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" On juge l'arbre à ses fruits " [ Poison Ivy ]

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Poison Ivy

Créature

Re : " On juge l'arbre à ses fruits " [ Poison Ivy ]

Réponse 15 jeudi 31 janvier 2013, 12:13:18

« Je crois que je vais m'asseoir un peu.. »

Elle semblait... Surprise. Dans le fond, ça n’avait pas grand-chose d’étonnant. Ce n’était pas tous les jours qu’on croisait des tentacules végétaux sexuels. C’était digne d’un scénario de science-fiction, ou d’un film pornographique, mais c’était pourtant bel et bien la réalité. Yumena était secouée, et s’affala sur la chaise. Pamela resta sur place, silencieuse, sachant qu’il était difficile d’admettre ce genre de choses. On avait l’impression de baigner en plein roman fantastique, dans le délire d’un écrivain très imaginatif, mais tout n’était qu’expériences scientifiques et mutations... Entre autres. Yumena n’avait encore rien vu, mais Pamela préférait y aller de manière graduée, afin d’éviter qu’elle fasse une attaque. Elle posa sa tête sur l’une de ses mains, semblant complètement perdue... Tout en ayant toujours en elle un résidus de plaisir, qui ne demandait qu’à être stimulé. Pamela avait pu le sentir, à la manière dont les mains de la jeune femme tremblaient, dont ses yeux détaillaient son corps magnifique. Poison Ivy avait estimé nécessaire de faire un break, afin d’exposer à Yumena ce qui se passait.

La jeune femme réagissait bien mieux que ce que Pamela avait escompté. Elle ne s’était pas écroulée, et ne semblait pas effrayée, simplement... Intriguée. Pamela restait derrière le bureau, attendant devoir les yeux de la femme revenir vers elle, pour s’assurer qu’elle ressortait de son trouble. Pamela n’avait rien fait, se contentant juste d’attendre.

« C'est pas possible.. Je dois rêver. »

Ivy lui sourit, et se rapprocha alors, contournant le bureau, puis se rapprocha de Yumena. Elle se rapprocha de son siège, et s’assit sur ce dernier, avançant une jambe, puis l’autre, posant ses mains sur les épaules de la femme. Le dossier avait des ouvertures, et elle put y glisser ses jambes, son corps se retrouvant sur celui de la belle lycéenne, se posant sur son bassin. Elle posa ensuite ses mains sur les joues de Yumena, la tête de cette dernière étant à hauteur de sa poitrine. Sans sa blouse scientifique, Pamela se sentait bien mieux, bien plus libre, et lui caressa tendrement les joues, glissant quelques-uns de ses doigts dans sa bouche, caressant ses lèvres, puis se déplaçant vers ses oreilles. Pamela savait que ce morceau du corps était une zone érogène, sensible. Elle frottait donc cette zone, dans un silence qui pouvait être assez curieux, serrant un peu ses jambes contre le corps de Yumena, dans la limite de ce qui était possible de faire.

« Non, Yumena, tu ne rêves pas... Il arrive parfois que la réalité soit aussi délicieuse que les rêves. »

Pour Pamela, ce que Yumena subissait était positif, un véritable rêve. Elle ne pouvait pas se plaindre, car elle lui offrait un véritable cadeau. Pamela continuait à caresser son visage, glissant finalement ses doigts dans des cheveux, rapprochant le visage de Yumena de ses seins. Elle continua à lui parler, de sa voix sensuelle et douce :

« Je suis une scientifique, et j’ai jadis subi une expérience qui m’a transformé. Je suis une mutante... Cette expérience a transformé la timide étudiante que j’étais en une femme forte, épanouie. Ma bouche secrète une salive aphrodisiaque, et mon corps a été mélangé de tissus végétaux... Je sais que c’est troublant, Yumena, mais il n’y a là rien de dangereux... »

Pamela lui sourit à nouveau, et posa sa main sur son menton, puis se pencha, et embrassa Yumena sur les lèvres, avant de lui montrer concrètement ce qu’elle voulait dire. Le haut de son corset disparut, laissant apparaître ses deux seins verdâtres. Elle retourna caresser les cheveux de Yumena.

« Reprends tes esprits, et goûte à mon corps... Savoure-le longuement. »

C’était la meilleure manière pour elle de se remettre. Pamela n’en avait pas encore fini avec Yumena. A dire vrai, elle était encore loin d’en avoir terminé avec la jeune femme.
DC d’Alice Korvander.

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Yumena A.

Humain(e)

Re : " On juge l'arbre à ses fruits " [ Poison Ivy ]

Réponse 16 samedi 02 février 2013, 13:44:51

Je reposais mon regard sur la plante, tandis que je surveillais tout de même du coin de l'oeil ce corps de femme, qui se déplaçait avec nonchalance autour de ce rectangle de bois qui nous séparait. Elle le contournait, s'approchant, bien douce prédatrice. "À te voir marcher en cadence, belle d'abandon, on dirait un serpent qui danse, au bout d'un bâton." A vrai dire, je l'attendais, assise sur ce siège, où mon corps se sentait étrangement seul. Oui, malgré toutes ces questions, et mon âme dubitative, je l'attendais, elle et ses lianes plus sexuelles que sensuelles qui déverrouillaient avec habileté les tabous de mon passé, de mon passé présent. Malgré que nous étions enfermées dans cette salle de bureau, confinées entre quatre murs, ils ne semblait y avoir aucune limite à nos envies et nos désirs. Confinées, dans l'infini des rencontres corporelles ! Elle m'atteignait, se glissait sur la peau de mes cuisses serrées, pressant à mon entre-jambe l'hydromel des plaisirs sexuels. Mais que voulait-elle de moi, au final ? N'avait-elle pas eu ce qu'elle m'avait tant demandé ? Mes aveux concernant mes intolérables désirs pour les bêtes et leur sauvagerie lorsqu'ils s'emparaient de mon corps, soumis, à quatre pattes au sol, comme l'une des leurs ? Non, elle n'en avait pas fini de jouer avec les battements de mon coeur et l'ardeur de mes désirs inassouvis.

Ses doigts effleuraient mes joues encore chaudes et rougies, s'aventurant de temps en temps sur les rebonds charnus et humides de mes lèvres, qui s'entrouvraient à chaque assaut de ces caresses de douceur. Glisse donc tes doigts dans cette antre, que j'en joue avec ma langue.. j'aimais les sentir rentrer et sortir, comme je pouvais aimer cette même sensation au bord de lèvres située bien plus au sud de mon visage.. Pourtant, celui-ci était bien servi, quant au spectacle qui s'offrait à lui. Juste là, à la portée de mon regard gorgé de désir, une gorge rebondie et généreuse, courbes enchanteresses, que j'aurais tellement aimé saisir entre mes lèvres ou bien mes mains. J'aurais aimé abaisser les rebords de se corset avec délicatesse, comme lorsqu'on poussait quelques branches garnies de feuillages serrés pour pouvoir attraper le plus beau fruit de l'arbuste, celui qui était le plus mûr, le plus juteux, mais bien trop inaccessible. Et moi, je n'avais même pas à tendre le bras, juste à tendre le cou, pour pouvoir m'emparer avidement de ces deux fruit de la tentation. J'en salivais d'avance, entre deux frissons arrachés par les caresses qu'elle m'octroyait sous ma chevelure sombre et lisse. Oui, elle caressait se petit bout de chair anodin, que peu de gens auraient crû aussi sensible et érogène. Moi, particulièrement, avais beaucoup de mal à résister à ce genre de petites attentions. Et dans mon corps se relançaient petit à petit mes envies calmées par ses révélations. Il arrive parfois que la vérité soit aussi délicieuses que les rêves... oh dieu ! qu'elle n'avait pas tord, lorsque son corps me surplombait, me soumettant à sa beauté si agréablement révélée sous cet angle.

Elle se pencha sur mes lèvres, et je fermais à nouveau les yeux, savourant sa salive venant se mélanger à la mienne. Aphrodisiaque. Je ne savais pas ce qu'était la sensation d'être drogué, mais je ne pouvais empêcher ces pensées de m'envahir lorsque sa langue venait jouer avec la mienne. Oui, je me droguais à ce contact humide et gourmand. Je sais que c’est troublant, Yumena, mais il n’y a là rien de dangereux... Oh, bien sûr que si, dame Isley, il y a bien quelque chose de dangereux en vous; tout ce trouble que vous semez en moi, est bien dangereux à mes yeux. Vous êtes dangereuse pour n'importe quel être qui vous voit, dangereusement belle, dangereusement désirable. Et moi, sous vos cuisses chaudes, face à vos monts de chair à l'extrémité pointant, je ne suis qu'une esclave de cette emprise sensuelle que vous avez sur mon corps.
Lorsqu'elle s'éloignait de mon visage, je rouvris mes yeux doucement, ceux-ci plongeant immédiatement leur regard dans ceux de cette femme qui éveillait en moi tous les désirs possibles et inimaginables. Je scrutais avec avidité chaque centimètre de son visage, alors que ses doigts habiles jouaient avec ma chevelure sombre, retombant sur mes épaules légères.

- Reprends tes esprits, et goûte à mon corps... Savoure-le longuement.

Je n'attendais que cette invitation pour me risquer à y goûter, à ce fruit qui me tentait depuis je ne sais combien de temps. Oui, je n'avais déjà plus la notion des minutes qui défilaient; tout ce passait si vite, mais les minutes d'attente à ce que la barrière qui m'empêchait de m'emparer d'elle tombe étaient bien longues. Moi qui n'avais jusque là osé de rien.. je levais une main, la posant sur l'une des collines de chair de dame Isley. J'en caressais doucement le côté, avec le dos de mes doigts joints, comme on caresserait une joue. Mon regard se posa sur ses deux seins nus et verdâtres, oh, comme ils étaient étrangement beaux ! je finissais par retourner ma main, et c'est ma paume qui caressait sa peau, chacun de mes doigts épousant ses formes généreuses. Cette même main se décida enfin de se glisser sur le bout de son sein, juste en douceur, l'effleurant. Deux cercles, et toujours de la même main, je passais à son autre colline, lui octroyant les mêmes caresses. Quant à mon autre main, elle se posa avec timidité sur l'une des fesses rebondies de mon professeur, se mouvant avec lenteur sur celle-ci.

Je me penchais en avant, et fermais les yeux. Je posais un léger baiser sur l'un de ses ronds sombres qui pointaient, à droite; puis en posais un second sur son jumeau de gauche. Je m'attardais sur celui-ci, le saisissant entre mes lèvres avec envie. Je tirais légèrement, suçotant, avant le le relâcher, pour y passer ma langue, avec lenteur. Je ne savais pas d'où me venait tous ces désirs d'embrasser sa peau, de la lécher, de la dévorer. Mes doigts se crispaient un peu plus sur son fessier, trahissant mon envie grimpante. La main qui s'occupaient de la partie supérieur de cette si belle plante épousait l'autre sein dont ma bouche ne s'occupait pas, et à la manière dont elle m'avait précédemment mise en émoi, je posais mon pouce sur le bout de son téton dressé, et y effectuais quelques cercles insistants, les rendant plus désireux encore. Entre mes jambes, une nouvelle chaleur incandescente naissait, et ce liquide qui s'en écoulait était loin de pouvoir apaiser le feu ardent qui gagnait à nouveau mon corps. Mes baisers sur ses seins se firent plus envieux, et je finissais par relever mon visage vers le sien, lui lançant un regard qui révélait étrangement de la détresse. Détresse d'assouvir mes pulsions sexuelles.

- Sensei.. vous êtes si belle..

Une pointe de trouble et de sensualité dans la voix. Beaucoup d'admiration. Son corps était une perfection dont la nature devait être bien fière.

Poison Ivy

Créature

Re : " On juge l'arbre à ses fruits " [ Poison Ivy ]

Réponse 17 mercredi 06 février 2013, 21:45:35

Assise sur le corps de Yumena, Ivy était dans une position parfaite. Elle dominait cette belle et timide lycéenne, cette délicate perle qui, au contact de sa prof, se découvrait lentement, et laissait progressivement parler ces désirs délicieux que la société, par un paradoxe incompréhensible, se refusait à admettre. Ivy n’avait jamais vraiment réussi à comprendre ce caractère ambivalent à l’égard des pulsions sexuelles. Refuser le sexe, le considérer comme un sujet tabou, dangereux, était pour elle incompréhensible, tant c’était une pulsion naturelle et normale. L’avantage, en revanche, c’était que, quand ces pulsions refoulées s’exprimaient, elles formaient comme un torrent ardent qui balayait tout sur son passage. C’était comme un barrage, les normes bloquant le torrent du désir, jusqu’à ce que quelque chose provoque une brèche dans le barrage, et n’amène toute l’eau retenue à pulvériser la vallée. A chaque chose, malheur est bon, et il en allait ainsi pour le sexe. Dans la situation actuelle, Ivy était cette femme qui tournait la manivelle, permettant d’ouvrir les vannes du barrage, et de déverser toute l’eau.

Elle laissa Yumena venir contre elle, et sentit cette dernière poser l’une de ses mains sur le postérieur de la prof’. Pamela remua lentement son corps, appréciant ce contact, un petit soupir s’échappant discrètement de ses lèvres. Ses mains étaient toujours posées sur le rebord de la chaise, et Yumena se redressa, partant à l’assaut de ses seins, des beaux seins verdâtres de la femme-plante. Pamela se mit à pousser de silencieux gémissements de plaisir, ses mains venant caresser les cheveux de Yumena, les pressant lentement, avec insistance, caressant ses longues boucles de cheveux. Poison Ivy soupirait de plaisir, savourant ce contact. Yumena suçait ses seins avec une envie plaisante, envahissante. Sa langue caressait sa peau douce et nue, tandis que son autre main jouait avec l’autre sein. Les minutes s’écoulèrent tendrement, longuement, tandis que Pamela, quant à elle, se bornait à caresser longuement ses cheveux, fourrant ses doigts dans ses mèches de cheveux pour descendre le long de sa nuque. Elle veillait ainsi à ce que la tête de Yumena ne se décolle pas trop de sa poitrine, de manière à ce qu’elle puisse uniquement s’occuper des seins d’Ivy, surtout de ce sein qu’elle léchait avec la force d’une désespérée. Pamela soupirait de plaisir, véritablement, commençant à sentir ses lèvres intimes s’humidifier d’un doux nectar. Qui aurait cru que Yumena l’exciterait autant ? Elle savait déjà que ce serait intense, mais elle ne pensait pas que Yumena lui ferait autant plaisir. Cette jeune fille était pleine de promesses, et faisait frémir sa prof’.

La main sur ses fesses amenait Pamela à remuer légèrement son bassin, se collant ainsi un peu plus contre Yumena, dans une situation qui devait, pour elle, être assez proche de l’étouffement. Elle pouvait sentir le corps de Yumena frémir, tandis que la jeune femme se mit à alterner entre caresses sur ses seins, et baisers. Ivy frissonnait quand elle sentait les ongles de la jeune femme glisser sur sa peau tendre, provoquant d’onctueux frémissements sur son corps. Poison Ivy gémit à nouveau, ses jambes se resserrant un peu plus, la chaise commençant à protester en grinçant piteusement. Yumena était excitée, Ivy le sentait, et cette excitation était entièrement partagée. La tête de la brave lycéenne finit par se relever, ses yeux pointant entre les monts de chair d’Ivy et ses mains. Elle y lut le désir, mais avec ce que le désir impliquait, c’est-à-dire son lot de frustration. Plus que le plaisir, c’est surtout l’envie qu’elle lisait, et qu’elle voyait. Elle le voyait, à la manière dont les lèvres de Yumena s’écartaient, à la manière dont son corps semblait tendu comme une corde de violon, à la manière dont elle semblait prête à exploser d’impatience. Elle avait envie, une envie terrible, mais sans savoir comment l’exprimer matériellement. Elle voulait que sa prof agisse, qu’elle la sorte de cette affreuse torture, ce sentiment d’impuissance, de désir insatisfait.

« Sensei.. vous êtes si belle.. » parvint-elle à lâcher, arrachant alors un sourire sur les lèvres de l’intéressée.

Il y avait, dans cette voix, un tremblement, un soupçon de passion. La manière dont elle le disait témoignait de la dévotion qu’elle semblait être en train de lui livrer. Rompant son sourire, Pamela retourna caresser les lèvres de Yumena, les faisant glisser depuis son nez, et elle entreprit alors de s’écarter, soulageant ainsi la pauvre chaise. Se remettant de bout, Pamela tendit l’une de ses mains, et attrapa celle de Yumena, l’invitant ainsi à se relever. Les deux femmes se regardèrent ainsi, très proches, Pamela dominant très légèrement Yumena de quelques centimètres. Elle tendit l’une de ses mains sous la chemise de cette dernière, lui caressant les hanches. Elle lui avait ôté tous ses sous-vêtements, mais pas ses vêtements, et s’écarta alors, se glissant dans le dos de la jeune femme, et tendit l’une de ses mains sous sa jupe, relevant cette dernière, coinçant les ourlets contre sa ceinture, les repliant. Elle poussa ensuite un peu Yumena, de manière à ce que cette dernière aille s’appuyer contre le bureau. Ce faisant, Pamela posa sa main gauche sur la fesse gauche de Yumena, la pressant, et vint l’embrasser dans la nuque.

« Tu es également de toute beauté, Yumena... Une femme tellement désirable... »

Elle n’ajouta rien de plus, et vint poser son autre main sur l’autre fesse, les écartant l’une de l’autre en les relevant. Elle cessa ensuite de les presser, et continuait à l’embrasser dans le cou, et vint faire preuve d’un peu de clémence, utilisant ses mains pour lui ôter sa chemise. Cette dernière tomba rapidement sur le sol, et Pamela retourna à nouveau Yumena, l’observant. Elle était désormais presque nue, et ses seins pointaient, faisant face à ceux de Poison Ivy. Ceux de la prof’ étaient un peu humides, ayant goûté à la salive de la femme, et Pamela vint désormais caresser avec ses deux mains les seins de sa partenaire, les pressant, tout en retournant, encore une fois, l’embrasser. Leurs langues se caressèrent pendant un petit moment, avant que Pamela ne lui fasse une proposition, son visage restant près du sien :

« Tu es comme un volcan sur le point d’entrer en éruption, ma belle... Désires-tu que je te fasse vraiment l’amour ? Que je t’absorbe dans des délices de plaisir où plus rien d’autre n’aura d’importance que ton plaisir ? Dis-le... »

Elle ponctua sa demande en pinçant les deux tétons de Yumena, sa voix devenant alors un peu plus autoritaire :

« Dis-le. »
DC d’Alice Korvander.

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