Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

Bonjour et bienvenue.

Ce forum présente des œuvres littéraires au caractère explicite et/ou sensible.
Pour ces raisons, il s'adresse à un public averti et est déconseillé aux moins de 18 ans.

En consultant ce site, vous certifiez ne pas être choqué par la nature de son contenu et vous assumez l'entière responsabilité de votre navigation.

Vous acceptez également le traitement automatisé de données et mentions légales de notre hébergeur.

L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Nos partenaires :

Planete Sonic Reose Hybride Yuri-Academia L'Empire d'Argos Astrya Hybride Industry Iles Mystérieuses THIRDS Petites indécences entre amis
Inscrivez-vous

Ulrik

E.S.P.er

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 15 jeudi 06 février 2014, 01:58:13

Elle se cramponnait à lui, dans un geste instinctif qui signifiait clairement qu’elle ne voulait pas qu’il s’en aille. Il devait rester là, près d’elle, afin de la guider, de la rassurer, de l’épauler. S’il s’en allait, s’il la laissait là, il savait qu’elle lui en voudrait. Il était même possible que sa soumission se mue en une sorte d’agressivité, et qu’elle le poursuive, ou, à défaut, le supplie de rester... Aurait-il été moins confiant envers lui-même qu’il aurait sans doute agi ainsi, ne serait-ce que pour avoir le loisir de voir cette belle petite poupée le supplier de ses yeux, de ses soupirs, désirant qu’il se presse contre elle. Contrairement à elle, il avait de l’expérience dans ce domaine, il savait ce qui lui arrivait, il connaissait ces pulsions, il savait comment jouer avec, comment les appréhender. Elle, elle était dans l’ignorance totale, elle ne comprenait pas, et était comme une sorte de capitaine faisant route sans cap sur un navire abandonné en proie à la tempête. Elle se blottissait contre lui, captant sa chaleur, pressant son « maître » de la guider, de lui expliquer, de la soulager. Elle était suspendue à ses lèvres, et il lui avait intimé de se caresser, en estimant que ce serait, pour elle, une bonne initiation. Elle allait devoir commencer par comprendre une chose simple : le sexe n’était pas qu’un organe dégoûtant libérant de l’urine.

« Comment.. Comment vous savez ? » lui demanda-t-elle rapidement, suite à son assertion.

Il se contenta d’un sourire légèrement énigmatique, et avança l’une de ses mains, pour retourner la poser sur les fesses de Clochette, évitant de trop la gêner, afin qu’elle puisse caresser son sexe. Son regard glissa des yeux de Clochette, de son visage gêné aux joues délicieusement rouges, pour suivre la courbure de ses seins, les tétons tendus vers lui comme deux bouches avides désirant qu’on les abreuve, afin de suivre, des yeux, le mouvement de sa main. Le vaisseau continuait à s’enfoncer dans les profondeurs de l’espace, et Clochette allait se glisser dans d’autres profondeurs, plus proches, plus intimes. Son doigt s’enfonça lentement entre ses jambes. Ulrik se releva un peu, afin de faciliter l’accès de Clochette à son propre corps, et soupira faiblement.

Son sexe lui fit un peu plus mal. C’était une scène extrêmement intime, après tout. Qui y avait-il de plus délicat, au monde, que de se caresser ainsi ? De se toucher lentement, délicatement, en se laissant aller à ses pensées les plus intimes ? Même entre amants, il arrivait qu’on soit un peu gêné à l’idée de se masturber. Clochette agissait en toute innocence, avec une sorte de naïveté touchante, si touchante qu’Ulrik aurait peut-être aimé la préserver... Mais, dans le fond, il agissait pour son bien. On ne pouvait pas rester tout le temps en enfance.

Lentement, Clochette remuait le bout de son doigt, sans oser s’avancer, incroyablement gênée, toute rouge. La voir se mordiller les lèvres en l’observant, voilà qui n’avait pas de prix. Il pouvait sentir toute sa peur, toute son incompréhension. Que lui arrivait-il ? Que se passait-il ? Elle ne comprenait pas, elle voulait comprendre, mais elle n’avait aucun référent en tête, rien qui ne puisse lui expliquer ce qui lui arrivait, rien qui ne puisse lui permette de comprendre les réactions de son corps. Ce fut d’ailleurs la question qu’elle posa, de sa petite voix douce et magnifique :

« Pourquoi... Pourquoi cela me fait-il du bien... ? Qu'est-ce qu'il se passe ? »

Ulrik se contenta de sourire légèrement, et s’avança un peu, l’embrassant sur le bout du nez, très brièvement, avant d’aller capter sa langue, appendice que Clochette avait sorti, pour un nouveau baiser. Il raffermit sa prise sur son postérieur, et s’écrasa un peu contre elle, l’empêchant de continuer à se faire du bien, son torse heurtant son bras. Il sentit à nouveau, avec une joie non dissimulée, les seins de Clochette, deux tisons de chair chaude et ronde, qui heurtèrent son torse. Il soupira dans sa bouche, prolongeant volontiers le baiser. Il avait bien compris que cette curieuse fée aimait bien ça, et il n’était pas homme avare sur les baisers.

Sa main remonta du délicieux cul de Clochette pour se poser sur sa nuque, caressant ses cheveux, s’y cramponnant, y trouvant là un appui pour prolonger leur étreinte. Ulrik avait fermé les yeux, afin d’apprécier au mieux les lèvres de Clochette, sa salive, tout en s’étalant sur elle, donnant quelques coups de bassins. Son sexe heurta le ventre de la femme, avant de se relever, pour se coucher entre eux deux, après s’être légèrement tordu. Il avait beau être dur et tendu, une verge restait toujours élastique. Un curieux mélange, qui n’était pas banal. Il était rare de croiser quelque chose qui soit à la fois dur et mou.

Ulrik rompit à nouveau le baiser. Un mince filet de salive reliait la bouche de la femme à celle de l’homme, avant qu’il ne s’écarta davantage, restant toutefois très proche. Leurs nez se frôlaient lentement.

« Ce qui se passe, Clochette, est très simple. C’est la même ritournelle depuis l’aube des temps qui se répète : tu deviens une femme... Une femme avec des désirs de femme. On donne bien des noms à cette sensation. Elle est aussi vieille que le monde, et tu commences à comprendre qu’elle ne s’explique pas avec des mots. Vois-tu, aucun mot ne peut retranscrire à la perfection ce que tu vas ressentir, car aucun mot n’est à la hauteur de cette sensation. »

Il se pencha à nouveau, l’embrassant désormais sur la nuque, un délicat baiser, frottant son nez contre sa belle peau, douce comme une peau de bébé.

« Ne cherche pas à comprendre, vis-là, c’est tout ce qui importe. »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Clochette

Créature

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 16 samedi 26 avril 2014, 13:23:40

Il n'avait pas le droit de partir. Maintenant qu'elle en était arrivée à ce point, Clochette n'imaginait pas qu'on puisse l'abandonner lâchement avec toutes ces sensations, différentes, impossibles à définir, dévorantes. Elle brûlait de l'intérieur, tout simplement. Il n'y avait aucun moyen d'expliquer plus clairement ce qu'elle ressentait actuellement. Toutes ces sensations se mélangeaient en une sorte de bouillie dans le cerveau légèrement limité de la petite fée blonde qui se perdait au fur et à mesure dans son ressenti. Il y avait comme un zeste de morale, apprise à force de voir les humains agir, qui venait se répandre sur l'excitation croissante de Clochette. Elle coulait tout simplement dans cette marée fiévreuse de plaisir, d'interrogations, de ressenti. Inexpérimentée, elle essayait d'obéir à l'injonction de son nouveau maître avec ses qualités habituelles, une douceur à toute épreuve qui la rassurait un peu sur tout ce qui se passait maintenant en elle. Bizarrement, cela la paniquait, l'effrayait même, mais elle se sentait comme happée par la voix mélodieuse et grave d'Ulrik. Lui obéir semblait si simple et logique. Elle se devait même d'obéir, finalement. Pour comprendre ce qu'il voulait lui enseigner, ce qu'il voulait lui faire découvrir. Arrivant à cette mince conclusion, la fée essaya de ne pas plus paniquer pour l'instant. Malgré son souffle qui s'accélérait sous la caresse de ses doigts, fait qu'elle ne comprenait décidément pas, elle calma peu à peu le battement de son cœur qui redevint presque régulier. Bien sûr qu'elle l'aurait supplier de revenir la dorloter, la garder contre lui, contre ce torse de mâle si rassurant. Clochette voulait comprendre et malgré ses capacités intellectuelles légèrement limités, elle savait que seul Ulrik pouvait l'aider à déchiffrer le mystère de ces plaisirs, de ces pulsions.

Son silence rajouta à cette énigme l'influence mystérieuse de son maître. Pourquoi ne pas lui dire comment il était si bien au courant de ce qu'il se passait dans son corps ? Était-ce quelque chose de mauvais, finalement, pour qu'il ne veuille pas lui en parler ? La frêle petite fée laissa échapper un soupir à la sensation de la main de son amant contre sa fesse galbée. Elle sentait le doux regard sombre d'Ulrik parcourir son corps et lui tirer des frissons délicieusement plaisants. Elle ne put que se cambrer légèrement sous ses propres caresses, ses yeux bleus se fermant légèrement, ses cils papillonnants alors que de nouveau son cœur reprenait ses tambourinements brutaux, rapides, crescendo. Elle ne pouvait qu'obéir, laissant même entendre de légers et doux gémissements. Ce traitement était efficace, la drôle de sensation faisait maintenant place à un plaisir que la fée n'avait jamais gouté et ses yeux se réouvrirent légèrement alors que ses lèvres entrouvertes laissait échapper un petit bout écarlate de sa langue. Elle fixait de nouveau Ulrik, peut-être ne attente d'un nouveau conseil, d'une explication qu'il n'avait pas l'envie de lui donner pour l'instant. Sa gêne augmentait avec le mouvement de ses doigts qui n'osaient jamais aller bien loin dans son intimité. Elle aurait eu envie qu'il ne la regarde pas faire, qu'il la garde juste contre lui, sans rien faire, pour sentir son corps chaud contre le sien. La soumission latente de la fée était d'autant plus compréhensible qu'elle se trouvait innocente entre les bras d'un homme qui lui avait l'expérience.

Elle aurait pu obéir à n'importe quelle injonction et Clochette avala difficilement sa salive, ressentant son ventre qui paraissait exploser sous les sensations. Allait-il enfin lui répondre ? Même les yeux de Clochette paraissait demander des explications, ils semblaient luire de deux lueurs interrogatives, les frissonnements de son corps, les frémissements de sa peau ne pouvait pas rester inexpliqués plus longtemps. Il fallait qu'elle sache, que son maître et initiateur de tout ce remue-ménage corporel lui explique enfin la raison du pourquoi. La nouveauté était terrifiante, et la fée commençait maintenant à paniquer sous ces sensations, même avec la présence rassurante du maître.  La réponse calmerait ou pas les pensées et les idées du pauvre cerveau de Clochette. Elle rougit de nouveau, si c'était encore possible d'atteindre un niveau de rouge plus poussé quand il s'avança de nouveau vers elle.

Elle frémit encore en sentant les douces lèvres du jeune homme sur son nez puis sur ses lèvres, et elle vint de nouveau mêler sa salive à la sienne, sa langue s'enroulant un instant avec timidité autour de celle d'Ulrik alors que son corps se cambra un peu sous le mouvement et la main de son maître. Son corps si fragile et chétif se glissa contre celui de son amant et elle sentit sa poitrine se presser contre le torse du mâle. On souffle s'arrêta un instant alors qu'elle profitait avec un léger sourire du baiser qu'il lui offrait. Elle ondula légèrement des hanches pour être encore plus près de lui, pour se sentir si proche de lui que leurs corps n'auraient pu faire qu'un. Si elle avait su que c'était le but … Elle mordilla très légèrement la lèvre inférieure d'Ulrik en jouant de son cou pour garder sa langue mêlée à celle du jeune homme, pour faire frotter son petit nez contre le sien. Elle n'avait plus honte, surtout que ses légers mouvements de doigts s'étaient vu arrêtés par l'étreinte de son maître. Elle laissa entendre un soupir qui se perdit entre les lèvres d'Ulrik quand sa main quitta ses fesses pour passer dans ses reins, la faire frissonner, puis enfin finir sa course sur son cou nu et brûlant. Elle poussa un nouveau gémissement quand il s'en prit à ses cheveux. Délicatement, elle lâcha enfin les lèvres de son amant quand elle le sentit bouger et d'un coup rapide de langue, elle vint lécher la salive qui avait légèrement coulée.

La 'sucette', qu'elle avait eu la chance de gouter, cet objet toujours un peu non-identifié pour elle, lui tira un véritable gémissement quand il donna un coup de bassin. C'était tellement proche, tellement délicieux qu'elle ne pouvait que prendre encore une teinte de rouge et devenir brûlante, légèrement tremblante. Elle sentit le membre sur son ventre, étalé, étendu, bizarrement doux contre sa peau, terriblement excitant. C'était ça, elle était excitée, comme quand on apprend qu'on a enfin un cadeau qu'on désire depuis des mois. Mais pourtant, elle n'avait jamais rien désirer qui ressemblait à ce qu'elle vivait actuellement. Elle esquissa un sourire, légèrement timide, ses lèvres humides par le baiser et ses grands yeux innocents se perdirent sur les traits du visage d'Ulrik alors qu'il commençait enfin à lui répondre. 


« Ce qui se passe, Clochette, est très simple. C’est la même ritournelle depuis l’aube des temps qui se répète : tu deviens une femme... Une femme avec des désirs de femme. On donne bien des noms à cette sensation. Elle est aussi vieille que le monde, et tu commences à comprendre qu’elle ne s’explique pas avec des mots. Vois-tu, aucun mot ne peut retranscrire à la perfection ce que tu vas ressentir, car aucun mot n’est à la hauteur de cette sensation. Ne cherche pas à comprendre, vis-là, c’est tout ce qui importe. »

Elle hocha légèrement la tête, avant de pousser un soupir qui se perdit sur la peau du jeune homme quand il vint l'embrasser. C'était si doux et son corps répondait si rapidement à toutes ces sensations. Une femme … Elle était une femme ? Mais elle était une fée, non ? Était-ce pareil, finalement ? Décidément, tout cela la perdait dans tous les sens du terme. Sa tête tournait légèrement et elle vint poser sa tête dans le creux du cou de son amant, avec une douceur extrême, ses lèvres venant se presser contre sa nuque comme il faisait avec elle. Elle mimait ses gestes pour les comprendre, pour peut-être tirer les mêmes soupirs à cet initiateur. La vivre. Relevant la tête vers Ulrik, elle revint l'embrasser, cherchant encore son affection au travers de ses lèvres, au travers de sa langue, faisant frotter de nouveau son nez contre celui du maître alors qu'elle fermait les yeux et d'un gémissement si léger qu'il en était presqu'inaudible, elle murmura, aussi fragile qu'un léger voile de mousseline :


" - Je .. Veux le vivre .. Avec vous .. "

Bien sûr, la question ne se posait pas.. Mais elle voulait le dire. Elle voulait l'exprimer. Elle voulait qu'il le sache. Clochette ondula de nouveau du bassin pour monter un peu dans ses bras, même si elle était en dessous de lui, et comprenant enfin que ce membre devait avoir une utilité dans sa vie de femme, elle vint poser un doigt sur le gland, délicatement, relevant les yeux vers Ulrik pour murmure de nouveau quelques mots.

" - C'est .. Ça, n'est-ce pas ..? C'est ça, qui fait devenir une femme ?" Elle avala doucement sa salive et décidée, son regard luisant de satisfaction et d'envie, elle reprit. " -Montrez moi.. !"


Les dès étaient lancés, le sort jeté.

Ulrik

E.S.P.er

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 17 dimanche 27 avril 2014, 02:03:37

Cette nana était exquise. Ulrik était en train de prendre son pied à la torturer ainsi, et à la voir ne rien comprendre à ce qui lui arrivait. Il imaginait sans peine les questions que cette belle poupée se posait : que lui arrivait-il ? Qu’était donc cette sensation remontant dans tout son corps ? Ce désir qui explosait en elle, remontant le long de son corps ? Lui en profitait pour la mater, pour sentir l’ourlet de ses seins s’enfoncer contre son torse. La Nature était vraiment une pute mal baisée pour chier des créatures aussi belles, et les rendre aussi à l’ouest. Heureusement qu’il y avait des gens comme lui ; encore un peu, et il exigerait qu’on lui desserve une médaille, tiens ! Il savourait le corps de cette femme, mais, plus le temps passait, et plus il avait envie de la pénétrer. Même lui ne pouvait indéfiniment retenir ses pulsions... Surtout lui, en fait. Ouais, Ulrik était pas le genre d’hommes à se retenir, surtout quand la nana en face était chaude comme un volcan sur le point d’éclater.

Elle se pressait contre lui, impatiente, l’embrassant dans le creux du cou. Le bourlingueur en soupira lentement, retournant caresser les cheveux blonds de la femme, tirant un peu dessus. Avait-il déjà vu une fille aussi belle que ça ? Comment dire... Ce n’était pas une beauté sophistiquée, faite de latex, ou d’un maquillage excessif... C’était tout simplement une beauté naturelle, harmonieuse, éclatante de beauté, aussi belle que si elle avait été forgée par Mère Nature elle-même... Ce qui, dans le fond, n’était pas faux. De ce qu’il avait compris, Clochette était une fée. Un produit de la Nature, en somme. Bio’ et tout le tutti.

« Je .. Veux le vivre .. Avec vous.. » soupirait la fée dans son oreille.

Il en frissonnait de plaisir. L’innocence de cette fille l’excitait terriblement, plus que s’il était face à une nana lui faisant un strip-tease torride. Elle se blottissait contre lui, en manque de sexe, et semblait peu à peu comprendre que sa libération, elle l’obtiendrait avec ce membre tendu, avec cette virilité qui glissait contre ses cuisses. Si tendu, si assoiffé, ce sexe avait l’air de ressembler à un morbac désirant des caresses de la part de sa mère. Il tirait sur le corps d’Ulrik, et, quand il sentit l’un des doigts de Clochette se poser dessus, il en soupira, son souffle s’atténuant dans sa poitrine. Un inaudible grognement traversa ses lèvres, et, pendant un éphémère instant, plus rien d’autre ne se mit à compter, autour de son corps, que ce doigt qui s’était perdu là, qui forçait son membre à s’incliner légèrement vers le bas, comme un chiot qui baisserait respectueusement la tête. Une sensation indicible et insoutenable, qui fut aussi brève qu’intense.

Ulrik se souvenait de tout : le frottement du nez de Clochette contre le sien, la sensation de ses seins contre son torse, mais tout ça, maintenant, était accessoire. Rien d’autre ne comptait plus que son sexe, et le sien. On en revenait aux bases, aux fondamentaux : un trou, et un bâton. La Nature ne demandait rien de plus dans le contrat. Clochette était aussi affamée que lui. Se refuser encore, à ce stade, ce ne serait plus de la perversion, mais du sadisme.

« C'est .. Ça, n'est-ce pas ..? C'est ça, qui fait devenir une femme ? » demandait-elle, nerveuse.

Clochette peinait à comprendre, et Ulrik se disait qu’il y avait là de quoi faire bondir toute une légion de féministes. L’homme ne répondit pas sur le coup, regardant les beaux yeux de la femme, des yeux dans lesquels il aurait volontiers pu se perdre. Son absence de réponse luis emblait être un aveu à part entière.

« Montrez moi.. ! » renchérit-elle, sur un ton plus vindicatif.

Ulrik déglutit lentement, et conserva une main sur la nuque de la femme. Il la poussa, et son dos heurta rapidement un mur. Sa virilité le démangeait depuis ce doigt curieux, et Ulrik alla poser son autre main dessus, pressant, serrant fort, grognant de soulagement en sentant cette raideur s’atténuer entre ses doigts.

« Je vais te montrer, ma chérie... Mais ça va te faire mal. Alors... Hurle, Clochette, gueule de toutes tes putains de force, et tu sauras vraiment ce que c’est que prendre son pied, ma belle. »

Il n’avait rien de plus à dire, maintenant, et il dirigea son sexe vers son intimité. Il baissa les yeux pour se guider, et, quand l’extrémité de son sexe heurta les lèvres intimes de la femme, Ulrik soupira. Ça y est... Oh, si cette sensation lui avait manqué ! L’homme s’enfonça en elle, donnant quelques coups de reins, et posa sa main sur sa croupe, en appui, l’aidant ainsi à se redresser, et à pouvoir, par ce biais, enlacer ses jambes contre son bassin. Lui commença progressivement à accentuer les coups de reins, en sentant son membre tremper dans l’intimité ruisselante de cette fée.

« Ah BORDEL, s’exclama-t-il alors en sentant l’adrénaline éclater dans ses veines, ÇA, ça, ma chérie, ça fait du BIEN ! »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Clochette

Créature

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 18 dimanche 27 avril 2014, 12:15:11

Après tout, Clochette aurait pu continuer à vivre longtemps sans avoir conscience de ce qu'était le désir sexuel, l'excitation, le sexe en somme. Comme de toute manière, elle n'imaginait pas la vie avec ce petit détail, vivre sans ne pouvait pas la dérangeait. Le côté négatif de cette initiation, c'était bien qu'elle allait devoir vivre avec le sexe maintenant, et donc en être dépendante. Comme toute nouveauté, Clochette ne savait qu'abuser des bonnes choses, c'était dans son caractère. Elle n'y pouvait rien et personne n'avait su contrôler cette envie toujours croissante d'aller toujours plus loin dans quelque chose, que ça soit la sollicitude, le défi ou même la méchanceté. A partir du moment qu'un sentiment ou un désir lui plaisait, il fallait qu'elle voit les limites. Et bien, si le sexe lui plaisait, il allait falloir faire quelque chose pour son petit corps, parce que les limites ne seraient pas aussi claire qu'un essaie d'étouffement sur sa personne ou d'une grosse bonne engueulade comme Peter savait faire. A vouloir la rendre femme, Ulrik aurait aussi les conséquences de son geste insensé, il faudrait savoir comment expliquer plus précisément comment on utilisait ce désir… Sinon, le reste pourrait être catastrophique. Mais pour Clochette, toutes ces considérations passaient bien en dessus de tout ce qu'elle pouvait penser. Elle ne comprenait actuellement qu'une seule et unique chose … qu'elle ne comprenait pas. Joli paradoxe, nous savons. Et il était temps qu'elle comprenne. Sinon, elle allait vraiment paniquer, pleurer et se recroqueviller en boule jusqu'à ce qu'on lui rende sa clochette et qu'elle puisse aller se cacher sous sa forme minuscule dans un coin du vaisseau spatial. Frustration aurait été au rendez-vous et même pour Ulrik, ça ne pouvait pas être bien amusant...

Pour tenter de comprendre, elle mimait les gestes de son amant et initiateur. Les baisers qui lui tiraient de si longs soupirs et de si agréables frémissements, elle les tentait sur la peau du bourlingueur. Un peu comme une scientifique qui essayait de voir la cause dans la conséquence, en quelque sorte. Mais c'était vraiment trop compliqué pour une fée. Elle releva légèrement la tête sous le mouvement sur ses cheveux. La pression qui tirait ses cheveux en arrière, l'obligea à perdre de nouveau ses yeux dans ceux d'Ulrik, ce qu'elle fit avec un air des plus adorables, sa bouche légèrement entrouverte, le rouge aux joues et l'esquisse d'un sourire sur ses lèvres andrinoples. Après une rapide réflexion, elle avait l'impression d'avoir celé son destin en choisissant de faire tomber toute sa confiance dans la personne  d'Ulrik. Innocemment, elle venait de créer une relation de maître beaucoup plus complète que toutes celles qu'elle avait pu connaître auparavant. Si grandir passait par cette sucette totalement inodore et sans gout, alors elle ferait ce qu'il faudrait pour avoir droit à sa friandise. Tout bêtement, elle ne voyait le membre de son amant que comme une friandise, une sorte de récompense si on était assez gentils. Après tout, elle n'était pas loin du compte non plus. Non ?

Quand elle passa son doigt tremblant sur la longueur du membre, venant simplement l'effleurer d'un air des plus naïfs, elle ressentit la réaction d'Ulrik. Cette chose qui avait pu grossir entre ses lèvres était comme vivante. Elle aurait voulu faire des allers-retours avec son doigt pour voir, mais si proche de son amant, elle pouvait entendre son souffle changer de rythme comme si c'était .. Douloureux ? Délicieux, peut-être. De peur de faire quelque chose de mal, de mauvais, de dangereux peut-être -les hommes avaient peut-être leurs poumons à cet endroit et si on appuyait trop fort, ça leur coupait leurs respirations …- elle retira son doigt rapidement, espérant en tout cas ne pas provoquer des malheurs avec un doigt baladeur. (Mmm, non pas pour de la musique ..) Mais quelque chose chauffait encore plus le ventre de la petite fée, et elle avait l'impression que son propre souffle allait en s'amenuisant tant un désir dévorant jouait avec son bas-ventre et son cerveau déjà embué par ces nouveautés. La nervosité faisait place à son habituel caractère joueur et elle devait contrôler des pulsions qu'elle ne comprenait même pas pour ne pas sauter tout simplement dans les bras de son amant. Oui, ça restait pour l'instant à un saut contre le torse d'Ulrik mais même ça paraissait pouvoir calmer l'excitation qui démangeait son sexe. Ce que comprenait enfin Clochette, c'était que le jeune homme en face d'elle était la clef pour ouvrir son corps et faire fuir la douleur qui l'entourait.

Ulrik avait quelque chose qu'une femme n'avait pas et ce quelque chose permettait de devenir une femme. Elle en était arrivée à cette conclusion et maintenant, le jeune maître devait répondre aux questions qui brûlaient les lèvres de la fée.


« C'est .. Ça, n'est-ce pas ..? C'est ça, qui fait devenir une femme ? »

Elle devait avoir raison. Il ne se décidait pas à répondre et le côté capricieux de la petite fée revenait au galop. Elle avait raison et elle voulait voir maintenant ! Elle voulait que ce jeu cesse et qu'on lui explique. Elle en avait marre, elle, de ne rien comprendre ! Maintenant, il devait endosser son rôle d'initiateur à part entière et lui montrer. Il était aller trop loin, avait titiller la curiosité, et pas seulement, de la fée et il devait lui dire. Moins docile, son ton prenait une once de virulence que sa voix frêle avait du mal à contrôler, elle devenait déterminée et audacieuse.

« Montrez moi.. ! »

Elle sentit son dos taper contre le mur du vaisseau et elle se cala sans demander son reste, son souffle s'accélérant quand elle comprit qu'il allait enfin lui expliquer. Lui montrer. Elle le fixait, toute ouïe, ses yeux le détaillant, son corps si chétif attendant qu'il la serre. Elle le vit venir tenir la fameuse sucrerie avec sa main, paraissait soulagé de la toucher. Il avait eu peur qu'elle disparaisse ? Un peu de peur vint luire dans les yeux de la fée quand il parla et elle hocha seulement la tête, ne comprenant pas tous les mots, mais n'essayant plus de comprendre. Elle voulait juste que ça cesse, ou que ça commence. Elle ne savait plus et écartant légèrement les cuisses en le voyant diriger son membre vers son intimité brûlante. Elle avait bien raison. Un couinement échappa à Clochette quand le gland du membre vint heurter contre son intimité et elle se cambra légèrement. Puis elle comprit ce qu'il voulait dire par crier et avoir mal.

Les yeux de la fée s'écarquillèrent alors qu'un premier cri naissant s'étouffa dans sa gorge sous la surprise. Le premier coup de rein lui fit tellement mal qu'il ne lui arracha même pas un cri, la bloquant juste, des larmes de surprises montant à ses yeux bleus. Aidée par la main d'Ulrik, Clochette se releva légèrement pour venir enfin crier contre l'oreille du jeune homme. Le cri était tout simplement suraigu et inconsciemment, la fée plaignait l'oreille du pauvre Ulrik. La douleur avait fait place à cette frustration et le souffle haletant, ne comprenant tellement pas pourquoi c'était si douloureux, elle vint enrouler ses jambes autour du bassin du bourlingueur, venant poser ses lèvres tremblantes et étouffer ses cris contre le creux du cou du jeune homme. Peut-être qu'elle le mordit pour faire passer cette putain de douleur. Elle ne savait vraiment pas ce qu'elle faisait. Elle avait du mal à respirer et l'impression qu'on venait de la déchirer de l'intérieur, que plus rien ne serait jamais comme avant. Pressée contre lui, blottie contre son torse, elle passa son bras derrière son cou pour se tenir à lui, laissant même couler un ou deux larmes de douleur qui s'estompèrent à chaque nouveau mouvement. La douleur était toujours présente, mais un autre sentiment, une autre sensation était en train de la remplacer.


« Ah BORDEL ! ÇA, ça, ma chérie, ça fait du BIEN ! »

C'était ça. Le bien. Ne répondant pas, avalant difficilement sa salive, son corps tremblant entre les bras d'Ulrik, elle releva enfin la tête après avoir laissé une trace légèrement rougeâtre de dents contre la peau du bourlingueur. Gémissant enfin plus de plaisir que de douleur, même si le mélange des deux restaient que peu agréable, la fée vint tout simplement chercher pour une énième fois les lèvres de son amant, maître et initiateur. Cherchant inconsciemment à faire passer la douleur qui subsistait avec ce qui lui plaisait tant, les baisers, elle enroula simplement sa langue autour de celle d'Ulrik, les joues encore humides des larmes qu'elle avait versé, son corps abandonné aux mouvements de hanches du jeune homme alors que du bout de sa langue elle caressa rapidement les dents du bourlingueur, pressant avec plus de force ses lèvres contre les siennes. Seuls quelques gémissements de sa part, plus aigus, plus profonds, plus plaisants se faisaient entendre.

Et enfin, elle comprit. Le baiser écarta de son esprit les restes de douleur, faisant éclater malgré tout le plaisir, au sens propre. Mimant de plus belle les mouvements de son amant, un léger ondulement de ses hanches, la faisant très légèrement aller et venir sur le membre suffit à lui arracher un nouveau gémissement de plaisir des plus audibles qui vint se perdre pourtant dans la bouche d'Ulrik. Elle relâcha ses lèvres avec une douceur infinie, toujours blottie contre lui, essayant par moment malgré l'omniprésence d'une souffrance maintenant infime, de bouger un peu, timidement, sans vraiment savoir comment faire. Une chose était sûre, elle ne pouvait pas parler, trop absorbée par le plaisir qui s'accumulait en elle.

Ulrik

E.S.P.er

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 19 lundi 28 avril 2014, 02:37:17

Il heurta son hymen, et ça, ça n’avait pas de prix... L’homme aurait voulu y aller plus lentement, mais, une fois que la machine était lancée, il était impossible de la réfréner. De plus, cette femme l’avait bien trop excité comme ça. Ses mains en tremblaient, des frissons remontaient le long de tout son corps, et son chibre se perdit en elle. Il sentit un liquide poisseux et collant remonter le long de sa verge, et Clochette hurla alors, un terrible hurlement, suraigu, avant de s’écraser contre lui. Elle étouffa son hurlement en le mordant, et une onde de plaisir et de douleur traversa l’homme, qui tapa contre le mur avec son poing. Elle le mordit sous l’effet de la passion, et lui réussit à ne pas crier, mais écarta quand même les lèvres, basculant sa tête en arrière. Des frissons remontèrent le long de son corps, le traversant de part en part, et il posa sa main sur la nuque de la femme, l’autre allant s’agripper au rebord de ses belles fesses, en soutien. Elle était légère comme une plume, et il pouvait donc se permettre de le faire. Clochette retira lentement ses lèvres, et Ulrik commença alors à remuer davantage sa verge, tandis que des gouttes de sang tombaient sur le sol.

« C’est bien, ma belle, c’est bien... Laisse-toi aller, le pire est passé... »

Elle lui répondit par un baiser, auquel l’homme répondit, tout en retournant plaquer la femme contre le mur du vaisseau. Son dos heurta ce dernier dans un bruit sonore, et Ulrik répondit à son tendre baiser, tout en remuant son corps. Pour lui, ce n’était guère difficile. Il avait juste à s’enfoncer, et à revenir en arrière. La jeune fée se pressait contre lui, goûtant son baiser, et il sentit, à travers le corps de la fée, la rigidité de ses muscles s’effacer progressivement, son corps devenant plus tendre, moins dur, comme si elle acceptait progressivement la présence de ce membre en elle. Le bourlingueur de l’espace remuait en elle, baignant là-dedans, et continuait à lui peloter les fesses d’une main, la plaquant contre le mur, d’où il répondait à ses baisers. Il les rompait parfois pour l’entendre gémir et soupirer, avant d’y retourner de plus belle. Il ignorait si c’était el fait qu’elle était une fée ou non, mais l’embrasser était un véritable régal, un plaisir renouvelé dont il ne se lassait pas. Il retournait goûter à sa bouche, et essayait de ne pas jouir trop vite. Diable, c’était sa première fois, et, avouons-le, elle était de toute beauté : elle méritait d’avoir droit à un bon repas ! Un truc long et consistant, dont elle se réveillerait en y pensant la nuit, et en suppliant que son « maître » vienne à nouveau la culbuter.

Ulrik se soulageait en elle, remuant longuement, essayant de s’enfoncer le plus loin possible, pour revenir en arrière, et revenir ensuite. C’était le même mouvement, la même danse, mais il essayait d’en modifier la vitesse ou la profondeur. Plus le temps passait, et plus la tête de Clochette remuait, rendant plus difficile un baiser. Elle continuait à remuer contre le mur, et les doigts d’Ulrik posés sur sa nuque heurtaient à chaque fois ce dernier, ce qui finit par l’amener à les retirer. Clochette ayant ses bras enroulés autour de son cou, ainsi que ses jambes sur son bassin, elle avait largement de quoi se maintenir à lui. Il put donc pétrir l’un de ses adorables seins, tout en continuant à la prendre.

Sa bouche se déplaça pour racler contre son cou. Il lécha sa joue, se frottant contre elle, soupirant brièvement contre son oreille. Elle ne hurlait plus de douleur, mais gémissait de plaisir. Il sentait sa verge baigner dans sa mouille, et, ça, c’était géant ! Comme s’il retournait dans ce bon vieux liquide amniotique. Il continuait à la prendre, d’avant en arrière, sans relâcher, avec une passion toujours renouvelée, toujours aussi intacte. Elle dansait contre lui, dansait contre son corps, et les minutes défilaient à la vitesse de secondes balayées d’un revers de main.

« Hunn-hunnn... Là, Clochette... »

Entre deux soupirs et grognements, il essayait de parler, mais les mots avaient du mal à venir, tant son esprit était embrumé par le plaisir et le désir. C’était particulièrement bon, il fallait bien le reconnaître, et il continuait à remuer contre elle, retirant sa main de ses seins pour la poser sur ses hanches, l’embrassant ensuite dans le cou, ou retournant goûter à ses lèvres. Son sexe lui faisait toujours aussi mal, appelant à jouir, mais il le retenait... Pour le moment. Comme elle était vierge, il pensait qu’elle ne voulait pas tarder à jouir, et, par question de respect envers la dame, il ne voulait pas jouir avant elle.

De plus, il aimait la sentir contre lui, comme ça, à se blottir, à se crisper contre sa verge. C’était une sensation particulièrement agréable, jouissive à bien des égards. Il se plaisait en elle, chacun des deux êtres ne formant alors plus qu’un, reliés par leurs chairs entrelacées et collantes. Son ventre claquait contre son estomac, et la tête de Clochette heurtait le mur, ainsi que son dos. Le plaisir intense qu’elle devait ressentir devait répondre à toutes les questions qu’elle se posait. C’était, pour Ulrik, la plus efficace des réponses, la seule qui vaille réellement, la seule qui lui apporterait pleine satisfaction.

Il réussit à prendre son courage à deux mains pour le lui dire, ses mots étant entrecoupés de soupirs brefs et de quelques grognements quand son sexe tapait contre les profondeurs de son vagin, où il était alors englouti par la chair interne de la femme :

« Hummrrrpff... A-Alors... Ça… Ça répond à… À tes... Tes questions, co... Hnn... Cocotte ? »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Clochette

Créature

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 20 mardi 29 avril 2014, 18:53:38

La sensation, la douleur, les sentiments, le plaisir, tout se mélangeait et ça n'aidait pas à Clochette à comprendre ce qui lui arrivait. Par contre, ce qu'elle put très bien comprendre et ressentir, ce fut le déchirement qui s'opéra en elle, comme si on venait de déchirer un drap. Toute son innocence venait effectivement de se faire violement lacérer, déchirer, écarteler par le membre d'Ulrik. Le drap de sa pureté venait de s'envoler sous le mouvement de hanches, sous les tremblements même de son amant. La réaction physique du jeune homme était assez étonnante, elle le sentait frémir contre son corps avant que toute sa propre douleur n'efface tout le reste. Il n'y avait plus que ce déchirement intérieur qui paraissait important et même le cri suraigu qu'elle lâcha n'était pas assez fort pour expliciter la douleur qu'elle venait d'avoir. Malgré les indications d'Ulrik, Clochette ne s'attendait pas à une telle souffrance et son corps se raidit alors qu'elle hurlait et venait mordre sans aucune délicatesse la peau du bourlingueur. Elle entendit un bruit sourd, comprenant d'un léger coup d'œil embué, qu'il venait de faire passer la douleur engendrée par sa morsure en tapant contre le mur. Un mal contre un mal. Elle sentit la tête d'Ulrik basculer en arrière et se demanda si la morsure n'allait pas le faire crier. Le cerveau totalement embué par la douleur et le plaisir naissant, elle eut la sensation quelque peu dérangeante de saigner et elle remarqua le sang qui salissait maintenant le sol. Elle saignait ? La réponse ne daigna pas apparaître dans le cerveau de la fée  qui sentant la main de son amant sur sa nuque, ferma seulement les yeux en retirant ses dents de la peau du bourlingueur spatial. Les mouvements que ce membre faisait en elle restaient un peu douloureux mais le souffle de Clochette s'accéléra encore.

Il y avait quelque chose de délicieux dans tous ces gestes incompréhensibles. Elle frémit, main sur l'ourlet de ses fesses lui tirant des frissonnements rapides alors qu'enfin, un gémissement tétanisé par la panique s'échappa de ses lèvres entrouvertes. Voyant le sang qui perlait de la morsure, elle ne put s'empêcher d'y apposer un rapide coup de langue malgré le gout âcre et loin d'être agréable qui vint remplir sa bouche.  Relevant la tête en gémissant tendrement, voulant aller chercher un réconfort bien mérité auprès des lèvres de son amant, elle comprenait bien qu'elle venait de passer dans l'âge adulte, mais Clochette  ne saisissait toujours pas à quel point c'était important.


« C’est bien, ma belle, c’est bien... Laisse-toi aller, le pire est passé... »

Son dos frêle heurta enfin le mur du vaisseau et elle se cambra légèrement en gardant ses lèvres mêlées à celles de son amant. Elle ne voulait plus bouger juste rester comme ça et profiter de chaque instants. Elle sentait Ulrik remuer au dessus d'elle et ses hanches répondaient mécaniquement, naturellement, ondulant légèrement en imitant leurs jumelles qui allaient et venaient, enfonçant le membre en elle avant de le retirer un peu pour revenir à la charge. Le rythme était lancinant comme une mélodie tintée par les gémissements aigus de la fée auxquels s'accouplaient les grognements plus sonores du bourlingueur. Clochette venait se blottir contre lui en gémissant, son corps commençant à accepter l'intrus qu'on lui avait imposé alors que son corps paraissait être brûlant, comme chauffé à blanc. Le souffle de la fée était rapide, elle rougit de plus belle en couinant quand elle sentit qu'il pelotait ses fesses. C'était délicieux et elle ne pouvait que soupirer et gémir sans discontinuer d'une manière des plus dociles. Son dos se courbait par moment quand elle était trop proche du mur et qu'elle ne pouvait plus atteindre les délicieuses lèvres de son amant. Elle commençait à ressentir un plaisir intense et son corps déjà brûlant ne faisait que frissonner et chauffer d'avantage. Ses cheveux se collaient à sa peau moite par la sueur et elle commençait à prendre des initiatives, comme faire un mouvement de hanches un peu plus larges. Elle sentait son corps éclater sous les sensations, comme une fleur qui s'ouvrirait aux butinages et découvrirait la vie avec une autre vision. Elle n'était plus le bourgeon renfermé, mais bien la rose qui venait d'éclore et qui ne demandait que plus d'attention et d'explications pour laisser exhaler son parfum de perversité latente. De bien belles images pour décrire l'état actuel de la jeune Clochette qui goutait un plaisir inégalé et quelque peu étrange. La fée ne réfléchissait plus, laissant son corps et les sensations la guider alors qu'elle sentait des changements dans les mouvements de hanches que lui imposaient délicieusement Ulrik. Elle revint une énième fois poser ses douces lèvres contre celles du bourlingueur, venant de nouveau mêler sa salive et sa langue à celles de cet homme, ses yeux fermés par le plaisir et le désir.

Elle sentait les différences de rythme et de mouvements et ne trouvait ça que meilleur. Les gémissements que son maitre lui tirait en étaient de bonnes preuves, elle ne pouvait plus arrêter de couiner et de gémir face à ces attaques. Mais le rythme s'accélérant, elle lacha finalement les lèvres d'Ulrik, raffermissant sa prise sur son cou en s'accrochant un peu plus à lui, rapprochant d'un mouvement son bassin de celui du jeune homme alors qu'elle sentit une des mains de son amant venir finir sa course sur ses seins. Elle couina de nouveau, se cambrant un peu, le souffle haletant et la bouche entrouverte pour laisser passer ses gémissements alors que son corps frémissait et frissonnait toujours plus, tremblant presque sous toutes ces sensations accumulées. Elle se tenait à lui, lui laissant la place de peloter sa poitrine sans pour autant arrêter de se blottir doucement contre le corps musclé du bourlingueur spatial. La tête de la fée dodelinait légèrement mais elle ses yeux se réouvrirent dans un élan de plaisir quand les lèvres de son amant vinrent à se perdre dans son cou. Si sensible de là, Clochette ne put que couiner tendrement.

Elle lui offrit sa nuque, sa joue, chaque infime partie de sa peau lui était donnée avec toute l'aisance du monde, logiquement pour ressentir encore mieux cette terrible et dépendante sensation de plaisir qui emplissait totalement la petite fée. Elle ondulait maintenant plus vigoureusement des hanches, bougeant réellement sur le membre en gémissant, cambrée et offerte aux baisers alors qu'une douce fatigue commençait à s'installer et à faire place à toute l'excitation ressentie depuis qu'elle avait pris sa fameuse forme humaine. Tout son corps semblait se calmer et elle ne pouvait cependant émettre de sons plus compréhensibles que des gémissements. Le plaisir était si présent que la fée était dans l'impossibilité complète de parler, son cerveau trop embrumé pour qu'elle puisse construire des phrases. Elle revenait à l'état de nature le plus complet, une jeune chatte en chaleur.


« Hunn-hunnn... Là, Clochette... »

Et apparemment, c'était aussi le cas de son amant ! Elle ne comprenait même plus ce qui lui arrivait, ni ce que son bas-ventre était en train de vouloir lui dire, mais quand Ulrik vint poser de nouveau ses lèvres contre la peau sensible de cou, Clochette ne put que se tendre d'un coup, se crisper un peu plus et laissait entendre un très long gémissement de plaisir. Sa tête qui tapait si rapidement contre le mur à lui en faire mal par moment se releva alors que la fée se cambrait et envoyait tout simplement sa poitrine dans le nez d'Ulrik. Elle sentit tout son corps se crisper avant qu'un épanouissement brutal la remplisse totalement, le plaisir à son apogée redescendant doucement malgré le fait que tous deux soient encore reliés par leurs unique corps. La petite fée reposa sa tête ballotant de ce premier orgasme contre le torse d'Ulrik alors que son corps se laissait faire et que ses hanches ondulaient sous le mouvement des reins puissants de son amant.  Elle laissa sa langue venir vagabonder sur la nuque d'Ulrik, ses petites mains changeant de place pour caresser un peu le torse de son amant. Son cerveau ne réfléchissait toujours pas mais il était clair pour Clochete qu'elle avait là toutes les réponses possibles, elle était bel et bien devenue une femme, même si elle ne comprenait toujours pas en quoi ça consistait vraiment. Ecoutant Ulrik prononçait difficilement quelques mots, la fée ne répondit pas, hochant seulement doucement la tête alors que ses dents et sa langue vinrent doucement s'occuper de l'oreille d'Ulrik. Elle mordilla alors que ses hanches reprirent toutes seules un rythme. Elle vint doucement murmurer de sa petite voix innocente et frêle, dans le lobe de l'oreille du bourlingueur qu'elle venait de léchouiller tendrement.

" - Je .. Wi .. Wi, ça .. Répond !"


Son souffle était si haletant qu'elle du se blottir encore plus contre Ulrik, pressant sa poitrine contre son torse et retournant entourer son cou de ses deux mains, pour se calmer un peu. Sa tête dodelinait toujours, et elle était un peu endormie par cet orgasme qui était le premier de toute sa petite vie. Fatiguée, elle ne voulait pourtant pas déplaire à Ulrik et elle releva un peu les yeux pour esquisser un sourire.

Ulrik

E.S.P.er

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 21 vendredi 02 mai 2014, 03:02:46

Avait-elle joui ? Cette question, furtive, le traversa, avant de disparaître à son tour, noyé dans le plaisir terrible que son sexe lui procurait. Un plaisir dominateur et exclusif, qui ne souffrait nulle pensée contraire. Quand le sexe se réveillait, quand la pulsion explosait, elle englobait tout, et noyait tout le reste. Aveuglé par son propre désir, Ulrik peinait à savoir si Clochette appréciait ça, peinait à savoir si les cris qu’elle poussait étaient des cris de protestation ou des soupirs. Il y avait quelque chose de profondément terrifiant dans la manière dont il oubliait tout ce qu’il était, jusqu’à son identité, pour revenir au plus simple rapport qui soit, élémentaire et primaire : un homme et une femme. Et la complétude. Deux corps scellés ensemble, liés pour quelques moments d’éternité, pour des secondes intemporelles. Il la prenait contre le mur, et la douleur qu’il ressentait à la nuque avait fondu devant ce membre assoiffé. Était-ce de la douleur qu’il ressentait, ou un plaisir tellement terrible qu’il en était douloureux ? Les deux ne faisaient plus qu’un, facettes de la même pièce qui remuait frénétiquement, entrant et ressortant, baignant dans la mouille de la femme. Un plaisir dominateur, viril, machiste, et impérial. L’aurait-elle repoussé qu’il lui aurait souhaité dessus, se comportant alors comme une espèce de bête rangée. Le sexe était comme une lance qui transperçait ses pensées, son « moi » pour aller dans les profondeurs de son « ça », réveillant la bête primitive qui dormait en chaque individu, une bête qui, une fois lâchée, ne pensait plus qu’à son propre plaisir, de manière égoïste. Plus le plaisir montait, et plus Ulrik partait du principe que Clochette était naturellement enjouée à l’idée de se faire prendre. Difficile, alors, de dissocier le simple amant du violeur. Ce qui était sûr, c’est que, au début, il avait essayé de faire en sorte que Clochette soit impatiente, et, ce faisant, sa conscience ne venait pas le travailler.

Il la pénétrait donc, et la sentit alors se redresser, pour lécher son oreille. Il en frémit, raffermissant sa prise sur son joli cul, et la sentit mordiller le lobe de son oreille, gémissant contre lui. Sainte mère de Dieu, s’il aimait ça ! Elle continuait encore à le chauffer, et Ulrik poussa un soupir, étouffé par le corps de Clochette contre lequel sa tête se mit à taper, et il sentait le moment venir à son tour. Son sexe baignait dans cette mouille, et, après que Clochette eût joué avec son oreille, il la prit entre ses bras. Elle se blottit contre lui, se lovant amoureusement, si fine et gracieuse. Sa main se décolla de ses fesses pour enserrer le bas de son dos, son autre main resta sur ses cheveux, plaquant la femme contre lui, et c’est dans cette position qu’il finit par jouir, en décollant la fée du mur, et en la tenant ainsi.

Son rythme décrut lentement, alors qu’il soupirait, jouissant lentement en elle, éjaculant avec plaisir, sans cri, simplement en se laissant aller, soupirant légèrement à chaque éjaculation. Son sexe se vida en elle, lâchant des giclées de sperme qui filèrent dans son corps. Ses jambes étaient salies par la mouille de Clochette, sa cyprine qui filait sur le sol, et il s’abandonna en elle pendant quelques secondes, avant de peu à peu décroître le rythme. Le plaisir aveuglant avait tué toute fatigue, et, maintenant qu’il venait de jouir, maintenant qu’il venait de s’abandonner en elle, il sentit le contrecoup venir.

Les soupirs laissèrent ainsi la place aux gémissements, mais il conserva Clochette contre lui. Il était hors-de-question qu’elle s’éloigne trop de son corps. Il la laissa contre lui pendant un temps, les deux amants semblant ne plus bouger. Clochette était trempée, tout comme lui. Son torse était chaud, la sueur en sortait, et son membre restait en elle, dégrossissant peu à peu. Il aurait suffi de le flatter un peu pour réveiller son érection, mais il n’oubliait pas que c’était la première fois de la fée. Il ne fallait pas non plus trop en demander.

« L’amour, Clochette... »

Rompant le silence, il se racla ensuite la gorge, en constatant que sa voix était légèrement étouffée. D’une main, il lui caressait tendrement les cheveux, et l’autre glissait le long de son dos. Il était temps, pour lui, de cesser les cachotteries, et de dire clairement les choses.

« C’est ainsi qu’on procréé, Clochette... Tu comprends ce mot, je suppose ? Faire des bébés... Le sexe est le seul moyen offert aux humains pour se perpétuer... J’ignore si ça fonctionne comme ça pour les fées aussi... On appelle ça faire l’amour, c’est aussi vieux que le monde... Et particulièrement délicieux, comme tu as pu le voir. Après tout, si ça ne l’était pas, il n’y aurait pas autant de bébés, hein ? La Nature fait bien les choses, et ce n’est pas un canon comme toi qui pourras prétendre le contraire. »

Sa voix était faible, éreintée, comme s’il venait de courir un marathon. Il la plaquait toujours contre lui, mais il savait qu’elle écoutait. Elle subissait le contrecoup de l’orgasme, une sorte de détente, de béatitude... Un sentiment qui s’accompagnait d’une fatigue physique, et qui donnait envie de dormir, tant on se sentait bien et serein... Il n’y avait pas réellement de mots, au sens d’Ulrik, pour découvrir ce sentiment... La complétude menait à la plénitude, mais il se devait quand même de lui expliquer.

« Comme c’était ta première fois, tu as perdu du sang... On appelle ça l’hymen, ma belle, mais... La prochaine fois, il n’y aura plus de sang. Nous avons fait l’amour ensemble, Clochette, et je continuerais à t’éduquer... Car, une fois qu’on y a goûté, c’est comme une drogue. »

Il l’embrassa tendrement sur le front.

« Aussi ne t’inquiète pas, ma belle, car on recommencera ça, si tu le souhaites... »

Et quelque chose lui disait que la fée ne serait nullement contre l’idée de réitérer l’expérience.
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Clochette

Créature

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 22 dimanche 27 mars 2016, 20:31:29


Sensations. Terribles sensations, intenses, continues, nouvelles. Perdue. Clochette était paumée dans les limbes du plaisir et de l'inconnu, qui lui remuait le coeur, berçait son esprit, transportait ses entrailles. Elle était à la Mercie de ces sensations étranges, de ce plaisir qui se découvrait à elle. C'était ennivrant. Non, bien sûr que non, Clochette n'avait jamais bu de sa vie, une goutte d'alcool aurait pu être fatale sous sa forme féérique. Mais si elle avait connu le plaisir licencieux de l'alcool, sans doute aurait-elle fait le rapprochement entre ses frissons enfiévrés et l'état comateux d'une cuite. Blottie contre Ulrik, dont elle ne se rappelait même plus le prénom dans cet état second, elle avait du mal à retrouver son souffle. Elle avait presque l'impression d'avoir ses poumons de fée pour son corps d'humaine ! Elle était totalement perdue, paumée, comme si elle avait coulé dans une sorte de monde parallèle où tout mouvement devenait érogène, où toute pensée déraillait sur le plaisir et le désir. Et se mêlait son incompréhension généralisée pour cet état qu'elle était loin de comprendre. Bon sang, la fée était en train de vivre quelque chose d'unique... Elle était en train de ressentir deux choses à la fois : le plaisir et l'incompréhension. Deux sentiments distincts qui se battaient dans une lutte violente dans son cerveau. Elle était devenue une femme, elle était devenue humaine, elle avait grandit, en quelques coups de reins, en quelques cris, en quelques battements de cils. La chaleur saisissante du corps du bourlingueur gardait au chaud le corps nu de la jeune fée, un corps légèrement moite de sueur, dont la peau douce se frottait avec un plaisir tendre contre celle du torse d'Ulrik. Fragile, sensible, elle était parcourue de frissons, de frémissements, comme si réellement, son corps s'éveillait enfin après une longue hibernation. Les quelques parties de sa peau qui étaient collées au froid du vaisseau spatial étaient encore plus sensibles, et elle eut un rire cristallin, amusée. Une euphorie étrange qui la fit rougir de nouveau, alors qu'elle baissait les yeux pour regarder d'un air curieux le membre qui était toujours en elle. La semence s'échappait lentement de son intimité, ayant légèrement grossi son bas-ventre lors de la soudaine éjaculation. Elle eut un soupir brûlant, avant de relever ses yeux émeraudes vers Ulrik. Elle le redécouvrait. Elle n'avait plus l'impression de voir le même homme, maintenant. Non, il était différent ! Tout son être différent. Ses yeux étaient différents, ils étaient plus pressants, plus brillants. Son visage était plus viril, sa gorge paraissait plus larges, son regard plus dominant, ses lèvres plus appétissantes. Son torse plus attirant. Clochette le voyait enfin des yeux d'une femme, et non plus d'une innocente gamine. Son innocence n'en était pas pour autant effacée, ingénue comme elle était, on ne pouvait pas la pervertir si facilement ! Cependant, il y avait eu un déclic. Elle le désirait. Encore. Son esprit le voulait.

Elle semblait ne pas l'écouter. Elle semblait ailleurs. L'amour ? Elle releva finalement son tendre minois vers lui pour tendre ses lèvres doucement humides de baisers, qui en réclamaient encore. Elle le fixait. Ses yeux avaient perdus de leurs innocences pour laisser une ombre d'excitation y luire. L'ignorance faisait doucement place à la compréhension alors qu'il lui expliquait, calme, serein. Il avait pris totalement la place d'un meneur pour elle, un guide pour qu'elle s'aventure dans un monde dangereusement nouveau et attirant. Elle se laissait doucement voguer entre les vagues de sensations. Le plaisir laissait maintenant le bonheur s'installer dans son esprit. Elle eut un sourire engourdi. L'amour. L'amour serait-il plus fort que l'attachement de servitude qu'elle ressentait normalement pour un maître ? Fragilement, Clochette voyait son monde de certitudes s'effondrer sous les explications de son nouveau maître. Elle releva soudainement le visage, après le tendre baiser sur son front. Son souffle s'accéléra si brutalement, qu'elle eut un hoquet en s'étouffant légèrement. Comme si une réalité terrible venait de la heurter en plein ventre. Elle écarta ses lèvres pour parler, aucun son ne franchissant la frontière tendre de ses lippes charnues. Elle régressa tout aussi soudainement, dans une sorte de panique primaire. Elle redevint l'enfant perdue qu'elle se devait d'être en quelques secondes, ne ressentant qu'un unique sentiment... Une sorte de peur étrange.


  " - Mais non ! Vous vous trompez ! Vous vous trompez. Je ne peux pas... Nous n'avons pas pu faire l'amour ! Nous n'avons pas pu ... Je ne vous aime pas. Vous vous trompez... Je vous ai mentit ! Je ne peux pas avoir fait l'amour, je ne ressens pas l'amour, je ne sais pas ce que c'est l'amour, je ne vous aime ! Nous avons fait autre chose... Ce n'est pas bien ! Je n'ai pas ... MA CLOCHETTE !"

Son visage aux traits tirés par la panique s'alluma soudainement, comme si la magie lumineuse de la fée parcourait entièrement son corps quand elle appercut sa clochette. Elle s'échappa des bras de Ulrik, soudainement, se désintéressant de lui dans une attitude encore plus étrange... Elle lui jeta un regard de panique qui semblait plus fort que ça. Elle s'éloigna de lui comme si les mains de l'homme la brûlait, comme si son regard lui faisait peur, comme si le corps du jeune homme l'effrayait, comme si ses lèvres la dégoutait. Elle fila attraper sa clochette qu'elle garda au creux de sa main, se remettant difficilement debout, les jambes tremblantes, avant de s'effondrer au sol. Elle n'avait déjà pas l'habitude de marcher, ce qu'elle faisait d'ailleurs mal, mais après une telle expérience, elle ne tenait plus debout. Elle lui lança cependant un regard fort, lourd de soupçons. Que pouvait-il se passer au creux du cerveau de la fée ? Honnête, elle l'était. Elle n'avait pas pu mentir... Une fée ne sait pas mentir. Donc il lui mentait. Il lui mentait. S'il lui mentait, il lui voulait du mal. Tout cela était mal ! Tout cela était contre nature puisqu'elle n'avait jamais vu de fée le faire. Tout cela était une invention du bourlingueur. Elle arriva à cette conclusion en quelques secondes et rougit, rougit, dans une colère sourde !

" - Ne vous approchez plus de moi ! Vous êtes méchant. Vous êtes un menteur. Il n'existe pas d'amour, vous ne m'aimez pas ! Vous ne m'aimez pas, nous n'avons pas pu faire l'amour... Je veux partir. Je veux partir ! NE ME TOUCHEZ PAS !"

Elle avait les larmes aux yeux, en proie à une panique intense, se remettant debout en zieutant les boutons. Sa clochette s'échappa de nouveau de sa main et finit sa course bruyante à quelques centimètres d'Ulrik. L'espace, le voyage, la découverte. Tout cela était dangereux, trop dangereux. Elle éclata en sanglot, furieuse, en rage, si en colère qu'elle en pleurait. Il l'avait trompé. Bien sûr qu'il l'avait trompé ! Elle le sentait tout au fond d'elle. La forte attirance incompréhensible qu'elle ressentait pour le jeune homme, paraissait être de la haine à son esprit trop étroit pour comprendre tout cette question de luxure, de drogue, de poison, de plaisir. La clochette semblait avoir déclenché l'avalanche de ressentiments, de peur, de panique. Si elle ressentait une incompréhension avant de la voir, au toucher de la clochette, elle s'était refermée comme une vraie huitre. Et si la magicienne avait mit un sort tierce sur la clochette pour préserver la jeune fée ? Elle regardait fixement la clochette, la lèvre inférieure tremblante de rage.

" - Rendez-là moi ! Je sais que vous me voulez du mal ! Je sais que vous voulez me voler ma clochette... Donnez là moi !"

L'effet de la clochette sur la fée semblait étrange, un peu comme une paranoïa, un peu comme si cette clochette dans les ténèbres devait tous les lier. Sans la clochette, la sublime blonde pouvait vivre. Avec, hors de sa portée physique mais bien visible, Clochette était incapable de se sentir réellement humaine. Mais ça, elle n'en avait pas conscience. Après tout, qu'était-ce que l'humanité ?

Ulrik

E.S.P.er

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 23 mercredi 30 mars 2016, 02:21:35

Dieu, que cette nana était belle ! Le rustre Ulrik n’arrivait pas à croire qu’il avait une telle beauté chez lui, dans son minable vaisseau. Elle, elle méritait un palais, un carrosse, un vaisseau de luxe avec des baies vitrées immenses, pas cette espèce de tas de boue et de plomb ! Ulrik aurait presque été lui en voler un. C’était fou… Plus il la regardait, plus il la trouvait belle, et, alors qu’il venait de jouir en elle, il se sentait bien partant pour un second tour. Clochette était une fée… Ulrik n’aurait jamais cru que ces créatures existaient. Là d’où il venait, Gordan, un Empire fondé sur l’armée et la raison, ce genre d’êtres folkloriques avaient depuis longtemps disparu… Mais mon Dieu, qu’elle était belle ! Il était tellement absorbé par sa beauté qu’il ne réalisa pas immédiatement qu’elle venait de péter un câble… Avant qu’elle ne s’affaisse sur le sol, et ne s’ouvre le genou.

*Merde !*

Assis sur un fauteuil de navigation, Ulrik se redressa, voulant se porter vers elle, mais elle se mit alors à s’énerver, en lui assonant qu’il l’avait drogue, qu’il mentait… Que l’amour n’existait pas, et que, en réalité, tout ce qu’il voulait, c’était lui voler sa clochette.

« Quoi ? »

Ulrik, médusé, cligna des yeux, avant de voir la fameuse clochette. Elle était sur un rebord, dans un coin, et, en voulant la récupérer, Clochette s’était cassée la figure. Et, en prenant une forme plus humaine, elle avait visiblement oublié qu’elle avait un corps fragile. Toujours nu, le bourlingueur s’approcha d’elle avant de s’arrêter. Une fée… Peut-être que ça avait des pouvoirs magiques ? Genre… Comme le transformer en nain de jardin. La fille avait l’air sérieuse, et Ulrik laissa passer quelques secondes, avant de parler :

« Écoute, ma beauté, j’ai un vaisseau spatial… Qu’est-ce que tu veux que je fasse d’une clochette ? Je m’en fous, de ta clochette ! Je t’ai pris dans mon vaisseau parce que, et je crois que je peux le dire, t’es roulée comme dix Gondoriennes à la fois. Merde, j’ai jamais vu une nana aussi belle que toi, ma beauté, alors… Même là, alors que tu me regardes avec des yeux de tueuse, j’ai envie de t’embrasser, de baiser tout ton corps. T’as vu comment je bande, merde ? Comment tu peux croire que je t’ai pris juste pour une clochette à la con ? »

Ulrik soupira encore, hésitant à venir la caresser.

« Clochette, je… J’suis pas en train que je t’aime, okay ? L’amour, ça vient pas si facilement, mais… Je t’apprécie, ça, c’est clair. Et tu t’es ouvert le genou, ma belle… Alors, à moins que tu aies des sorts de guérison instantanée, il vaut mieux qu’on aille à l’infirmerie… Et, comme tu peux pas marcher… Je peux te porter… »

Le bourlingueur reprit ensuite, en récupérant la clochette, à côté d’elle, et la lança vers la femme. Elle rebondit à côté de sa tête.

« Tu vois ? Je n’en veux pas, de ta clochette… Elle a quoi de si spéciale, ta clochette, d’ailleurs ? »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Clochette

Créature

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 24 vendredi 01 avril 2016, 00:40:03

C'était deux êtres différents qui n'aurait jamais du se rencontrer. Une fée, rencontrant un bourlingueur de l'espace ? Deux mondes perdus à l'opposé l'un de l'autre, se mêlant dans l'incompréhension la plus totale, et une passion dévorante ... La fée Clochette le fixait, paniquée, perdue. Elle le fixait qui semblait dans ses pensées et elle aurait donné cher pour pouvoir les connaître ses pensées ! Peut-être n'aurait-elle pas réagit comme ça, si elle avait saisit qu'elle était le centre de toute son attention de mâle, d'homme et de maître. Car voilà, elle avait peur ! Peur d'avoir un maître méchant qui avait voulu la faire grandir ... Et ça, sa clochette ne le laisserait jamais faire. Clochette était une fée, innocente et enfantine, loin de la maturité et du monde adulte, incapable de ressentir plusieurs sentiments, incapable de grandir ! Et voilà, que cet homme lui donnait les rennes de sa vie, l'occasion de vivre, l'occasion d'aimer, et non plus d'aduler et d'obéir, mais d'aimer et suivre. Tout était différent de ce point de vue là, tout était nouveau ... Heureusement que la magie de l’Ensorceleuse veillait au grain, sinon Clochette aurait perdu son prénom pour devenir humaine, aurait perdu son caractère pour devenir adulte. Peter Pan ne l'aurait jamais reconnue ! Elle couina doucement, regardant son genou. Etait-ce ... Du sang ? Autant de sang ? Elle n'avait pas conscience de sa nature humaine, de ce corps démesuré, de ce poids lourd qui l'empêchait de marcher. Tout était à apprendre, encore. Elle finit par se calmer, doucement, attirée par la précieuse clochette en ne l'écoutant pas. Elle était sûre d'avoir raison ! Et elle était butée. Elle ne comprenait plus trop ce qu'il voulait dire, mais les mots embrasser et baiser la fit frémir... Elle avait bien aimé ça, en réalité. Ces lèvres chaudes, brûlantes même ! Ces baiser découvrant sa peau... Ce gout si tendre. Elle ressentit un long frisson la parcourir et faire doucement naître le désir en elle, de nouveau, étrangement naturellement. Elle eut un petit air surpris, se mêlant à ses yeux innocent alors que doucement, son corps se réveillait déjà, ses tétons naissant de nouveau comme deux frêles boutons.

Clochette rougit soudainement et baissa les yeux. Bander. C'était ça bander... Elle eut un hoquet tendre alors qu'elle ne répondait pas, relevant de nouveau les yeux vers lui. Elle rebaissa les yeux sur son genou. Releva sur son érection. Remonta la tête pour poser ses yeux bleus perdus dans ceux de Ulrik et finit par soupirer, longuement, apparemment exaspérée par la situation. Mais le doré de la clochette apparut et elle l'attrapa au vol, manquant de se fracasser sur le sol de nouveau. Un sourire illumina son visage et elle accrocha de nouveau la clochette à son cou en paraissant se détendre un peu. Elle avait toujours une moue grincheuse et agressive sur ses jolies lèvres humides et finit par souffler, encore haletante de ses tirades, de l'amour, de la chute.


" - Elle me permet de prendre ma forme humaine ! Elle me permet de parler aussi.. Enfin non. Je sais plus trop ... Ma maîtresse l'Enchanteresse me l'a donné quand je suis revenue du Pays de Peter Pan. Là bas, je ne pouvais pas parler, mais j'aidais les enfants perdus et Peter ! Et je n'avais pas de forme adulte, même que Crochet il disait ... Il disait que c'était une honte que les effets existent sans pouvoir devenir grande. Et quand je suis revenue... Elle a ensorcelé ma clochette. Mais si je la perds ... Elle a dit que si je la perdais, je resterai humaine à jamais ! Sans aile, sans poussière de fée... Et je deviendrais adulte." Elle s'arrêta enfin de parler, haletante, se laissant doucement tomber dans les bras d'Ulrik qui s'était mis debout, comme une princesse tombant dans les bras de son prince charmant ! S'accrochant à son torse, toujours nue et tremblante, brulante et fascinante, Clochette eut un long frisson quand son corps se colla à celui de son amant. Un frisson de désir. Elle posa sa tête sur son épaule, en regardant vaguement son genou, avant de se laisser poser dans un coin, continuant de sa voix fluette. " Et je ne veux pas devenir adulte. La Magicienne a dit que je ne le deviendrais jamais. Parce que les adultes meurent alors que les enfants vivent pour toujours, comme au Pays Imaginaire !"

Elle était d'une logique implacable. Elle eut un sourire doux, tout dans son attitude redevenant la Clochette de leur rencontre, curieuse et innocente, enjouée et tendre. Mais pourtant, alors que le bourlingueur la soignait, elle restait les yeux rivés sur son membre en érection, mordillant sa lèvre inférieure. Son coeur tapait contre sa poitrine, son bas ventre semblait se tordre très doucement, agréablement, son souffle s'accélérer, son poul s'affoler. Tout cela était encore trop nouveau pour elle, et la douce fée finit par rougir lentement en relevant les yeux vers le beau Capitaine du Vaisseau, avec un frémissement intense alors qu'elle glissait de nouveau son doigt, puis sa main sur le membre qui se balançait ainsi dans l'air. Elle ne comprenait pas ce qui l'attirait là dedans. Elle ne comprenait pas comment cette chose pouvait aller dans des endroits si différents !

" - Quand vous avez parlé de m'embrasser... Est-ce que c'est ça l'amour ? Et pourquoi votre sucette elle peut .. Elle peut servir autant ? Pourquoi elle peut aller dans ma bouche, elle peut aller .. là ?Elle n'osait ou ne savait le nommer. Elle rougit un peu et se détourna, ressentant une gêne étrange. Est-ce qu'elle peut aller autre part encore ? Est-ce que c'est plus elle est grosse, plus elle ressent d'amour ? Est-ce qu'on doit être adulte pour ressentir l'amour ?" Bon sang de Dieu ! Clochette rétablie dans le droit chemin, même fatiguée après son premier ébat, elle était un sacré moulin à question Elle voulait tout découvrir, tout comprendre. Maintenant qu'elle était calmée, elle revenait à l'attaque. Elle finit par sourire un peu, et ... Et se remit contre l'entrejambe du bourlingueur, assez soudainement, pour revenir suçoter le gland de son chibre, d'une manière totalement innocente, semblant vouloir tester la chose de son propre grès, comprendre un peu mieux. " - Est-ce que ça va grossir encore ? .. J'aime beaucoup ... Le gout. Le parfum que ça a ! Comment vous appelez ça ?" Elle glissa de nouveau sa langue sur la queue, lentement, en fermant les yeux, semblant apprécier le contact, et le savourer. Elle releva les yeux vers lui. " - Dîtes ... Ca se boit, ce qui coule de votre ... Sucette ?"

Ulrik

E.S.P.er

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 25 vendredi 01 avril 2016, 21:46:06

Qu’est-ce que c’était que ce délire ? Ce tas de conneries qui semblaient sortir d’un roman à l’eau-de-rose pour adolescente prépubère en manque de cul ? Un pays où on ne vieillissait pas ? Une putain de crèche ? Un sortilège permettant de rester indéfiniment jeune parce que les adultes crevaient ? Dieu ! Qu’est-ce que c’était que ces blagues ? Ulrik était peut-être un peu trop rationnel pour affronter la magie si frontalement, sans aucune protection. En tout cas, Clochette avait récupéré sa fée, et semblait plus apaisée, ce qui lui laissa le temps de récupérer une sorte de gel, et de l’appliquer sur sa plaie. Le mercenaire attrapa sa délicieuse jambe, d’une douceur incroyable. En la caressant, il ressentait ce qu’il avait déjà ressenti tantôt, quand ils avaient fait l’amour : la douceur innée de cette femme. Une douceur incroyable et magnifique. Fort heureusement, la plaie était superficielle, et il vaporisa le gel. Ce genre de trucs, ça fonctionnait pour les blessures légères. Clochette ne sembla même rien remarquer, tant son regard était fixé sur le sexe de l’homme.

C’était dur à croire, mais, après son érection, il bandait encore. Ulrik était un Gordanien, et, de base, les Gordaniens étaient formés pour être très endurants. Cette endurance se retrouvait dans le sexe, et était renforcée par les expériences génétiques qu’il avait subi entre les mains de ses anciens maîtres. Guère aveugle, l’homme constata donc que Clochette était effectivement très attirée par sa queue, et, après avoir pansé sa plaie, il se redressa un peu, et finit en réalité assis sur les fesses, légèrement poussé par Clochette, qui alla renifler son sexe. Chacun des doux mots de la fille transpirait d’une incroyable innocence, celle dont les hommes ne pouvaient que rêver dans leurs rêves les plus fous. Soit on fantasmait sur la femme fatale, soit sur la jeune femme, douce, frêle, et fragile, ce que, en ce moment, la fée incarnait.

Il déglutit devant les questions qu’elle posait, les léchouilles qu’elle faisait, autant de gestes délicats et anodins, mais qui provoquaient en lui moult frissons.

« Hmmm... Putain, ma belle, haaa... »

C’était le cas de le dire ; elle avait des lèvres de fée. Et, curieusement, l’odeur de son sexe, pas plus que son sperme, ne la rebutaient, alors que, de ce qu’il en savait, le sperme n’était pas réputé pour avoir un très bon goût. Elle avait néanmoins posé pléthore de questions, et Ulrik ne s’en souvenait pas de la moitié, d’autant plus qu’elle commençait à le pomper, ce qui avait aussi pour effet de noyer ses pensées.

« Oh, putain, hummm... T’es douée, ma chérie, hm... »

Avec sa main libre, il caressait ses cheveux, crispant ses doigts dessus, tandis qu’elle continuait, inlassablement, à le sucer. Et, ce faisant, son sexe, qui avait alors une légère érection, se mit à grossir, à enfler, et à durcir.

« C’est... C’est le sexe, Clochette. Un... Un plaisir réservé aux adultes, ma beauté. C’est normal de... D’aimer ça, mais... Il n’y a que les adultes qui aiment ça... Et... Hm... Le liquide qui s’en échappe, c’est... C’est du sperme. Il sort de mon sexe quand j’atteins l’orgasme, mais toi, ton liquide, il sort... Quand tu éprouves du plaisir. »

Ouais, parler quand on se faisait sucer... ‘Clairement pas une mince affaire. Le bourlingueur faisait du mieux qu’il le pouvait.

« Vas-y, suce... Suce encore, respire par le nez, Clochette. Tu... Tu peux lécher aussi, et... Utiliser tes dents pour mordiller... Un peu. Ressens la dureté de ma queue, sens comme tu me fais plaisir, et, plus tu pomperas, plus tu pourras goûter à... À mon sperme... »

C’est visiblement ce qu’elle voulait... Et lui, et bien, si on lui offrait l’opportunité de jouir dans la bouche d’une femme magnifique, il ne serait sûrement pas contre !
« Modifié: samedi 23 avril 2016, 17:31:29 par Ulrik »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.

Clochette

Créature

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 26 vendredi 22 avril 2016, 21:33:42

Mon dieu, mais qu'est-ce qui était aussi bon dans le sexe ? Elle ne comprenait pas. Clochette ne comprenait pas ! Et lui ne comprenait pas l'innocence. Que faisaient-ils ensembles, dans un vaisseau spatial, enfermés encore pour de longs jours ? Ils baisaient. Si Clochette avait connu ce mot, voilà ce qu'elle aurait dit. Mais elle ne le comprenait toujours pas, et faire l'amour lui paraissait impossible, puisqu'elle n'aimait pas. Elle ne l'aimait pas, elle ne le connaissait pas ! Alors elle ne savait pas ce qu'elle faisait. Elle faisait quelque chose qui lui plaisait, sucer ce membre, le dévorer en réalité, de ses petites lèvres et de sa langue qui s'enroulait autour du chibre. Elle était enivrée par ce plaisir étrange, par cette excitation qui la faisait frémir tout entière, comme si elle parcourait son corps entier. L'odeur du membre la prenait lentement au cœur et elle ne réfléchissait plus trop. Elle était dans cet état de nature, loin de l'être civilisé que la Magicienne avait voulu créer. La belle dame avait bien raison, la luxure était mauvaise pour la fée, elle en perdait le sens des réalités, elle en perdait même son adorable caractère d'enfant… L'obsession était de nouveau là, et la fée n'était plus intéressée que par une chose … Ce sexe, bandé, dur qui ne demandait au final que son attention.

Elle prenait même les devants, se découvrant une véritable passion pour la fellation. Ses petits doigts caressaient doucement la peau, une de ses mains vint se caler contre le bas-ventre du mercenaire alors qu'elle léchait, goutait, jouait de sa langue chaude sur le chibre. Elle pouvait l'entendre réagir, gémir, parler et toutes les questions qui lui venaient n'étaient que des preuves ultimes de son innocence sans faille. Elle était la plus perverse des inconscientes, la plus fragile des femmes … Et il ne voulait apparemment répondre. Ou peut-être qu'il ne pouvait pas ? En tout cas, elle se faisait encore complimenter, et Clochette adorait ça. L'excitation et le désir n'avaient fait qu'augmenter en elle, et les compliments éveillaient encore plus son corps et son envie. Elle voulait à nouveau lui plaire, et la fée comprenait très bien que lécher et suçoter ce membre était une manière des plus parfaites pour plaire à Ulrik. C'était peut-être ça, la base d'un relation de confiance, dans ce monde étrange ? Peter lui aurait demandé de … Voler et d'écouter Crochet … Peut-être qu'Ulrik, lui, voulait simplement pouvoir gémir. Était-il bien ? Est-ce que ça lui enlevait de la douleur ? Plus les minutes passaient, plus elle se posait milles et unes questions. Plus elle rentrait dans ce monde de stupre et de plaisir, moins elle ne comprenait.

Seul le gout un peu amère de cet étrange liquide semblait lui donner une réponse … C'était comme un nectar. Il lui avait déjà expliqué … Il réessayait. Et elle l'écoutait en relevant son adorable minois vers lui pour l'écouter, dans une position parfaitement soumise. Elle était à quatre pattes au sol, entre les cuisses de cet homme étalé par terre, à dévorer son chibre puissant. Il la récompensait de réponses, caresses et compliments … Et Clochette semblait bien. Elle semblait calme. Différente. Ses hormones peut-être ? La maturité qui essayait de s'infiltrer dans ses veines ? Ce qu'il racontait lui faisait peur et elle baissa les yeux sur le vit durci. Les Adultes et seulement les Adultes… Pourtant elle n'était pas adulte. Elle ne voulait pas le devenir ! Et elle voulait aimer ça… Encore. Elle laissa entendre un couinement boudeur, comme déçue par ses réponses et accéléra ses petits mouvements, toute frissonnante. Elle était de nouveau en train de ressentir cette chaleur intense dans son bas-ventre, son intimité perlait légèrement … Quel plaisir éprouvait-elle ?

Elle eut un sourire adorable alors qu'il lui indiquait comment gérer au mieux ce sexe. L'odeur du sperme l'intriguait toujours et elle eut un petit rire. Oui, elle en voulait encore … On aurait pas pu trouvé mieux pour une novice. Elle mordilla très légèrement, étonnée de sentir cette chose être dure, et tendre à la fois, comme une sorte de friandise. C'était gourmand. Elle léchait, elle suçotait, elle laissait l'occasion au gland de découvrir l'intérieur de ses joues, elle frottait sa langue à la chair… Elle essayait de mettre en gestes ce qu'il lui expliquait, apprenant vite, apparemment dotée d'un certain talent naturel. Les Fées n'étaient-elles pas, après tout, la nature personnifiée ? Et dans la nature, la saillie était une part essentielle de la vie. Il apparaissait donc logique que Clochette sache faire au mieux et jouer comme une experte de ce corps. Elle poussa un doux soupir, alors qu'il grossit encore. La petite chose accentuait ses mouvements encore, elle gémissait doucement.. Il grossissait encore. Elle aimait ça, elle adorait sentir le membre être pressé et serré entre ses lèvres.  Elle tira doucement la langue en avant quand il se recula très doucement, juste un peu pour ne pas l'étouffer avec la semence qui coula dans la bouche de la jeune femme. Elle avalait, le visage rougit, les joues un peu gonflées, le sperme coulant le long de son menton et vient se perdre entre le galbe de ses deux seins. Elle rit un peu, lécha le gland puis ses lèvres dans un nouveau soupir de satisfaction.


" - J'aime vraiment ça … C'est comme la sève d'un arbre ! C'est fort et ça donne … envie. Hé !"

Alors qu'elle semblait prête à mettre des mots sur son envie de luxure, la fée sembla déconcentrée … Elle se détourna, se relevant, toujours si nue, si belle. Elle  regardait par ce qui lui semblait être des fenêtres. Il y avait à l'extérieur … Une telle vue, un tel paysage spatial. C'était nouveau ça aussi. Elle se déplaça lentement pour se coller à la vitre, totalement désintéressée par le sexe. Une seule émotion en même temps, elle ne pouvait pas tout prendre en compte. Elle était émerveillée. Elle sentait le frisson de l'aventure la parcourir alors qu'elle regardait à l'extérieur, des étoiles dans les yeux, le souffle rapide. Elle avait du mal à en croire ses mirettes. Elle avait la poitrine compressée contre la vitre, le dos cambré, le cul en arrière. Un pur appel à la luxure, avec ce sourire rayonnant ancré sur ses lèvres alors qu'elle gémissait très tendrement.

" - C'est magique … Je … Merci !"   Elle se tourna très légèrement vers lui avec un sourire encore plus beau, encore plus grand, resplendissant. Elle le remerciait adorablement de lui offrir de telles expériences. " - Je veux en voir plus ! Je veux … en sentir plus ! Je veux … Plus ! S'il vous plaît ! Je suis sûre que vous savez m'en donner plus. Je ferai tout pour vivre encore plus." Elle  se tourne, le dos contre la vitre, le fixant, comme s'il avait toutes les réponses pour sa vie entière.

Ulrik

E.S.P.er

Re : L'espace, c'est le luxe absolu. |Ulrik|

Réponse 27 samedi 23 avril 2016, 23:14:50

Ulrik n’aurait jamais cru tomber sur une telle bombe en allant dans un monde aussi primitif. Plus il était avec cette fée, et plus elle le surprenait. Certes, il avait compris que sa connaissance du sexe était très parcellaire, mais, quand on voyait la fascination qu’elle avait pour son chibre, et le talent inné dont elle faisait preuve en s’attaquant à son sexe, Ulrik avait du mal à voir en elle une pure innocente. Du moins, il était partagé. Certes, il sentait en elle l’innocence, naïve et touchante, mais il sentait aussi autre chose. Elle suçait son sexe avec un tel talent qu’elle réveillait encore son érection, et lui, pauvre homme, incapable de retenir les élans fougueux de cette femme, crispait ses mains sur ses cheveux. Comment expliquer une telle fascination pour le sperme ? De ce qu’il avait cru comprendre, c’était en réalité plutôt infect à boire, mais elle, au contraire, elle se prélassait de la moindre petite goutte de ce nectar. Était-ce commun, aux fées, ou juste propre à cette mystérieuse Clochette ? Elle qui avait semblé vouloir le tuer en perdant sa petite clochette se révélait maintenant être d’une incroyable docilité. Un changement de comportement aussi incompréhensible que... Jouissif.

Et puis, en-dehors de toutes ces questions, Ulrik ne serait jamais contre une fellation. Elle s’enfonçait en lui, et il avait de plus en plus de mal à se concentrer, à penser de manière cohérente. Le sexe était comme une force ancestrale qui remplissait la toile de ses pensées, une peinture blanche qui noyait toutes les faïences et tous les dégradés pour ne laisser subsister que l’être préhistorique qui se dissimulait en lui. Ses soupirs profonds trahissaient autant son excitation que ses mains serrant les doux cheveux de la fée que sa queue qui remuait dans sa bouche, tapant parfois dans sa gorge.

Il sentait la langue de la femme glisser sur sa queue, ses lèvres se comprimer sur sa chair, la femme aspirant l’air, amenant sa salive à frotter sur sa queue, puis le raclement de ses belles dents... Autant de sensations exquises qui le dominaient. Il se forçait à la regarder, baissant la tête, voyant cette belle tête remuer entre ses cuisses, totalement concentrée sur sa tâche. Aucun regard complice, aucun air de connivence, comme pour s’assurer qu’Ulrik prenait son pied. Non, son plaisir, en l’état actuel des choses, était accessoire. Est-ce que Clochette le suçait vraiment par perversion, ou parce qu’elle voulait encore boire de ce sperme ? Ulrik aurait honnêtement penché pour un mélange des deux, avec une prédominance de la faim.

« Hmmm... Ma petite chérie, haaa... Vas-y, vas-y... »

Ulrik sentait la femme tirer sur sa queue, qui devenait plus grosse, plus douloureuse, lui donnant l’impression d’être un volcan en éruption. La lave en fusion allait bientôt éclater, droit dans la bouche de la femme. La fée filait d’avant en arrière, enfonçant sa queue aussi loin que possible par moment.

Le temps défila rapidement, pendant que son vaisseau, en pilotage automatique, s’arrêta dans l’espace, ouvrant ainsi les panneaux, le temps que ses moteurs se refroidissent. Ulrik sentit l’orgasme le traverser quand le vaisseau se mit en vol stationnaire. Sa respiration devenait plus lourde, plus hachée, et le jet fusa, venant éclabousser la belle bouche de la femme.

« Oh, bon sang... Haa, Clochette... ! »

Ulrik reprenait lentement son souffle. Cette fée, cette foutue fée... Dieu, elle allait la tuer ! De la sueur commençait à couler le long de son corps, et Clochette lui avoua que c’était fort, comme « la sève d’un arbre ».

*Curieuse comparaison...*

Le Gordanien resta silencieux, avant que l’attention très versatile de Clochette ne se tourne vers autre chose : le spectacle féérique des étoiles dans lesquels le vaisseau était. Un champ d’étoiles qui brillaient dans l’obscurité, un spectacle magnifique et terrible. Mais Ulrik lui, outre les étoiles, vit surtout le petit cul de Clochette, qui se dandinait devant ses yeux. Infatigable, la fée était toute serrée contre la vitre, ce qui donna à Ulrik, outre des envies, une idée.

Elle se retourna à nouveau, dos contre la vie, avec un sourire éblouissant, et Ulrik se releva alors.

« C’est ça, ma chérie... L’espace. Je parie que, là d’où tu viens, tu n’as jamais dû voir un spectacle pareil, hein ? La nuit, quand le soleil n’éclaire plus ta planète, tu les vois en levant la tête. Ici... »

Ulrik appuya sur un bouton de sa console, et, immédiatement, d’autres murs s’abaissèrent. Le vaisseau disposait d’une vue panoramique, et, comme ils étaient au beau milieu de l’espace, il n’y avait rien à craindre à abaisser les murs. Ces derniers se retirèrent donc du cockpit. Le sol, le plafond, le mur, il ne resta plus que le pupitre pour rappeler qu’ils n’étaient pas dans l’espace... Mais, outre ça, les deux amants flottaient littéralement dans l’espace.

« Des étoiles partout... »

Il y en avait partout, et on voyait même, au loin, d’immenses nébuleuses, ressemblant à d’immenses nuages qui flottaient à l’horizon. Sous eux, l’étoile de ce système les éclairait, et on pouvait également voir, toujours sous eux, une grosse planète, une géante gazeuse entourée d’anneaux.

Ulrik laissa à Clochette le temps d’observer ça, puis se rapprocha d’elle, et, en lui souriant doucement, caressa délicatement son visage.

« C’est magnifique, hein ? Pour autant, il y a une chose qui est encore plus superbe ici... Toi. »

Plus séducteur qu’on aurait pu le croire, Ulrik caressa ensuite le menton de la femme, soulevant un peu son visage, le maintenant entre deux doigts, puis alla tendrement l’embrasser. Leurs lèvres se collèrent mutuellement pendant quelques secondes, puis Ulrik rompit le baiser.

« On va faire autre chose, ma beauté... »

Ulrik aurait pu la sodomiser, mais il se disait que Clochette était encore un peu trop... Jeune pour ça. Au lieu de ça, le mercenaire, qui sentait son envie revenir, choisit de se coucher sur le sol.

« Assieds-toi sur moi... Ou, plus précisément, sur mon sexe. Empale-toi dessus, ma belle, et jouis au milieu des étoiles... Car il faut que je te dise quelque chose de très important concernant le sexe d’un homme. »

Le mercenaire laissa passer quelques secondes, comme pour montrer que son explication était sérieuse, puis reprit :

« Un sexe d’homme n’aime pas être à l’air libre. Quand on le sort de notre pantalon, il faut vite qu’il rentre dans quelque chose, ou il prend froid... »
DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


Répondre
Tags :