Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Conduire en état d'ébriété, c'est mauvais pour le permis [Nathan Joyce]

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Nathan Joyce

E.S.P.er

Elle lui demanda s’il avait une idée, s’il avait un plan pour le reste de leur soirée. Le courageux protecteur de la veuve et de l’orphelin, pourfendeur du crime organisé, et accessoirement butineur professionnel des trous féminins, devait cependant cette fois botter en touche. Un plan, lui ? Sérieusement ! Ce n’était pas le genre de la maison d’avoir des idéers, ni même un quelconque « programme »… Mais ça, il ne pouvait pas vraiment le dire. Il expérimentait de nouvelles choses, des choses qui avaient toujours étonné la Bête grondant en lui. Le symbiote avait ce mode de raisonnement primaire, mais, la créature, malgré toute sa sauvagerie et sa brutalité préhistorique, n’en restait pas moins une créature curieuse et intriguée. Une créature qui commençait peu à peu à saisir la raison d’être des paradoxes, à comprendre que, si les êtres humains voyaient tant le sexe comme un tabou, ce n’était pas que par pur plaisir masochiste, mais aussi parce que, derrière cet interdit, le sexe n’en devenait qu’un plaisir plus intense. Toute la psyché de ce monstre reposait autour de l’idée du plaisir sexuel. Il n’était rien de plus qu’un violeur galactique qui ne cherchait qu’à faire des coïts pour se reproduire, le tout en disposant d’une force surnaturelle… Mais il y avait, en lui, un certain intellect, une parcelle d’intelligence qui brûlait dans le fond de son organisme, une parcelle qui faisait qu’il pouvait comprendre et accepter certaines choses.

Catalina s’étirait devant lui, tirant sur tous ses membres, et il se pencha vers elle, vers ce corps parfait, et l’embrassa sur les lèvres, ses mains glissant le long de ses hanches.

« Quelques-unes, oui… » lui répondit-il après ce bref baiser.

Il se redressa un peu, puis, à grand-peine, détacha son regard du corps envoûtant de la femme. Ils étaient dans sa chambre, et il s’approcha d’une armoire, réussissant, sans trop savoir comment, à s’arracher de son lit.

« Pour commencer… Je vais aller chercher des indices. »

Il ouvrit un tiroir, et trouva rapidement ce qu’il cherchait. Faute de cordes, il allait devoir improviser, et s’empara d’une paire de bas. Des vêtements élégants, toujours magnifiques à voir pour une femme. Il les observa un peu, puis retourna vers le lit.

« Faute de menottes, et comme tu es un suspect vraiment très dangereux, Cata’, je crois que ça fera l’affaire. »

Le plus dangereux de tous les suspects, même, celle qui vous corrompait et vous faisait croire qu’elle était l’innocence incarnée. Nathan n’était pas dupe, et retourna sur le lit, puis entreprit d’attacher les poignets de Catalina au rebord du lit avec les bas. Honnêtement, il ignorait si elle allait apprécier ça. C’était des plaisirs assez déviants, mais Nathan n’y était pas insensible. Il savait que le sexe était avant tout une question sensorielle, reposant autour du toucher. Il suivait ces théories selon lesquelles, en privant une personne de l’usage de certaines sensations, on en amplifiait d’autres. Il attacha ses poignets, puis l’embrassa à nouveau, un peu plus longuement, langoureusement, enfonçant volontiers sa langue dans sa bouche, soupirant de plaisir. Ce contact était magnifique, cette femme était délicieuse, et les idées, si elles étaient là, se perdaient dans tous les sens, formant comme un immense bouquet.

Tout en l’embrassant, il caressa les hanches de la femme avec l’une de ses mains, remontant pour empoigner son sein, s’agrippant dessus, son pouce heurtant son téton, caressant cette partie de son corps. Il rompit ensuite son baiser, soupirant contre les lèvres de la femme, sa main toujours posée sur son corps, et esquissa un léger sourire.

« Pas de doute, tu es la plus magnifique des prisonnières… Ce qui nécessite un traitement exemplaire. pas vrai ? »
DC d’Alice Korvander.

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Catalina Taylor

Humain(e)

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    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
La veuve, confortablement installée près du policier, finissait de s'étirer quand il vint l'embrasser à nouveau. Elle sourit contre ses lèvres. Cette soirée était vraiment une excellente soirée, même si, au démarrage, jamais elle n'aurait cru que ça finirait ainsi. Elle soupira de façon à peine audible, un sourire discret sur ses lèvres. Elle l'observa, les yeux mi-clos, quitter le lit pour s'approcher d'une armoire. Elle observa avec fascination le dos puissant de l'homme quand il se pencha pour ouvrir un tiroir, et son sourire s'élargit. Elle garda son regard sur lui, et se mordillait la lèvre, à nouveau affamée. Ce soir, cette nuit, elle était insatiable. L'alcool du début de soirée l'avait désinhibée. Le plaisir l'avait gardée ouverte à toute expérience, et ces ébats avec Nathan étaient si délicieux qu'elle ne voulait pas que ça s'arrête avant le matin. Ça resterait l'une de ses plus belles nuit, à cette allure.

Quand il retira des bas du tiroir, la belle veuve se fendit d'un petit rire. Le jeu commençait à devenir de plus en plus intéressant. Docilement, elle le laissa lui entraver doucement les poignets aux barreaux de la tête de lit. Le plaisir de l'inconnu la faisait déjà frissonner imperceptiblement. Ses lèvres s'entrouvrirent d'elles-mêmes pour accepter le baiser que Nathan lui prodiguait à nouveau. Sa langue jouait avec la sienne, malicieuse, affamée, taquine. Le contact de leurs corps l'un contre l'autre, au travers des doigts du mâle qui glissaient sur le velours de sa peau nue, acheva de la remettre en appétit.

Elle gémit doucement quand il agaça l'un de ses tétons, et elle sentit les bas se tendre un peu quand elle essaya de bouger les bras. Le supplice, délicieux, commençait. Délicatement, les lèvres de Catalina cherchaient celle de Nathan alors qu'il achevait de parler. Sa langue darda entre ses lèvres, déposant une caresse humide sur celles du policier. Son corps ondula un peu, à peine, alors qu'elle souriait elle-aussi.

« Oh oui... Il faut faire un exemple... Pour toutes les mauvaises filles... Mmmh ? Tu me vois enchantée d'être... Cet exemple... Ce cobaye.... Monsieur l'agent... »

Heureusement, ce n'était qu'un jeu. Car oui, Catalina était une bien mauvaise fille. Très vilaine. Une meurtrière recherchée, bien qu'on ne connaisse pas son nom ou son apparence véritable. On la soupçonnait, mais rien ne pouvait la relier aux crimes, sinon des soupçons sans preuves. Elle s'imaginait en sécurité, mais elle n'était pas à l'abris que quelqu'un, un jour, découvre tous ces cadavres cachés dans son placard...

« Oooh, Nathan... Monsieur l'agent... Faites-moi découvrir ce traitement exemplaire qui va me faire retourner dans le droit chemin... »

Elle ondulait un peu plus, sa langue humidifiant ses lèvres tandis que son regard se faisait aguicheur. Une vraie tentation. Une bombe à retardement. Un appel au vice...
« Modifié: mercredi 28 janvier 2015, 21:49:51 par Catalina Taylor »
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Evangile selon Sainte Cata 28:11 : "Venez à moi, vous tous qui avez envie de RP, on va s'enjailler grave j'm'en bats les couilles j'vous prends tous"
Evangile selon Sainte Cata 28:12 : "Vous trouverez du repos pour vos âmes en mon sein, à condition que vous soyez un mâle bien membré et prêts à me casser le bassin"

"Elle attire les bites comme le miel attire les abeilles" - Destin.

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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

C’était l’un des enseignements que la Bête avait tiré des Terriens... Le lien entre les sens et le sexe. Là d’où la Bête venait, le sexe était quelque chose de naturel, et l’unique chose au monde que les symbiotes savent faire. Sans hôte, un symbiote n’est qu’une masse informe, comme une flaque noire qui erre et rampe, à la recherche d’amantes avec lesquelles copuler, et d’hôtes pour nourrir et se former. En prenant possession de Nathan, la Bête avait donc découvert l’expérience sensorielle : le goût, le toucher, l’ouïe, l’odorat, et la vision. Les cinq sens étaient pour lui des expériences fascinantes, mais qui ne remplaçaient évidemment pas le plaisir inné et profond qu’il y avait à engrosser une femme. Cependant, la Bête avait progressivement compris, par le biais de pratiques sexuelles jugées déviantes comme le bondage, qu’il y avait un lien intéressant entre les privations sensorielles et le désir sexuel. Il avait remarqué que, en bandant les yeux de certains femmes, elles étaient plus excitées... Et, même d’un strict point de vue physique, il avait aussi pu noter que priver un sens amenait inconsciemment l’organisme humain à amplifier les autres. Un homme ne voyant pas aurait davantage tendance à écouter, à sentir, à humer, etc... En somme, si on privait un individu de ses sens, les autres sens étaient plus importants. En suivant cette logique, si on privait une personne de sa liberté de déplacement, si on l’immobilisait, on la rendait plus réceptive au moment précis, et aux quelques attentions que ladite personne subissait. Concrètement, et pour conclure, la Bête avait retenu que le plaisir sexuel était encore plus fort chez la femme en la privant de sens... Mais cette analyse devait d’être encore affinée, précisée, et enrichie. C’est clairement dans cette optique que Nathan avait attaché la femme, et que cette dernière, aussi ravie d’être attachée qu’un poisson barbotant dans son bassin, lui sourit franchement, assurant qu’elle était une « mauvaise » fille. L’entendre ainsi l’excita, bien plus qu’il n’aurait osé l’admettre.

Décidée à le provoquer, à poursuivre leur jeu et leur interminable nuit, elle le lança, avec sa belle voix, et avec ses mots remplis de perversion :

« Oooh, Nathan... Monsieur l'agent... Faites-moi découvrir ce traitement exemplaire qui va me faire retourner dans le droit chemin... »

Pour être honnête, Nathan improvisait tellement. Il avait attaché cette femme avec ses bas, sans savoir ce qu’il allait faire ensuite. Le policier continua donc à suivre son inspiration, et massa l’un des seins de la femme, tout en allant tendrement et délicieusement l’embrasser. L’homme goûtait à sa bouche magnifique, s’enfonçant contre elle, sa langue goûtant à sa salive, remuant dans son corps. Il se frotta à elle, et, au bout de quelques secondes de ce délicieux traitement, se redressa lentement. Sur sa bouche, il avait le goût des lèvres de Catalina, une sensation merveilleuse, dont il n’arrivait décidément pas à se lasser.

Ses doigts allèrent caresser les lèvres de la femme.

« Je crois qu’il va falloir y travailler longtemps... Vos lèvres sont empreintes de vice... J’ai l’impression d’être avec une succube... »

Il ne tarda pas à récupérer un nouvel objet, une culotte, et s’en servit pour masquer les yeux de la femme, formant un nœud à hauteur de sa nuque.

« Voilà qui est mieux... »

Nathan continua alors à masser l’un de ses seins, ses doigts pressant sa chair, remuant sur son téton, le pinçant, et il alla lécher sa nuque, glissant sur sa peau, mordillant cette peau chaude et agréable, se frottant à elle, remuant contre le corps de la femme, ce corps dont il pouvait de moins en moins se lasser.

« Haaa... Cata... »

Il rapprocha ensuite son sexe d’elle, guidé par l’excitation, guidé par le désir et l’envie... Mais il se retenait. Il pinçait encore son téton, frottant sa verge près de ses lèvres intimes. Il voulait la faire souffrir un peu... La rendre impatiente et chaude, jouer sur sa frustration et sur son impatience pour pouvoir, ensuite, daigner la soulager pleinement. Nathan trouvait cela mieux ainsi.
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Catalina Taylor

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    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
Elle était déjà impatiente, avant même qu’il ne commence à l’entraver. Ses yeux suivaient ses mouvements avec avidité, guettant l’instant où il reviendrait l’envahir avec fougue. Elle se montra surprise quand il vint ensuite lui bander les yeux, mais se laissa faire, curieuse. Excitée. La Veuve n’avait pas été aussi libertine depuis un long moment, et elle s’en montrait donc que plus affamée.

« Oui… Je suis littéralement en train de suinter le vice, cher agent…. Mmm… »

Grâce à toi, Nathan, pensait-elle, embrasée.

Privée de mouvement, et privée de la vue, Catalina s’efforçait d’anticiper la suite. Elle frémit quand il reprit son sein en main, revenant l’agacer de nouveau, lui tirant alors d’autres gémissements. Elle frémissait d’envie, et ses reins pulsant d’un désir insatiable. Elle le sentait contre elle, mais ce n’était pas assez. Elle se croyait possédée par un démon de la luxure, tant elle vibrait d’impatience.

Ondulant sous ses caresses, elle arquait le bassin, cherchant cette chair rigide qui ne demandait qu’à la pénétrer à nouveau. Elle se lâchait complètement, ce soir. Des années de frustrations avaient eu raison d’elle. La longue abstinence qu’elle s’était imposée, pour expier ses meurtres, aussi. Elle haletait de désir, se mordillant la lèvre inférieure encore et encore.

Fébrile, elle sentait la chaude excitation qu’elle ressentait imbiber un peu plus ses cuisses, ses draps. Elle avait faim. Faim de sexe, de contact, de jouissance. Faim de Nathan, cet amant formidable qu’elle ne connaissait que du début de soirée. Faim de nouveauté, d’expérience.

Elle le sentait, osciller, aux portes de son intimité. Elle essayait d’avancer un peu le bassin, pour le faire entrer enfin en elle, mais en vain. Elle bougeait légèrement la tête sur l’oreiller, ses cheveux s’étalant en corolle autour de sa tête. En corolle humides, étant donné que la chambre était presque moite de leurs ébats.

« Nathan… Mmm… Je… Oh… Mr L’agent… Je vous en supplie… Mmm… Montrez-moi comment… Comment vous corriger les vilaines filles… Aaah… Avec… Votre matraque… »

Elle peinait à articuler, gémissant dès qu’il la touchait. Rien qu’un frôlement lui donnait la chair de poule, et l’envie dévorante qu’elle avait de lui ne cessait d’enfler. Elle s’efforçait de rester dans leur excitant petit jeu, mais son esprit déclarait forfait par moments.
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Nathan Joyce

E.S.P.er

Pour lui, c’était un jeu assez inattendu, et relativement original. Nathan n’avait pas l’habitude de se montrer aussi calme et professionnel quand il couchait avec une femme. Généralement, avec la Bête, tout devenait sauvage et brutal... Mais, là, après qu’ils aient déjà fait l’amour, la Bête était rassasiée, et plus encline à expérimenter des choses inédites. Il jouait avec elle, la provoquait, la titillait, afin qu’elle perde son contrôle. L’attacher et la priver de vue n’avaient été faits que dans ce but, afin que le mystère plane sur elle, et engendre de la frustration... Car la frustration était le sel du sexe. Sans frustration, point de désir ; sans désir, point de plaisir. Tout était lié, le sexe ayant pour lui cette force vitale et fondamentale d’unir les opposés, de rapprocher les différences, de les gommer et de les balayer. Le membre de Nathan, gros et assoiffé, caressait la peau nue et tendre de Catalina, mais sans encore daigner la prendre. Il jouait avec elle, malicieusement, amant dominateur et taquin qu’il était.

Catalina remuait la tête de gauche à droite, impatiente, commençant à sentir la frustration, dans une plus petite dose, très certainement, que ce que lui ressentait le soir, quand la Bête se réveillait, et que les hormones de la créature se déchaînaient dans son corps. C’était bien différent ici, très clairement. Cependant, le plaisir était là, et Nathan le sentait. Il léchait et embrassait les épaules de la femme, il sentait ses seins lourds taper contre son torse, il percevait le désir vibrant dans son corps. Elle n’en pouvait plus, elle en voulait plus, et lui seul pouvait la satisfaire. En ce moment précis, il était le Maître, et cette perspective, très excitante, provoqua en lui de violents frissons. Le Maître... C’était un concept très bon, très jouissif, et il embrassa le bout de son nez.

« Ma pauvre petite... Tu es en manque, hein, Cata’ ? »

Il lécha son oreille, suçotant cette dernière. Non, il avait envie de la pénétrer, sincèrement très envie... Mais il se calmait. C’était l’avantage de la Bête. Quand on avait en soi un symbiote extraterrestre pervers, on apprenait à mieux contrôler ses pulsions. Son sexe caressait ses hanches, et il continua à suçoter son oreille, sa main allant encore jouer avec son sein, pinçant le téton, tirant sur cette partie de son anatomie.

« Quel sein lourd, gonflé... Ce doit être dur pour toi, ma belle... Mais il va en falloir plus pour me convaincre... »

Nathan parlait sur un ton calme et doucereux, mais qui transpirait de perversion et de luxure. Il pinça donc le téton, puis l’embrassa sur la joue, et sur le coin des lèvres.

« Insulte-toi, ma belle... Donne-moi envie de te pénétrer, de te saillir comme une grosse pute... »

Même si la Bête était apaisée, sa présence avait suffisamment impacté Nathan pour que ses fantasmes s’en inspirent. Ils étaient violents, et ce même si cette violence n’était pas physique... Parfois, la violence orale avait aussi du bon... Comme en ce moment précis.
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Elle était dans un tel état qu’elle ne se reconnaîtrait pas, si jamais elle filmait et revoyait la prise après coup. Son corps appelait à la luxure, littéralement. Ses seins, dont la pointe était tendue à l’extrême, étaient presque douloureux tant elle désirait le sentir en elle. Elle perdait l’esprit, folle de désir, folle de plaisir. Les yeux bandés, elle ne pouvait qu’essayer de deviner la suite. Les membres entravés, elle ne pouvait qu’attendre son bon vouloir.

Gémissant sourdement, les lèvres de la brune s’entrouvrirent alors que le policier venait déposer un baiser sur le bout de son nez. Ces petites attentions tendres ravivaient encore sa frustration. Son souffle court, presque rauque, s’entendait dans la chambre. Elle était moite. Trempée. Dégoulinante, même. Sa main sur sa poitrine douloureuse lui arracha un petit cri de plaisir, alors qu’il l’embrassait par la suite.

Ses paroles remuaient quelque chose en elle. Elles nouaient cette sensation de chaleur qui augmentait toujours, qui voulait la submerger. Elle se sentait prête à exploser de plaisir dès qu’il la pénétrerait. Mais il retardait toujours l’instant. La vulgarité de ses paroles, loin d’offenser la veuve, la faisait soupirer d’impatience. Languissante, elle se mordillait la lèvre inférieure.

« Oh oui, Nathan… Viens me prendre, je suis une très vilaine fille… Je suis ta petite pute… Mmh. Viens me posséder, comme une petite chienne en chaleur… »

Les mots sortaient tout seul, sans qu’elle ne réfléchisse trop. Elle n’était pas en état de réfléchir, de toute manière. Son corps ondulait, frémissait, cherchant cette ardeur qui la comblerait.

« Je suis ta petite traînée… Défonce-moi, lâcha-t-elle avec un gémissement impatient. »

Si elle avait été libre de ses mouvements, elle l’aurait agrippé et se serait empalée sur son sexe dressé. Ce membre raidi qu’elle sentait contre son corps, qu’il s’amusait à la caresser avec. Haletante, elle avait l’impression de souffrir tant son désir était fort. Après toutes ces années d’abstinence, la nymphomane en elle ressortait.

« Je t’en prie, Nathan… Viens récompenser ta petite salope avec ta belle et grosse queue… »

Elle ne mesurait plus ses mots. C’était l’instinct qui réagissait. Qui se pliait docilement au bon couloir du policier. Ses sens étaient surchauffés, survoltés. Tout son corps le réclamait, de la pointe douloureusement tendue de ses seins à son intimité brûlante et suintante.

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Nathan Joyce

E.S.P.er

Nathan jouait avec elle, dans une ambiance marquée par la frustration et la domination… Des éléments qui, à bien y réfléchir, étaient très liées au sexe. Il humait l’odeur de cette femme, jouait avec elle, frissonnant en l’entendant gémir, implorer sa venue, demander qu’il la prenne… Oui, c’était extrêmement excitant, terriblement stimulant. Nathan ne pouvait que le reconnaître : entendre cette femme gémir son nom, demandant à ce qu’il la prenne, dire qu’elle était sa « petite pute »…  Voilà qui était terriblement excitant, jouissif à souhait. En souriant, Nathan la reniflait, frottant son corps contre le sien. Son sexe caressait ses cuisses, et ses mains s’agrippèrent aux liens retenant les poignets de la femme.

« Oui… Moi aussi, Catalina, j’ai envie de toi… J’ai envie de sortir ma grosse queue s’enfoncer en toi, j’ai envie de t’entendre hurler et couiner sur moi, comme la belle petite salope que tu es… Hum… Tu me rends dingue. »

Il était honnête. La Bête en elle sentait l’excitation monter. Nathan avait une envie forte de coucher avec elle, et ses mains continuaient à explorer son corps. Elles s’attardèrent le long de ses reins, glissant dessus, se rapprochant de la courbure de ses fesses. Il les empoigna en se lovant contre elle, Nathan allant à nouveau l’embrasser, tirant sur sa lèvre inférieure. Le policier était fébrile, et n’avait, pour l’heure, de « policier » que le nom. Reprenant son souffle, il se redressa un peu. Cette femme avait un corps magnifique… Trop belle pour être honnête, trop belle pour que tout cela ne dissimule pas quelque chose, mais, en ce moment, l’homme n’était pas en état de réfléchir. La Bête le dominait, ne pensant qu’au sexe. Son membre tendu l’élançait douloureusement, et il finit alors par libérer les poignets de la femme, tirant dessus.

Sa main se posa sur son visage, son corps restant lové contre le sien. Elle avait envie de lui, et lui aussi… Il s’écarta alors d’elle, et se coucha sur le flanc, son sexe dressé et bien raide. Il aurait pu la prendre… Mais il voulait voir à quel point elle allait agir, à quel point elle allait se lâcher. Pour Nathan, voir cette belle femme si fiévreuse, c’était une énorme fierté. Il n’avait aucune honte à l’admettre, car ça lui semblait être la chose la plus naturelle au monde.

« Viens, Cata’… Viens me faire l’amour, ma salope d’amour… »
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Entendre qu’il la désirait également, avec autant de force qu’elle le voulait, lui fit vraiment plaisir. Cela l’émoustilla encore plus, par ailleurs, et son corps réagit en s’arquant pour essayer de venir à sa rencontre, où qu’il soit. Ses yeux bandés ne l’aidaient pas pour trouver exactement la position de son amant, mais elle sentait parfois son sexe qui courait contre sa peau, terriblement dur, terriblement séduisant. Elle ne pouvait attendre pour le prendre en elle, mais ses liens retenaient ses mains malgré tout son désir. Vraiment très frustrant, et très excitant.

Elle s’arquait sous les caresses de l’homme, gémissante, tandis que son corps réagissait de lui-même. Elle n’était plus simplement humide, elle était trempée de désir. Elle devait être étroite, contractée comme elle était, mais l’insertion ne poserait toutefois pas de problème étant donné qu’elle était plus que bien lubrifiée. Elle gémissait et soupirait à chacune des caresses de Nathan, tendant son visage pour caler sa joue dans la paume de sa main, son corps se blottissant contre le sien. Catalina était haletante, et impatiente. Frustrée, et vraiment très excitée.

Quand il lui libéra enfin les poignets, la veuve noir ne manqua pas d’en profiter immédiatement pour retirer le bandeau sur ses yeux. Elle voulait le voir, nu et prêt pour elle. Elle laissa ses mains nouvellement libres errer sur son corps masculin, appréciant chaque creux et chaque aspérité. Elle était amoureuse du corps des mâles, de leurs muscles et de leur puissance. Quand il s’écarta d’elle, elle réagit automatiquement, presque sans attendre qu’il prononce quelques mots. Oh oui, elle allait venir lui faire l’amour. Elle allait venir le posséder comme seule une femme peut posséder un homme. Elle allait se montrer plus féline et féminine que jamais. Ses jambes vinrent l’enserrer entre elles, son intimité ruisselante s’appuyant contre l’objet de son désir. Ses mains s’agrippèrent à lui, à ses épaules, puis descendirent le long de ses bras, tâtant les muscles avec chaleur, pour venir se loger dans les siennes, entremêlant leurs doigts. La brune souleva ensuite le bassin, s’aidant de ses genoux, et amena son intimité trempé contre le gland turgescent du sexe virilement tendu.

Elle était effectivement étroite, le désir contractant ses muscles intimes, mais la sensation de ce pieu qui écartait ses chairs, glissant avec facilité dans le conduit lubrifié, la fit lâcher un gémissement de pur plaisir. Elle lutta pour ne pas se laisser tomber, pour ne pas s’empaler avec vigueur sur ce membre dressé, mais pour descendre avec lenteur, avec chaleur. Elle se laissa envelopper de ce désir fou, de ces sensations uniques, et finalement, elle finit par accueillir le policier au plus profond de son être. Dans cette position, elle pouvait le mener à sa guise, et ça lui plaisait aussi.

Un sourire sensuel étira ses lèvres, alors qu’elle se penchant, leurs deux corps s’emboîtant parfaitement, pour venir mordiller ses lèvres. Elle se faisait douce au début, s’aidant de ses genoux pour remonter son bassin en même temps, serrant les mains de l’homme entre les siennes, mais très vite, le baiser devint plus profond, plus exigeant, à mesure que ses reins montaient et descendaient sur les hanches de Nathan.

« Oh Nathan, que j’aime te sentir en moi, contre moi… »

Ses lèvres glissaient contre la peau de sa joue, venant souffler ses paroles alors qu’elle cherchait à enfouir son visage au creux de son cou.

« Tu me remplis… Mmm… A la perfection… »

Pour appuyer son propos, elle souleva à nouveau les hanches avant de revenir s’empaler sur lui, frémissante. Ses lèvres caressaient la jugulaire du policier, ses seins s’écrasant contre son torse musclé, quand elle reprit un rythme plus rapide. Elle avait remonté ses mains, toujours enlacées à celle de l’homme, et s’appuyaient à présent en partie dessus pour faire aller et venir ses reins contre ceux de Nathan. La chaleur de son ventre se diffusait dans son corps, annonçant les prémices d’un nouvel orgasme si elle continuait dans cette optique.
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Nathan Joyce

E.S.P.er

Depuis combien de temps étaient-ils en train de baiser comme des cochons ? Difficile à dire… Cette nuit semblait interminable, et, à chaque fois que Nathan pensait être rassasié, ou dormir avec cette femme, son désir revenait, en force. Mais… Il y avait autre chose, aussi. Au fur et à mesure qu’ils faisaient l’amour, et que Catalina semblait s’embellir au fur et à mesure, Nathan sentait venir en lui une sorte de paix intérieure, comme si l’Homme et la Bête étaient en train de se mettre d’accord. Expliquer tout ça de manière rationnelle était difficile, surtout quand une bombe sexuelle se dandinait sur votre ventre en engloutissant votre queue dans les tréfonds de son corps. Nathan se disait donc juste, pour résumer, que Catalina était bonne, et, dans le fond, ce simple mot suffisait amplement à résumer toute la situation.

Catalina remuait donc sur le corps de Nathan, de haut en bas, dans ce mouvement gracieux et classique, et lui, notre brave policier, était aux anges… Ou aux enfers, vu la manière dont son membre lui faisait mal. Son sexe émettait des vibrations de douleur et de frustration dans tout son corps, en même temps que d’intenses frissons de plaisir. Ah oui, c’était bien ça, l’amour, cette dichotomie fondamentale entre souffrance et… Et joie. Nathan était donc couché sous elle, cette nymphe nocturne, qui remuait sur son corps, faisant claquer leurs chairs ensemble, faisant remuer leur sueur. Ses mains se crispèrent sur ses hanches, et se déplacèrent naturellement, pour presser ses fesses.

« Ca… Cata’, hummm… »

Il y avait tant de jeux de mots pourris à faire avec une femme dont le nom commençait par Cata, et Nathan était incapable d’en trouver un bon. En même temps, avec son nom, il était mal pourri. Sur l’échelle des surnoms pourris, on pouvait accorder à « Nate » la note de 2 sur 10… Et encore, seulement si le jury était gentil. Il se contentait donc de soupirer son nom, sans chercher à faire le malin. De toute façon, l’heure était à l’action, et, dans ce domaine-là, sa verge était la meilleure dans sa partie. Sa bouche, au mieux, serait un complément de plaisir, au pire une distraction, une gêne irritante. Nathan était donc sous elle, et il aurait pu s’attaquer à de nombreuses parties de son corps : ses seins, ses lèvres, son cou… Oui, il aurait pu se redresser et l’embrasser, mais… En faisant ça, ça aurait été moins intense, et il préférait sentir le plaisir au fond, venant de son sexe.

Ses mains s’étaient donc crispées sur les fesses de la femme. C’était curieux à dire, mais il avait l’impression que, au cours des heures, le cul de cette femme était en train de s’embellir, de s’améliorer, de devenir plus tendre, plus ferme, plus… Plus rond (NdA : et ceci ne vient pas du tout du nouvel avatar !). Ce cul était très agréable, et il le malaxait donc agréablement, empoignant ses fesses, au fur et à mesure que la femme glissait en lui. Nathan se pinçait les lèvres, et remuait contre le lit. Il sentait la mouille de cette femme, et ne s’était jamais senti aussi bien, aussi serein… Le calme dans sa tête était ce qu’il avait toujours attendu, et ce pourquoi le sexe était pour lui bon, si bon, tellement bon… Car son esprit n’était alors plus partagé entre Lui et l’Autre… Et ça, bon Dieu, il n’y avait rien de meilleur !

Nate soupirait donc de plaisir, et, tout ça, il le devait grâce à cette femme. En ce moment, il la voyait comme une créature de rêve… Et, après tout, c’était bien ce qu’elle était : une créature de rêve, avec tout ce qu’un rêve impliquait.
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Catalina Taylor

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    Description
    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
La vitesse de ses reins, se soulevant pour mieux s’empaler sur la rigidité mâle de Nathan, s’emballait peu à peu, passant de sensuel et profond à un rythme plus soutenu à mesure que la chaleur enflait en elle. Catalina oubliait tout à cet instant présent. Tout ce qui n’était pas Nathan lui importait peu. Seule comptait la sensation de son membre tendu glissant en elle, râpant les aspérités pour venir cogner contre ce fameux point C, situé peu avant le col de l’utérus. Cette zone érogène était l’une des plus sensibles du corps de la veuve, expliquant sans doute pourquoi elle aimait les hommes gâtés par la nature, pour les sentir venir se frotter contre cette zone et ainsi déclencher des sensations plus puissantes encore.

Tout son corps tremblait, autant sous l’effort que sous le plaisir qui s’infiltrait dans chacun des nerfs de son corps. La pointe tendue de ses seins se pressait contre les pectoraux du policier à chacun de ses mouvements. Ses mains s’étaient crispées sur le drap autour de lui, et ses lèvres entrouvertes, gonflées de ses baisers, venaient agacer chaque parcelle de peau qu’elle pouvait atteindre, contrastant avec les coups de reins énergiques que donnait Catalina par leur douceur et leur texture veloutée.

« C’est si bon, parvint-elle à articuler entre deux gémissements, ralentissant parfois le rythme de ses hanches avant de le reprendre plus fougueusement encore. »

La brunette finit par redresser son buste, formant un angle droit avec le corps délicieusement musclé du policier. Ses mains glissèrent sur sa peau, aussi moite que la sienne, venant flatter ses muscles qu’elle appréciait. Ses doigts couraient sur ses bras, remontant des poignets aux épaules, avant de venir se perdre sur son torse. Laissant ses mains profiter du corps de son amant, Catalina figea le mouvement de ses reins, gardant Nathan fermement emprisonné en elle. Ses muscles vaginaux se contractaient contre lui, comme un massage interne, avant qu’elle n’immobilise finalement ses mains, à plat sur les épaules masculines, afin de reprendre la danse de ses hanches. Plus vite, plus fort. Catalina ressentait le plaisir irradier dans tout son corps et, à mesure que la dureté turgescente du policier frottait en elle, cognant contre le col de son utérus, elle perdait pied.

Bientôt, ce ne fut plus un rythme calculé et maîtrisé, mais quelque chose de plus sauvage et impulsif. Elle laissait son corps agir pour éprouver, une fois encore, la jouissance ultime. Ses ongles s’enfoncèrent peu à peu dans la chair, dans les muscles de Nathan, alors qu’elle semblait possédée par quelque créature de luxure.

« Oh, Nathan…., gémit-elle d’une voix étranglée. »

Et elle continuait, amplifiant le rythme, alors que son esprit déjà confus se concentrait plus qu’uniquement à la sensation de leurs peaux qui se claquaient, de leurs os qui se cognaient, et de cette montée presque douloureuse de l’orgasme en elle. La veuve n’en pouvait plus. Le souffle court, les yeux clos pour ne pas qu’ils se révulsent, elle se déchaînait, emprisonnant toujours la virilité du policier au creux de son corps, sans jamais la libérer malgré les mouvements de balanciers de haut en bas plus vifs et moins sensuels.

La pointe de ses dents s’enfonçait dans la pulpe de ses lèvres sans toutefois pouvoir réprimer le gémissement sourd qui s’échappait de ses cordes vocales. Catalina sentit chacun de ses muscles se tendre, se crisper, alors qu’un déferlement de plaisir la noyait presque. Elle s’immobilisa, un peu contre son gré, fermement appuyée contre le policier. Ses cuisses l’enserraient, se contractant contre lui comme pour mieux l’intégrer en elle, alors qu’elle se cambrait, arquant le dos, en lâchant un cri rauque. Ses ongles ne desserraient pas leur étreinte sur sa peau, devant sans doute laisser de jolies marques en demi-lune, si ce n’était perler quelques gouttes de sang lorsqu’elle les retirerait.

« Nathan, lâcha-t-elle finalement dans un gémissement, alors que son corps engourdi de plaisir se relâchait doucement. »

Elle ne s’affaissa pas tout à fait, cependant, et ses hanches trouvèrent encore le moyen de s’agiter tandis qu’elle soulevait le bassin, avant de l’abaisser de nouveau et de reprendre quelques mouvements alanguis. Elle rouvrit les yeux en baissant la tête vers le policier, lui adressant un sourire satisfait et presque béat. Sa crinière sombre retomba sur les côtés de son visage, comme pour isoler le policier de l’extérieur en tombant comme un rideau autour de sa tête.

Doucement, Catalina relâcha l’emprise de ses ongles sur les épaules de l’homme, découvrant effectivement des marques en forme de demi-lune, et quelques gouttes de sang qui s’échappèrent rapidement. Elle se pencha alors, faisant frotter sa lourde poitrine contre lui, et sa langue vint recueillir les quelques gouttes qu’elle trouva avant qu’elle n’esquisse un sourire de satisfaction féline et ne vienne embrasser passionnément son amant.
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Dans cette position, Nathan aurait pu se croire au Paradis. En un sens, c’était ça. Cette femme était comme une nymphe venue d’on ne sait quel Ciel magnifique, une Déesse que rien ne semblait fatiguer. Depuis combien de temps couchaient-ils ensemble ? Le policier n’aurait su le dire. Il avait rencontré cette femme au cours d’une morne soirée de contrôle de la circulation, et vivait maintenant l’une des meilleures nuits qu’il eut jamais passé. Aurait-il été du genre à noter ses amantes qu’elle aurait crevé tous les plafonds possibles ! Les délicieux gémissements de la femme emplissaient l’air, et le spectacle de son corps, filant de haut en bas, était enchanteur. Tout, en elle, le moindre centimètre carré de son corps, exprimait la beauté la plus parfaite qui soit. Elle était comme un cristal sans aucune incision, une pierre précieuse magnifique, Avatar de la perfection. Couché sur le sol, Nathan grognait et soupirait légèrement, fasciné par son corps. Il y avait ses seins, bien sûr, mais, en réalité, c’était tout son corps qu’il observait, toute cette silhouette de rêve. En lui, la fatigue sexuelle n’arrivait pas à venir, son organisme étant boosté par le symbiote extraterrestre qui sommeillait en lui, un symbiote qui était tombé amoureux de cette femme.

Il adorait tout d’elle. Son visage langoureux, ses cris, ses beaux yeux perçants, sa longue chevelure noire qui s’agitait de haut en bas, ses hanches fines, sa peau douce, chaude... Tandis qu’elle dansait, infatigable, avec une énergie qui ne pouvait que le laisser admiratif, lui caressait son corps, et finit par poser ses mains sur son généreux cul. D’elle, il avait déjà tout exploré, en long, en large, et en travers, et, pourtant, à chaque fois qu’il la regardait encore, il se sentait aussi asséché qu’un individu errant dans le désert.

« Cata’... »

Elle portait bien mal son diminutif ! Ha, quelle sensation ! Naturellement, Nathan était bien loin de se douter de quelle femme il s’agissait. Elle était aussi belle que malicieuse, véritable veuve noire, une fleur du mal, mais, d’elle, Nathan ne voyait que les pétales, pas la racine faite de ronces. Elle dansait sur lui, et, ensemble, ils s’unissaient, sa virilité plantée en elle. Son membre jouait en elle, ne se retirant jamais. Catalina s’enfonçait lourdement sur son sexe, avant de se redresser, et de s’enfoncer encore, dans une danse magique.

Nathan soupirait lentement, et les minutes défilaient... Puis il gémit quand elle enfonça ses ongles dans sa chair, crispant alors ses mains sur son cul, malmenant chacune de ses fesses dans un spasme musculaire, son corps se redressant légèrement.

« Hhhhnnnnnnnnnnnnnn... !! »

Diablesse ! Il imprima ses doigts sur la chair de la femme, et soupira encore. La douleur fut comme un coup de fouet électrique, et Catalina sembla alors accélérer, se montrant plus vorace... Une Déesse dans la peau d’une sauvage, une femme terriblement féline, mélangeant sensualité et sauvagerie. Ah ! Voilà comment on aimait les femmes ! Nate ne pouvait que soupirer, encore et encore, une respiration lourde et profonde, pendant que la sublime créature dansait sur sa queue. De la sueur coulait le long de son corps, et il se figeait sur ses lèvres, figées en un délicieux cri, avec ses joues rougies.

*Quelle nymphe ; je l’aime, Nattie-boy !*

Nathan alla jusqu’à rythmer les balancements de la femme en lui donnant des petites gifles. Des tapes, tandis qu’elle continuait à remuer, balançant tout son corps, avant de l’abaisser à nouveau, encore, encore, et encore... Jusqu’à ce que, dans un cri strident, elle ne se mette à jouir. L’apothéose. Comme si, à la fin de la partition de piano, le virtuose s’arrêtait sur une ultime note, magnifiant ainsi toute sa prestation. Et c’était bien de ça dont il s’agissait en ce moment... D’une prestation !

Le policier jouit à son tour. Le mâle se vida dans la femelle, soupirant profondément, puis la femme s’écroula contre lui.

Aux cris et aux gémissements, vinrent les soupirs et les caresses. D’une main, Nathan caressait les longs cheveux soyeux de la femme, couverts de sueur, et, de l’autre, le bas de son dos. Il la gratta même un peu, et constata ensuite que cette dernière l’avait fait saigner. Joueuse et mutine, Catalina pansa ses plaies avec ses lèvres, puis alla l’embrasser.

« Cata... » soupira-t-il, avant de répondre à son baiser.

Ce fut un baiser sensuel, passionné, leurs langues jouant ensemble, et, tout en l’embrassant, il retourna palper ses fesses, et finit par la retourner. Catalina se retrouva sous lui, et Nathan soupira de plaisir, rompant leur baiser pendant quelques secondes.

« Mais qu’est-ce que tu es donc, Catalina ? Une telle beauté, une telle ardeur... Tu ne peux pas être une simple humaine, c’est... Impensable. »

Il alla ensuite embrasser son cou, mordillant doucement sa peau.

« Non... Tu es une vraie diablesse, ma chérie... »

Et il glissa sa main dans ses cheveux, retournant l’embrasser, savourant le contact de ses seins s’enfonçant contre son torse, et de ses corps en sueur qui s’entremêlaient ensemble.
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    Riche veuve, par treize fois, qui s'est exilée à Seïkusu et qui investit dans différents secteurs d'économie de la ville.
    Peu farouche quand elle trouve quelqu'un à son goût, mais secrète quant à son passé.
Elle se laissait fondre dans le baiser, l’agrippant comme pour ne plus jamais le lâcher. Ses cuisses se serraient autour de lui, alors qu’elle ne se dégageait pas, le gardant prisonnier de l’étau de son intimité tandis qu’elle frissonnait sous ses doigts caressants.

Gloussant légèrement quand Nathan inversa les positions, la brunette croisa alors les chevilles pour ne pas le lâcher. Elle plongea ses prunelles azurées dans celles du policier, se mordillant la lèvre tandis qu’il s’interrogeait à son sujet. Dans d’autres circonstances, elle aurait pu prendre peur et se mettre sur ses gardes. Mais, encore béate de l’orgasme, et dans ces conditions, elle n’avait même pas un frisson d’appréhension. La suite lui donna d’ailleurs raison, alors qu’il fondit dans son cou pour l’y embrasser.

Un gémissement ravi lui échappa tandis qu’il revint prendre possession de ses lèvres, et ses mains s’agrippèrent à son dos, la plaquant au mieux contre son buste. Elle mordilla sa langue, plantant délicatement ses dents dans la pulpe de ses lèvres, le caressant et jouant avec lui avec un plaisir non feint. Ce fut ensuite à son tour de rompre l’étreinte de leurs lèvres, et alors qu’elle les caressait encore légèrement, elle rouvrit les paupières pour fixer son infatigable amant.

« Si je suis une diablesse, tu dois être Lucifer, glissa-t-elle en riant alors que ses doigts se calaient dans la nuque de l’homme. Mais je crois que même Lucifer et ses diablesses ont besoin d’une douche, de temps à autre, ajouta-t-elle avec une pointe de malice. »

Ils en avaient peut-être déjà profité en début de soirée, mais étant donné leurs corps moites et collants de sueur, elle songeait que ça ne serait pas de trop. Surtout, ça leur permettrait à tous les deux de recharger les batteries. Catalina commençait en effet à sentir l’épuisement la gagner. Mais, dieux, que c’était bon !

« Je vais bien m’occuper du seigneur des Enfers, tu vas voir, taquina-t-elle avec malice en lui faisant un clin d’œil. »

Elle roula ensuite sur le côté, le repoussant doucement pour pouvoir se mettre debout. Chancelant un instant, la veuve reprit son équilibre. Elle s’était relevée trop vite, et la tête lui avait tourné. Posant son regard sur le policier, elle lui tendit la main avec un sourire aguicheur et malicieux.

« Venez, Ô mon prince des Ténèbres, déclama-t-elle, faussement obséquieuse. »

Elle lui prit la main, et l’entraîna à sa suite vers la salle de bain. Elle ne le lâcha que lorsqu’elle entra dans la douche, réglant la température de l’eau avant d’ouvrir les robinets. Lorsque l’eau jaillit de la paume de douche en hauteur, elle sourit. Le liquide, d’abord un peu frais, ruisselle sur ses courbes comme elle se tourne vers le brun. Rejetant sa crinière en arrière, elle s’appuie négligemment contre le mur en lui faisant signe de la rejoindre.

« Je n’ai jamais passé une aussi bonne soirée, avoua-t-elle dans un sourire. J’ai l’impression de ne pas sentir la fatigue de mes muscles, lorsque l’on joue. »

Mais à présent, sous la douche, elle la sent. Se laver un peu, et masser leurs muscles très sollicités, allait probablement leur faire un peu de bien. Quant à la suite des évènements, elle ne savait pas encore. Elle aviserait avec Nathan, quand ils seraient débarrassés de toute cette sueur, et de leurs fluides corporels entremêlés. Elle n’était certes pas contre remettre le couvert, mais d’un autre côté, elle n’était qu’une humaine, et sa résistance avait des limites. Elle ignorait comment conclure cette soirée de manière satisfaisante et préféra savourer la douche avant d’y réfléchir avec le policier.
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Nathan Joyce

E.S.P.er

Ils étaient tous les deux en sueur. Nathan aussi bien que Catalina. Mais la brave jeune femme, aussi énergique soit-elle, commençait à fatiguer, ce que le policier vit clairement quand elle se releva, chancelant sur place. Depuis combien d’heures est-ce qu’ils baisaient ensemble ? Sans le symbiote en lui, qui galvanisait ses muscles et son corps, il serait épuisé depuis longtemps. Par conséquent, il ne pouvait qu’admirer la résistance et l’endurance de cette femme. Nathan se releva à son tour, et la suivit dans la salle de bains. Belle et magique, elle s’efforçait de lutter contre sa fatigue, mais, quand l’eau de la douche tomba sur elle, Nathan sentit son corps s’affaisser. Dans le dos de la femme, il massa tendrement ses épaules.

« Laisse-toi faire, ma Princesse... Tu as été énergique cette nuit. Je dois admettre que... Tu es une amante exceptionnelle, je n’aurais jamais cru tomber autant en phase avec toi. »

Il embrassa son cou, tout doucement, passant de la violence sauvage et sexuelle à une douceur qui avait tout de l’amoureux prenant soin de sa femme. Il lui massait les bras, puis les hanches, et le ventre, son torse se lovant contre le dos de la femme.

« Tu es très douée pour corrompre les policiers te surprenant en état d’ébriété, Catalina... »

Il l’embrassa encore, et, pendant de nombreuses minutes, les deux amants s’enlacèrent et se caressèrent. L’eau ruisselait sur eux, mais, si Nathan avait le symbiote avec lui, elle, elle n’avait rien, et ce fut donc lui qui, principalement, la massa. Elle se retourna, se nichant contre lui, et il gratta et massa son dos, descendant bien entendu jusqu’à ses fesses, qu’il massa à leur tour. C’était doux, tendre, très attentionné. Nathan ne la traitait pas comme une simple prostituée à fourrer, mais tout simplement comme une amante, caressant ses cheveux, son corps, l’embrassant tendrement. Comme après une longue séance de sexe, ils se reposaient mutuellement, chacun enterrant en eux leurs secrets. Elle, ses multiples précédents amants, lui, ce monstre cruel et violeur qui bouillonnait dans son corps.

Et, plus il se caressaient, et plus on pouvait sentir l’érection de Nathan. C’était à croire que rien ne semblait pouvoir le fatiguer, et, plus il massait les fesses de Catalina, plus son sexe se réveillait.

« Honnêtement, je n’ai plus la force de rentrer chez moi... Et puis, si je rentre, je pourrais être tenté d’écrire un rapport concernant une femme surprise avec de l’alcool au volant, et qui a honteusement tenté de soudoyer un officier de police pendant l’exercice de ses fonctions. Ce serait regrettable, non ? »

Le policier jouait doucement avec elle. En réalité, il était, en ce moment, évident pour lui qu’il ne rentrerait pas tout seul dans son appartement. Avant cela, il comptait encore profiter de Catalina, et donc dormir avec elle... Car dormir avec une femme, surtout aussi belle, c’était un vrai rêve pour Nathan.
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Et elle se laissa faire. Avec un plaisir non dissimulé, elle le laissa prendre soin de son corps comme s’il s’agissait d’un joyau, alors qu’il la massait tendrement. Elle appréciait le contact de ses lèvres dans son cou, et pencha même la tête sur le côté pour lui laisser plus de latitude. Elle se laissait aller contre lui, confiante. Et surtout, physiquement comblée et harassée. Si la soirée avait commencé de façon plutôt sobre, elle en appréciait chaque seconde depuis qu’elle avait rencontré Nathan.

Elle rit, d’ailleurs, quand le policier lui affirma qu’elle était douée pour corrompre, et elle s’appuya un peu plus sur lui. La veuve n’aurait pas cru être aussi à l’aise, après une séance -et quelle séance !- de sexe aussi torride. Et pourtant, c’était presque naturellement qu’elle confiait son corps fatigué aux bons soins du brun.

« Tu es remarquable, glissa-t-elle après l’avoir embrassé en retour. »

Elle était à présent calée contre lui, sa tête reposant contre son torse, au même titre que sa poitrine généreuse. Catalina appréciait les petites attentions de ses mains qui massaient son corps, qui flattaient ses formes et qui chassaient doucement l’épuisement.

Un rire la secoua doucement, quand le policier avoua ne plus avoir la force de rentrer chez lui. Levant les yeux vers son visage, elle lui esquissa un sourire coquin tandis qu’il poursuivait en parlant de la tentation d’écrire un rapport sur la corruptrice qu’elle était.

« Ce serait vraiment dommage, oui. Je pense que je n’ai pas poussé la corruption assez loin, gloussa-t-elle en se frottant contre l’érection qui revenait. »

Elle se leva sur la pointe des pieds pour l’embrasser à nouveau, glissant ses mains contre son cou pour s’accrocher et se maintenir en équilibre sous le jet d’eau. Ses lèvres agacèrent tendrement celles du policier, laissant ses dents les mordiller de temps à autres, ou bien sa langue venir les caresser, avant de s’écarter, revenant à plat sur le sol.

« Laisse-moi corriger ça, lui susurre-t-elle en glissant ses lèvres le long de l’arête de sa mâchoire, pour descendre jusqu’à son cou. »

Elle s’y arrêta un instant, embrassant sa peau chaude, et lapant les gouttes d’eau qui parsemaient son corps, avant de continuer son exploration. Ses lèvres gourmandes s’écrasaient avec plaisir contre la texture de sa peau, découvrant ses dents en venant mordiller avec malice les tétons lorsqu’elle arriva à leur hauteur. Elle continua la lente descente de sa traînée de baisers, passant la langue sur les ciselures de ses muscles, embrassant chaque parcelle qu’elle trouvait et mordillant même avec appétit lorsqu’elle arriva au niveau de son bassin, comme pour anticiper la suite.

Elle releva ses paupières, dévoilant ses prunelles azurées qui brillaient de contentement et ses pupilles sombres qui s’étaient dilatées sous l’effet du désir. Tout en le gardant prisonnier de son regard, autant que de ses attention, Catalina se rapprochait de l’objet de sa convoitise. Elle était peut-être épuisée, mais le désir flambait encore dans son corps. Et sentir cette érection fièrement dressée pour elle, ça ne faisait qu’aiguiser son besoin de le dévorer de baisers.

Elle s’arrête sur l’aine, contournant habilement la proéminence de chair d’un coup de langue, venant même mordiller la peau sensible des cuisses, avant de venir laper les bourses rapidement, tendrement. Elle rejette un moment la tête en arrière, lissant sa crinière brune alourdie par l’eau dans son dos pour dévoiler son visage, et elle revient à sa douce torture. Ses doigts s’enroulent doucement autour du vît érigé, se serrant à la base pour le guider dans la direction voulue. Et cette direction, c’était contre les lippes gonflées de la brunette.

Elle engloba le gland de ces dernières, le suçotant presque avidement, avant de le faire progresser un peu plus loin, explorant sa bouche comme il avait exploré ses chairs humides. Elle resserrait la pression de ses doigts contre la base, laissant sa main se mouvoir de haut en bas, jusqu’à ce qu’elle sente l’extrémité sensible de Nathan venir cogner contre sa gorge. Si elle arrêta de le masser de sa main, elle n’arrêta toutefois pas la progression, réfrénant les réflexes laryngés qui lui venaient jusqu’à ce que ses lèvres touchent le pubis du mâle. Ce n’est qu’ensuite qu’elle le retira doucement, salivant sur sa longueur, avant de recommencer de plus belle. Elle ne le quitta pas des yeux, malgré l’eau qui gouttait de ses longs cils sombres, et elle accéléra le rythme de ses lèvres sur la virilité tendue.

A genoux dans la douche, la veuve prenait plaisir à sentir la chair roide cogner contre le fond de sa gorge. Ses yeux, humides de l’effort qu’elle faisait pour réprimer ses haut-le-cœur, ne lâchaient pas le policier à mesure qu’elle accélérait. Ils reflétaient tout le plaisir qu’elle prenait à lui offrir cette gâterie, de même que la confiance qu’elle avait en lui, ainsi que la permission de prendre le contrôle de l’acte à tout moment. Elle s’offrait, littéralement, et elle en concevait plus de plaisir qu’autre chose.
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2eab41 - Paroles de Catalina.

Nathan Joyce

E.S.P.er

Si le Désir était une religion, alors Catalina mériterait d’en être sa Déesse. Simple humaine, elle ? Non, oh non ! Impensable ! Elle faisait preuve de ressources inépuisables, surprenant le brave homme. Lui trichait, il avait un symbiote pour remplir ses batteries, mais elle... Qu’est-ce qui la motivait ? Il ne savait pas, mais il aimait laisser le mystère. Ça contribuait au charme exquis qui se dégageait de cette beauté. L’eau ruisselait sur eux, les entourant, les enveloppant, glissant le long de leurs corps trempés. Leurs respirations étaient lourdes, mais l’eau agissait comme un coup de fouet, galvanisant l’énergie et le désir de Catalina, un désir qu’il lisait dans les yeux de cette femme, des yeux aussi intenses que magnifiques, des yeux qui témoignaient de ses ressources magnifiques. Il était conquis, sous le charme, et la laissa explorer son corps, ses mains se contentant de la caresser, de la soutenir, d’agir là où il le fallait. Lui aussi rêvait d’explorer ce corps, de se perdre dans ses courbes, dans ses formes, encore et encore. Parcourir ce corps, le lécher, l’embrasser, le caresser, pendant des heures, encore et encore, glisser ses lèvres le long du creux de son dos, descendre jusqu’à ses fesses, encore et encore... Elle pouvait être sa religion, et lui son idole, tant il était fasciné par elle.

Chacun des baisers de la femme, chacun de ses mordillements, trahissait son talent fou. Il la laissait mordre son corps, son téton, le dos acculé contre la paroi de la cabine de la douche, tandis que la femme, lentement, descendait peu à peu. Ce corps n’était plus son corps, c’était celui de Catalina, qui l’explorait et en disposait selon son bon vouloir.

« Hmmm... »

De profonds soupirs s’échappaient de son corps, et la femme, peu à peu, se rapprocha de son sexe. Las, la mutine, plutôt que de s’attaquer à la cible tant désirée, choisit malicieusement d’en faire le tour, et mordilla sa cuisse. Douleur et plaisir, comme deux produits chimiques mélangés dans une seule sauce

« Haaa... Petite peste ! »

Il le disait avec le sourire. Comment aurait-il pu détester cette femme ? Elle était pleine d’énergie, pleine de vigueur, magnifique à souhait, faisant preuve d’un entrain merveilleux. Nathan tremblait lentement, sentant son érection l’élancer encore. Enfin, elle daigna s’y attaquer, et lui finit par déplacer l’une de ses mains, caressant les cheveux de la femme, se crispant dessus. Non, elle n’en avait pas encore fini avec elle, et lui non plus. Mais, au stade où ils en étaient, ils en étaient plutôt aux prolongations qu’à la mi-temps... Voire à la séance de tir aux buts.

La femme le prit alors en bouche, relevant ses yeux pour voir l’effet que ça faisait. Elle vit ainsi un corps se tendre, une poitrine s’abaisser et se redresser sous l’effet d’une respiration profonde, autant de témoins extérieurs du plaisir féroce que Nathan ressentait en ce moment, un plaisir qui, en définitive, se caractérisait par l’épaisseur de sa virilité, par la dureté de ce membre, et par la douleur intense qui vibrait dans chacun de ses muscles.

Elle était là, devant lui, à genoux, l’eau ruisselant sur son dos. Nymphe de beauté, fée du désir, il posa ses mains sur ses cheveux mouillés, l’aidant dans ses mouvements, venant répondre à ses caresses buccales en se déplaçant d’avant en arrière, venant ainsi multiplier les gorges profondes, ce plaisir exquis et intense, qui ne rebutait alors aucun des deux amants.

« Ouais... Putain, hmmm... T’es bonne, ma chérie... »

Il se forçait à la regarder, fasciné par ce spectacle, celui de cette bouche en cul-de-poule, arqué sur son membre, un spectacle grotesque, mais qui, en ce moment, était la plus belle des symphonies. Il la regardait faire, et l’accompagnait, y allant de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ses mains ses crispaient sur elle, ses muscles se bandaient, sa respiration devenait plus rauque, et il continuait à la prendre.

Peu à peu, ce fut lui qui reprit les rênes, en donnant des coups de reins de plus en plus prononcés, sa queue filant d’avant en arrière, tapant contre la langue de la femme, puis contre sa gorge, ses bourses remuant d’avant en arrière, heurtant son menton. Il s’était même décollé de la douche, et, même s’il avait envie de la voir, parfois, sa tête partait en arrière, avant de revenir devant, et il continuait à s’enfoncer en elle, encore et encore, la bourrant, en grognant et en soupirant.

« Hhmmm... Catalina, haaaa... !! »
DC d’Alice Korvander.

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Tags : policier erotique