parlant entre plusieurs baisers, elle opta finalement pour un baiser plus long, tout en continuant à maltraiter son sein. Elle pinçait le téton, tirait dessus, puis enfonçait ses doigts sur cette partie érogène de son corps, et sentait le sein se durcir un peu. Entre-temps, elle opta pour un baiser particulièrement réussi, en amenant sa langue à lécher Xia. Elle sentit ses dents très pointus, et se dit, avec un léger frisson, qu’une telle dentition avait probablement dû servir à manger des humains. En un sens, si elle avait peur à l’idée d’être si proche d’une telle personne, il fallait aussi reconnaître qu’embrasser une telle créature était... Étrangement très excitant.

« Pose tes mains sur mes fesses, Xia... Palpe-les, et... Dis-moi ce que tu ressens, que ce soit quand je t’embrasse, quand je joue avec ton sein, ou quand tu palpes mon petit cul... »

Xia laissa cette humaine s’installer sur elle et la parcourir de ses main et de sa bouche. Pour Ayumi c’était une sorte de privilège de pouvoir l’approché ainsi. Quand sa main avait commencé à lui touché la poitrine Xia avait fait quelque chose à son corps que l’humaine n’avait surement pas remarqué. Xia était d’une espèce de démon particulière. Une race proche à la fois de la succube et de la harpie. Son peuple vivait par nature nu et leur corps paraissait asexué en dehors des différences de forme. Mais c’était une particularité à leur race, quand ils souhaitaient se reproduire, leur corps se dévoilait. Comme une membrane protectrice, la peau se rétracta laissant sortir ses tétons de ses sien jusque-là cacher sous cette peau et de la même manière plus bas son sexe était apparu. Sa queux jusque-là tranchante était devenue plus molle et avait perdu le coté dangereux pour devenir particulièrement érogène et source de plaisir. C’était la même chose que pour la version mélanger de Limma, sauf que Xia le faisait de sa propre volonté et non par simple excitation.

Préparé ainsi son corps à l’acte sexuel semblait être une bonne idée, car déjà l’humaine jouait avec ses tétons. Depuis qu’elle la laissait faire, elle découvrait les sensations que ça lui procurais. C’était nouveau pour elle. Toute sa vie, elle c’était consacré au massacre et n’avait jamais était intéressé au sexe. C’était Limma  qui avait fini par éveillé sa curiosité et l’avais décidé de l’expérimenté elle-même. Alors qu’elle se laissait embrasser, n’osant pas trop bouger de peur de lui couper la langue sans le vouloir, elle écouta ses questions.

Si elle aimait faire mal ?  Contrairement à ce qu’on pourrait croire faire souffrir ses victimes ne l’intéressait pas vraiment pendant une bataille. C’était une perte de temps et donc en conséquence d’efficacité. Elle préférait déchirer proprement un corps en deux et se couvrir de son sang, plutôt que de le laisser vivre et le démembré partie par partie. Mais elle ne pouvait pas non plus le nié, faire souffrir avait quand même quelque chose de plaisant. Elle se souvent d’avoir torturé à mort une espionne qui c’était introduit dans le harem. Elle mentirait à dire qu’elle n’avait pas aimez ça.

-C’est possible oui, comme tout le monde je dirais. C’est plaisir sadique que partage tout être vivant.

Même si c’était plus développé chez certain que chez d’autre. Ayumi continua à l’empressé rendant le moment de plus en plus long et intense. Ce n’était pas trop désagréable, elle commençait même à apprécier. L’humaine lui demanda alors de participé aussi. Mettre ses main sur ses fesses, les palpé. Elle devait faire ça en douceur si elle y mettait trop de force elle pouvait lui faire inutilement mal.  Décrire ce qu’elle ressentait ?  Ce n’était pas si simple quand même l’ignorais. Une agréable chaleur, une sorte d’excitation aussi. C’était différent de ce qu’elle ressentait sur un champ de bataille, c’était une autre forme d’excitation. C’était plus proche de ce que la Déesse lui avait fait ressentir, mais en bien plus faible.

-Je ne sais pas…je me sens relaxé, comme pendant un massage.

Heureusement, Ayumi avait déjà couché, au harem, avec des démones, des femmes qui pouvaient la tuer en un clin d’œil. Elle avait donc une certaine expérience, ce qui faisait que sa peur était nuancée, ici, par cette expérience, ainsi que par le plaisir qu’elle ressentait. Xia était indéniablement une femme aussi belle que puissante, et sa pâle peau, érigée de tatouages, offrait un charme sensuel et bestial inédit. Tout en jouant avec les seins de la femme, Ayumi sentit les mains de Xia, puissantes et solides, se poser sur ses fesses, les malaxant lentement. La jeune esclave aux cheveux roses s’en mordilla les lèvres, tout en sentant la poigne de Xia se raffermir sur son corps.

D’une voix un peu troublée, Xia lui avoua que c’était… Agréable. Elle compara cette sensation à un « massage », ce qui fit sourire Ayumi. La belle esclave se redressa un peu, et embrassa Xia dans le creux du cou, mordillant doucement sa peau, tout en continuant à frotter son corps contre le sien, une main restant sur l’un de ses seins, pinçant et tirant sur son téton.

« J’aime les femmes comme toi, Xia… Belles, certes, mais… Puissantes. C’est un régal de te faire l’amour, et une grande fierté pour moi. Tu sais, généralement, je sodomise des jeunes filles timides, mais… Coucher avec des femmes fortes, comme toi, ça m’émoustille toujours. »

Ayumi avait en elle un fond de violence qui se manifestait quand elle pratiquait le sexe forcé, l’une de ses spécialités. Elle était aussi une grande sportive, et tout cela ne faisait que confirmer le postulat de base. Elle ne se voyait pas juste comme un simple trou à remplir, mais comme une femme pleine d’énergie. Sa beauté physique ne changeait rien à sa nature profonde, et le harem de Mélinda, en un sens, lui permettait d’exercer ça. Ses lèvres se déplacèrent pour retourner embrasser Xia. Oui, cette démone était vraiment très excellente, et Ayumi était lentement en train de mouiller sur ses cuisses, son sexe s’humidifiant juste à l’idée de coucher avec elle, et de voir que, lentement, mais sûrement, Xia était, elle aussi, en train de succomber aux charmes du sexe.

En conséquence, l’esclave l’embrassa doucement sur les lèvres… Et termina en mordillant sa lèvre inférieure, tirant un peu dessus.

« Le sexe, c’est l’exercice du plaisir et de la douleur, Xia… C’est à la fois un massage et une bataille. Crois-moi, quand tu auras compris ça, tu seras une amante terrible, qui fera hurler tes amantes à leur en casser la voix. »

Ayumi remua un peu sur son corps, et soupira contre les lèvres de la femme.

« Ouuii… Hmmm… Vas-y, Xia… Écarte mes fesses, et… Caresse-moi le dos aussi. Explore mon corps, il faut que… Que tu découvres la beauté d’un corps de femme. Tu peux me griffer aussi, mais… J’ai un corps fragile, bien moins résistant que le tien. Ne me fais… Hm… Pas saigner... S’il-te-plaît. »

Il ne fallait pas oublier la fierté des démons. Ayumi frotta son nez contre le sien, et l’embrassa à nouveau, avançant sa langue contre les lèvres de Xia, les léchant.

« Hhmmmm… »

Tout était fait pour inciter Xia à se laisser aller, et Ayumi savait que les baisers pouvaient avoir, en la matière, des effets magiques.

Xia se laissai faire cherchant à découvrir le sexe par l’intermédiaire de cette humaine. Ayumi était étendu sur elle et lui caressait doucement la poitrine, l’embrassait, la mordillait. La démone trouvait ça plutôt agréable, mais ce n’était pas aussi excitant pour elle que pour l’humaine. Xia sentait le sexe humide de la jeune fille contre sa jambe alors qu’elle-même pointait à peine. Elle l’écoutait, mais ce qu’elle lui disait lui paraissait pas si simple, la griffé sans la faire saigné, c’était plus facile à dire qu’à faire. Ses griffe était tranchante, à moins de les tailler exprès, c’était comme cherché à caressé avec des lame de rasoir.

Tout ça était trop mou et trop compliqué pour elle, il était temps de changer de façon de faire. Plutôt de faire ce qu’on lui dit, elle allait faire à sa manière, faire ce qui l’avait attiré à travers ce qu’elle avait vue et subit. Si l’humaine n’apprécie pas elle aura qu’a la corriger, se serra plus simple.

Xia relâcha les fesses de l’humaine et tendit les bras comme si elle s’étirait, mais ce n’était pas tout à fait ça. Dans chacune de ses mains se forma une sphère métallique, qui grossissait de plus en plus jusqu’à a atteindre une taille plus grosse qu’une tête humaine. Ses deux sphère se mirent alors à flotté pour venir derrière le lit dans le dos d’Ayumi et subitement elles changèrent de forme.  Elles se transformèrent en chaines et menottes s’accrochant au plafond et sol, puis venant attrapé les quatre membres de l’humaine. Ayumi fut alors tiré en arrière et se retrouva suspendu par les chaînes les quatre membres écarté.

-Finit de joué, c’est trop mou tout ça. On va changer les règles. Je vais faire ce que je connais et tu me diras plutôt si je m’y prends mal ou bien. On verra après sur ce que tu m’apprendre.

La démone se leva se mettant debout sur le lit les ailes grandement déployer dans un bruis de craquement d’os. Xia fit alors un bon impressionnant, l’appui faisant craqué le lit qui avait passé près de se retrouvé cassé. Elle avait bondit comme un chasseur sur sa proie et avait atterrie à genoux devant l’humaine enchainé. Du fait qu’Ayumi était suspendu au-dessus du sol, dans cette position, le visage de Xia était juste en face de son intimité. Son idée lui venais de la Déesse Mania, elle n’allait pas faire la même chose qu’elle exactement mais s’en inspiré. Après tout elle n’avait pas de tentacule et sa tête n’était pas détachable.

Elle posa ses lèvres sur l’intimité d’Ayumi et y fit rentrer sa langue. Se servant de sa magie, cette dernière s’agrandit jusqu’à attendre le font. Ensuite à la manière d’un serpent qui s’agiterait à l’intérieur, elle explora son sexe goutant à ses fluides sexuels. Quand elle avait subi la même chose, elle avait senti un plaisir si fort, mais ce n’était pas de ce monde, c’était un monde de folie où les règles de la nature étaient différentes de ce monde si. Es que l’humaine en ressentait autant ? Pendant qu’elle explorait son intimité, elle s’inspira de nouveau d’une autre expérience, celle de Limma avec Melinda. Elle allongea sa queue de démone, la faisant passer entre ses jambes, ainsi elle frottait contre son propre sexe en passant, puis la pointe de cette dernière arriva entre les fesses d'Ayumi. Maintenant devenue une partie érogène et non tranchante, sa queue ressentait des sensations fortes capables de la faire jouir. Elle força un peu et commença à la pénétré par derrière plus elle rentrait plus la queue grossissait. Xia attendais de voir la limite que pourrais supporter l’humaine avant de commencé des vas et viens. Ainsi le frottement contre son propre sexe lui donnait du plaisir, mais c’était surtout sa queue fourré dans l’humaine qui lui faisait du bien.

Ayumi était un peu gênée. Comment aborder une telle femme ? La puissance démoniaque de Xia était très intimidante, ce qui était assez paradoxal venant d’elle, car Ayumi était une fonceuse, qui n’hésitait pas à aborder brutalement les autres esclaves du harem. Seulement, elle n’avait jamais couché avec une femme qui tuait, et qui connaissait bien mieux l’éviscération que les caresses. Sentir les mains de Xia sur ses fesses était donc à la fois excitant et perturbant. Ayumi réfléchissait encore à la suite quand Xia retira ses mains, et fit apparaître des sphères.

*Que… ?!*

La jeune esclave en était encore à se demander ce qui se passait quand des cliquetis métalliques se firent entendre, et que des chaînes s’enroulèrent autour de ses chevilles et de ses poignets, l’arrachant du lit pour la soulever au-dessus de ce dernier.

« Haaaaaa… !! »

Surprise, Ayumi avait naturellement hurlé, avant de sentir les chaînes magiques tirer sur ses membres, les écartant. Elle gémit, mais Xia s’arrêta. Pendant un bref moment, la belle esclave aux cheveux roses avait craint de se faire écarteler, mais, au lieu de ça, ses membres restèrent juste bien écartés, la faisant soupirer. Ses mains se crispèrent, sa respiration devenait plus haletante. Le bondage, l’un des fantasmes du harem, un point fort que la jeune femme n’ignorait guère. Elle sentait le désir remonter lentement en elle, la faisant frissonner.

Xia lui expliqua alors qu’il était temps de réagir selon sa propre conception du plaisir.

« D’a… D’accord… »

Serrée ainsi, Ayumi était suspendue au-dessus du lit, et entendit ce dernier craquer quand la puissante Xia se releva. Ses ailes se déployèrent, et la délicate esclave, qui n’avait alors de brutale que l’idée, se mit à rougir, espérant, encore une fois, que sa conception du « plaisir » était bien la même que pour Xia. La démone se rapprocha donc, et Ayumi frémit en sentant ses mains sur ses cuisses, puis soupira quand sa langue s’enfonça en elle… Une langue longue et visqueuse, qui sembla s’étirer et se modifier dans son intimité.

Le plaisir fut rapidement au rendez-vous, et  Ayumi se mit à gémir et à couiner, tout en sentant la longue langue de son amante filer en elle. Ses jambes remuèrent un peu, et les chaînes cliquetèrent davantage. Elles maintenaient la jeune femme, en veillant à ne pas la faire souffrir inutilement. Elles serraient donc, mais pas de manière excessive, ce qui amenait Ayumi à se déplacer un peu, au gré des mouvements buccaux de son amante.

« Hhmmmm… Haaa, Xia… Hmmmm… »

Visiblement, la démone semblait avoir plus d’affinités avec le sexe que ce qu’elle leur avait dit. Et, comme pour confirmer ça, Ayumi sentit quelque chose taper contre ses fesses, et étouffa un soupir. La queue caudale de la démone s’était redressée, adoptant une forme phallique, et tapait contre le derrière d’Ayumi. Ses doigts se serrèrent sur les maillons de la chaîne en sentant ce morceau qui se rapprochait, puis elle sentit la queue, relativement petite, s’enfoncer en elle.

Un couinement se fit entendre, puis la queue s’étira ensuite, grossissant en remuant dans son cul, se tortillant à l’intérieur, faisant couiner Ayumi, qui en vint même à hurler de plaisir en sentant son cul se faire ainsi malmener.

« HAAAAAAAAAAAA… PUUUTAAIINNN… HAAAAAAAAAANNNNN… !! »

Ayumi gémit de plus belle. Comme toutes les esclaves de Mélinda, la sodomie était une chose qu’elle adorait, et son corps se mit à remuer plus furieusement d’avant en arrière, cliquetant dans tous les sens.

« Hmmmmmm… Ouuuuiiiii… Haaaaa… En-Encore, haaaa… !! »

Xia se tenais à genoux sa langue profondément enfoncé dans le sexe de l’humaine. Sa queue c’était allonger frottant contre son propre sexe et s’enfonçait entre les fesses d’Aymi. Elle explorait ainsi le corps de la jeune fille lui arrachant des cris de plaisir et la faisant même en réclament d’avantage. Ses réactions l’impressionnaient pas mal, c’était si bon que ça ? Elle prenait vraiment tant de plaisir à se faire pénétrer de la sorte ?

Bien sûr Xia ressentait elle-même du plaisir à travers sa queux et le frottement de cette dernière sur son intimité. Le plus simple pour connaitre ça serrais encore de l’expérimenté elle-même. Si Ayumi ne pouvait pas avoir de langue comme la sienne, ni de queue, elle savait qu’il y avait moyen d’obtenir un sexe masculin. Ça ne donnait surement pas le même résultat, mais elle se contentera de ça après. Mais avant, elle voulait continuer à tester son comportement face à ce qu’elle lui faisait subir.

Sa langue qui était longe et se tortillait à l’intérieur du sexe comme un serpent, changea de nouveau. Elle perdit de sa forme longue, pour grossir et prendre l’intégralité du volume intérieur du sexe d’Ayumi. C’’était un peu étrange comme situation, mais c’était plutôt amusant. Comme pour ça queue dans son cul, elle fit des mouvements de vas et viens avec. L’humaine était si excité, qu’elle sentait son jus lui coulé dans la bouche.

 Se servant de sa magie, elle décrocha les chaine de ses jambes qui tenait au sol pour les faire s’approché au plafond. Ainsi elle restait accroché mais en position couché. Elle l’avait placé aussi au-dessus du lit de façon qu’elle un appuys malgré tout. De cette position, elle pouvait continuer comme ça, mais aussi tendre les bras pour lui empoigné les sien et les malaxés. Elle espérait ne pas faire trop fort et de pas lui faire mal.

Elle ne s’arrêta que quand Ayumi ut son premier orgasme. Xia retira alors sa langue mais garda sa queue profondément enfoncé dans son derrière.

-Tu peu avoir une verge ? Ou il te faut un de ses fameux objet ?

Ayumi était en train de servir de cobaye sexuel à une femme qui aurait été capable de la tuer en un simple claquement de doigts. C’était délicieusement grisant. La jeune femme aux cheveux roses soupirait de plaisir sous les multiples contacts de la démone à la peau d’argent, qui enfonçait sa queue dans ses fesses, et gonflait sa langue, usant des capacités polymorphiques propres aux démons pour contenter au mieux la jeune esclave. Serrant les poings, Ayumi haletait et gémissait, mouillant sur place, offrant à la femme son délicieux nectar, ce jus que la femme avalait goulûment.

« Hmmm... Ooooh, Xia, haaaa... »

La jeune femme sentit soudain les chaînes sur ses jambes se relâcher, avant de se relever. Ayumi soupira à nouveau, en sentant son corps se redresser, filant vers l’arrière, rejoignant ainsi le plafond. Elle se retrouva ainsi en position suspendue, crispant ses poings, et soupira encore. Maintenue en l’air, elle pouvait voir Xia se livrer à des positions acrobatiques. Elle avait transformé sa langue en une espèce de grande et épaisse langue de serpent, et ses puissantes mains massèrent ses seins, se crispant dessus, les écrabouillant... Des seins bien tendus, aux tétons érigés, qui transpiraient et suintaient l’excitation de la femme. Ayumi soupira encore, yeux clos, savourant ce contact. Elle ne massait pas tendrement ses seins, Xia les massait avec la force d’une guerrière. Une poigne solide, fermement ancrée, qui n’était pas pour déplaire à Ayumi.

Xia dut le remarquer, en la voyant ainsi mouiller, et sa langue continua à jouer avec elle, tandis que les soupirs et les hurlements d’Ayumi venaient emplir l’air de la chambre. Son corps continuait à se tortiller sur place, les chaînes cliquetaient, et, au bout de plusieurs minutes de succion, elle finit par offrir à Xia son premier orgasme, balançant des chapelets de mouille sur son visage dans un ultime soupir.

« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaannn... !! »

Dans un profond gémissement, Ayumi se vida donc, et soupira ensuite lourdement, reprenant peu à peu son souffle. Son cœur battait fortement la chamade, et son regard se porta vers Xia, qui, tout en continuant à la sodomiser, lui demanda de faire sortir sa verge.

« Haaaa... O-Oui, Maî... Oui, Maîtresse, haaaaa... »

Ayumi avait la chance d’avoir subi une opération chirurgicale qui lui avait permis d’être hermaphrodite, et, tout en se concentrant, elle sentit son corps se crisper légèrement, puis, suivant la demande Xia, une verge jaillit, un phallus érigé. Le membre érectile se dressa devant Xia, recouvert de mouille, tandis qu’Ayumi continuait à soupirer lentement, couinant et gémissant, son cul délicieusement rempli, ce qui avait pour effet de maintenir une belle érection.

Elle était en ce moment totalement dévouée à Xia...

Xia regardait l’humaine qu’elle venait de faire jouir. L’expression sur son visage la fascinait, ça lui faisait pensé à l’expression de la folie qu’elle pouvait voir des fois chez certain disciple de Mania.  Elle semblait avoir vraiment aimé ça, elle-même avait ressentie du plaisir à travers sa queue encore entre ses fesses, mais rien pour affiché une tel expression. La démone voulait expérimenter ça, voir qu’es qui était capable de donné une tel expression. C’est pourquoi, elle avait demandé à l’humaine si elle pouvait faire apparaitre un sexe masculin. Revenir à la source la plus basique de la sexualité était surement le mieux.

Ayumi ne tarda pas lui obéir pour faire sortir la verge comme savais le faire tant de fille ici. C’était quelque chose aussi qu’elle avait du mal à comprendre, mais elle en n’était pas encore à s’interroger sur ça. Xia avait l’habitude avant de récupéré son corps de massacré les hommes en commençant par détruire cette partie du corps.  La peur et la haine de ses sexe de l’esclave l’avait affecté à ce point. Mais maintenant qu’elles étaient séparé avec chacune leur corps, Xia était moins affecté par Limma. Xia était penché sur ce sexe et le regardait, elle ne ressentait plus cette envie de le détruire.

 Par curiosité, elle ouvrit la bouche pour le prendre et faire comme l’avait fait Ximma plus tôt avec Melinda. Ainsi elle commença à sucé pour voir, mais elle s’en lassa vite. Même si Ayumi semblait apprécier ça de son côté elle ne trouvait pas ça extraordinaire. Ainsi elle finit par arrêté. Elle se leva du lit et retira sa queue lui faisant reprendre sa forme normale. Tendant une main, elle libéra Ayumi de ses chaines et les absorba dans sa main. Elle se coucha de nouveau sur le lit les jambes ouvertes.

-Viens me pénétré, baise moi. Fait moi voir ce que le sexe donne vraiment comme plaisir.

Avec une main elle écarta ses lèvres attendant de voir ce que ça donne une fois remplit par un sexe masculin.

Juste à côté l’œil flottait, jusque-là il était resté immobile observant simplement la scène de loin, mais là il c’était approché et ne lâchait plus du regard Ayumi. C’était dur de comprend ce qu’un œil simple sans paupière pouvais bien lui vouloir.

Prise par Xia, Ayumi était désormais sa poupée de chair. Subissant une sodomie intense, elle ne cessait de gémir, le plaisir croissant sensiblement dans son corps, surtout quand Xia commença à prendre sa queue en bouche. Son membre crut rapidement, tandis que la jeune femme continuait à longuement gémir et soupirer, poussant de longs soupirs de plaisir, yeux clos. Ayumi continuait à gémir, son corps remuant d’avant en arrière, les chaînes métalliques cliquetant le long de ses mouvements. Elle soupirait donc, encore, traversée par le plaisir et par la douleur, ce subtil mélange qu’elle aimait tant, et qui la faisait bander. Ayumi, en réalité, était aussi une dominatrice qu’une soumise, et, si elle avait l’habitude de dominer, il lui arrivait aussi de faire l’inverse, ce qu’elle faisait en ce moment, entre les mains de la puissante Xia. La démone, impatiente, remuait rapidement sur sa queue, l’avalant sans problème entre ses lèvres.

« Haaaaa... »

Elle sentait la rapidité et l’inexpérience de Xia, qui se ruait sur sa queue, avant de se lasser, en se retirant, et relâcha Ayumi. Cette dernière s’écrasa sur le rebord du lit, et rebondit sur le sol, tombant sur les fesses en gémissant, son cul bien élargi. Secouant la tête, la jeune esclave se releva alors, et vit Xia se coucher sur le lit, lui offrant son intimité. La regardant silencieusement, Ayumi déglutit. Sa queue était imbibée de la salive de la femme, et, même si la soirée ne suivait pas du tout ce que la jeune femme avait prévu dans sa tête, elle ne s’en formalisait pas pour autant, sachant qu’il fallait falloir s’adapter aux désirs de ses clients.

*Cependant, vu la rapidité avec laquelle elle m’a rejeté, j’ai peur que la fellation ne lui procure pas le plaisir que ça procure chez quasiment tous mes clients...*

Que ce soit les gens voulant se faire sucer, ou voulant la sucer, la fellation était l’un des fantasmes les plus utilisés au harem. Et Ayumi, sans exagération, avait une belle verge, qu’elle entraînait régulièrement, ainsi qu’une bonne tenue de route, une endurance sexuelle qui permettait aux personnes couchant avec elle, et voulant prendre son membre en bouche, d’en avoir pour leur argent. Mais là, Xia l’avait rapidement rejeté, ce qui, et il fallait bien l’avouer, restait tout de même un peu vexant. Les clients insatisfaits étaient vus, non seulement comme un échec commercial, mais aussi comme une frustration personnelle, la preuve que, quelque part dans son approche, la courtisane avait échoué. Or, le harem se voulait avoir une réputation d’excellence en matière sexuelle, et c’était une réputation à laquelle Mélinda et ses esclaves tenaient.

Ayumi se pinça donc les lèvres, et posa ses mains sur les jambes de Xia, remontant vers elle, et posa ensuite ses mains sur ses hanches, s’appuyant sur elle, sur ce corps solide, doux, et chaud. Son regard croisa le sien, et elle s’absorba dans cette vision, ne s’intéressant pas à l’énorme œil qui l’observait. La jeune esclave se mordilla les lèvres, toute excitée, remontant ses mains sur le corps de Xia.

« Tu es vraiment une femme puissante, Xia, si vibrante d’énergie... C’est la première fois que je couche avec une femme de ton calibre. J’espère vraiment être à la hauteur... »

Elle lui sourit doucement, puis posa sa main sur sa queue, et la guida vers les lèvres intimes de la femme, et, sans attendre plus longtemps, s’enfonça en elle, tout en poussant un léger soupir... Puis elle commença ensuite à gémir, et à remuer son corps, de haut en bas, faisant doucement craquer le lit, ses mains se posant sur les épaules de la femme. Ayumi ferma les yeux pendant quelques secondes, afin de se concentrer, crispant néanmoins ses dents sous l’effort, car il fallait forcer le passage, percer dans cette chair intime. Ses lèvres finirent ainsi par se décrisper dans un long soupir, et elle embrassa Xia, remontant sa main jusqu’à ses cheveux, posant ses doigts sur sa nuque, et continua à la prendre, à remuer contre son corps, encore et encore, ondulant sur elle...

« Hmmmm... Xiaaaa... Laisse-toi faire, ma chérie... Tu... Hummm... Tu es si bonne... !! »

Xia restait là à attendre qu’Ayumi se décide à la pénétré comme elle venait de lui demander. La démone cherchait à découvrir le plaisir de la jouissance. À force de vire dans se harem et de ressentir tout ce que ça apporté aux autres qui partager son corps, c’est tout naturel qu’elle est finit par vouloir y goutés elle-même. Mais depuis qu’elle avait décidé de s’y intéressé, elle avait commencé à se rendre compte de l’ampleur qu’avec le sexe dans le monde et surtout dans une grande ville comme Ashnard. Aussi elle avait commencé à ressentir une certaine honte qu’après tant d’année d’existence de n’avoir au final aucune expérience en la matière. Alors que tant de monde bien plus jeunes qu’elle avait un vécue sexuelle très riche. Se lancé avait était plutôt difficile

Finalement elle y était alors que l’humaine commençait à se glissé en elle. Ayumi c’était installer sur elle, venant de nouveau l’embrassé, alors que son sexe commençait d’abord doucement  à la pénétré. Même si c’était son premier rapport sexuel, elle n’avait pas d’hymen a percé. Sa race avait naturellement une membrane qui couvrait son sexe et qui se rétractait à la manière d’une paupière. Le plaisir commença à l’envahir quand l’humaine débuta ses mouvement en elle. De suite elle fit le rapprochement entre ce qu’elle ressentait maintenant et ce que lui avait fait ressentir la tête de la déesse durant son épreuve. C’était donc en bonne voie. Alors que Xia commençait à ressentir son plaisir, elle continuait à observer le visage d’Ayumi, quand ce dernier n’était pas trop près à l’observé. L’humaine prenais aussi sa part de plaisir dans cet échange.

Pendant que les deux femmes faisaient l’amour l’œil continuait son observation, faisant le tour du couple. Son intérêt était clairement porté sur ce qui se passait. Pour autant il restait à une distance suffisante pour pas les déranger. Xia ne lui portait pas vraiment attention, sa présence autour d’elle était contente, vue qu’il était le lien entre elle et les autres.

Xia commença par se laisser aller, le plaisir devenant de plus en plus intense, elle commença même à gémir sous les pénétrations de l’humaine. Un changement était visible chez la démone, un sourire commençait à s’afficher. Quelque chose de rare chez elle. Elle approchait du moment qu’il l’intéressait le plus et qu’elle allait peut être enfin pouvoir ressentir.

Ayumi s’était rarement sentie aussi excitée, ce qui entraînait, chez elle, de multiples frissons d’impatience, une excitation fébrile et palpable qui faisait qu’elle perdait un peu son contrôle. Ses coups de reins se multipliaient, et elle devait crisper ses doigts sur l’épaisse peau de Xia, pour en calmer les tremblements et les vibrations. Sa peur initiale s’était mue en une féroce excitation alors qu’elle sentait enfin les réactions qu’elle avait tant désiré avoir chez Xia : le plaisir, ce plaisir féroce et sauvage, onctueux et primaire, qui se débloquait lors d’un rapport sexuel réussi. Le membre chaud d’Ayumi pulsait et s’enfonçait dans l’intimité tendre de Xia. La démone avait un corps très solide, une poigne d’acier, ce qui faisait que sentir ses mains sur son corps ne manquait pas d’exciter furieusement la belle esclave au corps musclé, particulièrement heureuse.

« Hmmm... Xia, Xia... »

Les soupirs se diffusaient dans la pièce, et Ayumi grognait, devant bander ses muscles. L’intimité de Xia s’était ouverte de manière assez particulière, et était très serrée. Pas d’hymen à percer, mais Ayumi avait bien conscience que c’était la première fois de Xia. Elle avait juste un corps spécial, mais au moins était-elle ravie de voir que son sexe ne comprenait pas de griffes ou de parois rugueuses sur lesquelles son phallus se serait écharpé. L’inquiétude pouvait paraître exagérée, mais, quand on vivait à Terra, on apprenait à écouter quantité d’histoires et de rumeurs sur des femmes monstrueuses ayant, à la place du vagin, une redoutable gueule acérée qui pouvait vous trancher le zob’ si vous vous y preniez mal. Ayumi n’avait certes encore jamais rencontré de femmes comme ça, mais elle en savait maintenant assez sur Terra pour ne pas être surprise si une telle femme existait.

Xia, en ce moment, avait toutefois l’air particulièrement ravi. Comme quoi, les préliminaires l’avaient visiblement autant lassé que le coït l’enthousiasmait. De curieuses expressions faciales se dessinaient sur son visage austère, des sourires de plaisir, des yeux qui s’illuminaient sous des vagues inattendues de plaisir. C’était ça, typiquement ça, qu’Ayumi avait voulu voir depuis le début. Ceci ne fit que la galvaniser davantage, et elle accentua encore ses coups de reins, soulevant bien haut ses hanches, avant de s’abattre furieusement. Bien décidée à offrir à Xia un grand plaisir, Ayumi n’hésita pas à poser une main sur l’un de ses seins, le pinçant et le tirant à hauteur du téton, tout en allant embrasser et mordiller son cou.

« Vas-y, hmmm... Vas-y, Xia, laisse... Laisse le plaisir s’exprimer, haaa... Ne... Ne cherche pas à le retenir... Hurle, gémis, insulte-moi, mais laisse-le venir à toi, hmmm... C’est si bon de te faire l’amour, haaa, tu es... Tu es si forte, hmmm... »

Elle ne disait même pas ça que pour la flatter. Xia avait un corps qui était à la fois très beau et très solide, très ferme, ce qu’elle sentait très bien en la pénétrant de cette façon. Elle voulait encore la guider, la pousser jusqu’à l’orgasme, car il semblait maintenant évident, à ses yeux, que Xia ne pourrait qu’atteindre le plaisir suprême, l’orgasme. Elle sentait sa mouille contre son sexe, coulant de plus en plus rapidement, et voulait juste l’aider à l’atteindre, en lui faisant comprendre que, plus elle exprimerait son plaisir, et plus elle atteindrait facilement son orgasme.

Car satisfaire leurs clients était la plus grande joie des esclaves de Mélinda.