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Techniques For Salvation [Nin]

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Stephen Connor

Invité

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Techniques For Salvation [Nin]

vendredi 30 mai 2014, 23:09:20

Stephen s’était retrouvé dans une auberge relativement miteuse, à la frontière d’Ashnard. Quelles en étaient les raisons ? Quelques affaires à régler dans la capitale, et l’envie de pouvoir s’arrêter un peu sur le chemin. Il était préférable d’éviter de recourir à la magie ces temps-ci, et le Grand Duc des Enfers s’était donc résigné à emprunter son plus vaillant destrier. Mais le cheval avait aussi droit à une pause, et donc son maître avait-il jugé bon de prendre un arrêt.

L’auberge était nommée d’après les bois proches. « Dans l’auberge des Bois aux Loups ». Voilà un titre qui semblait tout droit sorti d’un conte, comme il était naturellement coutume sur Terra. La bâtisse était en tous cas d’assez bonne taille. Une odeur peu agréable montait depuis les cuisines, et le sol n’était pas réellement propre.

Cela dit, le beau diable ne demandait rien de plus qu’un lit confortable et un repas chaud, dont les saveurs trop faisandées seraient masquées par une bière trop fermentée. Pour ce qui était des deux derniers éléments sur la liste, le noble était relativement satisfait. La bière couvrait parfaitement l’odeur infecte du sanglier cuit, qui avait probablement été très mal conservé.

Quant à la chambre, Stephen aurait bien l’occasion d’en vérifier l’état, lorsqu’il monterait dans sa pièce, après avoir terminé son infâme repas. Vidant la moitié de sa large pinte d’une traite, le monstre engloutit son diner, prêt à se rendre jusque dans la salle qu’il avait réservé. Pour le prix à payer, le beau diable n’attendait pas grand-chose de fabuleux.

« Surprenant. » Ne put s’empêcher de marmonner le démon, haussant un sourcil.

Si la pièce n’avait rien de royal, elle restait bien mieux entretenue que le reste de l’auberge. Le Duc observa longuement les lieux. Il n’avait pas réellement sommeil, mais dormir était la meilleure chose à faire pour le moment. Alors, le noble s’allongea sur son lit, sans se déshabiller ou même se glisser sous les draps.

Les yeux de Stephen se fermèrent lentement, et il se laissa entraîner dans le sommeil du démon. Des rêves qui n’en étaient pas. Durant ces phases cauchemardesques, la conscience du monstre était renvoyée aux Enfers, où il prenait le temps de gérer les affaires de son domaine. Car même dans le monde des morts, le beau diable était maître d’un gigantesque domaine qu’il lui fallait diriger.

Finalement, alors qu’arrivait la sixième heure de la matinée, les yeux du démon se rouvrirent. Il était temps pour lui de se remettre en chemin. Ashnard n’était plus qu’à quelques heures de route, et le beau diable commençait à s’impatienter. Il lui fallait passer par les fameux Bois aux Loups. Stephen ignorait si ce titre était justifié, mais il n’avait nulle crainte à l’idée d’éprouver ce nom.

« En avant. » Murmura le noble en s’enfonçant dans les profondeurs de la forêt.

Il y faisait étrangement sombre. Et la senteur des fleurs était assez puissante pour couvrir l’odorat du beau diable, dont les inspirations franches ne parvenaient pas à déceler d’odeur intruse. Ces bois avaient réellement tout des forêts hantées de contes. Peut-être un Grand Méchant Loup surgirait-il d’entre les buissons, pour ce qu’en savait le démon. Mais il n’avait aucune crainte. Peut-être même cela serait-il divertissant.

Pourtant, au fur et à mesure que Stephen suivait les sentiers du bois, il voyait la lumière se faire plus maigre, ses rayons devenant de délicats filins. Les lieux n’étaient pas sombre, mais la chaleureuse lueur du soleil n’éclairait clairement plus aussi fort qu’auparavant. Comme si un étau se resserrait autour de lui. Le démon ressentait cette étrange atmosphère. Mais il ne connaissait pas la crainte. Il avançait toujours, bercé par les pas lents de son destrier d’ébène.

Nin Anaïs

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Now, I am The Hunter [Nin + Connor]

Réponse 1 samedi 31 janvier 2015, 05:40:21

Il faisait étrangement froid. Son regard balayait tristement le sol devant elle. La toile de sa tente. Les objets troqués. Les vivres. Tout le matériel, durement gagné, s’étalait pauvrement à ses pieds. Elle fouilla, tira sur la toile durcie et lourde. Affaiblie de découragement et de déception, sa colère animait sa recherche, de plus en plus certaine qu’il manquait des choses. Les petites perles blanches qu’elle avait repêchées dans la rivière manquaient. Plusieurs bijoux et armes étaient introuvables. Sa rage retentit dans toute la baie. Elle qui se surmenait à vivre dans cette forêt, subissait les vols des clandestins qui croissaient son logis. Elle avait mainte fois offert son aide à plusieurs d’entre eux, en leur offrant un lit pour la nuit. Sans rien demander en retour. Mais Anaïs  recevait là les retours de sa bienveillance et de son imprudence…

Quand les grognements et lamentation la vidèrent de son désarroi, ils cessèrent peu à peu. Il fallait remonter la tente. La nuit tombait. Le froid la gagnait. Mais dans le silence, Anaïs priait. Au tréfonds de son être, de son esprit, elle réclamait l’aide. La force qui défendra son territoire.

Le velouté de son regard monta instinctivement vers  la lune, pleine et haute. Anaïs s’aperçut qu’un grand réconfort remplissait sa poitrine, en signe de réponse à ses prières. Une douce chaleur, qui s’amplifia à chaque inspiration, enveloppa son épiderme. Le froid disparu. Sous ses mains, elle sentit la moiteur du sol. Son odorat. Son ouïe. Ses sens étaient en total éveil. Un vent doux caressait le pelage de bronze qui formait à présent sa peau. Dans la découverte de ses pouvoirs, elle avait pleinement consciente de ce qui naissait en elle.




Now, I am The Hunter.


Les plus valeureux, ou simplement ignorants, continuaient à emprunter cette vielle forêt. Le bruit courait pourtant qu’il valait mieux se méfier de ces bois. Infranchissable, si l’on se fit aux rumeurs. Les sentiers devenaient de plus en plus houleux. La lumière, de plus en plus faible. Dû à la végétation ample et vaste. Aucune âme ne semblait y vivre. En dehors des bêtes. Le bruit courait également que ces derniers dominaient le terrain.

Le bruissement ambiant se rehaussa du claquement régulier du pas de cheval qui s’enfonçait aveuglement vers les abysses du Bois des Loups. Et pour l’instant, seul la noirceur des lieux daignait l’irréfutable évidence qu’une atmosphère étrange s’y dégageait. Lourde, chargée de senteur florale, mêlé à l’odeur de sous-bois, elle s’opprimait. L’air devenait frais. La végétation garnissait le sol, à travers les filins de lumière qui constituait l’unique éclairage des lieux. C’était là, la nature sauvage dans toute sa splendeur. Mais lorsque sauvage est évoquée, les bêtes s’y raccordent naturellement. Dont celui qui prenait en chasse l’aventureux sur sa monture.

Il ne se doute de rien.

Pour l’instant. Elle suivait. Traquait gracieusement. Sa silhouette franchissait brièvement l’espace de deux arbres, restant dans la pénombre des Bois. Son royaume. Fascinante bête. Habile. Maîtresse de chaque avancé vers sa proie qu’elle cultivait. Laissant l’écho de ses pas frotter les feuilles mortes. Derrière lui. Puis plus loin vers la droite. Furtive jusqu’au prochain soupçon de sa présence.

L’homme se doutait-il de sa mise en chasse ? Percevait-il la forme gracile et couverte de pelage disparaître derrière les arbres, pour ensuite revenir ? Se doutait-il que son voyage s’arrêterait ici et dans un instant imminent ? Quoiqu’il en soit, la bête rusée ne laisse jamais sa proie agir. Elle savait quand  le doute le gagnait. Un grognement singulier retentit au pied du cheval qui s’affola immédiatement. Pattes d’avant levé face à la bête qui menaçait de le broyer par sa mâchoire. La réaction défensive de l’étalon fit vite renverser son maître hors de la monture avant de fuir à vif allure vers les profondeurs de la forêt…

La bête en cause s’avérait être un loup. Plutôt massif. Le regard pénétrant. Les canines découvertes et la position du corps indiquèrent malheureusement de l’hostilité face à l’homme. Un long grognement s’émettait même de sa gorge. Immobile et prête à l’attaque… Mais le loup s’éloigna subitement en bondissant et disparue derrière une bute. Sachant pertinemment qu’elle laissait sa proie en questionnement, seul un jappement retentit, comme s’il l’avisait de fuir. De s’en aller.
« Modifié: mardi 10 mars 2015, 12:43:54 par Nin Anaïs »

Nin Anaïs

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Re : Techniques For Salvation [Nin]

Réponse 2 dimanche 08 mars 2015, 04:51:34

Courageux et aveugle décrivaient bien cet homme dans son esprit. La bête jaugea l’aventureux depuis le rocher assoupi dans l’ombre. Le faible éclairage créait des vaisseaux de lumière, rendant la vue d’ensemble difficile. L’air chargé par la flore amoindrissait le repérage et à moins qu’on ne sache flairer l’animal, la louve dominait le terrain. Elle se ficha derrière le rocher. Furtive. Patiente. Étonnée. La plupart des hommes se contentait de fuir. Mais lui. Il s’enfonçait tête première dans sa demeure. Le silence se fendit dans un bruissement de feuille provoqué par la louve. Elle se faufilait à travers les arbustes, laissant les preuves hasardé de son passage. Les craquements, ici et là, s’éloignaient sans équivoque du sentier. La bête traîna ainsi, plusieurs minutes, traçant un chemin laborieux à l’homme qui la poursuivait.  

La louve atteignit enfin la partie la plus assombri de la forêt. Elle contenait des arbres immenses coupable de la presque noirceur des lieux. Mais en laissant la vue s’habituer, on peut y distinguer un sol couvert d’une mousse verdâtre, recouvrant en partie la base des arbres. L’humidité fraîche emplissait les lieux. Le son du vent caressant la cime des arbres se fondait à celui d’un ruisseau. Dans l’ambiance sauvage et vierge, les mouvements gracieux et habiles de la louve ralentissaient pour stopper derrière un arbre.  

Prétends-tu être le chasseur ou le chassé ? La voix tinta aisément autour d’eux, indiquant vaguement sa provenance.  
  
Bien qu’elle dévoile davantage, la voix douce, enclin à l’ardeur révélait le sexe et le pouvoir que recelait la bête. D’ailleurs, la louve déferla volontairement vers lui un flot de sentiment intime et humain. La gaieté, le doute, l’envie de jouer se propageaient en lui telle une brise, muant en une chaleur pénétrante. Chevauché ensuite par les sentiments les plus basiques, l’appétit et l’insécurité.

En ces lieux, je domine… Tu ne peux donc qu’être la proie.

Elle s’était déplacé, formant un cercle invisible autour de l’homme, esquissé par ses pas silencieux et rapide. Le manège dura, évoluant en jeu  où la louve lapa sans cesse l’aventureux de ses sentiments.  Le jeu allait si vite qu’on ne saurait dire si la silhouette gracile et délicate était celle d’une bête ou d’une femme…
« Modifié: dimanche 08 mars 2015, 20:03:02 par Nin Anaïs »

Nin Anaïs

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Re : Techniques For Salvation [Nin]

Réponse 3 samedi 02 mai 2015, 18:52:34

Anaïs pressentait toutes émotions dégagées par l’homme. La colère, l’étouffement, il empestait l’orgueil. Faiblesse qu’elle su utiliser à son en contre. Faiblesse abruti. Habitée par tant d’homme pour les pourrir de supériorité.

« Vas-y. » Siffla la jeune louve, rampant doucement. Inaffectée par ses paroles offensives. « Fais l’ignorant. »

Elle ne devait en aucun cas le laisser s’éloigner. Son jeu finissait là et elle bondit vers lui. Avant de le laisser se retourner, elle apparût juste devant lui et le poussa jusqu’à un arbre. Son corps contre le sien, le tranchant d’une lame menaçait la peau fine de son cou. Son coutelas. Bien qu’une expression délicate traversait le visage de la jeune native, son regard velouté traduisait la dissuasion et la menace. Il s’attardait également sur chaque ligne de cette figure, détaillant l’homme joliment. Lèvres charnues. Visage enclin à une virilité démesurée. Yeux perçant et sombre, mais qui remuait une partie intime de son propre corps… Son souffle chaud et humide était sur ses lèvres. Ils se touchaient presque. Un long silence s’étendait pendant qu’elle le toisait.

« Me voilà… »

Elle en profita. Elle fouilla au tréfonds de lui, réalisant qu’il dissimulait des sentiments inconnus de son monde. À la fois obscure et indescriptible qu’elle éprouva le besoin de s’en défaire, revenant à ses sentiments. La défiance devait se propagé en lui tel une légère convulsion. Des vagues s’enchaînaient, convertissant des émotions les plus froides en une chaleur réconfortante. De même force que son corps frêle qui se pressait davantage à la puissance brute de l’homme. Elle cherchait à l’attendrir…

« Nos mœurs doivent être différents. Mais comprend que je défendais mon territoire. »

Jamais elle ne s’était justifier auparavant. Par sa magie, elle lui fit comprendre qu’il était le premier à recevoir autant d’indulgence. Qu’elle était l’unique être-vivant habitant ces lieux. Qu’elle se serait contentée de le blesser et le laisser fuir. Mais la curiosité les avaient aboutit à ça… Du moins, elle osa le croire.

« Cette route que tu as emprunté… Elle ne m’a apporté que des problèmes. »

Les vols, les bris, le désespoir. Tous se jetèrent en lui, tel une vague qui léchait le sable pour doucement repartir. Elle avait baissé les yeux quelques instants, une lueur de tristesse les brouillant. Lorsqu’il revint vers le sien, elle l’obligea à tourner la tête et rapprocha intimement sa bouche de son oreille.

« Maintenant… Je vais baisser le couteau. Mais avant… Prête-moi un vêtement. »

Qu’il l’ait déjà remarqué ou non, l’homme avait contre lui le corps totalement nu de la native. Sa poitrine était pleinement écrasée contre son torse et ses hanches frôlaient les doigts virils.
« Modifié: samedi 02 mai 2015, 19:19:20 par Nin Anaïs »

Nin Anaïs

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Re : Techniques For Salvation [Nin]

Réponse 4 dimanche 03 mai 2015, 01:14:21

Anaïs devina qu’elle avait contre son corps un être possédant des pouvoirs qui lui échappaient, autant que les siens échappaient à lui. Il était le mystère, hors des horizons de sa compréhension. Mais pourtant, elle se connectait à lui d’une manière aisée, dangereusement facile… Son esprit le fouillait encore, jusqu’à atteindre une profondeur critique non seulement pour l’homme, mais pour Nin également. Il se déroba de ses liens émotionnels pour l’enrober des siens. Brûlant, envoûtant et charnel. Ses seins sentirent le contact chaud d’une peau nue et robuste sous lequel les muscles turgescente se contractaient délicieusement. L’appel d’un désir virulent résonnait à présent de l’homme, réclamant sa chair…

Elle imagina à cette instant l’étendu des pouvoirs qu’il pouvait posséder. Aussi puissante que les siennes et elle était à sa merci…

 Les vêtements en lambeaux  au sol, il ne restait plus que le pantalon de l’homme. Il défit la ceinture et un frisson la parcourut lorsqu’il frôla son bas-ventre. Ses lèvres s’entrouvrirent subitement, saisies par deux grandes mains fermes. Elles dévalaient son dos aboutissant à la rondeur de ses fesses. L’homme la prit fermement contre elle, agrippant sa chair, possessif. Mais sa voix rauque lui susurra les mots doux et chaleureux d’un désir de bienveillance. Le visage d’Anaïs était resté près de lui, attiré par ce souffle ardent et lourd. Elle abandonna larme et ramena les paumes douces et bienfaitrices contre le torse musculeux de l’être et lui souffla :

« Alors, couvre-moi… »

Nin sentit le sexe sur son bas-ventre prendre de l’ampleur. Mais le regard de l’homme traduisait bien l’état de son désir et son esprit réclamait à celui d’Anaïs toute forme de plaisir, dans des manières aussi bouleversante qu’étonnante. D’une certaine manière, elle semblait lire et goûter le désir de cet être, tel un livre ou un fruit mûr. Anaïs savait qu’elle n’avait qu’à exécuter l’une d’elle pour le combler… Mais une en particulier enflammait son désir. Ses mains délicates remontèrent vers le cou de son invité, frôlant leurs lèvres ensemble. Le mélange de leur souffle la fit trembler qu’elle ferma les yeux en collant son front au sien.

« Mhhh… » 

Anaïs avait rarement goûté de lèvres, mais celles de Connor incarnait la saveur et la texture qu’elle n’aurait jamais su aimer. Elle l’embrassa, tenant son cou, le bout de ses doigts dans la chevelure de sa nuque. Elle attrapa ses lèvres à tour de rôle pour les laper fiévreusement, le souffle court, introduisant la langue avec lenteur. Anaïs lâcha toute sa fougue sur sa bouche, savourant la moiteur ardente jusqu’à être grisé d’excitation… Elle stoppa, à bout de souffle, sans le lâcher.

Plus bas, son bas-ventre vibrait au moindre frottement, au moindre souffle. Comme elle avait rarement eu d’amant, son corps jouissait d’une grande sensibilité. Mais Anaïs incarnait également l’innocence. Heureusement que sa curiosité l’amenait à commettre au lieu de se priver…

Elle glissa une main entre eux, dévalant son torse, son ventre et atteignit le sommet du sexe qui pointait vers le haut. Ses doigts prirent vite en compte de la grosseur, puis de la forme. Connor possédait un mât de chair d’une taille considérable qu’Anaïs prit crainte. Mais furetant toujours l’esprit de l’autre, il lui promettait que des sensations vertigineuse lorsqu’il empalera sa chair… Elle tassa le pantalon, entamant un mouvement de va et vient. Ses doigts effectuaient de longs et lents allers retour autour du marbre qu’érigeait son sexe. Pendant ce temps, son regard s’était plongé dans le sien, enfiévré.

De son autre main, elle prit celle de l’être pour le ramener entre ses cuisses. Du revers de ses doigts, elle lui fit sentir la fine toison de son pubis. Mis à part celui-ci, ses lèvres étaient dépourvues de poil. Elle se caressa ainsi quelques instants, avant d’entrelacé les doigts de son amant, dont l’index était à présent recouverte de sa mouille. Sans dire un mot, elle lui faisait part de l’état actuel de son corps et de l’abondance de son excitation… 


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