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La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 60 jeudi 11 décembre 2014, 00:51:44

Le regard mort et le visage totalement neutre, Irina participe à la mêlée que commencent à former les hommes qui se jettent sans vergogne sur la policière devenue folle de désir. Chaque image de son amie abusée lui rappel l'horreur de son propre endoctrinement, intérieurement un noyau de rébellion se réveil lentement.

Mais pour l'heure son conditionnement est trop fort, elle ne peut pas luter, elle veux même obéir avec zèle tans son niveau de docilité à été réglé haut pour commettre cela.  Elle se positionne contre son flanc et guide d'une main la tête de la belle brune vers le pénis turgescent d'un tortionnaire pendant que de l'autre elle lui ouvre la vulve pour qu'un autre puisse la pénétrer plus facilement. La queue du premier s'enfonce profondément dans la bouche de Sarah et Irina tire délicatement ses cheveux en l’arrière pour l'aider à dégager sa trachée. Dans un bruit de déglutition pornographique, le gland de l'homme s'infiltre jusque dans sa gorge. Il commence de longs va et viens...

La policière gémit, Irina baisse les yeux et regarde l'entrejambe de son amie, le second homme est en train de s'enfoncer péniblement en elle. Ce butor n'a pas un pénis très long, mais il est en revanche extrêmement large, il lui semble même reconnaitre ce membre, sans doute faisait il partie de l'équipe qui la brisa naguère.  BIOGENIX devait sans doute choisir qui faisait quoi pour obtenir un maximum de résultat lors de ses endoctrinements. Le vagin, serré par le désir est un rempart puissant qui freine le pénis énorme de l'individu et commence à arracher à la belle captive des grognements de douleur.

Les ordres sont formels, le sujet 2623 doit être maintenu dans un état de bien être maximal et tout acte de souffrance doit être réduit au stricte minimum. Irina reporte rapidement ses deux mains vers le sexe en souffrance de Sarah. Elle commence à lui masser habilement le clitoris d'une main pendant que de son autre pousse elle palpe et fait de petit vas et viens contre son anus.
Quand elle sent que son muscle se détend, elle enfonce tout son doigt en même temps qu'elle lui écarte les lèvres pubiennens. Le vagin de Sarah se détend le temps d'une seconde et la queue du gaillard bien bâti s'y engouffre tout entier, provoquant toujours plus de sensations orgasmiques à la prisonnière.

Un troisième homme, sur la dizaine qui les entoure, âgé celui-ci, profite du travail d' Irina pour se glisser sous Sarah et ses amants. Il commencer à pousser le bout de son gland contre le muscle contracté et violé par le pousse d' Irina. Sentant cela, la cyborg tourne son regard vers sa compagne d'un air triste, et lui murmure quelques mensonges réconfortants à l'oreille pour la détendre. Puis elle enlève son doigt pour laisser place au pénis du vieillard libidineux. Prise de toutes pare, baisée par tout les orifices, la policière commence à bouger en cadence avec les hommes qui la pénètrent. Comme un métronome, elle virevolte d'avant en arrière, de haut en bas, diluant ce qu'il lui reste de repaire dans un tournis infernal de chaire et de plaisir. Au bout de seulement quelques instants de ce calvaire, ses trois amants jouissent en elle sans retenue, l'inondant de leur semence brulante . Mais le calvaire ne s’arrête pas la, car a chaque homme qui vient en elle, un autre se tient prêt pour le remplacer, et l'orgie commence à s’étendre dans le temps, une infinité pour Irina et Sarah.

Au bout de plusieurs heures, l'équipe, épuisée et satisfaite se retire, laissant Sarah et Irina de nouveau seul dans la pièce. Depuis son poste d'observation, Khane et son comparse observent toujours la scène, silencieux. L'homme en blouse blanche regard le visage froid et calculateur du tyran géno-amélioré et réalise avec toujours autant de gène que celui-ci, malgré la scène qui vient de se dérouler sous ses yeux, reste parfaitement calme.  Une troisième personne les rejoint et présente au savant une fiche de donnée.

Scientifique - Voici les résultats des analyses ADN et de compatibilité du sujet 2623.

L'autre les regard pendant que l'importun se retire sans un mot de plus. Une ride apparait sur son front penseur.

Scientifique - Je suis au regret de vous dire que le sujet n'est pas compatible pour l'intégration au programme.

Khane - Pas de 3ème traqueuse pour la firme donc...

Chuchote le PDG de BIOGENIX d'un air penseur.

Scientifique - Je vais annuler les séances d'hypnoses ainsi que les autres éléments de la procédure et ordonne au sujet 2501 de nous débarrasser d'elle.

Khane - Non... n'annulez rien...


Chapitre 2: La fuite.


Sarah...

Musique: https://www.youtube.com/watch?v=MK84iaAjI2c

Sarah ignore depuis combien de temps elle dort, profondément enfouie dans un sommeil artificiel, des fragments délirants lui reviennent en mémoire. Combien de fois a t'elle couchée avec Irina ? N'y avait il qu'Irina ? Non... il y d'autres visages...

Sarah... tu es Sarah...

La policière commence à reprendre ses esprits, elle sent qu'elle flotte, elle est totalement immergée dans un liquide qu'elle respire comme s'il s'agitait d'air.

Sarah Pezzini... tu es Sarah Pezzini... réveil toi Sarah...

Cette voix, c'est la voix d' Irina. Elle ouvre les yeux, le liquide dans lequelle elle baigne est d'un rose parfaitement translucide. Elle est dans une sorte de cuve, sa vitre bombée déforme une silhouette féminine qui se trouve juste devant, dehors. La forme semble pianoter sur un objet que son cerveau finit par reconnaitre, un ordinateur. La silhouette se rapproche et insère un tube étrange en bas de la cuve, la policière sent un liquide froid couler dans ses veines et laver son sang des hormones et des drogues qui le polluent. Enfin elle s'approche et pose une main sur la vitre, c'est Irina, elle la regarde et lui parle, et curieusement, Sarah entend...

Sarah... réveille toi... tu es Sarah Pezzini, tu es policière, tu vis a Tekhos Metropolis.

Puis la silhouette se retourne et s'éloigne, abandonnant la belle brune à sa cuve cryogénique. Elle y flotte dans une semi somnolence pendant un temps qu'elle ne parvient pas à définir avec précision.

Sarah...

La voix revient...


SARAH !!


Les murs tremblent, la cuve éclate soudainement et vomie Sarah dans la salle de stase. Les lumières clignotent, une nouvelle secousse fait vibrer les murs et éclater les ordinateurs de la pièce. Des alarmes retentissent dans tout le complexe. Seul un grand écran mural subsiste encore, les traits flou et grésillants de la cyborg essaient de s’harmoniser pour donner une image nette.

Irina - *parasites* Sar... *parasites* Sarah ! *parasite* Sarah ?



Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 61 lundi 15 décembre 2014, 01:47:30

Spirale de sexe, spirale interminable de sensations plaisantes et délicieuses, enivrantes et absorbantes… Sarah ne pensait plus à rien, se contentant de subir, de subir, et de subir encore. Elle n’était plus Sarah Pezzini. Sarah Pezzini était une policière inflexible, qui luttait contre la corruption et pour un système judiciaire qui serait plus juste à l’égard des minorités. Non, elle n’était pas cette nymphomane ne pensant qu’au plaisir. BIOGENIX n’avait pas gagné, la firme avait juste triché en enterrant sa vraie personnalité, en la noyant sous le sexe, sous les plaisirs grisants de son corps, et, quand ce dernier se serait habitué, ils feraient comme ils l’avaient fait avec Irina… Ils transformeraient son corps en un être synthétique, semi-artificiel, afin d’obéir plus facilement à leurs ordres et à leurs instructions. Sarah était incapable de résister, et elle laissait ces hommes, ces sales pervers, la prendre dans tous les sens, son « amie » étant là pour les suivre. Irina, vulgaire pantin, vulgaire poupée désarticulée. Elle ne pouvait rien faire contre sa programmation, et voulait malgré tout se faire passer pour son alliée. Quand une queue se libérait de sa bouche, Pez’ se penchait pour l’embrasser goulûment, la voyant alors effectivement comme une amie… Mais c’était parce qu’elle était alors rien de plus qu’une bête, fonctionnant comme un animal à qui toute conscience d’humanité avait été réveillée. Ils avaient annihilé par le biais du sexe toute conscience d’humanité en elle. Pez’ les laissait faire, incapable de voir quoi que ce soit. Elle sentit un vieux pervers se glisser dans son dos, et, au bout d’un moment, certains scientifiques s’en prirent également à Irina, leurs hormones les commandant. Même si Irina n’était qu’un bout de plastique synthétique, elle était très belle, et, pour eux, pouvoir maîtriser une Tekhane, ces femmes si arrogantes qui crachaient sur les hommes comme s’ils étaient la dernière des déjections de la nature, était un régal constant.

Un homme avec un bel embonpoint la prit contre une table, la retournant pour glisser entre ses fesses. Il tira sur sa longue chevelure blonde en ricanant, enfonçant son membre dans son vagin, et griffa l’un de ses seins, tandis que Sarah continuait à se faire prendre par les mâles en rut, ses mains libres se retrouvant rapidement à masturber des queues.

« Salope d’androïde, vociférait le scientifique, je vais te rappeler ta place… »

Il grognait contre elle, et finit par jouir, puis fut remplacé par un autre homme, qui choisit alors de la sodomiser, tout en tirant sur ses cheveux, soulevant ainsi le corps de la femme. Il tourna Irina, la forçant à voir Pezzini se faire prendre par ses collègues, son corps finissant par se recouvrir de sperme quand certains jouissaient contre ses hanches, éclaboussant son ventre. Difficile de dire qui était le pire ici… Était-ce Pezzini, qui semblait assoiffée, et hurlait en étant incapable de parler, ou les scientifiques, qui n’avaient alors plus grand-chose de scientifiques, laissant libres courts à leurs instincts et à leurs pulsions. Ils défoncèrent joyeusement Pezzini et Irina, et, quand ce fut terminé, se relevèrent tous, et les laissèrent tremper dans un mélange de foutre et de mouille.

« Ah, que j’aime ce boulot !
 -  C’est pour des extras’ comme ça qu’on travaille chez BIOGENIX ! »

Sarah gisait sur le sol, inerte, brisée, la langue pendant hors de son corps. N’ayant pas une très grande expérience sexuelle, Pezzini était épuisée, et sentait le sommeil la gagner. Elle avait mal partout, et sentait des larmes commencer à embuer ses yeux… Puis ce fut le noir.



« Arrogante humaine… C’est uniquement dans le besoin que tu retournes vers moi, comme si j’étais un outil à ta disposition…
 -  Je t’en prie… Je ne survivrais pas sans toi. »

Un ricanement sec s’échappa de l’obscurité, et, de l’ombre noir, des tentacules métalliques émergèrent. Nue, Sarah était sur le sol, agenouillée, et vit alors une silhouette se former dans l’obscurité insondable de son esprit… Puis elle vit un clone d’elle-même, recouverte du Witchblade, Sara Pezzini. L’artefact formait dans son dos une sorte de trône sur lequel elle flottait, jambes croisées, un sourire goguenard sur les lèvres.

« Tu ne m’as jamais accepté, Pezzini…. Tu as refusé ton héritage, toujours… »

La femme claqua des doigts, et des images se formèrent dans l’esprit de Pez’. Elle se vit en chamane ancestrale, utilisant le Witchblade pour soigner des enfants victimes de la malaria, pour affronter de redoutables et sauvages tigres, étouffer des serpents, dompter les forêts. Elle se vit en héroïque chevalier, bondissant sur des dragons pour les pourfendre, repoussant les envahisseurs.

« Même en sachant que tu es l’héritière d’une longue lignée de porteuses, et en sachant que toi seule peut porter le Witchblade, tu refuses de laisser son potentiel s’exprimer… Trop longtemps, j’ai été ton esclave, insolente jeune femme.
 -  Non, je… Je ne veux pas que tu me contrôles ! Mais… J’ai besoin de toi ! Et tu as besoin de moi ! Que se passera-t-il, si je meure ?
 -  Je me réincarnerai…
 -  Mais tu n’auras pas vaincu le Darkness ! L’équilibre sera rompu ! Tu te bats pour la justice ! Ce que je vis est injuste !
 -  Me prendre quand bon te semble l’est tout autant ! Crois-tu que parce que je suis immobile et incapable de parler que je ne ressens pas ? On m’a coupé en deux ! Le Witchblade et le Darkness, les deux faces d’une même pièce ! Depuis l’aube des temps, nous nous affrontons et nous nous combattons ! Tu n’es ni la première, ni la dernière, Pezzini… Si tu meurs, une autre sera choisie. Ainsi va le Cycle. »

Sarah se pinça les lèvres. Ce rêve n’en était pas un, et ce même si elle savait que, en se réveillant, elle penserait que c’était le cas. Elle était en train de marchander sa survie avec un artefact millénaire et capricieux. Les tentacules formaient comme une marée de serpents, et, plus le temps passait, et plus l’obscurité se formait, laissant apparaître des colonnes ancestrales avec des rubis flamboyants.

Était-ce le Witchblade ? Ou simplement la représentation qu’elle s’en faisait ? Sarah ne saurait le dire. Elle gisait sur le sol, et tenta de se relever, et se força.

« Ils t’étudieront… »

Des projecteurs illuminèrent alors les colonnes. Un nouveau rire moqueur s’échappa des lèvres de Sara. On pouvait voir, sur les projecteurs, les ombres dansantes de scientifiques, comme des ombres chinoises, observant les tentacules, faisant des prélèvements… Les projecteurs se couvrirent alors de sang et Sarah entendit les échos de hurlements de douleur.

« Tu te trompes, Pezzini… Le Witchblade n’est pas là pour représenter le Bien, pas plus que le Darkness ne représente le Mal. Nous sommes deux forces naturelles. La Nature ignore ce concept de Bien et de Mal. Les humains se prennent pour des Dieux, mais vous n’êtes que des enfants face à moi… Ils ne te tueront pas, car ils veulent se servir de toi, reproduire le Witchblade, comprendre comment je fonctionne… Et je les détruirais volontiers. »

Sarah se pinça les lèvres, secouant la tête. Sara l’attaqua alors avec un tentacule, la frappant sur le ventre. En hurlant de douleur, Sarah atterrit près d’un bassin, tandis que Sara, lentement, descendit sur le sol, les tentacules formant comme une marée de serpents.

« Et ils apprendront à me craindre, et ils apprendront qu’il existe en ce monde des forces anciennes, des forces possédant une capacité de destruction illimitée… Des forces antérieures à l’Univers même. »

Les serpents se rapprochaient de Sarah, qui rampait sur le sol, et d’autres s’élevèrent en hauteur, puis s’abattirent violemment sur Sarah…




Sarah s’écroula sur le sol, sortant d’une sorte de cuve de stase, et sentit alors des alarmes lui vriller les tympans. Elle était sur le sol froid, et posa machinalement la main à son ventre. Aucune trace de blessure. Elle releva la tête. Elle était dans une sorte de pièce aseptisée, nue, avec le Witchblade toujours autour de son poignet. Tous les ordinateurs grésillaient, et, en levant la tête, Sarah vit l’image d’Irina, à travers un grand écran mural. L’image était en train de flotter, saturant sur place, tandis que la femme lui parlait.

« Irina ? »

La mémoire lui revint alors, et Sarah porta les mains à ses oreilles. Les alarmes l’étouffaient, et elle se mit à hurler, en revoyant ces sales mains posées sur son corps, en revoyant ces individus porter ses sales mains sur son corps, et en revoyant Irina la baiser, la baiser sauvagement, sans relâche…

« Tu… C’est de ta faute… Tout ça. Vous… Huunnn !! »

Elle revit le Golgoth qu’elle avait vaincu dans les égouts. Une expérience de laboratoire, comme Irina, comme elle… Irina sussurrant dans son oreille qu’elle était son amie. Sarah serra les dents, et poussa alors un hurlement de rage. De son dos, des tentacules métalliques jaillirent, et frappèrent violemment le mur, le défonçant, creusant des sillons dans le béton. Le corps de Pezzini se recouvrit alors de son armure, mais la haine brûlait dans ses yeux.

« JE VAIS VOUS TUER ! »

Elle défonça la vitre blindée devant elle, atterrissant dans un couloir, et tourna la tête sur la droite. Des agents de sécurité venaient d’arriver.

« Oui, venez, misérables… VENEZ !! »

Sarah bondit vers eux, et son poing transperça le corps d’un garde de part en part. Un autre pointa son fusil vers elle, et tira en pleine face. La balle frappa la tête de Sarah, la faisant reculer. Elle tomba au sol, et l’agent de sécurité s’approcha lentement… Avant de pousser un hurlement quand des tentacules jaillirent depuis le dos de Sarah, et s’enroulèrent autour de ses bras et de ses jambes, avant de toutes les arracher en tirant, dans d’atroces craquements d’os et déchirement de tendons. Le sang vomit dans toutes les directions, tandis que la balle, écrabouillée, avait rebondi contre le sol, entaillant à peine le corps de la femme. Sa main griffue attrapa le corps d’un troisième larron, et elle le balança à l’autre bout du couloir, l’envoyant voler comme un ballon de rugby. Il s’écrasa violemment contre le mur d’en face, se brisant tous les os du dos.

Elle se retourna vers un quatrième, qui vida le chargeur de son pistolet sur elle. Quand il visait sa tête, l’armure venait automatiquement recouvrir sa peau, et Sarah s’avança lentement vers lui.

« N-Non, pi… Pitié… »

Sarah le vit tourner les talons, comme pour tenter de fuir… Il fit quelques pas avant qu’un tentacule ne lui transperce le dos. L’homme vomit du sang, ses pieds ne touchant plus le sol, puis Sarah le découpa en deux à l’aide d’un autre tentacule, le haut de son corps venant atterrir sur le sol. Elle se tourna vers le dernier membre de cette escouade, qui décida d’aller contre les ordres de sécurité. Il chargea le lance-grenades de son arme, poussa un hurlement, et balança la grenade vers Sarah… Une conduite de gaz passait à côté, ce qui expliquait pourquoi les explosifs n’étaient pas recommandés. La grenade explosa, attaqua le gaz…

BOOOOOOOOMMM !!
« Modifié: mardi 23 décembre 2014, 10:40:09 par Sarah Pezzini »
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 62 lundi 22 décembre 2014, 21:40:28

Les murs du couloirs commencent à se fissurer et faire un bruit étrange et insupportable de métal vrillant sous un poids colossal. Sarah voit le plafond se lézarder et soudainement s'effondrer. La policière reconnait immédiatement la couleur et l'odeur abominable des sables du désert radiatifs que sont les badland et parvient à fuir l' avalanche de pierre et de sable qui déferle dans l'espace exigu en bondissant par un sas de sécurité qui se referme derrière elle. Sarah comprend alors l'horreur de la situation, elle n'est pas du tout dans un confortable laboratoire en plein centre de Tekhos Métropolis non... elle est enterrée quelque part à mille lieux sous les sables des terres mortes...

Elle débouche dans un nouveau couloir où l'obscurité n'est brisée que par le lent des gyrophare rouge d'alarme et par le grésillement bleuté des écrans de contrôle. A nouveau la friture dans les haut parleur se charge de la voix familière d'Irina et son visage apparait sporadiquement sur tout les moniteurs.

Irina - Sarah ! *parasites* sait que tu me hais, je comprend ta douleur et la col*parasites*

Les vibrations continuent de se propager dans le complexe et les murs du couloir ou s'est réfugié Sarah commencent à se lézarder à leurs tours.

Irina - Merde... *parasite* n'ai plus le temps de te présenter mes excuses ou t'expliquer... tu dois *parasites*fuir *parasites* tout le complexe est en train de s'effondrer... j'ai saboté les générateurs pour te permettre de p*parasites* Mais *parasites* a été trop forte, dans quelques minutes, toute la station s'effondrera sur elle-même, broyée comme une coquille de noie par le poids du sable.

Un sas s'ouvre loin devant Sarah.

Irina - Je vais rester aux commandes de la stations jusqu'à ce que tu en soit sortie, je peu te voir et t'entendre grâce au système de surveillance, tu peux me parler si tu veux mais n'oublie pas que le temps nous est compté. Tu es au niveau -3 *parasites* Dirige toi vers les garages au niveau 0 *parasites* il y *parasite*coptaire qui t'attend la bas, on se retrouvera là.

Voix derrière Irina - Hé ! Mais qu'es ce que vous faite la ! Vou*coup de feu*

Irina - Un garde m'a trouvé, d'autres ne vont surement pas tarder à venir... Écoute... Sarah... je suis désolée, et je sais que ce que je te demande est fou, mais tu n'a pas le choix. Il y a plusieurs milliers de tonnes de sable et de roche au dessus de nos tête, même la witchblade ne pourras te protéger de ça si tout s'effondre. *Silence* Tu dois me faire confiance une dernière fois, malgré tout ce que je t'ai faite... Je te retrouverai au garages, alors tu pourras faire ce que tu aurais du faire le soir de notre rencontre...

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 63 mercredi 24 décembre 2014, 02:51:07

Le souffle de l’explosion propulsa Sarah comme un fétu de paille, et le Witchblade recouvrit intégralement son corps, ce qui lui évita de finir carbonisée... Ou vaporisée. Elle passa à travers un mur, et rebondit sur le sol à plusieurs reprises, le corps en feu, formant une torchère enflammée. Sarah atterrit dans une pièce, et ne sentit rien d’autre qu’une douleur terrifiante se répandre dans tout son corps. L’alarme résonnait, stridente et furieuse, et de l’eau jaillit du plafond... Une réponse à l’incendie qui était en train de se développer suite à l’explosion du gaz. L’eau aida Sarah à se nettoyer, et la jeune femme se releva lentement, éteignant ensuite à la main les flammèches qui restaient encore. Intégralement déployée, l’armure constituée par le Witchblade se retira lentement, et Sarah put voir que, si sa peau n’était pas calcinée ou brûlée de manière trop grave, il y avait quand même quelques traces, quelques résidus. Sarah grinça, et entendit alors Irina lui parler à nouveau. Elle lui expliqua que, pour fuir, il fallait remonter. Sarah, apparemment, était dans un complexe souterrain situé dans le désert, et l’explosion de gaz avait endommagé la structure du complexe, manquant de le faire s’écrouler. Cependant, le fait est que Pezzini n’avait effectivement pas confiance en Irina, et qu’elle n’était pas dans son état normal. Elle restait fondamentalement une Américaine, une femme qui pensait que, quand on payait et qu’on s’investissait à fond pour avoir un produit, il ne fallait pas s’étonner en le récupérant. Ils avaient brisé sa volonté à l’aide de drogues et d’injections, permettant au Witchblade de s’exprimer en puisant dans la frustration et la rage de Sarah, l’amplifiant et l’excitant. Ces fous pensaient pouvoir jouer avec une force mystique et ancestrale telle que le bracelet. Ils allaient s’en mordre les doigts, voilà bien une chose que Pez’ leur promettait.

La proposition d’Irina était très certainement un piège. Pez’ savait ce qu’elle était : un pantin désarticulé. Sa volonté propre était totalement insuffisante pour vaincre le conditionnement cérébral dont elle faisait l’objet. Elle l’avait vu dans les souterrains de Tekhos Metropolis, et elle l’avait vu récemment. Irina l’avait attaché, violé sans relâche... Et, d’un seul coup, son conditionnement serait parti ?! Pez’ ne pouvait pas croire à une telle histoire, tant elle semblait incongrue. Non, on cherchait juste à la piéger, rien de plus... Mais ce serait pour elle l’occasion de retrouver Irina, et de régler de vieux détails avec elle.

Sarah avait atterri dans un couloir, et s’avança rapidement. La sécurité de BIOGENIX n’était pas encore vaincue, et tout le personnel devait probablement évacuer. Elle arriva ainsi dans un laboratoire, et l’observa silencieusement. Il y avait de multiples ordinateurs, plusieurs étant encore allumés. Sarah se dirigea vers l’un d’entre eux, et pianota sur le clavier, faisant disparaître l’écran de veille. Ceci fait, elle vit des recherches archéologiques et scientifiques sur les « Artefacts ».

*Qu’est-ce que... ?*

Elle se promenait dans un dossier intitulé « Artefacts », et vit plusieurs fichiers à l’intérieur : « Darkness », « Heavenly Sword », « Witchblade »... Pez’ déglutit lentement, comme si elle commençait à réaliser devant quoi elle se trouvait. Il y avait encore d’autres noms, d’autres fichiers. Elle double-cliqua sur le fichier « Witchblade », et une page se chargea. Sarah fronça les sourcils. Il y avait des photographies d’elle, ses états de service au sein de la police de Tekhos Metropolis, son dossier... Ainsi que ceux du NYPD, son lieu de naissance, sa carte d’identité immatriculée à l’État de New York, et de multiples photographies d’elle, que ce soit dans son appartement, ou au boulot.

*Enfoirés...*

Elle serrait les dents, continuant à descendre le document, tout en sentant, parfois, d’étranges craquements venant du plafond. Du sable était en train de tomber. La fuite de gaz avait dû avoir lieu dans une zone porteuse. Depuis combien de temps ces types l’espionnaient-elle ? Elle vit alors une étrange image en plein écran, et déglutit à nouveau, cette vision provoquant en elle d’intenses frissons :


Instinctivement, elle savait de quoi il s’agissait.

*Le Gantelet d’Infinité...*

En revanche, elle n’en savait pas plus... Elle aurait pu continuer à en lire plus, mais Sarah entendit des bruits de pas venant du couloir par lequel elle était venue. Des hommes lourdement armés débarquèrent alors, et elle choisit de filer, sous un concert de balles. Plusieurs heurtèrent son armure, et elle défonça un mur, avant de remonter un couloir.

« Neutralisez-là !
 -  Envoyez les drones ! »

Glissant du haut de conduits d’aération, des drones d’assaut jaillirent, mitraillant Sarah... Ou l’attaquant avec des attaques au laser, ou des tirs plasmiques. Sarah sentit une décharge la frapper violemment dans le dos, l’envoyant s’étaler sur le sol. Pez’ se retourna alors, et bondit vers les drones. Des tentacules argentés jaillirent de son corps, et firent exploser plusieurs drones, tandis que les autres crachèrent des jets de laser. Quand ils loupaient Sarah, ils découpaient le mur et le sol en deux comme du bacon.

*Ils m’ont espionné depuis des mois.. Tout ça parce que le Witchblade les intéresse... Mais il y a plus que ça.*

Le Witchblade en tant que tel ne les intéressait pas. Pezzini savait que le Witchblade était lié à un autre artefact, le Darkness, que Yulia portait... Mais il y avait visiblement d’autres Artefacts. Un drone explosa contre le mur, et plusieurs gardes jailliren talors, à quelques mètres de Sarah. Elle attaqua la première, et frappa un ennemi avec un tentacule, entaillant son armure blindée, faisant exploser ses boucliers cinétiques. Son sang jaillit depuis son torse, venant repeindre l’un des murs. Un autre lui tira dessus à bout portant avec un fusil à pompe. Sarah hurla de douleur, et tomba au sol. Le garde rechargea son arme, et poussa un bref hurlement quand un tentacule jaillit, et frappa son casque, le repoussant contre son comparse. Sarah en profita pour se relever, et se mit à décamper, jusqu’à atteindre des ascenseurs, dans une sorte de grande pièce avec des fleurs et un plafond artificiel en hauteur.

D’autres gardes lui tirèrent dessus, et elle bondit vers les portes blindées d’un ascenseur, les défonçant pour atterrir dans un vaste et sombre conduit. Il semblait s’enfoncer dans les entrailles de l’enfer, mais Sarah devait monter. Les tentacules du Witchblade s’étaient enfoncés contre le mur, et Sarah vit que la couleur du mur était en train de changer, devenant plus métallique, plus argentée, une surface plus adhésive. Cependant, Sarah ne comptait pas grimper comme une araignée, et bondit sur la gauche, s’agrippant à une échelle de maintenance, et elle monta.

Son objectif était le niveau 0.
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 64 lundi 12 janvier 2015, 19:59:19

La policière grimpe vers le sommet sous le bruit assourdissant des sirènes et des coups de feu, chaque étage qu'elle franchit est le théâtre d'un incroyable bain de sang dont elle sort victorieuse, la chaire des vaincus encore palpitante entre ses griffes et les crochets de ses tentacules.
Enfin elle arrive au plafond de la cage d’ascenseur qu'elle parvient à crever comme s'il s'agissait de plâtre et non de l'épais béton dont il était constitué. Elle s'extirpe des décombres en poussant un hurlement de fureur guerrière, prête à faire face à l'avalanche de soldats améliorés de BIOGENIX... mais rien...

La pièce dans laquelle elle ce trouve n'est pas le rez de chaussez comme elle l'espérait... elle est encore sous terre...
Ici, plus aucun son de sirène ne pénètre l'épais mur de béton, les secousses qui ébranlent petit à petit le complexe ne sont que des bruits de fond diffus qui rappel le son de l'orage, comme une menace latente... qui dormirait dans les murs... Ici règne le silence et les ténèbres glaciales de la mort.

Après quelques instants seulement, les oreilles de Sarah s'acclimatent au calme ambiant de la vaste pièce qui se perd dans l'obscurité. Elle se rend compte alors que la pièce n'est pas totalement silencieuse, elle est peuplée de soupirs, de suppliques et de cris de détresse étouffés, comme happés par d'épais murs de coton. Sarah fait quelques pas pour comprendre d'où vient ce bruit, sous ses pas la pièce s'illumine peu à peu d'une lueur jaune et diffuse, fade. La salle est couvertes de tables d'opération, de vivisection, de machines de pointe dont elle ne comprend pas l'étonnante sophistication. La lueur ce fait un peu plus forte et c'est la qu'elle remarque que la pièce n'est pas faite de murs, mais de vitres épaisses, d'où lui parviennent les complaintes d'âmes tourmentés.

En se rapprochant encore, Sarah trouve enfin la réponse à ses questions... elle découvre la dolification...
Sous ses yeux horrifiée elle assiste à des scènes d'une monstruosité sans borne, les corps démunis et sans défenses de femmes et même d'hommes, harnachés à des machines infernales qui les vide de leur vitalité, de leur personnalité, de leur forme, pour ce voir enfoncer avec violences divers "améliorations" cybernétiques, pour les transformer peu à peu en machines décérébrées. Chacune de ces âmes damnées, poursuit alors sans discuter cette ignobles procédures sur les autres pour faciliter le travail des machines.

Sarah reconnait la plupart des sévices qu'elle à elle même subit... Les drogues injectés massivement dans leurs veines pour les rendre fou de désir et leur faire perdre la raison, les électrodes posées sur leur front pour leur faire oublier leur passé, les écrans rivés à leurs yeux pour noyer leur perception d'images lubriques et de codes hypnotiques. Et surtout le viol, le viol systématique et permanent, de chaque orifices, qui ne s’arrête jamais, jamais... Chaque nouvelle âme brisée se joint aux autres pour briser celles qui résistent encore.


Irina - Sarah... *grésillement* Sarah... qu'es ce que tu fais ! *parasites* Dépêche toi !


Le visage d'Irina apparait sur un des moniteurs près de Sara.

Irina - Je suis désolée... j'aurais préférée que tu ne vois pas ce qu'ils nous font subir... mai
*bruit de porte en métal qui éclate*

La cyborg se retourne et pousse un cris de surprise, puis elle se retourne à nouveau et pianote rapidement sur le clavier de son moniteur. Un grand sas commence à s'ouvrir à l'autre bout de la pièce où se trouve Sarah.

Irina - Tu n'as presque plus de temps, elles m'ont tr...

Une silhouette gracile et féminine surgit derrière Irina et se jette sur elle, rapidement suivit d'une autre, et d'une autre encore. Sarah remarque un détail qui l'interpelle avant que l'image ne se coupe. Elle connait les visages de ces femmes, l'une d'entre elle n'est autre que la jeune femme enlevée par les snuffers et qu'elle a secourue. Celui des deux autres lui glace le sang, l'une d'entre elle est une de ses collègues de travail, une policière tékhane prometteuse et innocente. Quant à la dernière, elle se rappel très clairement avoir rencontré quelques mois plus tôt dans un bar ou elle était venue noyer sa solitude et trouver un peu de réconfort entre les bras de quelqu'un...

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 65 samedi 17 janvier 2015, 02:32:47

En arrivant dans la salle de laboratoire, dans cette salle affreuse où l’impensable était en train d’avoir lieu, Sarah repensa aux explications du Golgoth, et à la théorie du moindre mal. De deux maux, il fallait choisir le moindre. C’était un point de vue cynique et dur, un point de vue moral qui consistait à dire que, peu importe la solution choisie, elle serait forcément mauvaise. Pezzini n’avait jamais adhéré à cette théorie, en estimant qu’il y avait toujours une autre solution, qu’il y avait forcément une solution bénéfique et heureuse, comme un happy end hollywoodien. Mais là, elle ne voyait rien de tout ça... Elle avait vaincu un terroriste, et elle n’avait reçu aucune médaille. Des gens puissants, riches, tellement fortunés qu’ils se prenaient pour des Dieux, l’avaient capturé, torturé, afin de faire d’elle une esclave. Ils l’espionnaient, la suivaient, la pistaient. Sarah était sûre qu’elle pouvait trouver des réponses ici, comprendre ce qu’était le Witchblade. BIOGENIX s’y intéressait, et elle n’était pas suffisamment naïve pour ne pas voir la main lointaine derrière cette conspiration : l’armée. Tekhos n’était plus une démocratie, mais bien une junte militaire, un État où l’armée avait un budget colossal et une irresponsabilité judiciaire forte, qui leur donnait le droit de vie ou de mort sur quiconque tombait dans leur collimateur.

Toutes les théories du complot que la policière avait jadis lu lui revenaient maintenant en mémoire. Elle voyait des femmes en train de se faire broyer, sexuellement, par des machines. D’horribles machines grises et froides, inhumaines, fonctionnant de manière automatique, violant continuellement les femmes, parfois dans des positions inconcevables. Sarah ne parlait plus, ni ne bougeait plus. Elle avait le sentiment de s’enfoncer dans les profondeurs de la folie, de faire son propre voyage au bout de l’Enfer. La radio à côté crépita alors, et elle tourna lentement la tête. Irina... En l’entendant, Sarah sentit une vague de torpeur la saisir, et grimaça, en sentant les pensées revenir, les souvenirs de ce qu’elle avait subi...

« Nooonn... »

Une main sur la tempe, elle s’appuya contre le mur. Les drogues, les injections, les viols à répétition... Irina, Irina, Irina... Elle l’avait violé pendant des heures, si ce n’est des jours, et tout lui revenait, soufflé par le Witchblade. L’artefact n’avait jamais été aussi fort dans son esprit, jamais aussi vibrant, jamais aussi énergique. Irina lui disait de se dépêcher, et Sarah serra les poings, avant de relever la tête. Des femmes venaient d’attaquer Irina, et Pezzini les reconnut. Des proches... Son propre entourage... La femme que Sarah avait sauvé du Golgoth... Une jeune policière qui avait été sa stagiaire, Iris... Une femme avec qui Sarah avait eu plusieurs baisers et quelques échanges intimes, Korra...  Toute sa vie, décortiquée, étudiée, analysée, dans les moindres recoins. Des femmes transformées en cobaye, de la piétaille et du bétail...

« Misérables... »

La colère et la rage de Sarah rejaillirent à nouveau, et elle poussa un violent hurlement, puis s’approcha des ordinateurs gérant les installations. Sa main se posa sur les ordinateurs, et elle se concentra, usant de pouvoirs dont elle n’aurait jamais pouvoir pu soupçonner l’existence.  Une texture grisâtre se forma alors sur les ordinateurs, tous les moniteurs venant à s’allumer ensemble. Yeux clos, Sarah se répandait dans la machine. Le Witchblade, en effet, avait le pouvoir redoutable d’interagir avec les éléments, et de les perturber, de les modifier, et de les relier à lui. Un pouvoir qu’elle ne maîtrisait pas encore... Jusqu’à présent. Toutes les lumières clignotèrent alors, et elle se concentra davantage. Les machines s’arrêtèrent au bout de quelques secondes, ralentissant progressivement, avant que les seringues ne se retirent.

Des agents de sécurité arrivèrent alors, jaillissant depuis les portes d’entrée du laboratoire, brandissant leurs fusils d’assaut et leurs autres armes vers Pezzini. Ils portaient des combinaisons protectrices, des cuirasses avec des boucliers cinétiques. Elle vit les projecteurs et les pointeurs lasers vers elle. Sarah était rentrée dans le bureau de contrôle en brisant la vitre, et ouvrit lentement les yeux.

« Elle contourne nos pare-feux ! hurlait un opérateur dans une radio. Elle transfère toutes nos données sur Internet ! Stoppez-là !! Coupez la connexion ! »

Une autre équipe se déplaçait rapidement, afin d’atteindre la salle des générateurs, un moyen radical pour couper le courant.

Pezzini observa ses cibles en fronçant lentement les sourcils... Puis bondit en avant.
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 66 jeudi 13 octobre 2016, 22:21:14

Au moment où la connexion internet s'ouvre sur le monde, les ténèbres tombent, le courant a été coupé totalement, jusqu'aux systèmes de survie et de confinement du complexe. Celui-ci commence à trembler sous le poids des sables sous lesquels il est enfoui.

Sara entend les gardes qui s’apprêtaient à l'affronter hurler de terreur:

- Repli ! Repli ! Le système de quarantaine a été enclenché ! Tout va s'effondrer !

Leurs bruits de pas résonnent sur le sol métallique de la pièce alors qu'elles font demi tour pour fuir les lieux au plus vite. La flic bondit en avant et parvient à empoigner une garde avec tans de violence que les lames de la witchblade lui perforent le thorax. Dans un glapissement de douleur, la femme la regarde et lui crache au visage.

- Pauvre... folle... vous avez tuée... tout le monde ici... la firme... elle ne laisse jamais ses secrets...

Elle expire une dernière fois et tombe inerte entre les doigts de Sara, les sirènes se sont arrêté, les veilleuses et les gyrophares d'alerte qui éclairaient son chemin jusque la se sont éteints... Elle est dans le noir total.

Des hurlements étouffés commencent à résonner comme un long sanglot, les machines et les appareils qui maintenaient en vie les pauvres cobayes pendant qu'ils étaient transformé, se sont arrêté.
Une voie désincarnée parcoure alors le complexe au travers des interphones, dernières machines à fonctionner sans électricité.

Citer

[Voix masculine] - Félicitation agent Pezzini... nous sommes très impressionnés... vous avez réussi à retourner l'agent 2501 contre nous malgré son conditionnement. Et comme vous avez pu le remarquer, celui-ci est très efficace généralement. Mais la plaisanterie a suffisamment durée, vos tentatives de révélation ont condamné nos installations et la vie de plusieurs dizaines de cobayes prometteurs. Alors je vais vous proposer un marché...


Irina - Non ! Laissez moi ! Je suis libre désormais ! Lâchez moi ! Je vais vous tuer !

[Voix féminine] - Tenez la bien ! Je n'arrive pas à dégager sa nuque.

[Voix masculine] - Si vous quittez l'installation sans faire plus d'histoire et oubliez ce que vous y avez vu...  je vous laisse repartir avec Irina... Mais si vous refusez...

[Voix féminine] - C'est bon, je vois les jacks sous sa nuque, je la branche.


Irina - Non ! Pitié pas ça ! Non !

[Voix masculine] - Nous vous attendons au premier niveau... vous ne trouverez plus aucun garde sur votre route.

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 67 dimanche 16 octobre 2016, 12:27:47

Cette affaire folle était en train d’atteindre un point culminant, mais, si Sarah espérait obtenir un dénouement digne d’un film hollywoodien, elle se trompait. Son projet était de diffuser toutes les données compromettantes de cette odieuse société au public, afin de déclencher un scandale majeur, un scandale que même les importants liens de collusion entre les firmes privées, l’État, et les médias, n’arriveraient pas à étouffer. L’État serait contraint d’intervenir pour mettre fin aux expériences génétiques illégales de cette firme. C’était le projet de Sarah, mais, pour résoudre le problème, la mégacorporation avait tout simplement coupé le courant, plongeant toute l’installation dans le noir, avant que des lumières d’urgence ne s’allument, fournissant un faible éclairage.

Entièrement recouverte par le Witchblade, Sarah ressemblait à une sorte de guerrière médiévale sexy et issue d’un univers d’hertoic fantasy. L’armure était d’un gris métallique lumineux, recouvert de multiples écailles, comme un croisement entre une armure en métal et une peau de serpent. Sarah sentit soudain des bruits de pas, et bondit sur la garde, manquant la tuer en la frappant. Le Witchblade amplifiait fortement toutes ses capacités, et l’agente, en agonisant, ne lui apprit rien d’utile, si ce n’est qu’elle avait condamné tous les membres ici.

« Tous ceux et toutes celles qui ont participé à ces odieuses expériences ne méritent que la mort ! »

Difficile de se raisonner sous cette armure. Elle relâcha ce corps, puis se rapprocha des ordinateurs. Le courant avait certes été coupé, mais Sarah pouvait, grâce à son armure, interagir avec la matière. Malheureusement, elle ne contrôlait pas énormément ses capacités, mais posa quand même ses mains sur le pupitre, essayant de relancer les machines. Ce fut un coup d’épée dans l’eau, avant qu’une voix ne résonne depuis des haut-parleurs. Elle entendit dans la foulée de multiples bruits, correspondant à des portes qui se levaient et d’autres qui s’abaissaient, d’épaisses portes coupe-feu, balisant ainsi un chemin vers un ascenseur, qui brillait dans l’obscurité de ces couloirs froids et aseptisés, les battants entrouverts de l’ascenseur donnant sur la lumière de l’ascenseur, comme celle au bout du tunnel.

*Irina !*

Tout ça sentait le piège, mais Sarah ne pouvait pas laisser son amie retourner sous leur contrôle. Elle serra les poings. Son visage était dissimulé sous un heaume gris et organique, au menton proéminent, avec des yeux rouges protégeant les siens. Elle sortit de la pièce, et s’approcha, le Witchblade ne sentant plus aucune présence humaine.

« Si vous lui faites du mal, je vous tuerai ! »

Sarah n’avait pas trop compris ce qu’elle avait provoqué, mais, après tout, elle ignorait encore où elle se trouvait. Irina, sous l’effet de son conditionnement mental, l’avait trahi, mais Pez’ avait réussi à la libérer. Depuis lors, le chaos régnait dans ce complexe. Sarah courut droit devant elle, filant à toute allure, atteignant une vitesse surhumaine, jusqu’à s’approcher de l’ascenseur. Elle hésita un peu, avant de rentrer dedans, et sentit rapidement ce dernier s’ébranler, se mettant en marche automatiquement.

Alors que l’ascenseur montait, le Witchblade l’avertit à nouveau, et un gaz vert se diffusa soudain tout autour d’elle. Du poison... Inefficace contre elle, vu que le Witchblade la protégeait, et, quand l’ascenseur s’ouvrit, elle défonça les battants du cube métalliuq,e envoyant valdinguer les portes dans une grande pièce sombre et froide... Qui s’illumina petit à eptit, tandis que Sarah, troublée, sentait d’étranges signaux de vie.

*Qu’est-ce qui se passe, ici ?!*

Elle aurait pu utiliser la vision infrarouge du Witchblade, mais vit, peu à peu, les lumières se dessiner, éclairant une grande structure, atypique. Sarah, surprise, s’en approcha un peu, et posa sa main dessus, sentant des courants électriques... Puis nota alors, à la base de cette tour, des espèces de cavités, des alcôves avec des numéros peints sur le mur. « 01 », « 02 », « 03 »...

Surprise, elle continua à marcher, avant d’entendre des bruits de talon, et une voix féminine, forte et autoritaire, qu’elle ne connaissait pas, résonnant depuis des micros :

« Bienvenue dans l’enceinte du plus grand projet jamais entrepris par l’Humanité, au cœur de la Révolution ! Tu peux t’estimer heureuse, les personnes ayant vu ce que nous fabriquons ici se comptent sur les doigts d’une seule main.
 -  Que... Qui êtes-vous ?
 -  Une scientifique, qui a travaillé sur ce projet, et sur bien d’autres choses. La fusion entre l’Homme et la Machine, détective, voilà ce dont BIOGENIX s’agit. Irina et les autres sujets que tu as vu ne sont que des amusements, des cobayes, en vue de projets plus grands. Ce que tu vois sous tes yeux est la conceptualisation d’un ordinateur inédit, un ordinateur qui propulsera l’humanité au statut de divinité. »

Encore une folle... À l’entendre parler, elle avait tout de la mégalomane. Sarah se rapprochait de l’une des alcôves, son cœur battant lourdement la chamade, et posa sa main dessus, appuyant sur un bouton... Et de la fumée s’échappa alors, tandis que, dans un sifflement, ce qui s’avéra être une capsule s’ouvrit lentement, révélant, à l’intérieur, un liquide amniotique qui s’écoula un peu sur le sol... Et un corps, qui disparaissait dans un enchevêtrement indescriptible de câbles reliés à son corps, de bandelettes blanches, ses bras nus s’enfouissant sous une série de câbles.

Blême, Sarah vit alors les lèvres de la femme s’ouvrir, cette dernière aspirant de l’air en recrachant un tuyau planté dans sa bouche, et qui devait servir à l’hydrater.

« Depuis que l’Homme créé, il ne fait que recopier la Nature, mais sans jamais l’égaler. Les inventions les plus formidables, les plus incroyables qui soient, ne seront jamais inventées par l’Homme. Pourquoi s’embêter à vouloir concevoir des ordinateurs de plus en plus perfectionnés, quand nous disposons déjà de la source la plus impressionnante jamais fabriquée ? Une matière qui contient plus de banque de données que tout ce qu’on pourrait jamais concevoir ? Les dernières recherches en matière de neuroscience estiment que la capacité de stockage du cerveau humaine serait d’au moins 1 pétaoctet... 1015 ! De quoi emmagasiner tout ce qui se trouve sur Internet dans un seul cerveau ! Alors, si nous pouvions mettre à commun ces cerveaux, et les utiliser, on pourrait concevoir un ordinateur dont les capacités défient l’entendement. »

Sarah n’en croyait tout simplement, ni ses yeux, ni ses oreilles. Du bruit se fit entendre près d’elle, et elle constata qu’une porte venait de s’ouvrir, libérant son interlocutrice... Qui s’avéra être une femme à la beauté aussi majestueuse que glaciale, et qui, depuis la mezzanine en hauteur, sauta élégamment en contrebas, se réceptionnant sans difficulté à quelques mètres de Pezzini.

« Depuis l’aube des temps, la masse se sacrifie pour une minorité cultivée qui la mène à son summum. Ceci, c’est l’avènement scientifique qui nous permettra de dépasser notre potentiel, de transformer l’homo sapiens en homo superior avéré et patenté, loin de ces rejetons débiles et ratés de mutants et autres ESPers.
 -  J’ignore qui tu es, ma chérie, mais tu es juste folle... Toi, et tout ce projet dément, vous allez disparaître ! »

Sarah bondit alors à toute allure vers la femme, déployant ses griffes... Mais la main de la scientifique se leva brusquement, et, à la surprise de Sarah, la saisit à la gorge, avec une poigne de fer, puis la repoussa alors, la balançant comme un fétu de paille contre un escalier menant aux mezzanines en hauteur. Elle s’écrasa violemment dessus, autant sonnée que surprise, en comprenant que cette femme avait des capacités surhumaines avérées.

« Malheureusement, une telle machine consomme énormément d’énergie. Mais toi, Sarah, tu abrites en toi des ressources énergétiques potentiellement infinies avec ton artefact. Grâce à toi, grâce à ton cadeau, je pourrais terminer ma machine !
 -  Je... Je ne t’aiderai jamais, sale folle...
 -  Tu peux m’appeler... Supéria. Et ton consentement n’était pas requis en la matière. »

Supéria posa sa main sur le cobaye que Sarah avait sorti de la tour infernale. Cette dernière, à ce contact doux et chaud, celui d’une main, sembla frémir, puis la femme appuya un peu sur son crâne, et la capsule retourna se verrouiller.

« Va chier, salope, tu crèves maintenant ! »

Pezzini s’élança à nouveau furieusement vers elle, déployant des tentacules argentés, mais Supéria bondit alors vers elle, se catapultant en avant, et le genou de la femme heurta violemment la tête de Pezzini, provoquant un choc violent qui repoussa encore Pezzini. Elle n’eut cependant pas le temps de s’envoler, car la main de Supéria la saisit à la jambe, et la fit tournoyer sur place, avant de la lâcher, l’envoyant s’envoler à toute allure. Sarah s’écrasa contre un coin du mur en hauteur, et Supéria bondit à nouveau, pour atterrir à quelques mètres d’elle.

Sous son heaume, Pezzini sentait sa bouche se couvrir de sang. Elle tenta de se relever, se tenant à quatre pattes, et le pied de Supéria la frappa dans le ventre, la faisant hurler en la repoussant contre le mur. La femme l’attrapa ensuite à la gorge, et la souleva de nouveau... Puis sa tête heurta celle de Pez’ dans un violent coup de boule, qui la fit hurler de douleur, en l’envoyant s’étaler sur le sol.

« Où... Où est... I-Irina ?! » réussit alors à demander Sarah, se sentant épuisée, et ayant surtout mal partout.
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 68 mardi 18 octobre 2016, 19:54:00

Supéria répond avec un rictus méprisant, rapprochant son visage au plus près du masque en bio-métalique de Sarah comme si elle se moquait ouvertement de sa dangerosité.

Supéria - La petite marionnette ? Tu n'imagine pas tout ce qu'elle a fait pour te sortir de là... La petite escapade qu'elle t'a organisé à faillie couter si chère a la société que le directeur à même décidé de négocier avec toi... Mais on ne se passe pas de mon autorisation comme cela... Et il est hors de question que ma nouvelle batterie organique s'échappe de mes installations...

Sur ces mots toute la pièce se met à vrombir, des pans de mur se dérobent et bougent comme des golems d'acier. Du plafond et du sol surgissent d'immenses lianes d'acier couvertes d'un étrange mucus que Sarah reconnait bien. Elles ressemblent aux tentacules avec lesquels Irina l'a pénétrée dans son appartement.
Sauf que cette fois si, elles ne sont pas deux... la pièce entière se couvre de ces appendices mécaniques qui serpentent contre les murs, sur les meubles et les colonnes, qui pendent en gesticulant du plafond pour transformer la pièce en véritable jungle hostile.

Enfin la colonne centrale se scinde en quatre et révèle un harnais d'esclave suspendu à des chaines pour maintenir sa victime en suspension au cœur de la pièce. La folle mégalomane avait tout prévue depuis le début.

Supéria - Oublie ton amie... maintenant ton maitresse c'est moi !

Termine t'elle en lançant à nouveau Sarah au milieux de la pièce, la pauvre policière percute plusieurs lianes d'acier au passage, qui tentent de l'attraper en se contractant frénétiquement, elle roule sur le sol et se relève péniblement. Elle ne comprend pas comment cela est possible, la Witchblade était un artefact divin, capable d’annihiler toute menace, comment ce faisait il que là, elle n'y parvienne pas.

Instinctivement, son armure maudite se déploie en longues griffes d'acier qui tentent de lacérer et de détruire les tentacules et les installations qui l'entoure. Mais à chaque fois que la Witchblade se jette sur la nacelle d'esclave destinée à Sarah ou sur les lianes de métal, celles-ci lui font écran et se mettent à crépiter d'une lueur étrange. Quand cela se produit, le métal des griffe se liquéfie et tombe inerte sur le sol avant de disparaitre, libéré du sortilège du gant maléfique.

Supéria - Tu as commise une énorme erreur en révélant tes pouvoirs à la firme Pezzini... Tout les combats que tu as menée aux coté d'Irina, à chaque fois que tu lui a résisté, a chaque fois que tu as utilisé le feu ou les griffes de l'artefact, nous le regardions par ses yeux.

Une liane vient fouetter l'épaule de Sarah. Le long de la zébrure, l'armure se liquéfie comme avec les griffes révélant sa peau diaphane et halée par le soleil.

Supéria - Nous avons analysé ses forces et ses faiblesses, la nature de ses énergies, nous avons envoyé des émissaires aux quatre coins des mondes connus jusqu'au plan du Paradis et de l'Enfer pour comprendre, pour apprendre... pour contrer et enfin... pour assimiler...

Sarah ne comprend pas, depuis combien de temps avait elle été capturée ? Faire ces recherches avait dû leur prendre des mois. Elle à beau creuser sa mémoire, il ne lui revient que des souvenirs diffus, épars. Elle se souvient d'Irina, elle avait été la tout le temps, elle se souvient du plaisir, du bien être constant, des orgasmes sans fin pendant des heures, des jours, des semaines.

Mais sa réflexion est interrompue quand un nouveau coup de fouet vient lui cingler la poitrine. Elle baisse la tête et voit l'armure se liquéfier pour libérer son sein gauche, délicat îlot de charme et de beauté sur un océan d'acier.

Supéria - Tu as tellement pris l'habitude de te reposer sur les pouvoirs de ton jouet... Qu'es tu capable de faire par toi même ? Sans lui, tu n'es qu'une simple humaine comme les autres, et comme les autres, tu dois permettre à l'humanité d'évoluer grâce à ton sacrifice

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 69 mercredi 19 octobre 2016, 01:36:35

Sarah était en fâcheuse posture, et n’était jamais tombée face à un tel adversaire. Qui que soit cette Supéria, elle avait des pouvoirs particulièrement impressionnants, et avait visiblement eu le temps d’étudier le Witchblade. La pièce se recouvrit d’un amas invraisemblable de tentacules grisâtres, formant une forêt artificielle et synthétique qui engloba la zone, entourant la jeune policière. Le Witchblade était toujours là pour la protéger, mais plusieurs tentacules la frappèrent, parvenant à chaque fois à endommager son armure, malmenant la policière, qui avait l’air totalement désemparée par ce qui se passait. Et, alors qu’elle titubait sur place, après que plusieurs tentacules l’aient frappé, Supéria s’élança vers elle, avec cette vitesse surnaturelle qu’elle avait déjà utilisé tantôt. Sa main s’agrippa au cou de Sarah, et elle la souleva, arborant un sourire victorieux sur ses lèvres, étranglant Sarah, dont l’armure semblait souffrir.

Pezzini, il est vrai, n’avait jamais vraiment développé à fond le maniement de la Witchblade, car elle était venue ici, à la base, pour se séparer de cet artefact. X’était cette inexpérience qui lui faisait défaut en ce moment, mais elle n’avait pas encore dit son dernier mot. Déjà, plusieurs tentacules s’étaient enroulés autour de ses bras.

« Tu es à moi, jeune idiote. Tu ne sortiras plus jamais d’ici, et ton sacrifice est inestimable ! Tu me permettras enfin de réaliser mon grand-rêve ! »

Sarah lui cracha alors dessus.

« Tu... On t’a déjà dit que... Tu ouvres un peu trop ta gueule ? Tu as envoyé tes petits larbins te renseigner sur mon artefact ? La bonne affaire ! Le Witchblade.. Ne se contrôle pas !! »

Pezzini posa alors ses mains sur les tentacules la retenant, et en modifia la matière, les rendant plus friables. Ils se recouvrirent d’une texture métallique argentée, similaire à la matière de son armure, et relâchèrent alors Sarah, en venant fouetter le visage de Supéria, la déstabilisant. L’armure de Sarah se reforma immédiatement, et elle se rua vers la femme, la frappant au ventre d’un violent coup de genou, avant d’enchaîner par un violent coup de poing qui fit hurler la femme, l’envoyant s’étaler sur le sol, répandant quelques gouttes de son sang par terre.

Sarah tenta de profiter de sa chance en se ruant encore vers la femme, mais un autre tentacule fusa, et la frappa sur le flanc, la repoussant, l’envoyant rebondir sur le sol à plusieurs reprises.

« Hmmm... Tu m’as fait mal, salope ! Mes félicitations, je ne pensais pas que cela pourrait arriver avec les améliorations que j’ai subie ! »

Elle se tenait le menton en se relevant, et esquissa un léger sourire.

« Oui, le Witchblade... Les Artefacts Divins... Tu ne peux pas imaginer combien BIOGENIX, GeoWeapon Corp., et tant d’autres, ont dépensé pour en savoir plus sur eux. Chaque Artefact dispose d’un pouvoir infini, forgé par Maerlyn à l’époque des Grands Anciens. Mais je l’étudierai sur toi, ma chérie... Tu ne peux pas me battre, tu le sais, maintenant ?
 -  Je peux toujours t’éclater ta sale gueule... »

Supéria esquissa un léger sourire, puis leva alors la main. Au milieu des tentacules, un écran s’alluma alors, sortant du plafond, et montra une femme que Sarah connaissait bien.

*Irina !*

Elle était prisonnière dans une espèce de caisson, retenue par des tentacules, et, Supéria claqua alors des doigts... Puis des courants électriques se répandirent dans le corps d’Irina, qui hurla à travers l’écran, en se contorsionnant sur place.

« Arrête ça !
 -  Le Sujet 2501 ne représente absolument rien pour moi. Si tu veux que je l’épargne... Soumets-toi. »

Sarah nerveusement les poings, ayant bien consciente qu’elle était coincée.

*Salope...*
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 70 mercredi 19 octobre 2016, 20:05:25

Les poings de la policière se serre sous sa colère puis se relâchent, preuve de sa résignation, elle accepte.

Supéria - Bien... Nous ne tuerons pas le sujet 2501 ce soir... c'est bien tu es raisonnable, idiote, mais raisonnable, et tans que tu le sera, ta petite poupée ne mourra pas.

Pour Sarah il n'y a pas de doute possible, Supéria est folle et n'hésitera pas une seconde à sacrifier Irina pour la chatier. Et même si elle sait qu'en capitulant elle va retomber entre les mains perverses et démentes de BIOGENIX, elle le fait pour sauver son amie. L'armure se met à glisser sur son corps et disparait dans le cristal rouge sang de la witchblade, la laissant à nouveau nue et vulnérable.

La forêts de tentacules cybernétique s'ouvre devant elle et forme une colonne qui mène droit vers le centre de la pièce où attend la belle brune, un sourire vicieux et supérieur au lèvres. Elle lui désigne le harnais d'esclave suspendu à des chaines.

Supéria - Vient petite pute, vient voir ta nouvelle Maitresse.

Sarah fait un pas en avant.

Supéria - Pas comme ça !

Une liane vient la frapper sur le dos, elle tombe à genoux.

Supéria - Tu es ma nouvelle cobaye et comme toutes les petites pute d'esclave tu va venir à quatre pattes. D’ailleurs...

Deux tentacules fusent vers les chevilles de Sara, les entourent et les serre de plus en plus fort.
La douleur devient horrible, elle sent que ses tendons d’Achille sont sur le point de rompre. La witchblade recommence à serpenter de son bras mais à ce moment Supéria montre du doigt l'écran ou apparait Irina, qui se met soudain à convulser sous d'intenses douleurs.

Supéria - Tu n'as pas encore fait ton choix ? Dommage pour Irina, le directeur l'aimait bien...

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 71 jeudi 20 octobre 2016, 17:00:49

Sarah était placée face à un dilemme moral terrible. Le problème de tous les gens de bien, théorisé par le Bouffon Vert, quand, suspendant la vie de Mary Jane sur un pont, et celle d’un téléphérique rempli d’enfants de l’autre, il indiquait à son ennemi que, quand on est un héros, on tombe toujours sur un tordu susceptible de vous imposer des choix vicieux. En l’espèce, ce tordu, c’était cette femme, cette Supéria, qui semblait exulter à l’idée de soumettre Pez’. Le combat entre elles s’était déroulé à sens unique pendant un moment, avant que Sarah n’améliore sa symbiose avec le Witchblade pour se battre. En difficulté, Supéria avait opté pour son plan B, consistant à jouer avec les émotions et avec les sentiments de Sarah. Le pire, c’était que, dans son for intérieur, elle sentait toute la frustration du Witchblade, qui voulait se battre, se déployer, ne ressentant que fort peu d’empathie envers Irina. Mais ce n’était pas le cas de Sarah, et ce quand bien même elle savait que, d’un point de vue strictement logique, elle devait continuer à se battre.

*Irina est perdue. La preuve, elle m’a trahi... Ce que ces gens lui font subir n’est qu’un simulacre, ils ne comptent pas se débarrasser d’un sujet si docile et si talentueux... Et moi, si je me rends, je ne peux pas compter sur le Witchblade pour me protéger à coup sûr...*

Elle hésitait, l’esprit partagé entre de multiples idées contradictoires. Se battre ? C’était l’option la plus égoïste... Car, même si elle voulait se persuader qu’Irina n’existait plus, elle savait que c’était faux. Elle l’avait bien vu. Pendant un bref moment, le conditionnement d’Irina avait disparu. Si c’était arrivé, alors ça pouvait encore arriver ! Sarah hésitait donc... Mais elle était policière avant tout. Servir et protéger, c’était son serment. Et puis, il n’y avait pas qu’Irina, il y avait tout un système qu’elle ne pouvait pas espérer démonter juste avec ses poings.

Sarah se pinça donc les lèvres, tout en voyant les tentacules, formant une forêt métallique à sa droite et à sa gauche, avant de la forcer à s’agenouiller quand elle refusa d’obéir.

« Haaa... !! »

Des courants électriques se répandirent dans son corps, et, en retour, le Witchblade s’enclencha de nouveau, mais Sarah le calma, avant de voir Irina hurler à nouveau dans son caisson.

*Salope... Tu me paieras ça, Supéria !*

Pour autant, ses options restaient très réduites. Sarah fit néanmoins sortir le Witchblade à hauteur de ses jambes, et se concentra. Elle forma des pointes osseuses, et profita du fait que les tentacules annulaient l’armure pour la faire sortir et la faire rentrer, agissant comme une sorte de couteau, et les sectionna.

« Tu ne seras jamais ma Maîtresse, salope mal baisée. »

En retour, Supéria éclata de rire, et les tentacules frappèrent alors Sarah dans le dos, diffusant un courant électrique particulièrement fort, qui la fit hurler de douleur, tout en la renversant.

« Tu te dis peut-être que je vais épargner Irina... C’est vrai que c’est un joli numéro, mais elle ne représente rien à mes yeux. Elle est trop rebelle, et, pour ne rien te cacher, le Directeur envisage de la supprimer. »

Sarah se pinça les lèvres, et se redressa lentement, en restant néanmoins accroupie... Puis s’avança ensuite, à quatre pattes, avec un regard de haine dans les yeux.

*Je te tuerai, salope, je le jure !* se promit-elle en son for intérieur.
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 72 jeudi 20 octobre 2016, 19:04:01

Supéria regarde la policière abandonner la lutte et se mettre à quatre patte avec une délectation évidente, savourant son triomphe. Elle lève une main et Irina arrête de se tortiller de douleur dans son cercueil cybernétique.

Supéria - Donc... tu disais ? Si tu veux que ton amie survive il va falloir opter pour un autre nom à me donner, je te donne un indice: je te l'ai déjà dit.

Supéria supporte le regard haineux de Sarah pendant toute la durée de sa pénible progression à genou, profitant de la vue que lui offre sa position sur ses ravissants seins et le galbe de ses fesses qui se dandinent.

Quand enfin elle arrive à ses pieds, des tentacules s'enroulent autour de ses bras et de ses jambes et la soulève comme si elle ne pesait rien. Supéria la regarde s'élever vers l'armature centrale avec un sourire aux lèvres.

Supéria - Je vais faire disparaitre ce regard de ton visage.

Les tentacules lui tordent alors les avant-bras contre les bras dans le dos et les lui lient au harnais suspendu. Puis ils serpentent vers ses chevilles et les lui lient aux cuisses avant de les accrocher elles aussi au harnais.

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Sarah se retrouve alors suspendue au centre des quatre piliers qui se mettent à luire d'une lueur étrange et fantomatique, elle reconnait l'énergie dont se sont bardés les tentacules pour dissiper les effets de la witchblade. Supéria s'approche et la regarde à nouveau dans les yeux, Sarah lui renvoi toujours sa haine et sa détermination au visage. L'augmentée se contente de sourire et de hausser les épaules, puis elle prend le visage de la policière dans une main pour la fait tourner sur ses cordes. Elle l'arrête à mi trajet devant un spectacle effeuillant.

Sous les yeux de la belle rebelle, une table couverte d'un drap blanc sur lequel sont disposés des sextoys de toute tailles et de toutes formes, de simples gods vibrants aux colliers de boules anales. Des baillons de tout type et un annaux buccal. Des tubes en plastiques reliés à de longs tuyaux de pompe, des jeux de courroies de strangulation grands et petits pour les tétons ou le clitoris. Des pinces, simplement en bois ou en plastique, mais aussi en métal, reliées à des fils. Des seringues à aiguille et des bocaux de substances dont un porte l’appellation CN21. Parmi tout cet attirail de torture, Sarah remarque enfin quatre ballons vides ornés de bouchons ainsi que d'énormes seringues d'enema, pleines d'une matière blanche, visqueuse et poisseuse qu'elle ne reconnait que trop, du sperme mâle...

Supéria - Alors, ma nouvelle petite pute...

Dit elle en passant un bandeau de cuir qui épouse a merveille les yeux de Sarah.

Supéria - As tu encore quelque chose à dire à ta Maitresse ?

Et sans attendre sa réponse elle la pousse d'un coté pour que la policière entravée tourne en toupie dans le vide pendant qu'elle réfléchie à ce qu'elle va lui faire. Elle la fait tourner ainsi pendant quelques instants, relançant le mouvement une ou deux fois pour faire perdre a Sarah tout repaires. Puis elle arrête son choix et la course de la belle brune.

Elle se saisie d'un long tuyaux de latex orné d'une petite poire d'une main, elle fait tourner Sarah de l'autre pour que sa vulve offerte et vulnérable face face à son visage. Elle laisse alors sa salive dégouliner sur sa langue et s'en sert pour lubrifier les lèvres de la flic pour trouver le minuscule petit trou de son urètre.

Sans écouter les paroles et les récriminations de Sarah, elle lui darde le petit orifice du bout de la langue pour le faire saillir, puis, avec une délicatesse surprenante, elle presse le tube contre l'entrée et commence à l'enfoncer doucement. Elle entend un petit "tchac" quand la poire atteint la vessie et gonfle pour en obstruer l’accès.

Supéria - Tu connais cette sensation insupportable d'avoir envie de pisser pendant qu'on baise ? Elle est étrange tu ne trouve pas ? Parce que si on se retient tout ce temps... l'orgasme n'est que plus grand...

Sur ces mots elle prend une des seringues et fixe le tube dessus. Puis elle pousse le piston et la vessie de Sarah se remplie de foutre chaud et épais. Sa poche de chaire se remplie encore et encore jusqu'à ce que Sarah la sente saillir sur son ventre, jusqu'à ce qu'elle la sente presser contre son sexe et toutes les ramifications internes de son clitoris, jusqu'à ce que la douleur et l'excitation soit insupportable.

Supréma retire la seringue vide et clampe le tuyau pour que la vessie ne se vide pas, la poire aillant encore gonflé et totalement obstruée l'urètre. Elle caresse et presse la petite bosse qui se dessine sur le bas ventre de sa victime et lui demande.

Supéria - Alors Sarah Pezzini, qui suis je ?






Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 73 jeudi 20 octobre 2016, 23:01:40

Elle était coincée. Piégée. Piégée par sa conscience, par ses remords, par sa culpabilité, piégée par l’esprit pervers de cette salope en cuir qui se dressait fièrement devant elle. Elle s’était laborieusement avancée, maudissant chaque pas, devant se retenir pour ne aps sauter sur la gorge de cette femme, et pour l’étrangler aussi sèchement. Pez’ était piégée, et Supéria le savait, en exultait de joie. Elle arriva devant elle, et serra les dents en voyant la femme torturer à nouveau Irina. Des tentacules argentés surgissent alors, et la soulèvent, la maintenant dans une position... Des plus désagréables. Ses bras sont serrées en arrière, reliées dans son dos à une sorte de harnais métallique suspendu, et ses jambes sont également étirées vers le haut, reliées et serrées par d’autres tentacules. Serrée comme une sorte de poisson qu’on envoie à l’abattage, Pez’ a des braises dans les yeux, ce qui semble amuser Supéria plus qu’autre chose, puisqu’elle se met à tourner Sarah, lui faisant voir...

*Oh, c’est pas vrai !*

La femme en tenue noire a sorti tout un assemblage de sex toys divers, et Sarah se serre les lèvres. Supéria la nargua à nouveau, et Pez’ entrouvrit les lèvres, ayant une réplique bien sentie :

« Ouais, va te chercher une copine, et... »

Hélas, Supéria la coupe en la poussant, usant de sa force, ce qui fait que Sarah se met à tournoyer sur place. Devant la sensation de vertige, elle ferme les yeux, et sent encore le Witchblade frémir en elle. Les tentacules la retiennent, l’immobilisent, mais elle est sûre de pouvoir les contrecarrer, si seulement elle n’avait pas le visage d’Irina, hurlant de douleur, semblant la supplier de la sortir de ce calvaire... Sarah serre donc les lèvres, avant de sentir sa tortionnaire l’arrêter à nouveau.

Sarah sent alors quelque chose titiller son urètre, et pousse un grognement, essayant vainement de se débattre. Les tentacules l’immobilisent à la perfection, et elle ne put que laisser la femme remplir son urètre, répandant une sorte de liquide séminal, qui alal gonfler sa vessie, tandis que Supéria la narguait. Elle s’attendait sûrement à ce que Sarah la supplie, mais, très probablement à la surprise de cette dernière, Sarah... Se mit à éclater de rire.

« Oh putain, ma chérie ! Et on se faisait toute une histoire sur toi ! C’est... C’est comme ça que tu comptes me torturer, sérieusement ? En me donnant envie de pisser ?! »

Elle grogne encore, sa fierté obstruant la douleur qu’elle ressentait dans sa vessie par les railleries et la provocation.

« Tu m’as saucissonné comme un poulet juste pour m’empêcher de pisser ? Merde... T’es une vraie pute, toi... »

Dommage qu’elle ait un bandeau autour des yeux, car Sarah aurait vraiment donné beaucoup pour voir la tête que Supéria devait faire en ce moment. Certes, elle était en train de jouer avec le feu, mais elle n’avait pas pu s’en empêcher.

Narguer cette femme avait tout simplement été trop irrésistible.
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 74 dimanche 23 octobre 2016, 11:57:50

Supéria - Petite garce... tu te crois en position de rire de tout ceci ?  Tu ne devrais pas sous estimer tout ce qu'on peut faire avec une vessie bien pleine...

La réponse de Supéria ne se fait pas attendre. La main qui caressait et pressait doucement sur la petite bosse que forme la vessie de Sarah se transforme en étau infernal. La pression est telle que même la poire qui obstrue le canal commence à reculer et à le déformer pour sortir. Mais l'instrument de torture à gonflé de plusieurs centimètre alors que l'urètre de la belle captive ne fait que quelques millimètres de diamètre. Il commence alors à vriller et déformer la chaire tendre et sensible de son petit canal pour passer, occasionnant un mélange chaotique de douleur intense et d'ondes d'excitation nerveuse insupportable.

Quand la poire est sur le point de sortir, qu'elle n'est plus qu'a quelques millimètres de la libération et que Sarah va enfin être soulagée de cette pression, de cette tension sexuelle et de cette douleur intenable, Supéria saisie le tuyau qui y est relié et l'enfonce à nouveau bien profondément.

Supéria - Tu aurais mieux fait de me supplier... de te comporter en bonne esclave... J'aurais peut-être été gentille avec toi et t'aurais laissé la capacité de te retenir et de pisser quand tu en as besoin. Mais je vois que tu n'est pas suffisamment maline pour prendre une décision aussi simple toute seule alors...

La main de Supéria presse encore plus fort la bosse du ventre de Sarah qui à l'impression que sa vessie va éclater d'un moment à l'autre. Comprimé par la masse de sperme sous pression, la poire recommence à reculer, l'autre main de Supéria accompagne son mouvement de recule jusqu'à ce qu'il borde l'orifice de son urètre, déformant ainsi tout son canal. Mais avant qu'elle ne sorte, elle la r'enfonce jusqu'au bout. Elle commence alors de long vas et viens de la poire, élargissant à chaque passages le diamètre de sa voie, prolongeant le calvaire pendant d'interminables minutes où Sarah à l'impression qu'elle va mourir, mais sans jamais y parvenir. Eu-ce telle la chance de perdre connaissance ? Supéria l'aurait révélée immédiatement pour qu'elle ne manque rien de son supplice.

Elle continue ainsi jusqu'à ce que les muscles qui bordent l'urètre de la belle captive se distendent sous la pression et perdent totalement leur capacité de contraction. Toute la voie urinaire de Sarah ramollie d'un seul coup et s’élargit. La poire qui peinant tans à rentrer et sortir, fait maintenant des vas et viens sans difficulté, équilibrant peu à peu la douleur et le plaisir. La belle flic réalise qu'elle vient de perdre le contrôle de sa vessie.

Supéria - Voi.... laaaaa... Parfait... à partir de maintenant il faudra être très gentille avec moi quand tu voudras te soulager. Sauf si tu préfère laisser couler en permanence. C'est peut être le choix que je ferais remarque, depuis Irina je n'ai plus expérimenté de fontaine décorative dans mes locaux... Je te verrais bien comme ornement dans les toilettes du centre, en mur d'eau, devant les mâles en rute du complexe. Qu'en pense tu ?

Supéria attend avec impatience de voir si la policière à sa mercie va encore se rebeller. Ce qu'ignore Sarah, c'est qu'il est déjà trop tard pour obtenir un traitement moins cruel. Dans un cas comme dans l'autre Supéria à déjà un plan en tête pour la briser...


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