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[ABANDONNÉ] Le procès du vampiroïde [Darthestar]

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Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 240 lundi 13 février 2017, 00:30:36

La première fois qu’on lui avait parlé d’une fellation, Alice avait trouvé ça... Absolument dégoûtant. En quoi fourrer un sexe dans une bouche pouvait avoir le moindre côté excitant ? C’était sale, répugnant, et elle en avait été choquée. Et puis... Le contraste était amusant, maintenant. En effet, maintenant, Alice avait une vision totalement différente, et, pour s’en rendre compte, il suffisait de voir la manière dont sa bouche se crispait sur ce membre, l’avalant tendrement et goulûment. Elle filait d’avant en arrière, dans ce mouvement simple et binaire : haut, bas, haut, bas. Respirant par le nez, elle continuait à dévorer ce membre de ses lèvres et de sa langue, filant dessus. Elle l’avait bien en bouche, et ne se retirait pas, enfonçant parfois ce dernier aussi loin que possible, la faisant gémir, et l’amenant à crisper ses mains sur le bassin de son amant, où elle s’appuyait.

C’était une magnifique fellation, tout simplement. Elle témoignait de l’expertise d’Alice, de sa maîtrise, de son expérience. L’époque de l’innocente Alice, cette petite Princesse ignare, était bien loin. Là, il n’y avait qu’une belle femme, magnifique blonde, qui pompait le dard de l’homme, le faisant peu à peu sombrer. Elle avait appris à aimer ça, le contact de ce membre, le goût si particulier de cette peau chaude et tendre, dure et molle, ce contact exquis et inexplicable. Alice s’y frottait tendrement, longuement, avec passion et envie.

Elle le sentait croître en elle, prendre de la place, grandir, évoluer, durcir. Sa langue filait régulièrement sur cette queue, glissant dessus, et elle le titillait de ses dents, ne cherchant pas à le mordre, mais à éprouver la dureté de cette queue, dont le contact la faisait frissonner de partout. Oui, c’était si bon, si délicieux ! Elle continuait à onduler sur ce membre, et sentait le vampiroïde s’effondrer progressivement sous des vagues de désir.

*Oui, j’aime ça, indéniablement...*

Cette grosse queue, ce membre tendu, cette jouissive vulgarité... Source de plaisirs exquis, le sexe était aussi une approche égalitariste des choses. Qu’on soit riche ou pauvre, face au sexe, on faisait tous la même chose, et on éprouvait des sensations similaires. Quand Alice faisait l’amour, elle avait le sentiment de faire enfin tomber le masque, de n’être plus considérée comme une princesse, mais bien comme une femme. Et cette liberté, précieuse, était une chose qu’elle chérissait autant que le plaisir que le sexe procurait en lui-même.

Alice prenait donc son temps, et les minutes défilaient, tandis qu’elle continuait à jouer avec ce membre. Elle était sûre qu’elle aurait pu pousser l’homme jusqu’au plaisir suprême, mais l’idée de base, après tout, était juste de réveiller son excitation.

C’est ce qui l’amena finalement à se relever, et à avoir, sur les lèvres, un sourire espiègle. Un ultime baiser sur ce membre, puis Alice se redressa pour de bon, et retourna s’asseoir à califourchon sur le corps de son amant, ses mains venant caresser son torse. Son visage se rapprocha ainsi de celui de l’homme, sourire mutin sur les lèvres, et elle l’embrassa sur la pointe de son nez.

« Et maintenant ? Où est-ce que tu veux me prendre, Balthazar ? »

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Darthestar

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    Darthestar est un être d'un bon mètre 95, et il s'agit surement de l'exemple typique de l'homme torturé par sa nature.
    
    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 241 jeudi 09 mars 2017, 02:07:50

Lui et Alice, l'un contre l'autre, profitant pleinement d'un moment qu'il n'aurait jamais imaginé, même dans ses plus grand rêves et ses plus incroyables désirs ? Non, il n'aurait put le concevoir, et pourtant cela faisait tant de temps que pour eux deux ce dernier était distordu, transformé, maléable à leur propres conceptions, et  leur besoin de s'abandonner à la prise de l'autre, d'accepter le désir que l'un pouvait exprimer sans le moindre doute, tandis que l'autre s'abandonnait à celui-ci en plein accord, simplement pour découvrir encore un peu plus du corps et de l'esprit de l'amant. Il fallait être honnête du point de vue du vampire, il y avait dans cette soirée, dans cet instant, autant de surprise que d'infini bonheur, et l'homme n'avait que peu la croyance ferme de ce qui était en train de se produire, pouvant presque etre de l'un de ces idiots qui se posent la question sotte de savoir si il est actuellement en train de rêver pareille rencontre, ou si ses sensations sont bien le fruit d'une réalité tellement douce qu'elle en deviendrait incroyable. Dans le fond, qu'Alice n'avait pas les mêmes doute lui permettait de ne pas se laisser tromper par son esprit manquant clairement de crédulité, ou de lucidité, l'un comme l'autre fonctionnant selon l'étape de réflexion qu'il atteignait, car elle l'obligeait à accepter des choses que son inconscient n'aurait tout simplement put faire l'usage, comme le fait qu'elle se plaigne qu'il l'ai vu telle une princesse au début de leurs ébats, ou qu'elle le presse de lui faire honneur par ses caresses et ses mouvements. Peut-être n'était-ce pas l'idylle qu'il avait conçu, mais pour autant sa pensée n'en prenait guère outrage...

Car il adorait cette vision qu'il avait de la jeune femme. Peut-être de manière un peu honteuse, se faisant la remarque que de telles observations désacralisaient largement l'image qu'il s'était faite de la jeune femme, mais aussi de manière agréable, y trouvant une nouvelle vision de celle qu'il aimait qui n'avait non seulement rien à voir avec ce qu'il avait put découvrir d'elle jusqu'ici, mais qui surtout lui permettant de ressentir un certain privilège, une confiance qui lui était alloué par sa compagne, un choix aveugle où elle l'avait choisit comme tributaire de son esprit et de son corps pour une nuit. Peut-être plus, qui sait ? Du moins si il ne finissait pas incacérer plus tard...

En tout cas il ne pouvait que profiter de ce qu'elle lui offrait, chacun des gestes de la belle étant autant d'occasion de frémir, de soupirer d'aise et de confort, chacun des mouvements qu'elle entreprenait le long de sa queue, ses lèvres s'y pressant avec l'honnête désir de lui faire ressentir tout le plaisir qu'elle lui souhaitait, étant autant de promesses d'une extase d'autant plus addictive qu'elle serait longue et appréciable. Il ne voulait pas dans le fond qu'elle s'arrête, il ne voulait pas vraiment qu'elle quitte ses douces attentions envers son corps, mais elle était malheureusement bien loin de ses bras, sa chaleur avait quitter son torse, et le goût de ses lèvres commençait à fadr sur les siennes, s'emportant un peu plus à chaque fois qu'il expirait chaudement sous l'effet de la langue de la belle dynaste le long de son morceau de chair dressé. Quand il sentit toutefois ce manque devenir trop important, et le besoin impérieux de recommencer à lui faire honneur, de ne plus lui laisser la pleine disposition de leur plaisir, de diriger à nouveau d'une main la poursuite de leurs ébats tandis qu'elle le ferait elle aussi d'une des siennes, il exprima sa retenue par une simple question, et remarqua bien vite la demoiselle ralentir avant de ne laisser ses lèvres quitter son membre après un délicat baiser en son bout. Et quand elle se redressa, quand elle vint à nouveau s'asseoir sur lui, et venir poser délicatement ses lèvres sur le bout de son nez, s'écrasant de nouveau sur son torse, il ne put s'empêcher de ressentir le plaisir intense d'avoir à nouveau la belle demoiselle contre lui,sa chaleur lui offrant  une délicate couverture dont le doux toucher était divin, et son faible poids lui rappellant autant sa relative fragilité, et son envie intense de la garder en ses bras pour s'assurer de son bien-être.

Même pour lui, faire ce genre de constat sur ses pensées était gênant. Par bonheur, le fait qu'elle l'ai proprement désinhibé de ses doutes et de ses craintes envers elle un peu plus tôt eut au moins le don de ne pas le bloquer plus que cela sur son manque de logique, l'écoutant avec joie quand elle s'exprima, avec un léger air taquin :

« Et maintenant ? Où est-ce que tu veux me prendre, Balthazar ?
 -  Eh bien je crois avoir déjà passablement fait honneur à l'intimité de ma belle Alice... »

Répondre à la taquinerie par la taquinerie ? Peut-être, sa phrase laisser en suspens laissant presque entendre qu'il en avait finit avec leurs ébats, et pour le coup, l'homme imaginait presque sa belle camarade commencer à lui offrir une moue boudeuse face à son propos, comme si il l'abandonnait après tant de bons efforts de sa part pour qu'ils puissent reprendre sans trop d'hésitation leur extatique échange. Mais il n'en était rien, bien sur qu'il avait dans l'idée bien plus de sensations, de longues caresses, de divins instants à lui faire ressentir, et alors qu'il s'était exprimer, ses mains avaient déjà choisie de se déplacer, pour finalement venir chercher le fessier de la jeune femme, et d'y placer les mains peu après avoir finit sa phrase, comme une promesse que non, il n'allait pas cesser ici leurs ébats, il avait encore nombre de choses à lui faire ressentir, et comptait bien l'amener au plus loin de son bonheur personnelle avant de la quérir entre ses bras pour se laisser aller au sommeil. En tout cas, ses doigts sur le postérieur de la descendante de Sylvandell s'activèrent, vinrent à "goûter" la chair rebondie de ses fesses avec une envie toute particulière, puis lentement vinrent les écarter pour offrir à son membre des plus excités son futur point de plaisir. Mais il n'avait pas prévu de la pénétrer de lui-même, il avait envie de la voir faire, et donc sans encore reprendre ses propos, ce fut plutôt l'un de ses doigts qui s'approcha de son petite trou pour passer lentement autour, avant de s'y enfoncer un petit peu, toujours avec la même délicatesse, pour qu'enfin il reprenne sa parole laisser en suspens avec le sourire d'un homme qui a une idée un brin provocante en tête.

« Et si je proposais à la jolie jeune femme devant moi de s'empaler d'elle-même son jolie derrière sur mon membre, hmm ? Je crois que j'adorerais la voir accomplir cela ! »

Bon, il n'avait pas dit qu'il comptait appuyer sur ses hanches pour accélérer le tout une fois qu'il sera à moitié en elle... Mais il espérait bien un peu la surprendre, pour l'occasion.


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 242 lundi 13 mars 2017, 00:34:13

C’était une Alice inattendue, inédite, qui se révélait progressivement aux yeux et à l’appétit de Darthestar. Ensemble, ils faisaient joyeusement l’amour, et la soirée était encore loin d’être terminée. Les cheveux défaits, le corps en sueur, c’était une Princesse au look assez sauvage qui se dressait désormais devant le vampiroïde. Assoiffé, ce dernier réalisait toute la chance qu’il avait de coucher avec Alice, car il ne comptait pas la laisser partir si facilement. Blottie contre lui, elle sentit ainsi ses mains se poser sur ses fesses, la faisant frémir. Des soupirs de plaisir s’échappèrent de ses lèvres, tandis qu’Alice se tint ensuite à califourchon, dominant son amant de sa hauteur, assise sur lui. Là, elle posa ses mains sur ses épaules, le sentant fébrile, assoiffé, impatient. Il avait envie d’elle, et ça, Alice pouvait clairement le sentir. Elle en souriait d’excitation, avant de se tortiller de gauche à droite en sentant son membre se glisser contre ses fesses, appuyant sur sa chair.

Il en profita pour indiquer ce qu’il voulait, et elle sourit.

« Oh… Alors, tu me laisses encore la main ? J’en suis flattée… »

Toutefois, elle avait bien retenu qu’il parlait de son « derrière ». Autrement dit, l’homme voulait passer par la porte arrière. Elle s’en pinça les lèvres, les yeux pétillants de malice. Allait-elle le satisfaire, ou non ? Vu ce que l’homme demandait, elle se sentait en réalité en droit de refuser. Néanmoins, Alice n’avait, en fait, aucune envie de le repousser, et se contentait juste de le faire languir, tout en continuant à appuyer avec son bassin sur son membre. Elle sentait cette queue onduler contre elle, se dressant lentement, et elle s’amusait à appuyer dessus, s’asseyant sur le phallus, avant de se redresser, et de la sentir suivre, puis s’abaissait encore.

C’était une forme de masturbation anale assez particulière, qui dura encore un peu, avant que la Princesse ne se redresse pour de bon, et ne se tourne, montrant à l’homme son dos.

« …Et je vais te satisfaire ! »

Mieux valait tourner le dos, car il serait ainsi plus facile de lui obéir. Elle descendit sa main, et caressa du bout des doigts la hampe de chair de l’homme, avant de la saisir plus fermement, et de s’abaisser lentement. Elle caressa avec ses lèvres intimes ce sexe, comme pour s’empaler dessus, puis se déplaça ensuite. Le membre continua à frotter sa chair, jusqu’à s’appuyer contre ses fesses, filant contre sa croupe.

La position était assez dure à tenir, car Alice ne voyait pas grand-chose, mais elle avait déjà fait ce genre de choses. Comme on pouvait le deviner, elle avait été plutôt bien formée, en matière sexuelle, par Mélinda et par Tinuviel. Mélinda lui avait appris à faire des choses comme ça, et elle pouvait, en réalité, tout à fait comprendre l’excitation de l’homme. Elle-même était très excitée, son cœur tambourinant dans sa poitrine. Elle approcha ainsi sa verge de ses fesses, jusqu’à sentir son mandrin taper contre l’anneau de chair qui constituait son anus.

« Haaaa… Tu es s-sûre que ça va rentrer, Balathazar ? Hmmm… »

Alice commença à forcer le passage, en gémissant et en soupirant, la sueur coulant le long de ses doigts moites. Elle émit des grognements, fermant les yeux, couinant en sentant des vagues de douleur… Mais, peu à peu, ce membre se glissait en elle, et elle poussa de nouveaux cris, en retirant sa main, et en continuant à glisser, usant de ses hanches pour filer d’avant en arrière, coulissant peu à peu sur cette queue.

« Ahhhh… Hmmmmmmmmm… !! »

L’effort commençait à se faire sentir, tout son corps était en feu !

DC d’Alice Korvander.

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    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 243 dimanche 19 mars 2017, 22:53:43

« Oh… Alors, tu me laisses encore la main ? J’en suis flattée… »

Ce n'était pas entièrement vrai, après tout elle lui avait laissé la main pour le choix, il lui renvoyait ainsi l'ascenseur, et comme il s'était permit de le dire précédemment, voir cet amour se planter sur lui d'elle-même, avec toute l'envie du monde, était aussi pour lui une grande forme de plaisir, la sensation et le ressenti qu'elle était elle même intéressée par ce qu'il lui proposait, alors pourquoi s'en empêcher ? Plus, de savoir que cela lui faisait plaisir était un autre élément qui ne pouvait qu'égayer son coeur, lui faire sentir encore une fois qu'il pourrait peut-être prendre tout contrôle de la princesse si il le désirait, mais jamais de manière aussi appréciable que si elle-même y trouvait sa satisfaction, alors pourquoi irait-il donc la priver de ses propres instants de contentement ? Il n'y avait aucune raison pour cela, et même quand elle se mit à s'en amuser, à passer sa queue le long de son fessier, ou la pointe de celle-ci tout contre son entrée anale, il ne put que lui même en profiter avec amusement, sentant à quel point elle appréciait avoir, de temps à autre, le contrôle des événements, en jouant avec subtilité pour lui donner envie de revenir sur sa parole pour finalement se décider à la surprendre par un comportement aussi soudain que désireux. Mais il ne le fit guère. Il ne vint que profiter des sensations, soupirer doucement quand elle frottait son derrière à son membre, tandis qu'il continuait de malaxer son fessier avec désir, ses doigts pétrissant la chair chaude de la jeune femme avec, en tête, cette volonté de la voir accomplir d'elle-même le mouvement, d'être pour une fois l'observateur de la luxure s'étant emparée de sa belle amante.

« …Et je vais te satisfaire !
 -  Oh ? Eh bien je n'attends que de voir ça, ma belle Alice. »

Le terme était encore vrai, même au coeur de l'action, même après lui avoir déjà fait connaître l'orgasme, et vouloir encore une fois la porter au comble de ce plaisir aussi intense que fourbe, les poussant l'un comme l'autre à prolonger leurs ébats sans jamais y trouver de pause réelle. Quand elle s'était retournée, il ne pouvait plus apprécier la vision de son visage, de sa poitrine, mais tout cela n'était que remplacer par la finesse de son corps, son dos à la peau douce, unie, sans imperfection, et se fessier si attirant, rondeurs pleines de promesses qui restaient au dessus de son corps, à quelques centimètres de son propre bassin, le taquinant presque de cette manière en lui informant qu'il n'avait toujours pas ce qu'il désirait, et qu'elle allait continuer de prendre un peu son temps juste pour la joie de le provoquer un peu. Quand ses doigts gantés touchèrent son membre, il en vint à frémir. Quand elle passa le bout rouge de celui-ci sur ses lèvres intime, il ne put que se demander si elle allait le provoquer en désobéissant au dernier moment à sa demande. Mais quand finalement elle passa sa queue en arrière, allant se poser légèrement dessus, appuyant dans la première tentative d'en passer l'extrêmité en elle, ce ne fut plus un frisson, mais un long choc éléctrique qui remonta encore plus violemment jusqu'à son esprit, lui laissant non seulement un air des plus heureux sur le visage, mais surtout l'envie terrible de la voir accomplir ses désirs aussi sagement. Honnêtement, il ne put que se faire la remarque qu'il était un poil trop heureux de la voir "obéir", mais il décida de ne pas y faire plus attention, se contentant de l'observer faire alors que ses prochains mots furent presque trop surprenant pour qu'il ne supporte de ne pas appuyer sur ses hanches pour rentrer soudainement au creux de ses fesses.

« Haaaa… Tu es s-sûre que ça va rentrer, Balthazar ? Hmmm…
 -  En douterais-tu ? Vas-y doucement alors. »

Il se plia simplement pour se redresser un peu, sans pour autant décaler ses hanches pour ne pas lui ôter des mains son membres, et l'écouta durant tout le long instant où elle se mit à forcer pour pouvoir se planter sur sa queue, l'observant se tortiller, forcer, parfois perdre un peu de ses forces lors de la lente descente le long de son barreau de chair, contemplant le tout de ses efforts, mais aussi de ses vagues de plaisirs, mêlés de douleurs, ces petits instants masochistes qu'elle exprimait d'une voix plutôt honnête. Lentement, il commença à la sentir sur son membre, à coulisser lentement, un peu plus à chaque mouvement, et il la voyait trembler, se refusant du coup à lui faire la mauvaise surprise d'appuyer sur son corps, ce qui aurait eut tôt fait de provoquer bien plus de douleurs que de satisfactions, préférant qu'elle s'habitue à la présence épaisse de son outil de chair en elle avant de lui offrir un assut bien plus intense. L'une de ses mains, en revanche, passa sous son bras pour venir quérir sa poitrine entre ses doigts, et il la laissa trouver lentement le tout de son plaisir lors de sa descente sur son membre, suivant son poul, sa respiration, la chaleur de son corps et les aveux de sa voix pour savoir quand elle était prête pour englober finalement le tout de son vis au fond de son petit trou. Elle en était à un poil plus de la moitié quand elle parvint enfin, apparemment, à ne plus ressentir la douleur de son passage en elle, alors il vint se coller un peu plus à elle, vint soupirer à son oreille, quérir son corps entre ses bras, les mains finissant sur ses hanches larges, lui permettant de trouver de quoi s'appuyer pour ce qui allait suivre.

« Pardonnez moi princesse, vous prenez tant de temps, je crois que je vais me faire le devoir d'accélérer cela. »

Il ne savait pas si elle allait prendre peur, si elle allait peut-être craindre de se perdre un peu, de ne plus pouvoir tant contrôler les événements, mais en tout cas, c'est avec assurance qu'il appuya alors clairement sur le corps de son amante pour que le reste de son membre s'enfonce en elle, que son fessier s'écrase sur le bas de ses hanches, et que son barreau de chair se retrouve enfin complètement englobé par le corps de son amante. Après il n'était pas un bourreau, il ne se mit pas à bouger ses hanches pour qu'elle rebondisse sur celles-ci, et préféra plutôt lui laisser tout le temps nécessaire pour qu'elle s'habitue à ce soudain mouvement, mais dés qu'il la sentit à nouveau prête, il relâcha sa chair, pour lui offrir à nouveau la pleine capacité de se mouvoir, voulant voir si elle allait le faire d'elle-même, ou si après ce coup, il était temps qu'il reprenne les événements en mains pour faire la satisfaction de celle belle jeune femme à l'air sauvage. Enfin, il profita tout de même de la pause pour venir glisser sa main entre les cuisses de sa demoiselle, ne souhaitant pas la laisser sans attentions alors qu'elle faisait tant pour lui, et ses doigts vinrent se perdre sur le clitoris de la magnifique blonde, commençant à le pincer légèrement entre ses doigts, à le faire vriller légèrement, de simples mouvements fait tout autant pour la satisfaire que pour chercher à la rendre d'autant plus désireuse, d'autant plus avide de plaisir. Après tout, comme il l'avait constater un peu plu tôt, ne prenait-il pas aussi le plus de plaisir possible en sentant que la princesse qu'il pouvait posséder ce soir était elle-même au comble de son bonheur ?


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 244 lundi 27 mars 2017, 00:58:15

Alice avait encore des surprises pour son bel amant. Il était fougueux, elle lui reconnaissait cela. Qu’il ne soit pas vraiment un vampire, elle l’avait bien compris, mais il avait, en tout cas, la fougue de ces derniers. Cette fougue, Alice la constatait régulièrement avec les Warren, et était ravie de voir que ce n’était pas qu’un trait familial, mais visiblement racial. Balthazar avait déjà joui en elle à plusieurs reprises, et, contre sa croupe, elle sentait son vit, ce barreau de chair qui se dressait fièrement, et qui était visiblement assoiffé de s’enfoncer en elle. Elle coulissait donc lentement... Et un brin malicieusement. Oh, la douleur était là, bien sûr, et elle était importante. La queue de Balthazar s’enfonçait durement en elle, écartant ses parois internes, diffusant d’épaisses ondes de douleur. Toutefois, elle avait de l’expérience. Mélinda lui avait fait adorer les sodomies, et elle était donc ravie que le vampiroïde lui ait proposé ça.

L’avantage d’une sodomie, c’était ce mélange inouï de douleur et de plaisir. Ce cocktail savoureux aliénait tout le reste, et ramenait Alice à ce que le sexe, fondamentalement, était... Pas seulement du plaisir, mais cette capacité formidable à la faire disparaître, à briser tout ce qu’elle était pour réveiller en elle la femme passionnelle et sauvage qu’elle était. Et elle y parvenait très bien quand on lui baisait le cul. Toutefois, elle était encore suffisamment joueuse pour titiller Balthazar, sans pour autant le frustrer trop. Elle soupirait lentement en abaissant ses genoux, sentant peu à peu ce membre croître en elle, montant de quelques centimètres.

« Hnnnn... !! Mmmhmmmm... »

Balthazar soupirait et grognait, ses mains moites se posant sur ses hanches. Lui aussi avait bien du mal à rester calme, à se maîtriser, et finit par glisser à la Princesse qu’il allait agir. Elle sourit malicieusement, en penchant la tête sur le côté.

« Aaaaahhh... Ah ouuuiii... ? »

La respiration lourde, Alice sentit le vampiroïde se dresser dans son dos, les muscles de son torse heurtant son dos, ses mains venant presser ses généreux seins, la faisant gémir à nouveau. Elle le sentit se redresser, donc, et sa main glissa sur son corps, la faisant doucement frissonner, et lui arrachant de nouveaux soupirs. Sa queue, surtout, était délicieusement plantée en elle, remontant dans son être. Elle serra les dents, gémissant à nouveau, et se tortilla sur place quand les fins doigts de l’homme caressèrent sa fleur, se glissant à travers ses pétales pour atteindre son bourgeon.

Alice gémit encore, et sa tête fila soudain vers l’arrière, accompagnant l’une de ses mains, qui se crispa sur ses cheveux, appuyant sèchement dessus.

« Ba-Balthazar, hmmm... P-Plus fort... »

Elle gémissait contre son oreille, comme pour le rendre fou, pour le stimuler davantage. Mélinda l’avait peu à peu habitué à la sodomie en lui montrant que les mots avaient leur place, et c’était bien ce qu’elle comptait faire ici. Elle savait que Balthazar voyait toujours en elle une belle Princesse qui lui était supérieure, et qu’il ne fallait donc pas briser, ou lui faire mal. C’était compréhensible, car on avait toujours considéré Alice comme une petite précieuse, petite fleur fragile, alors qu’elle avait, en elle, le feu du Dragon.

Pour le motiver, elle se mit donc à parler, de manière très crue :

« Vas-Vas-y, hmmm... Baise-moi fort... Encule-moi sèchement, et-et... Insulte-moi, Balthazar, haaaa... Parle-moi de mon cul, de ma perversion... Je veux l’entendre de ta bouche, toi qui... Hmmm... Me respectes tant... »

Elle souriait, avec cette lueur joueuse qui brillait dans ses yeux, et cette ombrelle provocante le long de ses lèvres.

« Traite-moi... Hmmm... Traite-moi de... De salope !! »

DC d’Alice Korvander.

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    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 245 jeudi 18 mai 2017, 20:51:56

« Aaaaahhh... Ah ouuuiii... ? »

Qu'avait-il entendu dans ces mots ? De l'impatience, de l'envie ? Il ne savait pas trop mais cette simple réaction de son amante avait été suffisante pour le convaincre, lui ordonner presque de cesser l'attente pour passer à quelque chose de bien plus vif, de bien plus directe, et ses mains furent les première à offrir à la princesse une réponse honnête et claire. Il consummait sa chair, profitait du moindre toucher pour enflamme run peu plus la princesse qui se trouvait alors à gémir bien fort tout contre lui, et qui l'invitait par-là même à continuer. Il ne savait pas si il lui offrait alors le tout de son doigté, de ses connaissances, et pour se faire le plus honnête, il fallait qu'il avoue ne plus rien en avoir à faire, car tout ce qui comptait était leur satisfaction, à tout deux, satisfactions d'auilleurs difficile à nier quand au voyant à quel point Alice Korvander était en train de trembler d'extase contre son torse, tandis que lui même avait grand mal à dissimuler ses soupirs et ses grognements de plaisir. Ses doigts jouaient sur l'intimité de sa belle et chère, appuyant non seulement sur ses lèvres, mais aussi sur son bouton de plaisir, arrachant à chaque instant de petit cri terriblement appréciable de la bouche du Joyau de Sylvandell. Quand à son membre, il était planté dans la demoiselle, qui n'avait qu'à bouger ses hanches pour se laisser envahir par la sensation, mais évidemment le vampiroïde ne comptait pas en rester simplement là, et se préparait déjà à faire de nouveau grande démonstration de son endurance et de ses forces pour mener son amante aux portes du plus intense des plaisirs.

Mais quand sa tête s'échoua sur son épaule, quand elle vint lui parler au milieu de ses gémissements, de ses jouissances, le vampire ne put retenir plus longtemps le désir absolu de lui faire perdre la tête :

« Ba-Balthazar, hmmm... P-Plus fort...
 -  Je ne peux refuser pareille demande. »

Ses mains sur sa poitrine, il se mit dés lors à bouger ses hanches de manière vive, malgré le poids de celle qu'il aimait juste sur celle-ci, et ainsi se mit à produire de rapide mouvement en son être, peu profond toutefois, l'homme n'ayant pas grande place entre le matelas et celle qu'il adorait pour se déplacer, mais percutant. Il voulait l'entendre au-delà de tout plaisir, il voulait l'honorer du maximum de ses capacité simplement pour qu'elle puisse se rappeler de cette soirée comme pleinement satisfaisante, et surtout... Il voulait la posséder, rien que ce soir, toute entière, et s'assurer qu'en cet instant, elle ne puisse penser à rien d'autre qu'eux, et ce plaisir terrible qu'il s'offrait mutuellement. Alors même si il semblait faire preuve d'un grand contrôle, il y mettait du sien, bien plus qu'il n'en avait l'habitude, et s'assurait par la même de toujours repousser un peu plus les limites du bonheur de celle à qui il offrait tant de lui même. Ses mains libres continuaient de sonder son corps alors même que la sodomie prenait en force, en vitesse, et d'avoir les terribles sons du plaisir d'Alice à son oreille était autant de provocations muettes pour l'homme, car cela annonçait qu'elle avait encore suffisament de maîtrise pour pouvoir continuer ses gémissements sans s'essoufler, sans que son corps ne lui annonce les limites physiques qui lui était propre. Après tout elle avait de l'esxpérience, il était tout à fait normal qu'elle tienne aussi longtemps de tels ébats, même en compagnie d'un pseudo-vampire dont la vigueur n'avait rien avec celle de l'humain. Mais dans le fond, celle qui "gagna" finalement la bataille psychologique... Ce fut bien la princesse.

« Vas-Vas-y, hmmm... Baise-moi fort... Encule-moi sèchement, et-et... Insulte-moi, Balthazar, haaaa... Parle-moi de mon cul, de ma perversion... Je veux l’entendre de ta bouche, toi qui... Hmmm... Me respectes tant...
 -  Alice, je...
 -  Traite-moi... Hmmm... Traite-moi de... De salope !! »

Il y eut un instant de flottement, un court instant où le vampire eut juste à faire l'infini effort de comprendre ce que celle qu'il aimait plus que tout venait de lui dire... Et finalement, de manière infime, son regard comme son sourire changea. Il était rare qu'il se laisse aller à d'anciens vices, d'anciens plaisirs dont il avait fait une croix dessus, comme le fait de pouvoir se laisser porter à un certain parler des plus cru, des plus insultants, et voilà que c'était la femme même pour qui il n'aurais normalement aucun don de parler ainsi qu'il lui demandait ? Eh bien soit, il allait oublier son tact, il allait tout abandonner, vu qu'elle le désirait, mais elle n'allait sûrement pas comprendre l'intégralité de ce qui allait se profiler en cet instant !

« Eh bien, si c'est une salope que j'ai tout contre moi, autant que je la baise comme MA salope, n'est-ce pas ? »

Il vint quérir les mains de les jeune femme entre les siennes, la privant de son attache, puis l'emporta vers l'avant, la couchant sur le lit, ses bras loin devant elle, tandis qu'il avait ramener ses jambes en arrière en taclant les siennes, l'amenant sur l'instant à ne plus avoir le moindre moyen de s'équilibrer pour se rattraper, ou lutter contre l'emprise du vampiroïde. Se redressant d'ailleurs un minimum, son membre bien planter en elle, l'obligeant par là même à bien relever son fessier, il vint se placer bien au dessus de la charmante et divinement belle princesse, la forçant à garder ses bras en avant, et son visage à moitié dans les draps, pour qu'il s'abaisse finalement à son oreille. Ses prochains mots, non seulement taquin, mais respectueux de la demande du précieux Joyau de Sylvandell, lui furent alors chuchoter avec un plaisir honnête, tandis qu'il gardait prisonnier ses poignets d'une de ses mains pour que l'autre vienne caresser la cambrure forcée de son dos avec une délicatesse qui se trouvait presque étrange en comparaison de la soudaine "brutalité" de Darthestar :

« Tu es si belle ma catin, mais je crois t'avoir laissé un brin trop de liberté jusqu'ici... Aaah... Je vais te prendre ton joli petit cul jusqu'à ce que tu bave d'extase dans ta couette Alice... »

Il lui mordilla doucement l'oreille, dans un mouvement purement délicat, le dernier qu'il lui offrait, puis se redressa pour placer une belle fessée sur le derrière si invitant de celle qu'il aimait ! Puis, sans prévenir, si ses derniers mots n'étaient pas en soi une manière de l'informer de son futur châtiment, il se mit à la sodomiser sans détour, violemment, ardemment, se laissant complètement dominer par son désir de la jeune femme et son besoin de la mener en direction d'un plaisir inégalé. Ses hanches claquaient contre les siennes, ses soupirs, ses grognements se faisaient de plus en plus clair tandis que son membres allait d'avant en arrière à un rythme tout simplement inhumain, tandis que ses mains s'affairaient à continuer caresses et fessées avec une arythmie quand à elle toute voulue, cherchant à surprendre la belle jeune femme dans ses instants de faiblesse. De temps à autre, son bras se glissait par le flanc de sa cuisse pour passer sous elle, et venir avec une extasiante cruauté placé une pichenette des plus vifs sur le bouton de plaisir de sa belle "salope". Le but en était simple toutefois, pousser Alice à atteindre les dernières limites que son corps pouvait supporter durant un bat, afin de pleinement la satisfaire. Peut-être n'en avait-il pas conscience, mais Darthestar, bien malgré lui, ne pouvait que pressentir l'ombre d'une autre vampire particulièrement dévouée à la princesse, et l'idée de se trouver comparer, même de manière inconsciente, était en soi terriblement difficile à accepter.... Non, en effet il fallait que cette soirée soit inoubliable de jouissance et de bonheur... et il ferait tout pour l'offrir à celle dont les soubresauts de plaisirs et les gémissements envahissaient la pièce.
« Modifié: jeudi 18 mai 2017, 21:11:41 par Darthestar »


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 246 dimanche 21 mai 2017, 13:37:23

Maintenant, Balthazar avait bien compris qu’il ne fallait pas traiter Alice comme une petite chose précieuse, et qu’il ne fallait pas la mésestimer. Certes, elle n’était pas une guerrière, et, certes, elle n’avait pas un corps au physique imposant, mais elle n’en restait pas moins une femme royale, qui avait passé un rituel lui ayant permis d’avoir du sang de dragon dans les veines. Il était donc temps que Balthazar la prenne comme elle le voulait. Ce n’était pas, en soi, lui manquer de respect, car ce moment, leur séance, était comme une délicieuse parenthèse. Un moment de pur bonheur, jouissif, où il fallait tout oublier. Alice n’était plus une Princesse ; la Nature avait repris ses droits, et s’exprimait avec force et avec passion. Ses dernières instructions à Balthazar mirent fin à tout ce que l’homme retenait encore, brisant les ultimes limites que, par respect envers la jeune femme, il s’était imposé, même dans cette séance. Alice avait dû le motiver, avec son talent indéniable sur la question, véritable héritage de tout ce qu’elle avait subi depuis quelques années. C’était là la preuve que le sexe n’était pas une matière qui l’effrayait, mais dans laquelle elle s’épanouissait avec envie et avec amour.

Le vampire la fessa donc, tout en la forçant à se mettre à quatre pattes, après l’avoir plaqué contre le lit. Il avait fait parler ses muscles, laissant parler sa masculinité, ce côté viril et sauvage qu’on associait au mâle, et lui promit un sacré rodéo. Les joues rouges, Alice haletait. Gênée, elle l’était toujours un peu, bien sûr, mais cette gêne était actuellement noyée par le plaisir qu’elle ressentait, par cette vague qui remontait en elle et qui, à tout moment, menaçait d’exploser. Son corps vibrait sous les mains de l’homme, et elle gémit à nouveau quand elle sentit sa verge se rapprocher de ses fesses.

« B-Balthazar... HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAANNNNN... !! »

Un long cri s’échappa de ses lèvres, son visage se redressa, ses mains griffèrent les couvertures, et ses yeux se fermèrent. Sa grosse queue lui faisait l’effet d’un bulldozer, qui s’enfonça violemment en elle, remontant dans son corps, perforant son fondement. Elle sentait ce vit veineux se glisser, déformant ses parois, provoquant d’indescriptibles sensations, trop intenses, trop fortes, trop puissantes, pour qu’on puisse les affubler d’un quelconque qualificatif. Alors, plutôt que d’essayer de parler, elle hurlait. Elle gémissait, elle grognait, pour permettre à ses émotions de sortir.

« Hnnnnnnnnnnnnnnnnnnn... !! »

Balthazar ne cherchait plus à la ménager. C’était une sodomie, intense, brutale, et il la prenait en levrette. Depuis cette position, il pouvait plus facilement s’enfoncer en elle. Fort heureusement, Alice avait déjà été sodomisée, ce qui fit que ses parois se dilatèrent rapidement, permettant au membre de Balthazar de s’enfoncer longuement, jusqu’à la garde, remontant dans la chair de la jeune femme, qui hurlait et gémissait, tenant sur ses bras. Les coups de reins se succédaient dans son dos, comme autant de coups de pilon, la sueur coulant abondamment de son corps, sa salive s’échappant parfois de ses lèvres pour venir décorer le lit.

Et, pendant ce temps, le vampiroïde continuait à la prendre, témoignant d’une vigueur fascinante et exquise. Oh, quel plaisir ! Comme on pouvait s’y attendre, outre sa sueur, sa mouille s’échappait également, glissant le long de ses cuisses. Et ses gémissements, eux, continuaient à emplir la pièce, comme pour accompagner les coups de reins et les gifles que Balthazar était susceptible d’infliger au corps aussi endurant que beau de la jeune Princesse.

DC d’Alice Korvander.

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Darthestar

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    Darthestar est un être d'un bon mètre 95, et il s'agit surement de l'exemple typique de l'homme torturé par sa nature.
    
    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 247 vendredi 26 mai 2017, 14:44:27

La situation était tout simplement bien trop excitante, pour le vampire comme pour la belle princesse, tant même que plus rien n'avait vraiment d'importance actuellement. La discrétion, l'idée même que n'importe qui, dans les lieux, puissent les entendre était finalement complètement passer à la trappe, comme le fait de se retenir d'une quelconque manière. L'un comme l'autre goûtait au plaisir extrême de s'abandonner à la chair de son compagnon de la soirée, et rien d'autre finalement n'avait d'importance, Darthestar ne cherchant que le plaisir de la femme qu'il possédait désormais en cette magnifique soirée, et Alice se laissant aller à ses perversités sans même cacher son désir, lui ayant même indiquer de cesser toute forme de maîtrise pour qu'il puisse enfin exprimer le tout de ses désirs envers sa magnifique personne. Et le résultat en était troublant de plaisir. L'homme ne réfléchissait plus, continuait ses mouvements, jouait d'une incroyable endurance, soulignée par une vivacité frôlant l'inhumain, le tout pour simplement satisfaire, et se satisfaire, de la compagnie de la descendante des Korvander, cherchant à la mener à un point de l'orgasme qu'elle n'aurait, il l'espérait, jamais connue. Chacun de ses mouvements provoquait un nouveau cri de plaisir de la part de sa compagne, chacune de ses giffles provoquait un claquement dont la sensation n'était que confirmer par un gémissement d'extase, et si son souffle restait maîtrisé, ce n'était pas tant par un manque d'épuisement que par sa volonté de tenir le plus longtemps possible, cherchant à rendre le tout de ces événements inoubliables.

Ses mains glissèrent parfois, allèrent quérir un de ses seins, allèrent caresser son intimité, ou se perdre de quelques manières possessives dans la chevelure de la jeune femme, et plus rien n'avait autant d'importance que le fait de la sentir, en cet instant, aussi heureuse et libérée qu'il avait toujours voulut la voir à ses cotés, le menant au plus profond de sa propre satisfaction. Lui-même atteignait lentement ses limites, l'obligeant à trouver dans ses dernières forces la capacité de maintenir ce rythme, voir de le rendre encore un peu plus pressant, un peu plus fort, une manière de parachever ces longs instants où ils faisaient l'amour comme jamais, libérée de toute question de morale, simplement pour se permettre de profiter d'un instant qui ne pourrait plus survenir par le futur. Darthestar se permit de la contempler au coeur de ce brasier qui les enflammait, et il ne put s'imaginer l'avoir vu plus belle qu'en cet instant, au coeur de cette relation qu'il n'avait jamais crut possible, ni la sueur, ni la cyprine s'écoulant d'entre ses jambes pour tâcher lourdement les draps, ni ses plus incontrôlable gémissement ne lui offrant plus divine vision de celle qu'il aimait par-dessus tout, et auprès de laquelle il souhaiterait rester des jours et des nuits durant. Mais tout bel événement avait une fin. Il atteignait ses limites, et se plantant en elle sans la moindre hésitation en cet instant, se plaçant pour la dominer de toute sa personne, il vint à jouir longuement, pleinement, éjaculant en de nombreux jets, déversant le fruit de son plaisir tout en soupirant de bonheur, sentant ses forces s'adoucirent à mesure qu'il trouvait la pleine satisfaction de l'orgasme.

Ses gestes se firent dés lors moins adroits, mais bien plus délicats. Redressant la jeune femme pantelante, il l'amena à ses bras avec une grande douceur, la rapprocha de son torse, et l'embras doucement dans le coup tandis qu'il lui offrit une étreinte pleine d'affection. Ses mots suivirent avec tout autant de cette impression de sereine satisfaction, son membre toujours planté en elle pour l'instant, alors qu'il se perdait un peu, le nez dans ses cheveux, humant l'appréciable odeur de la jeune femme, mêlée à celle d'une luxure terrible à laquelle ils s'étaient tout deux abandonner sans grande réflexion :

« J'espère que ma douce Alice a put se trouver satisfaite par mes actions. Il est tard non, peut-être devrions nous nous accorder un peu de repos pour demain, non ? »

La question avait plus valeur de rhétorique qu'autre chose. Il vint lentement à sortir d'elle, s'étendant en arrière pour se le permettre tout en gardant la jeune femme contre son torse, puis vint continuer le mouvement pour finalement s'allonger, en compagnie de celle qu'il aimait, relâchant dés lors la pression de ses bras pour qu'elle puisse trouver le moyen de se dépacer, et de s'installer donc tel qu'elle le souhaitait à ses cotés. En toute honnêteté, il y avait quelques choses de sauvage en cette jeune femme dont il n'avait jamais douter de l'existence, mais l'avoir découvert, ce soir, alors qu'il s'apprêtait à connaître autant de rejet que de déception avait été une chose particulièrement fascinante, mais surtout, cela lui avait permit d'envisager la jeune femme sous un angle parfaitement nouveau, dont il ne pourrait que témoigner l'infini satisfaction, le vivant comme une sorte de privilège auquel il n'aurait jamais dut prétendre. Il attendit d'ailleurs patiemment que celle-ci trouve sa place et vint de nouveau s'approcher d'elle pour lui quérir un baiser passionné, toujours dans une douceur qui se voulait pleine d'affection, avant de s'loigner éet de la contempler, les traits toujours exprimant un sourire bienheureux, et une fatigue légère, toute compréhensible suite aux événements. Elle lui avait offert beaucoup, la confiance, l'aide, le soutien, jusqu'à sa personne en cette douce nuit, et difficile pour un vagabond de se rendre compte de tout cela après de tels instants. Tout ce dont il était encore capable de s'assurer, de lui dire maintenant, alors que le besoin de repos reprenait ses droits, il le lui soupira tendrement, les yeux mi-clos.

« Je t'adore Alice. Passe une douce nuit, repose toi bien. »

Il n'attendait pas de réponses, il savait qu'il ne pouvait en attendre... Mais il sombra dans le sommeil à ses coté, en sachant pertinemment que dés le lendemain, les choses retrouveront leur cours normal, bien loin de la satisfaction pleine qu'il avait ressenti jusqu'ici, bien loin de cette interlude merveilleuse qu'ils avaient partagés. Demain, au tribunal, il retrouvera sa place de criminel, mais ce soir, il restait un amant... un amant comblé, et heureux d'avoir offert à la femme toute la satisfaction qu'elle avait put attendre de ses étreintes.


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 248 lundi 29 mai 2017, 00:45:16

Après l’orgasme, Darthestar se montra bien plus attentionné, ce qui n’était pas pour déplaire à Alice. Si elle aimait la violence dans le sexe, la passion et la brutalité, la jeune femme restait, fondamentalement, une personne douce et aimante. Il fallait savoir alterner les genres avec elle, et passer d’une forme de violence intense à une douceur et à une tendresse toute aussi intenses. Le rapport sexuel, dans l’esprit d’Alice, consistait véritablement à se donner un rôle, à se prêter à une image qui n’était pas la sienne... Mais que c’était gratifiant ! L’orgasme fut le point d’orgue de cette soirée, de cette parenthèse dans la vie compliquée de Balthazar. D’aucuns auraient pu y voir là l’équivalent de la dernière cigarette du condamné, mais la Princesse restait optimiste, et était intimement convaincue que l’issue du procès serait positive pour son ami (et désormais amant).

Darthestar la guida contre lui, mais, alors qu’il était sans aucun doute partant pour qu’elle dorme à côté de lui, la taquine Princesse avait, elle, d’autres projets en tête. Posant l’une de ses mains gantées sur le torse de l’homme, elle s’en servit comme d’un point d’ancrage, avant de s’affaler sur lui, nichant sa tête contre sa poitrine, près de son cou. Une position idéale pour dormir, sa main caressant le torse de l’homme et ses flancs, sentant sa chaleur, sa moiteur, cette raideur humide venant après le coït.

Alice se reposa paisiblement contre lui, le sommeil venant rapidement la gagner. Elle entendit ce dernier lui souhaiter une bonne nuit, et sourit faiblement, yeux clos, avant de lui répondre :

« Toi aussi... »

Des propos très recherchés, indéniablement, et qui furent les derniers qu’elle prononça avant de s’abandonner entre les bras de Morphée.



Le réveil fut à la même image que le coucher. Alice se réveilla relativement tôt, et, sentant une raideur contre ses cuisses, sourit lentement, puis se réveilla en caressant la tension de Balthazar, ses doigts glissant sur son monceau de chair. L’homme eut ainsi droit au meilleur des réveils, Alice venant lentement s’empaler sur lui, soupirant et gémissant avec plaisir. Quelle meilleure manière de se réveiller ? Ils firent tendrement l’amour pour réveiller leurs corps, et Alice s’extirpa ensuite du lit, un sourire ravi sur les lèvres.

« Voilà, Balthazar... J’espère que tu as bien dormi, une longue journée nous attend. »

Alice se sentait ragaillardie, et pleine d’énergie. Elle ne comptait pas le dire à Darthestar, mais c’était par l’intermédiaire de Mélinda qu’elle avait amélioré son expérience sexuelle, notamment le « quickie » au réveil, une spécialité de la vampire, qui se réveillait toujours en étant très excitée. La spécialité de Mélinda était après tout de dormir avec au moins trois esclaves, dont le but était de la caresser et de la câliner pendant son sommeil, lui assurant ainsi d’avoir, non seulement un sommeil paisible, mais également des rêves très érotiques, rendant d’autant plus agréable le réveil.

Grâce à ses capacités vampiriques, et à cette nuit proche avec Alice, Balthazar aurait peut-être pu commencé à réaliser que le sang de la femme n’était pas comme celui d’une humaine normale. Elle avait absorbé le sang du Dragon d’Or, ce qui la rendait particulièrement énergique. Une énergie qui, chez les Korvander, se manifestait généralement dans la guerre, mais qui, avec Alice, avait trouvé une manière détournée et très érotique de s’illustrer.

La Princesse observa une horloge, et sourit.

« Nous sommes en retard, mais, avant de prendre le petit-déjeuner, il faut se doucher. Je propose que nous la passions ensemble... Si cela ne te dérange pas. »

Et, vu la lueur mutine brûlant dans ses yeux, cette proposition était tout, sauf indécente.

Comme quoi, satisfaire la Princesse de Sylvandell s’avérait être très épuisant ! Nul doute, néanmoins, que Darthestar saurait relever la tâche, aussi épuisante soit-elle...

DC d’Alice Korvander.

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Darthestar

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    Darthestar est un être d'un bon mètre 95, et il s'agit surement de l'exemple typique de l'homme torturé par sa nature.
    
    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 249 lundi 05 juin 2017, 20:12:35

Le sommeil avait quérit l'homme avec délicatesse, douceur, celui ci appréciant du plus prfond de sa personne le comportement d'Alice, et son rapprochement lorsqu'il l'avait délicatement déposée à ses cotés, la retrouvant en moins de temps qu'il n'en faut tout contre lui, avec cette impression de pleine tendresse qui le faisait chavirer. Aussi sauvage qu'elle avait put l'être durant leurs ébats, libérée, la princesse de Sylvandell lui offrait encore une fois de cette étrange changement dans son comportement, ce contraste un peu soudain pour lui entre ce qu'elle pouvait être, et ce qu'elle était finalement dans sa manière de vivre, le charmant toujours un peu plus, mais surtout, lui offrant quelque guérisons morales dont elle ne doutait sûrement guère. En tout cas, il vint à s'assoupir en la tenant tendrement contre lui, et si ses dernières nuits n'avaient pas été pleinement source de repos, ennuis et problèmes couvant sa récupération par le biais d'une nature soucieuse de sa part, ce fut pour la première fois de son séjour à Ashnard, en tant que criminel, avec inconscience et plaisir qu'il accueilli le sommeil, y trouvant enfin une compagne auprès de laquelle il pouvait se détendre, et apprécier le temps nocturne. Rien d'autre n'avait de grande importance désormais, et si ses rêves auraient put se trouver tumultueux, étrange, il ne quitta pourtant pas le corps de la belle jeune femme dans ses mouvements, la conservant à ses cotés, un léger sourire marquant ses lèvres de la satisfaction de se reposer en sa compagnie. Le matin vint presque trop rapidement les ramener à la réalité, et à la grande surprise de l'homme, il ne fut pas le premier à ouvrir les yeux, les doux comportements de la descendante des Korvander le sortant de sa torpeur lentement, mais non sans plaisir, le laissant participer à ces retrouvailles avec tendresse.

« Voilà, Balthazar... J’espère que tu as bien dormi, une longue journée nous attend.
 -  Je ne crois pas avoir aussi bien dormi depuis longtemps Alice. Mais oui, il est temps de se préparer. »

Si la jeune femme se référa à son horloge pour vérifier l'heure, le vampire lui eut toute tendance à observer les minces rayons du soleil, comprenant que la matinée n'en était encore qu'à ses débuts, mais que de toutes manières, il avait tout de même tendance à se presser, si il voulait continuer de se jouer d'exemplarité en terme de ponctualité et de comportement vis-à-vis de son jugement. Il sortit lentement du lit, déjà prêt à agir. Si sa belle compagne avait en elle des forces qui lui permettait d'être vive dés la matinée, il ne manquait pas non plus de force et de vigueur, et le fait d'agir dés le matin ne lui était guère problématique, si bien qu'il se voyait déjà aller se laver rapidement avec la bassine d'eau froide dans sa chambre, pour ensuite se vêtir et se présenter aux gardes qui viendront le chercher pour l'amener au procès. Il n'avait pas besoin de manger, donc techniquement il avait un peu plus de temps que la jeune femme pour se préparer, avantage qui toutefois n'avait pas grand plaisir pour l'homme qui avait l'incapacité de consommer autre chose que le sang, aussi il pensait ne pas faire perdre trop de temps à sa compagne par le biais de sa présence, et il aurait sûrement eut le malheur de partir si il n'avait pas eut, un court instant, dans son champ de vision, l'expression mutine de la demoiselle qui gouvernait déjà sur son coeur. De manière peu étonnante, il arrêta par là immédiatement la récupération de ses affaires, et la jeune femme n'eut qu'à en profiter pour finalement lui exprimer ce qu'elle avait en tête, le menant à sourire et acquiescer avec grande joie, ne voyant aucune raison de refuser cela à cette divine amante.

« Nous sommes en retard, mais, avant de prendre le petit-déjeuner, il faut se doucher. Je propose que nous la passions ensemble... Si cela ne te dérange pas.
 -  Pas le moins du monde, tu imagines bien. Je suppose que nous nous dirigeons vers les bains donc ? »

La question n'avait pas vraiment valeur à être répondue. Tout deux vinrent quérir leurs affaires, enfilant le minimum pour en pas se balader dans une pleine nudité, et se dirigèrent ainsi dans les lieux de l'Ambassade où l'un comme l'autre pourront se décrasser suite à cette nuit exquise qu'ils avaient passer l'un auprès de l'autre. L'homme ne fit guère preuve de son manque de considération de la soirée précédente d'ailleurs, et même si ils n'avaient pas vraiment le temps de s'attarder sur de nouveaux jeux à caractère plus ou moins érotiques, il ne manqua pas d'amener la jeune femme à ses cotés quand ils se trouvèrent tout deux dans l'eau, et il prit le temps de la savonner délicatement, laissant ses mains glisser sur le corps si désirable à ses yeux de son amante pour mêler ce moment de simple décrassage à quelques caresses bien plus tendre, bien plus douces. L'eau fut tout autant rafraîchissante qu'elle lui permit de goûter une dernière fois au corps de cette douce demoiselle, lui laissant d'ailleurs à l'occasion le droit de contempler le résultat de leurs ébats, ses traces de morsure sur le corps d'Alice ayant commencée à se résorber, mais se trouvant encore maintenant sur sa chair, plus ou moins visibles. Elle allait sûrement avoir besoin d'un collier, ou d'un haut capable de couvrir son cou si elle voulait d'ailleurs en dissimuler une, mais ça, il serait bien en mal de lui en donner le conseil, si bien qu'il le lui signifia juste en embrassant la zone sensible portant la trace de ses crocs. Ils n'eurent alors qu'à sortir, se sécher, et finalement se vêtir pour finalement sortir, l'un comme l'autre, prêt à poursuivre leur journée, qui se préparait à être aussi longue que complète en terme d'événements.

Toutefois, et ce malgré le fait qu'il ne puisse manger, l'homme accompagna la femme à son repas du matin, s'installant peu loin d'elle à la tablée, et échangeant calmement en sa compagnie en attendant que l'un des serviteurs de l'Ambassade vienne le prévenir de l'arrivée des gardes qui allaient le mener jusqu'au tribunal. Finalement, depuis longtemps, il avait presque l'impression qu'il passait une journée normale, simple, ce tout à l'honneur de la belle princesse et de sa compagnie, ce qui ne manqua pas de lui offrir, en ce court temps, un air serein, un brin joyeux, un sourire des plus honnête marquant ses lèvres, et lui offrant pour la première fois l'air d'un homme qui ne connait pas toutes les turpitudes dont il se présente l'histoire.


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 250 mardi 06 juin 2017, 00:51:07

Balthazar se montra plus sérieux que la femme. Mais, à voir la manière dont Alice se pressa en allant vers les bains, le tenant par la main, et gloussant même parfois, il aurait fallu être le dernier des aveugles pour croire qu’elle allait juste se contenter de simplement prendre un bain. Alice fila donc vers les thermes, et se déshabilla rapidement, puis le duo plongea dans le bain. Balthazar se chargea de la savonner, mais ses mains durent rapidement s’attaquer à ses seins, et, comme on pouvait s’y attendre, le bain dura un peu plus longtemps que ce que Balthazar pensait. Le vampiroïde voulait visiblement se dépêcher, afin de ne pas arriver en retard, mais, face à une Princesse, il était mal aisé de dire non, surtout quand elle était aussi belle et aussi têtue que la tête blonde. Autrement dit, Balthazar dut encore puiser dans ses réserves pour satisfaire la Princesse, et beaucoup d’eau déborda du bassin, tombant sur le sol, au gré des soupirs et des gémissements de la Princesse, pendant que son amant continuait à la prendre.

Ceci fait, Alice et l’homme s’habillèrent, la Princesse enfilant une robe, laissant la trace de morsure dissimulée derrière ses cheveux et un collier doré qu’elle se mit autour du cou, la Croix de Sylvandell pendant à son bout. Ceci fait, elle remit une paire de gants propres, des collants, puis noua ses bottes, et fila ensuite à la salle de réception. Alice était toute ragaillardie, et avait de quoi l’être. Son amant avait su la contenter bien comme il fallait, et, juste avant d’entrer dans la salle, elle l’embrassa sur les lèvres.

« Merci pour ta dévotion à mon égard, Balthazar, tu es formidable... »

Un bref mot doux, avant que le duo ne rentre dans le salon.

Balthazar constata que le petit-déjeuner ne se ferait pas en tête à tête, puisqu’il y avait déjà Samara qui les attendait... Ainsi que Maître Teckhart. Son avocat était là, coupant dans du pain pour remplir des tranches de beurre. Alice les salua, et s’assit ensuite. Samara les observa brièvement, et fronça les sourcils, ses sens magiques détectant les subtils fragrances de sexe. Elle ne fit aucune réflexion, mais un bref sourire étira ses lèvres pendant quelques secondes.

« Princesse, Monsieur Fyune... Je me suis permis de vous voir ce matin car la journée d’aujourd’hui s’annonce cruciale. Aussi, j’espère que vous avez bien dormi. »

Alice resta silencieuse, et laissa surtout Baldwin s’expliquer. Bien que Balthazar soit son client, c’était elle qui le finançait. Une véritable relation tripartite, et la présence d’un juge, à table, était un cas qui pouvait poser problème, car on pouvait soupçonner un conflit d’intérêts. Mais tout le monde savait qu’à Ashnard, il y avait une différence entre la théorie et la pratique, et que ce procès n’avait pas que des enjeux juridiques.

« Aujourd’hui, vous allez être sur le devant de la scène. Le Ministère public va mener son réquisitoire, et va longuement vous interroger. Normalement, cet après-midi, la parole sera à la défense. Demain, nous entendrons les parties civiles. Pour l’heure, il faut donc se concentrer sur votre discours. Ce que je peux vous dire, c’est que vous devez dire la vérité. Autant que possible, n’essayez pas de noyer le poisson, car vous aurez face à vous un retors, quelqu’un qui exploitera la moindre de vos faiblesses pour vous discréditer. Soyez aussi honnête que possible, Monsieur Fyune. Vous comprenez ? »

Après leur détente, les choses sérieuses reprenaient...

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Darthestar

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    Darthestar est un être d'un bon mètre 95, et il s'agit surement de l'exemple typique de l'homme torturé par sa nature.
    
    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
    Homme contemplatif, il est avant tout un voyageur et n'use de sa puissance que dans les cas les plus extrêmes, y préférant une certaine forme de sagesse.

Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 251 mercredi 07 juin 2017, 08:04:23

« Merci pour ta dévotion à mon égard, Balthazar, tu es formidable...
 -  Je... t'en prie allons Alice, je suis celui qui ne peut qu'être redevable de tout ce que tu m'as offert. »

Pour le coup, il jouait d'honnêteté face à la douceur de celle qui venait de lui offrir un dernier baiser avant qu'ils ne s'engouffrent dans la large salle à manger, où, même à une telle heure, se tenait déjà deux personnes, deux "invités" que le vampire n'était pas foncièrement prêt à rencontrer si tôt, et dont la présence ne manqua guère d'alerter un court instant sur le procès, le plongeait rapidement de nouveau dans la triste situation dans laquelle il se trouvait. Oh bien sur, il ne s'attendait pas vraiment à avoir le droit à un tête à tête avec la princesse en cette heure de la matinée, le fait de devoir se présenter bientôt au coeur du tribunal n'était pas vraiment pour lui suffisamment insignifiant pour qu'il se laisse aller à plus de frivolités en compagnie de celle qui avait ravie son coeur, mais de voir, à l'ouverture des portes, la forme singulière de la démone Samara, et celle plus austère de son avocat ne fut pas pour le rassurer. Que cela soit porteur de bonnes, ou de mauvaises nouvelles, il ne fit pas assez attention à leur traits pour s'en faire une idée, et s'avisa surtout d'agir le plus naturellement possible pour que son arrivée synchronisée avec la descendante des Korvander ne fusse pas trop étrange aux yeux des autres partis en présence dans la pièce, tandis qu'il se dirigea calmement en direction de l'un des sièges autour de la table pour s'y installer. Par chance, pour lui et son manque de capacité à dissimuler la quiétude et la sérénité qu'Alice lui avait offerte avec cette soirée et le début de matinée, il ne vit pas le léger sourire de l'archi-mage, et fut rapidement interpellé par les propos du Maître, si bien qu'il se focalisa dessus sans attendre, y trouvant l'occupation nécessaire pour ne pas se trahir :

« Princesse, Monsieur Fyune... Je me suis permis de vous voir ce matin car la journée d’aujourd’hui s’annonce cruciale. Aussi, j’espère que vous avez bien dormi. »

Point de réponses de sa part, il opina simplement du chef comme pour signifier que c'était le cas, plus par automatisme qu'autre chose, et se contenta d'observer l'homme beurrer méthodiquement ses tartines en attendant la suite de ses propos. Bon, la journée allait être importante, et il se doutait bien de cela pour l'occasion, imaginant que le principal des questions l'affectant lui avait été posées le jour précédent, et que désormais, fort des précisions qu'il avait déjà offert, les juges et autres partis de ce procès particulièrement épuisant moralement allaient pouvoir s'affairer à rentrer dans le vif du sujet. Pour être honnête, rien ne le surprenait pour l'instant dans les propos de l'homme encore affairer à préparer son petit-déjeuner, et finalement, ce qui le troubla le plus fut réellement que l'on utilise son nom de famille pour s'adresser à lui, ayant prit l'habitude depuis trois ans de faire usage de son pseudonyme, comme pour couper court avec ses racines, et se retrouvant dés lors dans une situation dont l'aspect désagréable ne tenait pas tant à cette extrême politesse que le fait qu'elle lui rappelait que dans le fond, il y avait autre chose que sa nouvelle vie dans son existence. Seule personne à bénéficier de son naturel dans ce genre de situation, la princesse avait la capacité de l'appeler par son prénom sans qu'il n'ai la sensation étrange d'être confondu avec cet homme du passé incapable de vivre autrement que par la chasse misérable qu'il produisait dans les terres sauvages, mais bien sur, il n'allait pas corriger l'homme qui prenait grand soin de l'accompagner dans son jugement à un moment aussi important, si bien que ce fut dans un silence complet qu'il attendit qu'il poursuive... ce qu'il fit après une bouchée de son repas :

« Aujourd’hui, vous allez être sur le devant de la scène. Le Ministère public va mener son réquisitoire, et va longuement vous interroger. Normalement, cet après-midi, la parole sera à la défense. Demain, nous entendrons les parties civiles. Pour l’heure, il faut donc se concentrer sur votre discours. Ce que je peux vous dire, c’est que vous devez dire la vérité. Autant que possible, n’essayez pas de noyer le poisson, car vous aurez face à vous un retors, quelqu’un qui exploitera la moindre de vos faiblesses pour vous discréditer. Soyez aussi honnête que possible, Monsieur Fyune. Vous comprenez ?
 -  Je peux vous assurer en ce cas, maître Teckhart, que cela était mon intention depuis le début du procès, mais au vu des réactions des jurés durant les précédentes journées, je ne sais pas si cela portera ses fruits. »

Il adressa un léger regard à la démone en cette occasion. Nul reproche bien sure envers Samara, mais il était vrai que certains comportements ne lui avait pas échappés durant le procès, et il avait bien remarqué, avec les réflexions d'Emhyr von Emreis durant ses premières auditions, que celui-ci trouvait dans ses déclarations quelques contradictions, ou insatisfaisantes réponses, qui pouvaient bien le mener vers un trépas ou un emprisonnement peu enviable. Pourtant, jusqu'ici, il avait jouer avec l'intégralité de ses connaissances sur la situation, le tout de ses souvenirs, et avait apporté à la cour le tout de son savoir sur sa personne avec la précision méthodique de l'homme qui ne souhaitait rien cacher, et l'honnêteté bien heureuse de l'homme considérant des faits décrits sans ombre ou mensonge comme l'unique et importante façon de procéder lors d'un procès. Pourtant, encore une fois, il savait remarquer les réactions cachées, les troubles inconscients que le visage offrait dans des traits particuliers, tirés ou relâchés, et durant son auditoire, il y avait eut plus d'un moment où le principal parti s'était révélé particulièrement circonspect, ou douteux des dires du vampiroïde, ce qui avait eut le don de le déstabilisé d'abord, mais aussi parfois de le mener à l'incompréhension, n'ayant capacité de déduire où le noble Ashnardien voulait en venir. Dans le fond, il ne comptait pas changer de comportement, et s'en tiendrait aux dires de son avocat, mais sous le jour des précédentes situations, Darthestar ne pouvait pas cacher son inquiétude, ni l'irréalité qui s'installait lentement à ses yeux dans cette demande d'absolue transparence. Reprenant donc, il vint à préciser sa pensée, mais surtout à prolonger son questionnement.

« Emhyr, actuellement, nous a prouvé qu'il ne cherchait pas foncièrement à m'écraser, mais pour autant il a donné hier suffisamment de points où, je suppose, le ministère public aura toutes raisons de me trouver, pour venir exploiter des "faiblesses", comme vous venez de si bien le dire. Et en ce sens, vous le savez, je ne suis guère instruit sur ce point, aussi j'aimerais savoir si vous avez quelques conseils à me donner, ou du moins, si vous avez déjà des idées des sujets sur lesquels je risque bien plus que d'autres, selon votre point de vue. »

La situation allait être compliquée ? Très bien, mais en ce cas il souhaitait s'armer au maximum pour pouvoir apparaître en pleine maîtrise de ses moyens durant les heures qui allaient suivre. Il n'était pas inconscient, et il avait, finalement, simplement le besoin d'être aiguillé un peu plus par celui qui défendait sa cause, car même inconsciemment, du peu qu'il connaissait des lois et du domaine juridique, il était largement capable de faire une bourde sans même s'en rendre compte, par une honnêteté qui se trouverait trop précise, ou par un oubli malheureux de sa part, qui finirait par devenir particulièrement préjudiciable. Il avait un certain art de la parole, mais cela ne lui servait finalement qu'à cacher son manque d'instruction, l'homme restant originaire d'une campagne lointaine, et de bois sauvages, si bien que dans le cas présent, son don à cacher son absence d'érudition pouvait même devenir un fardeau, si bien qu'il souhaitait, très honnêtement, que l'homme actuellement en train de manger rapidement son pain puisse vraiment lui offrir quelque chose de suffisamment tangible pour qu'il s'y rattache durant le procès, telle une bouée de sauvetage. Si il n'avait pas de solution, tant pis, l'homme y ira avec un brin de crainte, un brin d'inquiétude, mais il le fera avec les premières consignes qui lui ont été donnée, l'honnêteté la plus franche et déstabilisante, parfois capable de produire merveilles et miracles. Il n'y croyait guère, pour être déjà honnête, mais il le fera, et si la matinée ne se déroule pas aussi bien qu'il puisse l'espérer, il n'aura plus qu'à se reposer sur son avocat pour le sortir d'un pétrin dans lequel il se serait lui-même plongé.


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 252 lundi 12 juin 2017, 00:37:42

« Le Ministère public va interroger différents témoins. Quand ce sera à vous, je suppose qu’il axera sa position sur les points forts de son dossier. L’un des éléments faibles, que je vous invite à travailler, est votre argumentation divine. Je ne demande qu’à vous croire, mais, quand vous affirmez que c’est une Déesse qui vous a permis de soigner votre transformation, l’argument est faiblard. D’autant plus qu’Unhazaal Dovahiiz n’appartient pas à la mythologie officielle impériale. »

Autrement dit, en avançant qu’il se contrôlait désormais, Balthazar n’était pas en mesure de le justicier, et cet argument était central, car Antoine Bargas, le Procureur, allait forcément insister là-dessus pour soutenir que Balthazar restait dangereux et instable.

« Il faudra leur rappeler que, lors du combat à Mälrunn, vous avez réussi à vous contrôler et à soutenir les Sylvandins.
 -  Ce en quoi je pourrais témoigner.
 -  Mais vous faites partie de ma liste des invités, Princesse, ainsi que d’autres Sylvandins.
 -  Ah bon ?
 -  Mais, comme je ne sais pas encore s’ils viendront, je préfère ne pas vous en parler, de manière à ne pas créer de faux espoirs. »

Tout juste avait-il, conformément aux règles procédurales, informé le Tribunal de la liste des témoins potentiels qu’il comptait faire venir. Baldwin Teckhart avait agi rapidement et efficacement, et avait encore des atouts dans sa manche.

« Reste encore la question de Lyz Bismarck. Sur ce point, vous avez reconnu les faits. Ne revenez pas sur votre position. En revanche, je vous encourage à être plus clair sur ce que vous entendez faire pour réparer le préjudice subi. L’idéal est d’éviter une peine d’emprisonnement. Aussi me dis-je qu’il pourrait être intéressant de proposer au Tribunal, à défaut d’une peine d’emprisonnement, une peine de servitude au sein de l’armée de Sylvandell. »

Baldwin exposait sa stratégie sous les yeux de Samara, qui restait silencieuse. Alice se pinça les lèvres, intriguée, pendant que Samara souriait, comprenant très bien quelle était la stratégie de l’avocat... Et elle était plutôt payante.

« L’armée sylvandine est reconnue comme une armée étatique impériale. Vous avez aidé à Mälrunn, et nous prouverons sans peine que vos faits militaires ont été reconnus là-bas. Il ne faut pas vous leurrer, Baltahzar, vous serez condamné. Non seulement vous avez reconnu les faits, ce qui, juridiquement, signifie forcément que le Tribunal va entrer en voie de condamnation, mais, politiquement, Emhyr ne peut pas se permettre une relaxe. Ma stratégie n’est pas de jouer sur une relaxe, mais d’insister pour une condamnation qui soit juste et équitable. Autrement dit, vous faire servir à Sylvandell pendant une certaine durée. »

Pour soutenir cette proposition, Baldwin comptait axer sa défense sur les actions de l’homme à Sylvandell, en les développant davantage, afin de montrer qu’il était un puissant guerrier, de sorte qu’il était clairement dans l’intérêt de l’Empire de l’embaucher, et d’utiliser ses talents.

« Maintenant, à vous de me donner votre avis. Voici la stratégie que je vous propose, qu’en pensez-vous ? »
« Modifié: samedi 17 juin 2017, 12:57:15 par Princesse Alice Korvander »

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    Devenu vampire par le biais d'une bien compliquée histoire, il essayes tant bien que mal de dominer son instincts, mais son combat avec lui même le rend parfois instable et maladroit.
    
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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 253 vendredi 16 juin 2017, 08:29:59

« Le Ministère public va interroger différents témoins. Quand ce sera à vous, je suppose qu’il axera sa position sur les points forts de son dossier. L’un des éléments faibles, que je vous invite à travailler, est votre argumentation divine. Je ne demande qu’à vous croire, mais, quand vous affirmez que c’est une Déesse qui vous a permis de soigner votre transformation, l’argument est faiblard. D’autant plus qu’Unhazaal Dovahiiz n’appartient pas à la mythologie officielle impériale. »

Commentaire des plus utiles pour le coup, mais qui apparut pour le vampire comme difficilement solvable, et pour cause, qu'il lui avait bien précisé de ne pas mentir, et qu'il y avait là le tout de la vérité : L'entitée, divine, avait eut le don de le limiter, de l'empêcher de l'attaquer, de l'éloigner finalement même des toits de la cité pour le faire passer par dessus les remparts, et de finalement le dominer par la force alors même qu'ils se trouvaient à l'extérieur de la ville, dans les champs, hors de toute présence humaine. Si il ne venait pas à confirmer cela, comment pouvait-il le justifier ? Ce qu'il présenter comme une divinité n'était en fait qu'un représentant, qui dés lors l'avait converti à sa foi par quelques mots bien élégamment choisi ? Fadaises, pour tout ceux qui connaissaient l'état d'un vampire dans des périodes de frénésie sanguine, il n'existait ni mot, ni ton, ni expression capable d'atteindre la raison d'un tel être en nécessité de se sustenter, et quiconque se permettrait pareille idiotie, même en considérant un éventuel fanatisme, aurait tout malheur à subir les crocs de la créature nocturne ! Engager la discussion en prétextant que la divinité mineure avait été envoyée par une divinité supérieure, qui elle avait eut la toute puissante tendance de se trouver parmi le panthéon Ashnardien, et par là-même avait voulut couver ses citoyens du danger que représentait le vampiroïde, surtout en considérant toute la sauvagerie de son naturel bestial ? Cela, finalement, lui paraissait lui être une solution satisfaisante, mais là il pêchait de culture, car si il avait passer bien du temps dans les rues de la grande cité impériale, il n'avait, pour autant, pas eut la curiosité de s'informer des croyances communes du domaine, et n'avait donc pas le moindre élément suffisamment crédible pour constituer un "arrangement de vérité" :

« Il faudra leur rappeler que, lors du combat à Mälrunn, vous avez réussi à vous contrôler et à soutenir les Sylvandins.
 -  Ce en quoi je pourrais témoigner.
 -  Mais vous faites partie de ma liste des invités, Princesse, ainsi que d’autres Sylvandins.
 -  Ah bon?
 -  Mais, comme je ne sais pas encore s’ils viendront, je préfère ne pas vous en parler, de manière à ne pas créer de faux espoirs.
 -  Ils se risqueraient peut-être à quelques huées, quelques désaccords qui pourraient leur devenir bien préjudiciable. Si les soldats Sylvandins m'apprécient, ce n'est pas le cas du peuple Ashnardien, qui auront toute tendance à rejoindre un avis sensiblement proche de celui de Bismarck. Je ne pourrais leur en vouloir de préférer se préserver de déaccords publiques sur le territoire impérial. »

Rien ne justifiait que d'autres sacrifient leur réputation, leurs accords commerciaux, ou leurs liens avec les membres de la société Ashnardienne pour sa propre sûreté, il en avait grandement conscience, et le fait de savoir déjà qu'Alice serait présente pour la défendre dans ce genre d'échanges complexes, à l'issue imprévisible, était déjà suffisamment plaisant pour réchauffer un peu le coeur froid du vampiroïde, dont les doutes remontaient à toute vitesse. Alors, bien sur, si d'autres personnes que sa protectrice présentait à l'assemblée que l'homme, malgré toute la fureur et la rage qu'il incarnait sous sa forme monstrueuses, avait fait preuve d'un comportement digne du plus grand et loyal soldat lors de son affrontement avec le mage chaotique, il était clair que ces témoignages gagneraient en poids, en importance, mais pour cela il fallait bien sur considérer qu'il avait suffisamment marquer les esprits pour qu'on veuillent l'aider. Et cela, l'homme n'en était vraiment pas sur, il ne s'était jamais connu d'un grand charisme, ou d'une grande sociabilité. Il se rappelait encore ce moment gênant, dans les camps Ashnardo-Sylvandins, où sa tentative d'avaler quelques gorgées d'alcool s'était soldée par quelques vomissures, et des regards de reproches et d'inimitié dans le cercle des soldats alentours. Il n'avait pas l'apparence d'un homme dont on offrait valeur et confiance, mais bien de l'être qu'on tolère tant qu'il défend des intérêts communs, et cela, bien sur, pouvait grandement lui porter préjudice en cette journée, selon la présence effective, ou non, de ceux que l'avocat avait conviés.

« Reste encore la question de Lyz Bismarck. Sur ce point, vous avez reconnu les faits. Ne revenez pas sur votre position. En revanche, je vous encourage à être plus clair sur ce que vous entendez faire pour réparer le préjudice subi. L’idéal est d’éviter une peine d’emprisonnement. Aussi me dis-je qu’il pourrait être intéressant de proposer au Tribunal, à défaut d’une peine d’emprisonnement, une peine de servitude au sein de l’armée de Sylvandell. L’armée sylvandine est reconnue comme une armée étatique impériale. Vous avez aidé à Mälrunn, et nous prouverons sans peine que vos faits militaires ont été reconnus là-bas. Il ne faut pas vous leurrer, Balthazar, vous serez condamné. Non seulement vous avez reconnu les faits, ce qui, juridiquement, signifie forcément que le Tribunal va entrer en voie de condamnation, mais, politiquement, Emhyr ne peut pas se permettre une relaxe. Ma stratégie n’est pas de jouer sur une relaxe, mais d’insister pour une condamnation qui soit juste et équitable. Autrement dit, vous faire servir à Sylvandell pendant une certaine durée. »

Alors là, par contre, l'homme fut sidéré. Pas parce que son avocat lui annonçait qu'il allait être condamné, ça il s'en doutait depuis un long moment, et il avait même prouvé, autant dans ses pensées que dans son comportement, qu'il n'avait finalement que bien peu d'espoir de se trouver à l'air libre une fois qu'il serait parvenu à atteindre la fin du procès, se voyant plutôt à croupir durant quelques longues années dans un cachots profond, au coeur de la cité d'Ashnard, avec des gardiens terrifiés n'osant même pas lui apporter un simple repas. Non, si il avait actuellement, en dépit de toute connaissance juridique, et de la moindre lucidité sur la réussite de l'opération dans laquelle son alliée se lançait, la surprise qui parcourait le moindre compartiment de son esprit, c'est bien parce qu'il ne s'était jamais imaginé qu'une éventuelle peine de ce procès serait suffisamment arrangeante pour qu'il ne s'en sente même pas handicapée. Alors oui, il était un voyageur, il avait bien du mal à rester en un seul lieu, quelque soit le temps, quelque soit son régime politique, quelqu'en soit son peuple, mais n'avait-il pas avoué lui-même qu'il trouverait parfaitement son plaisir à s'établir en Sylvandell ? Travailler dans une armée lui demanderait fondamentalement des efforts, surtout qu'il l'avait déjà expliquer, mais il voyait mal comment des capacités aussi brutales et anarchiques que les siennes sauraient se trouver utile au milieu de l'ordre et de la précision des soldats, mais dans le fond, et ce avec toute l'honnêteté du monde : Il avait tout le mal du monde à considérer un travail à Sylvandell comme une fatalité, et non sans adresser un regard envers la princesse qu'il pourrait ainsi côtoyer -et se reprenant rapidement de peur que la démone maline, ou l'avocat ne détectent son intérêt- il laissa le maître finir sa présentation, avant de s'exprimer :

« Maintenant, à vous de me donner votre avis. Voici la stratégie que je vous propose, qu’en pensez-vous ?
 -  Vous l'avez bien sûrement remarqué, Maître Teckhart, mais je compte bien rester humble sur tout ces points. Vous êtes, assurément, une personne qui à pleine conscience des enjeux de ce procès, et je ne peux que m'accorder à vos propositions. Elles me conviennent oui, parfaitement, et je vais encore réfléchir à la manière de présenter mon contrôle de moi-même de façon à soutenir celui-ci comme certain, et fiable. Autrement, vous avez toute ma confiance, et je n'ai aucune raisons de repousser un éventuel amendement en participant aux efforts militaires de Sylvandell. »

Il aurait put encore préciser un peu sa pensée, mais l'heure avait déjà filée, et le soleil commençant à monter, le vampiroïde n'eut pas eut trop de mal à deviner que l'heure de son départ était proche. À peine d'ailleurs avait-il finit de répondre à l'avocat que quelques coups légers se firent entendre aux larges portes qui menaient à la salle à manger où ils échangeaient, et ce fut avec beaucoup de lenteur et de politesse que l'une de celles-ci vint à s'ouvrir pour laisser voir une des servantes de l'Ambassade, calme, qui vint entrer non sans exprimer quelques excuses. Apparemment, les gardes étaient arrivés, et demandaient à ce que le vampiroïde vienne les rejoindre pour qu'il soit ferré, puis emporter jusqu'à la cour, où il sera garder le temps que les différents membres du procès se réunissent, malgré le commencement relativement tôt de la séance aujourd'hui. L'homme se leva donc sans un mot, offrant un léger mouvement de tête à celle qui était venue les prévenir pour lui indiquer qu'il arrivait, et rapprochant la chaise de la table pour ne pas que celle-ci se trouve sur le chemin, il ne manqua pas d'offrir un léger regard aux trois autres personnes avec qui il venait de passer rapidement en revue les événements de la journée. Tout allait se jouer désormais, et pour le coup, il aurait apprécié avoir un peu plus de temps, mais bien sur, celui-ci ne lui était pas véritablement offert pour qu'il puisse se préparer à la moindre éventualité. Il offrit alors un salut bien respectueux et solennel, puis s'exprima d'un ton léger, cherchant à ne pas paraître trop troublé par l'imminence du procès, moyen de rassurer ceux qui avaient tout de même tant fait pour l'aider à se sortir de ce mauvais pas.

« A vous trois, un grand merci pour votre soutien. Je vous retrouverais au procès, d'ici là, profitez donc bien de votre matinée. A plus tard. »

Puis il quitta la pièce, avant de finalement rejoindre la cour extérieure, et ses gardes, qui l'emportèrent rapidement jusqu'à la salle fatidique de son jugement.


Samara

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Re : Le procès du vampiroïde [Darthestar]

Réponse 254 lundi 19 juin 2017, 01:13:19

« Vous pouvez vous asseoir. »

Il y eut un mouvement de foule après l’annonce d’Emhyr, puis le public s’assit tranquillement. Emhyr se retourna vers ses deux assesseurs, discuta un peu, puis s’adressa

« Le procès de Monsieur Fyune peut reprendre. Qu’on amène l’accusé à la barre ! »

Il y eut quelques brouhahas. Samara resta silencieuse, et vit une porte latérale s’ouvrir. Deux gardes armés en lourde armure s’approchèrent, escortant Balthazar, portant désormais de lourdes chaînes en obsidienne autour des poignets. Samara regarda alors Bargas. L’élégant Procureur était bien jeune pour assurer un tel procès. C’était bien la preuve qu’il était talentueux, et, surtout, qu’il était un arriviste aux dents longues. Un garçon brillant qui avait réussi avec succès ses études, et qui descendait d’une famille de basse extraction. Les Bargas n’étaient que de simples négociants, et Antoine était assurément leur fierté.

Ce dernier consultait silencieusement ses notes, prêt à agir.

« Monsieur Fyune, nous allons reprendre l’audience que nous avons commencé hier. Le Tribunal a revu avec vous les faits ayant justifié votre présence ici, ainsi que les éléments de votre personnalité. Le Tribunal est maintenant suffisamment informé pour pouvoir écouter les différentes parties en cause. L’audience de ce jour, au moins pour ce matin, est consacrée aux réquisitoires du Ministère public, qui est libre d’amener à la barre les témoins qu’il estimera utiles. La liste de ces témoins a été communiquée au Tribunal en temps utile. »

C’était là une grosse différence avec le droit nexusien. À Ashnard, le respect du principe du contradictoire faisait également partie des principes directeurs du procès, mais était davantage respecté en droit privé qu’en droit pénal. En droit pénal, le principe du contradictoire consistait surtout à informer le Tribunal de ce qui se passait. On voyait bien là la toute-puissance de l’État, qui conservait la mainmise sur une procédure pénale, et le caractère inquisitoire de la procédure pénale.

L’introduction faite, Emhyr donna la parole au Procureur, qui se redressa alors.

« Je vous remercie, Monsieur le Président. Mesdames les assesseurs... »

Le Procureur se déplaça, et sortit rapidement de son box, descendant les marches, l’amenant ainsi près de Darthestar.

« Monsieur Fyune ! Nous avons entendu toute la journée d’hier votre version des faits. Longuement, la Cour est revenue sur les accusations dont vous êtes la cible, et a pu se faire une idée assez large de votre personne. À ce stade, la question de votre culpabilité ne se pose plus, puisque vous avez reconnu les faits. »

C’était indéniable, et Baldwin en avait déjà parlé à Balthazar, de sorte qu’il ne pouvait pas être surpris.

« Néanmoins, il y a quand même quelques éléments qui m’intriguent... Vous nous avez dit que vos crimes ont été commis alors que vous étiez transformé. Sur ce point, il existe des décisions, nombreuses, essentiellement en matière de lycanthropie. Je n’apprendrais rien à la Cour, mais, pour vous expliquer simplement, selon les cas, une personne victime de lycanthropie peut être, tout en étant coupable, jugée irresponsable, si la Cour estime que vous souffriez d’un trouble ayant aboli votre discernement. »

L’homme marchait tout en parlant, d’une voix forte et posée, claire et sourde.

« En l’occurrence, cette question est importante. Et, pour anticiper l’un des arguments de la défense, Monsieur Fyune... Seriez-vous favorable à l’organisation d’une mesure d’expertise visant à déterminer si, quand vous vous transformez, votre discernement est véritablement aboli ou non ? »

DC d’Alice Korvander.

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