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Retrouvailles très particulières... [Szaalion IV]

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Arphélia Von Krone

Humain(e)

Retrouvailles très particulières... [Szaalion IV]

dimanche 05 janvier 2014, 14:16:19

~Cela faisait maintenant une bonne dizaine de jour qu'Arphélia ne parvenait plus à trouver le sommeil. L'excitation l'habitait de jour en jour et elle cessait de croître. Elle restait dans son lit des nuits entières, les yeux ouverts à fixer le plafond en attendant les premières lueurs du matin. Tantôt elle priait pour passer le temps, tantôt elle lisait, tantôt elle se tortillait dans son lit.. Elle attendait quelque chose, quelque chose de très important.

En vérité, Arphélia avait demandé à être transférée. Aussi étonnant que cela puisse paraître, elle se lassait du train-train quotidien et ressentait le besoin de "changer d'air". Enfin, c'est ce qu'elle se répétait pour se persuader que la raison de son départ n'était rien d'autre que la lassitude mais.. La vraie raison en était tout autre, bien sûr.

Le jour-J ne tarda pas à arriver et la blondinette était au comble de l'excitation. Elle allait enfin savoir si elle pouvait partir ou non et elle ne fut pas déçue. Dès l'aube, elle ferait ses valises pour rejoindre l'Empire de Vapeur et s'installerait dans l'église même de la Cité volante.

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Quelques jours s'étaient écoulés depuis son transfert. Malgré son peu de temps libre, Arphélia avait profité de celui-ci pour se promener et visiter un peu les lieux .. Des lieux à couper le souffle qui plus est. Cette cité volante était une pure merveille et la nonne s'émerveillait pour tout et rien. Quel changement ! Quelle différence comparé à Nexus ! Cette ville n'avait absolument rien à voir, elle était juste... Extraordinaire. Toutefois, quelque chose l'attirait tout particulièrement.. Le Palais de la Forge Stellaire, siège de la famille Impériale. Elle savait pertinemment qui s'y trouvait et c'est justement pour ça qu'elle avait prit la décision d'être transférer ici. Néanmoins, elle n'ignorait pas qu'il lui était impossible de pénétrer dans le palais et ainsi, il fallait qu'il sache qu'elle était là.

Et cela ne traîna pas. Un beau jour, en milieux d'après-midi, alors qu'elle était en pleine prière, Arphélia sentit un peu de mouvement derrière elle. Elle refusa d'abord de se retourner mais lorsque l'une des bonnes sœurs s'approcha d'elle, elle comprit que quelque chose n'allait pas.

- Soeur Arphélia.. Il me semble que ces hommes sont là pour vous.. lui murmura-t-elle d'une petite voix à peine audible.

Arphélia se retourna lentement, très lentement. Étrangement, elle ressentait un certain mal être et quand elle vit les deux gardes, un petit cri aiguë lui échappa des lèvres. Elle avait compris ; il savait qu'elle était là.

- Soeur Arphélia Von Krone ? Lança l'un des gardes.

- O..Oui, c'est bien moi.. Que se passe-t'il ?

- Vous êtes convoquée au Palais par l'Empereur Szaalion IV lui même ; il souhaite s'entretenir avec vous.

Boum boum boum boum... Son cœur s'emballa à n'en plus finir. Enfin.. Elle allait revoir l'Empereur après toutes ces années. Elle avait du mal à le croire et il lui fallut un peu de temps pour se rendre compte que les gardes l'attendaient. Mais.. Comment allait-il réagir ? Comment allait-il prendre le fait qu'elle s'était donnée à l'Ordre Immaculé ? Allait-il se moquer d'elle ? Après tout.. Il la connaissait mieux que quiconque et il connaissait son passé.. Elle se doutait bien qu'il ne l'avait pas oublié. Non.. Il n'avait probablement pas oublié leurs folles parties de jambes en l'air.

- Oui je.. Je vous suis.. Balbutia-t-elle.

Elle ne se fit pas prier deux fois et les suivit jusqu'au Palais. Jamais au grand jamais elle n'avait été si excitée, si impatiente. Elle songeait au passé.. Elle l'avait rencontré vraiment par hasard, dans les bois. Ce jour là, les parents d'Arphélia l'avait envoyée cueillir toutes sortes de baies et de plantes comestibles. Elle parcourait les bois ainsi, un petit panier en osier dans les mains lorsqu'elle le vit.. Jeune, fougueux, terriblement séduisant. Un délicieux jeune homme aux cheveux dorés et à la peau mate.. Les rayons de soleils le rendaient presque angélique ; elle en était restée troublée. Il fallut peu de temps au blondinet pour comprendre qu'Arphélia était éperdument attirée par lui. Elle avait tenté le tout pour le tout et l'avait aguiché comme la pire des salopes jusqu'à ce qu'il craque et qu'il l'attrape pour la sauter comme un animal en rut en pleine forêt. Elle n'avait jamais pu oublier cet rencontre, encore maintenant, elle en frissonnait encore. Après cette petite aventure dans la forêt, ils n'avaient cessés de se donner de multiples rendez-vous dans le seul but de s'envoyer en l'air mais, contre son gré, Arphélia avait été contrainte de servir l'Ordre Immaculé. Elle avait du renoncer au sexe et renoncer à cette bête de sexe qui l'avait tant fait jouir.. Mais aujourd'hui elle allait le revoir. Elle savait qu'elle ne devait pas braver l'interdit mais elle tenait tout de même à le voir, voir à quel point il avait changé, voir si il ne l'avait pas oubliée..

Au bout d'un certain temps, la nonne finit par arriver au Palais. On la fit parcourir le château, traverser quelques couloirs, emprunter quelques passages secrets puis, enfin, elle atterrit dans une pièce plutôt sombre et peu éclairée. Elle parcourra la pièce du regard et la reconnu.. Cette superbe chevelure blonde qui brillait à la lueur des bougies. Troublée, elle avala sa salive et resta silencieuse, guettant la moindre de ses réactions. Szaalion était là, devant elle, et il voudrait sûrement rattraper tout ce temps qu'ils avaient perdu..

Szaalion IV

Humain(e)

Re : Retrouvailles très particulières... [Szaalion IV]

Réponse 1 dimanche 05 janvier 2014, 19:09:10

Comme tout souverain, Szaalion ne pouvait avoir un oeil vraiment partout et se voyait obligé de déléguer bien des tâches. L'empereur était un homme occupé qui ne se préoccupait que peu de la vie quotidienne de la ville volante qu'était la Mecanicae Imperium et laissait par exemple la gestion des commerces et de l'intendance de la cité à diverses guildes et autres seigneurs désignés par ses soins, se libérant de cette façon d'obligations qui comparées aux siennes semblaient secondaires. Des gens de confiance qui veillaient à éditer nombre de rapports que le monarque ne prenait que peu la peine de parcourir, mais qui prenaient grand soin de signifier à leur empereur des faits vraiment inhabituels, amusants ou dont ils pensaient qu'ils sauraient intéresser Szaalion.
Ces derniers temps, ces petites anecdotes dispensables avaient été très rares et l'empereur n'avait eu que très peu de temps à leur prêter. Les affaires en cours avec Sylvandell et donc Ashnard requéraient de lui une attention de tous les instants, sans parler des ambassadrices novaquiennes qui n'avaient de cesse de débattre des heures à propos des formiens tout en manquant parfois de frôler l'incident diplomatique. C'était alors qu'il préparait son
voyage vers Novac suite à l'invitation de la Baronne Milwën qu'un de ses conseillers se risqua à lui rapporter un fait qui sortait de l'ordinaire. Une église de l'Ordre Immaculé avait obtenu le droit de s'installer en ville, chose fort rare. Bien que l'Empire de Vapeur tolérait les autres cultes, il était peu courant que l'un d'eux cherche à mettre un pied sur la Mecanicae Imperium.

- Qui dirige cette congrégation, avait-il demandé par curiosité.
- La soeur... Ah, comment s'appelle t'elle ? ...hm...Von Krone. Arphélia, je crois.

Szaalion avait fixé l'homme un instant, avant d'esquisser un léger sourire. Le conseiller ne comprit pas, mais ne s'aventura pas à demander davantage de précisions. Arphélia Von Krone... Le nom renvoyait Szaalion à son passé, avant qu'il ne monte enfin sur le trône. A l'époque, l'empereur était un vagabond du nom de Belheim qui parcourait Terra en guise de voyage initiatique, comme le voulait la tradition de sa lignée. Sa rencontre avec Arphélia avait été fortuite mais ô combien mémorable et l'empereur avait souvenance de nombre de saillies infligées à la prétendumment candide Arphélia. Une vigoureuse amante à l'appétit sexuel démesuré qui avait énormément comblé le jeune homme, qui avait prit tout le loisir de la contraindre à son bon vouloir. Si Szaalion avait dût se résoudre à reprendre la route puis par la suite les rênes de l'empire, il n'avait jamais oublié Arphélia. Savoir cette dépravée au cul ô combien présenté engagée dans les ordres lui sembla être une délectable ironie et son sourire s'élargit à cette pensée.

- Qu'on la fasse mener à mes appartements ce soir même, je souhaite lui parler.
- Il en sera fait selon vos ordres, Excellence.

Et la journée avait continuer de s'écouler au rythme habituel, contraignant le souverain à une masse de travail qui aurait normalement dû continuer jusque tard dans la nuit. Pour Arphélia, Szaalion avait fait une entorse à son rythme de vie mais avait continué à consulter nombre de rapports et d'édits en l'attendant dans sa chambre. Dans une tenue décontractée que peu de personnes lui connaissaient (soit une légère chemise de lin et un pantalon de la même étoffe), l'empereur s'était installé au bureau qui trônait non loin de son lit et s'y était affairé jusqu'à ce qu'on frappe. Il donna l'ordre de faire entrer Arphélia et la nonne passa les portes qui se refermèrent derrière elle, la laissant découvrir la pièce qui se dévoilait à la lumière tamisées des bougies qui étaient disposées ça et là, donnant à l'endroit un aspect presque romantique.

Bien qu'elle fut là face à lui, Szaalion ne lui accorda pas tout de suite son intérêt. Il acheva de signer un parchemin avant de reposer sa plume et de lever les yeux vers Arphélia, la fixant sans mot dire quelques secondes. Finalement, l'homme lui accorda un sourire simple mais très parlant et il se leva de sa chaise pour venir tout à côté de la belle nonne, l'inspectant sous toutes les coutures sans gêne ni retenue. Ses seins ronds et lourds qui tendaient le tissu de sa soutane, ses fesses bombées qui semblaient appeler bien des mains à les empoigner, ses hanches larges entre lesquelles se glisser était un luxe, ses lèvres pulpeuses qui savaient si bien contenter un membre dressé... Une icône du péché sous un vernis de piété.


- Tu as changé, Arphélia. En bien. Les vêtements monastiques me surprennent, en revanche... Mais cela te donne un petit parfum d'interdit des plus excitants.

Lui caressant la joue, Szaalion fit glisser sa main contre la nuque de la nonne et la fit l'embrasser goulûment. Dans le même temps, le souverain pressait son torse contre le buste aux généreuses rondeurs pour les faire s'écraser contre lui, sa main filant sur la fesse la plus proche de ses doigts. Il la pétrit violemment avant de se retirer d'un pas en arrière. Trop direct, Szaalion ? Non. Ce n'était guère plus que la façon dont les amants avaient pour coutume d'utiliser pour se saluer par le passé et Arphélia ne pouvait pas l'avoir oublié, puisqu'il suffisait parfois seulement de ça pour qu'elle se retrouve empalée sur une queue raidie pour elle.
Le temps et la charge impériale avaient donné à Szaalion un peu plus de retenue, mais il était certain qu'il ne comptait nullement laisser Arphélia repartir indemne de cette entrevue.


- Tu es la dernière des femmes que j'aurai pensé voir entrer dans les ordres. Pourquoi ce soudain revirement ? Et puis, plus prosaïquement, comment vas tu ?

Ses yeux ne la regardaient pas, non. Ils la déshabillaient du regard, se souvenaient de son corps comme d'une masse charnelle parcourue de spasmes de plaisir et de sillons de sueur que l'effort des ébats amoureux. Ou plutôt des baises vulgaires délivrées sur une simple envie, dans des situations parfois incongrues.
Parler du passé avec Arphélia allait sûrement être très remuant.

Arphélia Von Krone

Humain(e)

Re : Retrouvailles très particulières... [Szaalion IV]

Réponse 2 dimanche 05 janvier 2014, 20:21:48

~Elle resta là, plantée, n'osant même pas bouger le petit doigt. Revoir son amant provoquait en elle une sensation indescriptible.. Elle était prise de frissons, tremblotait légèrement et tentait de dissimuler son excitation. En vérité, son entrejambe la démangeait atrocement. Elle réclamait ces lèvres bougrement attirantes, cette petite langue chaude et humide, ces mains expertes, son souffle sensuel... Et ce fut le tour de son petit cul bien rebondis qui lui, réclamait une bonne grosse queue bien raide. Mais pas n'importe quelle queue.. Celle de l'Empereur, celle qui l'avait fait jouir maintes et maintes fois, celle qui l'avait remplie de foutre.. La nonne se mit à mouiller sans pouvoir s'en empêcher et c'est lorsque l'Empereur posa son regard sur elle qu'elle revint brusquement à la réalité. Il se leva de sa chaise, l'obligeant ainsi à reculer contre le mur. Le petit choc fit rebondir sa poitrine opulente qui, par ailleurs, si on regardait bien, manifestait quelques signes d'excitation.

- Bonsoir, Belheim murmura-t-elle dans un souffle.

Elle avala sa salive, frissonnant en sentant son regard peser sur elle. Elle savait qu'il la dévorait du regard et s'efforçait de ne pas en faire autant. Dieu comme il lui avait manqué.. Il n'avait pas beaucoup changé depuis.. En faite, il était devenu encore plus séduisant qu'avant. Doucement, Arphélia laissa son regard glisser légèrement vers le bas. Elle observa sa gorge, son torse, ses bras, ses mains puis son bas ventre, sur lequel elle resta figer. Est-ce qu'elle avait grossit ? Elle qui était d'une taille à en faire jalouser plus d'un.. La blondinette écarquilla les yeux puis reposa ses yeux sur ceux de l'Empereur avant qu'il ne prenne la parole.

- Tu as changé, Arphélia. En bien. Les vêtements monastiques me surprennent, en revanche... Mais cela te donne un petit parfum d'interdit des plus excitants. 

Elle voulut reculer et se rappela qu'elle était coincée, contre le mur.

- E-Eh bien je.. Ce n'est pas une farce... J'ai fais vœux de chasteté et.. Ce depuis un certain temps.. D'ailleurs je... ! Humph !

Elle se coupa lorsqu'il l'embrassa. Quelle délicieuse sensation.. Tout son corps s'emballait et l'Empereur n'eut pas à attendre bien longtemps ; elle répondit à son baiser et glissa sa langue fiévreuse entre les lèvres du jeune homme. Sentant une main puissante lui pétrir les fesses, elle ne put s'empêcher de pousser de petits gémissements étouffés. Elle le voulait, elle le voulait toute entière. Son corps bouillonnait d'impatience et, alors qu'elle avançait légèrement la main, il recula, lui arrachant une sorte de jappement. Arphélia observa le petit filet de bave qui reliait leurs lèvres et réalisa qu'elle avait cédé.

- Seigneur, qu'ai-je fais...

Elle leva les yeux au ciel comme si elle espérait se faire pardonner puis revint à l'Empereur. Elle se jura de ne plus céder à nouveau mais lisait aisément dans son regard qu'il n'avait pas l'intention de la laisser repartir de si tôt.

-  Tu es la dernière des femmes que j'aurai pensé voir entrer dans les ordres. Pourquoi ce soudain revirement ? Et puis, plus prosaïquement, comment vas tu ?

Arphélia se pinça la lèvre inférieur, forcée de replonger dans le passé . Elle resta silencieuse un bref instant puis lui répondit. Elle voulait mentir, lui dire qu'elle l'avait souhaité mais elle n'y parvint pas, elle lui déballa toute la vérité.

- Je n'ai pas eu le choix.. Mes parents ont appris pour... Enfin... Ils ont sût que je n'étais pas un modèle de chasteté et.. Ils m'ont forcés à servir l'Ordre Immaculé.. Je suis une Prêtresse maintenant et .. Je n'ai eu aucun rapport sexuel dès lors.

* Non.. Cela fait une éternité que je n'ai pas eu le droit à du sperme frais..* pensa-t-elle malgré elle.

- Et j'espère que tu ne vas rien tenter... Je ne suis plus ce genre de femme à présent... Je ne suis plus une salope avide de queues...

Elle cherchait à le persuader, à se persuader elle même mais ils savaient tout deux qu'elle mentait. Elle détourna le regard, embarrassée, dévoilant une gorge sensuelle qui, elle aussi, réclamait son dû.. Une belle petite paire de canines. Elle resta ainsi, silencieuse à nouveau, cachant sa poitrine dont les tétons durcissaient toujours plus.

Szaalion IV

Humain(e)

Re : Retrouvailles très particulières... [Szaalion IV]

Réponse 3 lundi 06 janvier 2014, 15:46:01

Voeu de chasteté ? C'était la meilleure ! Si Szaalion n'avait pas été depuis longtemps contraint d'adopter une retenue toute impériale lorsqu'il échangeait avec d'autres personnes, nul doute qu'il aurait prit la liberté de rire au nez d'Arphélia à l'évocation de ces voeux. Voilà bien celui qui lui seyait le moins et Szaalion était le mieux placé entre tous pour le savoir. Et si d'aventure l'impérial amant avait eu besoin de preuves, la réaction de la nonne au baiser qu'il lui avait imposé en aurait été une des plus flagrantes. La langue d'Arphélia vient d'elle-même à la rencontre de la sienne qui se mêla bien volontiers à cet ébat humide et obscène tandis que ses mains s'aventuraient sur la croupe aguicheuse de la jeune femme. Voilà des voeux qui ne resteraient plus très longtemps pieux !

- Ce que tu as fais ? Céder à ta nature profonde, tout simplement. Ton dieu est bien sévère, de te forcer ainsi à réprimer ta véritable nature.

Zeratull, la déesse que révérait les vaporéens, basait une partie de son culte sur la sexualité. A tel point que cette dernière faisait partie intégrante du mode de vie de l'empire tout entier et si la chasteté existait au sein de la Vapeur comme partout ailleurs, elle s'apparentait davantage à un châtiment qu'un réel acte de foi. Dans le cas d'Arphélia, ce n'était peut-être pas plus mal : sa super-sexualité aurait fait d'elle un mauvais sujet impérial, l'empêchant de travailler à la gloire du trône puisqu'elle aurait passé son temps à écarter les cuisses et les fesses pour réclamer le dû qu'elle estimait être le sien, soit l'insertion de membres turgescents au plus profond de ses entrailles. Un sourire en coin vissé sur les lèvres, l'empereur l'écouta expliquer comment elle en était arrivée là. Ainsi ses parents avaient découvert le pot-aux-roses ? Leur déception avait dut être bien grande.

- Tu aurais donc à ce point changé ? Toi qui suçais plus de verges que toutes les putains des villages voisins ? Vraiment ? L'empereur se mit lentement à tourner autour d'elle, comme un prédateur l'aurait fait avec une proie juste avant la charge. Ainsi donc, tu ne serais plus cette chienne à la fente vicieuse que j'ai eu tant de plaisir à fouiller de ma queue par le passé... Quelle déception.

Szaalion n'en pensait pas un traître mot, il connaissait trop Arphélia pour croire au petit discours qu'elle tenait pour se convaincre elle-même. Cette femme était adorable, mais n'en était pas moins la pire des traînées. Arrivé derrière la nonne, l'empereur vint loger son visage au creux du cou dévoilé de la nonne et caressa sa peau de son souffle chaud avant de la frôler de ses lèvres. Contre ses fesses bombées, l'homme avait prit soin de caler le volume de son vit et la longueur légèrement durçie de sa verge n'eut guère de mal à se loger contre sa raie. Joueur, Szaalion feignit de ne pas l'avoir remarqué et préféra donner un coup de langue contre la gorge d'Arphélia. Une de ses mains quant à elle s'était posée sur le ventre de la servante de l'Ordre pour remonter vers sa trop opulente poitrine.

- Je ne vais rien tenter, c'est promis... Tu vas voir, tu cédera vite de toi même. Ton corps le sait déjà, lui. La main qu'il avait posée sur son sein le pressa alors, avant que ses doigts saisissent sans peine la pointe érectile qui tendait le tissu de sa soutane. Tu es ici au plus près des cieux, Arphélia. Voyons si ton dieu tentera de sauver ton âme et ta piété.

Et il tira sur le petit bout de chair durcie, le faisant rouler malgré le tissu alors que sa queue déjà plus raide  trouvait refuge entre les globes fessiers d'Arphélia. Ses dents saisirent délicatement la peau du cou de la nonne pour la mordiller avant que la bouche ne fasse le vide d'air, insistant afin de marquer la chair d'un suçon visible. Sa main libre avait déjà foncé vers l'entre-cuisse de Von Krone, se pressant contre son sexe à travers l'étoffe. Telle qu'il la connaissait, Arphélia serait déjà sûrement assez trempée pour que cela se ressente sans que sa fente soit mise à nu.

Arphélia Von Krone

Humain(e)

Re : Retrouvailles très particulières... [Szaalion IV]

Réponse 4 samedi 25 janvier 2014, 16:17:53

~Elle restait là, silencieuse, songeant au passé alors que ses bras cachaient pudiquement son opulente poitrine. Elle savait naturellement qu'il ne la croyait pas, il la connaissait depuis trop longtemps pour croire en ses mensonges. Même elle n'y croyait pas, c'était pour dire.. La première fois qu'ils s'étaient rencontrés, elle avait du le convaincre qu'il ne s'agissait pas d'une entourloupe. Ce jour là, l'Empereur qui répondait au nom de Belheim n'arrivait pas à croire qu'une jeune adolescente aussi mignonne puisse être cochonne à ce point. Il était vrai qu'à ce moment là, avec sa petite robe à fleurs et son panier à la main, Arphélia incarnait la pureté même, elle ressemblait presque à un ange.
C'est pour cette raison d'ailleurs que ses parents eurent le cœur brisé lorsqu'ils apprirent que leur petite fille chérie était une traînée, et la pire du village qui plus est.

Mais bref, tout cela n'était que du passé à présent. Dorénavant, elle devait tenter de convaincre l'Empereur qu'elle n'était plus ce qu'elle était autrefois. Plus ce qu'elle était.. Lui en tout cas n'avait pas changé. Il la regardait toujours avec autant d'avidité et la dévorait du regard comme si il s'apprêtait à lui sauter dessus à tout instant. Il avait toujours eut ce regard envers elle.. Parfois, lorsqu'ils se livraient à certains jeux, il avait du mal à se retenir. Comme cette fois où ils avaient simulés une relation maître/esclave. Pour changer, Arphélia avait joué le rôle de la dominante et lui celui du dominé. Elle avait passé plus de quatre heures à lui faire toutes sortes de petites choses pour le rendre fou, le tout sans jamais le faire jouir. Lorsqu'elle l'avait détaché, il s'était rué sur elle et l'avait « violée » comme ce n'était pas permis. En y repensant, la nonne sentit son corps bouillir et  se décolla du mur histoire de s'écarter un peu de l'Empereur.

Alors qu'elle s'apprêtait à parler de sa vie au palais pour changer de sujet, elle le sentit s'approcher pour lui tourner autour. Rapidement dans l'embarras, elle se pinça nerveusement la lèvre inférieur et     
prit une profonde inspiration pour lui répondre.

- Parfaitement. J'ai changé, et...En tant que Prêtresse, il est de mon devoir de me comporter comme telle. Elle marqua un temps de pause et reprit Si tu n'arrives pas à l'accepter alors... Alors.... 

Il se glissa derrière elle, l'empêchant ainsi de finir sa phrase. Lorsqu'elle sentit son souffle puis ses lèvres chaudes lui chatouiller le cou, elle dut lui attraper le poignet pour ne pas défaillir. Elle n'avait pas eut droit au contact d'un homme depuis tellement longtemps que la moindre petite chose lui faisait perdre la tête. Aussi, elle ne pu s'empêcher d'agiter son petit fessier bien rebondis pour mieux sentir sa verge s'y frotter. Puis, quand elle sentit sa petite langue bien chaude glisser le long de sa gorge, elle poussa un petit gémissement de plaisir, reculant brutalement jusqu'à ce que l'Empereur percute le mur de son dos.

- Je t'en prie Belheim... Arrêtes....

Une dernière fois, Arphélia tenta de se dégager de lui mais abandonna toute résistance quand il se mit à lui mordiller le cou. Ne tenant plus en place, elle se retourna et attrapa ses deux poignets pour l'empêcher de faire quoique ce soit. Sans crier gare, elle se pressa contre lui et déposa ses petites lèvres roses et pulpeuses contre les siennes pour lui offrir un baiser plus que torride. Tout en jouant passionnément avec sa langue, elle laissa glisser sa main droite le long de son corps pour lui déboutonner le pantalon en espérant que, d'ici quelques secondes, il lui ferait le plaisir de lui remplir la bouche de sperme.


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