Revanche nocturne (Lili)

Peut à peut les force me reviennent, la main de mon agresseur délaisse mon cou, mais reviens très vite empoigner le seins qu'il s'amuse à torturer de sa bouche, ces morsures sur mon téton se font plus forte, la douleur m'oblige à nouveau à gesticuler dans tout les sens pour m'échapper de son emprise, alors que de vives douleurs me foudroient la poitrine me donnant des frissons dans tout le corps, je pousse des gémissement et des cris plaintifs.

AAAAAAAH... mmmmmh... AAAAAAIIIiiiee... ça fait mal... AAAAAH...

C'est comme une délivrance quand il délaisse enfin mon sein, lâchant un soupir de soulagement, il ramène alors mes deux bras au dessus de ma tête et les maintiens, j'ai bien essayer de résister mais il à plus de force que moi.
Son visage est maintenant en face du mien, son visage me fait revoir des flashback de ce qu'il ma fait la première fois que l'on c'est croisé, c'était horrible et là c'est bien partie pour recommencer.
Il me dit le sourire aux lèvres.

-Alors? On apprécie on dirais?

Oh non, il s'en est rendu conte, il vas penser que j'apprécie ce qu'il me fait endurer, c'est de pire en pire.
Que mon corps réagisse, c'est normal, étant depuis quelques temps maintenant une des prêtresse de la déesse Lust qui en me proclament prêtresse, ma rendu dix fois plus sensible aux caresses qu'une personne normal, ce qui veux dire que même dans les rapport les plus brutaux, je peux ressentir dans des douleurs intenses une infime partie de plaisir.
Je vois ces lèvres se rapprocher des miennes, je détourne alors les miennes en continuant de me débattre et en lui disant.

Non sale pervers... Je n'aime pas ça... Laisse moi partir maintenant...

je sent par la suite son genoux remonter entre mes jambes et celui-ci caresser mon entre jambe par dessus mon string, j'essaie de serrer les cuisse mes c'est trop tard.

 

Ne voyant pas réussir à atteindre les douces lèvres de sa victime, Onishiru plongea alors sa bouche dans le creux du cou de Lili. Il embrasser et lécher sa peau cherchant à la faire réagir le plus possible. Il en vint même à mordiller très légèrement. Sa jambe ce frota plus en plus contre l'entrejambe et faisait de très léger mouvement dessus pour la stimuler. Onishiru le voyait bien qu'elle réagissait à ça et il cherchait de plus en plus à réveiller cette apétie sexuel qui habitait sans doutr la jeune femme.

Les Baisait descendirent très légèrement puis remontèrent pour aller poser sur la joue de la victime cette langue baveuse. Puis il chuchotta dans l'oreille de cette dernière.

-tu sais que tu m'excite toi? J'ai hâte de pouvoir goûter à ton corps si sexy.

Il lâcha une main tout en s'assurant qu'il pouvait bloquer les bras avec seulement une seul main et vint attraper la victime par les cheuveux et tira brusquement.

-vas y, crie pour moi! Sa m'excite!

Tentant à plusieurs reprise de m'embrasser j'arrive à éviter ça, mais je sent ces lèvres et sa langue se rabattre sur mon cou, je le sent ces baisés, ces coups de langues, je continue de me débattre mais rien à faire je ne suis pas assez forte pour arriver à lui faire lâcher prise, il faut de j'attende le bon moment, je moment ou il baissera sa garde.
Voilà qu'il me mort même la peau du cou très légèrement comme le font quelques animaux, je sent sa jambe sur mon entre jambe accentuer ces mouvements de friction, et toujours malgré moi mon corps me trahie, mon bas ventre se réchauffe peut à peut et je sent mon antre s'humidifier.
ces lèvres descende un peut et remonte avant de sentir à nouveau sa langue baveuse sur ma joue, il le fait exprès, il sais que ça me dégoute, sa bave gluante dégouline jusqu'à mes lèvres, je l'entends alors me chuchoter.

-Tu sais que tu m'excite toi? J'ai hâte de pouvoir goûter à ton corps si sexy.

Mon regard à la fois apeuré et colérique le regarde dans les yeux, je serre les dents, avant de lâcher un crie de douleur quand il m'attrape par les cheveux suivie d'une négation.

AAAAAAAAAAH... NOOON... Tu n'auras rien de moi salle enflure...

-vas y, crie pour moi! Sa m'excite!

Quand je l'entends dire ça, je serre à nouveau les dents avant de lui cracher au visage.

Onishiru s'amusait beaucoup ce soir la, la victime était vraiment belle et il prenait un malin plaisir à embrasser et lécher le corps de cette dernière. Il le sentait, elle s'excitait au fur et à mesure que le temps passe et ça Oni adorait.

Puis soudainement, elle lui cracha dessus dans sur son visage. Tous en gardant les mains de sa victime entravé, l'agresseur recula très légèrement et s'essuya le visage. Puis sans attendre, Onishiru lui colla à nouveau une claque pour la calmer mais surtout pour passer sa frustration.

-tantôt tu comprendras que c'est moi qui donne des ordres. Toi tu obéiras docilement.

La main libre de l'agresseur ce posa sur le haut déchirer et l'acheva de le détruire puis des enduit sa main vers le bas-ventre jusqu'à l'entrejambe. Il posa deux doigts sur le sous-vêtement humide et caressa doucement.

-hé hé hé je vois que tu aimes ça!

Je vois mon agresseur s'écarter un peut de moi après lui avoir craché au visage, mais ce n'est pas pour autant qu'il défait l'emprise sur mes poignets au contraire, il les tiens toujours aussi fermement.
Un sourire se dessine sur mes lèvres quand je le vois essuyer le cracha que je lui est envoyé au visage, mais celui ci disparait très vite quand je sent une nouvelle violente claque me bruler la joue, je hurle de douleur.
Quelques peut sonné je l'entends me dire.

-Tantôt tu comprendras que c'est moi qui donne des ordres. Toi, tu obéiras docilement.

Je sent alors une de ces mains se poser au dessus de ma poitrine, empoignant mon haut, il termine de le déchirer en lambeaux, dévoilant ma poitrine pour son propre plaisir, je me tortille toujours dans tout les sens pour me soustraire à lui, mes seins maintenant libre ballotte dans tout les sens, je sent sa main me caresser le ventre jusqu'à mon entre jambe avant de sentir deux de ces doigts se poser sur mon string au niveau de mon petit minou et effectuer de douces caresses.
Je frissonne en sentant les caresses de ces doigts mais fait tout pour ne pas lui montrer alors que je l'entends me dire.

-hé hé hé Je vois que tu aimes ça!

Je sent mon string trempé par ma propre mouille sur mon entre jambe alors qu'il continue de me caressé, je lui répond sèchement.

Non je n'aime pas ça salopard... nnngggnh... et je ne t’obéirais jamais sale monstre...  à l'aide!!!

Il n'y avait donc vraiment personne qui m'entendais?

La jeune femme appelait à l'aide et ne cessait jamais de crier et de ce débattre. Onishiru maintenait bien son emprise sur elle malgré tous.

-tu peu crier autant que tu veux, dans ces rue personnes ne t'entend.

C'était souvent comme ça par ici, personne n'écoutait ou ne voulait entendre de peur de ce mêler d'histoire qui ne les regarde pas.

Il reposa sa main sur un des seins et le malaxa fermement juste avant de ce baisser et de venir mordre un des tetons. Il voulait lui arracher un cri

-j'adore t'entendre crier continue

La main vint ensuite caresser le ventre et elle ce glissa doucement vers le sous vêtement pour venir caresser la sexe de sa victime par dessus le vêtement!

Malgré mes appels à l'aide, personne ne viens, il y a pourtant des gens qui habite dans ces quartiers.
Mon agresseur me dit.

-Tu peux crier autant que tu veux, dans ces rues personnes ne t'entend.

Je voulait bien le croire, ce n'était pas mon première appels à l'aide et toujours personne à l’horizon, soit toutes les personnes logé ici était sourdes, soit ils ne voulaient pas ce mêler d'affaire qu'il ne les concernaient pas, mais c'était tout de même une jeune fille qui se faisait agresser...

Je sent la main de ce pervers venir à nouveau se poser sur un de mes seins, il me maintient fermement alors que je continue de gesticuler dans tout les sens pour me soustraire à lui.
Cette main malaxe fortement mon sein, m'arrachant des gémissements plaintifs avant de le voir baisser la tête vers celle-ci.
Je sent ces dent mordiller mon tétons dressé du seins qu'il tien entre ces doigts, il le mordille, plus ou moins fortement, l'étire en le bloquant entre ces dents, je cris de douleurs en l'insultant.

AAAAAAAAAAAaaaaaaaaah... Arrête ça salop... AAAAIIIiiiee...

Ce n'est pas pour autant qu'il s'arrête, je dirais même que ça l'excite vue ce qu'il me dit.

-j'adore t'entendre crier continue

Je sent ensuite sa main délaisser mon sein et tout en me caressant descendre le long de mon ventre pour venir jusqu'à mon petit abricot.
quand je sent les doigts de celui ci sur mon string caresser mes grandes lèvres, je serre les cuisses.

A... Arrête ça de suite salle pervers... GGggnnnn...

décidément je n'avait pas assez de force pour me délier de son emprise.

malgré la réticence de sa victime, Onishiru avait bien remarqué au toucher à quel point le sous-vêtement de cette dernière était trempe d’excitation. encore une fois, il attaqua un des seins de sa bouche pour y mordiller le téton un peu plus fortement que la dernière fois.

-pourquoi devrais-je arrêter?

il passa alors sa main sous le string pour y caresser le minou imbiber. Très vite, il retira ses doigts pour montrer à la jeune victime combien son agresseur avait raison.

-tu refuse de l'admettre, mais tu adores ça!

Sa main continue de caresser mon entrejambe par dessus mon string, j'ai beau serrer les jambes ça n'y fait rien, je sent mon bas ventre se réchauffer de plus en plus, malgré le faite que je soit totalement contre.
Le dont que la déesse Lust ma légué à ces avantages, mais aussi ces inconvénients, ci bien que même dans une situation pareil, l'hyper-sensibilité de ma peau excite mon corps au moindre petit attouchement, même si celui ci est contre mon gré. 
Je sent sa langue, ces lèvres et ces dents passer d'un seins à l'autre, mordillant mes mamelons dressés de plus en plus fortement, ce qui me fait lâcher des gémissements de plus en plus sonores et plaintifs.
il me pose alors une question.

-Pourquoi devrais-je arrêter?

épuisé de me débattre, je m'arrête un instant et lui réponds, la vois tremblante.

Parce... Parce que vous n'avez... Pas le droit...Je suis une jeune fille... et que vous me dégouté... salle monstre...

Je sent alors ces doigts passer sous mon string trempé et venir caresser à même la peau ma petite fente et mes grande lèvres gonflé d'excitation.
Sur le coup j'ai un hoquet de surprise alors que je me remet à gesticuler en serrant mes cuisses le plus fort possible pour empêcher la progression de sa main.

Non... NOONNN... AAAAaaaaaah... Arrêté...

Mais bizarrement il les retirent très vite de lui même avant de me les montrer recouvert de mouille avant de me dire.

-Tu refuse de l'admettre, mais tu adores ça!

Déglutissant difficilement, je lui réponds.

non... ce n'est pas ce que vous croyez... c'est parce que...

Je m'arrête de parler pendant quelques secondes. Qu'est ce que j'allais lui dire là, que j'étais une prêtresses de la déesse Lust et que c'est pour cela que je suis excité... il n'allait sans doute pas me croire ou alors se dire que c'est encore mieux que ce qu'il avait imaginé, une prêtresse de la luxure.

Non... Je ne peux pas vous le dire... C'est juste que je suis très sensible... Je n'aime pas ça... Arrêté! s'il vous plais...

La jeune femme pouvait raconter tous les mensonges qu'elle voulait, cela ne changeait rien à ce ceux que son agresseur voyait sur elle. Elle pouvait crier encore et encore qu'elle n'apprécier pas et qu'il pouvait pas comprendre cela n'empêchait pas de voir ce qu'il voulait voir.

-je me fiche de savoir ce que tu es exactement car à présent tu  mon jouet.

Sur ces mots il replongea sa main dans le string de la jeune femme et il y enfonça sans ménagement deux doigts dans le sexes de cette dernière. Il la masturba en faisant des mouvements lent et profond en elle et tantôt il accélèra les mouvements.

-prouve moi que cela te fais rien! Prouve moi que ça t'exite pas petite salopes!!

Il l'a masturbait sans ménagement!

Me débattant toujours, je l'entends me dire.

-je me fiche de savoir ce que tu es exactement car à présent tu  mon jouet.

Ces paroles me glace le sang, ce salop semble déterminé, mais je ne suis plus la fille innocente qu'il à croisé il y a un ans, je suis plus forte.
Je lui réponds alors.

Je ne suis pas un joué gros porc , AAAAAAAAAaaaaaaaaaaaah!!! NOOOOoooonnnn!!!

Je hurle alors que que je sent deux de ces doigts s'enfoncer d'un coup brutalement en profondeur dans ma petite fente, je les sent aller et venir lentement me provoquant des ondes de plaisir qui parcours mon corps, alors que ces doigts caresses mes membranes internes.
Je bouge mon bassin pour l'en empêcher, pour qu'il les retires, mais ça ne le gêne en rien et continue, ci bien que cette stimulation me fait mouiller de plus belle.

AAaaah... OOoooh... Arrêté... Noon... Retiré les... MMMMmmmh... NNNNNOOOOOONNNNNnnnnn!!!

Je hurle à nouveau alors que je sent le va et viens de ces doigts s'accélérer dans mon minou, allant toujours le plus profondément possible, le reste de sa main et ces autre doigts venant claquer mes petites fesses.
Serrant toujours les jambes ça ne l’empêche pas de continuer, ci bien que bientôt le plaisir pris le dessus,, ma poitrine gonfla légèrement, mon minou continué de couler allant dégouliner dans la raie de mes fesses, mes jambes se desserre peut à peut et mon bassin se soulève sous des convulsions de plaisirs incontrôlés et mes plaintes deviennes des gémissement de plaisir.

AAaaaahh... Nooonn... Arrêté... Par pitié... Vous me dégouté... NNnnmmmmh...

Il me dit alors tout en continuant.

-prouve moi que cela te fais rien! Prouve moi que ça t’excite pas petite salopes!!

Dur de lui prouver que le traitement de ces doigts dans ma petite chatte ne me fait pas d'effet vue comme je mouille, et bientôt sentant le plaisir monter crescendo , je sentait la jouissance venir à grand pas.

NOooon... Arrêté... Arrêté... Je vais... Je...

Onishiru bavait de plaisir en voyant cette belle jeune femme s'agitait sous la friction de la masturbation qu'il lui prodiguait. malgré ce qu'elle prétendait, il voyait que la plaisir prenait le pas sur toute autre forme de sentiment que pouvait avoir la jeune femme.

il accélérât encore plus les mouvements des ses doigts. Il adorait la voir crier et hurler de plaisir. il sentait que cette dernière n'allait plus tenir longtemps et qu'elle allait céder au plaisir puissant de la jouissance. pour l'y aider à y parvenir, il attaqua de ses dents et sa langue le sein libre allant mordiller le téton et le lécher.

il ne fut plus très long pour que la jeune femme émette un violent cris suivit de violent spasme et  jouissant abondement. satisfait de son action, Onishiru agrippa la jeune femme par les cheveux et approcha son visage du sien pour y lécher de sa langue sa mignonne petite joue.

-tu peu dire ce que tu veux, mais ton corps ne peu me mentir.

il ce leva tout en la gardant par les cheveux et la força d'approcher son visage proche de sa braguette. De son autre mains, défit une partie de son pantalon et sortie son membre tendu et le plaqua contre la joue de sa victime.

-tu sais ce que j'attend de toi, donne moi du plaisir petite salope. mais gaffe, si ça me  plait pas je te le ferais payer.

Ma jouissance est au bord de l'explosion, quand je sent sa langue et ses dents revenir sur un de mes seins, je ne tiens plus, le surplus de plaisir explose en moi, mon corps entier se contracte dans un hurlement à la fois de plaisirs et de rage pour avoir cédé sous ces attouchements forcés.

NNNNOOOOONNN...AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh...

Mon dos s'arque, mes cuisses s'écarte d'elle même, la tête en arrière je sent mes membranes internes enserrer fortement ces doigts, une décharge électrique envahie mon corps, une douce chaleur irradiante prend possession de moi alors que mon corps se relâche enfin dans des spasme incontrôlés.
Je n'ai pas le temps de reprendre mon souffle qu'il empoigne fermement ma chevelure qui me fait lâcher un petit cris de douleur entre deux souffle, alors qu'il viens lécher d'un grand coup de langue ma joue, je fait une grimace de dégout.

Eurgg... C'est dégoutant... Arrêté...

-tu peu dire ce que tu veux, mais ton corps ne peu me mentir.

Alors que je le vois se relever, il me tire vers lui alors qu'il me tiens toujours par la cheveux, je lâche un autre cris de douleur alors que je me retrouve assise par terre, il tire un peut plus vers lui et je me retrouve le visage plaquer sur son entre jambe sentant la froideur de sa fermeture éclair sur ma joue.
Encore dans les vapes de ma jouissance, des images de notre première rencontre me reviennent en tête, quand il y à un ans il m'avais tiré par la cheveux dans cette ruelle sombre, je le vois défaire son pantalon et il me présente son sexe bandé avant de me le plaquer sur la joue.
Ce sexe je m'en rappelle, le premier membre humain que j'ai vue de ma vie, il n'a pas changer, lui non plus d'ailleurs.
Mais j'en est vécu des choses depuis, et je ne me laisserais pas faire cette fois.

-tu sais ce que j’attends de toi, donne moi du plaisir petite salope. mais gaffe, si ça me  plait pas je te le ferais payer.

Du revers de la main, je détourne l'attention de sa queue sur ma joue alors que de mon autre main, je viens caresser son torse tout en le regardant dans les yeux faisant mine d'aller m'occuper de ces bourses avec ma bouche, quand sans hésiter, je plante mes ongles dans son pectoraux et je le griffe violemment descendant ma main jusqu'à sa cuisse.
Ceci fait je tente de me reculer, mais il se pourrait avoir oublier qu'il me tenais pas les cheveux l'espace d'un instant..

comme depuis le début de cette rencontre. La jeune victime montrait toujours autant réticence malgré l'explosion de jouissance qu'elle venait de subir et résistait toujours autant aux avance forcé de Onishiru ce qui excitait encore plus l'agresseur.

Il avait beau à plaquer son sexe contre la joue de la jeune femme, cette dernière ne ce laissait aucunement faire. Puis soudainement, elle changea d'attitude. Cela tiqua à Onishiru au début mais il baissa sa garde quand il vit la jeune femme lui faire croire qu'elle allait enfin ce décider à s'occuper de lui. Mais une violente douleur le ramena rapidement à la vérité et lui fit lâcher un cri de douleur mais surtout de rage.

La jeune femme n'avait toujours pas abandonné et lui avait violemment griffer de ses ongles et profitant de cette attaques surprise, tentât de ce dégager de son emprise.

-Mais quel salope !! 

s'exclama t-il de rage. Sa tentative aurait put marché si Onishiru ne s'était pas laisser aller à sa colère. Sans perdre une seconde, il agrippa les cheveux de Lili et plaqua avec violence son visage sur le sol froid de la ruelle.

-rhaaa... tu vas me le payer !

Il tira alors sur les cheveux de la jeune femme pour la ramener contre lui. Tout en en la maintenant fermement par les cheveux, il ce leva avec tout en la plaquant contre lui. Elle pouvait sentir le membre tendu plaqué contre ses petites fesse. Son autre main vint contre le cou de la jeune femme et serra fortement pour que cette dernière étouffe lentement.

Des qu'il sentait qu'elle s'était calmé, il lâcha son emprise et descendit sa main vers le string qu'il agrippa. Il tira dessus de tel matière manière que le petit bout de vêtement lui rentre dans les fesses jusqu'à ce qu'il cède à la force de l'agresseur.

-écoute moi bien !

Il ramena sa main vers le visage de la jeune femme et fit sortir ses griffes acéré.

-tu vas gentiment faire ce que je dis. Tel le jouet que tu es, tu vas docilement me sucer maintenant. Je peu te jurer que si tu recommence un coup de ce genre je vais te faire souffrir comme tu ne l'imagine même pas.

Suite à ses mots, il força de son emprise sur les cheveux de Lili pour abaisser son visage vers le membre en pleine excitation.

Sous la blessure que je viens d'infliger à mon agresseur, j'entends celui-ci m'injurier.

-Mais quel salope !!

Je sent alors sa poigne tirer ma chevelure vers le bas avant de me claquer violemment le visage sur le sol froid et humide de la ruelle, poussant un gémissement plaintif.

AAAaaaaarrgh... Lâché moi salop...

-rhaaa... tu vas me le payer !

L'inquiétude et la peur m’envahis encore un peut plus alors qu'il me relève en me tirant par ma crinière m'obligeant à venir me claquer contre lui, je sent son torse contre mon dos mais surtout sa queue longue dur et veinées dans la raie de mes petite fesses, il me tiens fermement alors que son autre main viens contre mon cou.
Il commence à resserrer l’étreinte autour de celui-ci, paniqué je me débat alors que j'ai de plus en plus de mal à respirer, ma respiration se fait de plus en plus bouillante, l’afflux sanguin à mon cerveau se fait plus lent et il ne faut pas longtemps pour que mes forces m'abandonnent.
Au bord de l'évanouissement mon agresseur desserre sa main, j'ai la tête qui tourne, ma vision se trouble, la bouche grande ouverte je tente de reprendre mon souffle, alors que sent que mon string est en train d'être tirer vers la haut, la ficelle de celui-ci rentre profondément dans la raie de mes fesses, mais aussi outrageusement entre mes grandes lèvres compriment aussi fortement mon clitoris.
Sous la tension le string craque fouettant au passage l'arrière de ma cuisse droite, laissant libre accès à mon agresseur sur mes orifices.

-écoute moi bien !

Il me dit alors que je vois sa main venir devant mon visage, ces ongles se transforme en griffes acérées, je déglutis de peur alors qu'il me dit.

-tu vas gentiment faire ce que je dis. Tel le jouet que tu es, tu vas docilement me sucer maintenant. Je peux te jurer que si tu recommence un coup de ce genre je vais te faire souffrir comme tu ne l'imagine même pas.

Suite à ça, il me retourne tout en me maintenant fermement toujours par les cheveux et me force à m'agenouiller devant lui avant de forcer sur ma nuque pour diriger mes lèvres vers sa verge tendu d'excitation.
Je lève les yeux vers lui, son regard me glace le sang alors qu'il force sur ma nuque pour me forcer à la prendre en bouche.

Non... Je veux pas... arrêté...

Je serre les dents et mes lèvres alors que son gland gonflé de désir viens à la rencontre de mes lèvres.