Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Seikusu ne répond plus [PV Makoto]

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Renaud Senorti

Humain(e)

Seikusu ne répond plus [PV Makoto]

mercredi 10 septembre 2014, 18:59:38

{Légende : françaisjaponaisanglais}




J'avais posé le pied sur le tarmac de l'aéroport de Tokyo il y a une semaine, l'agence m'envoyait dans cette endroit qui avait nourrit mes fantasmes depuis mon enfances provençales. Je voyais le Japon différemment à l'époque, puis il  y a eu les mangas et là mon image du pays Nippon a était définitivement niqué. Je me souviens de l'ordre de mission, Mr B. le directeur de la DGSE m'avait même reçu dans son bureau pour m'en parler avec plus de précision.

Paris 26 Août 2014.



> Vous partez en mission Renaud
.

> Douce chanson que vous me chantez là Bernard


> Écoutez Renaud, la mission est bien ce que vous avez lut, des rumeurs d’événements paranormaux on était observé de façon inquiétante dans le districts de Seikkusu, Tokyo, Japon

> Et pourquoi m'envoyer moi Bernard ? Les hommes de Nick Fury ne sont-ils pas mieux adapté pour ce genre d'opération ?


> Parce que vos compétences sur le milieu asiatique ont était souligné par Mr le ministre lui même. Il vous veux sur cette affaire, et que la France tient à être au courant d'elle même de ce qu'il se passe là bas.

> Et bien.. si Monsieur Le Drian lui même me veut sur cette affaire, qui suis-je pour refuser ? Déclarais-je un grand sourire au lèvre.

> En effet vous n’êtes personne.

Il me regarde, je le regarde, il me regarde, je le regarde, un petit sourire se dessine sur ses lèvres, un grand sur les miennes et nous partons d'un franc éclat de rire chacun  avant de reprendre notre sérieux instantanément, on ne déconne pas à la DGSE.

> Plus sérieusement. Renaud, votre contacte sur place et Li Tak...Takama...Takis..
le directeur me regarde et lit une note, Toriaki

> Comme le bœuf ?

> Lui même.


> Puis avoir une réclamation?

> Dites toujours Renaud.

> Je veux choisir ma couverture.

> Accordé, avec Monsieur Li.. il vous faudra une bonne couverture !
[/color] Le directeur pouffait de rire

Je marque un temps pour comprendre avant de pouffer à mon tour

> Sinon je serais dans de beau draps !

Nous rions puis reprenons notre sérieux instantanément, on ne déconne pas à la DGSE.

> Vous partez Lundi.


> Je fais mes valises.[/i]

Je me lève après avoir salué l'homme le mieux renseigner de France après le Président Hollande et ressert ma cravate, je salue ce qui semble être une femme âgée mais pour mon œil aguerri je vois tout autre.

> Bravo mon p'tit Jean-Mi, très réussi le costume.


la voix d'un jeune homme sort de la vieille femme.

> Merci Mr Renaud !

Et me voilà parti pour le Japon.

Tokyo, 28 août  2014.




J'arrivais deux jours plus tard à Tokyo, et j'étais devenu Mario Spadini, journaliste travaillant pour une radio Franco/Italienne et je faisais un reportage sur le système scolaire japonais. Je ne quittais pas mon smartphone des yeux, étudiant  de façon intensive le Japonais sur.. Google traduction et Babel.com en machant un cheewing gum

> Con..nichon wa... Je suis ils le disent  comment ces samouraïs de mes deux ? Ô bonne mère, I'm Spadini-san. Duuuuuuuh, je sens que ça va pas être trise.

Je regardais passé un groupe d'hôtesses de l'air japonaises et retire mes lunettes de soleil de type Pilote en sifflant, mon plus beau sourire aux lèvres.

> Oh la la, fis-je en les regardants elles se retournèrent et gloussèrent.


Je sens que j'allais aimé ce voyage sur le sol nippon, 'fin ça c'était au début.



Seikusu, 3 septembre, aujourd'hui, maintenant, right now.




Nous étions la St Grégoire, j'étais dans ma chambre d'hôtel payé par l'agence entrain de nettoyer mes armes, j'avais emporté le strict minimum, SigSauer 231 Super legend, une arbalète en aluminium avec carreau à tête explosif et carreau non létale, un fil de piano pour étrangler, deux ou trois couteau de jet, une grenade flash, une à fragmentation et une incapacitante, ainsi que ma trousse de toilette, sait on jamais si je voulais être propre. Dans la pièce chaleureuse se jouait Hooked on a feeling, la bande son original d'un film à la mode et que j'avais appréciés écouter bien qu'a mes yeux, rien ne vaille la musique de notre belle France. Ah, elle est loin, la belle époque de la môme, de Brassins,  de Michel Berger ou Claude François, bien que je n'ai pas vécu ces auteurs, j'avais fais de leur chansons, les souvenirs des vacances à la mer. Après avoir soigneusement nettoyé mon arme de poing je la glisse dans un holster dissimulé dans ma veste de costume et descend afin de connaître un peu la région de cette jungle grise, pour l'instant j'étais ravi..

Je descendait en ville pour repérer un peu les lieux de mon travail. La ville était vertigineuse, monstrueuse une fourmilière.. bien que ça me rappelle ce que mon père me décrivait quand il était en vie en parlant de termitière géante au Tchad par lettre. Je marchais dans les rues de la ville, de cette cité monstrueusement peuplé. Je m’arrêta et porta la main à l’intérieur de mon veston sur mon arme en voyant ce qui semblait être une horde de zombie... Non c'était des jeunes qui faisaient un cosplay, un grand type chauve avec une fausse gatling et un faux accent russe me tapa dans le dos en beugland

> GENTLEMAN IS A SPY

Mais t'as gueule boulet... Je me retenais de lui broyer la main, il s'en alla en riant les gens dans la rues me regardèrent un instant.

> Quoi ? J'ai un bout de salade entre les dents ?
Fis-je dans un anglais parfait aux pointes d'accents du midi de la France.

Les gens continuèrent leur route et moi aussi, décidément les Japonais étaient des gens bien curieux, dans tout les sens du terme. Je commençais à avoir du mal à supporter les bruits de foules et j’entrai dans un immeuble au hasard il y avait deux ascenseurs, j'allais en prendre un quand je senti une arme dans mon dos.
Je ne tourna pas la tête pour voir qui c'était mais son français aux accents allemands le trahit, c'était un Prusse.

> Suifez nous, Maria.

> Avec plaisir.

Je me laissa guider vers l’ascenseur de droite qui s'ouvrit sur.. des chinois... Décidement on se serait cru dans un filme comique, je savais d'experience ce que les chinois me reprocheraient, j'avais tué un de leur frère, une fois dans l’ascenseur je vis une femme entré dans l'autre, suivit de ce qui me sembla être une masse rose et malodorante.. enfin malodorante.. On aurait dit une sorte de parfum envouteur mais puant.. un peu comme le parfum d'une prostitué un soir d'été.. Les portes se refermèrent mais j'entendis quand même un cri.. la femme était en danger. Je me devais de l'aider. Je restais cependant d'un calme olympien. Et tourna la tête vers les Allemands pour leur ressortir une réplique de OSS117 que je connaissais par cœur à force de l'écouter sur Youtune.

> Je suis ravi de vous revoir, je n'ai pas eu l'occasion de vous reparler depuis cette mission à Paris, je voulais vous en remercier, très belle mission, très agréable.. Ah. J'espère que vous n'êtes pas trop désapointés, j'n'ai pas pus tuer tout les.. chintoques je sais que vous détestez tout ces bouffeur de riz..

les allemandes se regardèrent, je prenais un air embêté.

.. C'est qu'ils sont récalcitrants.. ces faces de quetch..

Ils pouffèrent, les deux chinois se regardèrent choqués.

.. les tranches de pamplemousses.. robuste les têtes de prunes..

Ils ricanaient tout les deux, j’enchaînais, un petit sourire victorieux aux lèvres.

.. les cœurs d'annanas, les rondelles de citron...


mes deux allemands riaient franchement, les chinois perdaient patience

..Les bananes flambés..

Ils étaient hilare

..Avant qu'elles ne soient flambés..

Je les tenais, les chinois bouillonnaient
 
.. Les bananes quoi..

Ils étaient mort de rire et les chinois éxtremement en colère, un petit dingue retentit

.. Je descends là.



Je quittais mes deux allemands pleurant de rire et mes chinois vert de rage.. ou jaune peu importe. J'entendis trois coups de feu et m'arrêta, quatrième coup de feu, c'est bon. J'appelais l'ascenceur de la demoiselle et du... blob... L’ascenseur monta plus haut que mon étage, vers le toit.. Merde ! Je devais agir et vite sinon peut être que la vie de cette femme était compromise, par chance, l'escalier de service était là. Je le prit et grimpa jusqu'au toit

> je savais que mes cours de marche athlétique me servirait à autre chose qu'avoir un beau fessier.

J'arrivais en haut, sortant mon arme pour parer un éventuel danger.. et AU MON DIEU. La femme était entrain de se faire violer par la créature dont le parfum embrumait mon esprit. Je secouais la tête et tira sur le tentacule violant la bouche de la femme, le tir le coupa net. Je passa a celui qui s'occupait du vagin, le tir le coupa net mais le monstre se retourna vers moi, lâchant la femme.

> Euh écouté, je vous ai tiré dessus, mais sorti de son contexte ça peut paraître bizarre. Je passerai mon tour pour la coloscopie multiple.

Je vidai mon chargeur sur la créature qui me fonçait dessus en ouvrant ce qui semblait être une bouche. Je tenta de la faire fuir à la manière dont on fait fuir les lions, en leur fonçant dessus et en hurlant.. Ouais ça marche qu'avec les lions, je me vois soulever en l'air et déjà mon costume commence à être déchiré, je sens mon corps s'abandonné à ce qui semble être des phéromones et j'attrape ma grenade incapacitante au dernier moment..

> bouffes.. ça


Je jette la grenade dans le ventre de la créature qui explose, projetant sa matière gluante sur le toit de l'immeuble, je tombe à genoux, mon esprit grisé par l'aphrodisiaque de la créature..

> madame.. ça va ?

Je tentes de me relever pour aller la voir et me pose à genoux à côté d'elle, je vérifie que son cœur bat et si elle est consciente.
« Modifié: vendredi 03 octobre 2014, 16:00:33 par Renaud Senorti »

Makoto Yamashita

Humain(e)

Re : Seikusu ne répond plus [PV Makoto]

Réponse 1 mercredi 18 mars 2015, 18:20:28

J'avais rendez-vous aujourd'hui avec un contact très important : une source que je ne vais pas révéler ici parce qu'il est d'usage de conserver ses sources secrètes dans le journalisme. L'homme détenait des informations très importantes sur certains cas de viols commis dans la ville de Seikusu. Il avait éveillé ma curiosité en parlant de cas étranges... D'actes qui ne semblaient pas avoir été commis par des hommes. Et par "hommes", on parlait d'Hommes, avec un grand H. D'êtres humains. En raison de mon esprit cartésien, j'avais un peu de mal à le croire. Je connaissais toutefois sa fiabilité et je ne pouvais certainement pas laisser passer l'occasion de récupérer de telles données. Cet homme avait suffisamment de contacts importants pour que je ne remette pas en doute sa crédibilité.

Je me dirigeai donc vers le bâtiment dont mon contact m'avait transmis l'adresse par SMS avec tout le nécessaire dans ma sacoche (un calepin, un dictaphone et un ordinateur portable). À l'intérieur, j'appelai d'un ascenseur et y entrai, sans prêter attention à mon environnement, plus occupée à lire mes messages qu'à m'intéresser à la décoration intérieure. Je notai tout de même une odeur étrange et entêtante, sans être agréable. Qu'était-ce donc ? Et pourquoi avais-je soudainement si chaud ? Pourquoi mon bas-ventre réagissait-il, comme si j'étais excitée ? C'était insensé...

J'eus à peine le temps d'y réfléchir qu'une masse me tomba soudainement dessus. M'avait-on tendu une embuscade afin de m'agresser ? Je tentai de me défendre et de résister, en vain. Non seulement l'adversaire était bien trop lourd, mais je ressentais une certaine langueur qui drainait mes forces. Allongée sur le sol de l'ascenseur, je parvenais à peine à me redresser sur mes bras. Pourquoi étais-je aussi faible ? Et cette odeur... Si envoûtante... J'avais le sentiment de perdre l'esprit en même temps que ma force. Pourquoi étais-je envahie de pensées lubriques en pareilles circonstances ?

Enfin, je vis mon agresseur quand ce dernier agita des tentacules devant moi ? Des tentacules ? Quelle était donc cette horreur innommable ? J'avais du mal à voir là une coïncidence, alors que mon contact m'avait parlé d'une menace surnaturelle... Je n'eus pas le temps de songer à des théories concernant cette question. Il était difficile de se montrer rationnelle quand on avait l'esprit embrumé de la sorte et que l'on était face à ce genre de... monstre. Je devais agir : je me débattis donc, en vain. Mon corps était presque endormi, comme sous anesthésie...

Le monstre décida alors d'agir et me retourna en m'attrapant avant de me plaquer contre une paroi assez brutalement. J'aurais dû être terrorisée, mais la langueur qui me gagnait depuis un moment et engourdissait mes membres au point de me priver de toute ma force atténuait même ma peur. Je réagis à peine quand il glissa un tentacule dans mon décolleté avant de tirer violemment, faisant sauter tous les boutons de mon chemisier. Au mieux, j'eus une brève réaction de surprise, mais rien de ce que j'aurais ressenti si j'avais été dans mon état normal.

De même, je n'eus guère de réaction quand il se glissa sous ma jupe en écartant ma culotte afin de me pénétrer, entrant sans difficulté dans mon intimité déjà lubrifiée par l'excitation malsaine et surnaturelle que l'être provoquait. Avec le recul, je ne sais toujours pas quoi penser de ce monstre, mais la stimulation provoquée par son parfum avait l'avantage de permettre une pénétration plus facile et moins douloureuse. C'était horrible de se sentir offerte, vulnérable et impuissante à ce point, mais au moins, on ne souffrait pas. On se sentait sale et le choc était bien là. Il ne fallait pas négliger l'impact psychologique. Néanmoins, on n'avait pas à craindre de séquelles physiques... Certains agresseurs "humains" étaient bien plus violents que ça.

À ce moment, je ne pensais certainement pas à cela. J'étais simplement incapable de penser à autre chose qu'au plaisir qui me gagnait. Je ressens encore une certaine culpabilité, bien que je sache que je n'en étais aucunement responsable. Ce n'était pas de ma faute, mais de celle de cet être. J'ignorais combien de temps ce viol avait duré, mais le monstre avait profité de mon état second pour me prendre la bouche en même temps que l'intimité. Je sentais un liquide suinter et couler dans ma gorge. Le goût me rappelait l'odeur étrange de la bête.

Alors que je me trouvais sur le toit d'un immeuble, j'entendis des bruits... Des coups de feu. Des tirs tranchèrent les tentacules en moi. Le monstre me libéra afin de se défendre contre son assaillant, et une explosion mit fin à son existence. J'étais sur le sol, à demi-consciente, encore épuisée par l'influence néfaste de la fragrance sur ma psyché et mon corps. L'homme vint à genoux à côté de moi et vérifia les battements de mon cœur. Ce dernier, malgré mon état de faiblesse, battait la chamade. Quoi de plus normal dans mon état d'excitation sexuelle ?

Je levai lentement les yeux vers mon sauveur et souris légèrement. J'avais chaud et sentais la sueur couler sur mon front. Pourtant, j'étais partiellement nue et me trouvais sur le toit d'un immeuble. J'avais du mal à l'admettre, mais malgré la mort du monstre, j'étais encore en chaleur, ses phéromones envahissant encore l'air. C'était particulièrement gênant, alors que je me trouvais sur ce toit, seule avec mon sauveur...

Encore perdue, je secouai la tête pour me concentrer et répondis faiblement :

- Oui, ça va, mais... Je me sens si bizarre... C'est une sensation curieuse.
Fiche
Insoumise à toute autorité : tout pouvoir n'est qu'une absurdité illusoire, ici comme ailleurs.

Renaud Senorti

Humain(e)

Re : Seikusu ne répond plus [PV Makoto]

Réponse 2 lundi 30 mars 2015, 03:13:21

- En effet, c’est une curieuse curiosité que cette sensation… Un peu comme… Comme la rosée du matin sur un roseau humide un matin de printemps à Taiwan.. la promesse d'une belle journée et la perspective d'une soirée enflammée

Mais Renaud.. mais pourquoi tu dis ça.. ah oui, peut-être parce-qu’ en face de moi une japonaise tout à fait séduisante, se trouve presque nue, les jambes écartées, en chaleur, que mon esprit et grisé par les aphrodisiaques de l’autre saloperie, et que je n’ai pas fait danser le grand chauve depuis quelques mois..

Ou aussi que l’humidité dont je parlais était celle que je sentais au sol, cyprine + boue aphrodisiaque de l’autre blob ? Complétement, est-ce que j’étais en état d’érection dépassant de mon pantalon complétement déchiré au niveau de mon entrecuisse ? Assurément. Est-ce que j’avais envie de la prendre maintenant et tout de suite ? Sexuellement.

La question que je me posais là maintenant et tout de suite, c’était, est-ce que je profite qu’elle soit comme ceci… ?

Non la vraie question c’est est-ce que je suis assez con pour ne pas saisir ma chance ?

Faut croire que non. Doucement je colle mes lèvres aux siennes, je suis Français bordel, le French kiss doit sexporter (c’est fait exprès). Je la mets sur le dos

- Je vais vous faire un massage pour faire circuler votre sang et éliminer les toxines, c’est un indien qui m’a appris à faire ça, enfin, une indienne

En l’occurrence c’était vrai, sauf que ce n’était pas exactement des toxines mais du stress, que normalement c’était de l’acuponcture et que au final, le a, je l’ai sauté, l’indienne aussi, on a bien compris le cul mais pas trop le poncture. Et le massage en question était un massage de la poitrine ! Mes mains fortes et calleuses, imprégnées des automnes à vendanger les vignes des terres produisant le Châteauneuf des papes, palpant cette poitrine avec avidité, tandis que mes lèvres parcouraient son cou et whoooo stop Renaud tu viole une femme!

- Euh.. Veuillez m’excuser, je me suis emporté..

Mieux

..et je crains continuer, appelez-moi simplement Léon.


...

Encore Mieux.

je reprenais les caresses, mon sexe frôlant sa jambe. Je voulais me sentir en elle, je voulais la prendre à la Grec ou encore à l'Italienne, lui faire découvrir l'Europe du sexe, du miens en tout cas. Ma main caresser son entrejambe à présent.

- J'aimerais savoir si vous êtes consentantes pour le restes.. que.. Léonthologiquement.. sinon c'est compliqué

Je trouvais la lucidité de lui lancer un grand sourire.


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