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Héroïne malgré elle [Belphy Mueller]

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Catalina Taylor

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    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.

Héroïne malgré elle [Belphy Mueller]

lundi 10 novembre 2014, 00:22:15

Elle n'avait rien fait de particulier, ce jour. Elle avait prit un long bain, avec beaucoup de mousse. Son esprit avait dérivé sur ses aventures, ces derniers jours. Après avoir fait la rencontre de ce si séduisant flic, Nathan Joyce, et cet autre, non moins sexy, Gabriel Valmy, elle se disait que sa vie prenait un tournant inattendu. Depuis son arrivée au Japon, elle n'avait pas eu de relations avec des hommes. Avant Nathan, et Gabriel. Elle se sentait libérée de son passé à présent. Pas qu'elle regrettait ce qu'elle avait fait. Elle avait pu se mettre à l'abri du besoin, par ce biais. Mais elle n'avait pas vraiment eu de relations sexuelles pour elle, avant ça.

Après avoir repensé avec plaisir à ses deux amants, elle avait quitté son bain. Elle avait vaqué à diverses occupations, nue, allant de regarder la télé à ranger son dressing. Et puis, le soir était venu, et avec, l'envie de sortir prendre un verre. Elle avait vraiment envie de se sociabiliser, comme s'il n'avait fallu qu'un déclic. Avant, elle sortait juste pour se montrer, pour faire la citoyenne intéressée. Mais ce soir, elle voulait vraiment nouer des liens avec des gens.

Elle revêtit une jupe courte, noire, masquant son tanga mais arrivant à peine en-dessous de la dentelle de ses bas, et un bustier noir également, avec des lacets blancs dans le dos. Une veste de cuir est venue parfaire le tout.

Elle chaussa ses bottes noires, montantes, à talon aiguille, et quitta son appartement, son sac à la main. Elle ne prit pas sa voiture ce soir-là. Elle préféra le métro, et se rendit dans le centre-ville.

Elle passa la soirée au bar. Elle discuta longuement, liant connaissance avec un petit groupe de femme de son âge, mais plus futile. Elles n'avaient pas le même passé. Catalina avait mûri rapidement, alors qu'elles, elles étaient encore naïves.

Finalement, après avoir prit les numéros et donné le sien, promettant de se revoir, la brune est partie, se disant qu'elle allait rentrer. Elle décida de revenir à pieds. Elle n'était pas vraiment ivre, mais elle ne voulait pas prendre le métro avec des ivrognes. Elle prit un raccourcis, qui l'obligea à passer par le quartier de la Toussaint.

Des bruits de lutte attirèrent son attention. Chassant ses pensées, elle tourna dans une ruelle, juste à temps pour voir une jeune demoiselle se débattre. Trois agresseurs l'entouraient, et apparemment, ils ne faisaient pas que discuter. Plus que du racket, c'était un viol.

Son sang ne fit qu'un tour. Sans réfléchir, la Veuve s'avança, cherchant son taser dans son sac. Elle le trouva, et s'approcha rapidement des voyous. Ils ricanèrent en la voyant. Deux d'entres eux étaient occupés à maintenir la pauvre victime. Le troisième, lui, avait le pantalon baissé, et semblait faire son affaire.

Voyant rouge, Catalina s'approcha encore.

« Lâchez-la ! »

Un des deux qui maintenaient leur proie la lâcha, mais pas pour lui obéir. Au contraire. Menaçant, il s'avança vers elle, et essaya de la prendre à bras-le-corps, tentant de l'immobiliser. Vive comme l'éclair, la brune fit cogner son poing contre son entrejambe, appuyant sur le taser au même instant. Le choc électrique fit son effet, et l'homme tomba au sol, secoué de convulsion.

Elle eut le temps de déclencher une seconde fois son arme, pour être sûr qu'il soit assommé, avant qu'un second homme n'arrive, et cherche à la frapper. Elle n'était pas sans défense. Sa profession passée n'étant pas des plus sûre, elle avait appris à se défendre. Il en fit les frais. Elle ne s'embarrassait pas de douceur et de stratagèmes, visant les parties les plus vulnérables. Elle l'attrapa donc pas ses bijoux de famille, et serra, le temps de se redresser, avant d'agir comme une vraie guerrière. Un coup de tête dans les dents de l'homme, et son genou remonta pour lui écraser les testicules.

« J'ai dit : Lâchez-là ! »

Aucune peur. Juste une froide résolution. Comme lorsqu'elle était sur le point d'assassiner ses nombreux époux. Ayant lâché son taser inutilisable, elle avait fourré la main dans son sac, cherchant son téléphone pour composer un numéro d'urgence. Mais le troisième homme sortit une arme à feu de son holster d'épaule, et la visa, s'apprêtant à tirer.
« Modifié: lundi 10 novembre 2014, 19:13:13 par Catalina Taylor »
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Belphy Mueller

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Re : Héroïne malgré elle [Belphy Mueller]

Réponse 1 mercredi 12 novembre 2014, 21:44:33

La jeune femme était encore à l'une de ces insupportables réception de scientifique ce soir, et il fallait avouer que plus la lune avançait dans le ciel, plus la chasseuse de prime avait tendance à se tasser dans son siège avec l'infini désir que le tout se finisse afin qu'elle rentre enfin chez elle. Pour tout avouer, elle n'aimait clairement pas ces réceptions, mais ne pouvait les refuser car il s'agissait des seuls moments où elle faisait un petit quelque chose avec sa mère adoptive, la véritable madame Mueller, aussi se trouvait-elle toujours embarquée dans ces soirées contre son gré, et avait pendant un moment maudit le destin qui lui avait offert une scientifique particulièrement prisée comme maman, avant d'apprendre à s'y faire. C'est donc le plus naturellement du monde qu'elle s'esquiva tranquillement pour la septième fois de la soirée, se dirigeant tranquillement vers la partie scientifique du bâtiment, ayant pour elle bien plus d'intérêt que tout ces manchotes un peu gauches qui lui tournent autour juste à cause de son ascendance, sans parler des divers chercheuses qui la voit encore comme un futur et merveilleux objectif d'études et ne peuvent s'empêcher de lui faire des propositions plus ou moins maladroites, si ce n'était pas à sa mère. Bon sang, qu'est-ce qu'elle n'aimait pas les scientifiques dans le fond, toujours à chercher la petite bête, toujours à vouloir savoir sans comprendre.

Elle descend les étages un par un en regardant les diverses plaques annotées des spécialités de recherche, et avant même de s'en rendre compte elle est arrivée dans la zone concernant le travail des bio-particules, au dernier niveau de l'incroyable immeuble. C'est partit pour y faire un tour, elle sort le passe de sa mère et le fait passer dans la fente de reconnaissance avant de voir les portes automatiques s'ouvrir lentement, révélant le long couloir des expérimentations sacrés et secrètes de la société Vadcorp. Le lien qu'entretenait sa mère avec cette société n'était pas connu de Belphégor, mais du moins avait-elle vite apprise que son passe magnétique était tout à fait convenable pour pouvoir passer dans quasiment toute les salles de l'immeuble ce qui permettait quand même à la jeune fille de souffler un peu quand elle n'en pouvait vraiment plus de l'ambiance insupportable de ces soirées, en allant tranquillement visiter les locaux et observer quelles folies pouvaient bien tenter de créer ces cerveaux pleins ! Avançant tranquillement au milieu des diverses affaires aux utilités occultes à la pauvre chasseuse de prime, elle se dirige vers les dernières pièces généralement toujours plus intéressantes que les premières, et hésite avant d'ouvrir la deuxième à gauche, rentrant en chantonnant pour accompagner sa relative solitude.

Un système étrange trônait au niveau de la pièce, le tout diriger vers une pièce vide et sécurisée par un système de double porte de sécurité, assez de petits détails qui suffirent à Belphy pour se diriger avec curiosité vers un bureau pour commencer à y fouiller, cherchant et fouinant dans l'espoir de quelques documents oubliés. Finalement elle ne trouva rien de mieux qu'une vieille sucette un peu collante et deux trois papiers divers, oscillant entre celui du bonbon et le sachet contenant quelque chose qui ne servait surement pas à conserver des narines propres et les pensées claires. Bon sang la déchéance était partout dans cette belle citée, même dans les lieux les plus prestigieux, doté des plus grandes et coûteuses soirées que l'état n'a jamais put imaginer, ça en devenait presque désolant à observer. Enfin, si elle n'avait rien ici, elle allait profiter de son petit temps pour aller voir cette fameuse pièce vide, rentrant donc par la première porte avant de voir le communiqué sur les préventions. Rien de toxique, rien ne risquant de la blesser, nickel, elle n'allait même pas prendre le temps de voir le reste, ce devait surement être une de ces étranges plantes découvertes sur Terra... Et pourtant quand elle passa la porte elle se sentit soudainement arrachée du sol, puis emportée vers le loin, sans qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit, secouée dans tout les sens.

Elle s'écroule au sol et sans même avoir eut le temps de faire quoi que ce soit, elle sent un violent relent lui remonter du fond de la gorge, la faisant vomir au sol en quantité, mélange de l'alcool de la fête, des petits canapés et de la saloperie qu'une connasse lui avait versée dans son verre sans savoir que la jeune fille était bien insensible aux diverses drogues qui parcourent le marché. Finalement c'est un peu faible et pantelante qu'elle se relève, regardant d'un air hagard le lieu où elle se trouvait. Les immeubles étaient haut sans être du même acabit que ceux du centre Tehkos, et de plus ils étaient de sa position bien loin, étant donnée qu'elle restait à l'heure actuelle dans une ruelle dégoûtante, où suintait la misère et régnaient les mauvaises odeurs diverses et variées. Quel était ce lieu immonde ? Les bas-fonds des petites ville sous la direction de Tehkos ? Elle n'eut pas vraiment le droit de rester sur cette position vus que quelques hommes dans le pire des états venaient de passer devant elle de la manière la plus improbables, bras dessus bras dessous à chanter des chanson grivoise. Mais bon dieu qu'est-ce qu'elle faisait là à ce point ? Comment était elle tombé dans un lieu pareille ? Elles ont fumées les chercheuses de Tekhos pour se baser sur une position géographique aussi naze comme lieu de téléportation ?

Elle commença donc à se déplacer, lentement, sans un mots, essayant de se faire la plus discrète possible dans ce lieu qu'elle ne connaissait pas, avançant de rues en rues en remarquant une autre chose bien désagréable. Ses sens normalement plus qu'aiguisés n'était désormais pas plus développé que ceux d'un humain, comme si le lieu lui-même refusait qu'elle y soit, et elle s'en rendit bien compte quand finalement quelque part, entre une de ces larges poubelles du passé et une nouvelle rue cradingue, elle sent quelqu'un l'attraper par derrière en l'enserrant entre ses bras puissant, la soulevant d'un coup de terre.

-  Ha ha ! Regardez un peu ce que j'ai choppé les mecs !
-  Chouette, la pute du soir !
-  Lachez moi ! Dégagez, bande de porcs !

Elle essaye vivement de se débattre, mais ce qu'elle vient de comprendre se révèle encore une fois comme vrai, quand un coup de pied qui aurait normalement suffit à se faire s'écrouler n'importe quel péquenaud hyper-buildé vient frapper un agresseur au visage en ne le faisant qu'à peine reculer. Malgré ses gesticulations frénétiques elle se retrouve donc plaquée à la poubelle à sa droite avec une force qui la fit lâchée un cri de douleur sous l'impact, et c'est quand elle essaye de se relevée qu'elle sent les deux saligauds lui attraper chacun un bras en la soutenant par l'épaule, lui faisant presque embrasser le fer rouillé et sali de cette abomination d'un autre âge tandis que l'autre commence à tirer sur ses vêtements et les lui arracher. Là, elle panique, essaye de se redresser sauvagement, de se défendre mais elle est incapable de faire quoi que ce soit, même à un contre un, alors à un contre trois elle n'a même pas de quoi bougé d'un iota tandis qu'elle sent les dernières protections de son corps partir en lambeaux, ses fesses et son sexe, ainsi qu'une bonne partie de ses jambes et de son dos, finissent en vu de ces violeurs qui ne semblent pas en être à leur première tentative. Putain, elle entendait le porc en train de dézipper sa braguette alors qu'elle ne pouvait même pas se défendre, quelle humiliation ... merde, merde.

Ah il la mettait ! Serrant les dents, la pauvre ne fit que résister face à cette douleur qui l'envahissant, n'étant clairement pas préparée à cette entrée en force de la part du maraud, et c'est avec une grande difficulté qu'elle s'empêcha de crier à cause de la souffrance. Il ne faisait pas dans la dentelle, se défoulait avec son corps d'apparence aussi frêle et fragile que ce qu'elle était vraiment devenue dans ce pays, et elle sentit ses mains immondes courir sur ses peaux pour prendre en mains ses deux seins, la faisant se mordre les lèvres pour ne pas jurer de colère et subir un retour de volée qui ne saurait que lui causer plus de souffrance. Alors elle subissait en silence, malgré son sexe qui devenait naturellement humide pour faciliter un peu le passage du braquemart en elle et diminuer la souffrance, même si certains en ricanait beaucoup et en profitait pour la provoquer, chose à laquelle elle essayait de faire le moins attention possible malgré les larmes qui roulaient sur sa joue. Bon sang quels salauds, pourquoi et comment se retrouvait-elle dans une situation comme celle-ci, à sentir les hanches d'un porc frapper contre ses fesses, sans pouvoir réagir, sans pouvoir se venger, en ne pouvant juste que souffrir et résister contre les réactions naturelles de son corps, ne voulant pas non plus que celui-ci se retourne contre elle pour la faire passer pour une catin.

« Lâchez-la ! »

Elle ne savait pas qui avait put dire ça, sa tête étant incliner dans l'autre sens, mais du moins cette arrivée lui permit de récupérer l'usage d'un bras qu'elle voulu déplacer, mais dont la douleur mêlé au plaisir naissant l'empêcha de mouvoir, la faisant à nouveau jurer entre ses dents contre sa pâle et flagrante détresse. L'homme qui la prend en plus ne s'arrête pas, la faisant commencer à gémir doucement malgré ses mâchoires crispées par le désir de Belphy de ne pas laisser filtrer le moindre son qui saurait faire plaisir à cette saloperie ! Finalement son deuxièmes bras se libère aussi, mais bien trop tard vu qu'elle n'as déjà plus la force de résister, son corps l'ayant lâchement abandonné aux mains de ces pourceaux, apparemment lui bien content de se faire culbuter en pleine rues par trois salopards considérant les femmes comme de simples objets de plaisir. Elle avait honte, mais quand elle entendit le bruit d'un homme chutant au sol, elle regagnait presque espoir, et encore plus quand elle entendit sa sauveuse prétendre appeler des renforts. Quand elle sentit la pression de l'homme se relâcher, elle cru les chose régler et releva du mieux qu'elle put son buste pour se retourner, avant que la lourde paluche de l'homme la ramène contre le capot de la poubelle mais avec désormais une autre vision de la scène, la sauveuse bloquée avec un flingue tenu bien droit vers son front.

-  Putain de connasse, toutes les mêmes, incapable de savoir où se trouve leur place. Higasi, choppes moi cette pute tandis que Kyono prendra le flingue. J'ai encore besoin de m'amuser avec la jeunotte, son con est vraiment trop bon pour que je n'en profites pas un peu plus !

Le fameux Higasi se relève douloureusement et attrape Catalina avant de la gifler sans retenue, l'envoyant lourdement au sol, tandis que Kyono vient en effet prendre l'arme à feu pour la diriger bien en face de Catalina. Si ils n'ont pas l'air d'avoir eut le temps de prendre des cours pour manier une arme à feu, du moins en ont-ils la tenue. Lentement le Higasi attrape Catalina par le cou, sans la moindre pointe de délicatesse et le colle contre le mur le plus proche avant de prendre les affaires de la femme pour les lui enlever sans la moindre délicatesses, essayant bien de les arracher comme l'autre qui s'occupait de Belphy, mais n'ayant pas la même force que le grizzly qui s'occupant de la chasseuse de prime. De son coté, la pauvre Belphy venait de craquer à cause de la désillusion et du désespoir qui venait de naître en elle, sa maîtrise de plus tôt disparaissant pour la faire gémir à chaque coupe de butoir tandis que de grosses larmes coulent sur ses joues, ayant tellement mal au coeur de savoir qu'en plus d'être faible elle venait d'emporter avec elle une autre personne qui avait pourtant foncée pour l'aider sans chercher à réfléchir au danger encouru. Elle gémissait donc, et l'ours ne faisant que s'en réjouir, accélérant la cadence, celle-ci devenant juste insupportable pour la jeune fille qui n'avait pas souvent eut l'occasion de sentir un sexe masculin en elle, et jamais aussi violemment.

-  Pardon ... Juste ... pardon... je n'en peux plus...

Catalina Taylor

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Re : Héroïne malgré elle [Belphy Mueller]

Réponse 2 mardi 25 novembre 2014, 17:19:55

L'arme était dirigée sur sa tête. Immobile, impassible, Catalina fixait son agresseur avec hargne. Ses doigts composaient le numéro d'urgence, et appuyaient sur l'appel. A cet instant, son précédent agresseur se relevait, et suivait les ordres de son chef qui tenait toujours l'arme pointée sur la tête de la brune.

Elle cilla sous la gifle, ses poings se contractant avec l'envie de répondre à l'agression d'une façon bien sentie. Mais elle avait lâché son sac en cours de route. Son téléphone était toujours en appel, et à l'instant suivant, une voix étouffée s'éleva dans la ruelle. Une voix qui passa inaperçue pour les gangsters qui grognaient, ou pour la pauvre victime qui se faisait violer un peu plus loin. Mais une voix qui retentit juste à côté de l'oreille de la veuve. Elle agrippa son sac au moment où l'autre la relevait pour la plaquer contre un mur. Elle retint son sac avec force, lâchant alors des indications pour les secours.

« Agression, au quartier de la Toussaint. Venez vite, je vous en pr- Aaah ! »

Un coup plus violent faillit décrocher la mâchoire de l'américaine. Elle lâcha son sac, que le fameux Higasi lança contre le mur opposé. Il essayait de déchirer les affaires de Catalina, la maintenant plaquée contre lui. Mais il fallu le concours de Kyono, celui qui tenait l'arme à feu, pour l'immobiliser.

La brune grogna de douleur alors que le canon de l'arme s'enfonçait douloureusement dans ses côtes. Elle ne savait pas si les secours arriveraient bientôt. Le quartier de la Toussaint n'était pas réputé pour être un lieu où la police passait souvent. Sauf si c'était des vendus.

Un genou écarta sans ménagement ses cuisses fermes. Le bruit de déchirure de ses bas lui fendit le coeur. De même que sa jupe qui se trouvait remontée sans douceur jusqu'à sa taille, et à son tanga qui craqua sous la pression, arraché par une main brusque.

« Pas maintenant. On file. Cette salope a alerté les secours. Gin ! Sors ta queue de ta pute, on file sur les docks ! »

Et les gangsters, sans tendresse aucune, traînèrent les demoiselles immobilisées jusqu'au port. Ils entrèrent dans une petite maison à l'abandon, à première vue. Mais en y pénétrant, et en voyant l'équipement de la maison, Catalina comprit que c'était une mise en scène. L'intérieur était isolé. Autant pour la température que pour les sons. Des chaînes gisaient un peu partout, accrochée à des crochets sur les murs.

Catalina et la jeune femme qu'elle voulait sauver n'étaient pas les premières à atterrir ici. En y repensant, la brune se rappela même que les journaux en faisaient leur choux gras. Des disparitions de femmes, jeunes et jolies, faisaient rage. Elles n'avaient jamais été retrouvées, et la police soupçonnait un trafic de femme pour les bordels d'afrique du nord ou d'amérique latine.

Les gangsters les attachaient chacune à une chaîne, à l'opposé l'une de l'autre. Les mains liées, attachées au mur, elle n'étaient pas libres de leurs mouvements. Malgré la chaîne lâche, qui servait sans doute à immobiliser les victimes sans pour autant entraver la liberté de mouvement des ravisseurs pour qu'ils puissent violer à leur aise.

D'ailleurs, tandis que le Grizzly, nommé Gin, reprenait sa petite poupée pour l'enfiler à nouveau, malgré les protestations de Catalina.

« Laissez-nous ! Lâchez-là ! Gronda la veuve. »

Mais les gangsters ne firent que ricaner, et Higasi revint s'occuper de l'américaine. Il la plaqua à nouveau contre le mur, et écarta ses cuisses avec brusquerie, pour venir se planter en elle sans ménagement.. Il violait son anus sans douceur, provoquant un long cri de douleur de la part de la veuve. Elle finit néanmoins par serrer les dents, ignorant la douleur qui se propageait dans son corps et la sensation d'inconfort qui la renforçait.
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Belphy Mueller

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Re : Héroïne malgré elle [Belphy Mueller]

Réponse 3 mercredi 26 novembre 2014, 11:27:38

Si elle avait bien entendue la tentative de coup de fil, la pauvre chasseuse de primes aux pouvoirs réduits à néant ne pouvait pas pour autant voir en cela une quelconque once d'espoir, car elle n'était clairement pas la seule à savoir désormais que la police allait venir, et elle sentit que les hommes qui s'occupaient d'elles n'allaient pas vraiment attendre sagement ici que les policier quadrille ce fameux "quartier de la Toussaint" pour les trouver ! En tout cas, aux bruits qu'elle entendie depuis sa poubelle, toujours les jambes écartés et à couiner de chacun des passages de l'homme, les deux autres compères étaient en train de maîtriser la furie et de lui arracher tout les vêtements qu'elle portait, ceux ci empêchant surement ces deux immondices d'être humain de voir enfin le corps ravissant de cette sauveuse désormais devenue proie face à ces trois connards. Et tout ça était entièrement sa faute, elle était la seule idiote à s'être faite prendre aussi facilement par ce putain de violeur, elle était la seule qui avait été trop faible pour se faire avoir par ces hommes sans avoir la moindre capacité à résister, et enfin elle était bien la seule entre elle et cette belle femme à avoir été parfaitement inutile dans les quelques dernières minutes, car à part avoir réussi à observer Catalina se défendre pendant qu'elle continuait de se faire bourrer, elle n'avait strictement pas bouger le petit doigt. Elle avait honte, si honte...

« Pas maintenant. On file. Cette salope a alerté les secours. Gin ! Sors ta queue de ta pute, on file sur les docks !
 -  Quel dommage, ça m'éclatait. Allez les gars, choppez moi cette connasse, et on se taille. »

Elle le sentit enfin sortir son sexe, réprimant un gémissements de bonheur quand elle fut ainsi libérée de ce sexe trop gros pour elle, et incapable de bouger, haletante, elle se sentit prise par les cheveux avant d'être envoyée au sol lourdement, la faisant couiner de douleur. Ce faisant dés lors attrapée par Gin, elle se sent soulevée comme si elle n'avait pas plus de masse qu'une plume, et atterit sur l'épaule de ce colosse dans un position qui lui scie les côtes. Elle aurait d'ailleurs bien voulue profiter de cette position pour protester, se défendre, ou essayer de se libérer de l'emprise de ces trois salopards, mais il fallait qu'elle se rende à l'évidence, son corps déjà affaiblie par sa présence sur ces terres avait été en plus longuement malmené désormais, et elle n'avait pas la force nécessaire pour faire quoi que ce soit contre ses agresseures et ceux de sa volontaire "sauveuse". Ainsi elle ne fit rien de plus que se laisser entraînée vers un coin encore pire qu'avant, un lieu qui empêcherait surement toute police de les trouver elle et la belle autochtone, au moins le temps que les trois compères face leurs oeuvres, et ce jusqu'à ce qu'il soit complètement désintéressé des deux femmes. Elle vit d'ailleurs la maison vers laquelle il se dirigeait, délabrée, en mauvais état, ils devaient surement l'avoir choisie par défaut pour les défoncer dans le jardin le temps que les flics passent, mais elle tiqua quand elle les vit sortir des clés et rentrer à l'intérieur de la petite bâtisse. Putain ça puait...

Quand elles entrèrent, en compagnie permanente de leurs violeurs, elle purent voir un peu ce qui était surement un belle équivalent d'une de ces caves immondes où les esclavagistes attachent leurs dernières captures pour qu'elle se tienne sagement dans un coin avant de finir à la vente. Est-ce qu'elle n'était pas tomber sur des violeurs tout simple, mais sur un trio d'esclavagiste qui comptait après la mettre dans un de ces bordels, ou au service d'une quelconque insupportable personne de la haute société pour qu'elle serve à jamais sous ses ordres ? Mon dieu non elle ne saurait le supporter, et dans un effort intense elle voulut réussir à mettre un pain en plein visage de grizzly, afin de le faire la lâchée et de tenter de s'en sortir, mais l'homme avait, quand à lui, profité des quelques moments de réalisation qu'il fallut à Belphégor pour s'avancer dans la pièce et la jeter sans la moindre douceur au sol, la faisant gémir de douleur. Qu'elle essaye de se relever ou pas, tout comme la pauvre femme qu'elle voit, derrière la lourde forme de Gin, se faire attacher les bras au mur, son propre agresseur lui attrape les poignets et les enchaîne, la privant de ses capacité à se mouvoir, ainsi qu'à résister. Son violeur rigolait, il était déjà prêt à la prendre à nouveau, et Belphy térrorisée ne put que se sentir encore plus mal quand elle entendit sa camarade d'infortune crier de douleur, amenant la pauvre fille à regarder en direction du cri afin de voir celle qui avait tant voulue l'aidée les jambes écartées et en l'air, l'homme appelé Higasi en train de faire claquer ses hanches contre le cul de la demoiselle, sans retenue.

Et d'ailleurs le fait qu'elle ne le regarde pas devait avoir amusé Gin, car il ne s'empêcha pas de s'abaisser un peu pour regarder la jeune fille et lui sourire de toutes ses dents avant de lui dire deux trois petites choses :

« Sympa n'est-ce pas ? La pauvre essayes de t'aider et maintenant elle se fait prendre le cul comme la première des salopes. Personellement je trouves ça sacrément divertissant, et maintenant je vais lui montrer que sa tentative de sauvetage aura été parfaitement inutile !
 -  N-non, pitié arrêtez... J'ai mal, je n'ai plus de forces, j'en peux plus ... »

La pauvre était loin de pouvoir agir comme elle le faisait d'habitude. Plus de suffisance, plus de supériorité dans le ton, plus d'assurance comme elle en avait tout les jours ... Elle était juste une faible et pâle réplique d'elle même qui ne put rien faire quand elle sentit les mains de grizzly déplacer à nouveau ses cuisses pour les ouvrir en grands avant de se placer tranquillement entre celle-ci avec un sourire immonde sur le visage. Quand il rentre à nouveau en elle, elle ressentit à nouveau ce dégoût de ne rien pouvoir faire, mais elle ne fit rien de plus que de se mordre la lèvre en détournant le visage de ce salopard qui prenant tout son plaisir à se remettre à faire claquer leurs deux bassins, ne pouvant tenir cette vision de cet homme et de sa satisfaction de la prendre contre son gré. Pour ce qui était de Catalina, Higasi n'y vas pas avec le dos de la cuillère, et c'est avec joie qu'il enfonce son sexe le plus profondément qu'il peut, finissant toujours par faire claquer ses hanche sur les belles fesses rondes de la sauveuse encore inconnue. Enfin pas pour longtemps, le dernier membre, Kyono, qui n'a pas vraiment grand chose à faire pour ce qui est du viol des deux femmes, s'était mis en tête de fouiller dans le sac de la ridicule femme qui avait voulut les arrêter, et après l'avoir ramassé avant de partir de la ruelle, puis amener ici, il avait commencer à faire le détail de ce qui se trouvait dans ce morceau de tissus, avant d'enfin trouver le portefeuille de la femme et de la lire avec un peu de difficulté avant d'éclater de rire dans la pièce :

« Mec, est-ce que tu sais au moins qui tu es en train de défoncer ?
 -  Question conne, bien sur que je n'en ai aucune idée, mais elle a un cul d'enfer.
 -  Alors laisses moi te faire ce plaisir, dit-il en lui tendant la carte d'identité. Voici Catalina Taylor, la troisième plus grande richesse de Seïkusu. Kiffe ta partie de jambe en l'air mon pote, t'en toucheras pas deux fois des comme ça ! »

L'homme regarde de manière un peu surprise la carte d'identité, puis Catalina et ricane avant de la prendre un peu mieux par les hanches et de reprendre d'autant plus fort et vite, cette découverte ayant tout simplement nourri sa libido jusqu'à ce que celle-ci devienne incontrôlable. Il la regardait, cette richissime veuve en train de se faire défoncer par un pauvre homme de la plèbe, sa magnifique poitrine tressautant au rythme des coups de son sexe au fon de son petit trou, et son visage exprimant la souffrance qui en résultait. C'était juste géniale, se dire qu'il avait l'occasion de s'occuper d'une personnalité qui s'était fait connaitre dans cette belle ville de Seïkusu, et en plus de la voir ainsi en train de se faire dégommer juste parce que dans un souci d'égo elle avait cru être en capacité de vaincre à elle toute seule trois hommes du bas peuple qui se faisaient plaisir avec le corps de cette étrange jeune fille et ses goûts vestimentaires particulier. Eh bien voilà dans quelle situation tu t'es foutue petite pute de la haute société, maintenant elle n'avait plus qu'à sentir la bite de l'homme lui passée au fond de son anus avec force et vélocité, et l'homme qui voulait originellement jouir en elle hésitait pas mal à lui jouir à la figure désormais, pour voir un peu le visage de cette catin richissime couvert de son foutre. Il n'y était pas encore, mais vu qu'ils en avaient maintenant pour la nuit, en sécurité dans la maison, alors il n'allait pas se priver de faire connaître à cette miss vivant dans la soie ce qu'est vraiment sa place.

Catalina Taylor

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    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.

Re : Héroïne malgré elle [Belphy Mueller]

Réponse 4 mardi 27 janvier 2015, 15:34:29

La douleur et l'inconfort étaient plus fort à chaque coups de reins. Catalina serrait les dents, la souffrance tendant quand même ses traits qui avaient blanchis. Ses doigts agrippèrent les chaînes qui entravaient ses poignets. Elle se raidissait à chaque fois qu'elle sentait le mandrin forer en elle avec brusquerie. Elle entendait l'autre victime gémir de douleur également, et ne pouvait rien faire pour elle dans cette situation. Mais son esprit travaillait à plein régime. La douleur la faisait transpirer. Elle sentait le bracelet métallique autour de ses poignets devenir de plus en plus moite. Elle s'obstina à rester silencieuse, alors qu'il la ramonait toujours avec autant de vigueur, jusqu'à ce que le dernier du trio intervienne en ricanant.

L'esprit embrumé par la douleur, le corps tendu au maximum, Catalina ne fit pas vraiment attention à ce qu'ils disaient, jusqu'à ce que son nom soit mentionné. Elle tourna alors un regard surpris vers celui qui tenait ses papiers d'identités, et grimaça. L'autre reprenait déjà ses hanches avec une meilleure prise, comme si connaître son identité l'excitait de plus en plus. Génial, pensa-t-elle sombrement. Elle retint des gémissements douloureux tandis qu'il accentuait ses coups de reins.

Peu à peu, alors qu'elle sentait ses muscles s'engourdirent, ses poignets glissaient de plus en plus dans les menottes. Elle n'en montra rien, se mordant la lèvre pour ne pas hurler quand son agresseur se retira complètement d'elle pour y revenir avec plus de force encore. Néanmoins, un gémissement lui échappa, alors qu'elle se cambrait involontairement.

« Aaaah, t'aime ça, hein ? Ouais, une salope comme toi, tu dois forcément aimer hahaha.... Mmmh ! »

Catalina grogna de douleur quand il reprit un rythme bestial. Elle devait tenir encore un peu... Oui, jusqu'à ce que ses poignets glissent des menottes.

« Même pas dans tes rêves... Connard ! »

Elle faiblissait. Ses jambes tremblaient sous elle. Ses muscles hurlaient. Elle se retenait mollement aux chaînes.

« J'imagine que t'as du en bouffer d'autres, des queues, pour te faire tout ce fric, pétasse... Han ! »

Ses dents se serrèrent tandis que l'homme la forçait avec vigueur. Elle mit du temps à pouvoir répondre, mais quand elle le fit, ce fut d'un ton dédaigneux et méprisant :

« Des plus grosses que la tienne, tu peux m'croire, connard ! »

C'était volontairement insultant. Elle connaissait l'égo des mâles, et savait comment l'apaiser autant que le froisser. Comme dans ce cas. Il se retira violemment d'elle, et la poussa contre le mur, le dos contre la pierre. Elle ne pouvait pas résister, les chaînes la bloquant dans ses mouvements. Forcée de s'agenouiller, elle ne put lutter contre la main qui maintint son menton, l'obligeant à ouvrir les lèvres pour accueillir un membre dégoûtant.

Elle ne pouvait pas tourner la tête pour s'échapper. Ses mains pendaient, inutiles, contre les bracelets métalliques, attendant l'instant fatidique pour que ses poignets finissent par glisser. Elle s'étouffait contre cette intrusion forcée. Mais elle voyait, du coin de l’œil, sa compagne d'infortune. Elle devait tout faire pour l'aider.

« Tu fais moins la maline maintenant, hein ? Salope ! »

Et il redoubla d'ardeur, tandis qu'elle essayait de tousser sans s'étouffer. Mais son plan voyait finalement le jour. Elle sentit ses poignets glisser, peu à peu. Profitant de ce que son agresseur était focalisé sur son action, que celui de la pauvre Belphy était occupé à la martyriser également, et que le troisième continuait de fouiller, chapardant les liasses de billets qu'il trouvait, la veuve laissa ses poignets glisser hors des menottes, sans faire tinter les chaînes.

Les voyous ne s'en rendirent pas compte, la brune reprit alors les chaînes dans ses mains, faisant illusion jusqu'à ce que l'instant d'agir soit le bon. Courage, pensait-elle. Autant pour elle que pour sa voisine en face. Courage...
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Belphy Mueller

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Re : Héroïne malgré elle [Belphy Mueller]

Réponse 5 mardi 10 février 2015, 16:57:48

Elle n'arrivait pas à se faire à la brutalité croissante de cet homme, plus il passait en elle et plus elle avait l'impression de se faire écarteler par ce barreau de chair en elle, d'être martyrisée, réduite à rien de plus qu'un pauvre jouet pour adulte que l'on secouerait autant qu'on le désire pour son simple plaisir. Ses jambes ballottaient dans le vide au rythme des hanches de son tortionnaire, et elle avait beau retenir ses gémissements de nouveau, il ne lui fallut pas longtemps pour déposer les armes, son corps déjà bien trop malmené plus tôt, dans la rue, pour qu'elle puisse vraiment offrir une quelconque résistance valable à son violeur toujours plus amusé à l'entendre couiner sous lui. Alors elle se mit à gémir de douleur et de plaisir mêlée, à nouveau, se maudissant d'être tombée ici, au beau milieu de cette ville étrange où les hommes pouvaient se permettre tant d'exactions sans même se soucier des retombées juridiques, comme si attraper deux femmes dans la rues et se les taper était tout à fait naturel... Sa chère Tehkos lui manquait.

Puis soudainement le comportement de son tortionnaire changea drastiquement, l'homme la foutant désormais bien au sol pour la dominer de toute sa hauteur, le visage marqué d'une vilainie que la Tekhane ne connaissait que du genre masculin, voyant dans les yeux de ce derniers à qu'elle point son plaisir de violenter une jeune femme à peine majeure comme elle était intense. Elle sentit le sexe en elle s'enfoncer profondément, gonflant un peu au point de lui faire pousser un cri malgré ses lèvres torturées par ses morsures, et c'est elle sentit finalement un liquide poisseux et chaud l'envahir qu'elle comprit quel horreur cette saloperie venait de lui faire. Il avait joui en elle, venait de se libérer du poids de ses couilles d'un coup pour déverser son immonde semence profondément dans son vagin, et c'est avec des yeux exorbités qu'elle le regarda, en pleurs, sentant cette saloperie couler entre ses jambes relevées. Quel bâtard, quel pute, elle cherchait bien une insulte convenable mais rien ne lui venait en tête ... un homme venait de se vider en elle, et le choc que cela lui créait l'empêchait même presque de respirer, paniquée qu'elle était...

« Putain ça fais du bien.
 -  Sa... "snif" Salaud... Putain de... "snif" connard !
 -  Si la pute le prends comme ça... Kyono, à ton tour, fais lui sa fête. »

Non pitié pas un autre, elle n'allait pas pouvoir tenir un second traitement du genre ! Elle était déjà pantelante, en larmes, ne tenait plus son corps qui la laissait complètement à l'abandon depuis qu'elle était arrivée dans cet étrange univers, Alors si il y avait plus que ce qu'elle avait déjà supportée jusqu'ici, elle ne doutait pas une seconde de finir dans un tel état qu'elle ne serait même plus capable de faire quoi que ce soit, si ce n'était que gémir quand les hommes se défouleraient à nouveau sur leur marionnette brisée. Encore une fois, malgré le désespoir qui l'avait envahit, elle tourna la tête pour voir sa malchanceuse sauveuse plus loin, mais elle n'était pas en meilleure posture qu'elle, l'homme l'ayant attrapée au niveau de la tête pour se servir de sa bouche comme d'un vide-couille personnel. Incapable de retrouver le moindre réconfort, elle laissa tomber sa tête et pleura à chaudes larmes, voyant dans sa vision brouillée l'approche du compère du grizzly, celui ci tirant une moue dubitative :

« Elle est pas un peu jeune quand même ?
 -  Raison de plus mon gars, c'est serré à cet âge, alors faut en profiter. Surtout que bon, un trou c'est fait pour être rempli, rajoute que les femmes sont faites pour cela aussi, et tu vas plus douter pour enfoncer ta putain de bite dans le vagin de cette pouffiasse. Moi je vais passer un coup de téléphone d'ici là ! »

Et tandis qu'ils échangeait leurs positions, l'un sortit durant que l'autre attrapa la jeune fille pour la plaquer à moitié au mur, à moitié contre le sol, avant de rentrer sans préparation aucune dans l'anus de la jeune femme, qui répondit avec un cri de douleur non-feint. Du coté de Catalina les choses n'allaient pas bien mieux, si ce n'était que la femme savait qu'elle avait la capacité de fuir, contrairement à Belphy qui elle pensait en avoir fini avec sa vie d'autrefois pour finir comme simple prostituée au milieu de cette saloperie de ville. L'homme toutefois ne limitait pas ses mouvements, et généralement cherchait bien à faire étouffer cette pauvre femme plutôt que de profiter de ses brèves tentatives d'inspirations comme tout bon tortionnaire l'aurait déjà fait. En faite il l'avait mauvaise, clairement, la richissime dame savait en effet comment s'y faire pour blesser l'orgueil d'un homme, et elle avait touchée dans le mille pour son violeur, celui ci ne se privant plus d'ingéniosité pour tenter que Catalina suffoque.

« Tu faisais la pitre quand tu ne l'avait que dans le fion, mais je crois qu'il a tellement été écartelé par les grosses courges de la ville que t'es plus capable d'y sentir quoi que ce soit ! Au moins même avec ta grande gueule tu dois comprendre ton erreur maintenant, non ? »

Il riait et finalement continuer de s'éclater avec la bouche de la belle femme pour finalement s'écarter et lui jouir tout son saoul au visage, contemplant le résultat avec une pointe de satisfaction. Après tout les putes n'avaient pas mieux à faire que de laisser les hommes les couvrir de sperme, n'est-ce pas ? Ravi, il alla jusqu'à la table peu loin de lui et observa les liasses de billets laissées par Kyono, avant de ricaner un peu en regardant Catalina, puis de se diriger vers elle avec cet infâme sourire qui voulait tout dire. Il avait trouver comment il allait se défouler sur elle, ayant toujours en partie les nerfs, et tirant un billet de la liasse qu'il avait ramener depuis la table, il essuya le sperme qui se trouvait sur une de ses joues avant d'observer son "jouet" du soir, déjà prêt à la franche rigolade qui allait suivre :

« Tu sais quoi ? On va jouer ! J'vais tirer un billet après l'autre et je te giflerais autant de fois que le billet me l'indique. Ça va c'est que des billets de dix t'as de la chance. J'arrêterais quand tu m'imploreras de prendre ta petite chatte de pute ! »

Avant même qu'elle ne lui réponde, il lui enfourne le billet tâché dans la bouche et lui colle une première claque, puis une seconde, puis une troisième, attendant juste qu'elle se redresse par orgueil pour lui en recoller une des plus magistrales, afin qu'elle baisse à nouveau la tête immédiatement. Il trouvait cela définitivement bon pour ses nerfs et c'est donc sans le moindre déplaisir qu'il enchaîna ainsi les deux première claques avant de l'observer en riant et de s'accroupir pour être à sa hauteur, observant la joue cramoisie de la femme à cause de ses baffes faites sans la moindre compassion. Pleurait-elle, geignait-elle ? Dans le fond il s'en moquait, elle avait qu'à apprendre où se trouvait sa place, à savoir celle d'offrir son corps au premier venu qui lui demandait, parce que dans le fond elle n'était qu'une connasse de femme bien inférieure à lui. Voulant même pousser la provocation plus loin, il approcha sa tête de celle de Catalina, à distance de souffle, faisant mine de tendre l'oreille en lui demandant de manière bien provocante :

« Alors elle dit quoi la salope ? Elle veut enfin arrêter de faire sa mijaurée pour assumer sa place de faible pétasse en m'offrant son petit con ? »

Catalina Taylor

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Re : Héroïne malgré elle [Belphy Mueller]

Réponse 6 lundi 11 mai 2015, 20:32:11

Toussant et manquant de vomir à chaque fois qu’il tapait contre sa gorge, Catalina serrait les chaînes de toutes ses forces. Ses jointures blanchissaient autour du métal, alors qu’elle supportait vaillamment les allées et venues brutales de l’homme entre ses lèvres. Il lui martyrisait la gorge dès qu’elle cherchait à respirer. Les larmes aux yeux, sans toutefois avoir envie de pleurer, la veuve se concentrait sur une ouverture possible pour s’en sortir. Elle fut soulagée un court instant quand il se retira d’entre ses lèvres, ayant l’impression d’avoir la gorge en feu, mais ce n’était que pour mieux l’asperger de son sperme dégoûtant.

Si d’ordinaire, la jeune femme aimait le sexe, et qu’elle adorait par-dessus tout offrir de sublimes fellations à ses partenaires, si ça l’excitait ensuite de les sentir se vider en elle ou sur elle, c’était tout à fait différent cette fois. La jouissance gluante sur son visage lui donna envie de rendre son déjeuner. Crachant le peu qui avait atterri entre ses lèvres, elle réprima le réflexe de lever les mains pour venir s’essuyer le visage alors que l’homme s’écartait. Elle évita aussi de secouer la tête, pour ne pas que ses cheveux collent sur ses traits, tandis que ses yeux se posaient avec regret sur sa compagne d’infortune. La pauvre n’en pouvait plus, ça se voyait clairement. Elle se laissait malmener sans plus réagir, comme une malléable poupée de chiffon. Le Grizzli n’était plus là, étant sorti téléphoner. Un peu d’espoir redonna quelques forces à la veuve. Mais le temps n’était pas encore venu. C’était encore trop risqué. Son tourmenteur s’approchait d’ailleurs de nouveau, un sourire mauvais aux lèvres et une liasse de billets à la main. Elle pressentait le pire.

« Tu sais quoi ? On va jouer ! J'vais tirer un billet après l'autre et je te giflerais autant de fois que le billet me l'indique. Ça va c'est que des billets de dix t'as de la chance. J'arrêterais quand tu m'imploreras de prendre ta petite chatte de pute ! »

Ses mots hérissaient le poil de la brune, mais elle se contenta de serrer de plus belle les chaînes entre ses mains. Le billet qu’il tenait avait servi à essuyer la semence d’une de ses joues. Elle voulut s’échapper quand il s’approcha, mais il lui fourra le papier entre les lèvres et lui décocha presque immédiatement après une gifle puissante. Tant et si bien qu’elle aurait basculé sur le côté si le revers n’avait pas été aussi fort que l’aller, et qu’une troisième n’était pas venu compléter le duo. Recrachant difficilement le billet, alors qu’elle était tombée sur le côté, Catalina crut qu’elle allait faire pénétrer l’acier des chaînes dans la paume de ses mains tant elle les serrait fort.

A peine s’était-elle redressée qu’une autre gifle la cueillit, renforçant la douceur cuisante des trois précédentes. Et une autre encore. Catalina avait mal, mais elle serrait les dents aussi fort qu’elle serrait les mains. Bordel, jura-t-elle pour elle-même. Elle avait mal partout, mais son corps restait raidi par la rage et par la haine.

« Alors elle dit quoi la salope ? Elle veut enfin arrêter de faire sa mijaurée pour assumer sa place de faible pétasse en m'offrant son petit con ? »

Il était proche. Si proche. Un sourire tordit ses lèvres, dévoilant ses dents que du sang tâchait un peu. Elle avait dû se mordre la joue.

« Elle te dit d’aller te faire foutre, petite bite ! »

Elle lui cracha dessus, mêlant salive, sperme et sang, et relâcha soudainement les chaînes qu’elle tenait jusqu’alors. Son corps raidi était prêt, et elle bondit contre lui alors qu’il allait répondre abruptement, le renversant sur le sol. Ses dents s’accrochèrent à la première chose qui lui passa près du nez, à savoir l’oreille du violeur. Elle mordit et tira si férocement qu’elle arracha de la chair, et la recracha par terre en se relevant d’un bond. Leste et vive, son pied partit rencontrer avec fort peu de douceur les bijoux de famille encore apparents de son tourmenteur, le forçant à se plier sur lui-même tandis qu’il essayait de se relever. Rapide comme un chat, la veuve saisit les clés des menottes sur le bureau, et lia le malfaiteur au mur avec.

Pendant ce temps, Kyono avait relâché sa proie en entendant le cri de douleur de son compagnon. Le temps qu’il reprenne ses esprits, engourdis par le plaisir, Catalina était déjà sur lui. Bondissant comme une furie, elle abattit la chaise sur son dos, et frappa à répétition jusqu’à ce qu’il s’effondre sur le sol. Etant en métal, la chaise était résistante. Elle flanqua un coup à l’autre salopard qu’elle venait de lier au mur, pour qu’il se taise, et remit un dernier coup à Kyono pour être sûre de l’avoir assommé. Reprenant les clés des menottes, elle s’empressa de libérer la pauvre jeune fille qui était en face d’elle. L’adrénaline courait dans son corps, et l’empêchait pour le moment de réaliser que tout son corps et était douloureux et de se sentir épuisée. Elle tira Kyono vers les menottes, et l’entrava lui aussi, comme son compagnon.

La chaise métallique était tordue tant elle avait mis d’ardeur à frapper les deux hommes. Approchant la jeune femme, Catalina l’observa un instant. La pauvre était secouée, et à bout de force. Une de ses mains se posa sur la joue de la rousse tandis qu’elle lui offrait un regard confiant.

« On va se sortir de là, d’accord ? »

Elle n’avait pas l’habitude de jouer les héroïnes. Mais s’il y avait bien une chose qu’elle avait appris au cours de ces années, c’est comment se sortir de la merde. Comment tuer aussi, mais ça… Elle garda la chaise dans la main alors qu’elle indiquait à sa compagne la direction de la porte.

« J’ai besoin de toi, souffla-t-elle, la tutoyant sans y faire attention. Est-ce que tu pourrais ouvrir la porte d’un coup sec, à mon signal ? J’assommerais l’autre ainsi, et on pourra se tirer d’ici. D’accord ? »

Avant, elle récupérerais quand même son sac et ses papiers d’identités, puis elles iraient voir la police. La brune connaissait quelques personnes aux commissariats. Dont deux flics. Elle trouverait un moyen de faire enfermer ces trois sales types, elle se le jurait.

« Prête ? »
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