Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Gentaro & Tenshi

Je me sens comme un roi, dominant Tenshi de toute ma virilité. Sa soumission m'excite davantage, alimentant le feu ardent qui brûle en moi. Chaque gémissement qu'elle émet, chaque mouvement de son corps sous mes assauts, ne fait que renforcer mon désir insatiable. Je m'enfonce en elle avec une brutalité maîtrisée, savourant chaque instant de plaisir partagé. Alors qu'elle se cambre sous mes coups, offrant son corps avec une dévotion totale, je sens mon contrôle sur elle se renforcer. Ses mots suscitent en moi un sentiment de pouvoir et d'accomplissement, alors que je la regarde avec une lueur de satisfaction dans les yeux. Mais même dans cet état d'extase, je reste attentif à ses désirs et à ses besoins, prêt à la satisfaire au-delà de ses attentes. « Le plus beau jour de ta vie... pour l'instant... ! » Je décide de ralentir le rythme, savourant chaque moment de cette union charnelle. Mes gestes deviennent plus doux, plus sensuels, alors que je m'abandonne à la passion qui nous consume. Je veux prolonger cet instant de plaisir intense, explorer chaque recoin de son corps avec une tendresse inattendue.

Je la regarde avec admiration alors qu'elle monte sur moi, prenant le contrôle de notre danse sensuelle. Sa silhouette ondulant au-dessus de moi, sa chatte engloutissant ma queue avec une voracité insatiable, cela éveille en moi un désir indomptable. Je la laisse mener la cadence, savourant chaque instant de cette symphonie charnelle. Ses gros seins dansent au rythme de nos ébats, une invitation charnelle à la luxure la plus décadente. Je les prends en main, les pétrissant avec une avidité dévorante, me délectant de leur douceur et de leur fermeté. Ils sont une symphonie de chair, un trésor sensuel entre mes doigts. Nos lèvres s'unissent dans un baiser affamé, nos langues s'entremêlant avec une férocité insatiable. La bave s'écoule entre nos bouches, témoignant de notre désir brûlant. Pendant que nos corps s'embrasent dans une étreinte passionnée, je pilonne l'anus de Tenshi avec une ardeur dévorante, mes hanches ondulant avec une intensité sauvage.

« T'es douée dis-moi... HUM... pour une femme au foyer qui se fait chier... ! Ce sont les gars qui vont être contents... !! »

Je la basculai sur le côté, la forçant à suivre mes mouvements sans résistance. D'un geste brusque, je lui écartai la jambe, exposant son cul offert à mes désirs. Sans attendre, je m'enfonçai en elle, ma queue trouvant un passage étroit mais accueillant dans son anus bien écarté. D'une poigne ferme, j'empoignai son sein, le malaxant avec avidité tout en m'abreuvant de ses gémissements. Dans cette transe animale, nos corps se mêlaient dans une danse sauvage, leurs mouvements synchronisés par un désir ardent. Chaque contact, chaque coup de reins, était un cri de passion brûlante, un écho de nos pulsions les plus profondes. Je me nourrissais de l'odeur de sa peau, de la moiteur de ses soupirs, perdant toute notion de temps et d'espace dans cet élan primal. Nous étions deux bêtes en rut, en quête d'une satisfaction totale. Chaque baiser était un assaut, chaque étreinte un combat pour la domination. Rien n'importait excepté cette frénésie charnelle qui nous consumait, nous propulsant vers des sommets de plaisir inexplorés.

« Rhan... ! Tenshi ! HUM... ! »

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Elle ne savait plus où donner de la tête. Tellement que les coups de bite venez en elle de manière brutale pour bien lui montrer qu’en fait elle n’avait pas vraiment le choix de se soumettre à la volonté du démon. Elle avait bien la langue pendant le regardant, tout en continuant de crier de plaisir, et ces moments-là qu’elle se dit que heureusement que son mari n’arrive pas à la satisfaire, car elle serait passer à côté d’une opportunité qui ne se présente qu’une seule fois, et bien évidemment, elle n’allait même pas pouvoir s’inventer car elle doit garder une certaine discrétion, même si elle sait très bien qu’avec les quatre garçons et leur tempérament excessif et possessif elle devra se plier à chacun chacune de leur volonté, et si elle devait s’exhiber, elle n’aurait pas le choix à un certain moment.

TENSHI : « haaaaaa… je ferai tout ce que tu voudras, et où tu voudras…»

Alors qu’elle était dans une de ses positions favorites, elle se retrouve de nouveaux à quatre pattes sur le lit venant bien écraser ses gros seins sur le matelas alors que cette fois-ci il se retire de sa chatte bien dégoulinante pour se planter dans son cul, la sensation et l’épaisseur de la grosse bite la fait instantanément jouir malgré elle pour venir tremper le drap. Elle n’avait même pas eu le temps de prévenir l’inondations que c’était parti tout seul sous le plaisir immense de recevoir cette sodomie, mais ce n’est pas pour autant qu’elle ne se défait de lui. Elle pouvait maintenant pleinement profiter et sentir de nouveau, la chaleur de son corps, continuer à la consumer, à chaque fois qu’il vient faire claquer son bassin contre le sien et les couilles, ils viennent fouetter son clito et sa chatte.

Elle est bien sa tête en arrière pour bien lui montrer sa soumission alors qu’elle avait le cul bien relevé vers lui. L’idée de le chevaucher pour lui montrer comment son corps réagit à sa bite, le regarder dans les yeux pour bien j’intègrerai que ce n’est pas un rêve. D’après lui elle serait une reine et être sur le trône au pieds des 4 hommes la fait dégouliner de plaisir. Elle vient rouler pour le faire s’allonger et monte à califourchon sur lui pour revenir descendre sur sa queue son cul s’écarte et s’enfonce profondément elle pose ses mains sur son torse et se penche pour l’embrasser montant descendant sur sa qu’yeux écrasant ses seins contre son torse puissant

TENSHI : « haaaaaa… cest le plus beau jour de ma vie …Gentaro …»

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Le parc et son sous-bois / Re : L’avocat qui vivait à côté de chez moi (PV Tenshi Kazama)
« Dernier message par Bando le jeudi 28 mars 2024, 21:05:13 »
Puisqu’elle devait passer le plus clair de son temps seule dans cette grande maison, tandis que son mari était toujours par monts et par vaux, je n’aurais pas été surpris d’apprendre que la sublime Tenshi Kazama avait un amant, ou deux. Belle comme elle était, pour ne pas choisir un autre adjectif moins flatteur, elle n’aurait eu, c’est sûr, aucun mal à se trouver quelqu’un.

Je ne m’attendais cependant pas à ce que ce quelqu’un puisse être moi et encore moins alors que son mari n’était qu’à quelques mètres de là. Qu’elle puisse se sentir délaissée en l’absence de son mari est une chose… vouloir le tromper alors qu’il est à côté, c’en est une autre. Tenshi n’était donc pas seulement une femme délaissée : elle était également insatisfaite.

« Mmmmh… »

Venant de m’annoncer très clairement ce dont elle avait envie là maintenant, la belle rousse s’était d’un coup faite pressante et très directe. S’étendant en avant comme l’aurait fait un félin, avec grâce, mais sans aucune pudeur toutefois, elle en venait à écraser son buste tout contre le comptoir de la cuisine… et se mettait à onduler des hanches.

Son cul appuyant fort contre mes hanches, elle frottait ma grosse bite tout contre sa raie. Bien vite, elle fit remonter sa jupe, découvrant le bas de son corps comme pour rendre plus explicite sa requête… des fois qu’il reste comme un doute. Voilà un spectacle inattendu… mais bigrement torride.

Incapable de bouger, je jetait des coups d’œil à droite à gauche, priant pour que son mari ne remonte pas de son bureau pour nous surprendre dans une telle position.

« Oh… j-je… waw. Je pense pas qu’on devrait… »

C’était la réponse la plus attendue, la plus normale qui soit dans une situation comme celle-ci, avais-je supposé. Seulement, quand bien même je venais de prononcer ces mots, il restait dur… très dur, de résister à une telle proposition. La vue que m’offrait Tenshi sur son corps était sans pareille… à couper le souffle… et à réveiller les morts.

Ainsi frictionné entre ses deux grosses fesses moelleuses et chaudes, il ne fallut évidemment pas longtemps à mon sexe pour se mettre à raidir et à gonfler, jusqu’à doubler de volume.

À l’étroit dans mon pantalon, tout contre son gros cul, j’aurais eu du mal à lui faire croire qu’elle ne m’intéressait pas.
La situation était tellement… bizarre, tellement soudaine, qu’il me fallut tenter de détendre cette atmosphère si chargée, en cherchant à blaguer.

« Cela dit… si c’est comme ça, alors je vous offrirai des fleurs plus souvent. »

Je lui adressais un sourire amusé alors qu’elle s’était tournée vers moi, sexy et soumise, ne demandant qu’à se faire sauter par derrière sur ce comptoir… mais ce n’était pas pour autant comme si je me refusais à elle. Je crois bien que j’avais envie de le faire, parce ç’aurait été la bonne chose à faire sans doute… mais à la voir comme ça… comment ne pas sauter sur pareille occasion ?

Bandant comme un taureau sous mon pantalon, la queue posée sur son gros cul jusque dans le milieu de son dos, je me mis à me frotter à elle à mon tour, tamponnant ses fesses en douceur, comme pour mimer la levrette qu’elle devait espérer.

Arquant le dos, je me penchais au-dessus d’elle, une main sur le comptoir, et dégageait une mèche de son oreille pour murmurer.

« J’en ai très envie aussi. Mais… et votre mari ? »

Déposant un baiser dans son cou, je me mis à y souffler chaudement, alors que j’imposais plus encore ma massive érection tout contre son gros postérieur. Je venais je crois, d’accepter ses avances, mais le plus dur restait encore à venir… nous retenir assez pour ne pas éveiller les soupçons d’Itake qui travaillait en bas.

Résolu à prendre du plaisir, mais à en donner surtout, l’une de mes mains vint enfin se poser sur le cul de Tenshi, l’attrapant fermement.

Comme si je venais de mettre la main sur l’un des plus beaux trésors que compte cette planète, je me mis à masser langoureusement sa grosse fesse, traçant de grands cercles dessus, la pétrissant avec envie.

« S’il ne vous satisfait pas comme il faut… alors je vais le faire. Assumer la charge de ses devoirs conjugaux… à la place de votre mari. »

Penché plus encore, je déposais mes lèvres au coin de siennes, puis m’écarta à peine pour me mettre à genoux derrière elle, le visage face à cet énorme cul que la plantureuse femme au foyer ondulait toujours.

« Votre cul est parfait… »

Humant la douce odeur de fraise émanant d’entre ses cuisses, j’en vins à me mordre les lèvres d’envie.

Attrapant son gros cul, j’enfonçais ma tête contre sa raie et me mettais à couvrir son postérieur de baisers, de coups de langues envieux.

Et, tirant doucement sur la ficelle de son string, je découvrais enfin son sexe. Sortant ma langue de ma bouche, je lui assénais alors une grande léchouille du bas vers le haut… puis recommençais, m’apprêtant à brouter sa belle petite chatte.
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Centre-ville de Seikusu / Re : All hail the kings. [ft. Nyora's Club]
« Dernier message par Astral Bonds le jeudi 28 mars 2024, 20:11:56 »

Roy & Yõkai & Jun & Gentaro & Han

Yôkai, animé par une montée de désir irrépressible, se laissa submerger par l'élan passionné qui aiguisait l'atmosphère. Sa langue avide explore avec une précision sans faille les contours de l'intimité brûlante de Jun, chaque mouvement calculé pour susciter des vagues de plaisir débordant de son être. Il savoura le parfum enivrant qui émane de sa chair délicieuse, laissant ses sens se développer sous l'emprise d'une excitation intense. Ses doigts agiles caressent chaque centimètre de son intimité, traçant des chemins de désir qui font frémir Jun de plaisir. Avec une maîtrise experte, il s'attarde sur son clitoris, le stimulant avec une fermeté délicieuse qui fait monter en elle des vagues d'extase incontrôlables. « Sucer quatre chibres ? Dis donc, c'est que tu m'intrigues... » Je sens mon désir monter en flèche alors que je la sens se mouvoir contre moi, nos corps s'harmonisant dans une danse sensuelle. Sa mouille abondante rend chaque mouvement plus fluide, chaque pénétration plus profonde. Je la tiens fermement, l'embrassant avec passion tandis que nous nous perdons dans le tourbillon de plaisir qui nous enveloppe. Je me laisse emporter par la pulsation de nos corps en fusion, mes hanches se mouvant avec une détermination sans faille.

Gentaro, témoin du tourbillon de passion qui embrasait le groupe, se sentit lui aussi happé par la fièvre ardente du désir. Son regard brûlant de convoitise se fixa sur Jun, son souffle haletant trahissant l'urgence de ses pulsions. Son membre dressé pulsait encore avec une fébrilité incontrôlable, impatient de recevoir les caresses expertes de la jeune femme. Il se laissa alors envahir par l'excitation grandissante qui le consumait, ses mouvements devenant plus impérieux, plus avide alors qu'il se perdit dans les délices promis par cette rencontre torride. D'un geste impérieux, il saisit les cheveux soyeux de Jun, les guidant avec une fermeté dévorante vers son membre tendu à l'extrême. « Rhan... put...AIN ! » Une lueur de désir brûlant embrasa ses prunelles, illuminant son visage d'une passion dévorante. Un frisson de plaisir intense parcouru son échine lorsque la chaleur humide de la bouche de Jun enveloppa son sexe, lui arrachant un gémissement rauque de satisfaction. Ses sens explosèrent sous l'effet de cette caresse délicieuse, chaque mouvement de sa langue lui procurant une sensation exaltante.

« Je pense... Qu'on va tous craquer en même temps ma belle, j'suis désolé pour toi... »

Il sentait monter en lui une idée audacieuse. Son esprit vif et calculateur s'activait, cherchant la meilleure manière de pousser le plaisir à son paroxysme. Sans avoir à communiquer verbalement ses intentions aux membres du groupe, tous comprirent. C'était ça, des millénaires de cohabitations. Dans un mouvement presque instinctif, Roy s'allongea sur le dos, offrant son corps à Jun dans un geste de désir et de consentement tacite. Il l'invita à se positionner au-dessus de lui pour qu'elle bloque son dos contre le torse musclé du leader, créant ainsi une scène suggestive où leurs corps se pressaient l'un contre l'autre dans une passion débordante. Pendant ce temps, Han se positionna entre les jambes de Jun avec une détermination palpable, prêt à satisfaire ses propres désirs ardents. De chaque côté du visage de la jeune femme, Gentaro et Yôkai prirent place, encadrant Jun dans un cercle de désir. « T'as pas fini de nous sucer, c'est moi qui te le dis... » Dans une simultanéité presque parfaite, Gentaro et Yôkai s'approchèrent de Jun, leurs queues fièrement dressées comme des étendards de désir. Pendant ce temps, Roy, animé par une envie dévorante, guida sa bite vers l'entrée serrée de l'anus de Jun, prêt à la pénétrer. Han, ne voulant pas être en reste, s'avança et enfonça juste le gland en elle, provoquant un gémissement de plaisir intense qui résonna dans la pièce.

« A ton signal ma p'tite professionnelle... »
________________

« Roy »
« Yõkai »
« Han »
« Gentaro »
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Spoiler: Sa tenue (cliquer pour montrer/cacher)







Alors qu’elle était bien concentré sur son bouquet de fleurs, et pour le sentir derrière elle, ils étaient vraiment très proches l’un de l’autre bien collés comme il faut, et elle pouvait sentir les contours d’une énorme bite, qui n’était pas encore bien dressée pour témoigner qu’elle pouvait lui plaire. Mais le seul petit défaut de la jeune jeune femme, c’est qu’elle ne supporte pas l’idée qu’on ne puisse pas la désirer. Alors qu’il essaye d’être réglo et plutôt courtois en lui demandant de se décaler ou de faire quelque chose pour qu’il puisse passer sans encombre. Elle en avait vraiment décidé autrement.

Elle vient leur tourner la tête vers lui pour le regarder par-dessus son épaule en venant se mordiller la lèvre, puis elle se cambre un peu plus faisant alors écraser ses gros seins contre le plan de travail. Ils étaient presque à la limite de déborder alors qu’elle est bien plus penché pour lui montrer la naissance de son gros cul et sa chatte bien moulée dans le string puis elle commence à se déhancher lentement, contre lui, faisant frotter le string sur la longueur de sa queue, lentement, pour qu’il puisse bien sentir la chaleur qui se dégage, malgré les nombreux couches de tissus qu’il y avait entre eux

TENSHI : « mmmmh… vous êtes vraiment sûre de vouloir vous décaler… en tout cas moi je n’ai pas vraiment l’intention de bouger. Je pense être à la place qui me convient. Le mieux… »

C’est mauvais, penchant, était en train de faire surface alors qu’elle sait très bien que son mari était dans le bureau juste en dessous leur pied. Elle vient alors mettre un de ses coudes sur le plan de travail pour commencer à mordiller l’index toujours en soutenant  son regard avant qu’une main ne vienne caresser son gros cul pour descendre jusqu’au niveau de son string, qu’elle fait envoler autour de son doigt pour le tirer légèrement, ce qui fait entrer le bout de tissu dans sa chatte qui était en fait déjà bien mouillée.

TENSHI : « je vous avoue que je n’ai pas encore très faim et le plat n’est pas prêt d’être bien cuit. J’ai été plutôt distraite… durant …ma …douche… donc j’ai dû le mettre au four un peu trop tard avant votre arrivée…»

Si il a l’occasion de mettre son nez contre sa chatte, il pourra clairement sentir une odeur de fraises après que ce soit hydrater les lèvres intimes avec sa crème préférée, car elle sait très bien que les hommes en raffole car elle peut donner ce goût fruité à cette partie intime.



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Gentaro & Tenshi

Alors que Tenshi se délecte de chaque instant avec une excitation palpable, je ressens une satisfaction profonde en la voyant succomber à mes avances. Son désir ardent de s'abandonner à la passion me conforte dans l'idée que cette liaison sera intense et inoubliable. Sa volonté de ne pas connaître les détails des ébats des autres membres du groupe me laisse perplexe, mais je comprends son besoin de se sentir exclusive. Je continue à la baiser avec une ferveur dévorante, savourant chaque gémissement qui s'échappe de ses lèvres pulpeuses. Ses réactions à mes mouvements brusques et précis alimentent le feu qui brûle en moi, me poussant à lui donner toujours plus de plaisir. Ses paroles empreintes de désir et de désespoir me stimulent davantage, renforçant mon désir de la satisfaire au-delà de ses attentes. « T'as pas à savoir où trempe nos bites ma belle... » Dans un élan de passion incontrôlable, je m'abandonne complètement à la fusion de nos corps nus, cherchant à intensifier chaque sensation. Mon souffle s'accélère, mes mouvements deviennent plus erratiques alors que nous nous perdons tous les deux dans un tourbillon de plaisir insatiable.

« Mais tu peux être sûre que tu seras comme une reine avec nous, notre reine qu'on s'amusera à soumettre jours et nuits...  ! »

Dans cette posture obscène, Tenshi est à ma merci, son corps plié en deux, offrant chaque parcelle de sa chair pour ma jouissance. Mes mains avides agrippent ses hanches, la maintenant fermement pendant que ma queue, dure et affamée, s'enfonce en elle avec une brutalité délicieuse. Chaque coup de rein est un acte de domination, chaque pénétration un cri de luxure étouffé par le désir. Sa chatte trempée accueille ma queue avec une voracité insatiable, ses gémissements emplissant la pièce de la symphonie de notre passion débridée. Dans cette position, je la baise comme une bête en rut, son cul cambré vers moi me supplie de la posséder encore plus profondément. Chaque mouvement est un écho de notre désir déchaîné, chaque instant est une fusion de luxure et de plaisir intense. « Rhaaan... Bordel de... ! »

Dans un élan de désir animal, ma langue glisse hors de ma bouche, tracant un chemin humide sur ma lèvre inférieure. La vision de Tenshi, offerte et avide, alimente le feu qui crépite en moi, et ma salive s'écoule en un torrent irrépressible. La bave coule entre nous, un lien visqueux et enivrant qui témoigne de notre passion dévorante. Mes lèvres se posent sur les siennes, dévorant sa bouche avec une avidité incontrôlable, mêlant nos souffles et nos fluides dans une danse sauvage et sensuelle. Dans un élan de domination, je décide de changer de position. La luxure me consume, et je veux goûter à l'interdit, à la profondeur du plaisir anal. Je la prends en levrette, ses courbes offertes à ma convoitise, mais cette fois-ci, mon désir est de la posséder d'une manière plus sauvage. Sans attendre, ma verge palpitante trouve son chemin vers son intimité la plus secrète, et je la pénètre avec une fougue indomptable. Ses gémissements se mêlent à mes grondements bestiaux, chaque coup de reins résonnant dans la pièce alors que je la prends avec une force inébranlable.

Je la saisis par les hanches, mes doigts s'enfonçant dans sa chair tandis que je la tire brutalement vers moi, accentuant la profondeur de la pénétration. D'une main, je lui claque le cul, sentant la chaleur de la fessée se propager sur sa peau. De l'autre, je lui tire les cheveux avec une fermeté irrépressible, la ramenant vers moi pour que nos souffles se mêlent dans une danse ardente de luxure et de désir.

« Alors ?! Alors ?! T'as intérêt de me chevaucher après ça... ! »

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Le Seikusu Palace et cinéma / Re : You are, my cinema... [Feat. Aoi du Nyora's Club & Kana]
« Dernier message par Kana le jeudi 28 mars 2024, 18:47:39 »
À la suite de la suggestion de Aoi, je fais une explication détaillée de mon pénis et se a quoi il servait, on rigolait bien mais elle l’avait un peu cherchée cette fille. Mais après ce fus à mon tour d’être surprise quand je remarque qu’elles ne sont pas du tout en rencard et que donc tout était permis. La jolie fille au gros nibar et au cheveux blanc me dit alors que si elles étaient en rencard, Aoi ne serais pas en train de se toucher tout seul.

Comprenant ou elle voulait en venir je ne surenchérie pas et hoche simplement de la tête, en constatent que Aoi lui explique les règles de son jeu. Une fois les explications donner, la demoiselle lui répond qu’elle est chaude pour sauter directement au concret. Je lui proposai alors mon idée, et pendant qu’elle réfléchit à la réponse, je m’occupe de Aoi et de son petit trou...

Aoi parue légèrement déçue que je m’occupe d’abord de l’autre fille, mais celle-ci répondis qu’il fallait que je m’occupe “d’urgence” de Aoi. Réfléchissant a une solution qui conviendrais à tout le monde, je relâche les lèvres de Aoi et lui murmure à l’oreille...

- Et si tu te faisais un pénis, et qu’on la prenait à deux... Pas de soucis à avoir pour une fille délaissée comme elle...

C’était certes un peu sportif, une double pénétration directe, mais en même temps en la regardant on savait tout de suite qu’elle n’est pas du genre à regarder un film en mangeant du popcorn...

Je n’eus même pas à entendre la réponse de Aoi, car mes doigts en elle furent expulser pour laisser place à un pénis et ces deux compatriotes. Je retire le bas de Aoi et dévoile le spectacle a la belle...

- Eh bien puisque tu pence tellement à elle, assied toi sur elle, et je viendrais par-dessus hi hi hi...

Restais à voir si elle est chaude pour un double péné directement, au pire si elle hésite je me mettrais a genoux et lui ferais un petit cunis...
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Le parc et son sous-bois / Re : L’avocat qui vivait à côté de chez moi (PV Tenshi Kazama)
« Dernier message par Bando le jeudi 28 mars 2024, 18:34:41 »
Ayant réussi à esquiver le regard inquisiteur de monsieur Kazama -à qui je donnerai bien raison d’être aussi jaloux-, je me satisfais amplement de ce sourire que m’offre sa femme à la vue des fleurs que je lui tend. Je ne m’attendais à rien en retour de ce cadeau toutefois, j’avoue avoir été traversé par un bien drôle sentiment en la sachant touchée par mon attention.

Puisque je savais son mari souvent absent, je me doutais bien que Tenshi devait parfois se sentir délaissée. Aussi, quand bien même je ne cherchais pas le moins du monde à faire de la concurrence à Itake, je me trouvais bien content d’être celui de nous deux à lui faire plaisir ce soir.

Par-dessus la table, elle m’adressa un baiser chaleureux, plus appuyé encore que le précédent, même si elle n’eût pas à se coller à moi cette fois… et fut bien vite remise à sa place par son mari, qui lui jeta un regard fermé et autoritaire.

Elle se recula et je fis vite de même pour ne pas froisser mon hôte, me rasseyant dans le canapé.

« Ça me fait plaisir. Je suis content qu’elles vous plaisent. J’avais pensé trouver quelque chose pour décorer votre maison mais… comme je n’étais pas entré jusqu’ici, je ne savais pas trop ce qui s’accorderait bien à vos murs ou… ou bien ce qui pourrait vous manquer ici. »

Reprenant cette conversation qu’il cherchait encore à monopoliser là où elle s’était arrêtée, le maître de maison sembla vite s’emporter, comme à son habitude dès lors qu’il se mettait à parler de son métier. Son air autoritaire disparut en un éclair, remplacé par son habituelle passion. Perdu dans ses pensées alors qu’il m’expliquait des choses que j’avais encore bien du mal à comprendre, je crois bien qu’il ne prêta pas la moindre attention à ce que j’eus sous les yeux les secondes qui suivirent.

Je ne crois pas non plus qu’il remarqua que je ne le regardais plus lui… mais le cul de sa femme. Je me mordis fort les lèvres pour ne rien dire, ni même pousser un soupir.

À moins d’un mètre de moi, face au petit meuble qui collait au bout du canapé sur lequel j’étais assis, se tenait Tenshi, à genoux, en train de farfouiller à la recherche d’un vase dans lequel mettre ses roses. Ses fesses, bien trop larges pour une si petite jupe, et dans une telle position surtout, débordaient par le bas du petit vêtement… pour le plus grand plaisir d’yeux curieux tels que les miens.

J’ignorais quelle intense pratique sportive l’avait façonnée ainsi, mais merde : quel beau cul ! Quel énooooooorme boule ! De partout, la belle miss Kazama semblait taillée comme une déesse. Appuyé sur ces talons aiguilles qui rendaient la jeune femme plus sexy encore, son pétard dodu et rebondi à souhait ondulait très légèrement de gauche à droite, en un léger mouvement de balancier dû à l’intensité de ces recherches qu’elle menait. Putain qu’elle était bonne dans son petit string…

Ça va sans dire, j’eus bien du mal à reprendre le fil de la conversation après ça.
Me tournant vers Itake, je me contenta d’acquiescer, comme si j’avais tout écouté et compris de ce qu’il avait bien pu me dire pendant que je reluquais sa femme, avant qu’elle ne nous quitte pour rejoindre la cuisine.

Le téléphone du mari se mettant à sonner, je me fis tout petit dès lors que j’entendis le ton monter. Monsieur Kazama parlait boulot et n’avait vraiment pas l’air content… Discrètement, j’observais alors Tenshi, affairée par-dessus le comptoir et attendais patiemment, un peu gêné.

Bien vite, l’air plus furieux qu’agacé, l’avocat raccroche pour nous annoncer, à sa femme comme à moi, qu’il doit prendre congé et s’absenter un moment, pour travailler… encore. Précipitamment, je me lève.

« Je vous en prie, ce n’est pas grave. On peut remettre ça à un autre jour si vous voulez ? Ça ne me gêne pas. »

M’invitant à rester malgré tout, vu le mal que sa femme s’est donnée pour tout préparer, Itake m’adresse une nouvelle tape amicale sur l’épaule, avant de prendre la direction des escaliers menant à son grand bureau, installé au sous-sol.

Alors que me voilà debout, seul, en plein milieu du salon, j’acquiesce et obtempère sans problème quand la belle madame Kazama m’appelle pour me demander de l’aide en cuisine.

« Oui, bien sûr, avec plaisir. J’arrive. »

Adressant un nouveau sourire à la jeune femme, je me décide à la rejoindre, sans manquer de la reluquer un peu, tandis qu’elle se cambre si bien, sur le côté de ce comptoir, qui délimite la cuisine ouverte de la partie salon.

Je rentre mon ventre, pour passer entre elle et le mur dans mon dos… mais elle recule. Je baisse les yeux et contemple alors son gros cul, qui bouge et rebondit doucement tout en tamponnant mon bas ventre.

Me voilà coincé entre elle et le mur, à sentir cette grosse bosse molle, qui court de mon pubis jusqu’à mi-cuisse, écarter ses fesses dodues pour que la forme de mon sexe s’imprime dans sa raie. Ce n’est pas non plus comme si elle s’appuyait vraiment tout contre moi… mais c’est déjà bien pour m’empêcher de bouger.

Si je me déplaçais, elle pourrait penser que je cherche délibérément à me frotter à elle.
Évidemment que ça me fait envie. Mais quand même !

Raclant ma gorge doucement, pour que ne pas que cela sorte de la cuisine, je tente de rentrer mon ventre encore un peu.

« Pardon. Il va juste falloir que je passe… »

Et ce serait bien que je passe vite, avant de me mettre à bander comme un âne.
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N’avait jamais connu une telle sensation de plaisir avec aucun de ses partenaires jusqu’à présent. Alors n’en parlons même pas avec son mari. Il est clair qu’elle allait pas pouvoir se défaire de cette grosse bite, sous prétexte qu’elle avait la bague au doigt, ce qui lui proposait vraiment trop alléchant.  Et en plus de ça, elle avait le droit à être pratique plutôt inédite, mais elle ne peut s’empêcher de se demander combien d’autres filles ont pu tester cette énorme queue et combien d’entre elles passeront après la femme au foyer.

Alors qu’elle était en plein extase, elle pouvait s’empêcher de laisser un peu de bave couler le long de ses lèvres pour bien montrer la difficulté de déglutir et de respirer en même temps, tellement que les coups de bite était plutôt intenses et brutaux. Elle avait donc la confirmation que tout le reste du groupe était au courant Elle avait une certaine satisfaction à savoir qu’ils avaient fait l’effort de la rechercher et se sent un peu exclusive. Comme ça n’étant pas une de ces groupies qui se sont littéralement jetées sur leurs grosses queues.

Il vient alors prendre possession du lit pour être le plus à l’aise possible pour pouvoir la défoncer comme il le souhaite et dans dans cette position, elle pouvait clairement lui montrer sa grosse poitrine. Faire des mouvements circulaires quasiment hypnotisant pour celui qui porte l’œil dessus.

TENSHI : « haaaan…oui haaaaa je veux baver, et je veux jouir sur ta grosse bite tous les jours… elle est tellement exceptionnelle… tellement bonne…haaaaaa… Je vais devenir folle »

Elle ne peut s’empêcher de se cabrer vers l’arrière, en venant agripper de ses doigts, le drap lorsqu’il vient pénétrer deux doigts dans son cul, ce qu’il a fait encore plus mouillé et lui montrer clairement que la pratique de la sodomie n’avait pas de secret pour elle. Elle le regarde avec la langue qui pend et pouvait sentir sa chatte pulsée à chaque fois que la grosse bite vient, écarter ses parois, lui faisant bien sentir les veines, qui était en train de frémir sur le contour de sa queue.

TENSHI : « haaaan… c’est insensé. Cette situation…haaaaa…haaaa…Gentaro… tu es en train de me faire miroiter une vie pleine de plaisir…haaaa…haaaaa… Si je dis oui, je ne veux pas savoir si vos bites va baiser d’autres greluche…haaaa… »

Elle vient ramener ses jambes vers elle embêtant, ses bras sous ses genoux pour bien se plier en deux et remonte légèrement le bassin pour qu’il puisse avoir accès à sa chatte comme à son cul, alors que ça mouille est en train de dégouliner sur son ventre jusqu’à ses gros seins Elle adore cette position où elle est quasiment pliante car l’angle de pénétration est juste incomparable.

20

Gentaro & Tenshi

Je suis enchanté de voir à quel point elle apprécie ma présence et mon membre. Les gémissements et les cris qui s'échappent de ses lèvres me confirment que nous sommes sur la même longueur d'onde, prêts à explorer ensemble des territoires jusqu'alors inconnus. Son corps se cambre sous le mien, accueillant chaque coup de rein avec avidité, et je ne peux m'empêcher de ressentir une satisfaction profonde en la voyant ainsi s'abandonner à la passion. « Les autres m'ont chargé de retrouver alors t'imagines bien... qu'ils sont au courant... » Je suis déterminé à lui offrir un plaisir qu'elle n'a jamais connu auparavant, à la faire vibrer sous mes caresses et mes baisers. Avec chaque coup de rein, je la pousse un peu plus près de l'extase, la conduisant vers des sommets de plaisir insoupçonnés. Dans cet instant de passion débridée, je savoure chaque instant, conscient que cette rencontre restera gravée dans nos mémoires pour toujours. Je ne peux résister à l'envie de prolonger ce baiser passionné. Alors qu'elle se redresse pour me rejoindre, nos lèvres se rencontrent avec une urgence dévorante.

Je saisis ses seins dans mes mains, les malaxant avec force, sentant leurs formes fermes sous mes paumes. Mes doigts pincent ses tétons, provoquant des frissons de plaisir qui parcourent tout son corps. La langueur du baiser s'intensifie, nos langues se mêlant dans une danse sauvage et enflammée. La bave et la salive se mêlent dans un mélange délicieusement indompté, témoignant de notre désir brûlant l'un pour l'autre. Je me perds dans ce moment de passion brute, me laissant emporter par la sensation enivrante de ses lèvres contre les miennes, de ses seins entre mes doigts, de son corps pressé contre le mien. « Tu vas apprendre à apprécier chaque centimètre de ma queue, Tenshi... Tu vas apprendre à baver pour elle... ! » Le rythme de mes coups de reins s'intensifie, alimenté par la montée de notre désir mutuel. Nos peaux claquent ensemble dans un rythme effréné, emplissant la pièce de sons de plaisir. Mon chibre cogne contre le fond de sa chatte avec une force inouïe, chaque coup faisant monter en elle une onde de plaisir dévorant. Chaque pénétration est un cri de passion, un écho de notre désir brûlant. Nos souffles s'accordent dans un rythme effréné, nos corps se pressant l'un contre l'autre dans une étreinte sauvage et passionnée.

« Hum ! Viens par là... »

Nous glissons dans le lit, nos corps nus se mêlant dans une étreinte passionnée. Je la place délicatement, ses jambes sur mes épaules, offrant ainsi un angle parfait pour une profonde pénétration. D'une main, je guide ma queue en elle, savourant chaque sensation de sa chaleur accueillante. Pendant que je la prends avec ardeur, mon autre main explore son corps, caressant sa peau satinée. Mes doigts trouvent leur chemin vers son cul, le doigtant à deux doigts, lui offrant une stimulation supplémentaire qui amplifie notre plaisir partagé. Pendant ce temps, mon autre main saisit un de ses seins, le pressant avec une intensité passionnée. « Aboies pour ton nouveau maître... ! » Nos mouvements se synchronisent dans une danse enivrante, nos souffles s'accordant dans une symphonie de désir. Chaque caresse, chaque pénétration est une ode à notre passion dévorante. Et alors que je la prends avec une ferveur toujours plus grande, je sens nos corps s'unir dans un parfait équilibre de plaisir et de satisfaction.
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