Ich tu dir weh? Tut mir nicht leid~♥ [PV Lucrezia]

Bien qu'elle ait célébré seule la « fête » de bienvenue de la Duchesse dans les rues de Seikusu, Chainsaw ne savait toujours pas où se trouvait Lucrezia? Est-ce qu'elle trainait toujours en ville? Elle voulait dire oui. Pourquoi quitter cet endroit où elle a fait naître Chainsaw, où ses meilleurs souvenirs y sont aussi? Cela serait illogique. Bien des soirs elle avait erré dans les rues plus ou moins paisibles de la cité, cherchant un indice, quelque chose qui la guiderait à elle comme le petit poucet. Sauf qu'à la place des cailloux, elle aurait trouvé des petites gouttes de sang? Cela aurait été si mignon. Elle avait beau trainer près des entrepôts désaffectés, des maisons abandonnées, rien. Quelques clochards, quelques traces de nourriture ou autre excrément dans certains coins mais aucune trace de sa créatrice. Après avoir patienté près des potentiels endroits où elle aurait pu s'arrêter, elle changea de position, voulant chercher ailleurs. Seikusu n'était pas aussi grand que Tokyo mais y trouver une personne en particulier qui éviter de se montrer, ce n'était pas simple. En repensant aux articles qu'elle avait pu lire sur elle à l'époque, Chainsaw se mit en route vers un lieu chargé de souvenir, le sanatorium St Rosy. Même dedans, le lieu ne sera pas simple pour la trouver mais quand bien même elle ne sera pas dedans, elle va visiter un lieu chargé de souvenir de Lucrezia.

Face à cet endroit abandonné, certains y auraient vu le piège et l'endroit glauque à plein nez. Pour Chainsaw, c'était un endroit charmant avec un petit quelque chose de romantique? Si, comme dans les cimeterres, surtout en hiver. Elle avançait et poussa la porte grinçante, c'était charmant. Elle leva ses yeux autour d'elle mais à part les quelques rayons de la lune, elle n'y voyait pas grand-chose. Elle allumait sa lampe-torche – car elle n'était nyctalope quand même – elle inspectait les lieux et repéra quand même quelques traces récentes sur le sol, preuve que le passage se faisait souvent ici ou alors qu'un groupe de personnes est passé ici. Mais il y avait un plan près de l'entrée et l'endroit où la Duchesse se trouvait serait surement la zone l'ouest, la partie folie du sanatorium, l'endroit le plus agréable donc. Elle avança dans cette direction, sans chercher à user de son pouvoir, elle ne voulait pas se cacher, elle voulait retrouver celle qui l'avait créé. Ses mains glissaient sur les murs, sur les quelques graffitis ou les vitres encore intacte mais pas neuve tout de même vu les fissures. Elle avait envie de mettre son arme en route ne serait-ce que pour la prévenir qu'elle était là et éventuellement aux intrus qu'ils n'avaient rien à faire dans cet endroit qui ne leur appartenait pas. Mais non, son arme restait accrochée sur elle, sans quitter sa hanche sur laquelle elle se balançait. En passant devant une salle, elle s'approcha d'une petite table avec de vieux scalpels au sang séché et aux extrémités rouillées. Elle n'y touchait pas. Elle était folle, n'avait pas peur de la douleur mais ne voulait pas d'une maladie mortelle! Un minimum de bon sens quand même!

Ce fut dans une énième salle d'opération qu'elle apercevait une silhouette dont elle ne se gênait pas pour braquer sa lampe dessus. Une tenue d'infirmière, de belles formes, aucun doute. La Duchesse! Chainsaw attrapa son micro à sa ceinture pour le poser sur sa gorge. Lâchant un seul mot qui voulait tout dire! Il ne restait qu'à Lucrezia d'en savoir sa définition?

« Trou-vé... »

Raisonna sa petite voix lente et rauque dans la salle alors qu'elle éloignait sa main de sa gorge. Une certaine émotion l'envahissait, on pourrait même y voir ses joues prendre quelques couleurs sur sa peau si blanche. Faudrait-il encore pouvoir la voir si de si près. Depuis sa création, Chainsaw avait bien changé et seule sa cicatrice à la gorge n'avait pas pu changer et restait un point essentiel. Mais combien de filles ont eu la gorge tranchée par la Duchesse? En revanche, combien y ont survécu? Ça c'est déjà plus simple à répondre. Reste à savoir si sa créatrice se souvient d'elle après un an et demi loin d'elle?

une fois de plus la duchesse s'en était violement pris à une jeune femme, une prostituer plus précisément.
 Elle l'avait acculée dans une ruelle avant de violement la plaquer contre le sol, pour ensuite commencer ses horribles sévices.
 Comme d'hab, la procédure habituelle était de mise : drogue, viol puis dissection.
 Lucrezia avait était particulièrement bouchère cette nuit là, éparpillant au quatre coins de la ruelle les entrailles de la jeune femme.
 Tous ce serait bien passer ci seulement... il n'y avait pas eu une patrouille qui l'avais prise en flagrant délits.
 La belle due donc fuir avant que la police ne l'attrape, heureusement pour elle les deux flics qui l'avait surprises n'étaient que des gros porcs.

 Après un petit quart d'heure de course Elle fini par faire une petite pose contre un réverbère
 Ont pouvait entendre au loin le bruit des sirènes de police retentirent dans tous le quartiers de la toussaint
 La duchesse esquissa un petit sourire avant de reprendre sa route vers son sanatorium adorait, son petit havre de paix à elle...

 Une fois arrivée sur les lieux elle poussa un grand soupir avant de partir en directions de l'aile Est du sanatorium
 celle ou se trouve toute les salle d'opérations et autres joyeusetés dans le genre.
 Elle avança avec nonchalance dans les couloirs lugubre de se sanatorium désaffecter, faisant racler ses ongles contre les mur de celui-ci.
 Elle était quelque peut frustrée de n'avoir put finir son travaille, saleté de flics ! toujours là pour faire chier le monde !
 Lucrezia entra dans une des nombreuses salles d'opérations, Elle commença par poser les mains sur la table en inox avant de laisser une nouvelle fois un grand soupir.

 Bordel...

 Par la suite elle fit descendre sa main droite au niveau de son entre jambe afin d'enlever sa culotte, puis elle commença à se masturber, là, appuyer sur la table d'opération.

 Quant tout à coup elle entendit un étrange petite voix rauque et lente.
 La duchesse se retourna aussitôt afin de voir qui oser la déranger durant un moment pareille.
 et qu'elle fut sa surprise quant elle vit que l'intruse n'était...qu'une gamine...
L'adolescente d'à peine âgée de 17 la braquée avec sa lampe torche tout en restant bien calmement au seuil de la porte.

Qui es tu....toi ? dit elle sur un ton quelque peu surpris.

La duchesse ensuite se décida à avancer vers cette intruse d'un pas lent et lugubre.
Pour finir par violement l'attraper par la gorge.

... c'est tu au moins qui je suis ?

Puis dans un geste violent lucrezia se saisit de la lampe torche de la jeune fille avant de la braquer sur celle ci.

ooooh... mais je vois que tu à une très belle balafre toi aussi... 

Elle avait cherché, cherché encore et encore mais sa cible n'était pas encore présente. Mais finalement, elle l'avait trouvé et elle s'en voudrait presque de l'avoir dérangé pendant qu'elle... se touchait? Oh, comme c'était touchant justement. Ça lui rappelait des souvenirs. La peur qu'elle avait ressenti lors de ce viol avec Lucrezia mais aussi la joie qu'elle ressentait mêlée à cette peur et après, la beauté de l'acte. Sur le coup, elle ne l'avait pas vu mais depuis, en y repensant, c'était beau! Mais même en ayant l'air ravi de la revoir, elle ne la reconnaissait pas? Oh, elle n'était pas triste, elle avait tué Yuki mais avait donné naissance à Chainsaw. C'est normal qu'elle ne reconnaisse pas sa création après tout. Dix-neuf longs mois les avaient séparé mais maintenant elle était là! Cette dernière, même en s'approchant ne la reconnaissait toujours pas, même en la prenant violemment par la gorge. Que de souvenir. Puis en prenant sa lampe pour lui éclairer le visage, elle remarqua son œuvre, sa cicatrice qui longeait son cou, admirant son travail. Elle avait bien le droit après tout. Chainsaw posa sa main sur sa sienne pour doucement la baisser plus bas, guidant ses doigts le long de la marque laissé, sur cette partie de peau si lisse. Elle avait toujours rêvé d'un instant comme ça. Les doigts de sa créatrice sur sa gorge là où plus d'un an avant coulaient tant de sang. Elle fermait les yeux pour savourer cette caresser sur sa gorge avant de doucement les ouvrir en guidant sa main tenant le micro sur sa gorge afin que sa voix prenne de l'ampleur.

« Ceci est... ton œuvre... »

Elle laissait ses lèvres s'étirer pour sourire mais vu son regard, cela avait un peu quelque chose d'inquiétant, marqué par une certaine folie aussi. Abaissant sa main pour se coller contre elle, elle avait si longtemps attendu une scène pareille. Elle posa son menton sur l'épaule de la Duchesse en savourant sa chaleur sur son corps. Elle avait ce don elle avait besoin, la chaleur d'une mère? Ou d'une amie? Ou d'autre chose? Elle ne savait pas trop mais tout en elle l'apaisait, son odeur aussi, ça l'apaisait. Elle se décolla pour la regarder et porter le micro à sa gorge pour reprendre la parole.

« Tu as tué, celle que j'étais... Et tu m'as créé ensuite... J'ai mis du temps à ouvrir les yeux... mais j'ai pu voir la beauté... de tes actes. Les tortures, les meurtres... J'ai tout compris et... je voulais te ressembler... »

La fin, elle l'annonçait plutôt timidement, se reculant un peu tendant sa tronçonneuse en avant, s'en l'allumer bien sur. Elle aurait pu mais non. Son arme était propre mais elle devait bien se douter qu'à cette heure-ci, peu de personnes se baladaient avec ce genre d'arme dehors. Peut-être avait-elle vu depuis sa sortie la vague de meurtres qui déferlait sur Seikusu à cause d'une personne armée d'une tronçonneuse? Si elle la connaissait de réputation, elle aurait déjà de quoi sourire. Après tout, elle avait changé physiquement depuis leur séparation, logique qu'elle ne la reconnaisse pas. Elle gardait le silence puisqu'elle tenait son arme à deux mains mais son regard exprimait bien sa question. Me connais-tu?

« Ceci est... ton œuvre... »

 A ces mots la duchesse écarquilla grand ses yeux. Son "œuvre" ? cette jeune fille serait elle une ancien victime de la tueuse... une fantôme ou alors une zombie... nan, restons rationnelle mais amis, lucrezia ne mange pas de se pain là, elle est une femme de science, par conséquent une femme rationnelle, folle, certes ! mais rationnelle !
 Tout à coup la jeune fille vins à se blottir contre la duchesse cela eu pour effet de crisper quelque peut notre tueuse, il est vrai que toute personne un temps soit peu saine d'esprit n'aurait jamais tentée ce genre d'acte totalement... suicidaire...
 Mais au fond cette jeune n'était peut être pas si saine d'esprit que cela.
 Cet alors que la jeune fille libera lucrezia de sa douce étreinte avant de reprendre la parole à l'aide de son étrange micro.

 « Tu as tué, celle que j'étais... Et tu m'as créé ensuite... J'ai mis du temps à ouvrir les yeux... mais j'ai pu voir la beauté... de tes actes. Les tortures, les meurtres... J'ai tout compris et... je voulais te ressembler... »

 Et ping ! se fut le déclique !

 "Tu as tué, celle que j'étais" Cette fille était donc belle et bien une ancienne victime de la duchesse, une survivante ? nan, Une véritable miraculée !
 Mais pourquoi diable revenir voir son bourreau faut vraiment être complétement à coter de la plaque pour oser à se point revoir la femme qui à la base aurait du lui arracher l'utérus et la laissant pourrir par la suite dans un coin de la ville...

 Lucrezia se mise alors à la regarder avec... beaucoup d'intérêts, passant sa main ganté sur cette cicatrice qui ornait son cou blafard.

 Mon œuvre ? tuée celle que tu était ?... dit moi ma jolie, viens donc voir un peut par là... dit elle en scrutant la jeune fille de ses yeux noircis par la folie.

Hmmm ouiiii, ton visage... ton visage me dit vaguement quelque chose....
Une nuit sans lune...dans les sous-sol d'un vieux bar abandonné...ouiiiiiiiiiiii je me souviens de toi !

Elle fit par la suite glisser sa main sur le visage de la jeune fille avant de reprendre la parole.

Je n'avais pas eu le temps de finir mon "œuvre" la police ayant débarquer à l'improviste, surement prévenue par le voisinage, j'ai donc due te donner le coup de grâce plus vite que prévue, bâclant le travail et te laissant ainsi une chance infime de t'en sortir...

Mais... pourquoi revenir me voir, moi, ta violeuse ! ta bouchère !... aurais tu développée une...sorte...de syndrome de Stockholm à mon égard ?
Voilà qui serait fort intéressant je doit dire, une de mais victime en viendrait à m'aimer AHAHAHAHAHAHA !

Tout à coup le regard de la duchesse vint se poser sur la tronçonneuse de la jeune inconnue.
Elle avait entendue parler d'une autre tueuse en série qui sévissait dans les rue de seikusu dernièrement.
Les victimes était à chaque fois retrouvées éventrées, démembrées  ou alors décapitées.
La Duchesse avait était la première visée... avant que les rapports d'autopsie démontre qu'en faite le meurtrier utilisés une tronçonneuse, écartant ainsi Lucrezia de la liste des suspects.

La duchesse laissa vaguement glisser sa main sur la lame de la tronçonneuse avant d'esquisser un petit sourire en coin.

Hmmm une tronçonneuse... c'est une alternative intéressante je doit bien l'avouer, certes, cela n'est pas très originale mais au moins ça à le mérite d'être efficace.
Personnellement la tronçonneuse n'est pas une arme que je choisirais en priorité, beaucoup trop de paramètres sont à prendre en compte.
Le poids, le bruit, l'encombrement, sont déjà en soit de gros points négatifs.
ensuite viens l'autonomie de la chose, je suppose que cette somptueuse demoiselle doit être gourmande en gazole...Hm ?
Et puis cette arme et aussi dangereuse pour son porteur qu'elle ne l'est pour sa victime, un maillons rouillé, un bout d'étoffe de coincée et hop ! l'accident est arrivé !
Nan moi je  m'en tient à mes bistouris, mes seringues, mon couteau et à toute ma panoplie du parfait petit chirurgien.   

Lucrezia lança alors un léger regard à la cicatrice de la jeune fille avant de lui demander sur un ton  sinistre et pervers :

Dit moi... Les autres sont elles toujours là ?

Lucrezia ne semblait pas la reconnaître pour le moment? Elle avait un peu changé c'est vrai mais quand même? Avec le nombre de meurtres à son actif, elle ne doit pas se souvenir de toutes ses victimes, tout comme Chainsaw n'avait pas en mémoire le visage de tous ses meurtres? Juste lorsqu'elle pouvait voir leur visage torturer par la douleur. Mais la preuve était bien là, elle se souvenait d'elle, de cette nuit où elle avait tué Yuki pour laisser Chainsaw naître dans son sang. Elle ne pouvait pas être plus fière que ça, elle se souvenait d'elle! Elle aurait mis le temps mais elle se souvenait d'elle, c'était le principal! L'image était peut-être un peu grande mais la Duchesse l'avait créé, elle était un peu comme sa mère. Il n'y a pas vraiment de différence entre mère et créatrice. Elle se laissait observer en gardant des yeux émerveiller sur sa créatrice, frôlant un plaisir similaire à celui des chats quand ils se font caresser pour ronronner ensuite. Elle avait certes un gant mais son toucher était si doux sur sa cicatrice, oh, elle fermerait presque les yeux de plaisir! Elle était belle quand elle fouillait dans sa mémoire! Et son regard plein de folie? Diable, elle était tout aussi belle comme ça! Oh elle n'avait pas honte de l'avouer, ça devait être d'un syndrome de Stockholm dont elle souffrait? Mais peu importe, elle voulait être avec la Duchesse, à côté d'elle dans la vie, dans le meurtre, dans les autopsies, elle voulait lui être utile! Elle avait ce besoin d'être utile à Lucrezia!

Présentant sa meilleure amie, la Duchesse n'aimait pas trop cette arme en citant ses inconvénients. Elle était d'accord avec elle, ce n'était pas terrible vu de ce point de vue mais elles ont tellement partagé ensemble! En plus elle ne peut pas se retenir de repenser aux cris de souffrance des personnes tuées avec son joujou. Oui mais Chainsaw avait des petits atouts encore secrets pour passer inaperçu avec son jouet. C'est aussi ça qui faisait sa réputation, sa force! Oui c'est vrai qu'elle gardait un couteau ou deux sur elle, juste au cas où le client aurait décidé de courir vite. Puis Lucrezia s'intéressait à ses autres cicatrices? Bien sûr elle les avait, elles n'étaient pas si profondes et elles ne risquaient pas de partir non plus. Affichant un sourire sur ses lèvres pâles, la jeune femme souleva son arme et retira la ceinture qui la maintenait contre elle. Posant son bijou par terre, elle tendait d'abord ses poignets, montrant un sacré paquet de cicatrices lors de ses tentatives de suicide. Elle ramena une de ses mains pour porter son micro à la gorge.

« Les tiennes... sont surement cachées... c'étaient mes premières fois... Mais au bout d'un moment... je ne ressentais plus... l'excitation... »

Elle toucha son ventre et une autre ceinture apparaissait doucement, démontrant qu'elle aussi avait deux couteaux à ses hanches, un long couteau et l'autre venait d'une cuisine, un parfait couteau de boucher. Elle détachait la ceinture pour les poser à son tour avant de remonter son sweat montrant quelques taillades sur ton ventre. Gardant sa main micro, elle continuait de fournir ses explications en posant ses yeux vidé de vie sur la Duchesse.

« Celles-ci sont les tiennes... Une des dernières avant... la gorge... »

De son doigt, elle suivait la marque sur sa peau qui passait près du foie en allant vers le nombril. Elle lâchait son sweat pour baisser ses collants en tissu bicolore, une bande noire, une bande mauve très foncée... On pouvait y voir aussi plusieurs marques un peu placer n'importe où. Ses cuisses, près des genoux, ses tibias, sur les deux jambes bien que le nombre exact ne soit pas sur les deux jambes, l'une en avait plus que l'autre. Elle remonta ses collants et Lucrezia pouvait voir son œuvre avant que Chainsaw ne retira son haut pour laisser un soutien-gorge blanc sur sa peau déjà si blanche. Elle n'avait pas vraiment de cicatrice dans le dos vu qu'elle était allongé dessus au moment des faits. Elle avait une chaine avec une croix du Christ autour de son cou mais c'était juste pour l'image. Car la religion... bref. On pouvait déjà voir d'autres cicatrices sur son corps comme sur ses bras. Elle se rapprocha en dandinant ses hanches, levant ses mains sur le visage de Lucrezia pour le caresser avant de placer son micro sur sa cicatrice, laissant sa voix si proche des oreilles.

« Te souviens-tu... de l'emplacement... des dernières traces? »

Elle ne pourrait la voir qu'en la reculant mais elle avait un grand sourire. Bien sûr les dernières étaient un peu cachées par son soutien-gorge mais aussi par sa jupe et aussi sa culotte.

La jeune fille sembler vouer une véritable fascination morbide pour la duchesse, le traumatisme causé par son viole eu comme effet de totalement briser son esprit, développant chez la patiente un syndrome de Stockholm poussée à l'extrême. Lucrezia sans le savoir était devenue la mère d'une petite tueuse.

Cette petite tueuse n'eu d'ailleurs aucune gène à exhiber ses cicatrices à lucrezia, qui quant à elle regarder le corps mutilée de son "ex" victime avec un intérêt des plus morbide et pervers, d'ailleurs Un œil avisée remarquerait sans mal la cyprine dégoulinant le long des cuisses de la tueuse.
L'intruse commença par les bras, ceux-ci étant couverts de cicatrices due surement à de l'automutilation, chose que Lucrezia eu pratiquer fut un temps...
Ce fut ensuite au tour du ventre d'être exhiber, on pouvait y voir de larges cicatrices parcourant le ventre de la jeune fille de part et d'autres de son ventre, il y avait au niveau de son utérus les prémisses de la découpe qui, en théorie aurait due servir à la duchesse pour retirer les organes génitaux de sa patiente. La duchesse eu d'ailleur un petit sourire en coins à la vue de ces cicatrices.

Oooooooooh ils sont là ! Mais tracés de repérages ! Tu sais que normalement j'aurais due t'arracher l'utérus, hm ?
Aaaah, voir ses cicatrice me rend quelque peut... nostalgique !

Par la suite elle dévêtue sa délicieuse paires de jambes, montrant ainsi des cicatrices plus ou moins faite par pur sadisme.
Mais la partie la plus intéressante rester encore à venir, je parle bien évidement des cicatrices "intimes" de la jeunes fille.
Lucrezia avait atrocement déchirer les lèvres de sa patiente en écartant beaucoup trop le spéculum et ensuite se fut une nuées de coups de scalpel dans le vagin que lucrezia donna à sa victime, laissant bon nombre de plaies à la jeune fille, à noté aussi que la duchesse avait glisser cette nuit là, une fine baguette bien effilée dans l'urètre de "yuki" agrandissant ainsi cette dernière.

Lucrezia mouillée d'impatiente de voire l'intimité mutilée de sa victime, un large sourire sadique apparue sur ses lèvres puis... elle se décida enfin à descendre la culotte de chainsaw...

OOOOOOoooOoOwwww !!! bordel !
C...Coucou toi ! dit elle en s'adressant à l'intimité de la jeune fille.

L...laisse moi toucher ! putain je veux toucher !

Ni une ni deux la duchesse enfonça ses doigts gantés dans l'orifices génitale de chainsaw triturant avec sadisme la chatte maculée de plaies de cette jeune fille devenue aussi folle que sa "mère"

Était-elle devenue folle? Il faudrait être aveugle pour ne pas le remarquer. Tuer des gens, une tronçonneuse à la main, un goût prononcé pour le sang et la torture, même un nouveau sans aucune notion du bien et du mal verrait que cette jeune fille n'est pas très nette. Faisant presque un striptease pour Lucrézia, elle s'amusait à montrer une à une les marques laisser par la Duchesse bien que pour ses poignées, elle était l'auteur de ses marques. Oui, elle recherchait le goût de frôler la mort, du plaisir dans la souffrance et si ce fut un peu ça au début, ce fut rapidement une erreur car Chainsaw se lassait. Elle n'a jamais connu un véritable orgasme depuis son viol, elle mouillait, elle se doigtait, parfois même avec un gode mais... non, elle n'avait pas cette sensation que sa créatrice lui avait fait goutter. Elle espérait retrouver un peu ça grâce à leurs retrouvailles. Et même si elle avouait qu'elle voulait la tuer quand elle était encore Yuki, elle n'avait pas peur. Le destin a voulu qu'elle survive et qu'elles se retrouvent. Pas pour se venger, pour l'aimer. Sans elle, comment aurait-elle pu ouvrir les yeux sur ce monde de merde? Corrompu par l'argent, le sexe, le pouvoir, tous ici ne sont pas ceux qu'ils sont. Chainsaw ne tue pas ceux qui ne porte pas de masque, dans la Toussaint, ils sont nombreux à avoir piétiné leur masque pour retirer à l'air libre. Certains en porte encore, jouant les gros durs alors qu'ils ont peur de leur avenir comme leur présent. Ses lycéennes qui jouent les innocentes mais sont de grosses putes ou de véritable garce! Ses petits intellos qui se branlent sur la culotte qu'ils ont volée dans le casier des filles. Qu'ils soient naturels, Chainsaw les laissera passer. La démence accompagne la jeune femme à la peau blanche et la démence à une voix très douce et entrainante.

Ce fut un véritable plaisir de sentir sa culotte tomber pour enfin sentir ses doigts plonger en elle. Voilà, c'est cette sensation qu'elle avait perdue! C'était si doux, elle sentait les doigts passer le long de ses cicatrices, les frottants. Oui. C'est vrai qu'à l'hôpital, Yuki avait eu mal, de serait-ce que pour les petits coins, elle fut obliger de le faire via une sonde urinaire le temps qu'elle guérisse et même comme ça, ça brulait. Mais maintenant elle aime ses cicatrices, elle ne voyait pas celles en elle mais celles qui zèbrent ses lèvres, elles sont délicieuses. Chainsaw avait sa bouche ouverte, elle voulait gémir mais elle n'avait plus de voix. C'est comme un film porno sans le son. Elle pourrait bien utiliser son collier pour l'attacher à sa gorge et parler plus comme les autres mais, était-ce vraiment utile? Son sourire n'en disait-il pas déjà assez? Tenant sa jupe, elle la dégrafait pour la laisser tomber à ses pieds, osant même poser sa main pâle sur le visage de la Duchesse, caressant sa joue en remontant plus haut, caressant ses cheveux. Elle ne se souvenait pas qu'ils étaient si doux! C'est dingue ça! Faut dire qu'elle n'avait pas eu l'occasion de les caresser. Elle se laissait doigter, fermant à moitié les yeux en ne quittant pas Lucrezia du regard, c'est ça qui était bon, c'est ça qu'elle avait perdu!

Mais retrouver ce bonheur sexuel, c'est comme voir son feu s'éteindre doucement pour soudainement, le voir bruler entièrement, comme un véritable feu de forêt, ça n'avait pas de prix! Ses mains ne la caressaient plus, elle la massait, ses deux mains sur ses cheveux, caressant doucement sa créatrice. Elle n'avait pas de mot pour dire que c'était bon! Elle retira une de ses mains – celle qui tenait le micro – pour faire un « V » avec son index et majeur, les plaçant aux extrémités de ses lèvres en sortant sa langue. Le signe pour dire « lèche-moi le minou » ou que Chainsaw le lui lèche, l'un comme l'autre étaient plutôt bons à ressentir. Maintenant que le feu est allumé, elle est impatiente de jouir, vraiment!

Cette gamine, autrefois la duchesse l'avait brisée et voilà qu'elle revient vers elle, bordel c'est bien la première fois que cela lui arrivait. Elle était l'œuvre de la duchesse, cette petite pute était devenue le reflet de lucrezia, une tueuse, aussi cinglée que cette "mère" oui ! Lucrezia malgré elle était devenue mère, mère d'une autre tueuse...
 La duchesse auscultée à présent l'intimité de cette jeune timbrée, passant délicatement ses pouces sur les parois humide de celle-ci, lui tirant doucement les lèvres ou pinçant sa cerise avec précaution. La jeune fille quant à elle semblait prendre son pied, allant jusqu'à prendre le risque de caresser les cheveux de Lucrezia mais... cela sembler ne pas la déranger. Cet alors que la fille à la tronçonneuse fit un geste des plus amusant à sa "mère", un geste semblant vouloir dire "fait moi un cunni maman ou si tu veux je t'en fait un", hmmm voilà une bien alléchante proposition mais... la duchesse était d'humeur joueuse ce soir, elle décida donc de... ce relever.

 tu peut te rhabiller ma chère, j'ai fini ma consultation ♥ lui dit elle en lui faisant un petit baiser. Au faite, si tu le désire ma belle, je t'autorise à m'appeler "maman".

 Nan ? vous croyez vraiment que ça va s'arrêter là ? Bien sur que non, ce serait bien mal connaitre la Duchesse que de croire qu'un tel jeux ne continu pas. La duchesse prit alors sa "fille" par la main avant de lui soufflet à l'oreille :

 Vien, je vais te faire visiter ma maison et ensuite nous pourrons voire à faire un petite inceste... ma fille, Ou pourquoi pas, si tu le désire, une descente dans le quartier de la toussaint .

 Une association ? L'idée était intéressante, pendant que l'une rabats le bétail, l'autre le piège et hop ! ces parti pour un mélange entre jack l'éventreur et massacre à la tronçonneuse ! bordel même Michael Millers se chierais dessus devant ses deux paires de miches complétement dégénérées !

Elle entraina par la suite sa "fille" dans les ténèbres de cette endroit qui lui était ci cher, l'emmenant tout d'abord dans son bloc opératoire, un endroit lugubre du quel émanait une forte odeur d'Ether et de sang.

Vois tu, ces ici que je travaille, comme tu peut le constater je veille à toujours bien nettoyer l'endroit après chaque interventions, mais sache que bien souvent c'est dans les ruelles du quartier de la toussaint que j'opère... peut être a tu déjà eu l'occasion de voir une de mais œuvres...hm?    

Elle continuèrent la visite passant devant de nombreuses salle d'opérations. Tout à coup, lucrezia s'arrêta devant deux grand portes des quelles émanaient cette fois si une atroce odeur de charogne... c'était la morgue.

Ont vas éviter d'entrer ici...

Elles ce dirigèrent ensuite vers l'aile ouest. Là, rien de particulier... des chambres, des chambres et... une grande chambre capitonnée, Lucrezia eu d'ailleurs un petit sourire en coins en voyant cette chambre.

Ca, c'est ma salle de jeux, j'aime bien sauter partout, foncer dans les murs, me mettre des gros godes dans le cul...

Oui, Lucrezia par moment est vraiment bizarre...

Bon... cet endroit est grand et... j'ai la flemme de faire tout... donc, dit moi ou tu veux aller, les chiottes, les sous-sols, l'Amphithéatre, la cantine, les cuisines, ma chambre, les douches... les douches... tient ! et si nous allions prendre une douche toutes les deux, hm ?

Chainsaw ne pouvait rêver mieux que des retrouvailles avec sa créatrice, de parfaites retrouvailles et même un petit bonus. Mais ça serait mentir de dire que la jeune femme n'avait jamais pensé à ce genre de chose avec sa créatrice. Ce n'est pas comme si elle était repoussante, elle était même très belle la Duchesse. Mais malheureusement, à part les petits pincements sur son bouton d'amour, elle n'avait pas le droit de se faire lécher la chatte bien comme il faut. Elle qui s'était épilé encore ce matin, c'est dommage mais ce n'est que partie remise. Lucrezia se releva en l'embrassant avant de lui donner le privilège de pouvoir l'appeler Maman. Quel cadeau merveilleux. Créatrice, mère, il n'y avait qu'une définition pour les différencier, les deux ont donné vie à leur œuvre. Et si elle ne partageait pas le même sang qu'elle, elle partageait les mêmes idées, plus ou moins. S'ensuit la visite de leur maison et après, éventuellement un peu d'amour? Comme c'est touchant, Chainsaw voulait lui prouver combien elle aimait sa mère mais pourquoi pas la visite d'abord, elle sera ainsi plus à l'aise chez elles.

Chainsaw récupéra ses affaires en remettant ses vêtements sur elle avant de suivre sa mère. Observant les salles, écoutant sa créatrice, elle s'imaginait déjà la Duchesse tuer ses victimes ici ou dans les rues; comme elle. Chainsaw n'avait aucun endroit pour opérer, elle faisait toujours ça dans la rue. Seikusu était son territoire après tout. Elle évita une salle et malgré la poussière, la jeune tueuse reconnue le mot « Morgue » placardé sur la porte. Mauvais souvenir pour sa mère? Peut-être? Mais la salle suivait était plus amusante, celle qui était capitonnée, avec tous ses coussins aux murs pour éviter que les patients ne se blessent, ça devait être amusant de jouer ici? Et de voir Lucrezia s'enfoncer des trucs dans sa petite chatte? Cela devait être beau... Soudainement feignante pour lui faire visiter leur grande demeure, elle proposa certaines choses, surtout partante pour la douche à deux. L'idée n'était pas mauvaise mais avec un petit sourire, elle porta le micro à sa gorge pour s'exprimer.

« Peut-être après... je voudrais d'abord... qu'on aille tuer... quelqu'un et ensuite... on se douchera dans... son sang... Et seulement après... on pourra se... faire l'amour ici... Qu'en penses-tu, Maman? »

Elle laissait un sourire égayer son visage macabre avant de venir se blottir contre elle. Certaines personnes avaient peut-être peur d'elle? Pas Chainsaw. Elle n'avait pas peur de sa créatrice, elle avait compris ses actes, elle la comprenait parfaitement et pourrait aller tuer n'importe qui pour la faire sourire et se rendre fier aux yeux de la Duchesse. Sa tête posée sur sa poitrine, elle était impatiente de dormir comme ça ce soir, avec Lucrezia, peu importe l'endroit. Elle se recula un peu en gardant son micro sur la gorge, lui présentant une nouvelle fois son arme sans pour autant la brandir, juste se tourner pour que sa créatrice voit son arme.

« Tu dois savoir... que je possède un pouvoir... très utile... »

Mêlant les gestes aux propos, son arme devenait invisible petit à petite comme si de la peinture invisible coulait dessus, effaçant l'arme en suivant la ceinture qui laissait à peine la marque d'un objet lourd sur son épaule, c'est tout. Souriante, elle retira sa main pour lui prouver qu'elle contrôlait sans forcément avoir un contact physique.

« Je peux aussi... le faire avec... des gens donc... autant faire une surprise... à notre première victime... Maman... »

Cette fois, c'est elle qui s'avançait pour venir l'embrasser du bout des lèvres. La tronçonneuse était peut-être invisible mais on la sentait bien se frotter sur le côté. Malheureusement ça n'effaçait pas le bruit mais ça rajoutait de la peur à ses victimes. Et ce soir, il était temps d'inaugurer leur première victime!

Buter quelqu'un ? en voilà une idée qu'elle est bonne !... attendez deux secondes... c'est pas ce que la Duchesse venait de faire il y à moins de deux heure, avant que deux gros porcs péter au donuts vienne l'emmerder durant sa boucherie quotidienne ? Le quartier devait puer le flic à plein nez, l'idée était par conséquent des plus mauvaise, en plus, se doucher dans le sang de ses victimes n'était pas dans les habitude de la duchesse, bas oui Lulu ses pas Elisabeth Báthory non plus, faut pas déconner.

 Hmmmm bof, je reviens d'une chasse qui ses terminée un peut prématurément donc... ont vas éviter... et puis cette idée de douche de sang là.. bof.

 Cet alors que la jeune cinglée montra quelque chose de très intéressant à la duchesse, un truc génial qui, expliquer comment cette gamine avait pus buter autant de victimes sans même se faire voir une seul fois. La jeune fille fit disparaitre devant lucrezia sa putain de tronçonneuse... What the f*** ! La Duchesse écarquilla bien grandes ses mirettes, surprise de voir un tel... truc. Elle se frotta les yeux avant de les rouvrirent plus grand encore... Aurait elle prit trop de dope d'un seul coups ? Vraisemblablement non, bordel cette gamine était vraiment plus bizarre que notre tueuse et dieu sais qu'il faut déjà mettre le paquet pour arriver à son niveau.

 Wow...

 Chainsaw vint par la suite se rapprocher de sa "mère" l'embrassant langoureusement avant de lui dire qu'elle pouvait aussi le faire avec des personnes... voilà qui ne manqua pas d'intriguer la duchesse qui sentait la lame de la tronçonneuse glisser sur ses jambes. Avec un tel pouvoir elle n'avait donc pas à craindre la police, se qui la fit gentiment sourire.

 Bon... soit... nous irons en chasse toutes les deux.

 Lucrezia prit alors sa sacoche, se fit une petite ligne de coke vite fait, pour ensuite repartir dans le quartier de la toussaint accompagnée de sa "fille". De retour dans le quartier Lucrezia scruta vaguement les environs, apparemment la police avait désertée la scène plus tôt que prévue, à dire vrai, les poulets n'aimaient pas des masses rester dans le quartier de la toussaint, enfin bon... ont à des couilles ou ont en à pas... les flics eux, ils n'en ont vraisemblablement pas.

 Nos deux cinglées marchèrent une petites demi-heure, passant devant l'architecture très "contemporaine" de quartier de la toussaint, composée de vieux immeuble délabrer, de tag, de détritus de... bordel c'est vraiment de la merde ce quartier ! Pourtant c'était un vrai nid à putains et c'est là, la raison pour laquelle Lucrezia aimait y chasser.
 Tout à coup, La duchesse s'arrêta net, faisant signe à Chainsaw de s'arrêter. Là, au coin d'une ruelle, une jeune femme avec un bouquet de fleurs à la mains, attendait sous la lumière d'un réverbère. Lucrezia émis un léger sourire avant de ce retourner vers sa fille.

 bon... j'y vais en première toi, tu reste là, ok!

Lucrezia s'avança alors vers cette jeune femme, seule, dans la pénombre, seulement éclairée par ce reverbère défectueux. Lucrezia pour ce fondre un peut dans la masse habituelle du quartier, entrepris de faire la "pute" se déhanchant comme toute ses salopes qu'elle surinait comme de pauvres truies.

Eyh ! salut ma puce... dit moi... cela te dirais de prendre un peu de bon temps ? dit elle, la mains gauche poser sur sa hanche.

Je... non merci, j'a...j'attend mon petit copains... depuis 1 heure...

Rooooh aller... tu est sur que tu ne veux pas ?

Nan...

 Lucrezia se rapprocha alors de la jeune femme, posant délicatement sa mains sur l'épaule de cette dernière.

Et un peut de réconfort... ça tu veux bien nan ? quelque chose me dit que ça fait bien plus d'une heure que tu attend, n'est je pas raison, hm ?

 La jeune femme baissa les yeux, avant de laisser s'échapper un "oui" étouffer par une certaine mélancolie.

Lucrezia fit un geste discret à Chainsaw, avant de délicatement faire glisser sa mains dans sa sacoche.

Tu sais ma belle...

Elle se saisis d'un mouchoir imbibé de chloroforme...

Je peut comprendre ta peine...

Remontant doucement sa mains vers le visage de sa victime...

Ne pleur pas... Essuyons donc ses triste larmes... pour toujours dit elle en esquissant un large sourire sadique.

hein...

Lucrezia plaqua alors le mouchoir contre le visage de sa victime, tout en lui tenant violement le derrière du crane avec son autre mains, la jeune femme se débâtait... mais il ne lui fallu pas longtemps avant de succomber au vapeur du chloroforme... laissant chuter le somptueux bouquet d'hortensias qu'elle tenait entre ses mains.
Lucrezia prit alors la jeune femme au niveau de la poitrine en passant ses bras sous les siens, la trainant dans la sombre impasse qui se trouvait juste derrière.

Le diner est servie... ma fille ♥

Est-ce que sa créatrice voudra bien jouer avec elle à ses petits jeux si amusants? Sa mère était aussi sa créatrice mais aussi sa copine et même si elle doit à l'avenir partager ses jouets, ça ne la dérangeait pas si elle s'amusait bien avec. À sa grande surprise, elle n'avait pas vraiment envie de tuer? Oui, bon, c'est vrai que Chainsaw ne tue que par envie, elle peut tuer dix personnes en une soirée comme personne durant un mois. Tout dépend de ses envies au final. Donc si elle avait tué avant, elle comprendrait qu'elle n'en avait pas tellement envie, elle aussi était ainsi. Mais même la douche de sang? Oh là elle la décevait! C'était amusant de décapiter quelqu'un et voir le geyser rouge la peindre de la tête aux pieds. Elle n'avait jamais rien eu contre ce genre de massacre mais c'est vrai qu'elle ne le fait pas toujours non plus, juste parfois car elle aime bien trancher les membres. À la tronçonneuse bien sur, c'était toujours plus drôle. Le couteau était juste pour être rapide ou se défendre en ultime cas. Heureusement, son pouvoir avait su faire changer d'avis sa mère qui, en voyant son pouvoir en était tombé sous le charme! Y a de quoi, quel tueur ne rêverait pas de devenir invisible aux yeux de tous à volonté? Que ses meurtres se fassent surtout dans la Toussaint, Chainsaw avait aussi opéré ailleurs en ville et une tronçonneuse silencieuse, ça n'existe pas ou alors c'est une scie!

Après avoir accepté, elle vit sa mère sniffer un peu de drogue mais elle ne dirait rien et ne ferais rien. Sa drogue à elle, c'était le meurtre et l'alcool comme la drogue, pff, elle s'en fichait, c'était inutile. En ville, bien que le voile de la nuit était tombé sur Seikusu, Chainsaw laissait son arme invisible et se baladait pour une fois sans écouteur sur les oreilles. Sa légende urbaine ne sera pas respectée mais une nouvelle risque peut-être de naître? La Duchesse et Chainsaw ensemble? L'infirmière barbare? Oui mais non, sa mère n'opérait pas seule cette fois. Pas grave, une fois la proie repérée, elle laissait donc la Duchesse s'en chargée seule, Chainsaw se fondait dans la masse, devenant un véritable fantôme invisible. Elle n'entendait rien de ce qu'elle pouvait lui dire mais quand elle lui fit signe, elle s'approcha à pas de loup avant de la voir l'endormir à coup de chloroforme pour la déposer sur le sol. Chouette, mais que faire d'elle maintenant? Elle n'en avait pas encore la moindre idée mais si l'appétit vient en mangeant, il en est de même pour l'inspiration. Elle se mit à genoux à côté d'elle avant de caresser son visage, baladant sa main plus bas sans quitter son corps, elle arrêta de la caresser au niveau des cuisses. Elle avait une idée? Pas encore.

Elle fouilla dans sa sacoche sur sa ceinture en sortant quelques serflexe pour attacher les majeurs de la jeune femme ensemble. Ça faisait plus mal que les poignets si elle tentait de se débattre. Voilà, car endormie ou non, pas sûr qu'un coup de couteau ou de tronçonneuse ne la maintienne pas dans cet état? Son couteau passa sur son haut pour y découvrir sa peau délicate et le soutien-gorge dessous. Son sourire s'étira, elle ne savait pas par quoi commencer! Elle se pencha sur elle, lui léchant le coup comme une petite chatte. Elle avait bon goût, son sang devait être aussi bon que ça. Elle leva le couteau au-dessus de sa tête après l'avoir chevauchée... mais non, il ne faut pas la tuer maintenant... ne jetons pas trop vite ce jouet. Elle abaissa doucement la main avant de se relever, retirant sa culotte. Pourquoi? Elle voulait lui faire l'amour? Ou avec Lucrézia devant une femme morte ou inconsciente? Non, elle la roula en boule avant de la lui fourrer dans la bouche, voilà qui devrait la faire taire. Elle reprit sa position en la chevauchant, levant son couteau avant de la lui planter dans l'épaule avec rage et force. La jeune femme se réveilla en essayant d'hurler, encore un peu dans la brume. Chainsaw se fichait de ses plaintes ou sa façon faible de se débattre, elle léchait le plat du couteau, pour y lécher un peu son sang. Elle laissa le couteau planté dans son épaule avant de se redresser un peu en souriant avant de la regarder longuement sans rien dire. Elle tourna son regard vers la Duchesse en souriant, son micro sur la gorge.

« C'est à toi... de continuer Maman... »

Oui, Chainsaw ne voulait pas la laisser finir mais chacune son tour pour mieux savourer leur trouvaille. Elle ne se relevait pas, laissant la jeune femme paniquée alors qu'elle la prenait pour un pouf en restant assise sur elle.

Lucrezia regarda attentivement la jeune chainsaw s'amuser, observant attentivement la façon de faire de cette dernière. Puis, après une vague mise en bouche la jeune fille laissa le champs libre à notre Duchesse, cette dernière haussa vaguement son sourcil balafré, l'air de dire  "c'est tout ?" Il est vrai que chainsaw y avait était mollo avec la jeune femme... Lucrezia quant à elle, n'allait pas être aussi douce...

Hop la ! Switch !

Lucrezia chuta alors lourdement sur la pauvre femme, se plaçant à califourchon sur la jolie paire de cuisses de cette dernière.

Bien bien bien... par où commencer ? hmmm...

Sur le coup notre tueuse ne savait pas trop quoi faire de ses dix doigts, elle s'accorda alors quelques secondes de réflexions, posant sa mains droite sur le bout de son menton. Après ce petit moment de pensées profondes, lucrezia
fini par sortir un seringue de sa sacoche, avant d'injecter une substance vaguement jaunatre dans les veine de la pauvre victime, ajoutant à cela un commentaire afin d'expliquer à chainsaw ce qu'est un travail "propre"

Bon... déjà, si tu ne compte pas violer la victime, tu la drogue jusqu'au coma, ça évite d'alerter certaine personnes...

Suite à ces mots, notre duchesse farfouilla dans sa sacoche afin de sortir un de ses scalpels particulièrement tranchants, puis... Elle se tourna vers chainsaw.

Ca, c'est un scalpel, c'est avec ce truc que je t'ais... Briser la voix ! Enfin bref, tu vois, avec ça tu peut faire un travail précis et propre. La tronçonneuse c'est bien gentil, mais ça en fout partout...

Une fois son petit commentaire lâché, lucrezia commença enfin son travail, passant directement de la séquence "dodo" à la séquence "dissection", oui, le viol Lucrezia en avait pas trop envie sur le coup... La tueuse fit alors glisser sur le corps de la victime, la lame finement aiguiser, plus particulièrement aux nivaux du bas ventre, là où ce trouve la vessie, les intestins et l'utérus, formant alors une énorme plaie en forme de croix. Plaie que lucrezia élargit ensuite, offrant à la vue de sa jeune apprentie, les entrailles fumantes de la pauvres femme.

Hum... allons y alors...

Lucrezia plongeat ensuite ses mains gantées dans les viscères de la victime, elle eu d'ailleurs un petit frisson de plaisir au contact de la masse chaude et visqueuse dans la quelle ses mains étaient immergées. Après un vague bidouillage... Notre duchesse se mise à regarder sa "fille" avec un petit sourire en coins.

Eyh... t'attrape !

Et yolo ! Lucrezia envoya un rein en plein dans le visage de chainsaw ! Ouai, il y en a il balance de la purée, Lucrezia elle, c'est des organes... chacun son trip après tout !

Lucrezia pouvait être étonné de voir sa créature ne faire qu'un simple coup de couteau à l'épaule mais la fille sans voix avait plutôt en tête de jongler avec les coups, une fois elle frappe, ensuite sa créatrice, ensuite c'est de nouveau à elle mais apparemment, une fois lancée, la belle infirmière avait bien du mal à s'arrêter. Mais ce n'est pas grave, ce n'est pas comme si Chainsaw était en manque, elle venait de retrouver la Duchesse, rien ne saurait être meilleur pour elle. Quoi que si, faire de ce jour, non pas un jour à marquer d'une pierre blanche mais d'une grosse trainée de sang. La belle infirmière psychopathe commençait à lui montrer sa méthode qui était elle aussi pratique mais Chainsaw préférait voir et entendre leur douleur. Après tout, elle avait un don qui faisait que même si des gens venaient rapidement, elle pourrait leur échapper si facilement, devenant invisible aux yeux de tous. Mais rien ne l'empêchait d'observer et savourer la pratique de Lucrezia. Chainsaw, fut son nom d'artiste ou plutôt sa nouvelle identité préférait son arme car elle en foutait vraiment partout et ça c'était bon! Sentir les milliers de gouttes couler sur sa peau comme une bonne douche froide sous un soleil de plomb, il n'y a pas grand-chose de meilleur pour la jeune femme quand elle entre en transe. Même le fait de plonger sa main dans le corps de sa victime, elle le faisait sans gants elle? Enfin, on va dire que pour ça, c'est une déformation professionnelle.

Recevant un rein en plein visage, elle reprit l'organe en l'observant de plus près en le gardant dans sa main avant de se pencher vers sa mère, une tête par-dessus son épaule, voyant son opération avant de frotter sa joue contre celle de Lucrezia en remontant vers son oreille. Elle posa son micro sur sa gorge, elle aurait bien pris une voix plus sensuelle mais c'était quelque chose d'impossible vu la voix grave et monotone qui lui restait.

« Te voir pleine de sang... ça m'excite. »

Coller dans son dos, elle déposa son arme au sol pour ne pas être gênée avant de poser ses mains sur sa créatrice, sa langue passant doucement sur son cou, la Duchesse continuant son opération alors que Chainsaw retrouva sa voix quelques instants d'une pression sur sa gorge – avec son micro bien sur.

« Continue... s'il te plaît... »

Elle gardait un œil sur leur victime qui commençait à doucement s'imprégner de rouge alors qu'elle caressa le corps de sa créatrice, si chaud, si bien formé, c'était tout simplement un rêve qu'elle vivait. Elle avait une peau délicieuse et la folle à la tronçonneuse passa une main sous sa jupe, la même main dans la culotte de sa créatrice, commençant à doucement lui prouver combien elle était belle et excitante lorsqu'elle se lâchait dans ses crimes. Elle avait presque envie de lui faire l'amour à côté de cette fille mourante... ou dans son sanatorium, comme elle voulait mais Chainsaw avait envie de sa « mère ».

Elle est dans la ruelle
 Moi prête à tuer
 Personne ici ne connaît ma solitude
 Marques rouges sur le blanc de sa peau
 Je lui fais mal
 Et elle crie fort

 Maintenant elle a peur et moi je suis prête
 Mon sang noir salit sa robe

 Mon sang noir et sa peau blanche
 Ses cris perçants m'excitent de plus en plus
 La sueur d'angoisse là sur son front blanc
 Cogne comme la grêle dans mon cerveau malade

Notre Duchesse, absorbée par son affaire, ne prêtait guère d'attention à sa "fille", mais bien vite cette dernière vint refaire acte de présence auprès de sa "maman", se collant contre elle tout en lui soufflant de bien douces paroles à l'oreille.

« Te voir pleine de sang... ça m'excite. » dit elle  en posant délicatement ses mains sur sa créatrice, donnant à cette dernière une délicat coup de langue dans le cou, suivie d'un doux frottement de de joue.

continue... s'il te plait...

Tu aimes le sang ?  C'est cool, tu repasseras quand j'aurais mes ragnagnas...

Oui, Lulu sur le coup n'était pas très avenante, mais bon, quant elle trucide, faut pas l'emmerder notre tueuse aux cheveux turquoise. Et puis merde, c'est une psychopathe ! Pour elle le meurtre c'est bien plus qu'un passe-temps, c'est un art ! Une science pointue avec laquelle il ne faut pas rigoler !... Oui, Elle est vraiment pas net dans sa tête, mais bon, ça, vous le savez déjà... non ? Cet alors que notre tueuse sentie une des main de la jeune fille glisser sur son corps, sur le coup Lucrezia ne dit rien, se contentant de simplement froncer les sourcils, mais la petite chainsaw avait l'air d'humeur lubrique et c'est tout naturellement qu'elle dirigeât sa petite main baladeuse vers l'intimité de notre Duchesse. Duchesse qui fut d'ailleurs parcourue d'un léger, mais très léger frisson, lorsque la main de sa "fille" vint à effleurer sa cerise des péchés.

*soupir* Bon... tu tiens vraiment à faire ça là ?

Bien sur que oui qu'elle en a envie, sinon elle ne ferait pas de telles avances ! Lucrezia laissa alors s'échapper un autre soupir avant de délicatement faire glisser sa main vers celle de sa fille en prenant au passage soins de lui rouler un petit patin. Suite à cela la duchesse, de son autre main, commença à elle aussi caresser la petite foufoune de sa fille, un inceste chez les folles, quoi de plus fabuleux me direz-vous ! Une petite parties de broute-minou juste à coter d'un cadavre, on en est pas encore à la douche de sang, mais presque ! S'en suivit un déboutonnage d'uniforme et une mise à l'air libre des nichons, pour lucrezia du moins, Cette dernière vint par la suite à se retourner pour finir par se coller contre sa fille, faisant chuter la jeune chainsaw sur le dos.

Aller ma salope, tu voulais jouer avec maman, te voila servie ♥

Lucrezia avait un humour bien à elle et même si ça ne dérangerait pas tellement Chainsaw de faire ce genre de chose lors de cette période du mois, elle ne serait pas contre éviter ça aussi, tout simplement. Qui aurait l'idée de vouloir faire ce genre de chose ici? À côté d'un cadavre tout frais qui se vidait de son sang? Personne de normal. Oui, sauf que Chainsaw et la Duchesse n'étaient pas normales. Lucrezia pouvait commencer son art si elle voulait, sa fille voulait simplement la voir en œuvre et commencer à partager son envie avec elle. Cela doit être marrant de mêler deux formes de plaisir à l'unisson? Le plaisir de tuer, le plaisir sexuel, ensemble? Cela devait donner un bon résultat? Mais attention, plaisir naturel, Chainsaw ne ressentirait rien de très bon avec un jouet entre les jambes, sauf peut-être si cela vient de sa créatrice? Pour le moment, elle savourait avec plaisir le sang qui coulait ce corps, lui laissant de moins en moins de chance de survivre. Un rein en moins pour commencer, ça baissait grandement ses chances de s'en tirer sans une bonne opération. Non pas que Lucrezia soit une mauvaise infirmière mais sans tout le nécessaire, ce n'était pas recommander une telle opération.

Bien qu'elle ressentît que sa créatrice aurait voulu continuer son opération, elle sacrifia – oui, c'est le bon mot – ce moment pour passer un peu de temps avec Chainsaw. Caressant doucement son entrejambe du bout des doigts, elle fut surprise d'être doucement embrassé par elle et caresser doucement par la même occasion. Oui, bien que cette folle soit sa créatrice et qu'elle admire sa barbarie, elle aime aussi ce genre de moment de tendresse normale dans une famille. Normal n'était pas le bon mot vu la situation mais pour une « mère et fille » comme elles, ce genre d'amour maternel était normal, c'est vrai. La Duchesse commençait à se mettre à son aise, dans cette nuit avec cette délicate odeur de cadavre frais près d'elles. Se retournant, elle fit chuter sa fille sur le sol et elle put admirer la belle poitrine de sa mère. Oui, c'était la même qui l'avait dépuceler il y a quelques années, lors de sa fabrication. Ce n'était pas le genre de mot qu'elle utiliserait mais elle voulait bien « jouer » avec elle. Son regard vide et cerné se fit un peu plus joyeux, accompagner par ce sourire lubrique.

Chainsaw décrocha de sa ceinture une sangle avec un petit appareil en son centre, elle l'accrocha autour de son cou. Même si elle devait toujours appuyer dessus pour parler, c'était moins gênant que son micro. Du bout des doigts, la folle caressa ce superbe corps qu'elle avait devant elle. Bien ferme, bien rond comme poitrine et douce. Cela serait surement plus beau avec quelques cicatrices, un peu de sang qui coule ici et là mais pour une première fois – une vraie – entre elles, c'était déjà bien d'avoir un cadavre à disposition. Elle était encore habillée contrairement à l'infirmière mais elle pouvait très bien se mettre à nu si cela tente la Duchesse. Elle se redressa pour embrasser à nouveau sa mère, fougueusement en posant ses deux mains derrière sa tête et dans le pire des cas, l'entrainer avec elle dans sa chute. Après quelques secondes de ce baiser, elle se séparait d'elle en lui mordait doucement sa lèvre inférieure. Elle posa son index sur l'appareil afin de lui parler.

« Amusons-nous... comme des folles... »

Vu son petit sourire, si elle aurait gardé son doigt sur l'appareil, elle aurait pu l'entendre ricaner mais là, elle pouvait à peine voir sa poitrine se soulever alors qu'allonger par terre, elle leva son haut pour se dénuder et laisser respirer sa poitrine et ses cicatrices car oui, elle avait retiré son soutien-gorge par la même occasion. Seul son appareil entourait son cou ainsi qu'un pendentif en forme de croix, juste pour la décoration, rien de vraiment croyant. L'une de ses mains caressait son corps frêle et pâle et la seconde maintenait sa voix sur « On ».

« Viens donc éduquer... ta fille, Maman... »

Chainsaw avait un petit sourire en coin en passant sa langue sur sa lèvre inférieure. Que Lucrezia vienne donc s'amuser ou lui apprendre des choses, elle en serait fière!