Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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"Et comme si ça ne suffisait pas!" [PV Alice Cyan] [Abandonné]

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Cynhaa

E.S.P.er

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    Ses actes racontés à la première personne sont en écrit normalement, *ses pensées sont entre asterix* et [color=maroon]ses paroles en marron[/color].
*Pense en s'éveillant*: Du bruit...? De l'eau... De la pluie...? J'ouvre avec difficulté les yeux, ayant du mal à retrouver mes esprits, voyant flou. Ma vue revient à la normale, je peux voir la cascade qui s'écrase depuis de hautes falaises sur les rochers se dressant comme pour mordre la trombe d'eau. Je me dis alors "Hmmm ma tête!" en effet celle-ci est assaillie par une violente douleur, je n'y pense déjà plus tendis que je tente de me lever, un poids me bloquant sur le moment. Voyant ce qui me recouvre, je pense alors: "Un cadavre? ha oui... je me souviens. C'est l'un des deux hommes. Que me voulaient ils?... Et cette fille... Je me demande ce qu'elle va devenir... Qui étaient-ils?". Je pousse alors le cadavre qui me recouvre et prend le katana qui le traverse de part en part... Il me dit quelque chose. Je l'avais dans les mains avant d'emporter le type avec moi du haut de la falaise tout en lui portant une estocade.

Pensant que de toute façon ce n'est pas en restant ici que cela avancera quoi que ce soit, je me lève tout en rengainant l'arme au fourreau se trouvant sur ma hanche gauche. Je constate qu'il fait nuit, pas le meilleur moment de la journée pour être rassuré, et je n'ai aucune idée de l'endroit où je me trouve. Pourtant j'ai l'impression d'être arrivé jusque là par ma propre volonté ou presque. Je me souviens alors "Ha oui! J'ai tué père et mère. Non! J'ai tué deux raclures de la société... Bon je dois trouver de quoi manger, je dois reprendre des forces, puis m'abriter pour la nuit.". Je fouille le corps inerte et trouve une bourse remplie de quelques pièces, me disant que ça fera l'affaire pour plus tard on ne sait jamais. Je trouve aussi sur lui un couteau long d'environ trente-cinq centimètre au dos de la lame cranté, jamais je n'en avais vue un comme ça, ceci aussi peut être utile; et tien! Une trousse de secours, je ne dis pas non. Je range le tout et me voilà parti.

Bizarrement je me sens en colère... en pensant à c'est deux connards de géniteurs... et leurs pauvres victimes... Pourquoi pensais à eux... Ils ne sont plus. Mais non! Quelques choses décidément ne collent pas. Je n'étais pas du genre à tenter de les fuir ou à leur résister... *grommelant* "hmmmm maudits soient-ils." . Alors j'avance, plus loin une grande bar de fer... Oui celui de l'autre type. Je suis la rivière, n'ayant de toute façon pas d'autre choix... vingt minutes passent et je suis définitivement paumé au milieu de nul part. *grrrroooonnnnrrrr* et en plus j'ai faim...". Je leurs ferais payer à tous, je les tuerai l'un après l'autre, un à un; ça sera long mais tous je leurs ferai regretter. Tien mais j'y pense!" pensais-je, je sors le couteau et l'attache au bâton à l'aide de bout de bandage trouvé dans la trousse de secours; c'est rustique mais je pense que ça m'aidera. Me voilà en pleine nuit à pêcher le poisson... Evidement je ne suis pas vraiment bon.

Je ne sais pourquoi, je me mets alors à réfléchir: "Don... Don... En effet il m'est pratique mais... Pourquoi je ne peux pas me souvenir de ceux que j'ai peux être appris avec? ... Huuuunnnn! *soupirant* Je fatigue, et ces poissons, j'ai du mal à les voir dans le noir."... En plus de cela j'ai mal partout, à me demander comment j'ai pu survivre à une telle chute. C'est surtout mon ventre qui fait mal. Je regarde autour de moi, et mise à part les deux falaises constituant deux murs de part et d'autre de la rivière bordé de sentiers naturels je n'aperçois rien d'autre. Pourtant je sais bien que la nature, "elle!", m'observe; et ce de n'importe où, et partout à la fois, de façon indéterminable. Je dois me trouver un coin où m'abriter pour la nuit.

Je reprends mon chemin... mon harpon de fortune aussi utile qu'une barre à mine, pensant : "Et puis c'est quoi cette barre aussi lourde en guise de bâton de combat... elle doit faire dans les six kilos bon poids.". Tout en marchant je passe devant un renfoncement d'une des falaises et entre... C'est étroit mais je vois de l'autre coté un élargissement. Je m'y glisse, c'est assez grand pour accueil trois ou quatre personnes. Ajoutez à la fatigue le fait que j'ai froid. Je suis tremblant cela va sans dire, et pour couronner le tout il se met à pleuvoir. J'espère qu'aucun animal décidera d'élire résidence ici pour cette nuit...

Je me mets contre une des parois brunes, m'assoupissant, bien trop fatigué pour rester éveillé, mais bien trop conscient de la situation pour me laisser emporter par le sommeil. Le niveau de l'eau dehors commence à monter, je le vois à travers l’étroite et unique entrée. Malgré le bruit menaçant de le rivière grondante je suis rassuré, cela dissuadera sûrement les animaux de ne pas approcher pour ne pas être emportés. Enfin je l'espère, me raccrochant à cet espoir pour me reposer un peu plus sereinement...
« Modifié: jeudi 23 octobre 2014, 21:56:15 par Cynhaa »
Folies , Rêves et Cauchemars sont les seuls richesses de l homme . Des personnes considérées à notre époque comme des grands ayant existé , ont été traités de fou à leur époque. Des personnes appelées génies n ont fait que rêver d'une idée et ont tenté de la réaliser. Et enfin certain n'ont juste qu'affronté leurs cauchemars leurs craintes et leurs phobies pour les transformer en rêves fous.

Ses actes racontés à la première personne sont en écrit normalement, *ses pensées sont entre asterix* et ses paroles en marron.

Alice Cyan

Terranide

Re : "Et comme si ça ne suffisait pas!" [PV Alice Cyan]

Réponse 1 vendredi 29 août 2014, 13:30:37

Une nouvelle fois, la sauvageonne bleu court, droit devant elle avec la fougue que lui confère son statut de femme bestiale, elle court droit devant, elle a entendu quelque chose, et ça a attiser sa curiosité, elle sait ou elle va, une chute d'eau imposante ou elle s'était arrêter le matin même pour boire.

Elle court, dédaignant les animaux effarouchés qui la croisent et elle s'arrête, à l'orée du bois observant...deux hommes. L'un est mort et l'autre...presque apparament, elle l'observe de son couvert, immobile, impassible, sa jolie couleur bleu se teintant lentement mais surement en bleu nuit, se fondant dans le décor. Il essai de pêcher, elle réprime un rire devant sa manière gauche de faire. Mais ne peut s'empêcher de penser qu'il va mourir bientot à ce rythme... Elle a de la peine pour lui.

La nuit tombe et l'homme va s'abriter dans une petite grotte, elle le voit clairement s'affaller contre le fond de la grotte et comater, ses mouvement et sa respiration clamant un état plus proche du coma que du sommeil, prêt à se réveiller au moindre bruit. Mais Cyan n'est pas un monstre (pas totalement) elle s'approche du plan d'eau, observant les poissons aller et venir, avant de fuser, ses crocs allant trouver un...deux...trois poissons de bonne tailles avant qu'elle ne sorte de l'eau, ses prises sous le bras elle s'approche de la grotte en veillant à faire du bruit. Une fois sure que l'homme soit réveiller elle lui lance le repas.

Cyan est désolée, elle ne sait pas faire le feu.

Oui, elle lui parle, évidement elle est éduquée, même si elle aime se faire passer pour plus sotte qu'elle ne l'est, sa voix de cristal en a déja envouter plus d'un...Tomberait il dans le piège ? Une Terranide bleu, un collier ou des maillons de chaines sont encores présents et nue comme un ver. Comment réagirait il ?

Cynhaa

E.S.P.er

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    Ses actes racontés à la première personne sont en écrit normalement, *ses pensées sont entre asterix* et [color=maroon]ses paroles en marron[/color].

Re : "Et comme si ça ne suffisait pas!" [PV Alice Cyan]

Réponse 2 vendredi 29 août 2014, 23:27:37

Je m'endors progressivement, mais comme si le repos ne devait pas encore m'être du, un son, puis un deuxième suivies par d'autres me réveillent. Une forme aux couleurs de la toile qui sur la quelle de nuit les astres viennent jouer aux lucioles se tient devant moi. Dans la pénombre ne pouvant en distinguer les traits elle me semblait familière mais pas tant que ça. Et tandis qu'une impression de déjà vue me parcourait l’âme, mon cœur criait de peine, je n'en comprenais la raison. Mais tout ce que je peux faire, est de pointer ma lance de mauvaise facture sur celle-ci, bloquant le manche sous mon aisselle droit et faisant reposé la base contre mon dossier de terre et de roche, acculé au fond de mon terrier.

Cette silhouette aux courbes féminines me terrifie de ses yeux d'animal luisant même dans cette quasi absence de lumière et se tient debout à  la façon d'un humain. Est-ce humaine bien que ses yeux démontre une nature animale? Terranide peut être? Ou autre chose? Je ne vois pas plus que cela, d'autant quelle cache en partie le peu d’éclairage qu'offre l’extérieur, je ne sais que faire.  En tout cas elle me parle, en même temps que les bourdonnements aquatiques de dame nature accompagnent ses paroles, dont la fatigue m’empêche de tout comprendre: « Cy... n... dé... lé... … faire... feu. » .

Je demande alors: « Quoi...? Qui...? ». Et tendis qu'elle tente de communiquer avec moi, je parcoure « Ça » du regard de bas en haut... Cela me paraît bizarre, quelque chose attire mon attention au niveau de son cou, quelque chose qui mal gré  le bruit des grondements d'eau venant de l’extérieur cliquette, et dont les rares lueurs extérieurs le font scintiller.

Des chaînes... « Ça » aussi ; tout comme moi fut-elle captive s'était émancipée. «Qu'est ce que «Ça» me veut? » pensais-je. J'ai tôt fait d'avoir une réponse, un coup de foudre se fait entendre illuminant par une brève lueur des poissons aux robes argentés, ainsi que le magnifique corps en tenu d'Eve, les cheveux blancs... *Pense*:« Suis-je dans son antre? aurais-je du passer mon chemin? ». La seul chose me protégeant, si tant est que cela le puisse, de l'inconnue, et nous distançant est la lourde allonge de métal décorée du couteau faisant office de baïonnette. Pardon, elle vient de tombé au sol, elle ne me servira pas maintenant, je suis à bout, et ses poissons dont quelques bruits de frottement sur le sol tendent à me faire comprendre qu'ils sont encore frétillant... J'ai faim... Vraiment faim!

Je n'ai déjà plus rien à perdre même en tant qu'humain, quitte à me comporter en bête. Si je veux leurs faire payer tous autant qu'ils sont, alors je ne peux laisser ma vie m’abandonner maintenant, si je veux savoir ce qui me ronge de l’intérieur aussi. Je ne mourais pas non çà serait trop facile! Je me laisse tomber au sol à mon tour, prend le couteau que je décroche et réunissant les forces restantes, sans mots dire, me jette sur la poiscaille, découpant leur tête et les éventrant, arrachant leurs chaires qui me paressées si savoureuses, ce goût que l'on apprécie quand tenaillé par l’estomac demandant qu'à être rempli le moins bien préparé des plats paraît être un festin; comme le chien errant trouvant un os et rongeant tant bien que mal la chaire substantiellement restante.

Tandis que je dévore ce qui m'avait était laissé à porté de main, je m'assois une jambe pliée, mon pied posé contre le genoux de l'autre qui pointait en direction de la sauvage... Mais qui d'elle ou de moi parait le plus humain(?), tendis que je regardais avec le regard vide, froid, impartial et pathétique, ainsi, comme la personne ne pouvant plus faire confiance, et prête à tout si la situation venait à changer. Mais je sais fort bien hélas « Et! » heureusement que, dans mon état, en ce lieu, et par ce temps, nul action ne me serait possible pour fuir le moindre danger. Et que, si cette créature vraiment l'avait souhaité, depuis longtemps aurait fait de moi ce qu'elle en aurait eu envi.

Mâchant et avalant goulûment la nourriture, suçant mes doigts qui de quelques morceaux de chaire était couverts, tout en la regardant de mes yeux méfiant, je lui tend l'un des deux autre poissons restant, le poussant à ses pieds au moyen de la barre, qui, libérée de son pic de fortune était devenu bien moins menaçant... L'avait-il au moins était une seule seconde? Elle seule aurait pu le dire. Je lui tend donc l'un des mets, après tout n’était-ce pas ses proies? Alors même que je reprend ma nourriture déjà bien entamée, avec ma deuxième mains venant de lâcher ce qui servit de perche, d'un simple « Merci »au ton un peut trop fière pour la situation, la gratifie de son assistance. Je ne sais que dire, me contentant de mangeait... Non... De dévorer silencieusement, ce qui pour certain aurait était un rien, pour moi est un festin.

Je la contemple, je ne sais pourquoi elle me fait penser à quelqu'un sans pouvoir dire qui, ne pouvant mettre de visage à ce qui. Non j'ai juste cette impression et tout en y pensant je perds peu à peu ma méfiance, je rougis légèrement cependant. En effet, elle est habillée plus que légèrement, et suis bien trop intimidé pour oser lui adressé la parole, à l’exception entre deux bouchés d'un : « Cynhaa... », j’hésite et reprends « ...moi c'est Cynhaa ». Je détourne le regard de cette femme qui si elle n’était pas une parfaite inconnue aurait put être mon genre... Tout du moins cette impression et surtout sa peau bleu me le suggèrent.

Je me demande: « Pourquoi...? Je n'ai pourtant jamais rien fait avec une simple humaine! Alors pourquoi je pense à cela. ». Et ne sachant pourquoi mes lèvres se crispent, affichant  mes dents, les mâchoires serrées, mon corps se raidissant, le cœur accélérant et l'estomac se nouant, tendit que je fini mon premier poisson; et découpe violemment la tête du second à l'aide du couteau, laissant une moitié pour celle qui se trouve à coté de moi en plus de celui que je lui ai retourné... Je suis de nouveau colérique, sans le dissimuler, se lisant sur mon visage et si les animaux ont un sixième sens, alors la créature doit sûrement le ressentir.

Une colère emplie de tristesse, mes dents grincent entre elles, mon cœur battant de plus en plus résonnant dans la tête, mes mains se crispant, les doigts tenant fermement le poissons et le manche du couteau. Tout cela tourne à un point où je ne sais que penser et surtout je me demande: « Pourquoi me mettre ainsi!? » . Une pulsion primaire.... Non! Pas celle de s'accoupler avec une femelle, mais une envie de tuer. « Tuer... Oui! C'est putains d'esclavagistes sans quoi la vie serait plus tranquille... Mais ça ne répond pas... non... Ça ne répond pas... Pourquoi cette créature me met dans cet état!? ». Tout devient qu'un brouillard opaque et dense, tendis que me voilà entrain de manger le demi poisson plain de rage, des larmes coulantes depuis mes yeux aux pupilles fermées presque plus visibles.
« Modifié: samedi 30 août 2014, 13:21:47 par Cynhaa »
Folies , Rêves et Cauchemars sont les seuls richesses de l homme . Des personnes considérées à notre époque comme des grands ayant existé , ont été traités de fou à leur époque. Des personnes appelées génies n ont fait que rêver d'une idée et ont tenté de la réaliser. Et enfin certain n'ont juste qu'affronté leurs cauchemars leurs craintes et leurs phobies pour les transformer en rêves fous.

Ses actes racontés à la première personne sont en écrit normalement, *ses pensées sont entre asterix* et ses paroles en marron.


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