Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une bonne histoire, c'est d'abord un bon méchant [Lucas et... LE MECHANT]

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Jigoku tsūshin

Légion

Le Docteur ne se contrôlait plus vraiment. Il enfonçait sa bite dans ce vagin... d'homme. C'était assez troublant, mais il avait vu des choses un peu étranges, donc un peu plus ou un peu moins... Rencontrer des femmes dotées de pénis était plus courant pour lui, que cela soit de provenance magique, opératoire ou naturelle. Mais c'était la première fois qu'il rencontrait l'inverse, et il devait avouer que la chatte de ce jeune homme était très... Accueillante. On aurait dit qu'il avait fait ça toute sa vie. En y réfléchissant bien, cela était fort possible, puisque c'était un esclave sexuel à l'anus déjà bien utilisé. On avait pas dû être tendre avec lui. Et malheureusement pour lui, ce petit trou n'allait pas chômer non plus.

Cependant, la résistance du Docteur commençait à s'effacer tout doucement, et l'orgasme le rattrapa au galop. Peu avant, il avait croisé le regard de la femme : elle adorait ça ! On aurait dit qu'elle aurait voulu continuer jusqu'à la mort !! Encore avant, il avait senti la main de Valentina effleurer la sienne tandis qu'il la doigtait, qu'il la préparait à la suite. C'était la seule préparation auquel elle aurait droit. Cette fois-ci en tout cas. Encore avant, c'était les gémissements qui Dimtry poussait à chacun de ses coups de butoir, incitant celui-ci à continuer encore plus vite.

Puis ce fut la jouissance. Poussant des râles de plaisir, son pénis se gonfla et cracha quelques jets de sa substance blanchâtre, au fond de l'intimité du gamin, qui semblait en redemander. En effet, cela avait été trop rapide pour que lui aussi ait atteint l'orgasme qu'il voulait lui faire subir. Mais il avait tout le temps. Il modifia son flux sanguin pour que celui-ci soit constant au niveau de son cinquième membre et se retira enfin de cette intimité pourtant si chaude et si visqueuse du fruit de leur ébat.

Pu... C'était trop bon, lâcha-t-il.

Il prit ensuite Valentina par les hanches et força celle-ci à reculer.

Viens par là toi !

Il la tira pour que sa tête soit à peu près au même niveau que l'intimité du jeune garçon. Il donna ensuite un ordre à sa nouvelle esclave :

Prépare-le.

Pour lui, l'ordre était on ne peut plus explicite. Après Valentina, ce serait au tour de Dimtry. D'ailleurs, juste après avoir ordonné cela, avant même lui avoir laissé le temps de pouvoir acquiescer, il écarta légèrement les deux globes qu'il avait autour de lui et commença à pénétrer la femme par la porte de derrière, s'enfonçant d'un coup entièrement, sans ménagement. Il poussa un autre râle de plaisir. Il avait l'impression que les sensations étaient décuplées par rapport à d'habitude, mais il pensait que c'était juste son imagination. Ou alors la vue du jeune garçon avec un vagin, souillé par sa semence. Il n'était pas bisexuel à la base, mais tout ce qui possédait un vagin méritait son attention. Il resta ainsi quelques secondes, savourant sa position dominante, puis commença à bouger. Pas aussi rapidement que précédemment, puisque son orgasme avait calmé un peu ses ardeurs. Il était lent à bouger lorsqu'il s'agissait de reculer, et elle rentrait violemment à chaque fois, faisant claquer ses hanches sur les fesses de la belle. Mais elle avait déjà été lubrifiée, non ?


De l'autre coté de la porte, il n'y avait plus personne depuis un petit moment déjà.
« Modifié: dimanche 30 mars 2014, 10:35:04 par Jigoku No Meru »

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Maelie

Humain(e)

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  • Messages: 1251


  • FicheChalant

    Description
    "Ce qui n'apparaît pas sur l'avatar du personnage" ;
    Eh ben...
    ♥
    Un corps de rêve,
    une niaiserie intempérer,
    des fautes de participe-passé.
    ♥
« Aaaaah !! »

C'est un cri de douleur qui jaillit hors de ses poumons. Son corps s'affaisse sous le coup de rein que lui inflige la brute, comme si elle cherchait à fuir le pieu qui la transperce. Pourvu qu'il ne bouge plus, qu'il lui laisse le temps... elle n'est pas encore habituée à la présence du chibre entre ses fesses, que celui-ci se remet à bouger, lentement. Il recule, se retire lentement, glissant dans l'anneau de chair de sa petite soumise. Elle tremble. La première pénétration l'a tellement fait souffrir, et elle en anticipe une seconde, tout aussi brutale ! C'est un regard effrayé et suppliant qu'elle lance cette fois par dessus son épaule. Insensible à ses prières muettes, l'homme la déchire à nouveau, sans pitié.

« Nhhhh !! »

C'est un gémissement de peine, étouffé par une fesse de Lucas. Une fesse de Lucas ? Ah oui, Lucas. Lorsque le médecin l'a forcée à se positionner derrière l'esclave, Anastasia n'a pas résisté le moins du monde. Elle était prête à tout, pour le mâle, pour le garçon. Elle ne voulait rien d'autre que satisfaire l'un et protéger l'autre. Le derrière toujours en offrande, elle avait saisit le petit par les hanches et lui avait fait soulever le postérieur, pour pouvoir coller facilement la bouche à son intimité moite.

Malheureusement, à peine avait-elle commencé à sucer les chairs roses sanguines, qu'elle était interrompue par la sensation déchirante d'une verge forçant son entrée, et qu'elle abandonnait le sexe de Lucas, trop occupée à souffrir pour pouvoir donner du plaisir. Elle avait fini par coller sa bouche sur l'une des fesses du jeune homme, qu'elle aspirait violemment, la mordant presque, pour s'empêcher de crier.

Chaque allée dans son anus la brûle et elle grimace, s'agrippant à son esclave comme à une bouée. Chaque retour invoque une accalmie, caresse ses chairs maltraitées et, pendant quelques secondes, l'emplit d'une douce et étrange volupté. Alors elle relâche la pression sur le postérieur et les hanches de Lucas. Puis un violent coup de reins la traverse, et elle s'agrippe de plus belle. Après chacun de ces assauts vient la récompense, le calme, quelque chose de similaire à de la tendresse. Bientôt, la douleur se fait moins forte, laissant peu à peu la place à une brûlure sourde. Il semble que la pénétration se fait de plus en plus aisément. Comme si la jeune fille était récompensée de sa patience et de sa docilité, cette torture devient peu à peu délectation. Sa bouche se décolle de la fesse du garçon, sur laquelle elle a bavé abondamment, y laissant l'empreinte d'un suçon et la marque superficielle de ses dents. Elle espère vaguement ne pas lui avoir fait mal.

Avec une certaine tendresse, à défaut d'être experte ou précise, elle insère deux doigts dans le vagin de Lucas et commence à le masturber lentement, pendant que le pouce de son autre main masse le clitoris du petit en effectuant de lents cercles sur celui-ci. A mesure que le temps passe, ses mouvements se font plus passionnés, un troisième doigt s'invite à la fête... elle courbe les doigts à l'intérieur de Lucas, pour atteindre avec plus de force les zones les plus sensibles. Elle manque peut être un peu de douceur : elle est fébrile, la faute à l'autre, derrière, qui efface la moindre pensée à chaque fois qu'il la pénètre.

« Oui... ne... vous arrêtez pas... »

Elle ne regarde plus vraiment ce qu'elle fait : son visage est de nouveau plaqué sur l'une des fesses, comme s'il s'agissait d'un oreiller : elle se fie à son toucher, et aux éventuels gémissements du garçon, pour guider ses gestes, s'assurer qu'elle lui donne du plaisir, et qu'elle ne lui fait pas mal.
« Modifié: lundi 31 mars 2014, 08:49:21 par Maelie »

Lucas

Créature

Un loup garou qui se fait mordre les fesses ? Voilà une situation somme toute assez originale, mais ça ne le gênait pas trop car la douleur était assez raisonnable et il savait que cela aiderait sa maîtresse. le garçon avait été pénétré abondamment par l’escroc mais ce dernier semblait avoir changé de cible pour se concentrer sur Maelie. Au début, quand il l’entendait crier, il se demandait ce qui était en train de se passer mais il était trop faible pour se retourner. Lucas était inquiet, qu’était-il en train de lui faire à sa maîtresse adorée ? Il avait bien une idée mais préférait ne pas avoir confirmation, il détestait la sodomie, c’est douloureux et trop peu agréable pour le faible plaisir retiré. Mais quand on lui ordonne il n’a pas le choix et doit se laisser faire…

Au bout de quelques instants cependant, il cessa d’y penser en sentant quelque chose entrer en lui, sa maîtresse, ses doigts longs et fin mettaient son corps en feu. Il sentait son intimité stimulée avec plus ou moins de douceur, mais malgré cela, il aimait. Il savait que c’était Maelie qui lui faisait du bien, elle et non l’autre qui le touchait. Il se relâcha totalement, chaque muscles de son corps se détendit, il écarta même les jambes encore plus afin de laisser la voie libre à la succube s’offrant complètement à elle.. Ses gémissements étaient forts, bien plus fort que ceux provoqués par la verge imposante du médecin quelques instants plus tôt.

-Maî…maîtresse, maîtresse !!! C’est…c’est…aaaaaah

Il ne pouvait pas finir sa phrase, les sensations étaient trop fortes, trop bonnes. Tout s’amplifia quand elle vint stimuler son clitoris avec son pouce et quand son troisième doigt se joint à la fête. Il sentait sa jouissance venir, et s’y abandonna complètement. Son corps fut secoué de spasmes de plaisir, il cria pendant son orgasme, il cria sa soumission et son affection dans un seul mot :

-Maîtreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeesse !!!!
Fiche de Lucas
Mais il y a aussi sa sœur,   Konu et la la geekete. Contactez moi plutôt sur cette dernière, c'est mon compte principal ;)

Tartare2240

Légion

Alors...
Maelie, douleur puis appréciation. Elle s'abandonne petit à petit au plaisir, bien qu'elle soit en train de souffrir le martyre au début. Mon personnage s'en fout carrément. Peut-être à la limite ça le fait chier parce qu'elle sera peut-être un peu moins obéissante, mais ça rentre pas vraiment en ligne de compte.
...ouais...
Donc du coup, on abandonne l'idée de l'anal pour Lucas. Il va pas être content que Maelie ne l'ait pas préparé. Du coup je vais devoir ajouter les prémices de la fin du RP.


Dehors, un petit bruit se fit entendre, mais cela n'interpella pas le faux médecin, qui était trop occupé avec Valentina.

Well... J'aime bien la musique... Bref, du coup, pour le post de Maelie, je pense que c'est bon. Celui de Lucas...
Ouais, en gros il subit et il aime ça. Okay ! Y'a pas de soucis, Ladies & Gentlemens ! Du coup, pour Mister Je-n'ai-pas-trouvé-de-nom-cool... Alors lui, déjà, il va achever Maelie. Ce serait bien que ça se fasse à ce post, car j'aime pas trop la situation. 'faut pas que j'oublie que, de toute façon, c'est surtout Lucas qui a fasciné le mec. Du coup, c'est normal qu'il veuille la faire tomber assez vite, pour pouvoir profiter de lui en paix, même si là, il réfléchit pas trop. Merde c'est vrai, y'a ce facteur aussi... Du coup, ça change quoi ? Euh... Il va se décharger plus vite peut-être ? Une seconde fois ? Ouais-nan, 'faut pas abuser quand même. J'avais prévu de le faire tomber une deuxième fois au début avec l'anus de Lucas. Poutou, poutou, poutou... En fait, surtout il va pas trop avoir de pensée extérieures à la position actuelle avec Maelie. ça me paraît correct.
Bon, il faut peut-être que je commence moi...


Lors de la première pénétration dans cet anus si accueillant, il avait entendu une longue plainte de douleur émanant de Valentina. Il semblait qu'elle avait souffert. Cependant, c'était loin de le déranger vraiment. Il savait qu'elle apprendrait à l'apprécier, un jour ou l'autre. Car il n'avait pas l'intention de la laisser partir, comme celui qui l'appelait "Maîtresse". A vrai dire, il ne comprenait pas vraiment cette volonté qu'avait les possesseurs d'esclaves que ceux-ci l'appellent par ce titre. Le concernant, celui de "Docteur" était plus... cruel. Car c'est son parfait opposé. Le docteur soigne les malades, alors que lui répand la maladie. Une maladie qui lui permet de s'assurer l'obéissance de ceux qu'il veut en son pouvoir.

Bon, ça c'est fait. J'aime bien la partie sur les maîtres. C'est vrai qu'il aime bien qu'on l'appelle docteur. ça lui donne un air malsain... J'aime. Bref ! La suiiiiiite... Ouais, faire évoluer Maelie, ça me semble être une bonne chose. C'est bien le fil conducteur de cette réponse nan ?

Les cris de douleurs de la première pénétration ne le faisaient pas réagir. Et lorsque Valentina se retourna, lui offrant un air effrayé, il avait répondu par un sourire cruel, un de ceux qui ne laissait aucun doute planer sur la suite. Il allait continuer, pour son plus grand plaisir, quitte à ce qu'elle n'apprécie pas au début. C'était juste un cap à passer. Certes il ne le passait pas de la manière la plus douce qu'il soit, mais il n'avait pas vraiment envie d'être doux. Elle l'avait chauffé, et maintenant, elle devait en payer les conséquences. Et puis, ça aurait pu être pire. Il aurait bien pu ne pas la préparer du tout.

Les cris de douleurs s'étouffèrent lorsque la femme posa son visage sur une fesse de Lucas. Il semblait qu'elle ne pouvait pas vraiment tenir. Bah, tant pis pour lui ! Elle ne devait pas vraiment l'aimer pour qu'elle ne le prépare pas correctement. Il l'avait prévenue pourtant !...

C'est un peu dommage qu'il supporte pas l'anal. Enfin, c'est surtout dommage qu'il l'ait annoncé alors que la mentalité du perso soit aussi avancée. Il faudrait que je remonte beaucoup plus haut pour dégager cette envie de mon perso, ce qui changerait beaucoup trop de choses dans le RP. Tant pis !

Il continua sa pénétration, restant au même rythme : violent lors de la pénétration, lent lors du retrait. Inlassablement, il continuait, ce qui lui faisait un bien fou. Il pouvait sentir sa verge palpiter, encore trempée du sperme qu'elle a craché à l'intérieur de Lucas.

Nan, pas Lucas bordel ! Dimtry !!

Il pouvait sentir sa verge palpiter, encore trempée du sperme qu'elle a craché à l'intérieur de Dimtry.

Voilà. 'faut que je fasse gaffe moi !... Bref, la suite ! Merde, j'suis totalement paumé moi maintenant, le temps d'écrire mes pensées...

Il continua sa pénétration, restant au même rythme : violent lors de la pénétration, lent lors du retrait. Inlassablement, il continuait, ce qui lui faisait un bien fou. Il pouvait sentir sa verge palpiter, encore trempée du sperme qu'elle a craché à l'intérieur de Dimtry. Puis, petit à petit, sa récompense personnelle vint à ses oreilles. Maelie

Valentina !!!

Valentina dégagea son visage du fessier du jeune garçon, et le violeur n'entendait plus aucun son trahissant une quelconque douleur. Tout au contraire, sa respiration indiquait qu'elle était excitée par son traitement, qu'elle appréciait celui-ci. Son énergie en fut alors décuplée.

Well well... Il arrive quoi ensuite ? Bon, il continue de la prendre, ça c'est totalement évident. Il accélère, ce qui semble évident, même si je ne peux pas le faire maintenant sans changer la suite de sa réponse. Nan, du coup, je vais le faire admirer le cunni de Maelie sur Lucas, et ça va bien l'exciter. Ensuite, quand elle demandera plus, ça va le stimuler, et là il va vraiment la défoncer jusqu'à sa jouissance. Non, jusqu'à leur jouissance. Ouais, ça me paraît bien. Vu qu'il peut maîtriser son érection, il n'a pas vraiment apprit à se retenir de jouir pour prolonger le coït, le transformant en véritable fontaine version masculin. Putain, mais qu'est-ce que je raconte comme conneries moi encore ? Et dire que des gens vont peut-être lire ça... Tiens, oublié le "l" à "Teal"...
Bien, continuons ça.


Il eut l'intention de forcer la cadence, mais le spectacle qui se déroulait devant ses yeux l'en dissuada. Car si il accélérait vraiment comme il en avait l'intention, elle ne pourrait plus lui montrer ce magnifique cunnilingus qu'elle était en train de prodiguer au jeune homme. Certes il ne voyait pas grand chose, mais c'était surtout les hurlements de plaisir de Dimtry qui le stimulait.

Et voilà, j'suis encore en train de bander moi... N'empêche j'suis fort quand même !... Tiens, juste le fait d'écrire ça m'a calmé... Bref !

D'ailleurs, il criait un peu fort non ? Il devait avoir un orgasme... Rien que le fait d'y penser, cela l'incitait à redoubler de vigueur dans cet anus. Ceci ainsi que la demande de Valentina elle-même :

Oui... ne... vous arrêtez pas...
Je risque pas de m'arrêter ! répondit-il, grognant de plaisir.

Puis il fut sans pitié. Il la pilonna littéralement. Chaque pénétration lui arrachait désormais un soupir de plaisir. Sentir sa queue naviguer dans l'intérieur si étroit de la jeune femme était tout bonnement inimaginable. Tout son corps aspirait à la luxure, et il faisait qu'en profiter un peu. Il ne faisait que prendre la part qui lui revenait de droit. Et quelle part ! Il accéléra encore le rythme. Enfin, il eut l'impression d'accélérer, car il était déjà à son maximum. Par réflexe, il se pencha en avant, étant désormais au-dessus de Valentina, et ses mains bougèrent. L'une d'elle se cala sur le ventre féminin, pour l'empêcher de rompre le coït, pendant que la seconde lui pénétrait violemment la chatte avec trois doigts, pendant que le pouce titillait son petit bouton.

Tiens, j'avais oublié les balises rouges... Bon, je les ai rajoutées à la volée, la flemme de réécrire.

Il commençait à avoir du mal. Il voulait absolument la voir jouir pour vérifier si ce qu'elle avait dit était la vérité, mais aussi pour pouvoir profiter de son "esclave" sans avoir ses protestations, comme elle avait pu avoir par le passé. Sans crier gare, la jouissance arriva, le forçant à ralentir un peu le rythme à la même cadence que celle de ses jets de sperme se répandant à l'intérieur d'elle, grognant son plaisir de plus belle. Puis, il s'immobilisa pour concentrer son pouvoir une nouvelle fois et augmenter le débit sanguin de sa verge, la laissant ainsi aussi solide qu'un roc. A peine une minute plus tard, il reprit ses pénétrations, d'abord lentement, pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits en paix, mais il arriva bien vite au même rythme de croisière que précédemment. Sa main n'avait jamais lâché son intimité.

Il se pencha légèrement, et chuchota à son oreille :

Allez, jouis pour moi...

Whoah, la fin est passée comme une lettre à la poste ! Même pas eu besoin de réfléchir. Mes mains, je vous tire mon chapeau !...




Lors de la première pénétration dans cet anus si accueillant, il avait entendu une longue plainte de douleur émanant de Valentina. Il semblait qu'elle avait souffert. Cependant, c'était loin de le déranger vraiment. Il savait qu'elle apprendrait à l'apprécier, un jour ou l'autre. Car il n'avait pas l'intention de la laisser partir, comme celui qui l'appelait "Maîtresse". A vrai dire, il ne comprenait pas vraiment cette volonté qu'avait les possesseurs d'esclaves que ceux-ci l'appellent par ce titre. Le concernant, celui de "Docteur" était plus... cruel. Car c'est son parfait opposé. Le docteur soigne les malades, alors que lui répand la maladie. Une maladie qui lui permet de s'assurer l'obéissance de ceux qu'il veut en son pouvoir.

Les cris de douleurs de la première pénétration ne le faisaient pas réagir. Et lorsque Valentina se retourna, lui offrant un air effrayé, il avait répondu par un sourire cruel, un de ceux qui ne laissait aucun doute planer sur la suite. Il allait continuer, pour son plus grand plaisir, quitte à ce qu'elle n'apprécie pas au début. C'était juste un cap à passer. Certes il ne le passait pas de la manière la plus douce qu'il soit, mais il n'avait pas vraiment envie d'être doux. Elle l'avait chauffé, et maintenant, elle devait en payer les conséquences. Et puis, ça aurait pu être pire. Il aurait bien pu ne pas la préparer du tout.

Les cris de douleurs s'étouffèrent lorsque la femme posa son visage sur une fesse de Lucas. Il semblait qu'elle ne pouvait pas vraiment tenir. Bah, tant pis pour lui ! Elle ne devait pas vraiment l'aimer pour qu'elle ne le prépare pas correctement. Il l'avait prévenue pourtant !... Il continua sa pénétration, restant au même rythme : violent lors de la pénétration, lent lors du retrait. Inlassablement, il continuait, ce qui lui faisait un bien fou. Il pouvait sentir sa verge palpiter, encore trempée du sperme qu'elle a craché à l'intérieur de Dimtry. Puis, petit à petit, sa récompense personnelle vint à ses oreilles. Valentina dégagea son visage du fessier du jeune garçon, et le violeur n'entendait plus aucun son trahissant une quelconque douleur. Tout au contraire, sa respiration indiquait qu'elle était excitée par son traitement, qu'elle appréciait celui-ci. Son énergie en fut alors décuplée.

Il eut l'intention de forcer la cadence, mais le spectacle qui se déroulait devant ses yeux l'en dissuada. Car si il accélérait vraiment comme il en avait l'intention, elle ne pourrait plus lui montrer ce magnifique cunnilingus qu'elle était en train de prodiguer au jeune homme. Certes il ne voyait pas grand chose, mais c'était surtout les hurlements de plaisir de Dimtry qui le stimulait. D'ailleurs, il criait un peu fort non ? Il devait avoir un orgasme... Rien que le fait d'y penser, cela l'incitait à redoubler de vigueur dans cet anus. Ceci ainsi que la demande de Valentina elle-même :

Oui... ne... vous arrêtez pas...
Je risque pas de m'arrêter ! répondit-il, grognant de plaisir.

Puis il fut sans pitié. Il la pilonna littéralement. Chaque pénétration lui arrachait désormais un soupir de plaisir. Sentir sa queue naviguer dans l'intérieur si étroit de la jeune femme était tout bonnement inimaginable. Tout son corps aspirait à la luxure, et il faisait qu'en profiter un peu. Il ne faisait que prendre la part qui lui revenait de droit. Et quelle part ! Il accéléra encore le rythme. Enfin, il eut l'impression d'accélérer, car il était déjà à son maximum. Par réflexe, il se pencha en avant, étant désormais au-dessus de Valentina, et ses mains bougèrent. L'une d'elle se cala sur le ventre féminin, pour l'empêcher de rompre le coït, pendant que la seconde lui pénétrait violemment la chatte avec trois doigts, pendant que le pouce titillait son petit bouton.

Il commençait à avoir du mal. Il voulait absolument la voir jouir pour vérifier si ce qu'elle avait dit était la vérité, mais aussi pour pouvoir profiter de son "esclave" sans avoir ses protestations, comme elle avait pu avoir par le passé. Sans crier gare, la jouissance arriva, le forçant à ralentir un peu le rythme à la même cadence que celle de ses jets de sperme se répandant à l'intérieur d'elle, grognant son plaisir de plus belle. Puis, il s'immobilisa pour concentrer son pouvoir une nouvelle fois et augmenter le débit sanguin de sa verge, la laissant ainsi aussi solide qu'un roc. A peine une minute plus tard, il reprit ses pénétrations, d'abord lentement, pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits en paix, mais il arriva bien vite au même rythme de croisière que précédemment. Sa main n'avait jamais lâché son intimité.

Il se pencha légèrement, et chuchota à son oreille :

Allez, jouis pour moi...

Dehors, un petit bruit se fit entendre, mais cela n'interpella pas le faux médecin, qui était trop occupé avec Valentina.

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Maelie

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    ♥
    Un corps de rêve,
    une niaiserie intempérer,
    des fautes de participe-passé.
    ♥
« Lucas, mon petit Lucas !! »

Elle répond aux cris de son esclave par un murmure et lui embrasse passionnément la fesse, à l'endroit où elle a déjà laissé sa marque, s'activant frénétiquement alors qu'elle le sent perdre le contrôle entre ses mains. Elle gémit avec lui, tandis qu'il jouit, et se serre contre lui dans une étreinte fusionnelle. Elle embrasse et caresse sa peau de jeune garçon, accompagnant l'accalmie de sa jouissance par des démonstrations d'affection.

Son attention est vite éloignée de son protégé, cependant, car les assauts du médecin se font de plus en plus violents, ramenant la douleur dans leur ébat. Chaque coup arrache un cri à la victime, tant de souffrance que de délectation masochiste. La chair de ses fesses se retrouve à vibrer en permanence, secouées à chaque heurt par le bassin du mâle. Une main se pose sur son ventre, sous le nombril, puis des doigts pénètrent son sexe... enfin. Un véritable plaisir, doux, intense, accompagne enfin la maltraitance qu'elle subit depuis plusieurs minutes. Elle couine avec empressement, terminant d'ignorer tout amour propre.

« Merci... merci... »

Soudain, son amant se retrouve agité de spasmes, sa verge s'enfonce au maximum en elle et y tressaute, déversant sa semence au plus profond de son fondement. Pour la seconde fois, elle gémit de bonheur, de sentir la jouissance d'autrui.

Les va et vient du médecin ralentissent, mais, contrairement à ce à quoi elle s'attendait, ne cessent pas. Les doigts, eux s’attellent toujours à la rendre folle. L'homme est penché sur elle, elle peut sentir son souffle sur sa nuque, il torture simultanément ses deux orifices.

« Allez, jouis pour moi... »

 La respiration de son maître caresse et chatouille l'oreille de la belle, qui ferme les yeux, définitivement conquise.

« Oui, monsieur... docteur... » 

Le plaisir enfle dans son bas ventre, elle ne peux plus le contrôler, et même si l'avait voulu, le retenir aurai été impossible.

« Aaah AAH !! »

Deux cris proches de la panique précèdent sa jouissance : elle perd tout contrôle. Sa chatte se resserre en emprisonnant les doigts de son tortionnaire, et elle sent son anus se contracter autour du membre qui le traverse, toujours avec plus de force, comme si un crampe effrayante et délicieuse la possédait. Son corps se durcit et ses yeux se révulsent ; elle enfonce ses ongles dans les cuisses de Luca, et ses entrailles vagissent d'elles mêmes leur jouissance à travers sa bouche grande ouverte. Le fluide de la succube imbibe les doigts et la main de son bienfaiteur et commence à faire son chemin sur les cuisses.

Puis la jeune fille retombe peu à peu dans le silence, les derniers spasmes se calment. Ses membres s'engourdissent, son esprit s'enfonce dans un lit de cotôn. Sa tête heurte mollement le sol, alors que son visage écarlate témoigne d'un intense soulagement. Puis, toute son anatomie se relâchant, l'esclave dévouée devient une poupée de chair sans force ni volonté, à demi-consciente.

Lucas

Créature

Lucas était comme sur un petit nuage, son corps était inanimé pendant que Maelie lui montrait son affection. Il sentait chaque caresse chaque baiser sur ses fesses mais il était comme ailleurs, absent, en dehors de la situation…Tout était flou dans son esprit et ce n’était pas un effet de l’orgasme, c’était…autre chose. Il n’entendait plus rien, sa vision se troublait, son corps mou cessait de bouger et son regard était perdu dans le vide. Il ne voyait que du noir, l’obscurité l’entourait, le silence était assourdissant. Les seuls bruits qu’il entendait étaient l’écho de sa propre respiration et de ses propres mouvements, il était seul, désespérément seul.

Lucas, mon petit Lucas !! Fut la première chose qu’il put entendre ici, il reconnaissait la voix de sa maîtresse, mais était-elle ici ? Perdue dans les ténèbres ? Il tourna sur lui même, la cherchant du regard sans la trouver. La phrase se répétait en boucle, résonnant dans tout cet endroit inquiétant mais, à chaque répétition, le timbre de voix changeait un peu.
Lucas, Lucas, Lucas, Lucas…’’ une nouvelle voix avait fait son apparition et résonnait à son tour. La voix de Maelie, à force de répéter la phrase, avait été remplacée par celle là. Lucas était sûr de connaître cette voix, il savait qu’il l’avait déjà entendue quelque part, il savait qu’elle lui était familière.

Dans les ténèbres au loin apparut une lumière, une lumière faible, vacillante mais présente, le blondinet se dirigeait vers elle en courant, effrayé par ces ténèbres où il ne voyait rien. C’était ça qui l’inquiétait, il ne voyait rien alors que d’habitude ses yeux lui offraient la nyctalopie. Il était perdu, il se rattachait à cette lumière, à la voix qui en émanait comme s’ils étaient son seul moyen de survie. Il courait, courait à en perdre haleine, ses pieds lui faisaient mal, sa respiration était irrégulière, partagée entre l’accélération due à l’effort et à la peur du lieu. 

Plus il se rapprochait de la lumière plus il se sentait rassuré, plus il sentait qu’il faisait bon et chaud. Soudain un autre bruit vint à ses oreilles, un rugissement, un grognement bestial, en tournant la tête il se vit. Il se reconnaissait, c’était la bête qui sommeillait en lui…Il s’arrêta et marcha à sa rencontre, le monstre l’enlaça affectueusement puis, dans un hurlement de loup lors de la pleine lune, embrouilla à nouveau la vue de Lucas qui sentait le monde s’écrouler sous ses pieds, il se sentait tomber…



En ouvrant les yeux, il entendit sa maîtresse crier. Un cri de peur mêlé à un orgasme, que se passait-il ? Combien de temps avait-il été évanouit ? Quelques secondes ? Quelques minutes ? Sa réflexion fut interrompue par un nouveau silence, en se retournant il remarqua que quelques forces lui étaient revenues. Maelie était là, sur le sol, inanimée, alors elle disait vrai ? Un orgasme et elle perd connaissance ? Étrange…

-Maîtresse…dit faiblement Lucas en lui caressant le visage…avant de regarder le médecin.
-Vous avez eu ce que vous vouliez non ? Maintenant soignez la, laissez-la partir, arrêtez lui faire du mal...je...

Il se mit sur le corps de la succube afin de la protéger d’éventuels autres abus, il n’allait pas la laisser souffrir d’avantage. Son bassin était sur son dos, sa tête au niveau de ses pieds. Qu’allait-il se passer maintenant ? Lucas n’était pas dupe, il savait que l’individu ne les laisserait jamais partir tout les deux, il connaissait les vices des hommes et leur envie de domination. Mais il n’allait pas rester à ne rien faire, quitte à mourir autant le faire en défendant la seul personne qui lui ai jamais montrée de l’affection comme l’a fait Maelie.
Une larme coula sur sa joue, un sanglot fit son apparition...
-Je vous servirais...je vous obéirais quelques soit l'ordre que vous me donnerez, je serais votre esclave... votre chose...votre objet mais...laissez la partir, laissez la vivre...
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Jigoku tsūshin

Légion

[HRP : Musique d'ambiance : ♪♫♪♪♫]

Pourquoi devait-il se taper toujours les personnes les plus étranges de Terra ? Cette fois-ci, il était tombé sur un... Euh... Couple, dont le petit appelle la grande "Maîtresse", et celle-ci s'évanouit au moindre orgasme ? En ajoutant le fait qu'il ait un sexe féminin... Il était vraiment tombé sur un duo unique. Il ne pourrait pas faire grand chose d'eux, à part d'abuser d'eux sexuellement, ce qui finirait par le lasser un jour. Mais pas aujourd'hui.

Lorsque Anastasia avait jouit, il avait senti son anus se resserrer autour de son membre, rendant la pénétration encore plus violente bien que légèrement moins rapide. Il avait prit ses hurlements comme un dû, comme s'il avait mérité ce doux son. Entre douleur, colère et plaisir, les trois si bien entremêlés qu'il est impossible de les discerner. Il sent bien qu'elle ne se contrôle plus, car elle est entièrement en son pouvoir. C'est lui qui mène la danse, et personne d'autre. Et putain, qu'est-ce qu'elle est bonne !

Puis elle s'était effondrée sur le sol. Plus de cris, plus de gémissements de jouissances, plus rien. Elle avait donc dit la vérité : après avoir jouit, elle est aussi fugace qu'un poulpe en plein désert sans eau. Dommage, il aurait bien voulu s'amuser encore un peu avec elle. Il aurait voulu qu'elle pénètre durement le petit Dimtry, qu'elle lui fasse mal, et que ça lui fasse du bien. Car rien de plus jouissif que le moment où les cris de douleurs deviennent des hurlements de plaisir sincères. Mais tant pis, il s'en occuperait lui-même. Après tout, sa verge dégoulinante de sperme était encore prête à l'action... Avant même qu'il ait pu s'approcher de lui, il rampa jusqu'à celle qu'il considérait comme sa maitresse afin de la protéger. Il proposa même de se sacrifier pour elle. Mais ce qu'il n'avait pas déjà compris, c'est qu'ils étaient déjà tout deux ses prisonniers, même sans barreaux ! Prisonniers de sa maladie, qui rongerait petit à petit leurs forces s'ils s'éloignaient ou se rebellaient. Ce qu'ils ne pouvaient pas faire pour l'instant. Mais il leur expliquera les règles.

Il le prit par les aisselles avant de lever son visage au même niveau que le sien pour lui déclarer :

De toute façon, c'est avec toi que je vais continuer...

Il le retourna ensuite, le tenant maintenant par le torse et la jambe gauche, son pénis effleurant son anus. Elle ne l'avait pas lubrifié... Tant pis pour lui. Il aura mal. Très mal. Au début du moins...

Un bruit se fit entendre à l'extérieur, arrêtant le violeur dans son geste. La poignée se mit à tourner et un jeune homme d'une vingtaine d'années fit son apparition, l'air horrifié. Il portait une poupée noire dans les mains, décorée d'un joli fil rouge attaché autour de son cou avec un nœud qui menaçait de se défaire. Il fit à haute voix :

Alors j'avais raison...
Quoi ? Tu sais surtout que tu ne peux rien contre moi. RIEN ! répondit-il à sa question muette.
Au moins, tu ne feras plus de mal à personne...

Avant même que le faux médecin puisse esquisser le moindre geste, l'homme avait retiré la ficelle rouge. Ce premier disparût alors, laissant tomber le jeune garçon sur la fille, tout deux nus.


Dans une autre dimension...

Vous êtes où ?

Le petit avait disparu, tout comme l'autre amoureux transi. Où étaient-ils, c'était une bonne question, parce que lui n'avait pas l'air d'avoir bougé. Quand ce fichu gamin avait retiré l'espèce de ficelle qu'il y avait autour de cette poupée, tout avait disparu autour de lui. Enfin, les deux garçons. Les objets autour de lui y étaient encore. Il essaya de concentrer son pouvoir, mais il ne sentait personne de contaminé autour de lui. Pourtant, il avait bien une portée d'une cinquantaine de kilomètres avec son pouvoir !... Que se passait-il donc ? Quelle était cette mascarade ?

Il essaya de bouger, mais il fut retenu par une espèce de... chose, sur le sol. On aurait dit de la mélasse qui s'accrochait à ses pieds, l'empêchant de le retirer du sol. Mais comment était-ce possible ? Le sol était parfaitement dur il y a moins de dix secondes, et strictement rien n'était entré ! Et il ne pouvait plus bouger... Pourquoi ? Qu'arrivait-il autour de lui de si étrange ? Qui en était le responsable ? Il regarda autour de lui, et capta du regard son couteau, à moins de deux mètres de lui. Malheureusement, ses bras ne faisaient pas cette longueur, et il posa ses mains par terre, les emprisonnant à leur tour dans cette espèce de mélasse, ainsi que ses jambes.

Au secours !

Il sentait qu'il s'enfonçait petit à petit, sans pouvoir bouger. Seule sa tête était en dehors désormais. On aurait dit des sables mouvants. Il s'était remis à la verticale tout simplement parce que ses pieds s'enfonçaient plus vite que sa tête, mais il ne pouvait plus rien faire d'autre que d'appeler à l'aide. Puis sa tête coula juste après qu'il prit une grande respiration.

Étrangement, lorsqu'il fut entièrement recouvert, il put à nouveau bouger et respirer. Sauf que tout autour de lui était noir. Et ses appels sonnaient dans le vide. Il n'y avait personne pour lui répondre. Sauf lorsqu'il eut la bonne idée de se retourner, pour la quatrième fois au moins. Une jeune femme y était apparu. Une belle jeune femme, très appétissante... Mais ce n'était pas le plus urgent. Il fallait qu'il sorte d'ici au plus vite, avant d'avoir à nouveau des mauvaises surprises !

Où sommes-nous ?
Oh, ne vous inquiétez pas... Nous sommes juste à l'intérieur de ce que vous infligez à ces pauvres personnes... La terreur noire.
Hein ? Comment ça........

Il s'interrompit dans sa remarque, car la femme venait de se transformer en squelette. Sans peau, ni muscles. Juste les vêtements qui restaient. Il fit un bond en arrière en hurlant de peur, mais percuta une autre personne. Lorsqu'il se retourna pour voir de qui il s'agissait, il vit une espèce de roue géante enflammée à quelques centimètres à peine de lui ! Et... Au milieu de... Il y avait le visage d'un vieil homme. Un visage qui souriait, malgré l'horreur qu'il devait subir à cause des flammes ! Et il riait... Il riait aux éclats !

C'en était trop pour l'homme. Il tourna les talons et se mit à fuir. Le plus vite possible. Pour sortir de ce cauchemar. Malheureusement, comme il le savait, fuir ne réglait aucun problème, car il vit une jeune fille flotter juste à coté de lui. Attend... Flotter ? Oui, elle ne courrait pas, elle flottait ! Et elle lui parlait !

Yami ni madoishi awarena kage yo
... Hito o kizutsuke otoshimete
Tsumi ni oboreshi gō no tama
Ippen... shinde miru?
                Ô misérable petite ombre enfermée dans les ténèbres,
… méprisant les gens allant jusqu'à les blesser…
Âme noyée dans un karma immonde…
Veux-tu goûter à la mort, cette fois ?

La fille... Elle avait un kimono plein de fleurs... Comment avait-il pu ne pas les voir plus tôt ? Maintenant, il ne voyait plus qu'elles. Plus que les fleurs de son costume. Puis plus rien.



Il se réveilla dans une barque. Enfin, il croyait que c'était une barque... Lorsqu'il essaya de se lever, il n'y arriva pas. Il se sentait mal, très mal... Comme s'il allait vomir au moindre mouvement. Et il se sentait faible... Tellement faible... Il regarda la jeune fille, toujours avec son kimono à fleurs, qui était en train de ramer, doucement, silencieusement, à travers une brume épaisse qui laissait entrevoir quelques bougies sur l'eau.

Comment... ?

Elle ne lui répondit même pas, et il n'essaya plus de parler, car la moindre respiration lui faisait extrêmement mal. Comment était-ce possible ? Son pouvoir ne fonctionnait-il donc plus ? N'était-il plus immunisé contre les maladies ?

La vengeance est accomplie...

Il était allongé dans la barque, et il vit les Portes Torii.


A Nexus :

La poupée avait disparu. Il ne restait dans ses mains plus que la ficelle rouge, qui venait de sceller le destin post-mortem des deux hommes. L'Enfer... Mais ce n'était pas ce qu'il regrettait le plus. Il tomba à genoux, et se posa sur ses talons, regardant les deux corps l'un sur l'autre avec une infinie tristesse.

Si j'avais tiré cette ficelle plus tôt, vous ne seriez pas...

Il ne termina pas sa phrase, conscient que, de toute façon, elle était assez explicite pour définir la mort. Car oui, lorsqu'on tue cet homme, la maladie se répand dans les corps, tuant ses victimes dans d'atroces souffrances. Mais il ne voulait pas leur avouer. Il ne POUVAIT pas leur avouer, tout simplement. Il avisa juste le couteau qu'il y avait près des deux personnes. Il se leva, le prit et s'assit sur l'espèce de lit, là où IL avait torturé sa femme. Il contempla longuement son arme, hermétique à toute intervention extérieure. On pouvait lire de la tristesse sur son regard, ainsi que des regrets. Beaucoup de regrets. Au bout d'un certain temps, il leva son visage vers le jeune homme et lui dit :

Si tu croises la famille de ma femme, dis-leur que j'ai payé ma dette...

Sans lui laisser le temps de réagir, il se trancha la gorge, s'offrant ainsi une mort lâche mais rapide.



Enma Ai...?

Il se retrouvait dans la barque de la Jigoku Shoujo, qui portait un magnifique kimono à fleurs pour l'occasion. Il était triste en pensant à toutes ces personnes qui mourraient à petit feu, mais il ne pouvait pas supporter une nouvelle fois la douleur lancinante qui lui arrachait les os à chaque fois qu'il osait contester SES ordres.

Je vais te révéler une chose : la maladie meurt avec celui qui la répand...
Donc ils ne mourront pas ?...

Contre toute attente, il était loin de vouloir lui reprocher de ne pas lui avoir dit plus tôt. Au contraire, il était content pour les autres. Ils vivraient. Ils avaient le droit à cette vie.

[HRP : Les paroles en japonnais sont cliquables !]

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Lucas

Créature

Lucas s'était résigné, il n'avait plus la force de se débattre de toute façon, s'il pouvait permettre à Maelie de se reposer un peu alors qu'il en soit ainsi. Il savait ce qui allait se passer, il aurait mal surtout que son anus n'était pas du tout préparé. Il se laissait soulever. En sentant le membre  de l'escroc frôler son corps il eut un frisson d'angoisse, il connaissait la douleur qui allait le parcourir, il ne pouvait qu’espérer que le médecin finisse vite...très vite. Être relevé et redressé aussi brutalement lui donna le vertige, il était faible à peine plus actif que la succube. Le blondinet ferma les yeux autant à cause du malaise qu'à cause de la peur qui l'envahissait. Alors qu'il attendait l'instant fatidique, le moment où un éclair de douleur fulgurant allait parcourir son corps, une personne entra, puis une autre... Lucas ne comprenait rien à la situation, d'autant plus que lorsqu'il tomba au sol, il perdit légèrement connaissance... En ouvrant à nouveau les yeux, il remarqua la présence d’un homme armé d’un couteau sur le lit. Avant même que Lucas ne puisse poser des questions, l’individu s’égorgea purement et simplement. S’en était trop pour le blondinet qui perdit à son tour connaissance…

Il finit par se réveiller sans savoir combien de temps il était resté évanouit. En réalité il avait dormit durant 20 minutes et fut tiré de sa torpeur par la forte odeur de sang présente dans la pièce. Il se leva…hé, il se levait ! Il avait à nouveau des forces et la tâche qu’il avait sur la main avait disparue, enfin une bonne nouvelle ! Il se tourna vers Maelie puis l’observa afin de savoir si elle était vivante. Oui, heureusement elle l’était,  la voir mourir lui aurait été insupportable. Il devait prendre soin de la jeune femme, après tout elle avait beaucoup souffert à cause du traitement de l’escroc, bien plus que Lucas.

Ce dernier parti en expédition en ouvrant une porte située au fond de la pièce : un lit, un poêle, une bassine d’eau qui chauffait, des placards…Apparemment il avait trouvé le lieu de vie du médecin violeur. Il fouilla les armoires et y trouva des draps propres. Il remplaça les draps surement sales qui étaient présent sur le lit pour y mettre les neufs. Ensuite, le loup garou fonça dans la salle ensanglantée et souleva Maelie. Il n’aurait pas pu le faire en restant parfaitement humain, il se transforma légèrement, juste assez pour avoir la force de soulever sa maîtresse. Ses yeux étaient devenus jaune avec une pupille verticale, ses bras avaient grossit.
Il la déposa doucement sur le lit avant d’aller récupérer leurs affaires respectives puis retourna dans la chambre en verrouillant la porte pour ne pas que Maelie ne puisse voir tout cela à son réveil, après une telle expérience, il fallait la ménager… (La clé termina cachée sous un livre)

Lucas ne s’arrêta pas là, il prit des torchons propres, agrippa la bassine pleine d’eau chaude et alla au chevet de la succube. Il la nettoya, le tissu chaud et humide se baladait sur tout son corps, même sur ses parties intime. Il était hors de question qu’il reste des traces du passage de l’horrible individu qui a été leur bourreau. Finalement, en l’espace de 10 minutes, le corps de Maelie fut totalement propre, il ne restait rien à part une peau claire et chaude et brillante à cause de l’humidité du torchon.

Ici il faisait bon, le poêle emplissait la salle d’une chaleur très agréable, au moins ils ne tomberaient pas malade…pas une nouvelle fois. Lucas s’assura que tout était parfait pour la succube, il lui mit les oreillers de telle façon à ce que sa tête soit bien installée, il la couvrit d’un drap une fois son corps sec…Il alla jusqu’à laver ses habit dans l’eau chaude et les mettre à sécher près du poêle.
Que faire de plus ? Manger, faire des réserves ! Et pour cela il fouilla les placards présents dans la chambre et y découvrit de la nourriture, de la BONNE nourriture. Lucas attrapa tout ce qui lui passa sous la main, se munit d’un couteau trouvé dans un tiroir et…commença à cuisiner pour Maelie.

Elle aurait sans doute du mal à se remettre de ses émotions et de la maladie, après tout elle n’était pas un Lycan. Lucas savait que c’était son sang qui lui a permis de récupérer aussi vite. En conséquence il ferait bien attention à ce que sa maîtresse se repose convenablement avant de reprendre leur fuite, de toute façon personne ne viendrait les déranger ici… Au menu : artichaut avec du canard…ou bien est-ce un poireau ? Lucas confond toujours..
« Modifié: mercredi 16 avril 2014, 19:09:29 par Lucas »
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Maelie

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    Un corps de rêve,
    une niaiserie intempérer,
    des fautes de participe-passé.
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Anastasia ouvrit les yeux, réveillée par un odeur de nourriture ; manger. Son corps, en position fœtale, était confortablement emballé, glissé entre un matelas et des couverture, sa tête enfoncée dans un oreiller. Elle resta ici sans bouger, les yeux dans le vague. Non loin, son petit Lucas s'activait (nu, encore, cela devenait décidément une habitude). Les effluves de sa cuisine firent un peu saliver la succube, qui ne daigna pourtant pas s'extraire de son cocon de tiédeur.

Elle se souvenait bien de l'endroit où elle se trouvait, et des événements sinistres qui s'y étaient déroulés. Il y avait certainement encore un cadavre dans la pièce d'à côté, mais... elle n'avait pas envie de se lever , et d'affronter... tout ça ; elle était très bien ici. Il faisait chaud, et une agréable lourdeur pesait sur ses membres doucement courbaturés. Elle poussa un grognement, en étirant ses jambes sous les draps, et roula sur le dos, savourant la caresse du tissu sur sa peau nue. Elle était propre, cela se ressentait. Elle se souvenait d'ailleurs avoir été nettoyée avec soin après avoir été portée ici. Portée ? Lucas avait du user d'une quelconque capacité cachée, l'un de celles qui lui avait permis de les sauver, la première nuit.

Encore un mort, donc. C'était la deuxième fois en deux jours qu'elle assistait à une effusion de sang. Elle n'y était pour rien, bien sûr, mais...

Elle ramena la couverture sur son visage, s'efforçant de ne penser à rien. Une sensation désagréable à son fondement vint lui rappeler les événements de la veille d'une manière plus palpable. Elle poussa un soupir et sortit la tête de sa cachette.

« Coucou. »

C'était le premier mot qui lui était venu. Et ça n'était pas un "coucou" débordant d'enthousiasme, d'ailleurs. Elle pivota pour se mettre assise, quittant à contre-coeur son petit coin de paradis, tout en restant à demi-enroulée dans un drap blanc, afin de couvrir ses parties intimes. Elle posa son regard sur le corps de Lucas. Elle ne le voyait plus vraiment de la même manière, depuis qu'elle le connaissait de manière si charnelle. Elle retira l’élastique qui retenait ses cheveux en queue de cheval, laissant ses mèches rouges retomber sur ses épaules. Elle jeta un regard autour d'elle, pour voir si son sac était tout près ; elle aurait bien aimé se peigner, mais elle n'avait aucune envie de retourner dans la pièce voisine... donc tant  pis.

« Hm, qu'est-ce que... c'est du canard avec du poireau ? »


Elle avait le nez, la petite.

Lucas

Créature

Lucas était un très bon cuistot, il se fiait à son nez plus qu’à sa langue, après tout on lui avait, des années durant, ordonné de cuisiner mais en lui interdisant de goûter quoi que ce soit. Et pourtant, le blondinet était un véritable cordon bleu, pas besoin de recettes précises ou d’instrument de mesure, il y allait à l’expérience, au talent…et au flaire. Le tout était dans une marmite sur le feu, il mélangeait pour obtenir une bonne cuisson quand il entendit des mouvements en provenance du lit derrière lui. Il sourit sans se retourner, ainsi donc elle était réveillée, tant mieux, cela rassura le petit qui craignait que le coma ne soit trop long. Il n’avait aucune connaissance en médecine à part les connaissances basiques, il n’aurait pas pu jouer au docteur très longtemps…

-Coucou

-Re-bonjour maîtresse, dit-il en tournant la tête, vous devriez rester coucher. Votre corps doit récupérer de l’épreuve qu’il a subit…Vous n’avez rien à faire je m’occupe de tout ! Dit-il avec une voix pleine d’enthousiasme à l’idée de faire plaisir à Maelie, un grand sourire sur les lèvres.

Oui il avait vraiment tout fait pour Maelie, à tel point qu’il ne s’était même pas occupé de lui-même, il était encore sale, de la semence masculine était encore présente sur le bas de son corps, elle é séchait. Comme il n’avait pas froid il n’avait même pas prit la peine de se rhabiller, il devait s’activer pour Maelie, ne pas la faire attendre pour qu’elle soit bien. Il descendit du petit tabouret qu’il utilisait pour ajouter les ingrédients à la marmite, alla près du lit et tapota l’oreiller de Maelie. Il avait appris au fil des années à mettre dans de bonnes conditions des gens installées dans un lit, un oreiller bien préparé représentait une bonne partie de la détente du coup il savait y faire.  Il attrapa un second drap qu’il posa sur la succube, il ne faisait pas froid ici mais un corps choqué était plus susceptible d’avoir froid.  Il grimpa à nouveau sur son petit tabouret, ajouta une sorte de sel et reposa le couvercle. Il semblait satisfait de la tournure que prenait sa préparation…Préparation qui intriguait sa maîtresse qui devina le nom exact du plat.

-Hm, qu'est-ce que... c'est du canard avec du poireau ?

-En effet, il faut encore attendre un peu avant qu’il soit assez cuit. Vous avez un bon flair maîtresse *hihi*. Il se tourna face à la rousse Vous voulez quelque chose ? Votre sac peut être ? dit-il en remarquant qu’elle semblait chercher un objet du regard. Il s’avança au pied du lit, se baissa sous ce dernier et en sortit le sac de Maelie. Le voilà !

Cela fait, il grimpa sur le lit, son visage était un peu plus triste car le sujet qu'il s’apprêtait à aborder était honteux pour lui...
-Je suis désolé maîtresse, j'ai essayé de vous protéger, j'ai essayé de toutes mes forces...mais je n'arrivais pas, j'étais un poids pour vous, à cause de moi vous...

Sa voix était encore plus triste, il baissa la tête:

-Je vous ai entendu crier, vous aviez mal et je n'ai rien pu faire pour empêcher cela...*snif*Je...c'était à moi de souffrir j'y suis habitué...pas à vous... dit il en commençant à sangloter.
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[Bon, puisque tu es passé en orange je reprend mon rouge ^^ ]

Malgré les conseils de son bienveillant, Anastasia ne daigna pas s'allonger à nouveau ; maintenant qu'elle était en position verticale, ça aurait été trop bête de gâcher cet effort en replongeant sur son oreiller. Et puis elle ne se sentait pas plus mal que ça. Pas plus qu'après une journée excessivement sportive. Elle remarqua que Lucas était encore souillé de la veille, lorsqu'il s'approcha d'elle. Ca ne l'étonnait pas plus que ça, qu'il se néglige pour la servir, elle commençait à s'habituer à son fonctionnement. Ça n'en restait pas moins légèrement inquiétant...

Alors qu'elle en était à ces pensées, le gamin lui tendit son sac, comme s'il avait lu dans son regard. Décidément, elle avait à faire au valet parfait. Elle le gratifia d'un sourire gêné ainsi que d'un « Merci ! » et plongea la main dans son bagage pour en tirer son peigne. Elle allait commencer à lisser sa tignasse, quand, contre toute attente, le blondinet commença à se confondre en excuses. C'était un peu fort, là !

« Mais enfin ! »

Elle lui mit une tape derrière la tête et le dévisagea d'un air sévère ;

« Ce n'est pas aux petits garçons de défendre les grandes personnes ! »

Et puis, comme il commençait à pleurer, elle ne put résister et attrapa le crâne du garçon entre ses mains, puis l'attira jusqu'à elle, le poussant à se reposer sur son épaule. Sa main gauche grattait tendrement le cuir chevelu, du bout des ongles, au dessus de sa nuque, tandis que sa main droite effectuait de caressants aller retours sur le bras nu, du coude à l'épaule et de l'épaule au coude, s'arrêtant parfois pour le pétrir doucement entre ses doigts.

« Je vais bien, ne t'inquiète pas... »

Tout en parlant, elle avait commencer à le bercer, par de petites oscillations d'avant en arrière. La couverture dont elle s'était recouverte par un soucis de pudeur avait glissé jusqu'au niveau de ses hanches, mais elle ne s'en souciait que peu. Pour l'instant, le contact de leurs deux corps se limitait à l'épaule et aux bras, la situation n'était donc pas tellement gênante, comparé à ce qu'ils avaient déjà vécu. Mais il était vrai qu'elle aurait pu le devenir, s'ils avaient été plus proches.

Lucas

Créature

L"adolescent se calmait, mais la première phase de son sanglot ne fut pas arrangée par la tape que sa maîtresse lui donna derrière la tête. Bien sûr il avait connu bien pire, tellement pire...mais le fait que ce soit elle qui la lui donne lui faisait quelque chose.  Bizarre d’ailleurs,après tout il a 15 ans, il est esclave depuis ses 5 ans. Pendant ces 10 années il avait connu tellement d'horreurs, de maltraitances et de tortures...Pourquoi une petite tape et un regard sévère lui faisait cet effet? C'était tellement...futile comparé à tout ce que sa mémoire contenait, les coups, les fouets, les brûlures, les expériences... Il ne comprenait pas pourquoi, pourquoi il réagissait comme ça, il était perdu, chamboulé.

Puis il sentit quelque chose qui le calma aussitôt; il était contre sa maîtresse, ses doigts se baladaient dans ses cheveux blonds tandis que son autre main était sur son bras. Quasi instantanément, le sanglot stoppa, Lucas alla plus loin, il prit Maelie dans ses bras et se serra fort contre elle. Le draps était encore tombé un peu plus mais il s'en fichait, la pudeur était une notion relative chez lui, et puis après ce qu'ils avaient vécu ce n'est pas être nu  contre elle qui allait le gêner. Il était bien là, contre le corps chaud de la succube, il aurait pu rester là des heures entières. Sa respiration ralentissait, ses muscles devenaient mou, ses yeux se fermaient, comme ça il sentait le rythme cardiaque de Maelie, petit à petit il plongeait dans un profond sommeil...Mais, comme un élève qui s’endort en cours, il relève la tête en se sentant tomber, le moment de dormir n'était pas venu, il avait son plat à servir et ensuite il avait bien envie de se laver.

Il regarda Maelie, ses yeux encore brillant autant à cause des larmes que de l'affection qu'il avait pour elle, qui aurait cru qu'en l'espace de deux jours tout cela aurait pu lui arriver? Il s'essuya les yeux puis leva légèrement la tête pour humer l'air ambiant comme un petit chien:

-Ah c'est prêt! " il fit un bisou rapide sur la joue de Maélie, sauta du lit et alla enlever la marmite du feu...euh quoi? "fit un bisou sur la joue de Maelie"?? Il s’arrêta net au bout de 2 pas comme figé. Il regarda la rousse l'air surprit, pourquoi? Il avait fait cela le plus naturellement du monde, sans même s'en rendre compte. Jamais au grand jamais il ne faisait cela d'habitude, étrange, pourtant une partie de lui se souvenait d'avoir déjà fait cela il y a longtemps... Sur son visage, on voyait une intense réflexion se traduire...réflexion interrompue par l'odeur de la cuisson du canard. Il cessa son introspection puis attrapa la marmite pour la poser sur une sorte de table de travail, servit une assiette, y déposa des couverts et porta le tout à Maelie.

-Eh voila! j'espère que vous aimerez. dit il avec un regard fier en offrant ce plat. A l'odeur il le savait réussit, la présentation n'était pas du cinq étoiles mais le résultat était là.

Puis il alla près de la bassine d'eau, celle ci était tiède mais peu importe, il attrapa un tissus, y entra et commença à se laver. Il laissait l'eau provenant du tissus descendre sur son corps, les gouttes allaient de son visage jusqu'à ses jambes. Ça lui faisait du bien, se sentir propre était un de ses plus grand plaisirs car celui ci était très rare. Sans même s'en apercevoir il offrait un spectacle très plaisant pour les yeux, il se penchait, se relevait, se frottait...Un spectacle plein de sensualité accentué par le jeu du feu qui laissait des ombres vaciller sur les murs, donnant un éclairage tamisé à la pièce. Tout cela il le faisait d'instinct, même quand il était seul il faisait ainsi, c'est comme ça qu'on lui a appris à se laver après tout...
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Lorsque le garçon se colla à elle, Anastasia se figea un instant, mal à l'aise. Comment régir ? Tout geste de douceur qu'elle aurait pu effectuer lui semblait chargé d'un double sens érotique. Peut-être était-ce la faute à ses ascendances démoniaques, celles-ci qui la poussaient à éprouver du désir pour n'importe quel corps nu mis en sa présence. Pourtant, le moins qu'on puisse dire c'est que Lucas n'était pas le genre d'homme qu'elle regardait habituellement avec convoitise. Mais voilà, il était collé à elle, sa peau était chaude, douce... et il sentait encore la débauche. La sueur, et le... la débauche, donc. Une odeur qui appelait la succube à se vautrer de nouveau dans la ronde des sens.

Est-ce que c'était mal ? Elle n'aurait même pas su le dire. Tout les événements survenus depuis qu'elle avait rencontré Lucas (et dans une moindre mesure, depuis qu'elle se trouvait sur Terra) semblaient appartenir à une sorte de délire, où plus rien n'avait de sens. Tant pis, après tout, pour ce qu'elle considérait comme allant de soi. Elle ferait simplement tout pour rendre Lucas heureux. C'est pourquoi elle lui sourit, lorsqu'il l'embrassa sur la joue, sans même se demander ce que cela signifiait pour lui. Était-elle, une maîtresse, une amie, une amante, une mère de substitution ? Tout à la fois ? Cela n'avait pas tellement d'importance.

Anastasia saisit le plat que lui tendait Lucas (« Merci ! ») et l'engloutit avec une ferveur non dissimulée. Pour vulgairement parler, elle avait une dalle de sa race. Et la cuisine du petit déchirait sa mère. Tout en s'empiffrant, elle jetait quelques coups d’œil au jeune esclave qui se nettoyait ; malgré sa fragilité apparente, nul doute qu'il dégageait quelque chose de... gracieux. Bien sûr, il y avait certainement de quoi être pris d'un certain dégoût, au premier abord, devant ce mélange mâle/femelle inhabituel. Anastasia ne savait toujours pas si elle devait le considérer comme un garçon ou une fille. Peut être cela n'avait pas tellement d'importance. Elle le considérerait juste comme Lucas, son petite protégée.

Les yeux dans le vague, elle termina lentement son assiette en observant ce petit corps se nettoyer lui même, sans même penser à se détourner par pudeur. Ç'aurait été un peu hypocrite de jouer les vierges effarouchées maintenant. Une idée commençait à germer dans son esprit ; elle retint un sourire, et secoua la tête. Pas maintenant. Plus tard.

Elle s'essuya le coin de la bouche avec l'index et se força à reprendre pied ; ça n'était pas le moment de divaguer. Un homme, au moins, venait de mourir à cet endroit. C'était de la folie de rêvasser dans les parages. Elle récupéra ses vêtements qu'elle enfila à la hâte, et rassembla leurs affaires. Bon, elle était prête, il ne restait plus à Lucas qu'à terminer de se nettoyer et à manger. Surtout à manger, pensa-t-elle en observant son corps frêle où il ne semblait y avoir de place pour aucune once de graisse. À se demander comment il n'était pas déjà tombé inanimé.

La rouquine se dirigea vers la porte, pour jeter un coup d’œil à ce qui se trouvait derrière ; mais celle-ci résista lorsque qu'elle tourna la poignée et la tira vers elle.

« Oh, tu as fermé à clef ? »

Lucas

Créature

C’était agréable, cette sensation de relative propreté, ça aurait été mieux avec du savon quand même mais il avait appris à se contenter de peu, de très peu. Les maîtres qui le laissaient se laver étaient rares, il y avait eu Mélinda la vampire, une des maîtresses qu’il a eu le plus de plaisir à servir malgré ses penchants sodomites. Elle s’occupait très bien des esclaves de son harem, et puis là-bas il avait rencontré une personne qu’il pouvait considérer comme un ami : Shiroi qui lui a appris à compter jusqu’à cent.
A Ashrad, sa vie était plutôt agréable, il fut triste lors de son départ forcé mais les ordres sont les ordres. Il y avait eu aussi la princesse Cyriel qui l’avait fait essayer une baignoire magique, un de ses meilleurs souvenirs de bain car il s’était plongé dans du chocolat, dans du lait et il avait eu pour lui seul une baignoire remplie de miel…quel bonheur quand il y repensait. Heureusement qu’il a eu la chance de tomber sur des maîtres comme ces deux-là, plus attentionnés que les autres… Il y en avait aussi d’autres mais Lucas ne resta pas longtemps dans ses pensées, la situation ne s’y prêtait pas.

Il avait jeté un œil à Maelie, elle semblait apprécier sa cuisine, parfait, il lui fallait reprendre des forces pour continuer leur fuite dans les rues de Nexus. Quitter la ville restait leur objectif, avant cela ne posait pas de soucis, son maître payait un officier ou deux et on fermait les yeux sur les crimes qu’il commettait. Mais là il n’avait pas de possesseur influent et puissant pour le couvrir. Il était un criminel comme un autre, pourchassé par la milice… Le bain dura encore un peu puis le loup garou se rhabilla :

-Oui, je ne voulais pas que l’on vous dérange pendant que vous dormiez.

Il souleva le livre sous lequel était la clé et ouvrit la porte laissant apparaître le cadavre sur le lit. Il ne comprenait toujours pas ce qui s’était passé mais inutile de s’y attarder plus que nécessaire. Il retourna dans la petite chambre pour manger un peu, au début il hésita un peu : devait il se servir ? Il tenta de le faire sans demander l’autorisation, après tout sa maîtresse lui avait déjà dit plusieurs fois qu’il pouvait manger, plus tôt dans la journée.
Il englouti donc tout le reste de marmite de canard au poireau, miam, de la viande cuite avec un légume. Le goût était super, il comprend à présent pourquoi on lui fait tant de compliments sur ses talents de cuistot. Il prit 5 minutes pour manger en continu, on aurait pu croire qu’il était capable de continuer ainsi pendant des heures là où une personne normale aurait fait des pauses, au moins pour boire. Mais pas lui, son estomac pouvait contenir des quantités astronomiques de nourriture, cela lui venait de son côté bestial.

Finalement il termina son repas puis examina la pièce, il y avait des choses utiles qui pourraient être emmenés pour le voyage, au moins des réserves. Lucas attrapa un sac marron bandoulière qui traînait par terre, le secoua histoire de faire partir le poussière et commença à le remplir avec des fruits secs, de la viande séchée, une outre d’eau fraîche, un couteau, et un briquet de pierre basique. Le petit aurait bien emporté plus mais le sac était petit et déjà plein…

-Désolé de vous avoir fait attendre maîtresse, mais je pense que cela pourrait nous servir d’emporter tout ça. "dit-il en souriant content de sentir son ventre plus rempli que la normale. 
Fiche de Lucas
Mais il y a aussi sa sœur,   Konu et la la geekete. Contactez moi plutôt sur cette dernière, c'est mon compte principal ;)


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