Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

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Coralie Scorpio

E.S.P.er

Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 15 mercredi 27 août 2014, 22:18:24

L'homme fit de nouveau sifflet la baguette en assénant un coup sur le postérieur de Coralie. L'arrivé soudain d'une vive douleur fit instinctivement mordre le membre de l'individu. Mais il était tellement dur qu'il ne semblait même pas l'avoir remarqué.

Ça, c'est parce que je ne t'ai pas donné l'autorisation de te relever ! Tu mériterais bien pire pour ne pas avoir demandé l'autorisation de te relever…. Quand tu suces, c'est à genoux, sauf quand je donne des ordres particuliers… oh, et attends, j'ai une idée pour que ce soit plus simple pour moi...

L'homme mit fin à la fellation pour aller chercher quelque chose. Coralie profita du peu de temps de repos qui lui était accordé pour reprendre sa respiration et se reposer la mâchoire. Sa bouche était encore imbibé du goût du pénis de l'homme alors qu'il n'avait même pas encore éjaculé. Son tortionnaire revînt avec de simples élastique à cheveux, il s'en servit pour faire des couettes à la jeunne fille. Non pas par coquetterie, ça serait idyllique, mais pour s'en servir comme de lanière afin de mieux retenir la tête de Coralie.

Regarde comme c'est pratique...

L'homme semblait satisfait. Il prit l'une des couettes pour rapprocher de force le visage de sa victime, le membre entra en contact d'abord avec la joue. Coralie n'eut même pas le temps de se préparer aussi bien mentalement que physiquement, car l'individu lui tira le nez vers le haut pour lui faire ouvrir la bouche et lui enfourner son imposant chibre. Les rôles venait de s'inverser, c'était maintenant l'homme qui bougeait et faisait des mouvements de vas et viens avec ses hanches. C'était une sensation particulièrement désagréable mais Coralie se disait qu'elle pourrait l'endurer si cela rester de cette façon. Comme toujours, c'est quand elle espère que ça se passe pas trop mal que le pire ce produit. Le ravisseur s'accrocha d'avantage aux couettes et donna un violent coup de rein afin d'enfoncer son pénis le plus loin possible. Le gémissement que poussa la jeune fille avait tout du râle d'agonie. Cela lui avait fait horriblement mal, au point d'avoir les yeux complètement révulsé sur le moment. La nausée n'avait pas tardé à suivre. Elle avait instinctivement rompu sa position pour poser les mains aux sols.

Allez, on tient, on tient... Dit-il sur le même ton qu'un professeur de sport.

Cela semblait interminablement long pour Coralie qui n'en pouvait déjà plus. Elle tentait de respirait péniblement par le nez mais cela ne suffisait pas aux yeux de son tortionnaire qui lui pinça le nez pour l’empêcher de respirer. Au moment où, la jeune fille cru qu'elle allait perdre conscience, l'homme relâcha enfin son étreinte. Elle se laissa tomber au sol, toussant, crochetant et respirant fortement. L'individu lui fit une petite tape sur la tête pour la féliciter mais c'était bien peu de chose par rapport à ce qu'elle venait d'endurer.

Bon, tu sais ce qu'il te reste à travailler...allez, recommence, et vas-y autant que possible, je ne l'ai pas enfoncée entièrement, mais si tu arrives de ton propre chef à faire aussi profond et à rester comme ça assez longtemps, je m'estimerai satisfait, ma belle petite chienne Coralie... Il s'essuya le penis sur le visage de Coralie avant de reprendre : Si tu as besoin d'aide pour t'empaler la gorge, tu peux utiliser tes mains sur mes cuisses pour te maintenir...


Quoi ?! Que je ... *tousse*

Comment ? Elle devait recommencer cette affreuse atrocité ? Lorsqu'elle entendu ces mots, la jeune fille crû qu'elle allait fondre en larmes. Jusqu'où la cruauté de cette homme pouvait aller ? Elle se releva doucement, essayant de se remettre comme elle pouvait de son traitement.

Oui monsieur.

Elle n'avait pas tardé à répondre favorablement pour ne pas avoir à subir une nouvelle volé de coup de baguette. En revanche, une chose avait retenu l'attention de Coralie. Pour la première fois, l'homme émettait l'idée qu'il pourrait être satisfait. Jusqu'à présent toutes les tentatives de la jeune fille pour apaiser son tourment c'était soldé par un échec, il n'y avait donc pas de raison que ça change. Mais que lui restait-il d'autre que le vain espoir qu'un jour cela se termine ? Rien d'autre.
Coralie regarda avec insistance le membre de son tortionnaire, ses yeux n'était remplis plus que d'une chose : du désespoir. Elle rassembla le peu de force qui lui restait, et une fois résolu, elle repris sa position devant l'homme. Elle serra fort les dents, un éclat de démence semblait doucement naître sur le visage de la jeune fille, et de manière totalement inattendu, elle se jeta sur l'imposant pénis qu'elle fit disparaître dans sa bouche. Bien sûr, elle ne pouvait pas le mettre totalement à l'intérieur, mais c'était pratiquement autant que lorsque l'homme lui avait ravagé la gorge. Les bras de Coralie s'enroulèrent autours des cuisses de son tortionnaire comme si elle étreignait passionnément un amant. Elle profita ainsi de l'appui fournis par les jambes pour enfoncer d'avantage le membre dans sa gorge. respirant fortement par le nez, la douleur était à la limite du supportable, mais cela ne s'arrêta pas là. Coralie brûla ses dernières force pour commencer d'important mouvements de va et vient avec sa tête, pratiquement tout le pénis de l'homme se trouvait dans la bouche de la jeune fille. Les secondes s'écoulaient et il était de plus en plus dur de poursuivre la fellation, au point que Coralie doivent s'accrocher avec les ongles sur les cuisses de son ravisseur pour ne pas que son corps rejette la colonne de chair. Des larmes coulait sur les joues de la jeune fille et ses yeux étaient rouge, sensiblement révulsé. Elle avait des hauts le cœur à chaque mouvement de tête et ces derniers était ponctué par d'atroce gémissements de douleurs.

Allez ! Joui ! je t'en supplie ! Je n'en peux plus ! Je sens que mon corps va craquer si cela continue encore un peu ! Par pitié joui ! supplia Coralie dans son esprit.
« Modifié: mercredi 27 août 2014, 22:25:17 par Coralie Scorpio »
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Slade

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Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 16 mercredi 27 août 2014, 23:31:46

Il la regarda en train de tousser et crachotter de la bave au sol, après cet exercice qui n'était pas forcément des plus agréable la première fois qu'on le faisait. ON pouvait dire que c'était un peu comme un trait à prendre, une habitude qu'il lui faudrait gagner, et avec le temps, elle tiendrait mieux la distance en gorge profonde, quoique ce ne soit plus une gorge profonde mais une gorge abyssale qu'il l'obligeait à faire… et il ne s'agissait pas que de cela, mais aussi une manière de lui apprendre à se mettre de côté pour la satisfaction de son maître… elle devait s'oublier pour obéir… et il le lui apprenait avec de petits exercices comme cela… une nouvelle chose qu'il pouvait faire, c'était…. Non, surprise pour plus tard.

Enfin bref, elle devait travailler cet exercice, la gorge profonde, car elle y aurait souvent recours, cela servait efficacement e lubrifiant :  sa salive, abondante dans ce genre de cas était utie, en plus que le fait que cette situation lui soit inconfortable… elle apprendrait à faire avec, et cela commencerait pas plus tard que maintenant, en effet, il s'agissait de ce qu'elle devait faire immédiatement, à son grand désarroi, il s'en doutait. Mais au moins, elle avait compris l'importance de la promptitude et sa réponse fut assez rapide à son goût. Bien.

Il la regarda, se mettre en place, approcher ses lèvres de son mebre luisant de salive. Et fut surpris de la vitesse à laquelle elle le mit en bouche, comme si elle avait hâte, de quoi, bonne question, ou plutôt, fausse question, car il y avait deux possibilités : par peur du bâton, ou par voracité envers la semence masculine. Et elle n'avait pas vraiment eu l'occasion de gouter, donc c'était par peur du bâton, et bien ça lui convenait amplement. Elle changerait d'avis…

Il soupira d'aise en la sentant aller et venir, se forçant à l'envoyer le plus loin possible dans sa bouche, sa gorge. IL n'allait ps tout à fait aussi loin, mais c'était délicieusement agréable, il la laissa faire comme elle pouvait – elle avait eu le droit d'user de ses bras après tout -  et fut même surpris en la sentant commencer à faire de solides vas et viens le long de cette virilité érigée. IL sentait qu'elle avait de plus en plus de mal et il s'en ravissait, il sentait qu'elle allait bientôt rendre les armes, n'en pouvant plus. Il la voyait, ses yeux révulsés par l'action qu'elle faisait…

Bon dieu, il appréciait cela !  Il se contenta alors de la saisir par les couettes  Pour lui infliger de violents vas et viens  qui faisaient claquer ses testicules contre son menton avant de relâcher la pression, à tous les niveaux ?. En effet, il lâcha les couettes alors que la première dose était expulsé par la turgescence dans sa gorge. Il retirait sa verge progressivement. Le deuxième jet lui noya la langue. Le troisième luiatterit sur les lèvres et le reste sur son visage et même, pour les derniers, sur sa poitrine juvénile…

« Ah, ça fait du bien... »

Il avait tout expulsé dans un râle peu discret et typiquement masculin… il lui sourit et la regarda avec sestraits souillés par la semence masculine il la détailla du egard, léger sourire en coin alors qu'il reprenait la parole sur tun ton plus doux.

« Bon, alors, quel goût a ton maitre ? Car tu le gouteras tous les jours, et plus encore, ce sera la première chose chaque matin, et la dernière chaque soir.Tu comprends ?  C'est très important que tu t'entraines à cela, un jour, tu pourras non seulement tout prendre en bouche, mais en plus mettre les couilles avec si tu t'entraines bien ! »

Il lui sourit de nouveau et la laissa la quelques instants pour s'approcher d'une commode et en sortir une bouteille de vin dont il se servit un verre à pied avant de se mettre à boire une petite gorgée, sous son nez.

« Chacun sa boisson… tu finiras par réclamer la tienne ! Comme ton pucelage, tu finiras par me demander de te le retirer…. Ah et pour le sperme, nettoies-toi le visage avec tes doigts et lèche les… pareil, il y a des gouttes par terre, lèche les aussi, ne gache pas ton repas... »

Coralie Scorpio

E.S.P.er

Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 17 jeudi 28 août 2014, 01:47:12

Pour la première fois depuis le début de cette triste soirée les prières de Coralie furent exaucé. Les mouvement de l'homme commencèrent à suivre le même rythme que celui de sa victime, signe qu'il avait enfin la volonté de mettre fin à ce calvaire. Le problème, c'est que la douleur infligé était monté d'un cran, devenant indescriptible avec des mots. L'esprit de Coralie était sur le point de s'éteindre, elle perdit petit à petit conscience. Ses mains qui étaient si fermement accroché lâchèrent petit à petit prise jusqu'à ce que les bras tombent complètement ballant.

Mais soudain, l'homme arriva au bout de son endurance et délivra une immense quantité de semences sur Coralie. Pas seulement dans sa gorge, dans sa bouche, son visage et également sa poitrine. S'en était trop pour le système immunitaire de la jeune fille qui expulsa tout le liquide présent dans le corps. Tout fut recraché violemment, suivi peut être par un vomissement... et ... non finalement aucun rejet supplémentaire. Coralie était à bout de force, elle tomba sur le sol et perdit conscience.

Ah, ça fait du bien...

Si la jeune fille avait été consciente à ce moment là, elle aurait pu profiter de toute la classe masculine à l'état brut. Heureusement pour elle, ce ne fut pas le cas. La première chose qu'elle vit lorsqu'elle reprit conscience c'est le visage de son tortionnaire, ce dernier admirant un visage déformé par la substance poisseuse. Coralie aurait souhaité de tout son cœur que tout cela n'était qu'un horrible cauchemars infligé par Lust Enigma, mais c'était hélas très loin d'être le cas.

Bon, alors, quel goût a ton maître ? Car tu le goûteras tous les jours, et plus encore, ce sera la première chose chaque matin, et la dernière chaque soir. Tu comprends ?  C'est très important que tu t’entraînes à cela, un jour, tu pourras non seulement tout prendre en bouche, mais en plus mettre les couilles avec si tu t’entraînes bien !

"..." Même si Coralie avait voulu répondre, elle n'aurait pas pu. Toutes ses forces l'avait quitté. Son seul souhait désormais était de pouvoir se reposer. Elle n'était même pas consciente de tous les mots que prononçais son ravisseur. Le goût ? Ce fut la plus horrible saveur qu'elle n'avait jamais eu l'occasion de goûter.
Le cerveau de la jeune fille se remit tout doucement en route. La vue était le premier des sens à s'être réveillé, rapidement suivit par le goût puis l’ouïe. Il fallu un peu plus de temps pour le toucher, elle prit d'abord conscience de l'immonde substance qui l'a recouvrait, puis elle se remit doucement en position assise. L'odorat fut le dernier sens à revenir, Coralie empestait l'odeur du foutre et aurait donné n'importe quoi pour prendre un bon bain afin de se débarrassé de toute cette souillure.
L'homme était partie se servir un verre de vin, qu'il sirota juste devant la jeune fille.

Chacun sa boisson… tu finiras par réclamer la tienne ! Comme ton pucelage, tu finiras par me demander de te le retirer…. Ah et pour le sperme, nettoies-toi le visage avec tes doigts et lèche les… pareil, il y a des gouttes par terre, lèche les aussi, ne gâche pas ton repas...

...*tousse* O.. Oui, monsieur. Dit-elle avec difficulté.

Chaque gorgés de vin bu par son ravisseur était une véritable torture psychologique. Coralie avait soif, très soif, mais pas de cette substance. Sa bouche était sèche, et sa gorge effroyablement irrité par le mauvais traitement qu'elle avait subit. Son corps était courbaturé et rougis par les coups de baguette. Quand à son esprit, il était complètement déphasé avec son univers, son regard était d'un vide absolue. La jeune fille laissa glisser son doigt le long de sa poitrine pour y récolter la semence de l'homme et la mis dans sa bouche. Toujours le même goût atroce, mais comparé à ce qu'elle venait de subir, cela lui semblait dérisoire. Alors tel un automate, elle exécuta l'ordre sans trop réfléchir. Avec la même rigidité que le pantin de bois, elle se nettoya le visage comme elle pu, puis lorsqu'il lui semblait avoir fini, elle s'attaqua à la substance au sol. Il n'y avait aucune classe, ni sensualité dans son acte puisqu'elle n'avait plus totalement conscience de ce qu'elle faisait.

Voilà monsieur. Que dois-je faire maintenant ? Demanda machinalement Coralie.

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Slade

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Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 18 jeudi 28 août 2014, 21:19:42

Elle sembla perdre pied, perdre conscience alors qu'il finissait de l'arroser généreusement de semence bien chaude… mais il n'en avait rien à faire, ce genre de détails ne l'arrêtait pas un seul instant En effet, il ne voyait pas de raison de se retenir, de s'empêcher de faire ce qu'il voulait, elle était là pour ça après tout, c'était sa vraie nature, qu'il exposerait au grand jour sans la moindre vergogne… IL la regarda alors qu'elle se mettait à se nettoyer en silence… il avait ce petit sourire quelque peu mesquin sur le visage alors qu'il dégustait son verre de vin devant la toilette de chat de la jeune femme.

Son sourire s'élargit alors qu'il la voyait nettoyer les traces sur le sol avec la langue comme il l'avait spécifiquement demandé. Vous savez ce qui était amusant , C'était de voir ce qu'elle était prête à faire pour ne pas le décevoir… non, pas pour ne pas le décevoir, pour éviter de la douleur et davantage de larmes, elle le savait. IL sourit à cette pensée… bientôt ce ne serait plus que pour ne pas le décevoir…. Il s'approcha et examina le sol quand elle eut terminé avant de lui tapoter la tête, évitant de se mettre les restes de foutre sur les doigts.

« Brave fille… bon, on va te laver, te sécher, te faire toute propre comme un sou-neuf et ensuite je te montrerai l'endoit où tu es sensée dormir…. Allez, viens ! »

Il la saisit par l 'épaule, non sans admirer avec une petite dose de fierté le sein tuméfié de la jeune femme, tant il l'avait malmené… il l'emmena dans un dédale de couloir qui semblaient éclairs mais où il n'y avait aucune source de lumière. De la magie, il y avait fort à parier là dessus… mais qui allait lui refuser le luxe d'avoir ce qu'il désirait quand il le voulait, où il le voulait. Elle en était la preuve vivante...

« J'ai de grands projets pour toi… tu verras, tu finiras par aimer cela !  Rends-toi compte de l'honneur, l'esclave personnelle du chevalier de la cour de l'hoiver, un poste prestigieux et sans grande responsabilité, étonnamment. Et toi qui tu retrouves associée par esclavage. Tu n'imagines pas ta chance ! D'autres tueraient pour cet honneur ! »

Il exagérait un peu mais qu'importe. Après quelques minutes de marche ils entrèrent dans une pièce relativement bien éclairée mais qui semblait dépourvue même d'une douche. Il y avait juste un long tuyau, une éponge usée et un savon, ainsi que, dans un clin, roulée en boule, une serviette qui sans être de la première jeunesse avait de bien qu'au moins, elle était propre. Il prit la parole.

« Voilà ta douche, en général, je la donne moi-même à mes esclaves, mais j'ai la flemme alors tu te débrouilleras bien avec ce qu'il y a ici…. Ah et ne cherche pas l'eau chaude, il n'y en a pas… m'en passant très bien, je me suis dit que mes esclaves s'accommoderaient aussi. Quant à ta couche…. »

Il l'entraîna en arrière sur le même chemin, une occasion de le mémoriser dans les deux sens… pour revenir dans la salle principale dont il ouvrit une nouvelle  porte qui donnait sur une chambre aménagée avec goût, dans les mêmes teintes que le salon, au milieu trônait un grand lit(king size, évidemment) et au bord, plusieurs meubles dans un bois sombre, et notamment, un magnifique bureau qui devait être du fait main en voyant la qualité.

« Voici ma chambre, et voici la tienne... »

Il se pencha et ouvrit une petite trappe à côté du bureau, il s’agissait d'une sorte de tunnel capitonné avec une couverture roulée en boule qui devait faire deux mètres de long pour peut être un mètre de haut. IL n'y avait pas de fenêtres, la seule ouverture était un trou de la taille d'un visage à raz le sol dans la petite porte. Cela faisait bien peu comme espace, mais elle était libre de s'y installer comme elle souhaitait…

« Voilà, tu devrais avoir toute la place dont tu as besoin pour dormir. Car tu n'y passeras que tes nuits et tes punitions les plus douces… je ferme le soir en allant me coucher et j'ouvre en me levant tout ce que tu as à faire avant d'aller te coucher, tu as intérêt à le faire avant ouu à te retenir car je ne tolèrerai, tu le sais, aucune esclandre !  Oh teins, d'ailleurs, les toilettes… il s'agit de ça ! »

IL le donna un seau qui avait, semblait-il, été toujours prévu à cet effet.

« Il y a un renfoncement dans ton dormoir sur la doite où tu peux le ranger. Et le matin, tu le vide dans la grille dans ta salle de bain, ça partira directement pour le tout à l'égout ! Voilà, tu sais tout ce que tu as besoin de savoir, tu as quartier libre ! Oh et petit détail, tu ne seras pas forcée de dormir là dedans tous les soirs, quand je te ferai confiance, tu auras davantage de liberté ! »

Coralie Scorpio

E.S.P.er

Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 19 lundi 01 septembre 2014, 00:19:25

Voilà, tu devrais avoir toute la place dont tu as besoin pour dormir. Car tu n'y passeras que tes nuits et tes punitions les plus douces… je ferme le soir en allant me coucher et j'ouvre en me levant tout ce que tu as à faire avant d'aller te coucher, tu as intérêt à le faire avant ouu à te retenir car je ne tolèrerai, tu le sais, aucune esclandre !  Oh tiens, d'ailleurs, les toilettes… il s'agit de ça ! L'homme tendis un seau à Coralie. Il y a un renfoncement dans ton dormoir sur la doite où tu peux le ranger. Et le matin, tu le vide dans la grille dans ta salle de bain, ça partira directement pour le tout à l'égout ! Voilà, tu sais tout ce que tu as besoin de savoir, tu as quartier libre ! Oh et petit détail, tu ne seras pas forcée de dormir là dedans tous les
soirs, quand je te ferai confiance, tu auras d'avantage de liberté !


Une fois les directives donné, Coralie entra dans la douche et ota machinalement sa jarretière pour se nettoyer. Cela pouvait semblait ridicule étant donné qu'elle était complètement nu, mais c'était un pur acte mécanique. Il n'y avait plus rien d'humain dans la chose qui se trouvait en ce moment dans la "salle de bain", même l'eau froide ne suffit pas à la faire réagir. Une fois qu'elle eu finit elle se sécha avec la serviette et récupéra sa jarretière ainsi que le seau et pénétra dans sa "loge" sans dire un mot. Une fois que la trappe fut refermé et que la niche fut plongé dans le noir, il ne fut pas longtemps à la jeune fille pour s'endormir sous le poids de la fatigue aussi bien mentale que physique.

Au cours de la nuit, un étrange phénomène se produisit. Coralie s'éveilla mais ses yeux étaient toujours fermé, pourtant elle avait l'impression qu'elle pouvait distinguer tout ce qui se trouvait autour d'elle. Cet état l'a surpris grandement la laissant complètement décontenancé. Elle n'avait plus l'impression d'être dans sa toute petite niche mais dans une pièce meublé. Sa main glissa sur le contour de quelque chose qui semblait être un fauteuil mais ce n'était qu'une impression car elle était en réalité immobile. Une voix résonnante et surnaturelle se fit soudainement entendre. La jeune fille aperçu alors un être qu'elle avait déjà aperçu distinctement par le passé. Un être de forme humanoïde dont le corps avait un aspect androgyne, des hanches de femmes et une belle chute de reins, mais des épaules et des muscles taillés comme un homme. Cela dit, un rapide coup d’œil à son entre jambe permettait de distinguer que non seulement c'était un mâle, mais qu'il était nu. Sa peau semblait recouvert de motif aussi varié que des fleurs, des étoiles et mêmes des losanges qui formaient un damier sur ses jambes. Son visage était fin et donnait l'impression de voir une statue, aucune imperfection ne semblait présente. Enfin, ces yeux était noir sans pupilles, on pouvait distinguer le vide sidéral comme si c'était les hublots d'une navette spatiale.

Nous voici dans ton rêve Coralie

Lust Enigma ? Qu'est-ce que tu fais là ? Pourquoi viens-tu me hanter dans mon sommeil ? Mon destin c'est accompli tu ne devrais plus être là.

Le destin d'une personne ne prend fin qu'au jour de sa mort

Et alors quoi ? Tu vas encore me faire vivre d'effroyable cauchemars ? Tu crois que le fait de me faire violemment agresser sexuellement ne m'a pas suffit ? D'ailleurs je te félicite, tu t'es pas trompé sur le choix de ton bourreau. Je suppose que tu as vu quand il a failli me tuer avec sa ... son.. machin en me l'enfonçant le plus profondément possible dans la gorge. Dit Coralie furieuse, sur le ton de l'ironie.

Quelque soit le chemin que tu empruntes, la trame de ton avenir à été respecté. Tu as fait face à une difficulté sans précédent dans ta vie, et c'est maintenant que l'on va voir ce que te réserve le futur.

Tu m'avais dit que j'avais le choix ! Or, je n'en avais aucun. L'homme dont je suis devenu l'esclave est d'une puissance et d'une cruauté sans limite. Il m'était totalement impossible de le vaincre. Tu m'as menti !

C'EST FAUX !!! La voix de Lust Enigma éclata comme un coup de tonnerre dans les oreilles de la jeune fille qui tomba à la renverse sur le fauteuil. Il reprit : Mais ce n'est pas ce qui importe, maintenant que tu suis cette voie, il te faut la parcourir jusqu'au bout. Car c'est la lumière qui t'attend peut être à la fin de celle-ci.

Je ne comprend rien à ce que tu dis. Soit plus clair ! Tu prétends qu'il avait une alternative ?

Ce que je te dis, c'est que si jusqu'à présent, tu avais toutes les raisons de croire que j'étais ton ennemis, ce n'est plus le cas désormais. Mais ne te méprend pas, je ne suis pas ton ami non plus. Nous entrons dans une phase où il est plus important que tout que nous nous entraidions.

Toi et moi ? Tu te moque de moi ? C'EST A CAUSE DE TOI SI JE SUIS DANS CETTE SITUATION DE MERDE, SALAUD !!!

Et je suis une part de toi-même, je suis l'incarnation de ton destin. On ne choisis pas son histoire, de la même manière que l'on ne choisi pas sa famille. On ne peut que faire avec.

Tu oses prétendre que je désirais devenir le jouet d'un dépravé sexuelle ?

Non, et tu le sais. Je n'étais que l'annonciateur d'un mal qui allait se produire dans ta vie. Qui DEVAIT ce produire afin de sauvegarder l'équilibre même de cette réalité. Car tu es le maillon d'une interminable chaîne, et chaque être qui forment cette dernière doivent agir dans le but de la protéger.

Mais je n'ai rien demandé... je ... je n'ai jamais voulu faire ça... renia Coralie.

Un silence pesant c'était installé pendant que la tristesse et l'incompréhension l'avait envahi. Encore une fois, son destin jouait avec elle comme une marionnette. Elle ne voulait pas continuer dans cette voie mais comme lui avait dit Lust Enigma : Maintenant qu'elle y était, il fallait y aller jusqu'au bout. Et peut être qu'une porte de secours apparaîtrait. L'image de son frère et d'Inori lui vînt à l'esprit. C'était les deux personnes les plus importante à ces yeux, elle avait promis de vivre pour eux. Alors elle allait tout faire pour tenir sa promesse.

Que ... que dois-je faire ? Demanda la jeune fille avec résignation.

Si tu veux avoir une chance de revoir un jour ceux que tu aimes, il va falloir d'abord survivre. Et tu sais ce que tu dois faire pour y parvenir.

Je... je ne sais pas si j'en aurais la force...

C'est ça ou la mort. Seul toi peut faire ce choix, mais pour ma part, ce n'est pas dans mon intérêt que ta vie s'achève.

... D'accord. Je le ferai.

Je tâcherai de t'aider aussi loin que mes capacités me le permettent. On pourra communiquer à travers tes rêves, et je me servirais de ces derniers pour te former.

Suites à ces paroles, Lust Enigma s'en alla et laissa Coralie reprendre un sommeil normal. Cependant, ce dernier fut ponctué par de nombreux rêve que l'on pourrait qualifier de "mouvementé".
Finalement, elle se réveilla. La niche était toujours plongé dans le noir et la jeune fille avait perdu tout ses repères temporelles. Elle pris conscience avec une agréable constatation que son corps ne lui faisait plus mal, sa gorge n'étais plus irrité mais son esprit était encore confus à cause des rêves qu'elle venait de vivre. Coralie était redevenu une personne normal et non une marionnette sans âmes. Elle était toujours entièrement nu à l'exception de sa jartière qu'elle portait à sa jambe droite, ses doigts glissèrent affectueusement dessus car c'était la dernière chose qui lui restait de son ancienne vie. Le bruit du verrou l'a fit sursauter, tout en se recroquevillant de pudeur. La lumière pénétra alors dans la loge.
« Modifié: lundi 01 septembre 2014, 00:27:10 par Coralie Scorpio »
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Slade

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Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 20 jeudi 04 septembre 2014, 13:21:44

La soirée de Slade avait été assez mouvementée, en effet, il avait eu un peu de temps pour s'occuper de son repas, ne s'inquiétant plus de son esclave pendant qu'elle s'occupait un peu d'elle, il la laissa se laver pendant qu'il mangeait et avant de sortir il verrouilla la chambre de la jeune femme. La porte de celle-ci n'était pas indestructible, mais juste renforcée avec deux barres de fer jusque au cas où. Il n'était rentré que très tardivement, car il avait eu beaucoup de travail, des contacts à voir, des accords à rappeler, bref, la routine. Il n'avait pas eu besoin de faire quoique ce soit qui soit difficile, juste se montrer patient plus que de raison et quand il était rentré sur les coups de quatre ou cinq heures, il s'était couché directement, sans attendre.

Et quand il se leva le lendemain, il était midi passé, tout simplement. Il avait oublié de se réveiller plus tôt. Encore un peu dans le potage il s'approcha de la porte de la chambre de la jeune chose et mit un coup de pied dans la porte, assez fort pour la faire trembler. Il retira le verrou et lança juste, d'un ton morne, comme si rien que cela l'ennuyait.

« Allez, debout ! J'ai faim et si tu veux manger, il faut que tute dépeĉhe de venir ! Tu as dix minutes pour être réveillée et prête à l'emploi, dans sle salon. A genoux, cuisses écartées, mains dans le dos. »

Il se contenta ensuite de se rendre dans sa propre douche pour profiter d'un bon lavage en règle avec de l'eau chaude. Oui, il y avait droit, lui. Que les choses ne soient pas égales ne le gênait pas. C'était normal, même, qu'une certaine manière. On ne traite pas les esclaves comme les seigneurs. C'était normal, non ? Il sourit à cette idée saugrenue… ces anti-esclavage prônaient l'égalité… il eut un petit geste de la tête avant de sortir des vapeurs d'eau et se diriger vers sa vchambre pour choisir quelques petites choses. Ses vêtements et ceux de Coralie. Oh, ils étaient temporaires, ils allaient faire des courses aujourd'hui, de toute manière, sauf si… sauf si il décidait de la laisser nue… oui, c'était une option tout à fait envisageable et intéressante… oui, il la laisserait nue, d'autant plus qu'il aurait quelques petites choses à lui faire et faire faire aussi au passage. Il sourit et se dirigea vers la cuisine où il commença à faire cuir un peu de bacon et du jambon, un peu à l'américaine, certes, mais bon. L'odeur se mit bientôt à se répandre… et quand il s'assit dans le fauteuil et commença à manger, il ne la regarda pas, lui mangea sous le nez. Il prit son temps pour finir son assiette avant de finalement lui sourire et s'adresser à elle.

« J'imagine que tu as faim, chienne Coralie… mais si tu veux avoir quelque chose dans l'estomac, il faudra que tu le pompes, pour t'entrainer… tu auras des repas plus consistants ou du moins, plus normaux quand tu auras assez d'expérience à mon goût… auquel cas, sucer deviendra plus une manière de te récompenser avec ta boisson favorite… car oui, à la fin, tu réclameras d'en avoir encore… car tu aimeras ça… c'est comme ça que font les bonne catin, elle réclament leur crème... »

Il sourit après ce qu'il trouvait amusant à avoir dit, et il caressa un instant l'idée de faire quelque chose de fort amusant… et d'ailleurs, il sauta sur l'occasion. Il le fit. Il déposa l'assiette au sol.

« Si tu t'appliques, tu pourras lécher l'assiette, chienne Coralie et en plus, je vais te demander autre chose, avant de sucer. Je voudrai que tu me nettoies les pieds avec la langue…. »

Il lui tapota la tête et attendit de voir sa réaction.

Coralie Scorpio

E.S.P.er

Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 21 samedi 06 septembre 2014, 01:06:23

Allez, debout ! J'ai faim et si tu veux manger, il faut que tute dépeĉhe de venir ! Tu as dix minutes pour être réveillée et prête à l'emploi, dans sle salon. A genoux, cuisses écartées, mains dans le dos.

Elle était déjà réveillé depuis un petit moment, ce qui permit à Coralie de ne pas prendre le temps de réfléchir et de sortir rapidement de la trappe. A cause de son esprit embrumé hier soir, elle perdit un tout petit peu de temps pour se diriger vers la douche car elle ne retrouvait pas le chemin. La jeune fille fit ce qu'elle pouvait avec les moyens du bord pour pour tenter de se rafraîchir un peu. Mais l'eau était glacial, ce qui l'a fit perdre encore un petit peu de temps pour s'habituer à la température. Décidément, quand le cerveau est éteint, le corps humain peut faire des choses incroyables. Enfin, lorsqu'elle eut fini, Coralie retourna dans le salon afin de reprendre position. Il y eut un instant de pause dans sa préparation, étant redevenu en pleine possession de ses moyens, elle avait également récupéré sa pudeur. La jeune fille s’exécuta finalement, cela devait pas faire tout à fait dix minutes mais son bourreau serait capable de la punir quand même, juste pour le plaisir.
Coralie avait senti l'odeur du bacon et son estomac commença à grommeler. Son tortionnaire ne lui faisait décidément pas de cadeau, et continuait à la faire souffrir psychologiquement. Heureusement pour elle, son dernier "vrai" repas daté d'hier, cela restait donc un jeun supportable. Il parait que l'on peut vivre une semaine sans manger, c'est donc pas une demi journée qui allait la tuer. Cependant, la situation était tout de même très frustrante car la viande avait l'air vraiment bonne.

J'imagine que tu as faim, chienne Coralie… mais si tu veux avoir quelque chose dans l'estomac, il faudra que tu le pompes, pour t’entraîner… tu auras des repas plus consistants ou du moins, plus normaux quand tu auras assez d'expérience à mon goût… auquel cas, sucer deviendra plus une manière de te récompenser avec ta boisson favorite… car oui, à la fin, tu réclameras d'en avoir encore… car tu aimeras ça… c'est comme ça que font les bonne catin, elle réclament leur crème...L'homme déposa l’assiette sur le sol et reprit la parole :Si tu t'appliques, tu pourras lécher l'assiette, chienne Coralie et en plus, je vais te demander autre chose, avant de sucer. Je voudrai que tu me nettoies les pieds avec la langue….

Après le sol les pieds ? Si après tout ça, Coralie ne tombait pas malade ou n'attrapait pas de saloperie avec tous les endroits où sa langue à traîné elle serait vraiment verni. Ensuite à ses yeux ils étaient moins dégradant et douloureux de lécher les pieds d'une personne plutôt que son pénis. Elle se rapprocha donc sensiblement de son bourreau pour pouvoir s’exécuter. La jeune fille démarra son nettoyage pas le haut du pied, léchant comme si c'était une glace. Le travail était méthodique et presque minutieux, sa langue n'oublia aucun espace de chair et se faufila même entre les orteils. Une fois qu'elle considéra avoir fini, elle passa au suivant avec le même sérieux. Sa bouche commençait à s'engourdir un peu mais ce n'était rien comparé à ce qu'elle avait subit hier soir. Une fois fini, Coralie s'autorisa un cours moment pour se détendre la machoire et dissiper la gène, car elle avoir besoin d'être totalement opérationnel pour la suite. Elle détourna sensiblement le regard.

J'ai fini monsieur. Je... Pouvez-vous... défaire de vos vêtements pour que je puisse m'occuper de votre... de ... de vous ? Dit-elle avec la timidité qui la caractérise.

Les flaques de sang miroitent joliment,
Les cris d'agonie résonnent harmonieusement,
Buvons à la coupe des peurs et des souffrances,
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Slade

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Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 22 mercredi 10 septembre 2014, 21:17:05

Elle avait mis un peu de temps à se préparer, certes, mais qu'importe… cela n'avait pas de réelle importance dans la mesure où il n'avait pas non plus cherché à la punir pour ça, c'était un rythme à prendre et de toute manière, elle devait s'habituer à sa condition, il la punirait plus tard, il en faisait une affaire personnelle. Elle apprendrait et finirait par obéir, parce qu'il ne tolèrerait pas  de lambins à son service, s'il disait dix minutes, il n'en demandait pas onze, mais plutôt neuf… mais cela viendrait, il y aurait la bastonnade… oui, dans la moindre hésitation. Ce n'était pas parce qu'il abhorrait le fouet car il abîmerait son jouet qu'il n'acceptait pas d'autres punitions...

Il sourit et la laissa s'activer, ce qu'elle fit assez promptement, car en effet, il ne voyait pas de raison de ne pas la laisser aller à son rythme, même s'il entendait être obéi assez rapidement à son goût, et pour le moment, ça allait. Il savoura la langue de la jeune femme sur ses pieds, mais mieux encore, quand celle-ci passa entre ses orteils ; partout, il soupira d'aise, même quand elle goba les orteils un à un…

Finalement, elle eut terminé et sembla attendre la suite, comme si elle n'était pas prête à passer à autre chose, comme si elle attendait quelque chose… il regarda la jeune femme et ne dit rien dans un premier temps. Il prit son temps pour choisir ses mots alors que de ses orteils propres, il allait taquiner le bouton de chair intouché de la jeune femme… Il lui sourit  et finalement parla :

« Et bien, tu n'as qu'à délacer la ceinture et  ouvrir la braguette pour aller faire ce que l'on te demande. Tu sais, quand je te donne un ordre, fais ce qu'il faut pour l'exécuter. Je ne te dis pas de faire preuve d'initiative permanente, quoique je puisse apprécier le fait que par exemple, une fois que je te ferai plus confiance, te lever avant moi pour faire en sorte que le repas soit prêt quand je me lève, ou, quand je ne suis pas là, faire en sorte que la soupe soit chaude quand je rentre. Ce sera pour plus tard, mais là, dans ton cas, par exemple, là, tout de suite. Il faut que tu comprennes que tu dois faire ce qu'il faut pour exécuter les ordres. Par exemple, si je te dis de changer l'ampoule de ma chambre qui a grillé ce matin. Tu vas chercher un escabeau, non ? Alors là, c'est pareil, tu dois te donner les moyens de ce que je veux que tu fasses... »

Il lui sourit et lui caressa doucement la joue.

« Ah et un détail bête, comme ça, quand je dis dix minutes, ce n'est pas onze, c'est dix, et même neuf quand tu me vois pressé. Et si tu dois t'asseoir sur ton confoty, et bien soit... »

Il lui tapota la tête doucement.

« Allez, fais ce qu'il faut, et ensuite j'aurai quelques petites choses à te faire faire, et des courses auxquelles t'emmener… ah et ce soir, il faudra que je te marque... »

Oui, le marquage serait à faire, il le ferait avec la glace, une forme de glace que lui-seul pouvait créer qui s'insinuerait dans la chair pour lui permettre de rester longtemps en place… et soudain, il frapa du poing dans sa paume.

« Ah, et, pendant que j'y pense. Ne pas te donner d'ordre ne t'offre pas quartier libre, tu devras m'attendre comme quand je cuisinais, tout simplement. Sauf si je m'en vais pour longtemps, auquel cas je te préviendrai avant... »

Coralie Scorpio

E.S.P.er

Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 23 jeudi 11 septembre 2014, 23:08:05

Et bien, tu n'as qu'à délacer la ceinture et  ouvrir la braguette pour aller faire ce que l'on te demande. Tu sais, quand je te donne un ordre, fais ce qu'il faut pour l'exécuter. Je ne te dis pas de faire preuve d'initiative permanente, quoique je puisse apprécier le fait que par exemple, une fois que je te ferai plus confiance, te lever avant moi pour faire en sorte que le repas soit prêt quand je me lève, ou, quand je ne suis pas là, faire en sorte que la soupe soit chaude quand je rentre. Ce sera pour plus tard, mais là, dans ton cas, par exemple, là, tout de suite. Il faut que tu comprennes que tu dois faire ce qu'il faut pour exécuter les ordres. Par exemple, si je te dis de changer l'ampoule de ma chambre qui a grillé ce matin. Tu vas chercher un escabeau, non ? Alors là, c'est pareil, tu dois te donner les moyens de ce que je veux que tu fasses...

Cela pouvait sembler paradoxal, mais l'idée de devenir la bonne de ce monstre rassurait un tout petit peu Coralie. Sa gorge ne serait pas forcément malmené tout la journée ou autre chose d'ailleurs. Cela représenterai peut-être dans l'avenir un moyen d'oublier qu'elle est devenu une poupée sexuelle, voir même de pouvoir renouer contact avec l'extérieur. Mais pour le moment, il fallait satisfaire son geôlier afin de ne pas subir d'avantage de blessures et de mettre fait à ce début de jeun imposé. La jeune fille lorgnait toujours du coin de l’œil l'assiette laissé au sol par son récent maître, et même si cela ne suffirait probablement pas à apaiser son estomac, cela lui permettrait au moins de profiter du goût qui semblait alléchant, pas comme le pénis de ce dernier...

Allez, fais ce qu'il faut, et ensuite j'aurai quelques petites choses à te faire faire, et des courses auxquelles t'emmener… ah et ce soir, il faudra que je te marque...

Elle aimerait vraiment pouvoir se mettre des habits ne serait-ce que des sous-vêtements, car être en permanence toute nue la dérange au plus haut point. Même si la jeune fille avait moins de gène à être nue face à son ravisseur, la nature pudique de Coralie l’empêchait de se mouvoir naturellement ou de se comporter correctement. Elle se doutais bien que ce derniers n'allait pas lui donner des vêtements décents mais ce serait toujours mieux que rien. En revanche, l'annonce du marquage glaça le sang de la jeune fille.

Me marquer ? Comme du bétail ? Pensa-t'elle.

Elle allait franchir encore un nouveau cap dans le rabaissement de sa personne. Une fois fait, elle deviendrai officiellement une esclave et rien ne la différencierai de l'animal de compagnie. Inutile de préciser que cette nouvelle ne fit qu'ajouter d'avantage de tristesse à son état d'esprit, mais Coralie avait déjà beaucoup pleuré, aucune larmes ne sorti à cet instant.

Oui monsieur répondit Coralie, la voix de cette dernière ne cachait rien de sa tristesse.

Puis elle s’exécuta. Défaisant la ceinture ainsi que la braguette du pantalon afin de faire sortir le pénis de son tortionnaire qui bandait déjà mou. Nul doute que cette chose ne resterai pas longtemps dans cette état et qu'elle aurait vite fait de faire du mal à la délicate gorge de la jeune fille. Elle percevait le pénis de son geôlier comme un monstre vorace à part entière, sûrement dû au traumatisme de hier soir. Sauf que la bête se nourrissait de sexe et qu'il fallait la nourrir sous peine qu'elle devienne particulièrement violente.
Coralie ferma les yeux seulement une seconde afin de chasser ses images de son esprit et de se focaliser sur sa tâche. Elle commença par user de sa langue tout autours du membre et alla le chatouiller sous les bourses avec cette dernière afin d'éveiller le monstre. Lorsqu'il devînt convenablement dur, la jeune fille fit remonter sa langue le long du pilier de chair jusqu'au gland et le fit disparaître dans sa bouche sans hésitation. Commença alors des sucions sensible de ce dernier, mêlée à un ballet de la langue autour du pénis donnant l'impression que cette dernière dansait comme une ballerine. La manœuvre eut pour effet de générer pas mal de salive qui permit non seulement de donner l'impression que Coralie avait déjà les lèvres humidifié par du liquide séminale, de produire un petit son agréable à l'oreille et surtout, de préparer la gorge de la jeune fille à  l'ingestion de l'imposant membre de son maître. Tout cela bien sûr était effectué avec le brin d'amateurisme et d'hésitation qui la caractérisait, mais le changement était si radical, qu'il en fut méconnaissable. L'expression "la nuit porte conseil" était à prendre au pied de la lettre avec Coralie. En effet, grâce aux rêves procuré par Lust Enigma, la jeune fille pût s’entraîner plusieurs fois à la pratique de la fellation, une dizaine de fois en réalité. Seulement, il n'y avait pas eu de douleur ou de sensation durant son apprentissage onirique car cela aurait pu la réveiller. Après de longues minutes de ce traitement, Coralie estima bon de passer à l'étape suivante. Ses mains rompirent la formation et allèrent se placer sur le canapé afin de conforter son assise, elle pu ainsi relever son postérieur pour offrir une jolie courbe aux yeux de son ravisseur, puis, la jeune fille commença à faire de lents mouvements de va et vient avec sa tête afin d'avaler progressivement le pénis. Lorsque ce dernier fut entièrement dans la gorge de Coralie ne laissant que les bourses à l'air libre, elle prit difficilement sa respiration avec le nez pour essayer de se calmer. La jeune fille fit alors prendre de la vitesse à son mouvement de tête, ce dernier fut rapidement suivi de gémissement, provoqué non pas par du plaisir, mais par la douleur du frottement du membre sur sa gorge. Il est probable qu'un individu lambda n'aurait pas su dire si elle prenait son pied ou si elle étouffait. Coralie n'avait pas remis les élastiques pour faire des couettes mais même si son geôlier décidait de faire le sadique, il y aurait premièrement pas grand chose de plus à faire avaler et en plus, le travail préliminaire effectué avait suffisamment hydraté la gorge avec la salive pour grandement réduire la douleur infligé. Cela resterait douloureux, mais serait supportable. Ayant pris sensiblement confiance en elle, les mains de Coralie quittèrent le canapé pour s'agripper aux fessier de son tortionnaire et permettre ainsi de faire des mouvements plus rapides. Le membre était devenu très dur et palpitait de tel manière qu'il était fort probable que la fellation allait bientôt toucher à sa fin. La jeune fille se prépara alors à recevoir toute la semence de son ravisseur.
« Modifié: jeudi 11 septembre 2014, 23:36:29 par Coralie Scorpio »
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Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 24 mardi 16 septembre 2014, 16:48:52

Le chevalier de l'hiver regardait la jeune femme  alors qu'elle semblait dubitative quant à la manière à employer. Elle avait hésité à lui délacer la ceinture pour aller se servir directement à la source, et d'une certaine manière, il la comprenait. Il n'était pas homme à tolérer la désobéissance et elle avait eu la chance de connaître la douceur de ses punitions – sans rire, il avait bien pire en réserve. Il lui sourit et regarda la jeune femme, finalement, elle sembla se décider à agir comme elle le devait. En effet, il la vit admettre d'une voix triste qu'elle alalit agir et il la regarda retirer la ceinture et libérer du tissu son barreau de chair en devenir…. En effet, pour le moment, sa virilité n'était pas complètement molle, mais pas dressée fièrement pour autant. Elle le deviendrait assurément sous ses assauts balbutiants…

Et il fut surpris de sa prestation. En effet, elle était beaucoup plus assurée qu'elle ne l'aurait du, ou qu'elle ne l'avait été… il la regardait et savourait la douceur de ses mouvements de langue sur sa verge et sur le reste du service trois pièces qui permettait de faire lentement ériger la masculinité que la jeune femme allait devoir avaler… elle n'attendait que le temps qu'il soit suffisamment prêt pour ça et elle commença non sans une hésitation à le prendre en bouche…. Il en soupira de plaisir, restant immobile, la laissant maîtresse de l'action… il regarda la jeune femme s'affairer, comme si il cherchait en elle la trace et la raison de ce changement.

Ses gestes semblaient bien plus assurés et un petit bruit humide au rythme des vas et viens fut bientôt audible. C'était obscène et plaisant à souhait, en effet, il ne pouvait nier u'il appréciait ce bruit qui était,d'une certaine manière, dégradant pour elle. Mais il restait stupéfait par le changement qu'elle  montrait. Si elle était toujours hésitante et amateure… on avait l'ipression qu'elle avait pris une certaine dose d'expérience dans la nuit… car hier soir c'était autre chose…

Il sourit et, alors qu'elle l'enfonçait de plus en plus dans sa bouche, il soupirait et râlait même de contentement devant son action, allant même jusqu'à prendre aussi loin que possible la verge en s'agrippant à son fessier… il savoura la sensation de son étroite gorge chaude alors qu'il tapait contre la glotte à intervalle régulier…. Putain, c'était bon, il commençait à croire que seule la peur l'avait clairement empêchée de montrer l'étendue de son talent, talent qui d'ailleurs l'emmena assez près de la jouissance pour qu'il eut envie de jouir de suite, c'est pour cela qu'il la stoppa… jouir dans sa gorge n'avait aucun intérêt pour la suite… il lui sourit et laissa sa verge dégoulinante de bave et de pré sperme caresser le visage de la jeune femme…

« Bien, tu as fait beaucoup de progrès, dis moi…. Je pense que tu as mérité ton repas... »

Il n'avait pas jouis, mais il gardait cela pour plus tard… ou plutôt, pour dans quelques instants, il avait une idée bien précise en tête. IL lui sourit et prit l'assiette au sol avant de se rendre à la suisine, non sans l'avoir sifflée pour qu'elle reste au pied… enfin, juste derrière lui, et à quatre pattes bien sur… il ne lui jeta pas un regard alors qu'il prenait un sachet dans le frigo et le vidait dans l'assiette sale. Il s'agissait d'un mélange de reste poisson, de viande, de pâtes, bref, du nourrissant. Il posa l'assiette par terre et ouvrit un tiroir pour prendre un autre élastique et lui faire une queue de cheval très serrée. Pour que les cheveux ne mange pas dans le pot pourri.

« Voilà, tu vas pouvoir manger, ma belle, attends juste quelques instants... »

Il se branla au dessus de l'assiette et continua jusqu'à faire choir ur son repas l'intégralité du liquide séminal qu'il put laisser échapper…

« Bonne appétit, ma chérie…. Je t'attends dans le salon, comme une bonne chienne, tu viendra vers moi et tu t'allongeras sur le dos sur la table en verre, s'il te plait, ej compte t'apprendre quelques petites choses de plus avant que l'on sorte... »

Coralie Scorpio

E.S.P.er

Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 25 jeudi 18 septembre 2014, 23:05:18

A la grande surprise de Coralie, son ravisseur mit fin à la fellation avant qu'une inondation de sperme ai lieu. La peur envahi la jeune fille qui se mit à trembler comme une feuille, qu'avait-t'elle fait de mal pour s'attirer la fureur de son maître ? Pourtant, à entendre ce dernier, il avait l'air plutôt satisfait de la prestation. La peur de la baguette, d'une torture sadique encore inconnu ou plus simplement encore, de la douleur que pourrait subir Coralie, la tétanisa. Pour toute réponse, une caresse faite avec le pénis alla se déposer sur la joue de la jeune fille.

Bien, tu as fait beaucoup de progrès, dis moi…. Je pense que tu as mérité ton repas...

Hein ? de... de quoi ? Pas de colère mal placé ? Pas de torture sadique ou de remarque pleine de mauvaise foi ? Il était donc possible de satisfaire ce monstre ? Coralie eu du mal à cacher sa surprise mais ne prononça aucune parole. Préférant rester méfiante en reprenant sa position de d'origine, elle ne se jeta pas sur l’assiette, préférant attendre que son maître agisse le premier. L'homme ramassa la "gamelle" et se dirigea vers la cuisine en sifflant Coralie comme on sifflerai son animal de compagnie pour qu'il vienne manger sa pâté. Elle le suivi, à la fois curieuse et pleine d'espoir puis se remit à genoux derrière lui une fois qu'il eut atteint le frigo. Le geôlier déversa des restes provenant d'autre repas dans l'assiette pour en faire une sorte de tambouille. Ce n'était pas de la grande cuisine, mais la jeune fille s'en contenterai amplement, surtout que son ventre était de moins en moins discret.

Voilà, tu vas pouvoir manger, ma belle, attends juste quelques instants...

Et voilà, c'était trop beau pour être vrai. Mais même si elle n'avais pas vu le coups venir, Coralie ne fut finalement pas surprise par le comportement de son ravisseur. L'homme avait décidé d’assaisonner le repas avec une bonne rasade de semence. Voulait-il que la jeune fille soit imprégné par le goût de son sperme en permanence ? L’assiette ne lui sembla plus aussi attirante qu'il y a encore quelque seconde.

Bonne appétit, ma chérie…. Je t'attends dans le salon, comme je compte t'apprendre quelques petites choses de plus avant que l'on sorte...

Ma belle, ma chérie et même un "s'il te plait"... Y'avait de l'amélioration dans les paroles employé par l'homme. Peut être avait il réellement apprécié la fellation de la jeune fille et que le temps pour l'amadouer serait moins longs qu'elle l'avait prévu. Mais pour ça, il fallait que Coralie poursuive ses efforts et continue à surmonter ses aversions. Elle prit un petit morceau de sa "ratatouille" et le mis dans sa bouche. C'était froid, fade, gluant, et surtout, il avait l'horrible arrière goût de la semence de son tortionnaire dont elle n'arrivait toujours pas à s'habituer. Pour ne pas avoir à trop souffrir de son repas, la jeune fille avala au coups par coups les aliments en les mâchant le moins possible pour ne pas que la forte saveur du plat n'envahisse son palais.

C'est lorsque son estomac fut apaisé, que l'inquiétude avait gagné la jeune fille. C'était toujours la même peur qui l'accompagnait, celle de l'inconnu, de l'incapacité à imaginer quel serait son prochain tourment. Coralie revînt dans le salon et s'approcha de la table en vers la fixant un cour instant. Elle pris appuie sur le rebord et s'allongea doucement et avec délicatesse sur le dos. Le contact du verre froid et de sa peau la fit frissonner et il lui fallut plusieurs seconde avant de s'y habituer. La jeune fille était maintenant allongé sur le dos de la même façon que le serait un patient dans un hôpital. Se rappelant de hier soir, elle se retînt de cacher ses atouts féminins malgré la profonde gène que lui provoquait la situation actuelle. Mais ayant peur que cela ne suffise pas aux yeux se son geôlier, Coralie posa ses pieds sur le rebord de la table et écarta doucement et sensiblement les jambes. Quant à ses mains elles allèrent chercher l'autre côté de la table pour s'y accrocher. La position qu'avait actuellement la jeune fille, faisait que seul ses pieds, ses fesses, ses épaules et sa tête étaient en contact avec la table. Le dos formait une jolie courbe vers le ciel, mettant en valeur sa poitrine. Complètement nue, seule sa fidèle jarretière ornait encore et toujours sa jambe droite, dernier signe distinctif qui l'a démarquait de toutes les autres qui avait pu se retrouver dans la même situation. Elle ferma les yeux et posa sa tête sur le côté comme pour détourner le regard.

C'est bon comme ça monsieur ? Demanda-t'elle avec une voix tremblante qui trahissait sa timidité et sa gène.

Coralie essaya de ne penser à rien mais c'était peine perdu. Tout un tas de chose lui traversa l'esprit, elle se demandais si le moment était venu pour elle de perdre sa virginité ou si ce monstre allait continuer à jouer avec elle. Dans tous les cas, la jeune fille ne put faire que la seule chose qui était encore en son pouvoir : prier pour que ça soit rapide et le moins douloureux possible.
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Slade

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Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 26 mercredi 01 octobre 2014, 11:09:11

Elle s'était grandement améliorée dans le comportement. En effet, elle avait compris que la fermer était aussi bien un droit qu'un devoir, surtout un devoir, même, mais que voulez-vous, c'était ainsi que cela se passait quand les choses se passaient bien. Il fallait qu'il fasse attention à ce qu'elle disait, à ce qu'elle faisait, cherchant la moindre once de rébellion… il n'aurait toléré la moindre trace de rébellion… non, jamais, et il aurait étouffé dans l'œuf une telle chose… plus encore, il l'étoufferait si jamais elle montrait le moindre signe de velléité…

Mais elle n'en montrait pas… jamais, elle se contenta de manger sagement, gloutonnant plus que mangeant, d'ailleurs, alors qu'il la regardait, il envisagea de lui conseiller de davantage manger si elle ne voulait pas être malade, mais il ne dit jamais rien… il se contenta d'attendre qu'elle vienne s'allonger sur la table basse glacée. IL sourit en voyant la jeune femme frissonner et il devina à la tension de ses bras qu'elle se forçait à garder les bras le long du corps et les cuisses un poil écarté… assez pour que, sous le bon angle, on ait une vue imprenable sur son intimité. Cambrée ainsi sur la table, elle attendit.

Et Slade aussi attendit. Il attendit plusieurs minutes à la regardé, amusé… il finit néanmoins par la rejoindre et s'agenouiller à ses côtés pour coudement lui flatter le ventre, au niveau du nombril… il lui sourit et, doucement, il lui saisit le menton pour lui faire pivoter la tête vers lui et lui scruta le regard, comme s'il y cherchait une jolie petite flamme à éteindre...

Il passa sa main sur sa poitrine et malmena le téton, mais avec plus de douceur que la dernière fois avant de lui appuyer sur le sternum, pour la forcer à faire reposer le dos de la jeune esclave sur la table… avec douceur, il la saisit par les poignets et la déplaça de sorte que la tête de celle-ci soit dans le vide. Une manière pour lui de l'empêcher de voir ce qu'il ferait. Il lui sourit et saisit un petit couteau.

Lentement, il insista autour de son mamelon droit en formant un S stylisé. Il  y allait lentement et avec précision. Sans doute aurait-il pu l’anesthésier… mais il ne le fit pas, il la laissa gémir de douleur, hurler même si elle en éprouvait le besoin alors que la jolie courbe du S effleurait son auréole rose, tournant autour comme un serpent et ensuite, il se saisit d'une petite bourse en cuir et saupoudra la plaie d'une légère poudre bleutée… elle piquait un peu, brûlait aussi, mais elle n'était pas vraiment nocive. Pas du tout, même…

Il souffla dessus et les bords de la légère incision qui ne faisait qu'une petite surface devint bleuté, et doucement, lentement, et dans une belle douleur, la plaie se remplit de cette couleur bleue en se refermant. Il ne restait plus de cette opération qu'une jolie ligne bleutée qui ressemblait à de petits flocons qui semblaient danser autour du S qui lui ornait désormais le sein…

« Et voilà, c'est fait… bon, maintenant, il va falloir t'habiller avant que l'on aille te trouver des vêtements plus adéquats... »

Il regarda la jeune femme avant de s'éloigner pour rejoindre une armoire. IL sortit de cette armoire un mini short et un t-shirt trop grand. Il y avait une paire de sandalettes aussi. Cela conviendrait très bien… pas de sous vêtements en perpectives…

« Voilà, habille-toi et si tu veux te nettoyer la frimousse fait mle, on part dans un quart d'heure... »

Coralie Scorpio

E.S.P.er

Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 27 jeudi 02 octobre 2014, 13:41:27

Mais qu'est-ce qu'il pouvait attendre comme ça ? Ceci n'était encore, sûrement, qu'une façon tordu de se délecter de la gène de Coralie. Le temps commença à lui paraître plutôt long et éprouvant psychologiquement. Son tortionnaire mis fin à cet instant pesant et se rapprocha de sa captive. Son comportement n'étais plus celui d'une bête sauvage et tyrannique, mais il agissait d'avantage avec douceur et calme. Le geôlier plongea son regard dans celui de la jeune fille qui était suppliant au possible. Elle ne vit dans les yeux de son agresseur qu'un immense désert de glace de sentiment, comme s'il n'était rien de plus qu'une machine. Le tortionnaire repositionna Coralie sur la table et sortie un couteau. A cette instant, ce n'était plus de la peur mais une véritable terreur qu'éprouva la jeune fille. Tous les muscles de son corps se contractèrent et elle ne pût, malgré tout ses efforts, réprimé quelque gémissement de frayeur.
L'homme démarra alors une opération avec son couteau sur le sein de sa captive. Elle ne savait pas ce qu'il était entrain de faire mais ça faisait le picotement produit par la lame sur cet endroit si sensible provoquait une vive douleur. Coralie, bougeait la tête dans tout les sens tentant par tous les moyens de garder la pose, pour ne pas faire dérapé la lame de son tortionnaire. Elle respirait fortement et gémissait lorsque la douleur était un peu trop forte. On était cependant encore loin de ce qu'elle avait subis hier soir qui restera un profond traumatisme pour la jeune fille, elle endura donc l'opération jusqu'à la fin sans vaciller.

Et voilà, c'est fait… bon, maintenant, il va falloir t'habiller avant que l'on aille te trouver des vêtements plus adéquats... Dit-il l'air satisfait.

Se remettant de son supplice, Coralie put remarquer la présence d'une marque brillante sur son sein, un peu comme si un piercing brillant lui avait été mit. C'était donc ça le marquage ? Le motif était plutôt jolie mais c'était une bien maigre consolation car elle venait de dire au revoir aux peu de liberté et d'humanité qu'il lui restait. C'était maintenant officiel, la jeune fille était devenu une esclave, un objet dont son maître aller pouvoir se servir comme bon lui semblait, elle ne put réprimer quelques larmes à cet instant.

Voilà, habille-toi et si tu veux te nettoyer la frimousse fait le, on part dans un quart d'heure...

En revanche, la jeune fille éprouva de la joie pour la première fois depuis sa captivité, l'homme lui donna des vêtements pour sortir. Cela pouvait semblait anodin, mais après tout ce qu'elle avait subis, c'était devenu une sorte de luxe pour la captive. Elle les enfila sans aucune hésitation. Son visage arbora une tout petit sourire aux milieux des larmes, signe du tout premier sentiment de satisfaction depuis environ 24 heure. Coralie alla se nettoyer le visage et arranger ses cheveux avec les maigres moyens qu'elle possédait, c'était plus du bricolage qu'autre chose mais c'était mieux que rien.
Voilà, la jeune fille était prête pour sa sortie, il ne lui avait largement pas fallu un quart d'heure pour se préparer, elle se demandait qu'elle genre de vêtement elle allait devoir porter. Mais elle avait surtout un espoir, celui de peut-être croiser quelqu'un qui pourrait l'aider à ce sortir de cette horrible situation.
Les flaques de sang miroitent joliment,
Les cris d'agonie résonnent harmonieusement,
Buvons à la coupe des peurs et des souffrances,
Pour étancher la soif dans nos cœurs.

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Slade

Créature

Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 28 lundi 10 novembre 2014, 22:26:30

Son stoïcisme faisait plaisir à voir. IL se doutait bien que cela devait être particulièrement douloureux. Mais il aurait pu faire bien pire, alors pourquoi se plaindre ? Il la félicita d'une petite tape sur la tête… d'un autre côté, si elle avait trop bougé, elle en aurait perdu le mamelon… oui, à ce point là, il l'avait charcutée sans réellement faire dans la dentelle… certes, elle avait bougé la tête, mais elle n'avait pas

Il lui sourit alors qu'elle se préparait. Qu'elle se prépare, car elle n'apprécierait as forcément que qu'elle verrait sur le chemin. En effet, il n'allait pas lui offrir des vêtements de luxe, bien au contraire, il allait lui offrir de magnifiques vêtements, il lui offrirait ce dont elle allait besoin  et accessoirement ce qu'il voudrait bien qu'elle porte. IL regarda la jeune femme et opina du chef avant de finalement réfléchir un instant...

« Hum… il manque quelque chose... »

Il ne savait pas exactement quoi, mais il allait trouver rapidement… et finalement la simplicité de la situation se révéla à ses yeux. Mais oui, bien sur !  Il savait très bien qu'il y avait quelque chose qui manquait !  Et désormais, il savait quoi ! Il eut un léger sourire avant de finalement s'approcher d'elle  et lui caresser la joue avec une très grande douceur. Ça attendrait.

« Je préfère t'avertir. Si jamais tu tente quoique ce soit, je te jure que je te ferai regretter le fait que tu ne sois pas un simple sac à foutre… tu m'as compris ? Officiellement, de hors, je suis ton mec, un mec dont tu refuse de t'éloigner… nous sommes d'accord ? »

Il la lâcha et l'enlaça, posant sa main sur son fessier avant de finalement lui sourire et  de lui mettre une petite fessée, pas violente, sur le derrière, davantage une petite tape en réalité. Il lui sourit et l’entraîna vers la porte. IL saisit son porte-feuille et ses clés. IL la poussa un peu devant lui et ferma la porte à clé. Puis, la tenant contre lui à nouveau, il lui susurra.

« Et bien c'est parti ! »

Il lui sourit et l’entraîna vers un premier magasin, il s'agissait d'une magasin de vêtemnt bas de gamme. Et là, il la lâcha pour lui dire, finalement.

« Allez, montre moi ce que tu achèterai et je te donnerai mon accord ou pas. Tu as besoin d'un manteau, de sous-vêtements, de deux pantalons et de deux ou trois hauts… de toute manière, c'est surtout pour sortir… quand tu auras le droit de sortir bien sur… ensuite nous irons acheter un peu d'alimentation, et quelques jouets et accessoires pour toi... »

Il sourit et lui mit une nouvelle tape sur le fessier.

« Allez ! »

Coralie Scorpio

E.S.P.er

Re : Le début d'une aventure, c'est jamais le panard...[Pv]

Réponse 29 mardi 11 novembre 2014, 01:10:49

Je préfère t'avertir. Si jamais tu tente quoique ce soit, je te jure que je te ferai regretter le fait que tu ne sois pas un simple sac à foutre… tu m'as compris ? Officiellement, de hors, je suis ton mec, un mec dont tu refuse de t'éloigner… nous sommes d'accord ?

Coralie ne ferait rien qui puisse mettre sa vie en jeu, elle s'en était fait la promesse. Mais heureusement pour elle, son geôlier ne pouvais pas lire dans ses pensées. D'une certaine manière, les rôles venaient de s'inverser, c'était elle qui devait surveiller le tortionnaire maintenant. Il fallait que durant cette sortie, elle recueille un maximum d'information possible sur son environnement et que la jeune fille garde un œil sur le monstre pour éviter qu'il ne s'en prennent à des innocents. L'idée de devoir jouer la petite copine n'était pas du goût de Coralie, qui aurait préférer vivre ce genre d'expérience avec une personne qui compte vraiment à ces yeux. Mais au moins, elle n'était plus obligé de faire des choses qui lui donne envie de vomir. La jeune fille avait encore le goût de la semence dans la bouche dont elle n'avait pas réussi à ce défaire, cela lui donner l'impression qu'elle empestait l'odeur de son tortionnaire. Le contact de la main de ce dernier sur ces fesses ne fit que la crisper d'avantage mais elle tenta de faire avec.

Lors des premiers pas à l'extérieur, Coralie respecta les ordres de son nouveau maître et resta coller auprès de lui durant tout le trajet. Elle profita de l'occasion pour bien identifier les lieux, c'était un quartier qu'elle connaissait car elle l'avait déjà traversé sans jamais s'y attarder. Quasiment tout le monde sait à quel point il est dangereux mais de très nombreuse personne prennent tous les jours le risque d'y passé car c'est l'un des chemins les plus cours pour traverser la ville. Il n'y   avait pratiquement aucune chance qu'elle croise l'une de ses amies et d'une certaine manière cela l'a rassurait. En tout cas, grâce à la fierté de son geôlier, Coralie savait désormais où elle était retenu captive. A croire que le petit manège de hier soir n'avait servi qu'à l'humilier.
Le couple finirent par pénétrer dans une première enseigne qui faisait dans la braderie. La jeune fille n'était encore jamais rentré dans cette boutique mais il y plainait une atmosphère sensiblement lugubre.

Allez, montre moi ce que tu achèterai et je te donnerai mon accord ou pas. Tu as besoin d'un manteau, de sous-vêtements, de deux pantalons et de deux ou trois hauts… de toute manière, c'est surtout pour sortir… quand tu auras le droit de sortir bien sur… ensuite nous irons acheter un peu d'alimentation, et quelques jouets et accessoires pour toi...

A chaque tape qu'elle recevait sur ces fesses, Coralie était d'avantage gêné, elle ne parvenait pas à s'y habituer et le fait que cela soit en public n'arrangeait rien. Elle commença à vadrouiller dans les rayons du magasin mais ne perdit pas de vue son objectif : analyser son environnement. Pas une seule fenêtre à l'horizon, il n'y avait qu'un éclairage artificiel. On pouvait distinguer une porte à double battant au fond des rayons qui devait menait à l'arrière boutique mais situé dans un endroit trop dégagé pour s'y rendre discrètement. La jeune fille s’arrêta devant un bac dans lequel s'entassaient des pantalons de piètre qualité, certain semblait même avoir été déchiré puis recousu vite fait. Une idée sordide lui vînt à l'esprit, c'était qu'une bonne parti des vêtements de ce magasin provenait peut-être de fille comme elle, enlevé par des psychopathe, et désireux de se débarrasser du "superflu".
Dans un soucis de ne pas faire perdre patience à ton "compagnon" imposé, Coralie traversa les rayons et pris diverse vêtements en ce souciant uniquement de la taille. Ces derniers étaient relativement classique : pantalon en tissu, jean, chemise apprêté, t-shirt. Tout cela sans fioriture, ce qui lui donnerait un air parfaitement anodin, idéal pour les rares sorties qu'elle aurait l'occasion de faire. En revanche, elle ne put s’empêcher de perdre une petite minute dans le rayon sous-vêtement, pas par coquetterie, mais simplement parce qu'elle avait toujours eu un faible pour la lingerie. La jeune fille portait de tout habituellement, mais toujours simple, dans dentelles ou broderie, elle n'en avait jamais eu le courage. Bien évidemment, elle se doutait qu'avec son dégénéré de tortionnaire, Coralie serait amené à porter des choses qui défie toute la bien séance, et qui l'a rabaisserai à ce qu'elle est devenu "un simple sac à foutre" pour reprendre les termes de son geôliers. Finalement, fidèle à ses habitudes, elle pris de tout : culotte, caleçon, shorty, tanga, string. Seul point commun à tout ça, la couleur, noir ou dans des teintes bordeaux. La jeune fille ramena ses trouvailles auprès de son geôlier pour inspection.

Est-ce que mes choix sont à votre goût monsieur ? Demanda-t'elle humblement.
Les flaques de sang miroitent joliment,
Les cris d'agonie résonnent harmonieusement,
Buvons à la coupe des peurs et des souffrances,
Pour étancher la soif dans nos cœurs.

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