Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 75 lundi 24 octobre 2016, 14:03:19

La torture de Supéria rappelait à Sarah ces longs moments de solitude et de souffrance en cours, où elle attendait désespérément la fin de l’heure avant d’aller uriner. Elle s’en rappelait encore avec le sourire, de cette tension nerveuse qui croissait en elle, jusqu’à lui faire mal au ventre, et du soulagement intense, presque orgasmique, qu’elle ressentait quand, enfin, elle pouvait se relâcher sur la cuve des toilettes. Sarah riait, car elle était surprise de toute cette débauche de moyens, cette armée de tentacules, ces pouvoirs surnaturels... Pour ça ?! Certes, elle avait mal, mais il ne s’agissait, fondamentalement, que de l’empêcher de pisser après avoir rempli son bassin. Vexée, Supéria joua avec son envie d’uriner, et Sarah se pinça les lèvres, remuant un peu sur place. Les tentacules l’immobilisaient encore, et elle commençait à avoir froid, puisqu’elle était nue, mais elle sentait la soif croître encore, l’envie de pisser s’accentuer.

Supéria chercha à bien positionner son truc, avant de la narguer encore, en lui disant qu’il était temps, pour elle, de devenir une sorte de fontaine décorative. Sarah, pour le coup, avait les yeux clos, et les joues bien rouges, semblant en souffrance. De quoi faire exulter Supéria, qui semblait sûre de son coup...

« Tu peux toujours me supplier pour un traitement moins douloureux. Ça ne changera rien, mais ça me fera bander...
 -  Gnnnn... »

Qui était donc cette tarée ? S’était-elle vraiment renseignée sur Pezzini ? Sur sa force de caractère ? Elle était une Italienne pur jus, une incroyable tête de mule, qui n’avait pas froid aux yeux, et ne reculait devant rien. À New York, elle avait eu à plusieurs reprises des blâmes et des ennuis pour insulter au Tribunal l’avocat d’un criminel, en lui reprochant sa « brutalité policière ». Ce n’était pas du sang qui coulait dans ses veines, mais du feu...

Et ce feu se manifesta avec le Witchblade, qui se forma juste autour de ses cuisses. Le temps que Supéria comprenne, il était trop tard. La poire pouvait résister à l’afflux de pisse et de sperme, mais, quand des pointes argentées se formèrent tout autour, la poire fut coupée en deux, et Sarah n’eut ensuite plus qu’à pousser.

« Haaaa... PUUUUUTTAAAIIIINN !! »

La scène devenait assez glauque, car Sarah venait de balancer sur le visage de Supéria plusieurs litres de sperme et d’urine, vidant sa vessie sur elle, un grand sourire ravi sur les lèvres.

« Putain de salope, tu te prends pour qui ?! vociféra Sarah. Touche-toi le cul, pétasse, et va chier plus loin ! Haaa, tu la voulais, ma pisse, hein ? Eh bien, bois-là, étouffe-toi avec, sale pute, et va chier, pétasse de merde. Je t’encule jusqu’à la raie, sale hyène dégarnie ! Trouve-toi un putain de robot, et fais-toi sauter ton vieux cul de salope avec ! »

Souffrir ne la rendait pas docile, mais l’énervait, la stimulant. Et elle ne rougissait pas de honte ni de souffrance, mais de rage ou de fureur, tirant à nouveau sur les tentacules qui la retenaient. Du moins, c’était l’impression que ça pouvait donner... Mais, encore une fois, Sarah usa de la Witchblade pour modifier la matière face à elle, et dévia l’un des tentacules, qui se rua vers Supéria, comme pour chercher à l’étrangler.

Juste une énième provocation.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 76 mardi 25 octobre 2016, 20:42:33

Supéria - CA SUFFIT !!

Hurle la mutante couverte de semence et ivre de rage. Soudain les piliers qui entourent Sarah se mettent à crépiter d'énergie et génèrent une sorte de gaz jaune qui se repend dans toute la pièce. Le tentacule infecté par la witchblade retombe inerte contre le sol et Sarah se sent soudainement prise d'une faiblesse étrange et désagréable, comme si toute la force de la witchblade était drainée hors d'elle.

Les machines et les écrans de la pièce ainsi que les turbines du complexe se remettent instantanément à tourner à plein régime, alimenté par la puissance de l'artefact maudit. La policière, même aveuglée par un bandeau, comprend alors la raison d’être des piliers qui l'entourent à mesure qu'elle perd le contrôle de la witchblade.

Ce sont des pilonnes qui captent et dévorent l'énergie maléfique illimité de l'artefact, mais à tel point que celui-ci ne puisse plus être mobilisé pour autre chose comme se défendre. Elle comprend que l'usage de son pouvoir à cet instant vient de les réveiller et ainsi, de sceller sa captivité en la privant de son seul instrument de salut. Soumise à cette étrange aura drainante, elle redevient une simple femme, retenue captive et enchainée par une folle nymphomane et sadique...

Supéria - Cela fait si longtemps que tu te prend pour une déesse avec ton jouet magique, que tu en a oubliée que tu n'était qu'une simple humaine, une femelle, une chatte. Tu t'es crue propriétaire de ton corps, tu l'as gardé  bien jalousement juché sur ton piédestal. Il est temps pour toi de comprendre ta place.


La colère de l'améliorée s'est muée en une haine viscérale et profonde qui vibre dans sa voie comme le ramage d'un oiseau de mauvaise augure.

Sarah l'entend se servir sur la table et quelques instants plus tard sent la fraicheur d'une lingette alcoolisée frotter son bas ventre. Supéria ignore les gesticulations que fait probablement la policière en devinant ce qu'elle est sur le point de subir et lui enfonce avec lenteur une longue aiguille dans le bassin.

Supéria - Non ma chère, pas de drogue pour toi pour le moment... il est hors de question que tu ressente une quelconque sensation de bien être après ce que tu as fait. Non... ce sérum à un autre usage, que tu prêne la pilule ou l'implant, ou rien du tout, il va chambouler ton cycle hormonale pour te faire ovuler comme une véritable petite truie.

La pointe en biseau perce douloureusement la solide enveloppe d'une trompe de Fallope et pénètre la petite usine d'Irina pour y rependre une substance chaude. Instantanément Sarah ressent des fourmillement et des démangeaisons dans ses deux ovaires, même celui qui n'a pas reçu le sérum. Elle se sent soudain plus sensible et voluptueuse, elle sent sa libido grimper et noyer son jugement, provoquant une irrépressible envie de se faire peloter les seins avec vigueur et de se faire pénétrer. Elle sent qu'elle va ovuler et qu'elle est en chaleur.

Supéria regarde le visage de Sarah s'empourprer et savoure les mots qu'elle ne manque surement pas de lui dire. La policière l'entend recommencer son trifouillage infernal sur sa table de travail et d'étranges bruits de raclement sur le sol et se succion. Soudain le bandeau sur ses yeux se soulève. La scientifique folle relève d'une main le bandeau de Sarah pour lui montrer ce qu'elle tient dans l'autre.

Supéria - Regarde ma chérie... tu vas devenir une vrai femme...

Dans son autre main Supéria exhibe fièrement une énorme pipette à insémination, une sorte de god si long qu'il peut venir toucher le fond d'un utérus et terminé par une grosse poire. Au travers du plastique transparent de la pipette, Sarah voit le sperme qui quelques instants plus tôt inondait sa vessie, Supéria l'a raclé à même le sol pour en gonfler l'objet. Mais maintenant qu'elle le voit de si près, la policière remarque que ce n'est pas n'importe quel sperme. Il est plus épais et visqueux que celui d'un humain, avec des nuances jaunes et des milliers de larves semblent gigoter à l'intérieur.  C 'est le sperme d'un reproducteur formien... Et le bandeau retombe sur les yeux de Sarah pour la replonger dans le noir.

Supéria - Tu es prête à devenir maman ma belle rebelle ? Ne t'inquiete pas, avec ce sperme la tu n'auras pas à attendre des mois pour avoir ce plaisir... en quelques jours tu seras une merveilleuse pondeuse.

Et sans tenir compte des réactions de Sara, Supéria la fait tourner pour avoir acces à sa vulve et commence à la masser pour lui détendre le col de l'utérus, profitant du fait que le sérum donne à la capture d'irrépressibles envies d'accouplement. Elle la masturbe de plus en plus fort et de plus en plus profondément, elle s'affaire avec une dextérité extraordinaire pour faire venir sa captive.
Quand elle commence à sentir monter l'orgasme en elle, elle redouble d'effort et vient masturber son clitoris pendant qu'elle appuie le bout de la pipette contre sa vulve.

Quand enfin elle la sent jouir, Supéria enfonce sans ménagement la pipette dans le vagin de Sarah et continue jusqu’à ce que le bout en forme de biseau vienne ouvrir le col de son utérus. Elle pousse alors plus fort pour enfoncer le god creux jusqu’à ce que ne dépasse que la poire. L'améliorée pose une main sur la chevelure de Sarah et la lui caresse cruellement pendant qu'elle empoigne la poire pleine de sperme formien. Puis elle commence à la presser lentement pour inséminer la policière.

Sarah sent la semence grouillante de formien se rependre dans son utérus et le remplir. Il est froid et visqueux et elle peut presque sentir son odeur nauséabonde. Mais surtout elle sent gigoter dans son ventre les centaines de petits organismes.

Supéria - Voiiiii... (elle fini de presser la poire, un peu de sperme gicle entre les interstices de sa vulve) laaaaaa... Fini l'adolescence mademoiselle Pezzini, vous êtes désormais enceinte.

Elle retire lentement la pipette pour que son utérus ne perde rien de sa précieuse cargaison et prend un god de bon diamètre qu'elle lui enfonce dans le vagin comme un bouchon. Elle le branche à un secteur et il se met instantanément à vibrer vigoureusement en elle. Elle prend un autre god vibrant du même diamètre et le lubrifie sur sa vulve avant de le lui enfoncer dans l'anus.

Supéria - Te retenir de pisser pendant quelques minutes t'a parue douloureux n'es ce pas ? ça t'a fait du bien quand tu t'es lâchée sur moi...

Elle prend un petit god en forme de vice qu'elle lui sincère à nouveau dans l'urètre en le faisant tourner. Une fois qu'il est bien enfoncé elle le branche à un globe de verre. Sarah entend Supéria pousser un petit soupire de soulagement et sent à nouveau sa vessie se remplir, mais d'un liquide chaud et acide.

Supéria - Tu crois que c'est fini ? Non ma belle, maintenant je vais violer tes sens.

Supéria referme sa main sur la chevelure de Sarah et la relève en arrière pour avoir acces à tout son visage. Elle emprisonne la mâchoire de la belle italienne entre ses doigts et presse pour l'obliger à l'ouvrir. Puis elle lui passe une boule de bâillon énorme dans la bouche et la lui sert derrière la tête avec brutalité

Supéria - Tu n'a plus besoin de parler maintenant. Tu va pondre et te faire baiser, si j'ai envis de te faire sucer quelque chose ou quelqu'un je te sonnerai.  

Puis elle se saisie du jeu de ballons à bouchons et les enfonce dans les narines de Sarah jusqu’à ce qu'elle comble les sinus. A l'aide d'une seringue, elle les gonfle et leur volume peuple instantanément les cavités nasales de Sarah qui perd totalement le sens olfactif et du gout.

Supéria - Une humaine normal privé de ses sens commence à avoir des hallucinations au bout de 45 minutes, elle commence à hurler de souffrance à cause du manque de sensation au bout de quelques heures. Elle devient complétement folle au bout de 5 jours.

Elle commence à lui enfoncer un petit ballon dans l'oreille droite.

Supéria - Toi tu auras une seule planche de salut... le plaisir, le sexe, la sensation d'être enceinte de larves formiennes. Tu vas donc y rester un peu plus. Jusqu'a maintenant je n'ai jamais vue une femme résister plus de sept jours à ce traitement avant de devenir une bonne petite salope... On ce retrouve dans huit du coup puis ce que tu es si forte...

Elle lui met l'autre ballon dans l'oreille gauche et les gonfle. Sarah se trouve totalement coupée du monde. Elle n'entend plus rien, ne vois plus rien, n'entend plus rien, elle est dans le néant total et seul le plaisir et la douleur des sévices sexuelle qu'elle est en train de subir lui rappel qu'elle est vivante. Totalement livrée à ses pulsions, le sérum continue d'enflammer ses ovaires et de la faire sombrer dans des chaleurs insupportables.

Les minutes commencent à défiler et son besoin de sensation deviens tellement intense, que quand elle sent les tentacules venir se poser sur sa peau pour changer sa position sur le harnais pour l'attacher differament, quand elle sent qu'on lui pince violemment le téton ou qu'on lui prend la gorge dans un puissant étau de fer, elle le ressent comme du plaisir. Enfin elle sent qu'on enferme ses mains dans des moufles en cuir pour l’empêcher de ressentir le toucher.

Supéria - A dans huit jours Maman Pezzini... nous aurons peut etre une première porté pour notre prochaine discutions...

Mais sarah ne l'entend pas, comme elle n'entend pas le bruit de ses talons qui claquent sur le sol et qui s'éloigne, l'abandonnant à son triste sort. Huits jours de plaisir, de souffrance, de folie, de gestation...

---

Supéria est de bonne humeur ce matin.
Cela fait huit jours et les scientifiques qui s'assurent des opérations dans la prison de Sarah lui on venté ses méthodes et l'évolution positive qu'elles ont eu sur Sarah. L'heure est enfin venue de voir comment va sa préférée.
Elle entre dans la salle au colonnes et admire son œuvre. Le corps de Sarah est couvert de sueur et ses beaux cheveux toujours parfaitement coiffés pendant en épaisses mèches grace sur ses épaules voutés par l’épuisement. Elle n'a pas dormis pendant tout ce temps, l'équipe scientifique y a veillé, comme elle a veillé à sa nutrition en passant un tuyau par le bâillon boule pour la nourrir d'un fluide totalement insipide.

Enfin son ventre forme désormais une belle bosse comme si elle était enceinte de huits mois, des formes serpentines y gigotent lentement.  Une autre bosse orne les reins de Sarah, celle formée par sa vessie totalement distendue...

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Supéria - Bien... Retirez lui uniquement le bailon boule et les bouchons d'oreille. Il faut que je vois si elle a encore besoin d'une petite semaine de cette thérapie pour devenir gentille...

Les serviteurs s'exécutent et libèrent les oreilles et la bouche de Sarah.

Supéria - Bonjour petite pute, comment va ma nouvelle esclave ce matin ?[/b]
« Modifié: mercredi 26 octobre 2016, 19:38:44 par Sujet 2501 »

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 77 jeudi 27 octobre 2016, 11:23:26

Sarah était une femme rebelle, qui ne se soumettait à aucune autorité, surtout une autorité malveillante comme cette Supéria. Elle avait beau pertinemment savoir que ce qu’elle faisait était contre la raison, elle le faisait quand même. Ce n’était pas que la présence du Witchblade. Même avant d’avoir cet artefact, elle était une tête brûlée, véritable électron libre qui donnait des sueurs froides à son chef. Le Witchblade l’avait d’ailleurs choisi pour ça. De fait, si Pez’ avait appris à l’utiliser au mieux, au lieu de ne s’en servir qu’en de rares occasions, et de chercher un moyen de le retirer, elle aurait pu se libérer de ces entraves. Toute la technologie du monde n’était rien contre l’énergie magique du Witchblade, qui trouvait sa force dans les forces fondamentales de l’Univers. Malheureusement, Sarah ne maîtrisait pas assez son artefact, et son adversaire en profita. Supéria, après cette humiliation, décida de passer à la vitesse supérieure, faisant fi des hurlements et des protestations de Pez’, qui se retrouva privée de ses sens, et poussa des hurlements en sentant les godes s’enfoncer dans ses trous. Son corps se mit à vibrer sur place, et elle se débattit, horrifiée en apprenant que cette cinglée comptait l’inséminer avec...

*Du sperme formien ?! Mais cette nana est cinglée, ma parole !*

En vain, elle tenta de se débattre, et, ici et là, son corps commença faiblement à se recouvrir de plaques argentées, qui amenèrent les scientifiques à l’électrifier encore, comme pour la calmer, puis Supéria lui mit un gag-ball sur les lèvres, faisant taire les hurlements de la femme, qui gesticula sur les tentacules, essayant, en vain, de se libérer.

« Hnnnn... !! »

Sarah se débattait furieusement, et gesticula, grognant, mordant dans le gag ball lui bloquant les lèvres, pendant plusieurs heures après le départ de Supéria. Pour les scientifiques chargés de la surveiller, c’était un spectacle aussi exquis que nerveux. Ils savaient n’être que des cadavres en sursis. Supéria n’aurait aucune hésitation à les tuer, et, à Tekhos, les femmes avaient un pouvoir écrasant sur les hommes. Les assistants de Supéria reçurent de fait des ordres stricts, dont la moindre violation entraînerait une réaction immédiate. Fort heureusement, ceux-ci étaient disciplinés, Pez’ n’étant pas leur premier cobaye, et tous se rappelaient encore de ce qui était arrivé à ceux ayant commis l’erreur de désobéir à Supéria, et de ne pas suivre ses règles. Elle avait arraché le cœur de l’un des scientifiques, à mains nues, en usant de sa force surnaturelle, et avait broyé cet organe chaud sous les yeux du scientifique, avant qu’il ne meure.

Ils se montrèrent donc vigilants, se relayant pour aller dormir, ou se masturbant souvent. De multiples implants situés sur les tentacules permettaient de savoir énormément de choses sur Sarah, notamment son activité cérébrale, afin de savoir quand elle dormait. Il suffisait alors d’un électrochoc pour la réveiller. Inversement, elle était nourrie par intraveineuse. Au bout du premier jour, elle cessa de trop se rebeller, et, peu à peu, ne réagissait que quand les scientifiques amplifiaient la vitesse des godes, comptant sur une liste le nombre d’orgasmes de la femme. La privation sensorielle, alliée au manque de sommeil, était une technique classique de torture et de manipulation mentale, et aucun mental en pouvait y faire défaut. Les expériences militaires sur la question l’avaient prouvé.

Pez’, de son côté, se retrouva à errer dans une sorte d’état délirant. Ne pouvant plus dormir, ni se reposer, et étant perpétuellement violée, son esprit se mit rapidement à décliner, la faisant entrer dans une sorte d’état second. Elle sentait parfois les scientifiques tenter de lui retirer le Witchblade, ces derniers agissant sur ordre de Supéria, mais, même ainsi, le Witchblade se refusa à venir à eux. Quand l’un d’eux tenta de retirer furieusement l’artefact, qui avait pris la forme discrète d’une montre, le Witchblade réagit alors, et se mit brusquement à grossir, formant une pointe qui transperça le thorax du scientifique, le tuant sur place. Les autres, paniqués, se replièrent rapidement, et restèrent cloîtrés pendant plusieurs heures, craignant que Sarah ne se libère... Mais elle n’en fit rien.

« Comment est-ce possible ? Son artefact en devrait pas réagir, nous drainons toute son énergie !
 -  Je ne sais pas, je n’y comprends rien, mais... Ce n’est pas un simple artefact magique. Nos études n’ont fait qu’en explorer la surface. »

Au fil des jours, les scientifiques avaient pris l’habitude de retirer leurs pantalons, ne portant sur eux qu’une blouse, de manière à pouvoir se masturber plus facilement. Il fallait bien admettre que Pez’ était très belle, et le fait qu’elle se fasse ainsi dominer, quand on savait combien elle était rebelle, ne faisait que rendre la scène encore plus excitante.

Quant à Pez’, tout en errant, elle finit par supplier le Witchblade de l’aider... Et, dans son délire, elle se vit, sous elle, couchée sur un improbable et immense nid de serpents métalliques. Pezzini était toujours suspendue, retenue par les instruments de torture de Supéria, mais voyait désormais le Witchblade, devant elle.

« Ai... Aide-moi... »

Pour seule réponse, le Witchblade se mit à rire.

« T’aider ? Vraiment ?
 -  Je... J’ai besoin de toi... »

Contre toute attente, l’artefact éclata encore de rire.

« Ah... Vous, les humains, êtes incroyables ! Si seulement tu avais été la seule à réagir ainsi... À chaque fois, ou presque, mes porteuses se refusent à moi, voient en moi une malédiction, alors que je suis, non seulement votre raison d’être, mais aussi votre accomplissement. Et, comme à chaque fois, vous commettez l’erreur de ne voir en moi qu’un outil, une simple boîte magique à utiliser quand on veut, et à rejeter après.
 -  Je... Je t’en supplie, je... Tu as le pouvoir de me... De nous libérer !
 -  De te libérer ? Bien sûr que je l’ai... Mais ce pouvoir ne marchera pas tant que tu refuseras de m’utiliser vraiment, de voir en moi autre chose qu’une malédiction. Je vois en Supéria et en ses petits jeux pervers l’excellente occasion de te faire ravaler ton arrogance, afin que tu comprennes que je te suis indispensable. »

Difficile de dire si cette conversation était réelle, ou tout simplement le fruit de son imagination, mais elle déclencha chez Pez’ un regain d’activité, qui ne manqua pas de surprendre les scientifiques. Supéria, en apprenant la mort d’un des scientifiques, leur ordonna de réitérer au bout de plusieurs jours. Quand l’homme qui lui fit son rapport hésita, et montra des signes d’hésitation, elle s’en agaça, d’autant plus que l’homme était venu la déranger alors qu’elle était au lit, faisant longuement l’amour avec deux amantes, des sujets d’expérience. L’homme vit ainsi Supéria nue, avec une verge érigée, et ce fut la dernière chose qu’il vit, car Supéria le frappa ensuite, l’envoyant voler à l’autre bout de son immense bureau, fracassant son dos contre le mur.

Supéria se chargea ensuite de motiver les scientifiques, et en tua un autre en allant dans la salle de surveillance, fracassant son crâne contre un écran d’ordinateur, que l’homme transperça, avant de se faire électrifier, son corps se trémoussant sur le siège, de la fumée sortant de l’écran de l’ordinateur. Il mourut avec la queue tendue, et, après ça, les autres savants allèrent tenter de récupérer le Witchblade... Qui se défendit à nouveau. Cette fois, Supéria, qui assistait à la scène, vit le Witchblade se réveiller furieusement, et elle verrouilla la cellule, abaissant des volets très résistants quand des tentacules meurtriers fusèrent dans tous les sens, et manquèrent même de s’en prendre à elle. Depuis une caméra de surveillance, elle put voir ces imbéciles heureux se cramponner contre la porte, hurlant qu’on les libère, avant que les tentacules du Witchblade, ressemblant à d’énormes serpents métalliques, ne les broient. Le plus impressionnant, ce fut que, pendant cette séance, les activités cérébrales de Sarah ne bougèrent pas, signe que ce n’était pas elle qui commandait le Withcblade, mais l’artefact qui réagissait avec une violence extrême, ce qui fit enrager Supéria. Elle retourna se défouler sur ses amantes, et en tua encore une sous l’effort. Elle choisit ensuite de la remplacer par Irina, qui était l’un de ses sujets les plus endurants, et la viola douloureusement.

Quant à Sarah, elle continuait à errer en vain, jusqu’à ce que, huit jours plus tard, Supéria ne revienne, avec une nouvelle équipe. Toute la pièce avait été nettoyée par des employés particulièrement nerveux, oscillant entre une érection féroce et une envie de vomir en voyant les cadavres partout, les bouts d’organes, les longues traînées de sang. Ils lavèrent la cellule de Sarah, tandis que Supéria entrait dans la cellule, ayant compris qu’il était impossible de retirer le Witchblade.

Pezzini, de son côté, était effectivement enceinte, et, après huit jours, les Formiens étaient prêts à sortir. Sarah, de son côté, sentit des mains caresser son visage, et sembla lentement sortir de sa léthargie. Cependant, quand on lui ôta le gag ball, sa première réaction, en sentant cet air frais, fut d’éternuer... Et de vomir. Elle entendit ensuite Supéria lui parler, et remua la bouche, tentant de lui répondre, d’une voix très affaiblie.

« Je... Pi... Pitié... »

Ce fut là tout ce qu’elle arriva à dire, et, sous son bâillon, on put voir des larmes glisser le long de ses yeux.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 78 jeudi 03 janvier 2019, 02:38:11

Quand les bribes du mot « pitié » sortent de la bouche de la policière, si revêche et courageuse quelques jours plus tôt, les lèvres de Supéria s'ourlent d'un sourire pervers et maléfique.

- Enfin ma chérie... enfin...

Elle s'approche de Sarah et lui retire ses bouchons de nez, ses bouchons d'oreille et enfin son masque. Elle capture le visage de la policière entre ses doigts fins et puissant et lui murmure au lèvres:



- Tu commence enfin à supplier comme une esclave... C'est un bon début... mais... un début... seulement. Maintenant regarde, c'est ta première récompense en temps que pute à mon service.

Elle tire sur sa main et entraine le visage de Sarah vers le bas pour qu'elle puisse contempler l'aspect sordide de son propre corps. La petite bosse presque jaune que forme sa vessie sur son diaphragme, l'énorme ventre distendu par son utérus grouillant de répugnantes petites larves formiennes qu'elle sent gigoter en elle.

Supéria lui laisse quelques instants pour contempler le spectacle de son corps violé et déformé avant d'ordonner à ses hommes:

- Apportez une bassine, mon esclave va accoucher devant sa Maitresse ! Pas vrai esclave ? Tu es heureuse d'offrir plein de nouveaux toutous à ta Maitresse ? Répond moi...

Elle lui laisse à nouveau quelques instants pour répondre pendant que les techniciens s'approchent d'elle pour disposer la bassine entre ses cuisses. L'un d'entre pose alors ses doigts sur l'énorme god ceinture qui obstrue et viole le vagin de Sarah et fait signe de la tête à Supéria... il est prêt...

- Bien... regarde bien ma chérie, n'en manque pas une miette surtout, c'est un merveilleux moment... te rend tu compte ? Ton premier accouchement...

Ajoute t'elle en ricanant et en tenant fermement le visage de la policière baissé sur la scène. Puis elle rend son signe de tête au technicien qui dégrafe le gode, et commence à l'extirper de la vulve contracté de la belle prisonnière.

Instantanément, les larves formiennes se ruent vers le col de l'utérus de Sarah et commencent à le pilonner de leur tête pour briser la poche des eaux et ouvrir la voie. Les contractions commencent et labourent le ventre de Sarah.

Les minutes commencent à s'égrainer lentement au rythme de l'ouverture de son col, la poche des eaux finit par se percer, mais au lieux d'un simple liquide amniotique, c'est un flot verdâtre et visqueux qui s'écoule de sa vulve. Une odeur pestilentielle de viande fraiche s'en échappe pendant que du sang commence à ce mêler à la mixture... ses enfants ont commencé à passer leur tête.

Sarah peut les sentir, ils n'essaient pas de passer les uns après les autres pour l'ouvrir moins non... ils se précipitent tous en même temps et utilisent leur tête comme un répugnant bélier qui lui écarte le col au point de le faire craquer. Dans un flot de douleur encore nouveau pour la policière, elle assiste à l'abjecte naissance de sa progéniture qui s'écoule de son corps en se tortillant dans la bassine.

- Voilà ma belle petite pute... tu es officiellement maman... tu es heureuse ? Répond moi...

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 79 vendredi 04 janvier 2019, 00:38:15

Le docteur Deidre Wentworth, plus connue sous le nom de Supéria, exultait d’un plaisir féroce et d’une joie sauvage en voyant la position humiliante de l’arrogante porteuse du Witchblade. Tout comme le Docteur Pezzini, Supéria était originaire de la Terre. Pour autant qu’elle s’en souvienne, Supéria avait toujours été une femme très misandre, une femme qui détestait le genre masculin, et qui s’était fait connaître, sur Terre, en commençant par créer une armée uniquement constituée de femmes, les Femizons, et destinée à asservir les hommes, ou à tous les exterminer. Peut-être fallait-il y voir là une conséquence de son enfance, où Dedre Wentworth avait été une jeune élève timide, boutonneuse, battue, humiliée, et même violée par un père alcoolique et schizophrène. Elle était devenue une Reine en fondant son île, Femizonia Island, et avait entrepris de développer une arme chimique utilisant les chromosomes pour cibler spécifiquement les hommes. Son plan impliquait toutefois aussi de stériliser toutes les femmes de la planète, à l’exception de celles situées sur son île, afin de développer une nouvelle race, et de pouvoir dominer le monde.

Son plan avait échoué, mais jamais sa détermination. Elle avait travaillé pendant un temps au service de l’AIM, puis plus récemment au service du HAMMER de Norman Osborn, avant de finalement trouver une nouvelle voie, à Tekhos, après une rencontre avec des individus très puissants… Des individus qui lui avaient offert une nouvelle vie. Supéria était désormais plus forte que jamais, et, devant elle, Pezzini était proportionnellement plus faible que jamais.

Épuisée, éreintée, elle avait été violée pendant plus d’une semaine, sans relâche, nourrie par des intraveineuses. Son corps fatigué était suspendu en l’air, avec un ventre plein à craquer. Elle avait cessé de pleurer, mais on voyait encore ses joues humides, ses yeux noircis. Son corps était en sueur, et elle se tortillait lentement sur place. Toutefois, Sarah avait aussi énormément joui, comme si son corps n’avait cessé de la trahir. Et là, le pire était en train d’arriver, car elle allait donner naissance à des monstres ! Proche d’elle, Supéria semblait se délecter de sa fatigue, et Sarah soupirait encore. Difficile pour elle de se rappeler comment elle avait fait pour atterrir ici. Elle se rappelait bien avoir cherché à aider une femme blonde, Irina, mais celle-ci l’avait finalement trahi, et, malgré tous ses efforts, elle s’était fait arrêter.

« Haaaa… »

Le pire vint quand les « bébés » entreprirent de sortir de son corps. Sarah sentit les larves se ruer dans son col de l’utérus, et hurla en fermant les yeux, sentant une douleur vive la traverser. Son corps se crispa sur place, tandis que les larves, furieuses, sortaient. Elle entendit des cliquetis quand les larves heurtèrent la bassine métallique, cliquetis étouffé par le fond d’eau qui flottait dans la bassine. Elle soupira encore, et observa la bassine, la tête penchée vers le bas. Des larves atroces ressemblant à ces monstres d’Alien, quand ils sortaient de son ventre.

En sueur, Sarah sentit alors la main de Supéria relever son menton, et lui demander si elle était heureuse. Sarah avait les lèvres tremblantes, et était épuisée. Elle avait encore envie de la provoquer, mais elle savait que la femme n’hésiterait pas à la torturer encore de cette manière. Elle soupira encore, et ferma les yeux pendant quelques secondes.

« O-Oui, Ma… Maîtresse… »

Supéria souriait de son côté, et le scientifique tenant la bassine la confia à une paire de mains aux gants bleus.

« Ouvre les yeux, ma salope, regarde qui va s’occuper de tes bébés… »

En rouvrant les yeux, Sarah vit une paire de jambes fuselées moulées dans une combinaison bleue électrique, et remonta encore. Elle vit une belle paire de seins, une tenue très moulante… Et écarquilla les yeux en reconnaissant Irina ! La main de Supéria caressa le dos de la blonde, et frappa ses fesses.

« Tu espérais vraiment libérer le Sujet 2501, Pezzini ? Quelle idiotie… Mais ne t’inquiète pas, ta Maîtresse veille sur vous. 2501, va mettre les larves dans le bassin génétique. »

Les larves formiennes devaient être rapidement immergées dans le bassin génétique formien pour pouvoir survivre. Sinon, elles mourraient vite. La femme blonde obtempéra donc, et s’approcha d’un coin de la pièce. Elle ouvrit une trappe donnant sur un tuyau, qui ressemblait à un tuyau d’évacuation, et jeta les larves dedans. Celles-ci grognèrent, et glissèrent dans le tuyau, qui les emmena dans un bassin génétique artificiel. Sarah, elle, avait vraiment du mal à y croire.

*Même les Tekhanes ne savent pas faire ça… Mais qui sont ces gens ?*

Le Sujet 2501 revint ensuite vers le duo. Supéria sourit encore, malicieuse.

« Nous avons quelques heures à tuer le temps que tes bébés arrivent à maturation, Sarah… »

Restait à savoir comment les occuper…
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 80 dimanche 06 janvier 2019, 07:07:11

Grâce au bassin de croissance accéléré il ne faudrait qu une petite heure ou deux pour que les larves formiennes atteignent l'âge adulte.  Un subtile mélange d'ondes psychiques et d'hormones animales permettait à Superia de contrôler totalement leur évolution et leur fonction futur.

Pour satisfaire ses plans les plus pervers et s assurer que Sarah sombre toujours plus profondément dans la folie, la débauche et l'horreur, elle avait déjà choisit les formes que prendrait ses "enfants"...

La vaste majorité d'entre eux, une fois leurs organes sexuels et leur sac de sperme arrivés a maturite, sortiront du bassin en temps que "progéniteurs".

Superia avait hâte de voir le visage que ferait sa petite policière face à la horde de ses enfants: de répugnants hybrides d'elle même, mi humaines mi formiennes, armées de monstrueuses bites animales surmontant d'énormes sacs de sperme prêt a la ré inséminer une nouvelle fois.

Les autres, plus petits, auront une forme et une fonction plus répugnante encore. Une fois leurs innombrable petits tentacules intrusifs développés, leur système nerveux prêt à pénétrer celui de leur victime et enfin leur matière grise surgonflé pour dominer, ils renaitront en "parasites".

Superia se délecte déjà à l'idée d entendre sa prisonnière hurler à la mort et supplier qu'on l achève alors que ses plus petits enfants s'enfonceront dans sa chaire pour serpenter sous sa peau, entre les muscles de son cul, dans la graisse de ses seins avant de venir se mêler à sa matiere grise. Elle atteindrait alors des sommets de plaisir et de douleur jamais atteint par une humaine...

La scientifique en tenue moulante soupire d'impatience en regardant les eaux somatres du bassin bouillonner de manière inquiétante. Heureusement pour elle, elle a prévue de quoi occuper leur temps, hors de question de laisser sa nouvelle esclave souffler ne serais ce que quelques minutes...

-  Nous avons quelques heures à tuer le temps que tes bébés arrivent à maturation, Sarah…

Ajoute la tortionnaire pendant que le Sujet 2501 la rejoins.

- Irina ma cherie... Montre à ta petite amie ce que je t'ai offerte pour que vous puissiez vivre pleinement votre amour...

L'esprit d Irina est totalement ravagé, pour la punir de sa trahison, Superia lui a infligé le pire pendant ces huits jours. Plus de dix heures delectrochoc sans la moindre interruption, jusqu'à ce qu'elle se mette à saigner par les oreilles et à ne plus savoir compter jusqu'à 5. Et les piqûres,  les injections incessantes, toujours plus de drogues,  d aphrodisiaques d hormones de mutation grotesque. Au point qu'elle en face plusieurs fois des overdose... mais sans pouvoir mourir.

Des le 3ème jour, elle avait à nouveau oublié son nom et celui de sa bien aimé capturée pour ne penser plus qu'au plaisir, à la baise et à l'obéissance. Ses maîtres l'avaient alors offerte pendant les jours restants aux clients des strates infernales, malgré son facteur de régénération, elle en porterais les traces encore longtemps.

Quand Superia s'adresse enfin à elle, Irina relève la tête et regarde Sarah d'un air absent et rêveur, comme si la vrai jeune femme coincé dans ce corps, la vraie Irina, était ailleur, comme prisonnière d'un songe pornographique.

Sans même y penser, elle se rapproche lentement de l estrade où est attachée Sarah en laissant glisser lassivement la glissière de sa tunique moulante.

Des les premiers centimètres, son opulente poitrine jaillit de l étoffe. Ses mamelons et la courbure de ses seins portent encore les traces de morsure et de torture que les démons lui ont infligé pendant ces quatre interminables jours de viol.

Sa main continue de descendre et sa tunique de libérer son corps sculptural jusqu'à atteindre le creux délicat et sensuel de ses hanches et de son pubis. Sauf que là où Sarah s attendait à revoir sa ravissante petite vulve virginale, elle constate, sans doute avec horreur, que son clitoris à été transformé en une énorme verge turgessante, parcourues de veines bleus palpitant sous la pression.

Encadrant son vagin qui paraît maintenant minuscule, deux énormes bourses glabres pendant de part et d'autre de sa fente. Deux petits tuyaux cruellelent fiché dans ses testicules les abreuvent en permanence d'un liquide rose qui provoque sans doute ce gonflement et ces palpitations intenses en les poussant à produire toujours plus de sperme. Nul doute qu' Irina souffre le martyr en attendant de pouvoir vider ses couilles surgonflées et que ce désir doit être la seul chose qui peuple ses pensées.

- Alors Esclave ? Comment trouve tu ta petite amie ? Mieux non ? Tu peux me remercier si tu veux, ça me ferait plaisir de t entendre me dire: "Merci Maitresse d avoir transformée ma seule amie en machine sexuelle completement folle rien que pour moi".

Dit elle en riant cette fois ci aux éclat en admirant l'effet que la vue du corps mutilé et horriblement transformé d Irina provoque sur Sarah. Puis elle pose une main sur l épaule de la cyborg. Celle ci tressaille et pousse un petit gémissement animal alors que sa queue se tend en gonfle plus encore.

- C'est bon 2501... tout doux... brave bête... Laisse lui le bouchon d urètre, je veux que tu la baise avec sa vessie pleine avant qu'on ne la purge.

A ces mots, Irina réagit comme un jeune étalon en ruthe sur le point de saillir une juman. Elle souffle fort des narines et de la bouche, elle tremble de tout son corps et empoigne la hanche gauche de Sarah d une main fébrile.
Sourde aux mots de sa belle policière, elle commence à frotter son énorme bute contre la vulve de Sarah, encore ravagée par l'accouchement.

Dans le même temps, Superia passe dans le dos de la prisonnière et semble manipuler des objets pour pouvoir jouer elle aussi, mais avec le fondement de la belle. Quand elle semble satisfaite, elle souffle à l'oreille de Sarah.

- 2501... baise la... maintenant...

Irina énie comme un cheval, comme un mâle devenu fou de désir, esclave de ses couilles pleines à craquer. Elle saisie les deux hanches de Sarah et dans un geste ample et sec, sans la moindre douceur où sentiment, elle la pénètre sauvagement jusqu'à ce que sa garde, presque trente centimètres plus loin, viennent cogner violemment contre le bas ventre de la belle attachée.

Sarah peut sentir le gland démesuré de son amie devenue folle lui écarter de nouveau les parois du vagin et même saccager encore une fois le colle de son utérus.

Mais le calvaire ne fait que commencer... car déjà Irina ressort et entre de nouveau avec la même brutalité pendant quelle énie de nouveau comme un cheval, la brave et les larmes lui inondent le visage, son regard est à la foi fou et absent.

Et elle commence à la baiser ainsi, de plus en plus vite, de plus en plus maladroitement, cherchant désespérément à ce libérer de la pression abominable de ses couilles.

Très vite, elle éjacule une énorme quantité de sperme en Sarah. Mais cela ne l'arrête pas, elle continue encore et encore, comme si ce premier orgasme ne lavait pas soulagé.

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 81 lundi 07 janvier 2019, 00:50:34

Après cette semaine de torture sexuelle incessante, Sarah était psychiquement épuisée. Ses geôlières avaient régulièrement drogué Sarah afin de la maintenir éveillée, et d’éviter que son corps ne sombre. Elle avait été poussée dans ses ultimes retranchements, et elle avait tenu bon. Son esprit était brisé, mais se reconstituait vite. Sans doute fallait-il voir une conséquence de la Witchblade, qui devait inconsciemment aider sa porteuse... Ou alors, son fort caractère. Pendant la durée de son séjour, Supéria avait remué ses contacts, et avait obtenu un dossier assez complet sur Sarah Pezzini. Elle n’avait pas encore tout révélé à la jeune femme, abattant ses pièces l’une après l’autre. Pour l’heure, Sarah revit donc Irina, et se racla la gorge, en la voyant se rapprocher.

« I-I... »

Elle grogna, se raclant la gorge, cherchant à parler, avant de voir, horrifiée, des traces de morsures sur les seins d’Irina. Qu’avait-elle donc bien pu subir ? Sarah avait l’esprit embrumé, fracturé. Elle avait essayé de sauver cette femme de l’organisation qui l’avait capturé, avant de réaliser qu’elle était l’une des cibles de cette organisation. Elle était dans une situation dramatique, un véritable cauchemar, qui continuait au fur et à mesure que, devant elle, Irina tirait sur la fermeture de sa combinaison. À hauteur de son nombril, Sarah déglutit et écarquilla les yeux en voyant la silhouette d’une monstrueuse verge, un épais phallus qui se dressait joyeusement et fièrement. Brandie en l’air, cette grosse queue impatiente était parcourue de veines saillantes, témoignant de son ardeur, et Sarah vit également, à hauteur des testicules, des espèces de tuyaux métalliques qui étaient plaquées sur les testicules, répandant probablement en eux une infernale substance.

Sarah remua ensuite quand Irina la contourna, se glissant dans son dos.

« I-Irina, arrête ça... Irina, arrête ! »

Supéria, de son côté, se gaussait de la situation, bien consciente que rien ne pourrait ramener Irina. Puis elle ordonna à Irina de la baiser. Sarah secoua la tête... Et écarquilla à nouveau les yeux quand la verge monstrueuse d’Irina la pénétra. Sa salive s’écoula de ses lèvres, et elle déglutit sur place, ses muscles s’arquant au passage, tout son corps venant se contorsionner sur place... Puis Irina reprit, filant en arrière, et donna un puissant coup en avant, s’enfonçant dans la chatte de Sarah, qui commença alors à hurler. Le premier coup lui avait fait l’effet d’un coup de fouet, si violent qu’elle en avait été presque anesthésiée. Mais là, au gré des coups de reins successifs de la femme, Sarah revenait à elle, s’exprimant par le biais de hurlements gutturaux.

Des larmes roulèrent de ses joues, tandis que son corps se dandinait d’avant en arrière, et que la belle blonde la baisait dans son dos. Elle haletait furieusement, hennissant comme un cheval en rut, jusqu’à jouir en elle. Sarah déglutit à son tour, ses yeux commençant à se voiler... Puis Irina reprit, et Supéria se déplaça alors, sa main caressant le ventre de Sarah.

« Tu crois pouvoir ramener Irina ? Mais il n’y a jamais eu d’Irina, Sarah... Tout ça, depuis le début, était un piège, un artifice que nous avons utilisé pour t’attirer à nous. »

Sarah gémit encore, tandis que sa mouille commençait à s’égoutter sur le sol.

« Nous avons créé une personnalité fictive pour que tu tentes de la sauver, mais il n’y a jamais eu d’Irina... Il n’y a toujours que le Sujet 2501... »

Supéria venait de se déplacer encore, et se glissa dans le dos d’Irina, caressant ses hanches, sentant l’intensité de ses coups de reins. Sarah couinait encore, peinant à conserver son calme, à retrouver ses esprits, tant son corps lui semblait brisé.

« Maî-MAÎTRESSE !! » hurla-t-elle alors, enivrée par la douleur, par le plaisir, et par la fatigue.

Tout un cocktail de situations qui, cumulées au désespoir qu’elle ressentait, commençaient à lui faire perdre l’esprit...
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 82 mercredi 09 janvier 2019, 18:23:16

La cervelle brûlée et noyée sous les drogues, Irina n'est plus une personne à proprement parle. Elle est devenue une sorte de machine sexuelle à demi-consciente, uniquement mue par les ordres qu'on lui donne et surtout, un appétit sexuel maladif, animal... insatiable...

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Quand Superia ment sur son compte pour faire craquer Sarah, la plonger dans le désespoir en lui racontant une odieuse contre-vérité, Irina n'a cette fois ci aucune réaction de défiance ou de rébellion.

Au contraire, comme pour ponctuer le discours horrible de la tortionnaire, Sarah sent d épaisses goutes de bave couler sur sa nuque et son dos. Son amie, la petite rebelle qui a tant lutté contre Biogenix, la baise désormais pour la firme, pour la briser... et elle adore ça... elle ne pense qu'à ça... pire encore, Sarah découvre qu elle en bave de plaisir.

Comme pour répondre aux affirmations de sa maîtresse, la pauvre petite cyborg au QI de moineau répète d une voix pâteuse et mole à chaque coup de rein qu'elle donne :

- Bonne esclave... gentille... baiser encore... baiser pour bonne maitresse... oui... baiser... obéir... baiser... obéir...

Et elle le répète encore et encore aux oreilles de Sarah, jouissant après quelques va et viens pour reprendre immédiatement, jamais soulagée par ses testicules qui produisent inlassablement de nouvelles doses de foutre à expulser dans la chatte et l'utérus encore béant de la prisonnière. Les minutes passent ainsi, en un viol ininterrompu, uniquement rythmé par les orgasmes d'Irina et ses paroles de zombi sexuel. A force de se remplir de foutre, le petit ventre de la prisonnière, encore déformé par la bosse que forme sa vessie, recommence à gonfler et à se tendre. La policière sent de plus la queue bestial de son amie à mesure que son vagin se fait comprimer par tans de fluide.

Pour de nombreuses autres esclaves humaines, un tel traitement pendant toutes ces journées eût été soit fatal, soit suffisant pour les rendre folle et leur faire crier grâce. Mais Sarah était d une autre trempe, d'une autre espèce, et si Superia ne voulait pas avoir affaire à la Witchblade le jour ou elle la détacherait, il fallait aller encore plus loin, jusqu'à ce que la jeune flic soit totalement détruite...

Et pour ce faire, elle avait une arme secrète, une méthode si monstrueuse qu'elle allait émasculer la volonté de fer de la policière et balafrer son corps et son âme à jamais. Et les outils de cette déchéances étaient en train d'atteindre leur maturité derrière le grand tube de verre du bassin d'évolution...

-Maî... Maîtresse !

Hurle Sarah, tans d'épuisement que de désespoir. Supéria en est presque surprise et détourne quelques instants son regard du bassin.

-C'est bien Esclave... continue comme ça... bientôt tu seras aussi docile et heureuse que le Sujet 2501... On t'offrira un joli collier avec ton propre numéro et tu feras la grande tournée de tout ceux qui payeront pour t'avoir... n'est pas peur, tu seras accessible à tous, même aux petites bourses...

Ajoute la doctoresse maléfique en ricanant avant de se retourner vers le verre du bassin. Elle avait hâte de louer la petite flic une fois qu'elle serait prête, hâte d'arpenter les rues malfamées où elle avait fait tans de dégâts parmi la pègre pour louer son cul et sa bouche à ses anciens ennemis.

Mais cela devrait attendre encore un peu... attendre que les enfants de Sarah ne la pousse définitivement dans la folie et l'abandon.

Une heure c'est presque écoulée et les progéniteurs ont presque fini leur évolution. Leur ADN formien, mêlée à celui de la superbe policière à fait d'eux des œuvres d'art vivantes tout droit sortie de l'imagination de H.R. GIGER et chacun de leur visage est celui de Sarah.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Supéria se délecte déjà de l'expression et des hurlement que poussera sa captive quand elle verra ses traits sur les corps monstrueux de ses violeurs... Mais ils ne sont pas encore prêt, et ce n'est pas à eu d'ouvrir le dernier acte.

Au moment où Supéria formule cette dernière pensée dans sa tête, un des parasites se précipite contre le verre de la vitre et tambourine sur sa surface transparente de ses milliers de minuscules tentacules. Son petit corps bouffi se crispe et convulse d'impatience à l'odeur de tans de chaire à coloniser.

-Ils sont prêt...

Murmure alors la doctoresse d'une voix sinistre, comme si elle venait de prononcer une sentence de mort...

-2501 ! C'est fini pour toi ! Dégage toi et retire lui le bouchon d'urètre.

Irina pousse un grognement de protestation mais obéit sans discuter. Elle libère le corps de Sarah de son énorme queue et sans la moindre délicatesse, saisie la petite tige de plastique qui obstrue la vessie de la prisonnière. Un véritable geyser d'urine se déverse entre les jambes de Sarah, inondant les seins et les cuisses d'Irina qui en bande de plus belle. La sensation de soulagement est si intense que son cœur aurait pu s'arrêter, si elle n'était pas aussi vigoureuse.

-Bien, laisse ta petite amie reprendre son souffle quelques secondes, je veux que tu m'aide à lui présenter ses premiers enfants, ils ont tellement hâte de retourner dans leur maman...

Dit Supéria à Irina d'un air énigmatique tout en captant le regard de Sarah pour que celle-ci ne manque rien de ces derniers mots. Puis elles se dirigent vers le bassin d'évolution.

-Fait attention 2501... ne laisse pas leur tentacules te toucher ou tu seras parasité toi aussi, prend en un dans chaque main et vient suit moi.

Quand elles se retournent vers la policière arnachée dans le vide, celle-ci remarque avec effrois comment ses premiers « enfants » ont évolués. Dans chacune de leurs mains, les deux tortionnaires tiennent une créature immonde et spongieuse. Leur peau est de la même couleur halée que celle de Sarah, mais la ressemblance s'arrête la. Car leur corps ressemble à une grosse anémone inversée, couvertes de millier de petits tentacules qui s'agitent frénétiquement; en leur cœur, une grosse cervelle palpite et se contracte de manière avide .

-Détend toi Sarah... cesse de gigoter, c'est inutile, tu ne peut y échapper et bientôt tu me remerciera de t'avoir offerte ces présent, tu vas adorer ce qu'ils vont te faire.

Dit calmement Supéria en se rapprochant de la Policière avec ses deux immondes parasites dans les mains. Une fois arrivée devant elle, elle lui murmure:

-Voila, nous y sommes, c'est la fin de ta carrière de flic et d'héroïne, mais tu sais, dans quelques instants, tu t'en foutra... com... plè... te...ment...

Et approche doucement le premier parasite du sein droit de Sarah. Au moment où les tentacules touchent la peau délicate de son mamelon, ils se mettent à frétiller, à la palper, puis, soudainement, à s'y enfoncer comme des vers de terre dans un sol meuble. Une sensation de fourmillement nerveux insupportable traverse le sein de Sarah et la fait involontairement mouiller à mesure que le parasite s'enfonce dans sa chaire, sous ses yeux, son sein gonfle pour pouvoir accueillir le corps de la créature. Après d'interminables minutes de souffrance et de chocs nerveux, le parasite à disparu totalement sous la peau de son sein, devenu plus gros.

-Maintenant regarde bien Sarah... les prodiges de la sciences, rien que pour toi...

Supéria donne une minuscule petite pichnette du bout de l'ongle sur le téton et l’auréole de Sarah. La policière ressent instantanément une sensation de plaisir intense, brutale, enivrante. Sa sensibilité est totalement exacerbée, disproportionné par rapport au simple petit contact que lui à infligé sa geôlière.

-Tu imagine ce que ça va etre quand on va te les malaxer et te les mordre comme ceux d'une petite pute Esclave ?

Pouffe Supéria en regardant la réaction de Sarah. Puis elle reprend.

-On continue ?

Elle laisse quelques instants à sa suppliciée pour parler, puis, approche l'autre parasite de son sein encore normal. A nouveau, la créature pénètre sa chaire et s'y installe, transformant la poitrine parfaite de Sarah en énorme balcon ultra sensible, si sensible qu'elle pourrait en jouir rien qu'en étant plotée.

-2501... c'est ton tour... viens offrir tes cadeaux à ta nouvelle consœur...

Toujours perdu dans un brouillard de sexe et de folie, Irina ne ressent que désir et excitation à l'idée de transformer le corps de la nouvelle esclave de la Maîtresse. Elle s'approche à son tour de Sarah, armée de ses deux parasites répugnants, les hurlement et les suppliques de celle-ci ne la font que bander de plus belle.

Elle se présente devant Sarah et se penche en avant pour lui appliquer un parasite sur la vulve.

Quand Irina le pause sur la vulve de la jeune femme, il se glisse entre les parois trempée de son vagin et s'enfoncer jusqu'à son utérus. Une fois confortablement installé il le colonise de ses récepteurs nerveux et transforme la cavité et son col en une zone érogène aussi sensible que sa chatte.

-Tu va adorer tes prochaines grosses grâce à celui-ci Esclave !

S' esclaffe Superia en regardant l'expression de Sarah quand elle éprouve ces nouvelles sensations utérines.
Elle se retourne vers Irina:

-Va me chercher les deux derniers Esclave !

Deux ? Pourquoi y en a t Il encore deux ? Il ne reste plus qu'un orifice à modifier et l'anus promet d'être l'expérience la plus traumatisante.

-Tu es surprise ? Ne le soit pas, tu va voir que le meilleur et le pire son à venir... et je ne parle pas de ton petit cul de sainte ni touche...

Ajoute Superia pendant qu'Irina revient avec les deux derniers parasites. Sans surprise, le premier est pour son anus. Comme le précédant, il s'infiltrer entre les plis de son anus et s'enfoncer profondément dans son fondement où il colonise toutes les parois pour les transformer en une nouvelle zone hétérogène ultra sensible.
Désormais, où que Sarah se face baiser, elle ressentira un plaisir décuplé et anormal, jusqu'à ce que les orgasmes incessants la lessive totalement.

Mais l'ultime transgression vient ensuite, quand Superia s'empare du dernier parasite et contre toute attente, se campe devant Sarah et dit.

-Alé ma chérie... c'est presque fini... maintenant on ouvre grand la bouche... Irina, vient aider ton amie à devenir une nouvelle femme.

Toujours sans rechigner Irina vient ouvrir la bouche de son amie pendant que Superia lui glisse le parasite entre les lèvres pour qu'il s'installe dans sa bouche et sa gorge.

-Comme ça tu pourras même jouir quand tu suce un client... n'est ce pas merveilleux ?
« Modifié: samedi 12 janvier 2019, 00:52:46 par Sujet 2501 »

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 83 lundi 14 janvier 2019, 00:40:59

Ainsi prise, Sarah n’en menait pas large. Elle était en train de disparaître, de laisser prise, de s’aliéner totalement. Le sexe intensif était une arme terrible, qui avait mis le corps de Sarah aux abois. Elle n’arrivait plus à lutter, ou à s’accrocher à quoi que ce soit. Plus personne ne lui venait en aide, personne ne viendrait la tirer de cette souffrance. Dans un repli de sa tête, une petite voix, dont les murmures se faisaient de plus en plus forts, lui conseillait ainsi d’abandonner, de rendre les armes, et de se laisser aller.

*Pourquoi continuer ainsi à lutter ? Tout le monde t’a trahi, les autres te croient sûrement morte… Même Irina t’a trahi ! Il n’y a rien à sauver chez elle. Si tu t’obstines, tout ce que tu récolteras, ce sera davantage de souffrance, davantage de torture… Abandonne, c’est mieux pour nous, Sarah.*

Une voix insupportable, une idée horrible, mais qui exprimait aussi une certaine réalité. Elle était perdue dans un immense complexe quelque part sur Terra, sans aucun espoir de survie. Cette Supéria connaissait tout du Witchblade, et s’amusait de sa situation. La policière était une femme têtue et fière, suffisamment têtue pour avoir tenu jusqu’ici, contre toutes les menaces. Elle avait fait tout ce qu’elle pouvait pour Irina. Se pouvait-il que Supéria soit dans le vrai ? Qu’Irina ait été depuis le début un piège destiné à la capturer ? Sarah n’en savait rien, et, de toute manière, quelle importance est-ce que ça ferait ? Pour l’instant, tout ce qu’elle sentait, c’était les coups de pilons incessants de la blonde. Irina était lâchée, et n’arrivait même plus à raisonner, transformée en une sorte de mollusque ne pensant qu’à se baiser.

*Au moins, tu ne souffrirais plus dans cet état…
Faire de toi un mollusque ? Sarah, tu vaux mieux que ça !
Il n’y a pas d’espoir !
C’est des foutaises !
*

Confuse, Sarah avait donc appelé Supéria « Maîtresse », ce qui ne calma néanmoins nullement la redoutable criminelle. Elle lui présenta alors deux abominables créatures qui avaient le visage de Sarah… Ou, du moins, ses traits. Pour le reste, elles n’avaient aucun cheveu, et Sarah déglutit en les voyant, retrouvant un surplus de vigueur et de vitalité, puisant dans sa rage et dans sa colère.

« Ces abominations… Ce sont des monstres, comme toi, Supéria ! »

Sarah chercha encore à se débattre, mais son corps était affaibli. Irina apporta ensuite de curieux parasites tentaculaires, ce qui ne manqua pas de faire protester la policière, totalement désemparée… Même si elle avait enfin pu se soulager. Elle avait relâché tout ce qu’il y avait dans son ventre, ce qui, tout en la faisant claquer des dents, lui avait aussi permis de se sentir mieux.

« A-Arrête ça, Irina, je… Je peux te protéger, mais ne fais pas ça, je… Je ne veux pas de ces trucs… N-Non, non !! »

Mais l’esprit d’Irina semblait définitivement être brisé, et Sarah gémit, et hurla même, quand les tentacules s’enfoncèrent en elle. De curieux symbiotes qui gonflèrent ses seins, tandis que Supéria lui expliquait que ces symbiotes amélioreraient sa sensibilité au sexe.

« Haaaa… !! »

Incapable de parler devant cette vague qui la submergeait, Sarah se mit à gémir, avant de sentir d’autres symbiotes dans son vagin, dans son fondement… Et même dans sa bouche. Elle déglutit alors, les tentacules se serrant sur sa langue, jusqu’à se mélanger à elle, et tira la langue en crachant. Fait notable, suite au symbiote, un signe en forme de cœur venait de se former sur sa langue, illuminant cette dernière.

Les yeux dans le vague, Sarah entendit Supéria lui parler, et soupira doucement. Elle lui parla d’un « client », et Sarah releva la tête, avant de gémir encore :

« Je… Je ne serai jamais… Ta pute… » soupira-t-elle laborieusement.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 84 jeudi 17 janvier 2019, 15:14:04

- Je… Je ne serai jamais… Ta pute…

A cette dernière affirmation, Supéria lui sourit de plus belle, révélant la blancheur éclatante de ses dents et la ferme intention de lui prouver le contraire.

- Tu es si têtue ma belle... si sure de toi... et si ignorante. Tu es comme tout ces fanatiques religieux ou tout ces abrutis terriens qui pensent que leur misérable planète est plate. Tu pèche pas ignorance, tu ne dispose pas du savoir ni de l'expérience nécessaire pour comprendre la vérité. 

Supéria se dirige vers la cuve génétique dans laquelle nage désormais de grandes formes mi féminines, mi formiennes et active un panneau de commande.

- Je vais te faire découvrir toutes ces choses que tu ignore... et quand tu auras totalement lâché prise, je ferais de toi ma nouvelle tueuse parfaite. Pas une pauvre débile décérébrée comme Irina non... mais une esclave farouchement attachée à sa maîtresse et à ses plaisirs qui tuera et se prostituera pour le simple bonheur... de me satisfaire...

Le sas de la cuve s'ouvre et déverse un flot nauséabond de liquide gestationnaire formien, une épaisse vapeur emplie toute la pièce et plonge Sarah dans le brouillard. Devant elle, de grandes formes se meuvent dans sa direction. Petit à petit, le brouillard se dissipe et les créatures apparaissent pour finalement se présenter dans toute leur majestuausité grotesque.  Devant les yeux de Sarah, des créatures mi femme mi formienne approchent, chacune d'elle à pour visage le sien qui la fixe d'un air concupiscent et pervers. Leur corps est un subtile mélange de créature insectoïde et visqueuse et de Sarah, si ce n'est qu'elles sont équipées d'un pénis épais et large et d'une queue longue de plus d'un mètre.

- Je te présente tes plus grandes filles Esclave. Ce sont elles qui vont te faire découvrir le plaisir au delà de toute limite et de tout contrôle. Grace aux parasites qui t'on colonisés, tes sensations sont désormais sans limite ! Multipliées par l'infini ! Exponentielles ! Il n'y a que ton petit esprit qui soit limité maintenant mais ne t'en fait pas...

Supéria claque dans les doigts et les créatures formiennes se jettent sur le corps vulnérable de Sarah.

- Le plaisir que tu vas ressentir entre leur bras sera si intense que tu vas vite devenir folle et j'ai failli oublier de préciser aussi... cela te rendra totalement et irrévocablement addict au sexe !

Sarah a à peine le temps d'entendre les derniers mots de sa geôlière que ses "filles", au nombre de quatre, l'encerclent et commencent à la faire tourner entre elle. La policière est noyée dans une véritable foret de pénis et de queux qui pulsent à quelques centimètres de sa bouche, de ses seins, de ses cuisses, elle ne voit plus que ça. Au moment où la première saisit sa mâchoire pour l'obliger à ouvrir la bouche et lui faire avaler sa bite, Sarah comprend instantanément ce que Supéria voulait dire. Car sentir cette queue pénétrer en elle et glisser sur sa langue lui procure un plaisir et une sensation de tiraillement comparable à une pénétration vaginale après de longs et délicieux préliminaires.

Cette sensation d'extase, elle la ressent aussi quelques secondes plus tard quand une autre lui empoigne les seins de ses doigts griffus et s'en sert pour masturber sa queue turgescente. Mais le pire va venir dans quelques instants. Car sa troisième fille se glisse sous elle et commence à frotter son sexe contre sa vulve et son clitoris, lui arrachant déjà des sensations orgasmiques par ces simples attouchements brutaux. Pendant que sa quatrième fille se glisse derrière elle et positionne son gland épais et palpitant contre lma plissure de son anus.

Les sensations de plaisir que lui procurent ces simples attouchements la poussent déjà au bord d'un abysse de folie et de plaisir orgasmique... mais les pénétrations qui se préparent la pousseront brutalement jusqu'au fond...

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 85 lundi 21 janvier 2019, 01:12:57

Devant la démence de cette scène, et les aberrations qui étaient sorties de son ventre, Sarah avait retrouvé un semblant de combat, un semblant d’abnégation et de résilience. Elle refusait ce sort, finir en état de poupée décérébrée, comme Irina. Non, jamais ! Elle allait encore se battre ! Sarah se débattait encore, les tentacules la retenant, et vit alors la cuve formienne s’ouvrir alors, libérant un épais brouillard. Supéria gloussait sur place, et ramena à elle Irina. Elle la blottit contre elle, palpant son cul, tandis que Sarah, impuissante, vit d’abominables créatures approcher. Elles marchaient à quatre pattes, ressemblant aux Xénomorphes d’Alien. Elles avaient un long corps noir et baveux, avec, sur le dos, de multiples tentacules, et une apparence féminine, avec un visage qui était... Qui était le sien ! Elle déglutit devant ces créatures cauchemardesques, qui avaient également des seins noirâtres... D’où des trompes s’échappaient, formant des tentacules gluants. De leurs bouches, des tentacules multiples suintaient également, sans compter leurs verges, épaisses, noirâtres, et les tentacules jaillissant de leurs dos, formant comme une forêt de tentacules.

Supéria observait tout cela avec une lueur d’amusement dans les yeux, crispant ses doigts sur le cul de 2501 au passage.

« Observe bien, ma petite pute... Ou plutôt... Va préparer ses autres filles, rends-toi utile ! »

En effet, outre les quatre créatures xénomorphiques, Sarah avait aussi accouché de deux femmes musclées et veineuses, qui attendaient patiemment de pouvoir baiser leur mère à leur tour. De son côté, Sarah les vit donc se rapprocher, marchant à quatre pattes. Elle déglutit à nouveau, et les monstres s’approchèrent alors. Ils étaient très élastiques, et elle sentit une verge s’enfoncer dans sa bouche, et couina sur place, sentant une forêt de queues phalliques caresser son corps. Mais cette verge dans sa bouche, frottant sur sa langue... Elle se mit à mouiller instantanément, se crispant nerveusement en sentant le plaisir se diluer en elle.

En fait, elle eut un orgasme sur place, et sentit ensuite les autres créatures grouiller autour d’elle. Des mains griffues se serrèrent sur ses cheveux, appartenant au monstre qui besognait sa bouche. Elle se redressa alors, permettant au second monstre de s’approcher, malmenant ses seins, une verge épaisse apparaissant entre ses seins, lui arrachant de nouveaux frissons, tandis que, partout sur son corps, des queues se frottent à elle. Des queues humides, gluantes, puantes. Ces créatures affreuses dégageaent une abominable odeur, mais qui est aussi très exquise. Elle sent alors les monstres la pénétrer à l’arrière et par le devant, s’enfonçant dans son vagin et dans ses fesses.

« Hrrrrrmmmrrr... !! »

Sarah ne peut que déglutir, sentant des verges s’appuyer sur ses mains, jaillissant des monstres, qui continuent à la malmener, à se masturber sur elle, et à la pénétrer. Des larmes coulent de ses yeux, mais, rapidement, le plaisir se met à déborder en elle, et les orgasmes s’enchaînent avec une frénésie surnaturelle. Les monstres jouissent également, crachant des filaments de semence, un sperme épais et gluant. Ils la prennent sans ménagement, sans relâche, rien n’épargnant à Pezzini le calvaire qu’elle ressent en ce moment.

La jeune policière ne peut tout simplement pas lutter, et s’abandonne sur place, disparaissant petit à petit...
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 86 mercredi 23 janvier 2019, 11:06:14

Superia remarque la lueur de détermination dans le regard de Sarah. Cela l'amuse beaucoup et lui rappel une foule de bons souvenirs, ceux de toutes les esclaves qu'elle a brisé. Combiens d'héroïnes du peuple, de resistantes, de guerrières a telle brisé depuis qu'elle travail avec BIOGENIX ? Elle en a perdu le compte...

Chacune d'elle avait cette même lueur... au début...
Mais comme Sarah aucune ne se doutais du pouvoir incroyable du sexe sur leur psyché et leur personnalité. Toutes avaient sous estimé la capacité de l'orgasme à dissoudre leur volonté dans un bain de folie et de désir insatiable. Soumises aux traitements inhumains de Superia, elles avaient toutes sombré dans la nymphomanie et la dépendance aux sexe. Les unes après les autres, elles avaient abandonné leur rêves personnels et leur idéaux pour se prosterner devant les talons de la scientifique.

Quand à celles qui avaient résisté malgré tout... Superia se tourne vers Irina, sa poupée totalement lobotomisée et stupide Elles avaient subit un sort pire que la mort...

Mais tel ne pouvait être le cas de la Porteuse. Si Superia démolissait le cerveau de Sarah comme elle avait fait avec Irina, la Witchblade l'abandonnerait à son sort et s'en serait fini de son projet de "Traqueuse Suprême".

Non, pour briser Sarah tout en conservant ses capacités intellectuelles elle allait la noyer sous un torrent d'orgasmes incessant. Grâce à la démultiplication de ses sensations sexuelles et l'augmentation de ses zones érogènes provoqué par les parasites, elle va la rendre totalement nymphomane et dépendante au sexe. Et... plus particulièrement... celui qu'elle lui prodigue.

Quelques petits ajustements hormonaux et quelques ajouts de substances psycho-actives finiront de la rendre maléable et obeissante.

-Hrrrrrmmmrrr... !!

Le gémissement de Sarah sort Superia de ses pensées et la replonge dans le présent. Ses filles ont bien commencé leur travail, la jeune policière commencé déjà à jouir et à savourer sa torture. Sans doute loin d'imaginer que cela va durer, durer et durer encore, jusqu'à ce qu'elle atteigne son point de rupture et qu'elle ne soit plus capable de cohérence. Puis viendra la traversée du désert... la privation de sexe... jusqu'à ce qu'elle hurle, qu'elle supplie, qu'elle concède tout pour en avoir. Ce sera alors le bout du voyage... Superia à tellement hâte de voir la détentrice de la Witchblade lui lécher les pieds. Mais pour cela, aucune étape ne doit être brûlée, où ce sera la défaite...

Elle la regarde se cambrer à nouveau de plaisir, gémir encore alors qu'un nouvel orgasme la traverse. Pleurer encore de frustration en sentant son jet de cyprine retenu par le bouchon qui obstrue son  urètre, l'empêchant de faire la femme fontaine. La petite flic pleine de résolution ne s'était pas attendue à ce que son corps, modifié par sa geôliere, puisse éprouver tans de plaisir d'un coup. Déjà sa résistance faiblit, déjà elle lâche prise et ferme les yeux pour s'abandonner à la jouissance.

La pauvre petite pute, croit elle pouvoir échapper ainsi à la folie ? Ricane intérieurement Superia.

Au bout d'innombrables orgasmes, alors que les premières filles de Sarah commencent à faiblir. Irina rejoint l'orgie avec les autres enfants de la policière, encore en pleine forme, pour pouvoir la baiser encore pendant des heures. De temps en temps, la bouche de Sarah est libéré pour lui laisser crier ce qu'elle veux, avant qu'une nouvelle queue vienne la remplir et lui provoquer de nouveaux orgasmes bucaux.

À mesure que la resistance de Sarah disparaît, la pathologie psychiatrique que Superia développe en elle, progresse, de plus en plus, la nymphomanie s'enracine dans l'âme de la policière. Chaque nouvelle bite qui la pénètre, chaque branlette espagnole, chaque caresse qu'on lui inflige cesse d'être une torture pour devenir une bénédiction, un don, un plaisir à savourer et qui donne à la Vie tout son sens. En vérité, il n' y a que ça qui compte, le plaisir, le sexe, la baise, rien d'autre n'existe vraiment, tout le reste ne sert qu'à obtenir cette récompense.

Les minutes deviennent des heures, des heures qui s'enchaînent à n'en plus finir. Pendant tout ce temps, Superia admire la scène de partouze et analyse chaque réaction de Sarah. Elle attend patiemment que celle ci craque pour la soulager. De son calvaire ? Non... De sa liberté... calmement, Superia lui prépare une nouvelle  injection, un cocktail d'anti dépresseurs et de drogue euphorisante qui créeront en elle une sensation de satisfaction, de bonheur et de félicité totale... ainsi qu'une syndrome de manque dès la première prise.

Superia attend son heure, impatiente à l'idée de transformer la Policière en junky accro à Elle...


Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 87 lundi 04 février 2019, 01:13:38

Le Witchblade était un puissant artefact qui n’aimait pas qu’on le fraude. Quand il avait choisi son hôte, il pouvait être très dangereux de le faire changer de main. Supéria, qui avait pu avoir accès à des données sur l’artefact, savait que ceux ayant tenté de le faire changer de propriétaire avaient été tués par l’artefact. Le Witchblade était relié à Pezzini, et, s’il ne se réveillait pas en ce moment, Supéria soupçonnait que c’était parce que, inconsciemment, Sarah ne voulait pas de lui, et devait l’estimer responsable de tous ses malheurs. C’était une question de volonté, et, comme Supéria brisait celle de Pezzini, il lui semblait logique que ole Witchblade ne se réveille pas. Il le ferait plus tard, quand elle aurait définitivement corrompu la jeune femme. Observant la scène, la femme souriait doucement, fantasmant déjà sur le futur.

Ambitieuse, orgueilleuse, Supéria l’était, à un point difficilement imaginable. Elle réveillait d’une utopie féminine, et avait vu à Tekhos un véritable paradis, mais était profondément frustrée de constater que les Tekhanes étaient timorées, des faibles qui refusaient d’envahir le reste du monde. Avec leur puissance militaire, leur armée, elles n’avaient besoin que d’un peu plus de volonté pour s’emparer de Terra, et pour éradiquer une bonne fois pour toutes le génome masculin. Supéria avait longuement eu l’occasion de perfectionner sa formule depuis l’époque où elle avait été arrêtée sur Terre par Captain America et les Avengers. Elle avait cherché l’île mystique de Themiscyra, puis avait rejoint Terra. Ici, elle avait enfin l’occasion de mettre à bien ses rêves, son projet d’utopie mondiale, qui impliquait bien sûr qu’elle se retrouve à la tête du pouvoir... Et Pezzini jouerait un rôle décisif là-dedans. Cette idiote n’avait aucune idée de la puissance de l’artefact qu’elle détenait, contrairement à Supéria, qui avait fait bien des recherches là-dessus.

*C’est peut-être aussi pour ça que le bracelet ne réagit pas... Peut-être attend-il de moi que j’éduque cette femme ?*

Les différentes porteuses du Witchblade avaient toujours été des guerrières entreprenantes, aventureuses, dont plusieurs avaient marqué l’Histoire. Mais Pezzini était différente des autres. Faible, lâche, elle énervait prodigieusement Supéria par son refus manifeste de profiter du magnifique cadeau que la destinée lui avait offerte. Rien qu’à imaginer ce qu’elle pourrait faire avec elle, Supéria en mouillait. Restant stoïque, elle observait ses esclaves baiser sans relâche Sarah, mais, le long de ses somptueuses cuisses, de fins traits humides glissaient sur elle.

Quant à Sarah... Elle errait, et, quand les monstres se retirèrent, elle vit Irina revenir, en compagnie des deux autres créatures chauves et dont le visage ressemblait au sien. Une grosse queue trempée caressa son visage, glissant sur ses lèvres.

« Maman...
 -  Haaaaa... »

Supéria vit alors Sarah pomper naturellement ce dard, tandis qu’Irina et l’autre Formienne se positionnèrent dans le dos de la jeune femme. La criminelle hésita un peu, et appuya sur un peu. Les tentacules retenant Sarah se retirèrent alors, et elle tomba au sol, entre les trois femmes, dans une flaque épaisse de sperme, de mouille, et de sueur. Son corps était méconnaissable, parcouru ici et là de saillies blanchâtres décorant sa peau comme un zèbre pervers.

« Haaaa... »

Elle vit devant elle la queue de sa fille, bien tendue... Et alla alors la prendre en bouche, sans même réfléchir. Une belle gorge profonde, qui amena sa fille à poser ses mains griffues sur sa tête, donnant quelques légères coups de reins, tandis que Sarah se caressa intimement... Jusqu’à ce qu’une autre fille n’intervienne, et n’empêche cela en saisissant sa main pour l’écarter de son sexe.

« Mmmmhmm...
 -  Nous sommes là pour ça, Maman... »

Et Sarah se retrouva ensuite à quatre pattes. Sa seconde fille se glissa sous elle, et enfonça sa verge dans sa chatte, tandis qu’Irina opta pour son cul, provoquant une série de crissements avec sa combinaison. Supéria constata, avec un grand plaisir, qu’il n’y avait plus aucune résistance chez Sarah.

« Encore... Encore, en-Encore, haaaaa... !! » gémissait-elle.

Les positions s’enchaînèrent ainsi. Ses deux filles étaient insatiables également, grâce à leur constitution formienne, et Supéria commençait à doucement trembler sur place, se mordillant les lèvres en les regardant faire. Elle ainsi Irina se déplacer, et prendre Sarah seule, ce qui amena les deux femmes à s’embrasser longuement. Les deux filles se masturbaient alors à côté du duo, tandis qu’Irina la besognait furieusement, sans que leurs lèvres ne se rompent...

...Puis Sarah retourna Irina, et s’empala sur elle, avant de saisir dans chacune de ses mains les chibres des deux femmes, et ne les masturbe vigoureusement, jusqu’à ce qu’elles jouissent copieusement sur son visage. Supéria en déduisit qu’instinctivement, Sarah entretenait une sorte d’affinité profonde avec Irina, d’autant que l’esclave blonde semblait être également ravie de lui faire l’amour.

Elles hurlaient de joie, encore et encore, et Supéria, dans un grognement, sentit son calme se rompre. Elle les observait maintenant depuis cinq heures, et une belle verge déformait maintenant sa minijupe, une queue grosse et joufflue pendant que Sarah et Irina, enlacées l’une contre l’autre, retournaient s’embrasser, le corps maculé de foutre...
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Répondre
Tags :