Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

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Ophélie

Dieu

La Jeune Déesse ne faisait que peu souvent des haltes dans des auberges. La timidité et la bêtise qui caractérisait si bien Ophélie lui faisait très souvent oublier qu'il existait des Auberges pour dormir et manger, auberges qui étaient bien plus confortables que les cages qu'Ophélie haïssait tant. Mais ça, la Lynx avait l'air d'avoir du mal à le comprendre et même à l'accepter. Ce n'était pourtant pas parce qu'elle se croyait supérieure mais bien qu'elle ne pensait pas à venir passer une nuit dans une Auberge. Et pourtant, elle était là, ce soir d'Hiver assez frais, dans l'Auberge du Coucher de Lune, attablée au comptoir comme une quelconque autre cliente, une pinte de Bière entre sa patte droite, son regard mauve dévisageant les nombreux hommes et femmes qui cohabitaient. Elle n'était pas totalement à l'aise dans l'Auberge. Cet endroit pouvait être habité par des marchands d'esclaves qui n'auraient aucun mal à reconnaître la Jeune fuyarde ou pire, l'établissement pouvait garder en son sein un de ses anciens maîtres. Ancien maître qui aurait tout-à-fait raison d'être en colère contre la Déesse.

Ophélie restait donc sur ses gardes, montant la pinte à son museau, alors que la mousse restait dans ses fines moustaches. La Déesse attiraient les regards qui la déshabillaient par sa tenue typiquement égyptienne et qui ressemblait à celle d'une Courtisane enfuie de la Cours de son Roi. Ou, pour les moins romantiques ou littéraires, Ophélie ressemblait aussi à une fille de joie cherchant quelques clients pour finir sa nuit. Et ça, la Déesse ne s'en apercevait pas. Les voiles violets qui voletaient autour de ses jambes étaient attachés au bas de son bikini et les nombreux bijoux de la jeune femme ne laissait indifférents pas les nombreux voleurs de l'auberge. La Jeune Mère des Morts ne put réprimer un soupir peu encourageant, avant de poser une pièce sur le comptoir.

"- Il vous reste une chambre pour la nuit, mon brave ?
- C'est à voir, ma p'tite dame. Vous avez de quoi payer ? Si vous n'amenez pas de clients dans vot'e chambre, je peux voir ce que je peux faire."

Ophélie ne le prit pas bien. Ses minces sourcils se froncèrent alors que sa queue se mit à battre nerveusement derrière. Un jeune homme échappa de peu à se faire fouetter par la Lynx qui lança un regard perçant au bonhomme propriétaire de l'Auberge, lui faisant comprendre de ne plus jamais évoquer devant elle l'idée honteuse qu'elle puisse être une prostituée. Elle finit sa pinte, reprenant sa pièce, son museau empli d'une légère mousse qu'elle ne remarquait pas. Se recroquevillant encore plus sur son siège, malgré qu'elle soit au plus visible de l'auberge, au comptoir, elle resta encore un instant, hésitant entre partir et rester, entre baffer l'homme et rester calme, entre prendre cette chambre et retourner une énième fois dans la rue. Parfois, on se demandait comment elle pouvait être une Déesse. Ouaip', quand elle était sur Terra en recherches pour x ou y raisons, Ophélie faisait tout pour ne pas ressembler à une Déesse. Et elle y arrivait malheureusement trop bien. 

Edean

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Lors de mes quelques visites dans la cité de Nexus, j’avais pris l’habitude de venir me restaurer et même parfois prendre une chambre à l’auberge du coucher de lune, qui est mine de rien l’un des établissements les mieux tenu de la ville. Cependant dire que j’étais un « habituer » n’était pas tout à fait vrai, pour la simple et bonne raison que je ne buvais pas ou très peu d’alcool, pas comme la plupart des clients de ce tripot qui  finirait pour la plupart rond comme des ballons. De toute façon, je n’étais pas là tant pour boire ou manger que pour me réchauffer un peu en cette fraiche soirée d’hiver et malgré le brouhaha permanant, je ne connaissais pas de meilleur endroit pour se reposer après une rude journée. D’ailleurs, à cette heure là, l’estaminet était plein à craquer, des jeunes jouaient à un jeu de dés, les habitués cuvaient dans l’ombre leurs bière de trop, les excités s’isolaient dans un coin avec une ou deux jolies serveuses, tandis que le reste des clients buvaient calmement leurs boissons alcoolisés.

J’étais donc assis tranquillement au comptoir, non loin du feu qui crépitait dans l’âtre de la cheminée, avec une coupe de vin chaud dans les mains, après tout une fois n’est pas coutume comme disait l’autre. Je portais des braies noirs et mon éternel chemise blanche, ainsi qu’un grand manteau de cuir noir censé me protéger du froid comme des lames dont la capuche était rabattu sur ma tête et cachait à moitié mon visage de demi-ange. J’étais toujours en quête d’alliés pour mener à bien ma vengeance maintenant que j’arrivais à maitriser mes différents pouvoirs, car je ne pourrais jamais mener ma vengeance à bien tout seul. De plus, j’avais déjà fais des rencontre fort intéressantes dans cette auberge, très intéressantes…

Perdu dans mes pensées, j’évitais de très peu la queue de la Lynx assise à coté de moi qui passa à quelques millimètres de mon visage manquant de peu de me fouetter. Instinctivement je mis la main sur la poigné de mon sabre et me tourna dans la direction d’où venait là menace, je vis une jeune femme-lynx, sans doute une terranide me dis-je. En tout cas, outre le faite qu’elle était couverte de bijoux d’or et d’argent de la tête aux pieds, elle portait une tenue pour le moins exotique avec ces voiles violets qui accompagnaient chacun de ses mouvements. Mise à part son voile, ses bijoux et un petit bikini ( ?) qui se contentait de cacher se qu’il ne faut pas montrer, la jeune femme laissait clairement son ventre à l’air libre ainsi qu’une partie non négligeable de sa poitrine. Elle avait également un joli petit museau et deux oreilles de lynx qui surmontait des cheveux noir comme l’ébène et deux magnifiques yeux mauves.

-   Excusez-moi mademoiselle… ou madame…

Oui, je ne suis pas très à l’aise quand il s’agit de parler à une belle inconnue…

-   Vous semblez nerveuse… que se passe t-il ?
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Ophélie

Dieu

Re : L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

Réponse 2 vendredi 06 décembre 2013, 11:53:40

Ophélie venait de remarquer la mousse sur son museau et sa langue rappeuse vint gober tout ce qui se trouvait sur les fines moustaches félines de la Lynx qui ferma à demi ses yeux perçant, s'apercevant qu'elle était devenue en quelques secondes un danger vivant, une menace pour les gens à côté d'elle. Sa queue voguait violemment d'un mécontentement non feint face à l'attitude du bourgeois qui cherchait toujours à lui donner une chambre. L'auberge était-elle pleine, il ne restait donc pas une seule petite chambre ? La jeune femme soupira de nouveau, et remarqua un mouvement de son côté gauche. Tournant un peu la tête, elle vit au dernier moment sa queue qui allait pour baffer un jeune homme encapuchonné qui face à la menace amena son bras sur son arme. Ophélie murmura une excuse rapide, effrayée par cette rapidité face à une menace aussi ridicule qu'une pauvre queue de Lynx. Ses oreilles se baissèrent lentement d'un air contrit alors qu'elle dévisager le jeune homme.

Il devait être assez grand. Sa capuche cachée la moitié de son visage et la lynx ne voyait que ses lèvres rouges un peu tachées par le vin chaud qu'il buvait. Sa chemise blanche qu'Ophélie apercevait sous son manteau cuir paraissait un peu usée. Un voyageur ? Un mercenaire, peut-être ? La Déesse fronça les sourcils avant de finir sa pinte de bière et de la reposer au moment où l'inconnu lui adressait la parole. Un léger sourire retroussa la lèvre supérieure du museau de la jeune femme alors qu'elle hochait doucement la tête de haut en bas, acquiesçant aux paroles du jeune homme. Une mèche blanche venait jouer sur son front et Ophélie en conclut qu'il devait avoir une chevelure de neige. Intéressant.

"- Mademoiselle Ophélie, je vous en prie, Monsieur. Pour vous servir."  Les relents de son ancienne activité d'esclave apparaissaient toujours quand elle se présentait. Elle lui tendit une patte pour qu'il la serre, comme elle l'avait vu si souvent faire. La patte était recouverte d'un épais coussinets et d'un pelage soyeux, toujours bien entretenue par la Déesse. Le dévisageant comme une enfant dévisage une nouveauté, elle sentit la chaleur monter à son visage. Peut-être était-ce malpoli de fixer comme cela un homme...Son facies félin se changea un peu pour prendre un air plus sérieux. Hochant plus vigoureusement la tête, la jeune femme s'éclaircie la gorge.

"- Je ne trouve pas de chambre pour la nuit ... Et le propriétaire me prend pour une fille de joie. Vous comprenez je pense mon mécontentement." Baissant un peu la voix, déjà en confiance avec un jeune homme qu'elle ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam, elle s'apprêtait à lui expliquer son deuxième problème. "- Puis, je ne suis pas confiante entourée de tous ces hommes qui pourraient être esclavagistes." Elle n'expliquait pas totalement tout, mais un rapide regard derrière pouvait aussi faire comprendre qu'elle était réellement nerveuse face à ces étrangers.

Il pouvait se demander si elle avait peur d'être reconnue ou de se faire attraper et les deux positions étaient vraies. Elle eut une petite moue avant de dévisager à nouveau son interlocuteur.

"- Mais, excusez mon impolitesse, Monsieur. Je ne vous ai pas laissé parler. Vous êtes .. ?" Sa manière était peut-être un peu rustre, mal-élevée mais correspondait à Ophélie.

Edean

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Re : L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

Réponse 3 vendredi 06 décembre 2013, 18:15:34

La jeune femme-lynx fut effrayé par mon simple geste qui consistait à saisir la garde de mon sabre, la menace avait beau être ridicule, c’était une menace quand même et mon instinct de guerrier avait réagi face à cette menace potentielle. Cependant, voyant la détresse de la jolie terranide et son excuse murmurer à la hâte, me firent conclure qu’elle ne représentait aucune menace, je n’avais donc aucune raisons de m’inquiéter, pour le moment du moins. Je lâchais donc rapidement mon arme pour lui sourire aimablement d’un sourire angélique dénué de la moindre malice, tandis qu’elle se présentait à moi en me tendant une patte recouverte d’un soyeux pelage mauve qui parcourait tout son bras jusqu’à son épaule.

-   Mademoiselle Ophélie, je vous en prie, Monsieur. Pour vous servir.

Quelle façon étrange de se présenter, la politesse de ces propos était visiblement exagérés et me firent hausser un sourcil, j’aurais pu croire qu’elle se moquait de moi si elle ne disait pas ça si innocemment. J’avais sans doute affaire à une ancienne esclave, cela expliquerait d’ailleurs sa tenue exotique qui ressemblait à celle d’une courtisane et également sa nervosité entouré des tous les clients de ce tripot. Je pris la patte de la lynx entre mes doigts pour la serrer fermement, mais avec une certaine douceur tout de même tandis que ses deux beaux yeux violets me dévisageais, mais quand son regard rencontra le mien, Ophélie hocha vigoureusement la tête tout en s’éclaircissant la gorge.

-   Je ne trouve pas de chambre pour la nuit ... Et le propriétaire me prend pour une fille de joie. Vous comprenez je pense mon mécontentement.

En effet, je comprends que cela puisse être frustrant de ne pas trouver de chambre et de se faire publiquement insulté par ce gros bonhomme de surcroit, mais pour lui toute les femmes qui rentrait dans l’établissement étaient des putes. En plus sa tenue légère, qui laissait une bonne partie de son corps à la vue de tous, ne manquait pas d’attirer quelques regards voyeurs de la part de la clientèle de l’auberge, il faut savoir que les serveuses arrondissaient leurs fins de mois de cette manière peu catholique. Cependant, que pouvais-je bien faire ? Je ne pouvais pas réclamer des excuses au tavernier ni lui demander de virer un de ses client pour Ophélie et je ne pouvais décemment pas l’inviter dans ma chambre, quoique…

-   Puis, je ne suis pas confiante entourée de tous ces hommes qui pourraient être esclavagistes.

Cela confirme ce que je pensais, il doit s’agir d’une ancienne esclave pour qu’elle ait ainsi peur de se retrouver nez à nez avec des esclavagistes, elle était comme moi au début, moi aussi j’avais peur, mais ce n’est pas avec la peur qu’on peut aller de l’avant.

-   Mais, excusez mon impolitesse, Monsieur. Je ne vous ai pas laissé parler. Vous êtes .. ?
-   Je m’appelle Edean, je suis ravi de vous rencontre Ophélie. Ne vous en faites pas, tant que vous êtes avec moi les esclavagistes auront la tête tranché avant même d’avoir pu vous toucher.
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Ophélie

Dieu

Re : L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

Réponse 4 samedi 07 décembre 2013, 17:34:08

Un léger sourire traversa les babines de la Déesse qui hocha doucement son museau et sa tête par la même occasion. Etait-il comme elle ? Un anti-esclavagiste forcené qui ne jurait que par sa haine contre ces horribles hommes inhumains ? Elle haussa prudemment un sourcil. Peut-être essayait-il de l'amadouer ? C'était aussi quelque chose de plausible et sa confiance naturelle s'émoussa un instant alors quelle montait à son museau sa choppe vide. Jetant un regard interloqué au verre qui ne lui donnait plus de quoi boire elle reposa la choppe avec soupir de soulagement. Après tout, si elle buvait plus, elle allait faire des choses qu'elle regretterait le lendemain. Mais c'était déjà un peu tard, elle sentait déjà les effets de la bière qui était assez forte, en fin de compte. Elle ferma à demi ses yeux, un léger bâillement lui échappant.

"- Vous êtes un anti-esclavagiste ? Cela, Monsieur Edean est une bonne chose !" Elle sourit doucement, penchant la tête sur la droite alors qu'elle pointait du doigt l'épée qu'il avait relaché. "- En tout cas si vous êtes toujours aussi prompt à vous servir de votre arme, cela ne m'étonne guère que ne craigne rien avec vous." L'air d'Ophélie était sympathique, malicieux et elle laissa échapper un léger rire amical. "- Si vous voulez tout savoir, Monsieur Edean, je suis une ancienne esclave, voilà la raison pour laquelle je reste sur mes gardes. J'ai confiance en vous pour ne pas le crier sur tous les toits, n'est-ce pas ?" On pouvait reconnaître là la véritable Ophélie, celle qui avait confiance dans le premier inconnu et qui osait ouvrir son coeur sans connaître la personne. Edean pouvait être un jeune homme tout à fait honorable comme un fieffé menteur. "- Vous êtes donc mercenaire, Monsieur ?"

Curieuse, elle commanda un nouvelle bière. Tant pis, elle n'aurait pas la tête bien fraiche mais elle avait soif. D'un geste rapide elle proposa à Edean de lui payer une boisson, même s'il lui semblait qu'il bien qu'il buvait déjà quelque chose. Sa queue s'enroula autour des jambes de la demoiselle qui attendait presque impatiemment la réponse du jeune homme assis en face d'elle, prête à lui dévoiler ses secrets et la bonne cause qu'elle poursuivait s'il lui demandait.

Edean

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Re : L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

Réponse 5 samedi 07 décembre 2013, 21:39:59

A mes mots la féline sourit légèrement en hochant la tête montrant qu’elle avait bien saisi mes propos, elle reprit sa chope et la porta à ses babines afin de rincer sa gorge avec le liquide alcoolisé qu’elle contenait. Cependant rien ne vint quand elle voulu boire et, jetant un coup d’œil désappointer au cul sec de a chope, elle poussa un petit soupire avant de la reposer sur le comptoir avant de bailler, en effet il était déjà tard. Cependant je me demandais ce qu’elle pouvait bien faire à Nexus, car vu comme elle était habiller, elle n’était pas d’ici et Nexus n’était pas un lieu de toute tranquillité pour une jolie terranide habiller si légèrement.

-   Vous êtes un anti-esclavagiste ? Cela, Monsieur Edean est une bonne chose !

Me déclara-elle avec un petit sourire avant de pointer mon sabre à ma ceinture.

-   En tout cas si vous êtes toujours aussi prompt à vous servir de votre arme, cela ne m'étonne guère que ne craigne rien avec vous.

Dit-elle en laissant échapper un petit rire sans malice, je pouvais sentir la garde de la jeune femme s’abaisser, mais elle me faisait confiance un peu vite trouvais-je, si ce n’avais pas été moi qui parlais si ça avait été un esclavagiste, qu’aurait-elle fait ? D’un certain point de vue, elle avait de la chance d’être tombé sur moi, mais moi aussi ‘avais de la chance d’être tombé sur elle, car je suis toujours en quête d’allié contre ceux qui réduise leurs semblable en esclavage.

-   Vous êtes donc mercenaire, Monsieur ?

Me demanda-t-elle avant de recommander une bière afin d’étancher sa soif qui avait trouvé une chope vide un peu plus tôt. Je la connaissais bien la frustration d’avoir une gorge sèche, quand j’était esclave, pour nous punir nos maitres nous laissaient littéralement mourir de soif avec mes camarades.  Elle me proposa gentiment de me payer un boissons, mais je refusai tout aussi gentiment, car n’étant pas trop boissons alcoolisé, ma coupe de vin chaud me suffisait amplement et je ne tenais pas particulièrement à  faire un coma éthylique.

-   Oui… Et non… voyez vous, il met déjà arrivé de faire du mercenariat pour gagné ma vie, dire que c’est mon métier n’est pas vrai non plus… à ce jour je n’ai fais que deux missions, l’une couronné de succès, l’autre abandonnée depuis longtemps.

Dis-je en reprenant une gorgée de vin et comme médusés mes yeux allèrent se fixer sur les jambes musclés et couverte d’un magnifique pelage mauve et blanc a partir de mi-tibia, autour desquels vint s’enrouler la queue de la femme-lynx. J’émît un petit « waw… » avant de rougir presque instantanément, je secouai la tête de gauche à droite pour me faire reprendre mes idées et je repris une grande gorgée de vin.

-   Et vous mademoiselle, vous être mercenaire ?
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Ophélie

Dieu

Re : L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

Réponse 6 dimanche 08 décembre 2013, 16:33:08

Ophélie émit un léger rire quand il eut un regard plein de surprise devant le corps de la jeune demoiselle. Elle était habituée que les humains trouvent son corps quelque peu ... surprenant et elle agissait en conséquence, prenant toujours bien les différents regards d'admiration de ses interlocuteurs et ne cachant pas du tout ses courbes harmonieuses et son pelage bicolore voir tricolore. Elle remarqua son regard sur sa longue queue et amusée, une idée germa dans son esprit embrumé par l'alcool. On remercie ce divin nectar nordique qu'est la bière et qui offrait à Ophélie l'occasion d'être moins timide voir un peu trop confiante. Elle laissa doucement sa queue s'enrouler autour des jambes de son interlocuteur, assez haut pour qu'il puisse caresser le poil si ça l'intéressait.

Ecoutant attentivement le jeune homme elle monta de nouveau à sa bouche la choppe qui laissa encore une mousse autour de ses babines et sur ses moustaches. Elle hocha doucement la tête pour nier et laissa s'échapper un léger soupir. Jetant un regard autour d'elle, elle s'approcha un peu plus d'Edean pour que ses paroles n'aillent pas dans toutes les oreilles importunes qui pouvait être intéressées et concernées par les dires de la Déesse. Elle posa sa patte sur le comptoir, ses griffes bien élimés s'enfonçant dans le bois sans qu'elle ne s'en aperçoive.

" - Plus ou moins. Je n'ai pas exactement le physique, n'est-ce pas ?" Elle rit un instant. A vrai dire, on pouvait voir qu'elle était sportive, mais on ne pouvait pas non plus aller jusqu'à l'imaginer comme une vrai mercenaire. Ce qu'elle n'était pas après tout. Sa queue s'enroulant plus encore entre les jambes du jeune homme elle reprit la parole. " - Je ... Comment expliquer exactement ce que je fais .. ? Disons simplement que je me venge en rétablissant l'ordre à ma manière. Contre les esclavagistes, si vous voyez ce que je veux dire. Je libère des esclaves et vais parfois jusqu'à ... assassiner certains esclavagistes qui ont encore la preuve de mon statut d'esclave. Ce n'est pas réellement glorieux, mais on fait comme on peut."

Une légère moue passa sur le visage de la féline qui sourit ensuite. Un bruit la fit se retourner, une main posée sur son épaule la fit sursauter, un susurrement audible la fit frissonner, alors qu'elle essayait de se retirer de l'emprise de la main. Et meeeerde. Elle s'en voulut sur l'instant, d'être entrée dans cette auberge. Bien sûr qu'on allait la remarquer ! Bien sûr qu'un esclavagiste allait al reconnaître. Ne c'étaient-ils pas donner le mot ?

"- Qui avons-nous là ? Oh, mais c'est l'esclave de Vik', ça. Celle qu'on lui a jamais payé et qui a tué son maître ?
-Je n'ai pas tué mon maître ! C'est une invention de la part des esclavagistes !
-Mensonge ! Viens avec nous, maintenant."
Le ton était sans discussion. Elle retira son épaule de l'emprise du bonhomme et lança un regard à Edean.

L'aide d'un preux chevalier servant est demandé au comptoir !

Edean

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La belle Ophélie remarqua sans mal mon regard admiratif sur son corps aux courbes athlétique, mais néanmoins gracieuses, mes yeux bleu étaient notamment rivés sur ses jambes musclées et sa queue de lynx. Avant que je ne tourne mon regard, la jeune femme émit une sorte de ricanement amusée, elle devait avoir l’habitude de telles regards car avec un corps comme le sien je me doute bien qu’elle n’était pas le genre d’esclave qu’on assignait aux travaux forcés. Quant à moi, en tant que nephilim, parfois mon coté humain prenait le dessus avec diverses besoin et pulsions à satisfaire que les anges ne pouvaient soupçonner, mais mon cœur restait celui d’un ange.

Les idées remises en places et mes joues revenues à leur couleur habituel, je vidai ma coupe de vin avant de sentir quelque-chose venir s’enrouler autour de mes jambes, quelque-chose de duveteux et d’incroyablement doux. La belle terranide avait enroulé sa queue autour de mes cuisses, bien haut, presque trop haut, mais cela me permit de caresser cette queue recouverte d’un soyeux pelage blanc et mauve agréable au toucher. Ophélie prit une gorgée de sa nouvelle bière qui laissa une fine couche de mousse sur ses moustaches félines presque translucide tandis qu’elle m’écoutait attentivement, avant de hocher la tête de gauche à droite. Soupirant un peu et après avoir rapidement sonder des yeux l’assemblé d’ivrogne derrière nous,, la jeune hybride ce rapprocha de moi  de quelque pas avant de poser lourdement sa patte sur le comptoir.

-   Plus ou moins. Je n'ai pas exactement le physique, n'est-ce pas ?

Me dit-elle sur le ton de l’évidence, mais d’après moi le mercenariat était surtout une affaire de mental, car juger un adversaire uniquement par rapport à sa stature physique menait bien souvent à la mort. Il existe de nombreuse façon de tuer un homme, certes le combat au corps à corps demande une certaine forme physique, mais moi par exemple je ne suis pas un de ces gros bourrin plein de muscles, j’ai juste ce qu’il faut.

-   Je ... Comment expliquer exactement ce que je fais .. ? Disons simplement que je me venge en rétablissant l'ordre à ma manière. Contre les esclavagistes, si vous voyez ce que je veux dire. Je libère des esclaves et vais parfois jusqu'à ... assassiner certains esclavagistes qui ont encore la preuve de mon statut d'esclave. Ce n'est pas réellement glorieux, mais on fait comme on peut.

On fait ce qu’on peut avec ce qu’on a, j’acquiesçai vivement de la tête, quand on combattait des monstres comme les esclavagiste, tout les coups sont permis et la gloire on s’en fiche un petit peu, de toute façons ils n’ont pas d’honneur.

-   L’assassinat… C’est au contraire une bien noble façon de faire, il m’arrive d’en user de temps à autre, mais c’est une méthode dangereuse pour l’assassin s’il n’a pas prévu de plan B.

L’instant d’après une grosse main se posa sue l’épaule de mon interlocutrice, la faisant sursauter, je me retournais en même temps qu’elle vers l’humanoïde qui osait interrompre ainsi notre conversation, c’était pour le moins malpoli.

-   Qui avons-nous là ? Oh, mais c'est l'esclave de Vik', ça. Celle qu'on lui a jamais payé et qui a tué son maître ?

Dit-il d’une vois caverneuse, il avait bien déjà deux ou trois bière dans le buffet cet homme là, il empestait l’alcool d’ici, mais il semblait sûr dans ses mouvements, sans doutes tenait-il l’alcool mieux que moi. Néanmoins, bourré ou non, ça ne lui donnait aucun droit de venir comme ça et d’importuner la demoiselle avec qui je discutais en toute amitié, même un poivrot devrais savoir ça… Pour qui se prenait-il ? Je remis la main sur mon sabre en fronçant les sourcils, j’étais prêt à dégainer  au moindre signe d’Ophélie.

-   Je n'ai pas tué mon maître ! C'est une invention de la part des esclavagistes !
-   Mensonge ! Viens avec nous, maintenant.

Ophélie sous l’emprise de l’homme me lança un regard plein de détresse, un appel au secours silencieux, c’est exactement ce que j’attendais, mais au lieu de foncer sur l’homme comme un barbare, je préférai une approche plus subtil. Moi qui avait dit à Ophélie de je ne laisserais pas les esclavagistes  la toucher, je m’étais un peu vanter, mais lui il l’avait touché avant même que je le repère…

-   Dites-vous, oui vous l’espèce de sac à bière… On ne vous a jamais appris à traité autrui aussi bien que vous voudriez être traité vous-même ?

Dis-je en m’approchant de l’homme qui trainait Ophélie vers la sortie, bien entendu c’était une question rhétorique, mon but était de m’interposer afin de l’amener à porter le premier coup, je pourrais ainsi sans mal prétexter la légitime défense. L’homme s’arrêta de trainer Ophélie, mais il ne la lâcha pas pour autant et fut rejoint par ses compères chasseurs d’esclave. Ils étaient trois, trois sac de bière pour le prix d’un. Nullement impressionner par leur nombre, je ne perdis pas mon aplomb pour parvenir à m’interposer entre Ophélie et les hommes. D’ailleurs, prenant la main du premier homme qui tenait l’épaule de la belle, je lui tordis les doigts si forts que ses phalanges craquèrent dans horrible bruit sourd d’os brisé, l’homme hurla de douleur en tombant à genoux.

Les deux autres encore debout dégainèrent leur armes avant de foncer sur moi de concert en poussant de gros cris de guerre et faisant de grand moulinet devant eux, mais je réussi à les esquiver d’une roulade sur le coté. Me relevant, je dégainais rapidement mon sabre avant de donner un coup vif au niveau des genoux de l’esclavagiste le plus proche de moi, lui cisaillant à moitié les jambes et lui faisant mordre la poussière du parquet en un cri entre douleur et surprise. Quant au troisième, il se retourna vers moi et voulu me donner un coup de hache que je réussi à parer avec mon sabre, il me donna alors un violent coup de poing en pleine figure de sa main non armée. Je tombai au sol, j’étais à moitié sonné, tandis-que l’homme à la hache venait pour m’achever, je me mis à utiliser mon pouvoir de télékinésie pour me sortir de ce guêpier. Sans même lever le petit doigt je fis décoller une chaise pour la balancer à toute vitesse sur la tête de l’homme qui mourut intensément.

Je vis que celui dont j’avais coupé les jambes c’était vidé de son sang, ne restait plus que celui qui avait traîne Ophélie et dont j’avais brisé les doigts. Je me dirigeais vers lui afin de lui trancher la tête sans cérémonie. Après quoi, encore titubant, je me dirigeais vers la belle Ophélie en souriant.
« Modifié: mardi 10 décembre 2013, 12:23:46 par Edean »
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Ophélie

Dieu

Ophélie adorait qu'on lui caresser la queue, surtout quand c'était sans arrière pensée, et il put entendre par moment un léger ronronnement félin, un ronronnement taquin, peut-être. Elle s'amusa un instant, souriante, jouant un peu avec la mèche de ses cheveux. Elle essayait de voir un peu mieux le visage de cet inconnu qu'elle trouvait bien sympathique, quoi qu'un peu trop mystérieux. Mais tout le monde n'offrait pas son coeur comme la Déesse. Elle détaillait encore plus son visage, ses beaux yeux bleu, ses traits presque féminins mais d'une finesse presque inhumaine. Un soupçon passa dans le regard d'Ophélie qui se demanda un instant quel homme était Edean. Un humain ? Non, elle ne pouvait pas y croire. Elle soupira un instant, avant que la réalité la prenne de nouveau au collet, à l'épaule et la traine par terre.

En quelques secondes l'ambiance avait changée du tout au tout, de l'amical au froid, du brouhaha des ivrognes toute l'auberge, malgré l'habitude des bagarres, du brouhaha, donc, on était passé au silence avant la tempête, lourd de sens, lourd de mots invisibles, d'applaudissements face au vainqueur du combat qui allait commençait. La Déesse se fit trainer par terre avec une rapidité assez étonnante pour un homme déjà bien bourré comme l'était l'esclavagiste qui venait de l'attraper par les cheveux. Elle sentait encore les relents de l'haleine très nauséabonde de cet homme qui la trainer comme on peut tirer une simple marchandise, un animal de compagnie qui s'est enfui et ses beaux cheveux soyeux étaient en train de souffrir comme l'amour propre de la jolie Déesse qui sentait le sol sous elle défiler.

Elle ne pouvait rien faire en plus de ça. Non, parce que niveau force et gabarit la Jeune Déesse ne valait strictement rien et c'était comme une poussière le long d'un chiffon, elle pouvait juste compter sur la chance de tomber du chiffon et de disparaître au milieu d'autres poussières. Et la chance de s'enfuir comme un grain de poussière était très très réduite par le chiffon qui était un gros gaillard. Enfin, elle pouvait compter sur le coup de vent. Le coup de vent, c'était Edean. Il était le coup de vent salvateur qui allait sauver la mise et le grain de poussière égaré. Elle l'entendit prendre la parole. Son coeur battait comme s'il voulait partir de cette cage thoracique trop p'tite, comme si sa vie était en danger. Pourtant, le sauveur était là et Ophélie sentit ses cheveux lui faire bien plus mal quand elle essaya de tourner la tête. Elle pouvait entendre les pas de nouveaux ennemis. Pauvre Edean ..Puis soudain la main sur l'épaule et celle sur les cheveux lâchèrent leur prise sur la Déesse qui souffla et disparût à quatre pattes comme un animal, un peu plus loin dans la salle.

Il se débrouillait terriblement bien. Ophélie ne put retenir un sourire d'admiration et elle passa une main dans ses cheveux douloureux, se relevant, prête à venir au secours à coup de crocs et de griffes maintenant qu'elle était plus ou moins libre de ses mouvements, grain de poussière libre de voleter partout dans la pièce pour se mettre sur un habit ou sur une personne, dans des cheveux ou dans un oeil. Elle fixait le jeune homme avec un air d'admiration, le sang commençant à perler, à éclabousser le sol de l'auberge de manière assez dramatique voire effrayante. Ophélie eut un frisson et se releva en voyant Edean se faire mettre à terre. Elle était prête à agir comme elle pouvait dès que le moment se présenterait. Mais Edean faisait preuve d'une expérience et d'un professionnalisme hors norme.

Ophélie marcha dans le sang sans sourciller quand elle vit le combat se finir. Un peu lache, mais ce n'était pas grave, elle n'avait en rien strictement rien pour se battre et le jeune homme l'avait très bien compris. Ses pattes et son pelage se remplirent du sang qui était sur le sol et elle attrapa Edean par le bras, passant son bras par dessus son épaule, le voyant assez tremblant. Il avait usé de magie après tout, et avait combattu comme trois hommes à lui seul, sans même paraître fatigué sur le moment. Mais il s'était pris un bon coup dans la figure qui l'avait jeté à terre par sa force et Ophélie pouvait très bien imaginé qu'il était maintenant comme un héros après une bataille, en demande d'aide et de reconnaissance. Elle lui sourit, en le remerciant d'un regard doux et caressant l'apparence du jeune homme. Elle l'assit, le sentant de plus en plus en forme. Résistant, ce bel homme.

" - Merci. Vous méritez votre réputation, Sieur Edean." Elle s'aida de sa queue qui vient se placer dans le dos de son ami pour l'alléger un peu de son arme, ensanglantée. D'un regard, elle demanda un chiffon pour l'arme alors que l'aubergiste faisait évacuer sans plus de brouhaha les corps des esclavagistes. Attrapant le chiffon, la jeune demoiselle le passa sur le visage d'Edean puis, rapidement, sur la lame affutée pour enlever le sang et la remettre dans son fourreau.

" - Vous avez pris une chambre ? Je pense qu'il vaut mieux aller se mettre dans un endroit abrité plutôt que d'attendre d'autres esclavagistes ou personnes en quête de Duel. Me sauver la liberté va vous amener beaucoup de problèmes, Edean. Puis-je venir avec vous dans la chambre ?" Sans arrière pensée aucune, qui plus est. Oui, ça c'est l'effet Ophélie. Elle passa de nouveau une patte sur le nez du jeune homme avec une petite moue. " - Vous avez l'air bien résistant ... Ca va la tête ? La télékinésie n'est pas douloureuse ?" Elle eut un sourire alors qu'elle parlait plus bas, lui faisant comprendre qu'elle n'était pas dupe, qu'elle aussi avait compris. Souriante, prête à emboiter le pas au jeune homme pour monter dans la chambre pour souffler une seconde et se laver les pattes sanguinolentes elle se releva du siège. Elle rapprocha son museau du jeune homme, curieusement attirée, pour le remercier à l'embrasser.

Mais elle n'en fit rien et se détourna, un peu rouge.

Edean

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Re : L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

Réponse 9 vendredi 13 décembre 2013, 23:29:08

Une fois que le combat fut terminé, je pu voir le personnel de l’auberge s’empresser de ce débarrassé des trois corps sans vie qui jonchaient le parquet de l’établissement, mais à cet instant je ne m’en préoccupais que peu. A vrai dire, alors que je tremblais légèrement sous le coup de la fatigue, mon regard était rivé sur la belle Ophélie qui s’avançait vers moi en marchant nonchalamment dans la marre de sang rouge qui inondait le parquet. Certes l’utilisation de la télékinésie juste après avoir reçu un coup de poing dans la figure n’étais pas une chose indiquée, mais j’en avais vu d’autre et ce n’est pas ça qui va me faire peur, j’étais assez résistant. Toutefois je ne pouvais pas nier que je sentais la tête me tourner quelque peu, ce n’était rien de grave, juste un petit coup de barre, mais sur le coup j’avais l’impression d’avoir pris une enclume sur la tête.

Quand la jeune femme fut arrivée près de moi, elle me prit par le bras pour m’aider à m’asseoir sur une chaise non loin avant de m’adresser un magnifique sourire plein de reconnaissance, j’avais tout de même supprimé trois vies pour sauver la sienne. Je pouvais voir les beaux yeux violets d’Ophélie glisser avec douceur sur ma silhouette svelte, mais aux muscles néanmoins finement dessiné et m’apercevant de cela, je ne pus réprimer un petit sourire plein de malice. Je me mis alors à retirer ma capuche afin de lui laissé promener son regard sur mon visage angélique, je faisais ça sans la moindre arrière pensée, c’était juste pour lui permettre de me voir un peu mieux.

-   Merci. Vous méritez votre réputation, Sieur Edean.

Me dit-elle simplement avant de m’essuyer délicatement mon visage éclaboussé de liquide rouge, ses gestes étaient précis, adroit, tendres et pour moi ça signifiait bien plus de choses que mille mots doux. Car tout au fond de mon être survivait un manque d’affection qui, profond tel un puits sans fond, me creusait le cœur depuis mon enfance, avant même que je ne soit attrapé par ces monstres d’esclavagistes.

-   Vous avez pris une chambre ? Je pense qu'il vaut mieux aller se mettre dans un endroit abrité plutôt que d'attendre d'autres esclavagistes ou personnes en quête de Duel. Me sauver la liberté va vous amener beaucoup de problèmes, Edean. Puis-je venir avec vous dans la chambre ?

Me demanda-elle après avoir rapidement passé le chiffon sur ma lame pour la nettoyer, sa question me surprit, elle disait ça si directement et de manière si innocente que j’avais du mal à la cerner, mais je l’aimais bien moi cette jolie Lynx.

-   Vous avez l'air bien résistant ... Ca va la tête ? La télékinésie n'est pas douloureuse ?

Me dit-elle en parlant légèrement plus bas tout en me passant à nouveau une petite patte féline sur le visage avec une petite moue pleine d’inquiétude, c’était si craquant que j’avais envie de la prendre dans mes bras. Elle aussi avait des étoiles dans les yeux, elle approcha son museau de mes lèvres pour m’embrasser, je ne l’aurais pas repoussé, j’aurais même pu répondre au baiser avec tendresse, mais au dernier moment elle en décida autrement et détourna la tête. Un peu pris au dépourvu, je la vit rougir légèrement alors qu’elle évitait mon regard...

-   Oui j’ai une chambre et bien sûr que tu peux venir si tu le souhaite…

Me relevant de la chaise dans laquelle Ophélie m’avait assis, je traversais la grande salle de l’auberge, tous les clients s’empressèrent de nous laissés passés ma protéger et moi-même sans faire d’histoire, jusqu’à l’escalier qui menait aux chambres. Une fois l’escalier monté, nous traversâmes un long couloir sombre avant que je ne m’arrête à une porte pour l’ouvrir et rentrer dans la petite pièce qui était ma chambre. Ce n’était pas la chambre la plus luxueuse de l’auberge, mais ça me suffisais amplement et, chose rare à Nexus, j’avais de l’eau courante dans une petite salle d’eau annexe. Pour le reste c’était plutôt banal, il y avait un grand lit, une table de chevet avec une bougie, une table, une chaise et une petite cheminée.

La tête qui tournait encore un peu, j’ôtais mon manteau noir pour le poser sur la chaise avant de m’allonger nonchalamment sur le lit, je n’avais pas répondu à sa question par rapport à la télékinésie, attendant d’être seuls pour en parler.

-   Si tu veux tout savoir, la télékinésie est un des pouvoirs que j’ai hériter de mon défunt père… Et après mettre dûment entrainer avec un maitre… ou plutôt une maitresse, je pourrais fort bien faire voler toute les chaises de l’auberge sans ciller.
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Ophélie

Dieu

Re : L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

Réponse 10 samedi 14 décembre 2013, 21:03:40

Elle détailla tout de suite son visage. Elle rêvait de le voir, après tout, maintenant qu'elle découvrait un homme si gentil, elle était heureuse de découvrir son visage comme on découvre le revers d'un rêve .. Elle passa son regard mauve et curieux sur chacun des traits d'Edean, dévorant ses yeux d'un bleu terriblement profond. Ophélie cherchait à savoir pourquoi elle sentait cet homme "mieux" que d'autres. Plus .. gentil ? Non, c'était plus que ça. Elle détaillait son visage aux traits si sympathiques qu'ils en étaient presque ... angéliques ! C'était donc ça ! Peut-être était-ce un ange, ce qui pouvait expliquer cette impression persistante qu'avait la Jeune Déesse. Elle souriait réellement heureuse, et reconnaissante, heureuse de pouvoir l'aider maintenant qu'il venait de sauver sa liberté, reconnaissante d'avoir mis en danger sa propre vie pour celle d'une inconnue qu'il venait de rencontrer.

S'il cherchait de l'affection, il n'avait aucun soucis à se faire, avec Ophélie qui commençait à s'attacher (encooooore ..), il allait sans doute être servi. Puis, elle pensait juste à une affection amicale, sans aucune arrière-pensée, comme lorsqu'elle parlait d'une chambre, d'un lit, sans même imaginer qu'on pouvait penser à mal. Quand elle, ne pensait pas à mal, il lui semblait que personne ne pouvait le faire. Raisonnement un peu bête, à vrai dire, mais innocent comme la créature qu'elle était la plupart du temps. Mais parfois, elle était timide et elle l'était devenue en un quart de seconde, quand elle était prête à l'embrasser, à partager ses lèvres avec celles de cet homme courageux, de ce héros moderne qui était si gentil. Avait-il compris ? Comment le prenait-il ? Il devait la trouver si bête, si .. sans gout. Elle soupira doucement, honteuse, pensant qu'il pouvait la prendre comme une allumeuse. L'était-elle ? Par moment, c'était vrai, elle pouvait l(être, mais pas là, pas avec cet homme qui lui semblait blessé par un passé chargé, un homme qui combattait contre l'esclavagisme, un homme qui offrait si ce n'était sa vie, au moins son physique. Et sa chambre, aussi. Elle sourit.

Regardant la chambre, elle remarqua la salle de bain et hocha la tête alors qu'il commençait à lui expliquer, elle mit une de ses pattes ensanglantées dans la baignoire, ouvrant l'eau pour nettoyer le sang qui la génait, frottant ses poils avec rapidité pour faire disparaître le liquide rougeâtre, sifflant doucement pour montrer son admiration. Elle tourna la tête vers Edean qui s'était allongé, lui adressant la parole en continuant son nettoyage. Elle le trouvait de plus en plus intéressant et expert dans des choses qu'elle ne connaissait pas du tout, presque de la magie pour elle. Elle passa une patte trempée dans ses cheveux, continuant son nettoyage.

" - Ouwwa...Tu es réellement imposant comme guerrier. C'est impressionnant." Elle le tutoyait sans faire exprès passant une serviette sur ses pattes. Elle revint, assez contente de s'être débarrassée du sang poisseux qui tachait ses pattes et se laissa doucement glisser sur une chaise face au jeune homme. " - Tu me parais très .. mystérieux. Tu n'es pas un humain, n'est-ce pas ? Je ne sais pas exactement ce que tu es, mais .." Elle sourit malicieusement, passant sa pâte sur son museau. " - En tout cas, c'est un plaisir de rencontrer quelqu'un comme toi, un anti-esclavagiste courageux."

Elle se releva doucement, arrivant près du lit. Elle monta lentement sur le lit, féline, à quatre pattes, se mettant à côté de lui, le fixant toujours aussi malicieusement, gentiment, passant même une patte sur le front du jeune homme, toute douce, sans plus rien dire, le laissant répondre et agir.

Edean

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Re : L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

Réponse 11 mercredi 18 décembre 2013, 17:25:58

Ce n’était pas le grand luxe, mais c’était bien assez pour moi, je me contentais de peu, pour moi les choses simples de la vie sont des vrai trésors, des trésors bien plus précieux que l’or ou les pierres précieuses. En poursuivant cette quête, je n’avais aucun désir de gloire ou de fortune, seulement ma vengeance,  une haine dévastatrice et incontrôlable faisait brulé mon cœur et tant que je vivrais, je combattrais les esclavagistes. Cependant pour cela il me faut des alliés, car même si j’ai très peu voire aucunes chances d’accomplir mon but de mon vivant, je veux que cette cause me survive pour que les peuples libres puissent enfin déclarer que tout hommes naissent libre et égaux. Pourtant malgré ces airs chevaleresques, ma vengeance n’avait rien de spécialement noble, je voulais pardessus tout la mort des esclavagistes et si l’un se protège derrière un pauvre esclave innocent, je n’hésiterais pas à transpercer l’esclave pour tuer son maitre.

Alors que j’étais absorbé dans mes pensées, la belle Ophélie alla dans la salle de bain pour laver ses pattes ensanglanter dans l’espèce de grande cuve en bois qui me servait de baignoire, et moi qui croyais que les félins détestaient l’eau… Poursuivant son nettoyage, elle émit un léger sifflement admiratif en réponse à mes paroles, cela me fit chaud au cœur, mais d’habitude, je n’étais pas vraiment admiré, je n’étais qu’un « mâle » comme disaient les Amazones.

-   Ouwwa...Tu es réellement imposant comme guerrier. C'est impressionnant.

S’exclama-t-elle en revenant dans la chambre une fois que son nettoyage terminé et que le sang qui imbibait son magnifique pelage violet eut disparu, avant d’aller s’assoir sur l’unique chaise de la pièce face au lit sur lequel j’étais étendu.  J’allais avoir les chevilles qui vont gonfler, pensais-je en riant intérieurement, il est vrai que je pouvais impressionner malgré ce que ces femmes guerrières m’avait répéter sans cesse et ça me faisait du bien un peu de reconnaissance. Autre-chose qui me ravit, elle se mit à me tutoyer, preuve que j’avais dépassé le stade d’étranger mignon rencontrer dans un bar et même ça avait été inconscient, pour des anciens esclaves comme elle et moi cela importait beaucoup. Moi je l’aimais bien cette jolie lynx, après si j’y étais vraiment indifférent je ne l’aurais pas sauvé, car il ne faut pas se leurrer, ce n’est pas en supprimant trois hommes de mains que je vais stopper le commerce d’esclave.

-   Tu me parais très... mystérieux. Tu n'es pas un humain, n'est-ce pas ? Je ne sais pas exactement ce que tu es, mais… En tout cas, c'est un plaisir de rencontrer quelqu'un comme toi, un anti-esclavagiste courageux.

Dit-elle en se relevant de la chaise pour se rapprocher de mon lit avec lenteur tout en me fixant d’un air plein de malice, puis la belle Ophélie entreprit de grimper sur mon lit et, sans me lâcher du regard, elle se rapprocha de moi à quatre pattes avant de s’allonger près de moi. Je ne sus pas vraiment quoi faire, elle était si proche, je pouvais presque la toucher, mais je m’interdisais de le faire, du moins tant que la belle ne m’aurait pas donné son consentement, je ne suis pas un violeur moi. Malgré tout, mes joues se mirent à rosir tandis qu’entre mes jambes une érection commençait à former une bosse dans mon pantalon, je ne pus résister à passer une main dans son dos pour tendrement lui caresser sa chute de rein.

-   Tu as raison… Je ne suis pas humain, du moins pas à cent pour cent. Je suis un nephilim, un bâtard angélique mi-ange mi-humain.
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Ophélie

Dieu

Re : L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

Réponse 12 vendredi 20 décembre 2013, 15:44:59

Ophélie trouvait la chambre très belle, à son gout, d'une simplicité saisissante qui faisait presque plaisir à voir, et elle se sentait déjà bien dans cette chambre pour des raisons qu'elle ne comprenait pas encore. Était-ce parce qu'elle était en compagnie d'Edean ? Peut-être … Elle eut un grand sourire, amusée, et heureuse d'être avec un défenseur des droits des esclaves. Il se battait lui aussi pour la même raison qu'elle, il se battait contre les esclavagistes. Elle était sûre que c'était personnel comme combat. On se battait contre les esclavagistes personnellement, elle le savait. Il lui plaisait par sa simplicité et sa quête, sa gentillesse et son désir de vengeance qui suintait à travers ses actions et ses gestes. La Jeune Déesse voulait beaucoup devenir une alliée de cet angélique personne. Elle lui sourit de nouveau, doucement, en fermant à demi ses yeux mauves, posant son menton dans le creux de son coussinet.

Non, elle disait cela même pas juste pour lui faire plaisir, lui plaire ou autre, elle exprimait avec gentillesse ne vérité qui lui crevait les yeux. Il était un guerrier impressionnant, un homme qu'on pouvait admirer et qui avait de quoi se faire admirer. Elle passa sa langue sur ses babines, sur son museau, un mouvement habituel chez la Lynx qui était non pas stressée, mais plus u moins à l'aise. Elle pencha la tête  sur la gauche, continuant à le regarder, à le décrire mentalement, le trouvant réellement superbe, avec ses cheveux blancs comme la neige et ses yeux bleus qu'elle trouvait langoureux. Si lui n'était pas indifférent à la Lynx et à son comportement, à son corps de courtisane, la demoiselle n'était pas du tout indifférente à son charme simple et tranquille. Il respirait la gentillesse et la tranquillité, il paraissait ne pas pouvoir faire de mal à une mouche, alors que quand le courage l'appelait, il tuait sans faire attendre. Il était un vrai héro, comme se définissait la jolie Déesse enfantine, le héros de livre. Il était un héro terriblement craquant, et son regard malicieux montrait bien qu'elle le trouvait décidément très à son gout.

Elle s'était bien calée à côté de lui, féline à souhait, son souffle venant se perdre sur la peau douce d'Edean, prête à passer ses doigts boudinés de Lynx sur le cou du jeune homme. Elle se retint un instant, souriant comme une enfant heureuse quand il rougit. Elle lui faisait de l'effet ! Un long frisson parcouru la colonne vertébrale de la demoiselle, son pelage s'hérissant doucement, et un doux ronronnement commençant à poindre du fond de la gorge de la Lynx, qui savourait avec un grand plaisir la caresse dans la chute de rein de la Déesse. Elle murmura un léger :

" - Je vois … Je n'avais jamais vu de semi-ange, avant … Ils sont tous aussi beaux, aussi séduisants ?"

Souriant doucement avec un léger rire qui dégringolait de sa gorge nue, elle se rapprocha encore de l'ange, le dévisageant sans timidité, mais avec envie, rapprochant de nouveau son museau du visage de l'ange, lui susurrant une nouvelle question amusée, sa langue venant par inadvertance lécher un peu le lobe de l'oreille de l'ange. 

" - Et sont-ils tous aussi courageux, Edean ? Où est-ce seulement toi qui me parait si … héroïque ?"

Elle eut un grand sourire et vint enfin l'embrasser, ne pouvant plus supporter de voir ses lèvres qui la narguaient. Mélangeant sa langue à celle du bel ange, elle ferma ses yeux mauves pour savourer ce baiser, à moitié allongée sur le jeune homme.

Edean

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Re : L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

Réponse 13 samedi 21 décembre 2013, 20:18:42

Nous étions à présent tous deux allongé sur le lit, tandis que la belle avait callé son corps brulant au mien, elle ne cessait pas pour le moins du monde de me regarder de ses magnifiques yeux mauves qui me fixaient avec attention. Son souffle chaud venait caresser ma peau avec douceur, ce qui me fit frémir comme une feuille morte et, alors que je poursuivais de caresser tendrement le creux des reins de la belle, je pus sentir son doux pelage s’hérisser sous mes doigts fins.

 Je sentais le désir croitre en moi, j’avais envie de sentir ces caresses sur ma peau, de pouvoir embrasser avec tendresse ce petit museau si délicat, de l’aimer, de la posséder avec toute l’ardeur de ma passion dévorante. Mon petit cœur de semi-ange ce mit à battre de plus en plus fort dans ma poitrine, faisant prendre à mes joues une teinte rosé qui fit sourire Ophélie tel une enfant qui découvrait son cadeau sous le sapin de noël. La femme-lynx se mit alors à ronronner doucement tandis qu’un long frisson la parcouru de la tête aux pieds, apparemment je lui faisais également de l’effet, elle était si désirable cette petite Terranide.

-   Je vois … Je n'avais jamais vu de semi-ange, avant … Ils sont tous aussi beaux, aussi séduisants ?

Dit-elle en souriant avant d’émettre un petit rire et de se rapprocher encore un peu plus de moi, je pouvais sentir la douce chaleur de son corps contre le mien, ce qui inévitablement fit grimper en flèche ma pression sanguine entre mes jambes. Enfaite il ne restait pas beaucoup de néphilim comme moi, la plupart ayant été tué dés la naissance par les Archanges, je ne devais la vie qu’au sacrifice de mes parent qui ont périt pour me sauver. Cependant j’en ai connu un, enfin  connu est un bien grand mot, disons que je l’ai croisé plutôt, d’ailleurs je ne sais même pas ce qu’il est devenu, néanmoins il n’était pas un guerrier, mais ces pouvoirs surnaturels dépassait les miens.

-   Et sont-ils tous aussi courageux, Edean ? Où est-ce seulement toi qui me parais si … héroïque ?

Murmura-t-elle à mon oreille d’un ton amusé, son souffle chaud vint alors délicatement caresser mon appareil auditif avant que sa langue rose ne vienne lécher celui-ci, me procurant unent sensation des plus agréables. Cependant elle ne me laissa pas le temps de répondre, se pencha légèrement en avant, elle m’embrassa et, laissant libre cours à son désir qu’elle retenait depuis trop longtemps, elle envoya sa langue tournoyer autour de la mienne. A ce baiser passionné, je répondis avec une langueur amoureuse tandis que j’enlaçais la belle dans mes bras qui voulaient la protéger contre tous ses ennemis, si puissant qu’ils soient ils ne me faisaient pas peur.

Ophélie était à moitié allongée sur moi, les voiles violets presques transparents qui lui ceignaient son bikini et ses bracelets en or me recouvraient comme des draps de soie et lui donnait, à chacun de ses mouvements, un air si exotique… Mes mains qui l’enlaçaient, ne cessaient leurs caresses sur le doux duvet de la belle, duvet qui recouvrait son dos, son ventre sur lequel je fis couler une de mes mains, et sa poitrine dont ma deuxième main partit s’occuper peu après le départ de la première. Tout en poursuivant notre langoureux baiser, je pris un des seins d’Ophélie entre mes doigts fins et commença par couvrir de caresse ce globe de chaire avant de rapidement défaire la partie supérieur du bikini d’Ophélie.
La rigidité et la dureté sont les compagnons de la mort. La douceur et la délicatesse sont les compagnons de la vie.

Ophélie

Dieu

Re : L'érotisme tient dans ce sein qu'on ne saurait voir ! {PV Edean}

Réponse 14 mardi 24 décembre 2013, 12:06:20

Comment ne pas le fixer quand son visage aux traits fins paraissait lui faire du nez, lui dire en grandes lettres majuscules qu'il était un des hommes les plus beaux qu'elle avait vu et rencontré depuis de longues années. Avait-elle chaud ? Elle ne savait même pas, si c'était de la chaleur ou du désir qui palpitait dans ses veines mais c'était un sentiment présent et proche, si présent dans tout son corps qu'il vint chatouiller les poils doux de la Lynx. Elle était bien calée contre les côtes du néphilim, se blottissant encore plus contre son corps finement dessiné, décidée à ne faire plus qu'un avec l'ange. Ses yeux se fermèrent à demi, ses iris se rétrécissant un peu pendant qu'elle le fixait longuement, dévorant chaque parcelle de sa peau blanche comme celle d'une femme. Le léger sourire qui retroussait ses babines était doux, charmeur sur les bords.

 Elle sentait le cœur de son futur amant qui battait à tout rompre contre son corps. C'était mignon, romantique ? Oui, vraiment. Il rougissait comme un enfant et ça la faisait sourire, presque rire, non pas avec moquerie ou ironie mais bien parce qu'elle trouvait cela mignon et amusant. Il était à croquer, c'était l'instinct d'Ophélie qui le lui disait. A croquer sur place, ou à emporter, elle n'en savait encore rien. Était-il gouteux ? Elle en était sûre ! Un sourire et un ronronnement sonore plus tard, elle se blottissait contre ce corps ambitieux de jeune homme sûr et charmant. Il y avait quelque chose, un petit détail qui laissait Ophélie dans l'ivresse de la protection, dans une confiance absolue. Non, décidément, elle ne pouvait pas se l'imaginer en train de faire du mal à quelqu'un et le sourire de ce jeune homme le confirmait.

Elle se foutait des autres, maintenant. Des esclavagistes, des méchants, des horreurs, des esclaves, de tout ce qui l'intéressait d'abord. Maintenant, elle était si bien contre ce néphilim, contre un semi-ange doux et chaud. Elle le retenait ? Non, elle ne l'avait juste pas sentit poindre, ce désir rassurant et rapide. Mais elle sentit le baiser, le gouta et l'adora, retenant un instant son souffle pour mieux apprécier les lèvres et la langue de son nouvel amant. Elle ne voulait pas lui laisser le temps de répondre, elle voulait juste profiter de ses lèvres et de son parfum. Elle se sentait si bien contre lui, protégée par son corps d'ange, calée contre cet oreiller humain si gentil. Elle poussa un soupir de satisfaction en relevant la tête après ce premier baisé passionné et langoureux, ses moustaches fines chatouillant la peau douce du néphilim face à elle. Son museau vint se loger contre le creux du cou de l'ange alors qu'elle passait un jambes de l'autre côté d'Edean, pour être à cheval sur le corps allongé du mercenaire. D'un coup de patte, elle détacha ses cheveux de la queue de cheval et les laissa couler le long de son dos, sur ses épaules alors qu'elle souriait toujours, entre le charme et l'attendrissement.

Les caresses sur le duvet de son ventre, rose pâle lui donnait de longs frissons agréables qui remontait le long de son pelage, par sa colonne vertébrale, dans son dos, dans son cou, jusqu'à sa gorge qui lachait un ronronnement régulier et sonore, alors que la main qui  vint doucement caresser ses seins   arrachait un léger gémissement de contentement à la Lynx. Elle aimait sentir ses mains et sa chaleur contre elle. Elle aimait sentir ses lèvres et sa langue, dans le langoureux ballet que leurs deux langues formaient. Alors qu'il faisait tomber le haut du bikini de la Jeune Déesse, cette dernière se débarrassa lentement du haut de son amant semi-ange, passant ses coussinets chaud et doux tout le long du torse d'Edean. Lachant enfin la lèvre de son partenaire Ophélie vint doucement mordiller le lobe de l'oreille du néphilim, mettant un peu plus de son poids plume sur le corps de l'amant, une main descendant doucement tater l'entrejambe de son amant, non pas gourmande, mais attentionnée.


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