Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Qu'on libère Belphegor !

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Cyriel Raffaëlli

Humain(e)

Qu'on libère Belphegor !

vendredi 01 mars 2013, 23:58:19

Les affaires de tekhos, quelle barbe ! Je déteste réellement leurs affaires de démocratie : c'est un système prétentieux, lourd, lent, peu efficace. J'ignore ce que mon illustre ancêtre trouvait de louable à leur société absurde. On ne sait jamais vraiment à qui s'adresser, les détenteurs du pouvoirs changent sans cesse, je n'arrive jamais à retenir leurs noms. Qui détient l'autorité, ici ? Je n'y comprend rien. Lorsque mon père l'intendant m'a prévenu que ma présence était requise pour signer un important accord de libre-échange, j'en ai été particulièrement contrarié. Conclure le moindre pacte commercial avec eux est un vrai calvaire, tant leurs entreprises sont divisées, incapables de se contenter d'un pouvoir central. Heureusement que je n'aurais rien de notable à faire, sinon me montrer au cours de quelques soirées complaisantes.

Comme je l'avais prévu, le voyage fut long, et pénible. Tous ces jours de calèche pour un si petit accord, ne pourrait-on pas simplement faire du commerce avec Nexus ? Je ne suis pas très à l'aise, sorti de mon château, et si des pillards, ou de simples cambrioleurs, mettaient la main sur mes objets magiques ? Je n'ai qu'une confiance très relative dans tous ces incapables qui composent ma garde. Le capitaine chargé de m'escorter calme un peu mon impatience et ma frustration en parlant des merveilleux artefacts que l'on peut trouver à Tekhan. Il me fait miroiter qu'à n'importe quel coin de rue, on peut trouver des globes de verre enchantés qui, sans l'artifice d'aucune flamme, émettent de la lumière. J'ai déjà des cristaux colorés qui font cela, je lui fais remarquer. Je lui fais remarquer que j'ai aussi eu du mal à les acquérir, et qu'on puisse dans cette métropole en dénicher si facilement ne m'inspire rien de bon. Quel est l'intérêt d'avoir une collection, si ce n'est d'objets rares ?

La soirée, elle, fut à peine moins ennuyeuse. Au milieu de toutes ces femmes, mon père paraissait à l'aise : toutes si sûres d'elles dans une société matriarcale, il a toujours su les manipuler. Je n'ai pas vraiment saisi s'il existait, ou non, une noblesse tekhanne, ou si les titres qu'ils se donnaient reflétaient simplement l'importance de leurs biens. Je n'ai pas vraiment essayé de le saisir, en fait. C'est déjà assez difficile de sourire, de ne pas trop faire ma mauvaise tête, alors que je suis si loin de chez-moi, et de tout ce qui m'amuse. Je n'ai même pas l'occasion de forcer sur l'alcool.

Nous nous couchons assez tard, puis, au lendemain, mon père est appelé pour remplir les dernières formalités. Il a bien vu que je n'appréciais pas tellement mon séjour, d'autant que je n'ai encore rien exploré de la cité. Ou est-ce ma menace de le destituer si nous ne repartons pas de suite qui lui a mis la puce à l'oreille ? Il m'autorise donc à ne pas venir m'ennuyer avec lui, et à déambuler, sous la surveillance de deux gardes, dans les avenues de Tekhos. Cependant, je n'ai pas trop d'idées de quoi faire. Voulant reproduire mon passe-temps préféré, avec peut-être, je l'espère, un peu d'exotisme, je m'inquiète de savoir si ce pays dispose de geôles. On me répond que oui. Je demande aussi si les prisonniers sont à la disposition des personnes de sang princier comme moi. On me répond que c'est sans doute possible, pour peu que j'ai une bourse à la hauteur de mon rang. J'exige alors qu'on m'y emmène de suite.

C'est un immense bâtiment dans lequel j'entre, rien à voir avec les oubliettes de Castelquisianni. Je suis un peu jaloux, surtout qu'on m'indique que la majeure partie de l'édifice est enterré, et s'étend, de fait, sur une surface presque équivalente à celle de mon royaume. Je rencontre le directeur, qui paraît presque noble, à régner sur un tel labyrinthe. Il me complimente sur ma robe bleue serrée, et il m'autorise à visiter quelques unes de ses cellules, et peut-être à acheter un ou deux individus si l'envie me vient. Il veut me diriger vers les quartiers de plus basse sécurité. Je refuse, vexé. Si je suis ici, ça n'est certainement pas pour me satisfaire des criminels les plus minables. Je veux des gens vraiment dangereux, du genre qui peuvent se retourner contre vous à la moindre seconde d'inattention. Après tous ces jours de non-activité, la perspective d'en voir un se rebeller m'excite presque. La satisfaction de le dominer n'en sera ensuite que plus grande.

Je regrette malheureusement assez vite mon choix. Je passe devant les cellules. Les détenus que je vois ont souvent été maltraités, les supplices qu'on leur a fait subir les ont laissé avec des expressions étranges d'absence. D'autres ne sont que des brutes défigurées, tout juste dignes de passer par le fouet. Une femme-fauve attire brièvement mon attention, je jette un œil à ses griffes d'au moins cinq centimètres de long, songeant qu'il lui suffirait d'un seul mouvement pour m'égorger. Elle a l'air agressive, mais elle est terriblement dans la norme de ce que je peux obtenir en restant chez-moi. Ce ne sont pas les terranides des terres froides qui manquent, dans le système judiciaire. Je me dis que je reviendrai peut-être, si je ne trouve rien de mieux. Je continue ma visite, lâchant parfois un vague ''intéressant''. En réalité, je n'étais pas vraiment intéressé. Je commence à m'énerver. Je trouve que cela manque beaucoup d'exotisme. Je veux voir des choses plus originales.

On me propose d'aller explorer une partie spéciale, réservée aux sujets d'expériences, où je trouverai peut-être satisfaction. Assez enthousiaste, j'accepte. Quelques individus passent encore devant mes yeux. Je m'arrête un instant devant le joli visage d'une jeune femme aux cheveux corbeau, suspendue par des chaînes. Elle serait assez quelconque, si elle n'avait pas des yeux délicieusement rouges. Sa délicatesse contraste aimablement avec tout ce que j'ai eu l'occasion d'observer dans cette prison jusqu'ici.

-Qu'elle est belle ! je m'exclame, comme une petite fille émerveillée devant une poupée, d'une voix à peine plus grave. Mais en quoi est-elle spéciale ? On lui a rougi les yeux ?
-C'est un homme, m'indique ma guide, une femme un peu frustre et que je trouve pour le coup très vulgaire. Elle se reprend et rajoute sans vraiment y croire : votre altesse.
-Ses seins ne vont pas dans ton sens, je réplique sèchement, avec une vexation qu'elle peut sans doute comprendre : ma propre poitrine n'est absolument pas développée.
-Chirurgie, sans doute, fait-elle, en haussant les épaules. Ce n'est pas pour cela qu'elle est ici.
-Alors pourquoi ? Je feins de comprendre parfaitement ce qu'elle entend par le mot chirurgie, bien qu'il n'en soit rien. Puis elle me désigne ses mains.
-Ce sont des armes de guerre, il vit en symbiose avec un slime d'une nature particulièrement vorace, et dangereuse...
-Ah oui ? Intéressant...

J'ai déjà prononcé ce mot au moins vingt fois, aujourd'hui, mais c'est sans doute la première fois que je le pense sincèrement. Il y a beaucoup de choses qui m'intriguent chez cet individu. Suffisamment pour que je ne me préoccupe pas du prix : je n'ai de toute façon rien compris au cours des monnaies (il me semble avoir entendu dire, en plus, qu'elles n'étaient pas fixes !). Les slimes sont des esclaves incroyablement coûteux sur les marchés aux esclaves. Je m'en fiche. Ce sera mon père qui réglera, il a sans doute les moyens. Il les trouvera, s'il veut rester régent. Je souris.

-Bien, qu'on ouvre cette grille, qu'on libère... quel est son nom, déjà, hu ?
-Belphegor, votre h'aletesse. J'ignore l'ironie de son ton, je ne vais pas laisser une stupide gardienne gâcher ce moment.
-Hum : oui. Qu'on libère Belphegor' ! Enfin, n'enlevez pas ses chaînes tout de suite, quand même.

Belphegor

Humain(e)

Re : Qu'on libère Belphegor !

Réponse 1 dimanche 03 mars 2013, 21:16:24

La nuit avait été très longue, le slime ou je ne sais quoi avait décidé de s'amuser un peu. Cette bestiole mériterait de crever dans les flammes de l'enfer. Ils avaient trouvé un bon partenaire de prison, cette créature savait se défaire de mes morsure en se liquéfiant et forcément cette saloperie refuse de m'obéir. Une esclave vint à rentrer dans "ma chambre", autant dire qu'elle était contente de me savoir enchainé comme un vulgaire animal. Cependant cette neko repartie bien vite en pleurant, ayant mordu sa main, fallait pas qu'elle tente de me toucher et d'abuser de sa liberté de mouvement. Très vite un garde se mit à venir et voulut me planter une arme blanche dans le bide, heureusement ce slime fut rapide et protégea la zone de son corps d'acier. Le garde se mit à pester et reparti, me menaçant, faible, il était trop faible. Le slime se remit encore une fois à se répandre le long de mes bras.

- Hè saloperie arrêt tout de suite ton cirque !  A cause de tes conneries j'ai pas put dormir !

Peine perdu, mais instructif. Le slime se mit à prendre la forme d'un maillot de bain une pièce, avec un tubai dans ma bouche et des palmes. Le seul bémol fut que si l'extérieur semblait être dans les matériaux des vêtements et accessoire, à l'intérieur il n'y avait que des tentacules qui léchaient mon corps et s'insinuait partout où il pouvait. C'est toujours agréable de sentir d'épaisses tentacules s'enfoncer dans la bouche et remonter par le cul. Ce fut pénible de respirer et mon corps se mit à devenir plus sensible, au final mon esprit commençait à s'embrumer, mon corps se faisant flasque comme si j'étaie de la guimauve, cette saloperie si je peux la dominer je vais lui rendre ses coups.

Je n'avais pas de réelle notion du temps, seul une petite fenêtre me permettait de savoir s'il faisait jour ou nuit. Je ne pus dire combien de temps ce slime s'amusait à me faire jouir, jusqu'à ce qu'une chose étrange arrive. Cette créature redevint rapidement les mitaines griffue, me faisant tousser et reprendre à grande goulée de l'air, mon corps était trempé de sueur, mais il ne se dégageait pas encore d'odeur corporelle.

Mon ouïe perçut des bruit de pas et immédiatement mon cerveau se mit de nouveau en route. Il y avait deux personne, l'une était un garde, reconnaissable à leurs chaussures lourde qui permettait de donner de violent coups de savate. La deuxième personne était plus petite, une femme ? Un enfant ? Je ne pouvais le dire. Une chose certaine cette personne ne devait pas circuler ici pour faire du tourisme, avec un peu de chance il se ferrait prendre par mon apparence faible et délicate.

Le contact visuel se fit. C'était un gamin, un fille ?Mon esprit critique pouvait se permettre d'en douter, après tout n'étais-je complétement un homme avant ? Quoi qu'il en soit il se comportait de manière si débile que cela m'auras fait rire, si ce putain de garde n'avait pas précisé que j'étaie un homme, toi la truie t'aurais put te taire.
Visiblement ce gamin semblait se fier à ma poitrine et non à ce que j'avais sous le tissu de ma robe noire.

Je me mis à serrer des dents quand le garde se mit à parler de symbiose. Où t'as vu que je vivais en symbiose avec ce truc qui me prend lorsque je souhaite simplement dormir ou souffler un coup. La gardienne avait raison sur le vorace, un vrai gouffre ce truc, mais sur la dangerosité je pouvais sans doute faire aussi bien que cette gélatine sur patte. Rhaa j'ai envie d'éventrer cette gardienne qui me tape déjà sur le système, un vrai pays de fou, allons calme toi, tu vas appliquer ton plan, laisser cette gamine t'acheter, la tuer une fois dans sa demeure et te barrer.

La gardienne se mit à détacher la chaine qui me suspendait, gardant l'espèce de menotte en bois qui ressemble à des miniature des piloris du Moyen-Age, elle ne retira pas les boulets au pieds. C'est dans ses moment là qu'on se dit qu'avec un peu de force on pourrait envoyer le boulet dans sa tranche. Je me met à toiser cet enfant d'un regard mauvais.

- Je vais annoncer la couleur gamin, dès que je peux je me défait de ton emprise. J'ai d'autre chose à faire qu'obéir aux ordre d'un gosse de riche.

Un coups à l'estomac se fit sentir, la gardienne ayant réagit à ma menace. Si je me plie légèrement, je ne suis pas au sol, non il allait falloir qu'elle me mette plus de coups pour m'écrouler, cependant ma langue de vipère s'agite.

- Toi la grognasse je t'égorgerais un jour.

a gardinne sortie son couteau, mais une main saisit le poignet de la femme.

- Allons, allons, vous n'allez pas détériorer un de nos précieux sujet.

Ha ... encore ce mec, un scientifique sadique, c'est lui qui a proposé que je sois le cobaye de ce slime, insistant sur le fait que j'avais une poitrine et que la bestiole s’amuserait bien avec. Il se mit à s'incline devant le gamin.

- Excusez la mauvaise manie du personnel, la plupart des prisonniers ne comprenne que la force et malheureusement les demoiselle ou ce qui ressemble à de demoiselles n'ont pas de faveur. Si je puis me permettre vous avez un bon oeil. C'est un sujet de la Terre, une contrée où les humains sont présent à 100% et donc sont peut habitué à notre civilisation. Cependant ce sujet est assez résistant et je peux vous promettre qu'il vous faudra un temps avant de le revendre, si temps qu'il puisse vous lasser.

Il vint à me lancer un sourire carnassier. Il m'avait dit un jours que si je devenais une femme, il me ferrait expérimenter la fécondation des formiens, je ne sais pas ce que c'est et je doute apprécier. Dans cette prison les femmes sont traités comme des trésors, servant à produire de bien que les prisonniers échangeait contre d'autre bien, un vrai marché d'être vivant. Comme beaucoup j'ai pensé que ce monde est fou, mais très vite j'ai comprit que Terra respectait une règle, les forts domine et les faibles s'écrase.

J'ai déjà en tête mon plan. On m'a parlé des divinités, qu'elles existaient en chair et en os, il me fallait devenir le disciple de l'une d'elle pour acquérir une arme, la séduction. Peut importe les civilisations, la perversité est dans le coeur de tout les humains, il suffit juste de savoir le faire s'embraser.

Le gamin se mit à dire quelque chose, mais je n'eus pas le loisir de savoir la contenance de ce discour.

Marie Raven

Créature

Re : Qu'on libère Belphegor !

Réponse 2 dimanche 03 mars 2013, 23:17:02

Et je lock.

On ne RP pas quand on est pas validé ! Le sujet sera unlock quand ce sera chose faite.




DC d’Alice Korvander.

Consultez ce topic pour une présentation détaillée de mes personnages.

Pour une demande de RP, je vous encourage, soit à poster sur le topic susmentionné, soit à envoyer un MP sur mon compte principal.


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