Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Vendue au noir dans une ruelle sombre... [PV Cirno Tsurara]

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Pipa

Terranide

Le petit matin se levait à-peine sur la ville-état de Nexus, au fin-fond des grandes ruelles sombres fréquentées par les loubards et parfois quelques personnes importantes, mais malhonnêtes, tel que les politiciens véreux... mais déjà, ces rues étaient bondés de monde. Pour ce genre de rassemblement, il valait mieux commencer très tôt, et finir tout-aussi tôt... toutes ces personnes seraient partis à midi, si tout ce passait bien. Vous me direz-donc, qu'est-ce qu'il y avait de si intéressant dans les bas-fonds de la ville pour qu'une telle foule, comptant en plus quelques personnes riches, importantes et influentes parmi-eux, se soit rassemblaient ? C'était bien simple : le marcher noir avait ouvert ses portes, et contrairement au marcher normal, dans un marcher noir, on était certain de trouver absolument tout ce qu'on voulait, et à des prix cassés.

Ici et là, on pouvait donc trouver des stands qui présentaient aux acheteurs potentiels des produits rares, dangereux, voir carrément interdit sur Terra. Des fruits exotiques aux drogues les plus puissantes, en passant par les armes surpuissantes ou biologiques et par les poisons les plus foudroyant, il était possible pour tous, consommateurs, assassins, personnes cherchant les plaisir interdits et inavouables, de se procurer tout ce qu'ils souhaités, ici... et temps que la police ne venait pas fourrer son nez dans le coin... ils y étaient généralement encouragés par de généreux pots-de-vin...  les gents y étaient tranquilles pour faire leurs emplettes. Personne ne demandait votre identité, et si on la connaissait, on se taisait, car nous-même n'avions pas vraiment à être fier de notre présence ici.

De tous les stands présents, celui qui attirait le plus de monde, cependant, était celui qui se trouvait tout-au-fond... il était tenu par deux frères, Marcus et Flint, qui avaient une très bonne réputation dans la région, car leur marchandise était toujours de très bonne qualité... ces deux hommes capturaient, dressaient, et vendaient des esclaves. Ils avaient des techniques de dressages bien particulières, certains disaient qu'ils utilisaient la magie ou l'alchimie pour effacer la mémoire de leur marchandise... c'était une rumeur vraie, cependant ce n'était que des esclaves. Tous les acheteurs se fichaient de comment le dressage que ces êtres inférieurs recevaient se passait, du moment qu'à l'achat, ils se montraient soumis et obéissants.

Sur une tribune en bois montée à la va-vite, et devant une foule de spectateurs visiblement surexcités, se pressaient donc les uns après les autres toutes sortes d'êtres enchaînés par les chevilles et les poignées, et en petite tenu. Certains étaient vendus pour le travail et la maintenance... d'autres pour le plaisir. On y trouvait des femmes, des hommes, et toutes sortes de terranides et autres créatures différentes. Chaque nouvelle esclave partait tiré par une laisse par son nouveau maître... et bientôt, ce fut au tour d'une créature mi-femme, mi-oiseau d'être présentée. Les plumes roses de ses ailes, sa queue blanche et sa longue chevelure blonde dansant autour d'elle à chacun de ses pas, elle monta sur la tribune lorsque les vendeurs l'appelèrent et se plaça face à la foule... elle était impressionnée par autant de monde.

Pipa se tenait droite, mais avait la tête baissée et le regard vide, dans une posture parfaitement soumise, ne relevant les yeux que lorsqu'on s'adressait à elle. Sa tenu cachait son entre-jambe, ses cuisses et la pointe de ses seins... mais le reste de son corps était à-nu, au milieu de cette ruelle froide. Elle avait les serres qui remplaçaient ses mains croisées au niveau de son nombril, et celles de ses pieds serrées l'une contre l'autre, en signe de timidité. Comme pour les autres, elle avait des chaînes autour des poignées et des chevilles, et un collier au cou où pendait une laisse... tout-cela était inutile, Pipa n'était pas le genre d'esclave à essayer de s'échapper... mais les vendeurs savaient qu'une preuve de soumission supplémentaire plaisait toujours aux clients.

Flint attrapa l'aile droite de Pipa et la déplia devant les spectateurs... celle-ci réprima une grimace, car elle avait horreur qu'on force le déplie de ses ailes... et commença à annoncer :


-Notre prochain article se nomme Pipa, le petit oiseau des îles, une magnifique terranide-harpie. Comme vous pouvez le voir, elle possède un corps parfait, sans cicatrice ni marque. Regardez-moi la beauté et la douceur de ses plumes... parfaites pour exercer toutes sortes de "massages", ou même pour faire la poussière si vous voulez l'utiliser comme domestique. Nous lui avons effacé sa mémoire avant de commencer à la dompter, elle ne connait que la servitude... elle sera une esclave très docile, très obéissante, et surtout particulièrement discrète et silencieuse. Vous pourrez absolument lui faire subir tout ce que vous voulez, elle se laissera faire, ne se plaindra pas, et vous en remerciera, même. Les enchères commencent à 2000 pièces d'or, mes amis... alors à vous de jouer, maintenant ! Bien-sûr, après l'achat, vous avez trois jours pour venir rendre l'article si vous n'êtes pas satisfait...

Cirno Tsurara

Créature

Re : Vendue au noir dans une ruelle sombre... [PV Cirno Tsurara]

Réponse 1 dimanche 02 juin 2013, 13:54:03

Quelle belle matinée, pour la belle fée du froid. Un soleil pas trop radieux et personne dans les alentours n'a troublé son sommeil. Préparant tranquillement un bon bol de lait froid, elle fredonne un petit air de sa douce voix, presque angélique. Alors qu'elle boit tranquillement son lait, elle pose sa tête sur sa main gauche et soupire d'ennui.

Hmmpphhhh...Il est temps que j'aille me trouver un esclave, moi, je m'ennuie, toute seule.

Elle s'imagine tomber sur un esclave homme qui en a un gros dans le pantalon ou une femme qui a des gros melons, il est clair que ça ne tourne pas très rond, chez elle, mais c'est ce qui la rend si énigmatique, ce coté doux et enfantin qui cache sa personnalité extrêmement perverse et assez vilaine, et surtout très sadique. Elle termine son lait et enfile sa belle robe blanche sans soutien gorge, comme toujours, ce qui ne passe jamais inaperçu, surtout aux yeux des hommes.

La belle Cirno va chercher un sac à dos remplis de divers objets, surtout de sextoys et aussi de quelques bourses de pièces d'or. Elle sort de chez elle par la grande double porte et se dirige vers un marché d'esclave après avoir soigneusement fermé sa porte. Elle marche avec des pas très légers, comme toujours, comme quelqu'un qui touche effleure à peine le sol avec ses petits pieds. Sur la route, elle régule sa température corporelle afin de ne pas congeler un esclave ou deux par accident.

Après une bonne dizaine de minutes de marche, elle arrive dans un marché pour esclave mais ne voit rien, il semble en rupture de stock, ce qui irrite quelque peu la belle fée.


Quand je pense que j'ai marché dix minutes pour voir un marché vide...Ca m'insupporte...

Comme toujours, pour se calmer, Cirno cherche quelqu'un à tuer, c'est sa manière bien à elle de se défouler sans s'énerver. Et justement, une personne passe par là. Elle lui balance directement un pic de glace dans chaque oeil, puis un dans la bouche, souriant sadiquement, elle claque ensuite des doigts pour faire exploser les trois pics et les faire s'éparpiller en mille morceaux et se jeter, comme des balles, sur le corps de la victime.

Désolé, mon coco, tu étais sur mon chemin, tu ne m'en veux pas, hein ?

Ca aussi, c'est une habitude, demander quelque chose à ses victimes, comme-ci ces dernières allaient lui répondre, on pourrait vraiment croire que Cirno à une maladie mentale mais, ce n'est pas le cas, elle est parfaitement normale, mentalement, enfin presque.

Continuant sa route sans vraiment savoir où aller, elle aperçoit une ruelle sombre, le genre d'endroit qu'elle aime fréquenter quand elle veut se faire violer par un inconnu. Mais, elle n'est pas au bout de ses surprise quand elle aperçoit tout une flopée de gens en train de fantasmer devant une esclave. Se mêlant silencieusement à la foule, Cirno admire cette esclave qui semble être d'une race assez rare. Elle n'est pas ornithologue, mais, elle est assez intelligente pour savoir que cette esclave est une harpie, et une très belle harpie, qui plus est. Elle approche le plus possible de l'esclave en poussant certaines personnes avec ses fesses bien rebondies. Admirant bien la harpie, elle prend un air de réflexion et donne son avis tout en gardant son air enfantin et sa voix toute douce.


Oh, quel bel oiseau. En plus, elle a des gros melons, j'vais pouvoir fourrer ma tête dedans pour dormir, ça remplacera mon oreiller. Et puis ce joli minois, on en mangerait. Je me demande si elle a des grosses fesses aussi, mais j'imagine que oui, hihi.

Elle entend alors quelques propos désagréable sur sa personnes, ainsi que d'autres propos concernant la harpie.

Non mais elle se prend pour qui, cette gamine. Hé, gamine, tu vois pas que tu gâche la vue, là ?

- Elle aura jamais assez pour l'acheter, c'est certain. Elle doit pas avoir un rond en poche, hahaha.

- Non mais t'as vu cette harpie, elle est bonne, en plus elle obéit à tout ce qu'on lui dit.  A partir de ce soir, je la met dans mon plumard.

Gardant son air inexpressif habituel, Cirno annonce son prix, histoire de bien faire rager les plus pervers de la foule.

4500 pièces d'or pour cette beauté à plumes.

Elle reste là, devant la harpie, sure d'elle, alors que quelqu'un va la voir et la menace avec un couteau à la gorge.

On t'a dit de dégager, petite garce !!

- Qu'espères-tu pouvoir me faire, avec cette arme, mon coco ?

- Te trancher ta putain de gorge si tu dégages pas sur le champ.

- Je n'ai pas l'intention de bouger, alors, tranche-moi la gorge.

L'homme semble sans pitié et tranche la gorge de la jeune fée, ou plutôt, il essaye, mais c'est comme-ci il était en train d'essayer de couper un iceberg avec un petit couteau de rien du tout.

Bah alors ? Tu tranches pas ? Bah...Tant pis...

Elle reste un petit moment collée au jeune homme pour que celui-ci se congèle entièrement. Ensuite, elle claque des doigts pour que ce bloc de glace humain explose en mille morceaux.

Reprenons les enchères, si vous le voulez bien, messieurs.

Alors qu'elle entend le prix monter, elle soupire et sort deux bourses de pièces d'or, en donnant une aux deux vendeurs qui n'attendent que cela depuis tout à l'heure.

Tenez...J'achète cette magnifique harpie pour 5000 pièces d'or, mais comme vous êtes deux, je met les bouchées double et vous propose donc 10000 pièces d'or. Si vous trouvez mieux, je vous promet un rendez-vous coquin avec moi, tout les deux.

la foule semble bouche bée et n'a pas trop le choix d'abdiquer. Les gens sen vont tous, déçus de s'être fait battre à plate couture par une jeune femme. Cirno ne peut s'empêcher de leur tirer la langue.

Bien fait pour vous euh :P. Oh, bah c'est dommage, mes petits chéris, pas de rendez-vous coquin, du coup, vu que je remporte ce magnifique lot. Désolée.

Elle approche alors très près de la harpie, sa nouvelle esclave et lui caresse les lèvres avec son index, gardant son regard vide et sans la moindre expression.

On va bien s'amuser, toutes les deux, je connais pleins de jeux amusants. Allez viens, ma chérie, on va à la maison.

Ca aussi c'est une habitude, donner des surnoms plus ou moins mignons à des gens plus ou moins importants. D'ailleurs, la harpie va très souvent y avoir le droit, avec Cirno, c'est certain. Mais elle aura surement le droit à des mots grossiers, aussi, c'est inévitable, quand Cirno fait l'amour avec quelqu'un, elle s'exprime d'une manière assez directe et sans peser ses mots. Elle reste la petite fée innocente à la vue des vendeurs et de la harpie jusqu'à ce qu'elle soit rentré chez elle avec son nouvel article qu'elle vient d'acheter pour deux bourses d'or.

Cirno marche jusqu'à chez elle avec la harpie qui semble particulièrement silencieuse et donc, très sage. C'est un détail que la fée ne va pas négliger, elle qui adore le silence et la douceur, comme un flocon de neige qui tombe, là, elle va être ravie de pouvoir jouer sans cesse avec sa marchandise.


Je te préviens, ma jolie, si je m'aperçois que j'ai eu tort de t'acheter, ça risque de très très mal se passer pour toi, met-toi bien cela dans le crâne, poupée.






Pipa

Terranide

Re : Vendue au noir dans une ruelle sombre... [PV Cirno Tsurara]

Réponse 2 dimanche 02 juin 2013, 14:59:50

Durant tout le long de la vente aux enchère de sa personne, Pipa ne vit pas grand-chose de la foule... les yeux baissés, perdue dans ses pensées, elle ne distinguait que les planches de l'estrade sur laquelle elle se tenait. C'était une estrade en bois assez mal entretenue, le passage de nombreuses marchandises dessus avait levé des bouts pointus et elle sentait qu'il y avait des échardes sous ses pieds... et pourtant, comme toujours, elle restait silencieuse, elle ne se plaignait pas, elle attendait. Un étrange vent froid se leva sur l'assistance... toutes ces personnes libres avec leurs habits chics ne le remarquèrent qu'à peine, mais elle, sur sa peau nue, elle eut un frisson... elle se battit intérieurement pour ne pas trembler, pour rester immobile. Bientôt, les commentaires sur son physique et sur ce qu'on comptait faire avec elle, les disputent entre les potentiels acheteurs, et les annonces de prix commencèrent à fuser. Depuis ce matin qu'elle entendait ses anciens camarades se faire vendre les uns après les autres, elle comprit une chose : les deux frères marchants d'esclaves ne mettrait pas longtemps à la vendre.

La terranide-harpie avait peur... elle se demandait entre les mains de quel genre de maître ou maîtresse elle allait bien pouvoir tomber. Durant les deux années où elle avait fait partie d'un harem, elle était passée entre les mains de toutes sortes de personnes... des gents doux, gentils, qui ne voulaient que parler, ou avoir de simple rapports avec elle... des gents violents, qui aimaient la frapper et la prendre violemment... des gents sadiques qui la torturaient, et lui faisaient subir tous leurs fantasmes les plus fous, voir les plus répugnants. On pouvait dire que la petite Pipa avait déjà eue droit à tout les genres possibles et imaginables, elle avait tout reçu, tout supportée... elle avait tout fait, et elle ne s'était jamais plain, elle n'avait jamais supplier. Mais maintenant que le jour était venu pour elle d'être vendu, elle n'espérait qu'une chose : qu'elle ne tomberait pas sur un maître ou sur une maîtresse sadique, violent, qui aimerait lui faire du mal. Mais quoi qu'il arrive, elle savait qu'elle serait contrainte de s'adapter à la personne qui l’achèterait, et qu'elle devrait s'en montrer heureuse, peu importe ce qu'elle devrait subir durant tout le reste de sa vie.

Finalement, les choses se passèrent encore plus vite que ce que Pipa avait imaginé... une jeune femme à la peau aussi blanche... et également aussi froide... que de la neige, fit directement une très grande proposition à laquelle personne ne put surenchérir. Et c'est ainsi qu'elle passa entre les mains de cette femme que Pipa crut au début être une humaine, car, le visage baissé, même si elle avait entendu, elle n'avait pas vu ce qui était arrivé à celui qui avait menacé Cirno. Flint et Marcus empochèrent leurs 10000 pièces d'or, retirèrent les chaînes aux chevilles et aux poignais de leur ancienne marchandise... discrètement, la harpie se frotta ses poignais endoloris... et Marcus tendis la laisse qui était attaché à son collier à la fée des glaces.


-C'est un plaisir de faire affaire avec vous, ma chère. Pipa ne vous décevra pas... il donna une dernière claque aux fesses de celle-ci... n'est-ce pas, mon oiseau des îles ?
-Oui, monseigneur, répondit-elle de sa petite voie timide... désormais, elle savait qu'elle ne devait plus appeler cet homme "maître", sauf elle en recevait l'ordre.
-Bien. Pour ce qui est de sa nourriture, elle ne mange que de la viande crue. Si vous aimez donner des récompenses à vos esclaves, elle est très friand de foi de volaille... mais si vous préférez les punitions, n'hésitez pas, elle peut tout encaisser.

*J'espère qu'elle marche à la récompense* songea Pipa en gardant ses pensées pour elle, habituée à rester silencieuse, sauf quand on s'adresse à elle. Pour le moment, elle lui avait semblé plutôt douce quand elle lui avait touché les lèvres, tout en parlant des jeux qu'elle avait l'intention d'essayer avec elle.

Et c'est ainsi qu'elle se mit à marcher tranquillement derrière sa nouvelle maîtresse à la robe blanche, gardant toujours les mains croisées sur son ventre, même si elle n'était plus enchaînée. Elle se posait toute-sorte de questions... en outre comment serait sa maîtresse, à-quoi ressemblait la maison dans laquelle elles allaient ? L'esclave gardait la tête baissée, mais ses yeux bougeaient de temps en temps tendis qu'elle regardait tout autour d'elle... des gents se retournaient, sur leur passage, en voyant cette belle femme en blanc tirant à la laisse cette fille-oiseau. Pipa regarda un peu le visage de sa maîtresse et vit qu'elle était d'une grande beauté... elle se demanda si ils se détournaient pour la femme-libre ou pour elle.

Alors qu'elles marchaient, Cirno commença un peu à la menacer... oh, ça ne commençait pas très bien, et la peur de Pipa commença à grandir. Se rendant compte que c'était l'un de ces moments où elle doit répondre, elle dit de sa petite voie, au fond mélodieux comme le chant d'un rossignols :


-Bien-sûr, je comprend, maîtresse. Je ne vous décevrez pas. Ordonnez, et j'obéirais. Que puis-je faire pour vous être agréable ?

Cirno Tsurara

Créature

Quel bonheur pour la petite Cirno d'avoir trouvé une perle si rare, même si, d'un coté, elle se demande si elle a fait le bon choix, évidemment, c'est toujours ce qu'on se demande quand on achète un esclave. Néanmoins, elle semble très attirée par le physique de cette harpie, cette poitrine, ce visage angélique et ces fesses....Bref, elle a tout pour plaire à la fée du froid, et ça, c'est déjà un très bon point. Elle continue de marcher en tenant la laisse bien soigneusement.

Quelques temps après avoir prévenu son esclave, elle lui offre un doux baiser sur les lèvres et ne se gêne pas pour aller lui mettre les mains aux fesses, les caressant sans la moindre gêne.


T'inquiète pas, chérie, tant que tu obéis au doigt et à l'oeil, tout ne sera que pur plaisir pour toi. Détends-toi, poupée, j'ai juste un peu envie d'un avant goût de ta langue.

Elle est toujours aussi directe et encore, là, elle est très soft, mais une fois chez elle, elle pourrait très bien avoir envie de faire l'amour avec cette harpie avant même de lui avoir fait les honneurs de la maison. Mais pour le moment, elle va chercher la langue de l'esclave avec la sienne et la caresse continuellement, empoignant bien ses grosses fesses dans ses petites mains vicieuses. Elle joue alors un moment avec la langue de son esclave et la lui rend ensuite, lâchant les fesses pour reprendre sa route, n'ayant toujours pas lâché la laisse pour autant.

Un vrai délice, ta petite langue, j'espère que le reste de ton corps est aussi délicieux, ma jolie. Mais dis-moi, si je lâche ta laisse et qu'on continue à marcher toute les deux, est-ce que tu t'enfuirais ?

Puis elle reprend sa route en attendant avec patience la réponse de son esclave, lui mettant à nouveau une main aux fesses pendant qu'elle marche, histoire de bien profiter de son déhanché aussi bien par la vue que par le toucher. Pour répondre à la question de la harpie, Cirno s'approche d'elle et lui murmure.

Ce que tu peux faire pour moi ? Et bien, j'aimerais que, dès que nous seront rentrées, tu me fasses des choses coquines, sans même me demander mon approbation, tu pourras me toucher où tu le souhaites, me déshabiller si ça te chante, mais je veux que tu soi coquine et entreprenante, compris, ma mignonne ? :)

Elle se dit qu'elle y va peut -être un peu fort mais au moins, elle pourra voir de quoi est capable la petite harpie, et puis, il est vrai qu'elle n'a pas fait l'amour depuis un sacré bout de temps. Bref, les belles arrivent donc devant le manoir de glace de la belle fée.

Voilà, ça, c'est chez moi, j'espère que ça sera à ton goût. Oh et surtout, ne t'en fait pas pour la température, comme pour mon corps, je peux la régler à ma guise, n'aie donc aucune crainte, poupée.

Elle embrasse ses lèvres pour la rassurer puis tire légèrement sur la laisse pour la faire rentrer chez elle après avoir ouvert la grande porte. Elle ferme la porte et lâche la laisse, laissant à l'esclave le libre choix de faire ce qu'elle veut à sa maîtresse pour lui donner du plaisir, comme elle lui avait demandé.

Pipa

Terranide

Obéissant aux ordres et y prenant même un certain plaisir, Pipa se laissa embrasser par sa nouvelle maîtresse, se servant de sa langue avec tout le talent qu'elle avait gagné au fil des deux ans passés dans le harem... elle se demanda comment elle réagirait si elle apprenait le nombre de personnes qui avait déjà joués avec sa langue et avec ses fesses avant-elle. Elle commençait déjà à saisir le genre de personne qu'était Cirno... il ne fallait tout-simplement pas qu'elle l'énerve, qu'elle se montre calme et bien obéissante, qu'elle fasse tout ce qu'elle lui demanderait, et la vie de la petite esclave deviendrait un long fleuve tranquille, fait des plaisir de la chair puis de quelques repos... elle était tombée sur une maîtresse froide et coquine, voir-même perverse, mais qui serait surement douce avec elle temps qu'elle ne faisait rien pour la pousser à faire le contraire... et ça tombait bien : Pipa n'avait aucun instinct sauvage, aucun espoir de liberté, aucun désirs d'évasion, en elle... elle ne connaissait que la soumission et l'obéissance. Même si il lui était déjà arrivé de ne pas vouloir obéir à un ordre, pour les choses les plus dégradantes, les plus dégoûtantes, ou les plus douloureuses, elle avait toujours fait ce qu'on attendait d'elle. Avec la fée de glace, ce serait la même-chose.

Une chose cependant pour laquelle la harpie avait toujours eue du mal à obéir : c'était quand on lui disait de se détendre... il était dans sa nature d'être timide et craintive, même envers les gents qu'elle connaissait, et en cela, elle ressemblait plus à un petit oiseau fragile qu'à une humaine. Aussi, lorsque la fée lui demanda si elle fuirait si jamais elle lâchait sa laisse... craintive de ce qu'elle pourrait penser d'elle si elle croyait vraiment qu'elle serait capable d'une telle chose, elle avait tout-de-suite baissée la tête encore d'avantage et avait répondu précipitamment :


-Oh non, jamais, maîtresse, jamais je ne m’enfuirais ! Je suis à vous, vous avez tout-droit sur moi, je ne partirais jamais. Pour aller où, de toute-façon ? Je n'ai qu'un désirs : rester à la maison de ma maîtresse et la servir.

Finalement, ils arrivèrent dans le manoir de glace... faisant en sorte de garder toujours la tête plus basse que celle de Cirno, Pipa se redressa légèrement, et regarda autour d'elle... si le lieu était à son goût... mh, pas forcément. C'était trop froid, pour elle, autant visuellement qu'à travers les sensations. Mais elle savait qu'il était dans son intéré de répondre bénéfiquement à la question, alors elle ne parla que du bon côté de son ressentit... de toute-façon, pour la fraicheur, elle lui avait promis qu'elle pouvait régler la température, donc tout allait bien, elle ne mourrait pas de froid.

-Votre maison est très brillante et très jolie, maîtresse.

Cela dit, elle se tourna vers Cirno... la fée lui avait dit, un peu plus tôt, ce qu'elle voulait, et Pipa allait honorer don rôle. Même si c'était rare, elle était déjà tombée sur des clients, au harem, qui lui avaient demandé d'improviser... elle allait donc commencer par mettre sa maîtresse, ainsi que elle-même, à l'aise, avant de vraiment commencer à lui faire plaisir.

Pipa retira, avec des gestes lents, les quelques vêtement qu'elle portait sur le corps... elle dénuda d'abord ses seins, puis descendit le long de son ventre, son entre-jambe, ses cuisses, et passa le tout par ses pieds, en se baissant bien-bas et en faisant exprès de garder ses fesses qui semblaient tellement plaire à se maîtresse bien en-l'air. Une fois entièrement dénudée, elle se redressa très, très doucement, plia son habit et le laissa tomber dans un coin. Son corps à la peau lice se présenta ainsi à la reine du froid. Elle gardait les bras le long de son corps, laissant sa poitrine en-vu, ses ailes déployées... cependant, elle gardait les cuisses serrées dans le but de cacher son intimité. Elle avait appris que garder une apparente timidité la rendait souvent attendrissante pour les personnes libres, qui aimaient lui écarter eux-même les jambes. Elle laissa un instant sa maîtresse observer son corps, puis elle commença à danser... tout en s'approchant d'elle, elle faisait tournoyait ses plumes en moulinant des bras et se déhanchait sur la pointe des serres.

Habillée uniquement de son collier et de sa laisse qui pendouillait toujours entre ses deux gros melons, Pipa avait froid, très froid... mais elle ne plaignait pas et faisait ce qu'on attendait-d'elle... elle se disait que la jouissance finirait par la réchauffer, de toute-façon. Lorsqu'elle arriva près de sa maîtresse, elle se plaça dans son dos, se serra contre-elle, et lui caressa tendrement la poitrine tout en lui embrassant le cou. Chacun de ses gestes étaient lents, calculés... déjà parce qu'elle savait que si ça allait trop vite, ça ne plairait pas, et en-plus, elle voulait donner le temps à Cirno de lui demander d'arrêter, si elle le désirait. Elle faisait en sorte de ne pas avoir l'air de dominer sa maîtresse... chacun de ses mouvements étaient empreins d'un profond respect. Tout en continuant à la caresser, Pipa commença doucement à descendre... elle lui caressa le dos, puis les fesses, les cuisses, les jambes... et elle finit par se retrouver à quatre-pattes, à ses pieds. Les plumes de ses ailes roses chatouillant les parties de peau nue de la fée, elle lui tourna autour en se frottant contre ses jambes, comme le ferait un gros chat affectueux.

Puis elle décida qu'il était temps de lui montrer qu'elle savait se servir de sa langue pour faire plus que des bisous. Elle baissa la tête et commença par lécher les pieds de sa maîtresse. Avec talents, elle léchait le haut, chaque orteil, puis entre ceux-ci... et de façon lente, elle commença doucement à monter. Elle lécha le talon, puis la cheville... elle monta le long de la jambe de sa maîtresse. Arrivée au-niveau de la cuisse, elle s'était mise à genoux et gardait les serres serrée au-niveau de sa poitrine comme si elle faisait la belle... elle continua à monter en léchant la partie intérieur de la cuisse de Cirno... tout-doucement, mais surement, elle dirigeait sa langue vers son intimité...

Cirno Tsurara

Créature

La belle fée du froid se rend compte, rien qu'en regardant la danse particulièrement plaisante de la harpie, qu'elle n'a vraiment pas dépenser ses pièces pour rien. Rien que de la voir bouger ainsi semble l'exciter quelque peu, voir ses jolies fesses si près d'elle et sa disposition l'incite sans la moindre gêne a aller mettre ses mains vicieuses dessus pour les caresser de manière tout aussi sensuelle que cette danse. Puis, alors que la belle harpie descend pour s'occuper du bas de son corps, elle sourit quand cette dernière lui lèche les pieds, ce qu'elle adore par dessus tout. Et oui, elle a beau ressembler à une jolie petite fille sans défense mais, elle est très autoritaire et aime qu'on lui lèche les pieds, pour bien montrer qui commande. Mais il est rare de la voir sourire ou même changer de d'expression, tout simplement, il faut croire qu'avec cette harpie, pas mal de choses vont changer, et ceci n'est qu'un bref aperçu.

Néanmoins, quand il s'agit de s'exprimer, là, Cirno ne se gêne pas du tout, elle laisse libre court à ses gémissements, aussi coquins soient-ils. C'est d'ailleurs le cas quand la harpie lui pelote la poitrine et l'embrasse au cou, et rare sont les personnes qui ont le privilège de pouvoir toucher Cirno aussi familièrement sans risquer de se faire congeler puis détruire ensuite.

Puis, vient alors le moment qu'elle attendait, là où ça va commencer à devenir plus intime, laissant Pipa lécher librement ses jambes, ses cuisses, ce qui la fait soupirer de plaisir, par ailleurs. Et le fait de sentir cette langue s'approcher de très près de son intimité lui donne envie d'écarter ses jambes pour laisser plus de place à la harpie afin qu'elle puisse librement lécher cette partie intime encore cachée par la petite culotte blanche.


C'est bien, ma jolie, monte un peu plus avec ta langue et tu y es.

Jamais elle ne se gênera pour dire ce qu'elle pense, que ce soit des choses perverses ou tout à fait saines d'esprit, et il lui arrive même de dire des choses vraiment grossière, quand elle est très excitée, elle mâche encore moins ses mots, et d'ailleurs, elle sent qu'elle risque de vite devenir grossière, sans pour autant rabaisser la harpie, juste pour laisser libre court à son plaisir de s'exprimer.

Pipa

Terranide

Heureusement que Cirno savait contrôler son humeur et ses pouvoirs... après-tout, il serait dommage qu'elle transforme Pipa en une statue de Glace, qu'elle détruirait ensuite en mille morceaux, alors que celle-ci ne faisait que faire ce que sa nouvelle maîtresse attendait d'elle, et en y mettant tout son talent, qui plus est. La jeune harpie, ne voyant que la peau blanche aussi immaculée qu'un jeune manteau de neige tombé un matin d'hiver avant que qui que ce soit ne vienne y marcher dessus, ne vit pas le sourire de sa maîtresse... mais elle entendit ses gémissements, ce qui la rassura, lui retira le poids de la peur qui pesait depuis le début de cette journée... comme chaque jour depuis trois années... dans son ventre : elle faisait plaisir à sa maîtresse, elle faisait donc bien son travail. Cela ne lui donna que plus d'entrain pour la suite de leur petit "test" des talents de l'esclave.

La fée de la neige exprima alors son contentement à haute-voie, et Pipa comprit qu'elle n'attendait désormais qu'une chose : qu'elle aille au-bout de ce qu'elle avait commencée. Sans plus ralentir, décidant que maintenant, sa maîtresse ne lui demanderait surement plus d'arrêter, elle posa sa langue sur la cuisse de Cirno et monta d'une traite en continuant à la lécher, passant sa tête sous sa courte robe. Là, elle commença d'abord par humidifier la culotte blanche de sa maîtresse avec de lents et langoureux coups de langue. Elle posa la nez dessus et caressa doucement, avant de recommencer à lécher... puis elle saisit les bords de la culotte avec les dents et se laissa doucement descendre vers le bas, l'emportant avec elle jusqu'au pieds de sa maîtresse. N'allant pas aussi lentement que tout-à-l'heure, mais calculant tout-de-même toujours la vitesse pour que l'attente rende la chose encore plus agréable, elle refit ensuite le même trajet en léchant les même endroits...

Lorsque la tête de la harpie disparu à-nouveau sous la robe de la fée, Pipa commença d'abord par embrasser trois fois l'intimité de sa maîtresse... puis elle commença à montrer tout son talent, léchant le contour des lèvres du sexe de Cirno, s'attardant sur le clitoris, puis faisant entrer sa langue aussi loin qu'elle en était capable, avant de la retirer et de recommencer le même manège. Au début, elle avait entouré les jambes de sa maîtresse de ses bras et avait plaqué son visage contre l'intimité tout en se serrant contre-elle... mais très-vite, elle commença elle-même à ressentir le plaisir de l'excitation. Tout en continuant à la lécher, elle lâcha sa maîtresse et commença, d'une serre, à serrer et à tourner l'un de ses seins, et de l'autre, à caresser sa propre entre-jambes. Elle resta ainsi, aussi longtemps que le désira Cirno... elle ne comptait pas s'arrêter temps que la maîtresse ne le lui avait pas ordonné, ou temps que son visage ne serait pas couvert de cyprine.

Cirno Tsurara

Créature

Re : Vendue au noir dans une ruelle sombre... [PV Cirno Tsurara]

Réponse 7 dimanche 28 juillet 2013, 12:41:10

Pour le moment, Cirno semble satisfaite du traitement que lui offre Pipa pour ce fameux test de connaissance en la matière. D'ailleurs, elle n'hésite vraiment pas à le montrer, exprimant ce qu'elle ressent par des gémissements d'une voix douce et coquine à la fois. La fée caresse la tête de la belle harpie pour l'encourager à continuer son traitement. La belle se mordille ensuite la lèvre inférieur lorsqu'elle sent l'un de ses gros seins se faire presser, c'est qu'elle semble vraiment douée, cette petite !

Voyant que la fille oiseau commence à se toucher, elle décide d'improviser en faisant apparaître une sorte de tentacule de couleur cristalline qui pousse légèrement la serre de Pipa pour la remplacer, caressant continuellement son intimité histoire de bien la faire languir.

Contente-toi de ne toucher que moi. Ton corps, c'est moi qui m'en occupe.

Cirno a beau être celle qui donne les ordres, celle qui fait de Pipa son petit jouet sexuel personnel, elle aime aussi être à la merci de ses esclaves, de temps en temps, histoire de voir si ils ont bien appris à force de jouer avec elle. Dans le cas présent, il s'agit juste d'un test pour savoir si Cirno ne s'est pas trompée en l'achetant, et bien vite, la harpie se rendra compte qu'avec la fée, elle n'aura pas le droit à la moindre erreur ni même au moindre manque d'obéissance, ou encore à la moindre contradiction.


Pipa

Terranide

Re : Vendue au noir dans une ruelle sombre... [PV Cirno Tsurara]

Réponse 8 dimanche 28 juillet 2013, 16:42:30

Les gémissement de la fille de glace qui avait achetée la jeune terranide-harpie ne faisait que confirmer à celle-ci qu'elle faisait bien ce qu'elle attendait d'elle, et cela la rassurait et lui donnait encore plus de cœur à l'ouvrage... si sa maîtresse aimait ce qu'elle faisait, alors Pipa serait bien traité et n'aurait pas à craindre de punition, c'était mathématique. Cirno alla même jusqu'à lui caresser la tête, et telle une chienne, Pipa se mit à secouer sa duveteuse queue de plumes blanches, comme elle avait appris à le faire. Ce signe de soumission plaisait, généralement. Elle continua un instant à enfoncer puis à ressortir sa langue de l'intimité de Cirno, tout en continuant à se caresser elle-même... et enfin, elle commença vraiment à lécher le jeune-femme des neiges, entrant sa langue du bas jusqu'en haute, prenant bien soin de passer sur toute la paroi vaginale de sa maîtresse. La fée était froide, et sa maison l'était aussi... mais l'excitation du moment faisait que la chaleur montait en Pipa. D'ailleurs, si elle n'avait pas eue la tête cachée sous sa robe, Cirno aurait pue la voir rougir comme une tomate. Dans cette situation, la fraîcheur était parfaitement supportable.

L'esclave-ailée fut surprise, et elle dut l'avouer, un peu effrayée de sentir les froides tentacules de cristal créées par sa maîtresse venir pousser ses griffes et prendre leur place, caressant doucement son intimité... mais il fallait aussi dire que les choses étaient plus agréable quand on ne le faisait pas soit-même. Cirno voulait que Pipa la touche à elle, pas qu'elle se touche elle-même... cependant, elle ne semblait pas reprocher cette erreur à Pipa, donc celle-ci se sentit rassurer, et, malgré la sensation que lui offrait les tentacules en caressant son vagin et ses seins, elle réussit à garder le rythme et à continuer à lécher sa maîtresse avec tout le talent dont elle était capable.


-Bien, maîtresse, dit-elle entre de coups de langue, afin de bien lui dire qu'elle avait compris ce qu'elle voulait d'elle.

Pipa continua donc à lécher, mais elle se mit également à caresser les parties intimes de la fée des neiges. D'abord, en même-temps de la lécher, elle se mit à grattouiller les bord des lèvres de son vagin de la pointe de ses griffes arrondi, faisant monter en elle une agréable sensation de fourmillement. Puis elle bougea lentement les mains et massa  les hanche de la belle femme aux cheveux bleus. Ses gestes étaient lents, calculés, afin de s'assurer de ne pas aller trop loin... si sa maîtresse se montrait mécontente d'un geste, elle le saurait et elle arrêterait sur le champ. Elle termina par lui peloter les fesses de ses serres...


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