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La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

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Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 15 dimanche 07 septembre 2014, 16:19:33

Sarah sentit quelque chose changer dans le comportement d’Irina, qui devint plus... Plus mécanique, et plus inquiétante. Ses yeux devinrent d’un noir de jais, comme si elle se transformait en un démon, et sa prise se renforça, confirmant définitivement à Pez’, si elle avait encore des doutes, que cette créature n’était pas humaine. Elle grinça des dents en sentant les doigts de la femme s’enfoncer plus profondément en elle, posant ses propres mains sur les épaules de la femme, s’y appuyant en soupirant, les joues rougies et gonflées par l’effort. Irina enfonça son pouce plus loin dans ses fesses, et Sarah, en se crispant, sentit alors quelque chose se rapprocher, sortant à nouveau du dos de sa partenaire... Et, juste après, un tentacule métallique s’enfonça dans son vagin.

Ses yeux s’écarquillèrent sous l’effet de cette pression inattendue, et elle ouvrit les lèvres, poussant un cri en sentant Irina la presser contre elle.

« Haaaa !! »

Sarah cligna rapidement des yeux. Sa tête contre celle de la femme, elle la pencha vers le bas, pour voir ce filet argenté, qui remuait entre leurs corps. Une verge métallique, digne de celles qu’elle avait déjà vu en allant dans des cybersex-shops. Une petite spécificité tekhane était ce qu’on appelait le cybersex, un mécanisme consistant à faire l’amour virtuellement, par le biais d’un fauteuil spécial. Ce fauteuil abritait un casque de réalité artificielle améliorée, et, surtout des tentacules intégrés, qui permettaient de donner à l’utilisateur le sentiment de faire réellement l’amour à des centaines d’internautes connectés en même temps. Sarah avait déjà fait des perquisitions lui ayant permis de voir des fauteuils de ce genre, et elle savait que certaines de ses collègues policières en avaient aussi à domicile. On dotait également les cyborgs d’appendices sexuels similaires, et, là encore, Sarah le savait grâce à ses collègues. La capitaine de l’une des brigades de police avait eu un cyborg de ce calibre, un cadeau d’anniversaire de sa femme.

C’était maintenant au tour de la porteuse du Witchblade d’en profiter. Irina lui souriait, ce qui, avec sa lueur de malice dans le regard et le fait qu’elle la comprimait contre son corps, lui donnait l’air d’une psychopathe. Le tentacule était recouvert de silicone, ce qui permettait de faciliter les glissements, et d’éviter que le métal à l’intérieur ne déchiquète la peau humaine, ce qui aurait eu pour effet de transformer cette intense partie de baise en une tournante gore et glauque, avec sang et émasculations à l’appui.   

« Hummm... Haaaannn !! » gémissait la policière en mouillant.

Sa cyprine jaillissait le long de cette verge métallique. Elle bascula sa tête en arrière le temps de gémir, puis agrippa ensuite fermement les cheveux du cyborg, et l’embrassa férocement, enfonçant sa langue dans sa bouche en couinant, son corps s’écrasant contre le sien. Irina la serrait, et, loin de la réfréner, cette sensation d’être comprimée excitait encore Sarah Pezzini. Elle ne couchait pas aussi souvent que son corps le voudrait, ce qui faisait que, quand ses pulsions sexuelles inhibées se réveillaient, ils la transformaient en une véritable chaudasse, avec à peu près autant de retenue qu’une pute tekhane bardée d’implants cybernétiques renforçant sa libido et ses performances sexuelles.

Leur baiser dura de longues secondes avant que Sarah ne le rompe pour respirer. Elle déplaça sa main pour empoigner l’un des seins de la femme, le pinçant, et utilisa son autre main pour frotter son dos, sursautant légèrement quand elle sentit la base de ce tentacule. Ses doigts le titillèrent un peu, comme pour se persuader qu’elle était réellement en train de tripoter un appendice mécanique qui était en train de la pénétrer. Pez’ était en sueur, haletant et grognant, et sa main continua à se déplacer, pour se rapprocher des fesses de la femme. Irina la tenait tellement fort que Sarah avait légèrement relevé ses jambes, les enlaçant autour du bassin de la femme, renforçant sa position de dominée face à elle. C’était là l’un des paradoxes de la policière : hors du lit, elle était un véritable volcan sur pattes, toujours à foncer à deux cent à l’heure pour boucler ses enquêtes, quitte à multiplier les heures supplémentaires et à passer ses nuits à son bureau... Et, hors du bureau, hors de ses enquêtes, elle était une femme un peu perdue, ce qui faisait que, lors de ses rares ébats sexuels, elle avait généralement un rôle dominé. Ce paradoxe avait en soi une explication : Sarah se défonçait tellement au bureau qu’elle était lessivée, sans aucune réelle vie sociale, ni aucune réelle expérience de ce que signifiait l’amitié... Elle n’avait plus aucun repère ici, rien sur quoi elle ne puisse s’appuyer, et se laissait faire... Mais elle apprenait vite.

Elle embrassa Irina dans le cou, mordillant sa peau, et enfonça un doigt dans ses fesses.

« C’est... Hummm... La première fois que... Que je couche avec... Avec un cyborg, haaaannn..., haletait-elle contre son oreille. Tu es... À la hauteur de ce que mes collègues m’ont dit... »

Parler était difficile avec ce truc planté en elle. Sarah se sentait étrangement bien, en étant ainsi serrée par cette femme. Son corps était blotti contre le sien, écrasé contre le mur, mais, pour autant, elle n’avait toujours pas oublié l’étrange mot que la femme avait prononcé... La « dollification ». D’une manière ou d’une autre, elle se renseignerait là-dessus... Mais clairement pas tout de suite.
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 16 dimanche 07 septembre 2014, 20:47:27

Les relais neuronaux qui parcourait l'acier chirurgical de son appendice emplissent le centre du plaisir hypertrophié d' Irina. Submergée par un puissant orgasme qui remonte le long de ses reins, elle regarde Sarah de ses yeux mis clos, la bouche à demi ouverte. Elle à l'air en transe, une sorte de transe sexuelle où chaque effleurement ou attouchement est ressenti de manière exponentielle.

Les cris et les gémissements de plaisir de la policière lui procure des petites piques de jouissance et des décharges d'adrénaline qui entretiennent ses instincts de prédatrice sexuelle. Les gestes et les initiative de celle-ci la conforte dans ses désir et la pousse toujours plus loin dans la transgression et dans le vice. Elle lui rend ses fougueux baiser avec la même ferveur, emplissant sa bouche de sa langue longue et ferme. Soudain, Sarah d’enhardie et lui enfonce un doigt dans l'anus.

Irina - Humph... hooooo...

Celui-ci bien lubrifié passe sans aucun problème les plis ferme et puissants de son muscle rectal. Cette stimulation brutale et inattendue est la goute d'eau qui fait déborder le vase de sa passion. Irina se contracte en se colle plus encore à sa partenaire au moment où l'orgasme lui dévaste les hanches et l'esprit. Elle pousse un long gémissement de plaisir dans le creux de l'oreille de la policière.

Sarah - C’est... Hummm... La première fois que... Que je couche avec... Avec un cyborg, haaaannn...Tu es... À la hauteur de ce que mes collègues m’ont dit...

Irina la regarde alors, visiblement blessée et peinée par les propos de sa compagne. Son regard durcit plus encore, elle pose un de ses doigts sur les lèvres de Sarah de manière sensuelle pour lui faire comprendre qu'elle n'a pas aimée ce qu'elle vient de dire. Un autre bruit de sussions et de chaire se fait alors entendre. Sarah sent comme un serpent de chaire et d'acier froid s'enrouler autour de son ventre, de sa cage thoracique, puis elle le voit, un nouveau tentacule d'acier, surgit du nombril de la cyborg, qui continue sa progression et s'enrouler autour de ses seins. Avant qu'elle ne puisse faire un geste de plus il s'est enroulé autour de sa gorge, prêt à se contracter au moindre geste brusque pour l’étouffer ou lui briser la nuque.

La cyborg vexée la regarde quelques instants, admirant le corps docile et vulnérable de sa superbe concubine enchevêtrée et prisonnière de ses tentacules d'aciers . Puis elle l'embrasse de nouveau. Le second tentacule continue de glisser sur la peau de la policière, il reste enroulé autour d'elle mais descend maintenant vers la raie de ses fesses. Irina passe ses mains dans le dos de Sarah pour lui écarter les cuisses, l'anaconda artificiel se précipite entre les deux muscles fessier et commence à frotter la vulve déjà prise de la policière pour s'y lubrifier convenablement. Il commence à aller et venir, masturbant à la fois l'anneau rectal et le bas des lèvres de la captive, attendant le moment inéluctable ou elle jouirait pour s'enfoncer à son tour dans son fondement.

[ATTENTION]
[Message de précaution agent 2501]
[Vous faite usage de deux sondes modulables]
[Rappel des consignes d' usage:]
[L'usage de trois sondes ou plus est strictement réserver à la dollification]
[Sujet Sarah Pezini encore utile à l'enquête]
[Pas de recoure à la dollification avant fin de la mission et accord préalable du Conseil d' Administration]

La voix de l'implant résonne dans sa tête mais elle l'ignore purement et simplement et continue d'agiter ses sondes autour et dans le corps de sa victime. Son âme pure de rebelle lui crie de ne pas sombrer dans la folie de ses bas instincts.[/b]



Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 17 mardi 09 septembre 2014, 01:42:27

La cyborg eut un orgasme, et sembla s’énerver quand Sarah l’appela ainsi. Ce n’est pas parce que la policière avait été droguée que son cerveau était débranché. Même maintenant, elle continuait à réfléchir sur cette femme, à savoir ce qu’elle était, et ce que cette histoire de « dollification » voulait dire. À travers les effluves du sexe, et leur excitation réciproque, Pez’ essayait d’en savoir plus, de cuisiner discrètement cette femme sans qu’elle ne le remarque. Le résultat de cette question fut de sentir deux tentacules métalliques supplémentaires jaillir du nombril de cette femme. Une image assez gore, qui s’accrut quand elle sentit un tentacule s’enrouler jusqu’à sa gorge. Le Witchblade se mit à vibrer, dans un réflexe d’autodéfense, mais Sarah parvint à le maintenir. Elle n’avait pas envie de griller son seul et unique avantage, et se mit à soupirer faiblement, entortillée dans ce tentacule argenté. Impossible de s’en libérer avec sa simple force physique. Le Witchblade pourrait tout à fait le faire, et Pez’ devait le retenir, laissant le plaisir parler plutôt que la peur.

« Que... Qu’est-ce que tu... Haaaa !! »

Irina semblait vexée, sans que Sarah ne puisse le comprendre... Même si elle avait sa théorie. Est-ce que cette femme avait jadis été une humaine ? Est-ce qu’elle se sentait vexée qu’on puisse la prendre pour un androïde ? Est-ce que c’était ça, la « dollification » ? Transformer des humains en robots ? C’était totalement illégal, mais la théorie semblait crédible, vu le comportement troublant de la femme. Sarah n’avait toutefois pas les moyens de réfléchir, et la réflexion devenait de plus en plus compliquée, car l’orgasme approchait. Pez’ cessa donc de réfléchir, et s’abandonna à son orgasme, retirant ses mains du corps de la femme, notamment son doigt de son fondement .Elle réussit à agripper ses hanches, et sentit, au moment de son orgasme, le second tentacule de la femme s’enfoncer dans ses fesses.

« HAAAAAAAAAAAAA !! »

Réfléchir devenait de plus en plus compliqué, car son esprit était en train de se fracturer, de s’envoler au loin sous l’effet du plaisir. Elle ne réfléchissait plus, se contentant de savourer, son manque d’expérience sexuelle la trahissant. Sa salive sortait de sa bouche, alors qu’elle se tortillait contre la femme, n’arrivant plus à réfléchir, ou à la repousser. Les bras de la femme la serraient, tout comme son tentacule, et les deux autres la pénétraient rudement. Les mains de Pez’ se crispaient sur les hanches de la femme, et elle couinait contre elle, remuant sa tête et son corps, comme si tout ce dernier lui faisait mal. Il était en ébullition, et elle sentait un autre orgasme approcher.

« I... Irina, haaaa... » soupira-t-elle faiblement.

Il n’y avait rien de particulier qu’elle voulait dire : elle se contentait de soupirer son nom sous l’effet de ce plaisir ardent et exquis.
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 18 mercredi 10 septembre 2014, 22:01:13

Non... Iri... arrête... ce n'est pas toi... tu n'es pas un monstre...

Elle est sur le point de le faire...

La vue du corps somptueux de Sarah, prisonnière de ses appendices d'acier. Ses gémissements et ses cris de plaisir qui résonnent dans la petite salle de bain. L' orgasme et la stimulation intense de son organe mécanique qui coulisse sur sa propre vulve et dans celle de sa captive. Et enfin la sensation extraordinaire de son anus qui se contracte contre l'autre. Tout cela la submerge totalement et la subjugue, son volonté de destruction et de contrôle s'empare d'elle.

Non Iri... je t'en supplie...

Irina prend délicatement le visage de Sarah entre ses mains. Elle dispose ses doigts sur ses tempes et son front, la prise et si forte qu'on pourrait presque croire que la pulpe de ses phalanges s'enfonce dans la peau de la Policière. Mais étrangement celle-ci ne ressent aucune douleur, probablement à cause des infimes petites dose d'anesthésiques locales que la cyborg secrète sous ses ongles.

Elle se cramponne à Sarah jusqu'à ce qu'elle ressente chaque pulsations des artères et des vaisseaux de sa matière grise. Puis elle plonge ses grands yeux bleus dans les siens, ses pupilles s'ouvrent grand et un motif hypnotique commence à y tourner de plus en plus vite.

Irina - Tu... es... à... moi...

Les deux tentacules d'acier qui se tortillent dans les orifices de Sarah commence à s'agiter et coulisser de plus en plus vite, procurant toujours plus de plaisir, au point que celui-ci devienne presque insupportable. De petits bruit ressemblants à des "TAC" commencent à résonner dans la pièce alors que l' énergie  affluent vers les doigts d' Irina. L'onde énergétique passe d'une main à l'autre, faisant subir à la policière de petits électrochocs soigneusement dosés et localisés sur son lobe frontal.

[ALERTE]
[Procédure de dollification déclenchée sans autorisation]
[Lavage de cerveau: 0.1%]
[Endoctrinement: 0%]
[transformation corporelle: 0%]
[Envoi d'un rapport au serveur central]
[Dernier rappel Sujet 2501]
[En cas de dollification du Sujet Pezini ses capacités cognitives ne seront plus suffisantes pour assurer la mission.]

Irina ignore une fois de plus l'ordre de son implant et continue le processus qui à terme transformait le cerveau de ses victimes en éponge. Elle sent un nouvel orgasme éclater au moment ou ses appendices gonflent et diffusent le liquide mutagène qu'est sa "semence" en jets saccadés. Emplissant les cavités et les tissus de Sarah d'une substance blanc-rose.

NON !

La personnalité rebelle et humaine d' Irina refait surface et fracasse les murs de son endoctrinement. Irina, la vraie Irina, ouvre enfin les yeux et voit ce qu'elle est en train de faire.

Irina - Non...

Irina retire ses doigts des tempes de sa compagne et la prend dans les bras pour la soutenir. Une étrange sensation de succion parcoure le corps de Sarah quand les appendices drainent son corps du liquide mutagène.


[/b]
« Modifié: mercredi 10 septembre 2014, 22:10:31 par Irina Tarkovskaya »

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 19 jeudi 11 septembre 2014, 01:19:26

Sarah était en train de planer, multipliant les orgasmes, en sentant que quelque chose de grave était en train de se passer. Irina devenait de plus en plus dangereuse, et le Witchblade se mit à vibrer, sentant une menace, sentant une intrusion psychique en elle, une violation redoutable. Elle eut un nouvel orgasme, et, quand les doigts d’Irina cessèrent de lui électrifier le cerveau, il était déjà trop tard.

« Lâ... Lâ... Lâche-moi !! » hurla-t-elle alors.

Sa masse musculaire se mit à croître exponentiellement, et Irina, malgré toute sa force cybernétique, fut brutalement repoussée, s’étalant sur le sol, ses tentacules métalliques se mettant à claquer dans le vide. La policière était recouverte d’une curieuse armure métallique recouvrant presque l’essentiel de son corps, lui offrant un magnifique décolleté. L’armure était hérissée de multiples rubis magiques, et elle se tenait face à Irina, les aphrodisiaques et les drogues que la femme lui avait injectées venant de se diluer dans son organisme, sous l’effet de la protection magique du Witchblade. Elle se tenait face à la femme, fronçant lentement les sourcils.

Quand le Witchblade la recouvrait, Pez’ sentait une énergie incommensurable l’envahir. Dans son dos, ses propres tentacules, de longs filins argentés édentés, flottaient lentement, formant comme autant de griffes prêtes à frapper la femme.

« À quoi est-ce que tout ça rimait, Irina ? Qu’as-tu essayé de me faire ? Me laver le cerveau ?! »

Le ton était agressif, mais Sarah n’avait pas envie de ravager son appartement en se battant. Un tentacule se rapprocha de la femme, et Sarah s’avança, l’attrapant par le cou, la soulevant lentement. Sa poigne était un véritable étau, et elle balança la femme sur le sol, la faisant sortir de la salle de bains, son dos venant heurter le mur du couloir.

« Tu as parlé de dollification, tout à l’heure... C’est ça que tu voulais me faire ? Me sauter, et me transformer en poupée ? »

Sarah ne pouvait que se sermonner pour sa bêtise. Il suffisait qu’elle tombe sur une femme avec un joli sourire et des formes magnifiques pour tomber dans le piège le plus grossier du monde... Le pire était que, sans le Witchblade, cette femme aurait réussi. C’était en effet ça le pire, car elle devait sa survie à un artefact magique dont elle ne souhaitait que se débarrasser. Mais, quand le bracelet était sorti comme ça, quand son pouvoir était déployé, Sarah se disait qu’il était jouissif, et qu’elle était folle de vouloir s’en débarrasser...
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 20 dimanche 12 octobre 2014, 21:25:51

Ha mesure qu' Irina revient à elle, toute la monstruosité de ce qu'elle vient de vivre et de faire vivre à l'innocente policière lui explose au visage. Elle rougit et ses yeux perdent leur intensité carnassière pour se gorger de larmes de désespoir.

Elle maudit les savants fou de BIOGENIX pour ce qu'ils ont fait d'elle. Elle maudit la Bête assoiffée de vice, de fornication et de douleur qu'ils ont fait naitre dans sa psychée dévastée et malléable. Submergée par les drogues et les désirs noirs de son conditionnement, elle a voulu faire connaitre à Sarah le sort horrible qu'elle a elle-même subit. Mais Sarah a profité de son élan de résistance, et grâce à cela, il n'y a toujours qu'une seule poupée dans cette pièce, Irina.   

Mais la firme à bien fait son travail, son corps cybernétique continue de répondre comme le veulent ses concepteurs déments. L'étreinte et la sensation d’étouffement que lui procure l'étrange tentacule de la Witchblade lui provoque à nouveaux de subtiles sensations de plaisir qui obscurcissent son jugement, la douleur du choc contre le sol et le mur de la pièce l’électrise et réchauffe ses reins.

Quand la policière lui parle, la cyborg n'ose plus la regarder dans les yeux, tans sa honte est grande. Elle l'a faite souffrir, elle l'a presque lobotomisée, et malgré tout elle continue de se comporter comme une chienne en chaleur. A cette instant elle craque et son désespoir est trop grand pour que les implants retiennent sa langue.

Irina - Je vous en pris... faite que cela cesse !

Mais elle ne parle pas de ce que la policière lui fait subir et c'est évident, le regard d' Irina est hanté par un démon qu'elle combat et ce combat se reflète dans les yeux courroucés de Sarah.

Irina regarde cette étrange armure magique, elle semble habité d'une volonté propre. Elle est faite de lames et de crocs démesurés, apte à la déchiqueter, à la démembrer, à lui arracher le cœur. La cyborg réalise soudain que l'étrange jeune femme qui lui fait face est peut être la solution à son tourment, il lui suffit pour cela de faire quelque chose que ses implants n’empêcheront pas.

Lentement elle lève les mains vers le tentacule et les pose délicatement sur sa textures coupante. Elle redresse la tête et adresse à Sarah un regard plein de regret et gratitude. Ses mains déchargent un floc d'énergie électrique qui crépitent et agressent l'armure de Sarah. la cyborg ferme les yeux et sourit, elle attend  la réponse de l'étrange symbiote de la flic pour être enfin libérer de son corps de poupée...

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 21 mardi 14 octobre 2014, 02:17:01

Le Witchblade avait sa volonté propre, s’insinuant dans les veines de Sarah. Cette femme, cette mystérieuse blonde cybernétique, n’était clairement pas une simple amie. Elle avait des objectifs plus secrets, et se dressait face à Pezzini, sans que cette dernière n’arrive à comprendre. Était-elle vraiment juste venue l’aider pour arrêter le Gang des Snuffeurs ? Ou est-ce qu’elle avait perdu le contrôle, en cherchant à lui faire subir un processus de lavage cérébral ? Sarah était sur la défensive, et la femme se mit alors à la parler, tout en fuyant son regard. La policière notait tout cela, interprétant les gestes de la femme, ce qu’ils voulaient dire, et ce que cette dernière exprimait par ce biais. Elle était nue, toujours ausis belle, habitée par une force surnaturelle, et le Witchblade perturbait le fonctionnement de Sarah.

*Lutte contre les pulsions du bracelet, fais appel à tes instincts de policier ! Réfléchis, établis les pièces du puzzle !*

Irina venait de la supplier de faire cesser ça... Mais faire cesser quoi exactement ?! Le tentacule qui l’immobilisait ? Pez’ ne la faisait pas tant souffrir que ça, elle avait surtout cherché à la refuser. Elle ignorait ce qu’était Irina, en quoi le processus de « dollification » consistait, mais elle comprenait bien que cette femme était perturbée, troublée... Presque comme une schizophrène. Elle était venue proposer son aide, et avait ensuite cherché à l’attaquer après l’avoir drogué à l’aide de phéromones et de stimulants sexuels. Sarah ne pouvait que se reprocher sa bêtise. Naïve, elle était influencée par la beauté physique qu’elle voyait, et par le fait qu’elle ne couchait pas aussi fréquemment qu’elle le voulait. C’était idiot à dire, mais le sexe agissait toujours sur vous, a fortiori dans une société comme Tekhos, hyper-sexualisée à outrance. Elle avait commis une erreur, mais elle n’en commettrait pas d’autres.

Les mains de la femme se saisirent alors de son tentacule, et répandirent une violente décharge électrique.

« HAAAA !! »

Sarah poussa un hurlement de souffrance en sentant la douleur affluer dans tout son corps. L’armure réagit instantanément, et Sarah bondit vers elle, le visage déformé par un rictus haineux. Elle attrapa la femme par la nuque, et la balança hors de la salle de bains, l’envoyant heurter le mur en face de la porte. La cyborg était puissante, bénéficiant d’une résistance surnaturelle, et Sarah se dressa face à elle, réfrénant ses pulsions de rage. Elle ferma les yeux, en sentant, dans les profondeurs de son esprit, une voix lui dire de la briser.

*Elle t’a ATTAQUÉ ! Venge-toi, défends-toi, ne lui laisse pas le temps de se remettre ! Il faut que tu la BRISES ! Allez !!*

Sarah sentit la voix rugir dans sa tête, mais elle refusait de l’écouter.

« Irina, je... Laisse-moi t’aider... »

Dans la foulée, Pez’ espérait aussi ne pas dévaster son appartement. Oh, il était tellement facile de laisser parler cette force qui palpitait en elle ! Sarah devait se retenir, afin de conserver le contrôle d’elle-même.
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 22 mercredi 22 octobre 2014, 22:31:43

Irina sent les larmes lui monter aux yeux, elle sent qu'elle va réussir cette fois, à parler, à crier, à supplier l'aide de quelqu'un pour se libérer de cet enfer. Elle se redresse et trouve à nouveau le courage d'affronter le regard de la policière. Sarah voit pour la première fois la femme cachée derrière le masque parfait qu'a sculpté BIOGENIX, elle est belle, fragile et forte à la fois. Ses yeux sont habités par une lueur profondément humaine et sincère, bien qu' hantés par une terreur et un désespoir écrasant.

Irina - Sarah... Excuse moi... Ce n'étais pas moi... ce n'étais pas la vrai moi... je ne suis pas un monstre... ils me for...

Soudain sa gorge se resserre et étouffe ses mots, elle sent sa cervelle surchauffer à nouveau alors que les implants reprennent le dessus.

[Réinitialisation cérébrale en cour]
[Prise de contrôle totale]


Non... je dois lui dire... quelqu'un doit savoir ! Crit elle intérieurement.

[Résistance importante malgré contremesures classiques]
[Prise de contrôle par désactivation temporaire du lobe frontal]
[Sectionnement membrane corticale initiée]


Irina - Sauv...

Elle regarde Sarah la bouche grande ouverte, le regard empli d'une détresse effrayante, les mots ne sortent plus. Puis plus rien, la détresse s'efface, la lueur d'humanité s’éteint, et le regard de la cyborg retrouve sa perfection placide. L’œil averti de l'agent de police remarque une petite larme de sang remplir le lobe de l'oreille droite d' Irina.

[Lobotomie effectuée]
[Planification de tache ultérieur: réparation membrane par nanomachines une fois la phase 1 de la mission terminée]
[Réinitialisation cérébrale terminée]
[Effacement mémoire à cour terme]
[Reprise de la mission]


Irina s'adresse à nouveau la policière, sauf que ça voix est redevenue aussi froide qu'au moment de leur rencontre.


Irina - J'ai localisée le vanne que recherche vos services. Libre à vous de me suivre... Dans le cas contraire, je me passerai de votre aide pour attraper les snuffers et vous ne saurez jamais le fin mot de toute cette histoire.


Ses muscles et ses articulations assistés par des cerveaux moteurs produisent un vrombissement diffus et bref. Mue par une force titanesque, elle plonge en avant, fait une roulade et passe par le fenêtre. Elle commence alors à traquer le signalement de la fourgonnette en sautant de toits en toits, adaptant sa vitesse à la policière... si toute fois celle ci décide de la suivre...


Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 23 samedi 25 octobre 2014, 02:13:32

Si Sarah n’était pas elle-même en perpétuelle opposition entre sa personnalité propre et le Witchblade, elle se serait probablement posée des questions sur la santé mentale d’Irina... Le fait est qu’elle s’en posait, mais elle comprenait que, dans une certaine mesure, Irina était comme contrôlée par quelque chose... Possédée par une autre personne. Avant d’avoir avec elle un bracelet magique, Pez’ aurait sans aucun doute conclu à un cas de schizophrénie clinique, mais, là, elle avait clairement le sentiment que cette belle blonde aux formes généreuses n’était rien de plus qu’une victime, une victime entre les mains de manipulateurs et de personnes influentes qui voulaient l’exploiter et la manipuler. Partant de là, il était de son devoir d’intervenir, et c’est précisément dans ce sens qu’elle interpréta la demande d’aide d’Irina.

Certes, l’aider... Mais comment ? Voilà qui était nettement plus difficile ! Sarah ignorait totalement ce qu’était ce processus de dollification, et, avec l’armure de déployée, le Witchblade appelait au combat. Elle entendait encore dans sa tête des pulsions de violence et de colère qui la poussaient à vouloir se battre contre Irina, à lui mettre une tannée et à la briser. Sarah secoua lentement la tête. C’était une femme avec une forte personnalité, contrôlant l’armure.

« Irina... Comment est-ce que je... ? »

Elle vit alors le regard d’Irina changer... Elle avait une lueur absente, la bouche grande ouverte, comme si son corps était traversé de sentiments différents, de multiples pulsions... Et reprit une allure froide, neutre, inexpressive. En déglutissant, Pez’ comprit alors, sans aucun doute possible, que cette femme était contrôlée, manipulée par une force supérieure, une force qui avait appliqué sur elle un processus de manipulation appelé « dollification ». Irina adopta un ton froid et neutre, et, sans se donner la peine de s’habiller, sortit rapidement, en disant à Sarah de se lancer sur la piste des Snuffeurs, et sur le van noir que la femme avait repéré.

Pezzini en resta pantoise.

*Comment un tel retournement de situation est-il possible ? Est-ce qu’on nous observe en ce moment même ?*

Pez’ savait que la technologie tekhane permettait de greffer des nanomachines, et que certaines utilisations abusives de cette technologie permettaient de greffer des caméras dans les yeux des personnes, par le biais de nanomachines qui se confondaient avec le nerf optique. Des applications étaient prévues pour les films pornographiques, mais étaient aussi utilisées pour permettre des kidnappings et des séances de torture et d’intimidation, notamment en greffant des nanomachines explosives dans la cornée d’individus, afin de les contraindre à obéir à l’ordre de sadiques. On n’arrêtait pas le progrès, et il semblait manifeste que des individus puissants se cachent derrière Irina... Suffisamment puissants pour poursuivre des gangs et obtenir sur eux des informations que même la police n’avait pas réussi à avoir. Est-ce qu’Irina travaillait pour une agence de sécurité nationale ? Certaines agences étaient tellement obscures dans leur lutte contre la Fourmilière qu’ils se permettaient allègrement de briser des vies et de transformer des gens en cobayes et en rats de laboratoire.

*Et merde...*

Sarah s’élança à sa poursuite au bout de quelques secondes d’hésitation, rejoignant sa terrasse, et bondit en contrebas. Le Witchblade la recouvrait, et elle fit un saut de plusieurs dizaines de mètres, se recevant sur un toit en contrebas sans difficulté, puis se mit à courir. Elle ne ressentait pas la fatigue sous cette forme... Ou, en tout cas, de manière beaucoup plus diffuse. Irina courait rapidement, mais ne parvenait pas à distancer Sarah. Elles remontaient le long de la ville.

« Irina ! lui hurla Sarah. Arrête-toi !! »

Rien à faire, la femme ne l’entendait pas, ou refusait de l’écouter. Sarah vit alors Irina bondir depuis un toit, et atterrit sur le toit d’un des wagons du tramway aérien. Pez’ s’élança à sa suite, et réussit à atterrir dessus. Le tramway aérien était très rapide, et elle sentit le vent l’emporter. Pour résister à la pression, Pez’ planta ses griffes dans la carlingue, provoquant un choc sonore qui fit se relever la tête des passagers en-dessous. Son corps rebondit contre la carlingue, alors que le tramway filait à toute allure, s’élançant vers le port de Tekhos Metropolis, où on trouvait les navires venant de Nexus, ou des autres cités de Tekhos. Peu avant l’arrêt, elle vit Irina bondir sur la façade d’un immeuble, et se mettre à l’escalader à l’aide de la gouttière.

*Merde !*

Sarah bondit à son tour, et des tentacules jaillirent de son corps, s’enfonçant dans la façade de l’immeuble, la faisant grimper comme si elle était un remake féminin et sexy du Docteur Octopus. Elle arriva sur le toit, et poursuivit à nouveau Irina, jusqu’à la rattraper sur un toit, à proximité d’un grand chantier de construction. On prévoyait de bâtir un vaste ensemble résidentiel incluant des secteurs d’habitation, un secteur commercial central, et des secteurs latéraux centraux servant à abriter des entrepôts de stockage de marchandises. Irina s’était arrêtée là, et Sarah atterrit juste derrière elle, après avoir bien crapahuté pendant plusieurs dizaines de kilomètres.

« Irina... Laisse-moi t’aider... Qui t’a fait ça ? Je peux t’aider... »

Le van noir se trouvait en contrebas, garé le long de la rue, mais, pour l’heure, les préoccupations de Sarah étaient principalement tournées vers Irina. Elle se rapprocha d’elle, levant sa main, dans le but de la tenir par l’épaule.

« Tu devrais enfiler quelque chose... »

Sarah, avant de partir, avait pris avec elle la combinaison d’Irina, et la lui tendit. Non pas que la vue la dérangeait, mais elle était toujours mieux avec une tenue.
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 24 lundi 27 octobre 2014, 22:09:41

Pendant sa course effrénée, le super ordinateur qui domine l'esprit d' Irina n'a cessé d’analyser encore et encore les images et les données biométriques encensées qu'il a emmagasiné quand cette Pezini c'est subitement... transformée...

[Analyse biométrique: nature du spécimen inconnue]
[Analyse spectrographique: nature spécimen inconnu]
[Faiblesses détectés: aucunes sous forme étrangère]
[Niveau de danger: maximale]
[Faiblesse détectés: sensible aux stimulations sexuelles sous forme humaine]
[NOTA: Semble éprouver une grande compassion pour le sujet 2501]
[Procédure à suivre: envois des données au centre BIOGENIX]


Irina s'arrête enfin sur la corniche du dernier immeuble qui surplombe sa cible.

[Mise à jours ordres:]
[ Alpha - Régénération tissu cérébraux du sujet 2501 autorisés]
[ Bravo - Accorder liberté limité au sujet 2501 pour révéler souffrance psychologique]
[ Charlie - Utiliser compassion du nouveau sujet: Sarah Pezini pour la séduire.]
[ Delta - Continuer mission en cour]


Sarah arrive à sa hauteur, pose une main réconfortante sur son épaule et lui tend sa tenue. Irina tourne doucement son visage vers elle.


Sarah - Tu devrais enfiler quelque chose...


[Stimulation canal lacrymale droit]

Une larme roule le long de sa joue alors qu'elle regarde enfin sa compagne d'une nuit dans les yeux. Elle semble de nouveau là, bien qu'entée par de sombres pensées.

Débat toi Iri... dit lui ce qu'il se passe... dit lui de fuir... tout ceci n'est qu'un mensonge Sarah ! Un mensonge !

Son esprit à nouveau connecté hurle mais ses lèvres de chaire restent closent. Et quand elles s'ouvrent à nouveau ce n'est pas Irina qui parle...

Irina - Excuse moi Sarah... Je ne peux pas t'expliquer ce qui m'a pris... je le voudrais mais je ne peux pas... tout ce qui m'arrive te dépasse et il faudrait mieux pour ton bien que tu te concentre sur mon aide et pas sur ma personne.

Elle lance un regard dédaigneux en contrebas.

Irina - Regarde... notre leurre est en bas... Je suis touché que tu veille m'aider mais pendant que tu essais de comprendre qui je suis et ce qu'il m'arrive nous prenons le risque de voir le gang recommencer... Concentrons nous sur celles qui peuvent encore être épargnées... s'il te plais...

Sans un mot de plus, Irina se tourne vers Sarah, son corps d'une blancheur d’albâtre réfléchi avec délicatesse les lueurs synthétique de Thekos Metropolis qui lui donnent une sorte de luminescence féérique.

Elle lui fait un petit sourire triste et prend la tenue qu'elle lui tend en lui caressant la main au passage avec douceur. Elle se retourne et l'enfile, chacun de ses mouvements est calculé avec précision pour ses implants cérébraux pour stimuler au maximum la désir sexuel de Sarah.

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 25 vendredi 31 octobre 2014, 02:01:39

Les deux femmes se retrouvaient sur un toit, et, encore une fois, Irina faisait preuve de cette particularité qui avait surpris Pez’... Comme si elle était une schizophrène se bataillant entre elle et une autre personnalité, une personnalité implantée par quelqu’un d’autre. Elle avait l’impression de se retrouver dans l’un de ces romans d’anticipation de Philip K. Dick. Elle était à Tekhos depuis des mois et des mois, mais la technologie tekhane continuait encore à la surprendre. Elle avait déjà eu droit à des plaidoiries très curieuses dans les tribunaux, où une personne accusée d’avoir agressé quelqu’un se défendait en arguant que sa prothèse électrique avait été piratée, et qu’elle était donc irresponsable. Pez’ aurait pu croire à une blague, mais elle savait que le piratage cérébral était de plus en plus courant. Irina avait dû vivre quelque chose comme ça, et, pour le coup, Sarah avait bien du mal à retourner plancher sur les Snuffeurs. Son esprit était préoccupé par le sort de cette belle blonde. Qui avait osé lui faire ça ? Quelle sinistre corporation se cachait derrière ce forfait ? Pez’ avait en horreur l’injustice, surtout quand elle venait de la part de personnes influentes. Elle était connue pour être une teigneuse, et pour refuser de se taire ou d’abandonner face à des individus bénéficiant de soutiens politiques. La corruption était la lie de tout système juridique, l’un des principaux fléaux d’un monde civilisé. Avec la corruption, c’était tout le fonctionnement des institutions qu’elle avait juré de servir et de protéger qui s’effondrait.

Les stimulations sexuelles d’Irina étaient totalement inefficaces maintenant. Néanmoins, Pez’ nota qu’elle s’habillait de manière aguicheuse, mais tout ça semblait presque artificiel, comme si elle était une poupée, manipulée par un cruel marionnettiste qui essayait de stimuler le désir sexuel enfoui de Pezzini pour la convaincre de penser à autre chose... Très mauvais choix tactique, Pez’ étant connue pour être une impasse de mur sexuel, et ce même si elle était une véritable bombe sexuelle en puissance.

*Si je vais contre sa programmation, j’irais droit dans un mur... Il faut que j’en sache un peu plus sur elle.*

Les Snuffeurs représentaient une bonne piste, un moyen de ne pas faire paniquer la personne située derrière les beaux yeux de cette blonde. Sarah n’avait pas oublié la force surpuissante d’Irina, ni sa tentative de la « dollifier ». L’être contrôlant la jeune femme était imprévisible, et, pour l’heure, il semblait estimer qu’il n’était pas de taille contre Pez’, et qu’il valait donc mieux, en conséquence, trouver un moyen d’amadouer la redoutable policière. Elle était bien forcée de l’admettre : la présence du Witchblade, cet artefact qu’elle abhorrait tant, était ici son plus grand allié, capable de maîtriser ce cyborg face à elle.

« Okay, Irina... On va aller l’interroger. »

Elle se concentra alors, fermant les yeux, et le Witchblade remua le long de son corps, jusqu’à lui donner des vêtements normaux. Même la texture était réussie, et, pour autant, ce n’était pas des vêtements normaux. Sarah esquissa un léger sourire, satisfaite d’avoir réussi ce tour... Et également nerveuse, car elle l’avait réussi sans aucune difficulté, juste en y pensant.

*Je me demande vraiment quelles sont les limites de cet artefact mystique...*

Sarah en était, comme toujours, étonnée. Elle se dirigea vers la porte menant à l’escalier de service de l’immeuble, et descendit en contrebas, rejoignant le rez-de-chaussée. Le van noir était toujours garé là, contre le trottoir, et elle s’approcha de l’arrière, et l’ouvrit en grand, forçant la serrure à l’aide de sa force décuplée par le Witchblade. Elle ignorait ce qu’elle espérait trouver dedans... Mais il n’y avait rien. L’arrière du van était totalement vide. Il n’y avait même pas une scie, un instrument de torture, ou une corde... Elle le regardait, en se demandant si Irina n’avait pas commis une erreur, quand elle entendit du bruit dans son dos.

Pez’ se retourna, et vit un homme qui venait de sortir de l’immeuble. Il croisa le regard de la policière, comprit ce qui se passait, et poussa un juron, avant de se mettre à courir à toute allure. Ce n’était sûrement pas un Snuffeur... Probablement quelqu’un qui était lié au Gang. Il fila sur la gauche, s’enfonçant dans une ruelle, et Sarah s’élança à sa poursuite, courant rapidement. Même malgré la situation, elle continuait encore à penser à Irina.

Qu’est-ce qui avait bien pu lui arriver ?
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 26 vendredi 31 octobre 2014, 22:06:44

A peine la traque reprent-elle qu'Irina semble s'être littéralement volatilisée.
Elle à en vérité activé son camouflage optique et progresse de gouttières en corniches comme un félin, profitant de la grande liberté que lui apporte ce mode de déplacement pour rattraper l'homme, qui lui, est obligé de respecter l'agencement des rues et leur lot d'obstacles.
Elle en profite au passage pour admirer la beauté et la vélocité évidente de sa nouvelle coéquipière, calculant chaque paramètres avec précision dans l'espoir de trouver quoi que ce soit, une faiblesse peut être... mais rien... cette chose qui la recouvre sans virtuellement invincible...

Après une courte course poursuite, Irina prend finalement de l'avance sur le fugitif et en profite pour trouver l'endroit propice ou l'intercepter. Elle choisit une ruelle sombre et totalement isolée, sans âme qui vive, pour se laisser tomber au sol, et attendre, invisible, que l'imbécile vienne littéralement s'écraser contre son corps d'acier.

Au moment du choc, et du coté de Sarah, la scène semble sans doute cocasse et inattendue. Car l'individu s'écrase violemment contre un mur invisible et rebondit, le nez en sang pour tomber sur son séant aux pieds de la policière. Un crépitement d'énergie se fait entendre et la silhouette d'Irina commence à apparaitre alors qu'elle désactive son camouflage.

Elle avance vers le mâle d'un pas résolu, l’œil froid de l'assassin braqué sur sa futur victime. Sa manœuvre d'intimidation à pour effet tout aussi cocasse et amusant de le pousser à se réfugier "dans les jupes" de Sarah dans une nouvelle version des interrogatoire "bon flic / méchant flic"

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 27 lundi 03 novembre 2014, 01:18:05

Le mâle filait à toute allure, mais il n’eut pas le temps de courir très loin. Pez’ l’aurait de toute manière rattrapé. La peur avait beau donner des ailes, la policière était une femme athlétique, qui s’entraînait fréquemment. L’homme courut dans une petite ruelle sinistre, quand il sembla trébucher. Pez’ arriva dans la ruelle, et le vit sur le sol, tandis que, devant lui, Irina apparaissait. Elle bénéficiait d’un uniforme habituellement porté par les Ghosts, une escouade d’élite ultrasecrète de l’armée tekhane. Visiblement, les ajouts de cette combinaison n’étaient pas que purement esthétiques. L’homme tremblait sur place, médusé.

« Putain, mais vous me voulez quoi ?! »

Sarah s’avança rapidement, et l’homme tourna la tête. Elle l’attrapa par l’épaule, et le plaqua contre le mur, en pointant son arme contre son visage, le maintenant à bout de bras.

« Woow, woow, on se calme, ma chérie, personne a besoin de mourir ce soir !
 -  Les Snuffeurs... Tu sais quoi sur eux ?!
 -  Que... ? Les mecs à la télé, là ? J’ai... J’ai absolument rien à voir avec ces types ! »

Il mentait, Sarah le sentait. Il avait peur, elle le sentait aussi, le voyant dans ses yeux, mais elle n’aurait pas su dire ce qui le terrifiait. Elles ? Ou autre chose ? Son regard revenait vers Irina, la toisant de haut en bas, s’attardant visiblement sur ses formes. L’uniforme de Ghost était connue au sein de la population civile pour les nombreuses variantes fétichistes que des sociétés avaient développé pour les foyers. C’était un uniforme moulant, très moulant, et il mettait en valeur les formes d’Irina à la perfection. Pez’ grogna, et secoua l’homme, le ramenant à la réalité.

« On sait que ce van est utilisé par le Gang pour amener leurs victimes... Dis-moi ce que tu sais sur eux, ou je te coffre ! »

À New York, le délinquant aurait haussé les épaules, en demandant juste qu’on lui lise ses droits, et qu’on contacte un avocat. À Tekhos, les choses étaient différentes pour les mâles. Ils étaient perçus comme la lie de l’humanité, et finir dans un poste de police n’était guère tentant, vu qu’ils pouvaient volontiers se faire torturer, ou incarcérer. La détention provisoire fonctionnait de manière totalement arbitraire pour les mâles, car aucune avocate ne cherchait vraiment à les défendre. Ce faisant, la police n’avait aucune difficulté à inculper des suspects potentiels de quoi que ce soit, et l’homme semblait le réaliser. Sarah n’aimait pas beaucoup ce système, qui encourageait l’arbitraire, et permettait d’envoyer en prison de faux-suspects, ou d’étouffer habilement certaines affaires criminelles impliquant des personnes influentes, mais il fallait aussi reconnaître que l’arbitraire et un système répressif avaient ses qualités pour délier les langues.

« C’est... C’est des malades, okay ?! Mais... J’croyais que tout ça, c’était... Rien de plus qu’un délire ésotérique, des conneries démonistes, vous voyez ? Comment j’pouvais savoir ce qu’ils faisaient, et que ça intéressait le gouvernement, hey ?! »

Apparemment, il devait croire qu’Irina faisait partie des Ghosts.

« De quoi est-ce que tu parles ?!
 -  Le van est pas à moi, okay ?! C’est... C’est un véhicule de location que j’utilise pour la compagnie d’électricité pour laquelle je bosse, rien de plus ! Ils... Ils me le prennent pendant mes jours de congés, c’est tout...
 -  Qui ? Putain, parle ! »

Il déglutit à nouveau, et elle le secoua encore.

« Eux... Ce gang... Ils... Vous savez pas de quoi ils sont capables, ils... Toute cette histoire de snuff movies, c’est du flan, ils... Ils ont d’autres ambitions derrière... C’est... Ils disent que ce son des... Des rituels, et... Merde, ils vont me tuer ! »

Sarah le frappa alors avec la crosse de son arme, et l’homme tomba au sol. Avant qu’il ne puisse faire quoi que ce soit, Sarah posa son pied sur sa tempe, et posa le canon de son pistolet contre sa tête.

« Pour l’heure, ton seul problème, tas de merde, c’est moi... Et elle ! Tu as l’air bien renseigné, alors, pas la peine de te dire ce que les gens des forces spéciales font pour délier les langues des petites merdes comme toi, non ?!
 -  ’Me frappez pas, pitié, pitié !! »

Il semblait convaincu, et Sarah retira son pied. L’homme saignait de la lèvre.

« Ils me prennent mon van, mais ils s’en servent juste pour le transport... Ils me croient trop cons pour me douter de ce qui se passe, mais je sais que ces mecs sont pas cleans... Ils... Ils font partie d’une espèce de secte sataniste qui parle d’invoquer des démons, ou des trucs comme ça... Qu’ils ont besoin d’énergie noire pour le faire... »

Sarah n’y comprenait pas grand-chose. Son informateur était confus.

« Où est-ce qu’ils sont ? Où est leur repaire ?
 -  L-Là... »

Sa main se tendit sur la gauche, désignant du doigt la zone en construction.

« Ils... Ils se terrent là-bas... Pi-Pitié, me... ‘Me forcez pas à y aller, pitié... »

L’homme semblait presque sur le point de pleurer, et, de fait, des larmes commençaient à perler dans l’iris de ses yeux. Pez’ le relâcha, le laissant pleurer dans son coin, et reporta son regard vers Irina. Impossible de dire si elle lui faisait confiance ou non... Elle ne savait même pas qui elle avait en face d’elle.

« Ton camouflage optique peut être utile, balança-t-elle alors en sortant de la ruelle. J’ai un mauvais pressentiment à propos de cet endroit... »

Elle n’aurait pas trop su dire pourquoi. Le type sur lequel elles étaient tombées ressemblait clairement à un drogué, et Pez’ n’avait pas vraiment compris son délire... Disons que c’était son intuition qui se réveillait, le bon vieil instinct du flic, ce même instinct qui lui disait de se méfier de la poupée blonde se tenant à côté d’elle. En théorie, elle aurait dû appeler des renforts... Mais Sarah agissait souvent contre ce que le règlement préconisait, et quelque chose lui disait qu’elle allait également en faire de même ce soir. Il fallait admettre que ses options étaient plutôt limitées.
DC d’Alice Korvander.

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Irina Tarkovskaya [Sujet 2501]

Créature

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 28 mercredi 05 novembre 2014, 22:42:04

Irina observe tout l'interrogatoire sans montrer à aucun moment sa surprise de voir avec quelle efficacité sa partenaire parvient à faire parler le suspect. Elle est d’ailleurs un peu déçue, le fait de torturer cet imbécile l'aurait soulagée pour quelques heures de la violente frustration sexuelle qui l'habitait en permanence, même après une relation aussi puissante que celle qu'elle venait de vivre avec Sarah. Mais bon, BIOGENIX serait satisfait de savoir que sa politique en matière d' éthique ne serait pas révélée à celle qu'ils voyaient déjà sans doute comme un investissement futur...

La cyborg chasse cette idée désagréable de sa tête et reporte son attention sur l'homme que Sarah compte vraisemblablement épargner. De toute évidence, la vie d'un témoin oculaire était plus précieuses pour elle que les dangereuses informations qu'il détenait... mais tel n'était pas le cas d' Irina.

Irina - Où ça... là... Plus de précision... adresse... rue... point de repaire...

Elle parle comme un automate, son froid détachement et le calme de sa voix renforce l'impression d'avoir affaire à un Ghost, ou peut être même à un Spectre. Car même si leur tenue était noire et rouge, la lueur assassine, presque fanatique dans le regard d'Irina rappel plus leur cousins psychotiques.

Suspect - Ils ne me l'ont pas dit... mais... mais je sais qu'ils ont parlé plusieurs fois des anciennes stations de métro abandonnées depuis des siècles... ils disaient qu'il y avait un endroit bien caché... si bien caché que les rebelles du MCC s'y étaient installé avant d'être dissous.

A ces mots le sang d'Irina se fige. Un long silence commence, la cyborg est prostrée, elle se contente de suivre Sarah, hochant machinalement de la tête à ses remarques sans vraiment les écouter, le regard soucieux et fixe. Elle est si bouleversée qu'elle oublie totalement l’existence du suspect chanceux qui venait sans le vouloir, de sursoir à son exécution.

Au bout de quelques instants, elle déglutie et prend la parole, mais son regard reste figé.


Irina - Là... Là bas... Je sais très précisément où un groupuscule, composé de nombreux adeptes, pourrait disposer d'une cachette idéale et spacieuse pour y faire... toute sorte de choses.


Irina, perdue dans ses fragments de souvenir brulés par des semaines de lavage de cerveau, ne parle pas d'eux, mais de la rebellions qu'elle a menées des années plus tôt.

Sarah Pezzini

Humain(e)

Re : La première traque [Irina Tarkovskaya - Sarah Pezzini]

Réponse 29 jeudi 06 novembre 2014, 01:39:23

L’homme continua à parler encore un peu, expliquant à Irina que les Snuffeurs utilisaient d’anciennes stations de métro abandonnées comme relais, probablement comme base secondaire. Il parla également du MCC, ce qui, pour le coup, ne dit absolument rien à Sarah...  Mais cet acronyme, visiblement, signifiait quelque chose pour Irina, qui sembla se troubler. Sarah était une policière, et, même malgré le Witchblade qui troublait ses sens, cet instinct du flic était toujours là, cet instinct qui lui permettait de savoir lire sur le corps des autres... Car un corps mentait bien moins souvent que les bouches. Leur suspect avait profité de ce moment d’hésitation pour décamper. Pezzini aurait pu le capturer et l’appréhender pour n’importe quel motif. Concernant la population masculine, les droits de la défense étaient pour ainsi dire inexistants. Ils n’avaient même pas le droit à une visite médicale avant la garde-à-vue, et pouvaient donc volontiers se faire battre par des policières un peu trop hargneuses... Ce qui était assez fréquent du côté des ghettos, dans la mesure où on y affectait les policières les plus impétueuses et les plus téméraires. Sarah estimait juste qu’il était un peu trop idiot pour ça, surtout s’il était en probation. Elle n’avait pas encore totalement perdu foi en la rédemption, et ce même si elle se doutait que cet homme en savait certainement bien plus qu’il n’osait le dire.

*Le laisser en liberté est aussi une manière pour moi d’avoir une assurance... Maintenant que je sais qu’il était en probation, obtenir son dossier ne devrait pas être trop difficile, et je pourrais ainsi le retrouver pour le faire parler en cas de problème.*

Pour l’heure, elle avait d’autres soucis en tête : le Gang, et Irina. Qu’est-ce qui se passait avec elle ? Qui était-elle donc ? Pourquoi tant de mystères ? Que lui cachait-elle ? Le terme employé par Irina lui revenait encore en tête : « dollification »... Et ce que ce type venait de dire. Le MCC... Elle aurait dû l’interroger plus, mais elle avait le sentiment que sa collègue improvisée pourrait lui en dire plus à ce sujet. Irina lui expliqua alors qu’elle avait une idée sur une planque possible. Le plan initial de Sarah, qui consistait à fouiller le site de construction, évolua donc rapidement, et elle regarda la jeune femme blonde, s’attendant à ce qu’elle lui en dise plus... Mais rien ne vint.

Sarah en fut agacée. Elle se rapprocha d’elle, et saisit Irina par les épaules, avant de la plaquer contre le mur, à la sortie de la ruelle.

« Bon ! Ça suffit, les conneries ! »

Elle la relâcha rapidement, mais resta près d’elle.

« Je ne sais pas ce qui se passe dans ta tête, mais je sais que tu as besoin d’aide... C’est quoi, ce MCC ? Quel rapport ça a avec toi ?! Tu peux me faire confiance ! Tu as vu de quoi je suis capable ? Si tu crains qu’on tente de m’assassiner ou je ne sais pas trop quoi, rassure-toi... Ce machin est à l’épreuve des balles ! »

Parfois, elle avait même la sensation de se croire immortelle avec le Witchblade...

Une sensation illusoire.
DC d’Alice Korvander.

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