Le Grand Jeu

Plan de Terra => Ville-Etat de Nexus => Discussion démarrée par: Lili Ivanes le mardi 17 avril 2012, 14:43:57

Titre: tout a un prix [pv Lone Wanderer]
Posté par: Lili Ivanes le mardi 17 avril 2012, 14:43:57
Depuis un certain temps, maintenant que Kira est au courant de mes pouvoirs ainsi que de l'existence du plan de Terra, celle ci m'a harcelé pendant plusieurs jour pour que je lui face visiter une partie non hostile du plan de Terra.
Enfin non hostile, c'est ce que je pensais avant qu'il n'arrive ce qui est arrivé.
Kira m'a tellement harcelé, qu'un jour j'ai craqué et accepté alors que nous n'avions pas cours le lendemain.
Habillées toute les deux en paysanne.
(http://www.echoppemedievale.com/upload/photos/femmes/robes/Aube%20medievale/aube_medievale_1.jpg)
pour ne pas se faire remarquer avec nos habit de la Terre, avec pour ma par comme seule dessous un petit string  et un soutien gorge blanc à dentelle.
Ouvrant une faille comme à mon habitude, nous sommes tomber non loin de Nexus, comme quoi, je m'améliore de jour en jour avec la magie.
Exactement ou je voulais l'emmener, sur un petit sentier que j'avais déjà remprunté et que j'avais trouvé très jolie.
Nous marchons donc tranquillement vers l'entrée principale de Nexus, Kira me remercie de l'avoir emmené, et de lui faire visiter de pareil endroit.
Elle sourie, s'arrête contempler des fleurs au bord de la rivière qui longe le sentier, mais alors que je pensais être écarter de tout danger aussi près de la ville, j'entends Kira pousser un crie de douleur.
Je me tourne et vois Kira qui se tien le bras, le visage crisper par la douleur alors que juste derrière une créature velue à huit pattes, de multiples couleurs, entre le scarabée et l'araignée, aussi grande que mes deux poings réunis, se dresse sur un rocher.
(http://img0.gtsstatic.com/araign%e9e/araignee-1_2110_w460.jpg)

Sans me poser de question, je tend le bras vers cette choses et la foudroie de mon pouvoir électrique, celle ci brule sous l'impacte avant de tomber au sol.
Je viens au secours de Kira et lui demande si sa vas, elle me réponds que oui mais à toujours mal au bras.
Je lui propose de continuer jusqu'au porte de la ville, ce qu'elle accepte.
Maintenant dans Nexus nous marchons cote à cote, quand Kira tombe lourdement à terre inconsciente, je l'interpelle mais elle ne réponds pas, par chance elle c'est évanouie devant le commerce d'un druide.
Je la rentre en la trainant par les bras dans ce commerce, le druide un homme d'une quarantaine d'années me demande ce qui se passe et m'aide à allonger Kira sur lit d’appoint.
Je lui explique ce qu'il c'est passé, qu'elle c'est faite piquer, le druide me demande de décrire la créature ce que je fait sans perdre de temps.
Il se lève et vas chercher un livre qu'il feuillette pendant un moment avant de me montrer le dessin d'une des page en me demandant si sa ressemblais à sa.
Je lui répond que oui, il se replonge dans sa lecture avant de me dire qu'il a de mauvaises nouvelles.
Il m'explique que Kira est en train de mourir à petit feu, que la créature qui la piquer n'est peut être pas grande mais ces piqures très mortel, qu'il à quelques ingrédients pour créé le sérum mais qu'il lui en manquent et que le temps nous est compté pour réunir le tout.
Je lui demande combien de temps et il me réponds trois jours.
Mais trois jours pour chercher quoi? J'enchaine, il me réponds en m'énumérant les ingrédients à trouver ainsi que les endroits approximatifs ou je peut les trouver.

Du "Lys des cimes bleu" que je peux trouver sur les terres des landes dévastées, de la "Sève de Spriggan" que je peux trouver dans les jardins du couvent de l'Ordre, de la "Graisse de Troll" que je peux me procurer sur les terres de la Dictature d'Ashnard et pour finir "des Lys des cimes violet" qui ne poussent que du coté de la Prison Eternum.

Quand il termine la liste des ingrédients et les endroits ou je peux les trouver, sa me semble impossible en trois jours, comment réunir tout sa en moins de trois jours sachant que chaque endroit est plusieurs jours de marche les un des autres, même en cheval sa mettrait trop de temps, il me faudrait un miracle pour réunir tout sa à temps.
Dépité, je demande au druide si il peut garder Kira ici en attendant, ce qu'il accepte volontiers, je sort de sont commerce et vais m'asseoir sur un banc de pierre, pleurant ma détresse et cherchant un moyen de réunir les ingrédients pour sauver Kira.
Titre: Re : tout à un prix [pv Lone Wanderer]
Posté par: Lone Wanderer le mardi 17 avril 2012, 16:35:53
Nexus.

Au cours de mes longues marches, c'était l'un de mes endroits préférés pour m'arrêter. Je ne m'en lassais jamais. C'était un endroit pittoresque et traditionaliste, et je devais me garder de montrer la merveille technologique que je portais au bras, sous peine d'attirer des curiosités malsaines, voire dangereuses. Ma discrétion engageait ma vie. Si l'un de ces rustres me voyait avec ça, je serais probablement considéré comme un ennemi d'un pays voisin. Ils tenteraient de me le prendre, et je devrais les tuer, et fuir. Et je suis las de fuir. J'aime mes petites balades pleines de tranquillité, sereine et agréable.



Je fis une pause chez un druide. Je lui achetais quelques onguents, histoire de garnir ma besace de ces précieux soins à disposition, et le payait comme il se doit. Ma bourse était désormais quasiment vide, et il me fallait trouver moyen de la remplir. Je comptais proposer mes services de tueur, de transporteur... Peu m'importait, de toute façon, je le ferais. Aucun travail n'est déshonorant si il me permet de continuer à vivre.

Alors que je sortais, je dus m'écarter pour laisser passer une jeune fille qui en portait une autre. Visiblement issue des basses couches de la société, l'une d'elle avait franchement l'air mal en point. Elles étaient venues voir un guérisseur, après tout, il était donc logique que l'une d'elle ait l'air plus proche de la mort que de la vie. Le vieux saura sans doute s'occuper d'elle, me dis-je de prime abord, avant de me faire la réflexion que dans ma vie, rien n'est coïncidence, tout est destin. Aussi, le fait que je sois ici, et le fait que je réfléchissais à proposer mon aide à un éventuel prochain, qui serait dans le besoin, ne pouvait être que le fait du hasard. Je restais donc à côté de l'entrée, discrètement. Aucun d'eux ne m'avait remarqué. J'écoutais patiemment, et les explications de la brunette concernant l'animal qui a empoisonné son amie me fit parvenir aux mêmes conclusions que le druide. J'avais déjà vu ces bestioles, et je connaissais leurs effets. Mais jamais je n'avais vu l'une de ses victimes. Aussi, je m'accordais un regard supplémentaire vers l'agonisante, pendant que le sage liste les ingrédients. Je les connais, ainsi que les localisations qu'il énumère. Là encore, tout ceci n'est pas anodin. La fatalité voulait que la jolie jeune fille tombe sur moi. Mais c'étaient des endroits dangereux, lointains pour certains. Je n'avais pas réellement envie de faire tout cela, d'autant plus qu'elles étaient jeunes et d'une situation sociale visiblement peu enviable. Ce n'est pas avec elles que je pourrais refaire mon compte d'or et d'argent.

J'abandonnais donc. Tant pis. Quelqu'un d'autre aura besoin de moi sur les chemins.

Me voilà reparti... mais au bout de quelques minutes, je me sens tiraillé par la culpabilité. Mon défunt père, scientifique, avait le but fou de sauver l'humanité, en purifiant l'air, ou l'eau, je n'ai jamais compris ce qu'il voulait faire. Si il n'était pas mort, nous y serions arrivés, ensemble. N'est-ce pas mon devoir de sauver cette pauvresse mourante ?



Demi-tour ! J'approchais discrètement de Lili. Elle était en larme. Mignonne, agréable à regarder. Je m'accroupissais près d'elle, et sortait de ma sacoche une éprouvette bouchée. Dedans, une petite fleur d'un teinte cyan clair, très belle, fraîchement cueillie.

« Lilium Saphiris. « Lili Saphir », comme les fermiers l'appellent. Je la trouvais jolie comme toi. Je sais que c'est plus poétique de l'offrir sans le tube, mais si tu veux la conserver longtemps, tu devrais la garder ainsi. »

Je tente un sourire. J'avais gardé mes lunettes et mon chapeau, mais le foulard était rabattu en-dessous du menton. Je m'assieds à côté d'elle, bras posés sur les genoux, la fixant.

« Tu m'as l'air d'une âme en peine. Je peux peut-être t'aider ?... Non, en fait, je sais que je peux t'aider. J'ai tout entendu. »

Je me remémore la liste, l'énumére dans ma tête, avec les lieux qu'avaient donné le vieux. Je trace un itinéraire rapidement dans ma tête.

« Pour la graisse, je sais qu'il en transite par les quais, non-loin d'ici. On pourrait toujours tenter d'en voler, ça t'évitera d'aller jusqu'à Ashnard. On pourra ensuite réfléchir à notre prochaine destination. Je suis un guide exceptionnel, et je pourrais te protéger quand on décidera d'aller dans des endroits plus dangereux. »

Je pose ma main sur mon épaule pour tenter de lui insuffler l'espoir. Rien n'était perdu, il fallait qu'elle le sache. Je me risque à un nouveau sourire qui se veut rassurant, visage penché vers elle.

« Sache néanmoins que ce ne sera pas gratuit. Nous nous risquons à quelque chose de dangereux. Dans ce voyage, nous pourrions y rester. Il faudra me payer... et cher, car ce genre de périple pourrait me coûter gros. Tu ne m'as pas l'air riche, alors je veux bien accepter d'autres paiements de ta part. »

Je me lève, boutonne mon manteau de cuir de chasseur de prime, et lui tend la main pour qu'elle m'accompagne.

« On réfléchira à ça plus tard. Dépêche-toi, on a ton amie à sauver. Appelle moi Vagabond. »
Titre: Re : tout a un prix [pv Lone Wanderer]
Posté par: Lili Ivanes le mardi 17 avril 2012, 19:44:29
Alors que je pleure toujours comme une madeleine, cherchant un moyen de trouver ces ingrédients le plus rapidement possible, une voie se fait entendre, je lève mon regard et me retrouve nez à nez avec un homme agenouiller juste en face de moi, habiller d'un long manteau, d'un chapeau, de lunette de soleil cachant ces yeux et d'un foulard autour du cou.
Il a dans ces mains une fiole contenant une belle fleur avec des pétales bleu, il me dit le nom de cette plante, ainsi que le nom dont les fermiers l'appelaient, avant de me dire qu'il la trouvait jolie comme moi.
je rêve ou il est en train de me draguer?
Écoutant ce qu'il a à me dire, je m'arrête de pleurer, il m'explique alors que c'est plus poétique de l'offrir sans le tube, mais que si je veux la conserver longtemps il faut la laisser ainsi.
j'accepte son présent et sans suit un sourire de sa part.
effectivement, c'est un numéro de drague, mais je n'ai pas la tête à sa, je doit sauver Kira.
ne lui rendant pas son sourire, l'homme s’assied à coté de moi avant de reprendre la parole, il me demande si il peut me venir en aide, mais je n'ai pas le temps d'ouvrir la bouche, qu'il me dit non et qu'il m’avoue qu'il sais qu'il peut m'aider parce qu'il à tout entendu.
je tourne la tête vers lui, avant de le dévisager.
Mais de quoi il se mêle, il m'espionne?

dite moi, vous me surveillé?

Il me fait non de la tête avant de me dire que pour la graisse de troll, il sais qu'il en transite par les quais, non loin d'ici. il me propose alors de tenter d'en voler ce qui m'éviterais le voyage jusqu'à Ashnard.
une once d'espoir me remplis le cœur, son approche était peut être des plus ringarde, mais il est pour l'instant mon seule espoir pour sauver Kira, si il sais vraiment au sont les ingrédients que je cherche et qu'il accepte de m'aider, Kira sera sauvé.
Je lui sourie en entendant cette bonne nouvelle, alors qu'il enchaine ces explications comme quoi l'ont pourraient ensuite réfléchir à la prochaine destination.
séchant mes larme du revers de ma tunique, il m'explique qu'il est un guide exceptionnelle et qu'il pourra me protéger quand nous irons dans des endroits plus dangereux.
Il pose alors sa main sur mon épaule et me sourie à nouveau, je lui rend son sourire avant de lui répondre.

d'accord, j'accepte votre aide monsieur... de toute façon toute seule, je n'y arriverais pas... et les dieux savent que je serais prête à tout pour sauver ma meilleur amie... vous êtes mon seul espoir...

alors qu'une lueur d'espoir viens d'éclore en moi, il m'annonce que ces services ne serons pas gratuit, que nous nous risquons à quelques choses de dangereux, que nous pourrions mourir pendant ce voyage et qu'il faudra le payer... et cher, car ce genre de périple pourrais lui couter gros, mais voyant que je n'ai pas l'air bien riche, il est prêt à accepte d'autre moyen de paiement de ma part.
Et il a raison, je n'ai pas beaucoup d'argent du monde de Terra et je ne vois pas comment le payer autrement qu'avec de l'argent, de la nourriture ou un échange de service peut être.
alors que mon espoir commence à s’éteindre pensant qu'il allait attendre d'être payer avant de commencer à m'aider, je vois celui ci se lever, boutonner son manteau et me tendre la main avant de me dire que l'ont réfléchira à sa plus tard, que je doit me dépêcher parce que l'ont à Kira à sauver et qu'il souhaite que je l'appel "Vagabond".

la lueur d'espoir rayonne à nouveau dans mon cœur, ne perdant pas un instant, j'attrape la main de Vagabond et nous marchons cote à cote d'un pas décidé dans la direction qu'il m'indique.

ne perdons pas de temps Vagabond, allons y.
au fait, moi vous pouvez m'appeler Lili comme cette fleur que vous m'avez offerte.


regardant avec plus d'attention la fiole qu'il ma offerte, je me remémore les ingrédients que le druide ma demander de chercher fait de grand yeux quand je commence à comprendre pourquoi il m'a offert cette fiole.

dit Vagabond, cette fleur ne s'appellerait pas aussi "une Lys des cimes bleu" par hasard?
Titre: Re : tout a un prix [pv Lone Wanderer]
Posté par: Lone Wanderer le mardi 17 avril 2012, 20:52:53
Je souris. Elle accepte. Nos destins, pour les heures voire les jours à venir, sont liés, immuablement. Et nous ressortirons grandis de cette rencontre, c'est ainsi que ça marche à chaque fois.
Elle me donne son prénom. Lili ? Comme la fleur ? Une coïncidence de plus, qui vient s'ajouter à la longue liste des faits du hasard qui font que notre rencontre n'est pas un hasard.
Je suis déjà engagé sur le chemin du port, qu'elle fait la remarque par rapport à la fleur. Je fronce les sourcils, réfléchit.. Et lui sourit.

« Oui, peut-être. Je n'avais pas fait le rapprochement, mais maintenant que vous me le dites... Lilium, c'est le nom scientifique du Lys. La concordance est étrange, non ? »

Moi, ça m'amuse. Je pense bien qu'elle n'est pas aussi guillerette que moi : son amie est sur le point de clamser. Moi je reste zen, même dans les pires situations. J'essaie de lui transmettre mon apaisement.

« Priez pour que ce soit la même fleur. »



Quelques minutes de marche rapide plus tard, le port se dessine. Celui-ci est gigantesque, et accueille des dizaines de navires de marchandise. L'activité est intense à cette heure-ci, on transporte les caisses de gauche à droite et de droite à gauche. Ca hurle, ça sent la mer, ce n'est pas un cadre très agréable. Accompagné de Lili, je me dirige jusqu'au bureau d'un contremaître. Je frappe à la porte : Pas de réponse. Je tente d'ouvrir, et c'est bien évidemment fermé. Je fais le tour du bâtiment, pour être moins exposé aux regards indiscrets, et casse une fenêtre sale en utilisant mon coude, puis l'ouvrait de l'intérieur. J'enjambais l'ouverture, lui faisant signe de me suivre, pour ensuite la refermer malgré le carreau cassé. C'était une petite pièce exiguë et mal éclairée, à cause de la crasse sur le verre des fenêtre et leur petite taille.
Je me mettais alors à chercher une sorte de registre, une liste des produits. Je sais que les fonctionnaires sont tatillons sur ce genre de choses.
Tout en fouillant le bureau, je me permettais des questions.

« Surveillez par les fenêtres que personne ne vient. Sinon, prévenez-moi. Alors, racontez-moi. C'est quoi votre histoire ? Vous êtes de Nexus ? Les jeunes filles d'ici savent pourtant qu'il faut faire attention avec ce genre de bestioles. »

Je la laissais ensuite parler, jusqu'à enfin trouver ce que j'étais venu chercher. Un gros bloc note poussiéreux et abîmé, listant supposément toutes les marchandises qui se trouvaient sur le port. Je l'épluchais tant bien que mal, tout en écoutant Lili, et au bout de plusieurs minutes, je trouvais enfin ce que je voulais.

« Entrepôt 2. Venez. »

Je repasse par la fenêtre, ayant gardé la page du registre qui m'intéressait, que je calais dans une poche intérieure de mon long manteau. Je m'engage vers la zone des entrepôts.


Les numéros 1 et 2 sont mal situés, isolés du reste, parce qu'ils sont les plus anciens, et sont remplis à ras-bord de marchandises dont certaines sont là depuis des mois sans que personne ne les réclame ou ne les achète. Ils n'ont pas de portes : Leur entrée consiste en une grande ouverture assez large pour faire passer des containers. Ils fait tout noir à l'intérieur, et il n'y a personne dedans. En revanche, devant, il y a un garde.

« J'en fais mon affaire. »

Je me dirige vers lui d'un pas décidé. Quand il me voit, il tente de m'arrêter. Je fais semblant de chercher une carte dans ma veste, tout en déclinant une fausse identité d'inspecteur du port. Alors que j'arrive à sa portée, ce n'est pas une carte d'identité que je sors, mais un couteau. Je lui tranche la gorge net. Il meurt sur le coup. Il n'a pas le temps de tomber que je rattrape son corps et le traîne à l'intérieur du bâtiment, cachant son corps entre deux caisses.

Je ressors le papier que j'ai pris chez le contremaître. Il n'y a plus qu'à trouver la bonne caisse numérotée. Alors que je me lance dans l'exploration, des voix approchantes se font entendre. Toute une troupe, 4 ou 5 soldats, qui discutent en s'approchant d'ici. Ils viennent apparemment chercher quelque chose dans le bâtiment, quelque chose que leur supérieur leur a demandé d'amener.

Je me tourne vers la petite Lili. C'est une fille, confrontée à des hommes : C'est clairement elle qui a l'avantage.

« Il faut que tu les distraits le temps que je trouve ça. J'ai besoin d'assez de marge. Essaie de les éloigner le plus longtemps possible. Je volerais à ton secours au moindre problème. Fais-moi confiance. »

De toute façon, elle n'avait pas le choix. Je ne comptais pas me cacher au risque que l'on me trouve, ou au risque de rester bloquer ici un temps indéfini, car les minutes nous sont comptés pour Kira. Et je ne veux pas non plus m'engager dans un combat qui serait trop dangereux.
Titre: Re : tout a un prix [pv Lone Wanderer]
Posté par: Lili Ivanes le mercredi 18 avril 2012, 02:03:54
Vagabond me répond que c'est peut être le cas, mais qu'il n'avait pas fait le rapprochement, que Lilium est le nom scientifique du Lys, avant de me demande si la concordance est étrange.
Je lui souris et lui répond.

Oui, c'est étrange, mais j'espère que c'est sa.

Il me dit alors de prier pour que ce soit la même fleur.
Je ne réponds pas et range la fiole dans mon soutient gorge.

nous marchons pendant de longues minutes avant d'atteindre le port, ils y à un monde fou, surtout des matelots, sa sent fort l'eau de mer et le poisson pourris, j'en est presque des haut le cœur, mais ce n'est pas le moment de faire la dégouté.
Je suis mon guide qui se dirige vers un petit cabanon, les marins qui passe non loin de nous me mate avec des regards lubriques et pleins d'envie, ils faut les comprendre certains d'entre eux ont passé des semaines en mer sans avoir vue une femme.
le Vagabond frappe à la porte, mais personne ne réponds, il tente d'ouvrir celle ci, mais sans succès.
Il fait le tour et casse l'un des carreau de la seule fenêtre qu'il y a avant de pénétré à l'intérieur.
Je commence à paniquer, à regarder à droite, à gauche, quand il me fait signe de rentrer moi aussi par la fenêtre en me la tenant.
Puis il la referme doucement avant de prendre le registre et commencer à le feuilleter accroupis.
Je fait comme lui pour que l'on ne me vois pas de l'extérieur, quand il me demande tout en chuchotant de surveiller si personne ne viens par la fenêtre, ce que je fait en acquiesçant d'un signe de la tête.
Puis il me demande de lui raconter mon histoire, je ne comprend pas toute de suite ou il veut en venir, jusqu'au moment ou il approfondie sa question à savoir si je suis de Nexus, que les jeune filles d'ici savent pourtant qu'il faut faire attention avec ce genre de bestioles.
Tout en continuant à surveiller les alentours, je lui répond.

N... Non, je ne suis pas de Nexus.
Moi et mon amie venons d'une autre ville que vous ne connaissez sans doute pas, une ville ou il n'y à pas ce genre de danger.
Je l'ai emmené ici parce qu'elle voulait visiter la région, elle était tellement contente quand nous sommes arrivé et il à fallut qu'elle sa fasse piquer par cette chose.
On ne peut vraiment se fier à rien dans ce monde...


Au bout de quelques minutes à lui parler de ce qui c'est passé sans pour autant lui dire toute la vérité, j'entends un bruit de papier déchiré, je me retourne et il me dit de le suivre et que ce que nous cherchons est dans l’entrepôt numéro 2.
Nous sortons par la fenêtre et nous dirigeons vers ce dit entrepôt, ceux ci sont quelques peut éloigner des quais.
Arrivé devants celui qui nous intéresse, mon guide s’aperçoit qu'il y a un grade, mais il me dit qu'il en fait son affaire, je lui fait confiance.
Nous nous approchons du garde, celui ci commence à avancer vers nous le bras tendu, sans doute pour nous demander de retourner sur les quais, je jette quelques coup yeux sur Vagabond qui semble chercher quelque chose dans ces poches, quand en un éclair mon guide égorge le garde qui n'a rien le temps de faire, je retiens un cris d’effrois, celui ci est rattraper par Vagabond avant qu'il ne s'écroule, puis est trainé dans l'entrepôt avant d'être balancer entre deux caisses de marchandises.

Mon guide ressort le papier qu'il à subtilisé dans le cabanon et commence à chercher.
Mais voilà moins d'une minutes que nous là et des vois se font entendre.
Vagabond se tourne vers moi avant de me demander de les distraites et de les éloignés assez longtemps pour lui laisser le temps de chercher la graisse de troll, sans pour autant me laisser tomber puisqu'il me dit qu'il viendra à mon secours au moindre problème.

D'accord... Mais comment vous voulez que je...

Mon guide vas se planquer en attendant que je face ce qu'il ma demandé.
Mais comment il veut que je les éloignes, je ne sais pas quoi faire.
Je sort alors de l'entrepôt en faisant semblant de chercher quelqu'un et je tombe directement nez à nez avec 5 grades.

Bonjours mademoiselle, qu'est ce que vous faite là, vous cherchez quelques choses?

D'une voie hésitante je réponds.

Heu... Oui monsieur... Je... Je cherche mon grand frère... Nous... Nous sommes allé à Nexus et.. Et nous devions nous retrouver sur les quais...

Le regard des 5 gardes sont insistants, je le sent, mais je continue de faire la jeune fille perdu.

Ce n'est pas les quais ici ma petite, c'est les entrepôts.
Les quais se trouve là bas. Venez nous allons vous escortez et tenter de retrouver votre grand frère.


d'accord...

Me voilà forcé de suivre les gardes jusqu'aux quais, encerclé, trois des gardes marche devant moi alors que ceux derrière moi me font avancer, l'un d'eux avec une main sur l'épaule alors que l'autre met sa main dans le bas de mon dos et très vite viens tâter mes petites fesses à pleine main.
Je n'ose rien dire, puisque la diversion fonctionne, chaque minutes compte maintenant à toi de jouer Vagabond.

Arrivé au milieu des quais, le garde s'exclame aux matelots.

Et bien Matelots, il semble que cette jeune fille cherche son grand frère.
Vous ne serriez pas ou il se cache?


Tout les regards sont sur ma personne et entre tout attente, l'un des marins, un gros, sale et puant se lève avant de s’exclamer. 

Oh petite soeur. Vous avez retrouvé ma petite soeur...

Ce gros dégueulasse s'approche de moi à grand pas et me soulève en m’enlaçant , il me colle à lui et n’embrasse en me bavant dans le cou, alors qu'une de ces mains me pelote les fesses.
Je tente de le repousser avec mes mains, mais il à une tel force que je ne peux rien faire.

Heu... Non ce n'est pas lui mon grand frère... Heeuurrgg...

Mais si petite soeur, c'est moi...

Le capitaine du matelot qui me tiens s'exclame alors.

Merci à vous messieurs de nous l'avoir rapporté, il commençait à être inquiet pour elle, surtout que nous étions sur le point de partir.

de rien capitaine nous sommes là pour sa, faite bon voyage

Totalement coincé entre ces bras, le marin me ramène sur le pont de sont navire.

Lâchez moi gros porc, vous n'êtes pas mon grand frère...

Ferme là petite!
Amène là dans la cabine habituelle.


Oui capitaine.

Bien matelot, préparez vous nous levons l'encre dans 30 minutes

Ce gros dégueulasse m'amène dans une des cabines et m'enchainent les poignets au mur face à la porte, avant de quitter celle ci en me disant.

à tout à l'heure ma mignonne...

Tirant sur mes chaines, je me dit que sa ne peut pas aller plus mal.
Vagabond j'espère que tu as trouvé l'ingrédient et que tu vas venir me sortir de là.


Titre: Re : tout a un prix [pv Lone Wanderer]
Posté par: Lone Wanderer le mercredi 18 avril 2012, 19:22:49
Fichus trolls... et fichue bave.

Après que Lili ait éloigné les gardes, je sort promptement de ma cachette et utilise mon bracelet technologique pour projeter la lumière nécessaire à l'inspection des caisses. Je cherche, je cherche. J'escalade des containers pour examiner ceux qui sont superposés, je redescends, remonte, jusqu'à finalement trouver les étiquetages, qui sont en fait des papiers grossièrement cloués sur les boîte de stockage, avec les références qui correspondent. Je m'arme d'un pied-de-biche trouvé non loin, et force plusieurs couvercles avant de trouver enfin la bonne.
Gagné.
Plusieurs petits bocaux pleins d'une substance immonde, que je reconnaît immédiatement comme étant ce donc Lili a besoin. Merveilleux ! J'en met deux dans ma besace, qui commence à être plutôt lourde vu tout ce que j'y fourre, et me dirige vers la sortie.

Apparaissant dans l'encastrure de l'entrée de l'entrepôt, je vois les gardes qui sont revenus. Zut... La petite les as tenus assez longtemps pour ma fouille, mais pas pour ma fuite.
Nous nous apercevons, et nous figeons. Aussitôt, je cours vers eux, prenant l'air désespéré.

« Messieurs ! J'étais en train d'inspecter le bâtiment et j'ai trouvé un soldat mort ! C'est horrible ! »

J'en rajoute dans le drama. Quatre d'entre eux, paniqués, décident de courir vers l'entrepôt. Le cinquième me retient par le bras, et, sévère, me demande de les suivre, pour que je raconte ce que j'ai vu.
Je ne me laisse pas faire et lui tranche aussitôt la gorge, ayant sorti ma dague vivent, lui tranchant carotide & cordes vocales, comme celui que j'ai tué quelques minutes plus tôt, l'empêchant de crier.
Son corps tombe à terre et je cours vers les quais avant que ses petits amis ne décident de me poursuivre.



Je me fonds dans la foule des pêcheurs, marins en tous genre, marchands et soldats. Je cherche Lili. Dans ce paysage de brutes, une fille comme elle ne dois pas être si dure à trouver !
… Quoique.
Je demande à trois personnes si ils ont vu une demoiselle en donnant une courte description, sans résultat, avant un quatrième, qui me répond d'un air équivoque qu'il sait... Mais que ce ne sera pas gratuit.
Je fouille ma bourse. Plus que trois pièces, au fond, et les trois en or. L'information a intérêt à valoir le détour. Je lui en donne une, une seule, et lui demande de tout me dire avant que je ne devienne violent. Il désigne alors un navire dont les occupants sont en train de s'activer, hurlants que le départ est imminent.
C'est tout à fait le genre de situation merdique dans laquelle je me retrouve chaque jour.



Trois marins rentraient dans la cabine, alors même que le bateau commençait à bouger.

-Salut petite soeur... Alors, c'est gentil de venir à bord... Ça va nous faire un peu de distraction pour le voyage, d'autant plus qu'on part pour plusieurs semaines...
-Ouaip, plusieurs semaines. Tu vas en voir, des queues. J'espère que t'as pas le mal de mer, on compte bien te garder en bonne santé. On va te faire manger et boire chaque jour !

Ils ricanent comme des bossus à l'allusion, s'approchant d'elle. L'un d'eux ordonne qu'on la tienne, pendant qu'il sort un ample couteau de cuisine de sa ceinture, et le met dans le décolleté, tirant vers le bas pour sectionner net le vêtement dans sa longueur, et l'ouvrir. Chaque acolyte tient une jambe et l'écarte, pendant que le troisième range sa lame et s'accroupit pour écarter son string et lui titiller l'entrée de son vagin.

-Regardez les mecs, une belle petite moule toute fraîche ! On va bien s'amuser à la défoncer !

Il lui rentre ensuite son gros majeur, phalange par phalange jusqu'à la paume, et la pistonne sans ménagement, en s'amusant des réactions, positives ou négatives, de Lili.
Il finit par arracher la culotte avec violence, puis tentera l'intromission de l'index pour accompagner le premier doigt.
Il s'amuse ainsi une bonne minute, avant de se relever pour défaire sa ceinture, et sortir sa queue à peine bandée.

-Puisque c'est grâce à moi qu'elle est là, personne ne verra d'objection à ce que je passe en premier ! Puis débarasse-toi de ça, t'en auras pas besoin non plus !  

Il met sa main dans l'un des bonnets du soutien-gorge, puis tire un grand coup dessus pour le déchirer. Il balade son gland sur ses seins, pour s'exciter, riant comme un porc du dégoût manifeste qu'il inspire que sa prisonnière.
Il prend ensuite sa tête et lui balade le sexe sur le visage, ainsi que ses grosses gonades pendantes et velues.

-Tu vas me sucer maintenant, et si t'as dans l'idée de me mordre, je te plante ça direct jusqu'au poumon !

Il ressort son couteau de cuisine, dont il colle la pointe à la jonction entre le cou et l'épaule, promettant de lui travers tout le buste d'un trait si elle devait bouger.
Il fera ensuite tout pour forcer l'entrée de son immonde queue entre les lèvres de Lili, et prendra ensuite ses cheveux de l'autre main pour s'en servir comme d'une poignée, utilisant la bouche de la pauvresse pour se branler avec.

Sa queue prenant de l'ampleur en sentant sa langue et ses lèvres, il n'hésite pas à aller bien profond, à coller le crâne de Lili contre le mur pour ensuite donner de grands coups de bassin dedans, suant toute sa graisse en l'insultant de pute et de traînée, avant de finalement sortir sa queue, jeter son couteau plus loin pour se branler et lui envoyer toute sa purée au visage, en grognant comme un goret. Il lui recouvre toute la face et s'écarte ensuite en riant.
Un deuxième s'agenouille devant elle pour lui écarter de nouveau les jambes et commencer à tripoter le sexe ouvert de la jeune fille, et sort sa queue, promettant à Lili qu'il compte bien se vider à l'intérieur de son ventre.



Un craquement, à l'arrière. Je réussis à briser le loquet du premier coup et à ouvrir la porte en grand, tombant sur le spectacle de trois mâles en ruts qui font subir leurs outrages à celle qui est maintenant ma protégée.
Dague sortie. J'en égorge un qui s'approche. Le deuxième est armé d'une lourde lame de boucher, mais j'ai la maîtrise pour moi, et pare sans problème son attaque pour ensuite lui ouvrir le bide en grand et le jeter à terre. Le troisième prend peur, tente de s'enfuir. Avec rage, le fer vient se planter dans sa tempe, trouant son cerveau, d'un côté à l'autre de son crâne. Son corps tombe à terre. J'extrais avec difficulté ma lame, l'essuie sur ses habits et la range.

« Ca va aller ? »

Je défais alors ses chaînes, et la soulève telle une jeune mariée, entre mes bras. Je sors de la cabine, remonte sur le pont, et file vers le bord du bâteau. Derrière, un cri.

Hey ! L'intrus ! C'est lui ! Il est là ! Attrapez-le !

« Lili, ma belle, j'espère que tu sais nager ! »

Et, la tenant toujours dans mes bras, je bondis dans hors du pont, plongeant dans l'eau avec elle.




Le rivage n'était qu'à une centaine de mètres. Je me hisse sur le quai, puis tend la main à l'ex-prisonnière pour qu'elle puisse monter elle aussi sur le ponton.
J'ouvre aussitôt ma besace. Dedans, rien n'a été abîmé par l'eau, puisque je prend soin de toujours tout emballer ou enfermer dans des bocaux divers. Bien... Mes vêtements sont trempés, mais ça, c'est accessoire. Mon pip-boy va bien, ça c'est l'essentiel !
Je vérifie qu'il ne manque rien dans mon équipement, puis sort l'un des bocaux volés à l'entrepôt.

« J'ai trouvé ce qu'il fallait. »

Je lui souris, un bref instant, avant de poser ma main sur son épaule. Je suis inquiet pour son état mental maintenant. Elle est nue sous sa tenue de paysanne, déchirée en deux à l'avant comme une veste.

« Ca va ? Tu veux qu'on se repose un peu ou tu es prête à repartir ? »

J'aimerais bien qu'on prenne notre temps, parce qu'elle vient de vivre une épreuve... Mais en même temps, le temps est compté pour sa Kira, et nous avons de la route à faire.
Titre: Re : tout a un prix [pv Lone Wanderer]
Posté par: Lili Ivanes le jeudi 10 mai 2012, 22:12:43
Enchainé à ce mur depuis de nombreuse minutes, je peux entendre qu'il y a de l'agitation à l'extérieur.
Ma manœuvre de diversion pour permettre au Vagabond de chercher dans l’entrepôt n'était pas la bonne, j'aurais peux être dû leurs dire que je m'étais perdu, mais les cinq gardes ne se seraient peut être pas déplacer pour me ramener à Nexus.
J'ai sans doute trouvé la bonne excuse pour les éloigner de l'entrepôt, mais je me retrouve maintenant coincé ici, prise au piège dans cette cabine et je ne sais même pas si le Vagabond sais que je suis là, il vas encore falloir que je m'en sorte toute seule.
Et dire que je fait tout sa pour Kira encore une fois...

J'empoigne les chaines qui me relie au mur et tire de toute mes forces à m'en faire mal aux poignets pendant de nombreuses minutes, mais il n'y à rien à faire, sa ne veux pas céder.
Sais vrai que je pourrais utiliser mon pouvoir d'onde de choc pour tenter de faire valser la fixation au mur, mais avec les bras au dessus de la tête, sa ne serais pas facile de viser juste. Je suppose aussi qu'au moindre bruit tout les matelots vont rappliquer pour savoir ce qui se passe et je préfère éviter ça.

Mais toutes ces réflexions deviennent bien futile, quand j'entends des bruits de pas juste derrière la porte, porte qui s'ouvre juste après laissant rentrer le gros qui m'a emmener sur le bateau, un gringalet et un musclé rentre avec lui, je m’assoie par terre, serre les jambes comme pour me faire la plus petite possible.
Ils ferment la porte à clé derrière eux avant de s'approcher de moi le sourire aux lèvres et le regard pervers.
Je commence à avoir peur sur leurs intentions, le gros me salut, jouant encore la comédie en m'appelant petite soeur, que c'est gentil à moi de venir à bord, comme si j'avais eu le choix.
Je le regarde les sourcils froncé alors qu'il me dit

Ça va nous faire un peu de distraction pour le voyage, d'autant plus qu'on part pour plusieurs semaines...

Je déglutis difficilement alors qu'une boule se forme au niveau de ma gorge.
Si je reste plusieurs semaine à bord de ce bateau avec ces matelots, je ne donne pas cher de mon état à l'arrivé.
Eux qui ne côtoie que des courtisanes quand ils ont la chance d'accoster dans un port après des semaines en mer, mais en me ramenant sur leurs bateau, ils vont pouvoir abuser d'une fille autant qu'il le veulent et à tout heure du jour et de la nuit.
J'espère que le vagabond vas tenir sa promesse et venir me sortir de là, en supposant qu'il n'est pas encore dans le hangars à chercher la graisse de troll et qu'il sache ou me chercher, ce que je doute.
Tout mes espoirs de sauver Kira sont en trains de partir en fumée, plus je resterais de temps ici et plus les chance de la sauver serons maigre, sachant que dans trois jours elle mourra.
Le maigrelet enfonce un peu plus le clou en confirmant les dires du gros.

Ouaip, plusieurs semaines. Tu vas en voir, des queues. J'espère que t'as pas le mal de mer, on compte bien te garder en bonne santé. On va te faire manger et boire chaque jour !

Ces salauds vont abuser de moi alors que Kira est en train de mourir, si elle meurs à cause d'eux, je ne pourrais pas le supporter.
S'en suit des rires salaces alors qu'ils s'approchent de moi, si je comprend l'allusion du maigrelet, quand il parlait de me faire manger et boire, j'ai bien peur qu'il ne parlait pas de nourriture.
Le gros demande au deux autres de me maintenir alors que je le vois sortir un énorme couteau de sa ceinture.
Le maigrelet et le baraqué me maintiennent chacun de leurs coté, les bras et les jambes pour que je bouge le moins possible.
Maintenant qu'ils sont aussi proche de moi, je sent leurs odeurs puantes envahir mes narines, ils sentent à la fois le sels, le poisson, la crasse et la transpiration.
sa m’incommode un cours moment, mais vue la situation sa deviens très vite le cadet de mes soucies.
Je commence vraiment à paniquer quand je vois le gros approcher la lame de son couteau vers mon décolleté.

Non... S'il vous plais... Qu'est ce que vous faite...

Ferme là et ne bouge pas! ça serais dommage que je t'abime AH!AH!AH...

Il me dit sur un ton autoritaire.
Je regarde la lame avec appréhension alors qu'il passe la pointe dans mon décolleté.
D'un geste rapide, il fend ma robe en deux, de peur, je retient mon souffle pendant plusieurs secondes, alors que j'ai bien crue que ma dernière heure était venue.

écarté lui les jambes!

Il ordonne au deux autres, qui n'attendaient apparemment que sa.
Je tente de garder les jambes serrées, mais en vain, chacun tirant une jambe de son coté, je ne peux résister bien longtemps à la force de deux hommes.
Le gros écarte les pans de ma robe fendue, range son couteau à sa ceinture, s’accroupit avant de venir d'une main écarter mon string sur le coté et caresser ma petite fente avec un de ces doigts.

Regardez les mecs, une belle petite moule toute fraîche! On va bien s'amuser à la défoncer !

S'en suit des petits rires mesquins, avant que le gros se lasse de seulement caresser ma petite fente et qu'il commence à introduire phalange par phalange son gros majeur jusqu'à ce que la paume de sa main vienne en contacte avec mon pubis.
Je poussent de petit gémissement pendant toute intromission de son doigt tout en bougeant la tête de droite à gauche, avant de lâcher un petit cris quand son doigt est entièrement en moi.

mmmmmh... Non... mmmmh... Pas ça... mmmmmh... AAAAAH...

Il fait alors de rapide et violent allé retour de son doigt dans mon minou, il n'est pas tendre, je gémis et lâche de petit cris plaintifs, mais même malgré la situation, mon corps n'en reste pas sans émoi, mon bas ventre se réchauffe et je sent mon intérieur devenir moite.

mmmmmh... aaaaaaah... Arrêtez... AAAAAH... Non...

Il ne s'arrête pas pour autant, tordant en plus son doigt à l'intérieur de moi, caressant mes douces membranes.

Putain les gars, je crois que nous avons à faire à une bonne salope. N'est ce pas petite soeur, regarde comme tu mouille.

Qu'il me dit, je n'ose même pas regarder, je connais bien mon corps maintenant et je sais que de simples caresses peuvent m'exciter en un rien de temps, encore une des facultés d'être la prêtresse de la déesse de la luxure, avoir une peau ultra sensible et je ne peux rien y faire pour le pas mouiller.

aaaaah... mmmmh... Pitié... oooooh... Je vous en supplie... aaaaah... Ne... AAAAAAAAAAAAAAaaaaaaaaah...

Je lâche un cris de surprise alors que je sent mon string être arraché et un autre de ces doigts élargir ma petite fente en profondeur sans ménagements.
Ces doigts vont et viennent avec brutalité dans ma petite fleur maintenant humide, le claquement de sa paume contre mon pubis résonne dans la pièce.
Je hurle pendant je ne sais combien de temps, sa me semble des heures, je les entends rire de mes réactions, par chance je n'ai pas mal, enfin pour l'instant, j'ai bien peur que la suite soit plus violente.

Je lâche un soupir de soulagement quand il retire enfin ces doigts, j'ouvre à nouveau les yeux pour voir avec horreur ce gros porc se relever et descendre son pantalon à ces genoux.
Dévoilant sans gêne son sexe encore moue noyer dans une broussaille de poils pubien, sa ne donne vraiment pas envie.
Je lève mon regard sur lui pour le voir sourire avant de dire à ces deux comparses.

Puisque c'est grâce à moi qu'elle est là, personne ne verra d'objection à ce que je passe en premier ! Puis débarrasse-toi de ça, t'en auras pas besoin non plus !

Il viens alors empoigner d'une main mon soutient gorge avant de le tirer d'un coup sec, celui ci ne résiste pas et est envoyé à terre, en même temps, la fiole qui contient la "Lys des cimes bleu" tombe à terre et roule jusqu'à un coins de la pièce, heureusement personne ne s'en aperçois.
Mais l'horreur continue alors que je le vois s'approcher encore plus près de moi, une main qui viens décalotter sa verge avant de venir s'amuser à caresser ma poitrine avec son gland, passant d'une montagne de chair à une autre, caressant mes mamelons et s'amusant à jouer avec les anneaux qui si trouve, laissant au passage du liquide séminal.
L'odeur est atroce, ces marins ne doivent pas se laver souvent, sa me dégoute et sa se vois sur mon visage alors que je fait la grimace, faisant aller ma tête de droite à gauche en espérant ne pas sentir cette odeur immonde. 
J'entends mes trois agresseurs rigoler à mes réactions, ils prennent leurs pieds à martyriser une jeune fille sans défense et à leurs merci.
Quand je sent une main empoigner ma chevelure, j'ouvre les yeux, mais je les referme aussi vite quand je vois se gros porc approcher sa chose de mon visage, je lâche même une petite plainte de dégout.

aaaaaah... Noooon... Beuuuurrkk...

Ce porc s'amuse à coller sa queue et ces bourses poilus sur mon visage, il me caresse avec son entre jambe, c'est ragoutant, l'odeur est tellement horrible que je retient ma respiration le plus longtemps possible.
Mais il s'y amuse tellement longtemps que je suis obligé de remplir mes poumons d'air, il m’asphyxie de son odeur nauséabonde, elle est tellement forte que j'en tousse.
Il fini par se retirer avant de me dire.

Tu vas me sucer maintenant, et si t'as dans l'idée de me mordre, je te plante ça direct jusqu'au poumon ! 

Rien que l'idée de prendre sa queue puante dans la bouche me donne envie de vomir, en plus de sa il me menace de me planter son énorme couteau dans les poumons si ne fait mine de la mordre.
D'ailleurs il ne rigole pas puisque je sent la pointe de la lame sur mon cou.
De son autre main il guide son braquemart qui à pris un peut plus de volume et il l'approche de mes lèvres, je détourne la tête, je ne veux pas faire sa, je ne peux pas, je serre les lèvres et les dents, détournant la tête à l'opposer de sa verge.
Commençant sans doute à s'impatienter, il me donne un violente gifle qui me brule la joue avant de me dire.

Tu es à nous maintenant petite salope, alors tu vas faire ce que l'ont te dit, de gré ou de force.
Aller y les gars!


Ces deux comparses lâchent alors mes jambes et viennent maintenir ma tête contre le mur avant de m'obliger à ouvrir la bouche.
Une main sur mon front pour me coller au mur derrière moi, une main qui me pince le nez, une autre qui me tire la mâchoire vers le bas et une autre qui viens serrer mon cou.
Encore une fois en apnée, je ne tiens pas bien longtemps, à peine ai-je ouvert la bouche que ce gros porc approche une nouvelle fois son bassin de mon visage, mais cette fois ce n'est pas pour se frotter à celui ci.
Incapable de refermer la mâchoire puisqu'une main me la maintient ouverte, ce gros dégueulasse fait passer sa queue à moitié bander entre mes douces lèvres et investie ma bouche, il s'engouffre jusqu'à ma glotte avant de sentir sa main empoigner fermement ma chevelure alors que ces deux comparses me lâche.

Il me tire alors du mur avant de faire aller ma tête sur sa queue, il m'impose son rythme qui commence doucement, ma langue et mes lèvres caresse sa hampe, son gland viens heurter ma glotte à chaque fois, je commence à avoir des renvoie de dégout alors que le gout et l'odeur sont infâmes, j'ai envie de vomir, mais je me retiens, je ne voudrais pas que ce soit une raison pour qu'il me passe à tabac.
Je les entends rire, de mon coté mes mains empoigne les chaines pour me donner du courage, je sent le sexe dans ma bouche grandir et prendre de l'ampleur, le rythme qu'il m'impose s'accélère, je pousse des gémissements de plaintes, je recrache comme je peut la bave qui s'accumule dans ma bouche, celle ci dégouline sur ma poitrine.
Le rythme s'accélère encore, je fini par glousser à chaque fois qu'il heurte le fond de ma bouche, jusqu'au moment ou il plaque violemment ma tête contre le mur et qu'il se met à s'enfoncer lui même doucement dans ma bouche.
Mais cette fois ci quand sont gland viens à la rencontre de ma glotte, il continue de pousser, je gémis de terreur, mais il continue forçant de toute la puissance de son bassin. Ma gorge résiste un court moment avant de céder, j'ouvre de grand yeux en pleurs, tire sur les chaines qui me retiennent, me coupant la respiration, il s'enfonce jusqu'à la garde.
j'ai l'impression qu'il me déchire la gorge en deux, venant coller son ventre bedonnant sur la tête ainsi que son bas ventre et ces bourses poilues sur mon visage.
Il se retire doucement prenant un malin plaisir à me voir suffoquer et paniquer, je sent son dard racler ma gorge douloureuse, j'ai à peine de temps de reprendre une inspiration qu'il donne un coup de rein puissant pour me faire ravaler son braquemart jusqu'à la garde.
Il continue de longue minutes, accélérant le rythme au fur et à mesure que le temps passe, je fini par glousser comme une poule et à baver comme une limasse, ma gorge est en feu et bizarrement mon bas ventre aussi.

RRRAAAAaaaaah... Tu es un bonne petite trainer... RRRRAAAaaaaah... Tu vas en vider des couilles ma petite pute... RRRRMMMMmmmh...

Ce salop m'insulte alors qu'il est en age, rajoutant à son odeur déjà putride l'odeur de sa transpiration qui goute sur moi et qui me colle au visage.

Quand enfin il se retire, c'est une vrai délivrance, je tousse et recrache toute la bave qui c'est accumulé dans ma gorge, reprenant aussi ma respiration, je suis exténuer, ma gorge me brule à chaque inspiration, c'est horrible.
J'ouvre les yeux un court moment pour le voir se masturber devant mon visage, les yeux à nouveau fermer, je l'entends pousser un râle avant de sentir d'épaisses salves de foutre chaud et gluant recouvrir mon visage.
Je perd espoir de pouvoir sauver Kira, si le Vagabond avait put me sauver, il l'aurait déjà fait, c'est foutu, je vais passer les prochaines semaines sur ce bateau à servir de pute à tout l'équipage, adieu Kira.

L'un des deux autre matelots prend le relais et m'écarte à nouveau les jambes avant de me dire.

Je vais remplir ta petite chatte ma salope...


Je le sent passer son gland contre mes lèvres vaginal, le long de ma petite fente humide, quand un son de verrou se fait entendre, sur le coup je sent de la tension dans la pièce, des bruits de pas, des choses lourdes qui tombe à terre avant d'entendre une vois familière me demander.

Ça va aller ?

En entendant cette vois, je regagne espoir.

Vagabond... C'est vous?... Je suis contente que vous soyer là...


Il détache mes poignets, je m’essuie le visage avec les mains avant d'ouvrir les yeux.
Les trois matelots sont mort, à terre et en sang, je rabat le reste de ma robe sur mon corps nue et vais chercher la fiole dans le coin de la pièce, je la garde en main alors que le Vagabond me porte telle une marier dans les couloirs du navire.
Quand nous atteignons enfin le pont un des matelots cris.

Hey ! L'intrus ! C'est lui ! Il est là ! Attrapez-le !

Le vagabond se précipite vers l'un des coté du bateau avant de me dire.

Lili, ma belle, j'espère que tu sais nager !

Je n'ai même pas le temps de répondre, qu'il se jette dans le vide avec moi dans ces bras, je hurle pendant toute le chute avant de sentir l'eau fraiche nettoyer mon corps souiller, dans un tourbillon de bulles, je remonte à la surface et suis le vagabond qui se dirige vers le quai.
Au bout de quelques minutes, nous y arrivons, fort heureusement les matelots ne nous ont pas suivies et continue leurs route vers le large.
Le vagabond monte en premiers sur le quai et me tend la main que j’agrippe de mes deux mains pour qu'il me remonte, il peut voir une partie de mon corps nue alors que la robe j'ouvre quand il me remonte, mais une fois sur le quai je rabat les deux pans.

Il vérifie s'il n'a rien perdu pendant que je reste assise sur les planches en bois, regardant le bateau dans lequel j'étais prisonnière, disparaitre au large.
Il me dit et me montre qu'il à trouvé ce qu'il fallait, mais je ne dit rien et continue de regarder au large le soleil qui commence à se coucher.

Je l'entends alors me demander.

Ça va ? Tu veux qu'on se repose un peu ou tu es prête à repartir ?

Je met un certain temps avant de lui répondre.

Sa... Sa vas oui... J'ai... J'ai connue pire... Le soleil est en train de se coucher, il faut se reposer, mais pas ici.
Tu connais un endroit sur pour passer la nuit et ou il y aurait des vêtements pour que je puisse être habiller de façon décente?