Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Centre-ville de Seikusu => Le quartier de la Toussaint => Discussion démarrée par: Eleindra le dimanche 11 avril 2010, 16:45:30
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Il y a une chose qu’Eleindra n’aime pas dans son métier de tueuse : changer régulièrement d’arme. A chaque fois c’est la même chose, elle ne prend pas soin de son matériel et se voit obligé de retourner dans ce quartier où les gens les plus douteux de Seikusu se rassemblent. Avec ses airs de jeune fille frêle bon nombre d’entre eux pensent qu’elle est une future proie facile à avoir. Pour le moment ceux qui ont voulut tester on vite déchantés.
C’est donc pour la troisième fois ce mois ci qu’elle se rend chez son revendeur. Et c’est d’une façon fort peu discrète et des plus joyeuse qu’elle se montre à lui.
- Salut Marco, comment vont les affaires ?
Ce n’est absolument pas son nom mais de toute façon elle lui change à chaque venu. Le type ravi de voir l’une de ses bonnes clientes se fend d’un de ses plus beaux sourires, l’attrape par l’épaule et l’emmène dans un coin tranquille.
- Alors ma grande, t’es venue voir les nouveautés ? J’ai pas mal de choses qui pourraient te plaire.
- Si vous aviez une arme incassable, là je serait vraiment contente…mais bon montrez moi vos trouvailles.
Le revendeur s’exécute et lui ouvre une malle posée à l’arrière d’un camion. Il explique brièvement les propriétés de chacune sans se donner la peine de leurs donner un nom, la jeune femme s’en moque. Eleindra jauge le tout et jette son dévolu sur celle qui soit disant est d’une précision infaillible.
Elle repart satisfaite sans relever lorsque le vendeur lui dit « A la semaine prochaine ». Elle avança tranquillement, regardant sa dernière acquisition et laissant le monde autour d’elle s’évaporer. La demoiselle emprunte une ruelle sans se rendre compte qu’elle se plante de chemin. Après quelques minutes, elle reporte son attention sur les lieux. C’est certain, elle est perdue. Eleindra fronce les sourcils, son inattention lui jouera des tours un jour.
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Onishiru arpentait les rues du quartier de la Toussaint à la recherche d'objet et d'arme qui pourrais semer la mort et le chaos sur terra. Depuis un certain temps, il fréquentait un marchand d'arme clandestine qui lui échangeait des objet précieux de Terra contre des armes terrestres, une affaire en or.
Ce jour là, Onishiru voulait se procurait d'autre de ces fameuse arme à feu, il était accompagné par deux de ses sbire qui lui servait plus pour le dissuasion que pour sa propre protection qui était totalement inutile. Peu de temps avant d'arriver chez ce fameux marchand d'arme, l'homonculus put apercevoir une très belle femme en ressortir, voila un petit moment que le chef de gang ne c'était pas amusé avec de la gente féminine. Il se mis, lui et ses hommes, à la suivre. Sa aurait dommage de laisser une pareil occase lui passer sous le nez.
La jeune femme s'engouffra dans une petite ruelle et montrait des signes très claire qu'elle était perdu. Onishiru ordonna à ses deux gardes de rester à l'entré de cette ruelle pour empêcher les gens d'y rentrer, de plus l'autre coté était bien bloqué donc aucune chance que sa cible ne s'échappe de la sorte.
-excusez moi, mais il semblerait que vous êtes un peu perdu.
Onishiru s'approcha de la jeune femme et osa porter la main frôlant du dos de cette dernière la douce peau de cette belle femme.
-si vous le désirez je pourrais vous aidez, je peu même vous montrer des lieux où le plaisir est au rendez-vous.
La main de l'homonculus se faisait de plus en plus culotté et osa tenter de lui caresser une joue de la même manière de tout à l'heure. Pour Onishiru, si cette belle femme ne voulais pas jouer avec lui volontairement, il s'amuserait avec contre son grès
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Eleindra regarda devant elle et constata qu’elle était dans une impasse. Le mieux était de sortir de la ruelle en faisant demi-tour. Alors qu’elle se retournait elle vit un homme s’approcher d’elle. Il n’eut pas de mal à comprendre qu’elle ne savait pas où elle était et lui proposa son aide. Tout en faisant ces propositions il l’effleura par deux fois. La jeune femme eut un sourire en le voyant faire. Ce n’était pas la première fois qu’un homme venait à elle. Elle avait remarqué que sa tenue de cuir faisait son petit effet ce qui amusait grandement la demoiselle.
La proposition était accompagnée d’une seconde plus éloquente. L’homme avait plus envie de jouer que de lui montrer de jolis endroits. En penchant la tête légèrement de coté Eleindra vit deux autres hommes qui gardaient l’entrée. Donc celui qui était devant elle devait être le chef. Elle testerait l’efficacité de son arme sur ces deux là, pour le chef un autre programme lui serait réservé. Puisqu’il voulait jouer elle n’allait pas refuser l’invitation.
- Ahhh ! Comme je suis contente que vous me proposiez votre aide ! Les lieux ne sont vraiment pas sûrs.
Elle accentua son sourire qui devint un peu plus mutin. Ses yeux reflétaient aussi une certaine malice. Elle s’avança vers lui et s’accrocha à son bras.
- Vous dites bien connaître l’endroit…je serais ravie de le visiter en votre compagnie. Vous avez parlé de lieux de plaisirs mais de quels genres de plaisir ?
Elle resserra légèrement son étreinte et se colla presque contre lui. Elle n’était pas timide pour deux sous et ne voyait pas l’intérêt de faire la farouche.
- Ah au fait ! Je me présente, Eleindra et vous avez-vous un nom ?
Tout en posant sa question elle avait commencé à marché vers la sortie de la ruelle. Après tout, si cet homme pouvait lui montrer de nouvelles choses elle était partante. Elle ne se montrait en aucun cas réticente envers le jeune homme qu’elle trouvait à son goût, du moins d’un point de vu physique.
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La jeune femme semblait appréciait la compagnie de l'homonculus, elle osa même un sourire des plus charmeur. Elle s'accrocha au bras de Onishiru et commença à l'entrainer dans la direction de la sortie tout en lui disant ses mots.
-Vous dites bien connaître l’endroit…je serais ravie de le visiter en votre compagnie. Vous avez parlé de lieux de plaisirs mais de quels genres de plaisir ? Ah au fait ! Je me présente, Eleindra et vous avez-vous un nom ?
« hum... je crois que je suis tombé sur le gros lot, une coquine » se disait Onishiru dans sa tête. Et avec un sourire qui était limite pervers il lui répondit.
-moi on me prénomme de plusieurs nom, le plus courant c'est Onishiru, mais pour vous, vous pouvez m'appelez Oni.
Les deux jeune gens arrivèrent au même niveau des deux garde qui se mirent à les suivrent à une certaine distance.
-faite moi confiance, le genre de plaisir auquel qui nous fait lever jusqu'au septième ciel, mais attention, je parle de vrai plaisir, pas ce que le drogue peut apporter.
« bon sans, qu'est ce qu'elle donne envie dans cette superbe combinaison » l'envi de l'avoir était très forte pour le chef de gang. Toujours agrippé au bras d'Onishiru. Eleindra suivait la où l'homonculus voulais l'amener. Pendant plus de cinq minutes de marche, Onishiru commençait à avoir la main de plus en plus baladeuse. Il effleurait visage et descendait petit à petit le long du corps si désirable. Il allait même jusqu'à caresser furtivement les fesses de Eleindra.
Au bout du moment, ils arrivèrent dans petit immeuble qui avait l'aire abandonné et montèrent au deuxièmes étage. Après avoir ouvert la porte a l'aide d'une clef, Oni invita la jeune femme à entré juste avant d'ordonner a ses garde de rester là. Il la dirigeait vers une chambre dont un grand lit y était installé. Il s'assied dessus avec sa partenaire.
-donc à présent, je vais te faire découvrir le vrai plaisir.
Onishiru se risqua de l'embrasser dans le cou, dans le cas où elle refuserait, il la forcerais. Enfin c'est ce qu'il croyait.
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L’homme se présenta à son tour et lui donna son nom en lui indiquant qu’elle pouvait l’appeler par un diminutif. Ce qu’elle ne ferait pas. Il lui emboîta le pas et reprit la direction des opérations afin de la guider vers cet endroit du plaisir. Lorsqu’ils passèrent devant les gorilles, Eleindra en gratifia un d’un rictus malsain au possible. Bien entendu l’homme ne répondit pas, elle était tout de même au bras du patron. Ce serait dommage d’abîmer la marchandise et risqué pour sa santé.
Pendant qu’ils marchaient Eleindra entendit Onishiru lui dire qu’il pouvait l’envoyer au septième ciel. Allons donc ! Cet homme était bien sur de lui ! Mais malgré tout il avait titillé la curiosité de la jeune femme. Si au départ elle avait l’intention de donner une leçon au garçon, elle se dit qu’elle pouvait changer d’avis. Il pouvait sûrement remercier la simili formienne pour avoir provoqué chez la jeune femme une toute nouvelle curiosité dans ce domaine.
Le guide d’Eleindra ne se gêna pas pour passer ses mains à divers endroits de sa personne. Elle ne s’en offusqua pas et laissa faire. Avec tous ces gestes il avait du voir comment était habillée sa compagne et surtout voir comment se débarrasser des vêtements superflus. Elle ne portait pas une vraie combinaison. Un simple dos nu en haut qui cédait par simple déboutonnage au niveau du cou, un minishort et des jambières. Sous-vêtements inexistants au niveau de la poitrine dos nu oblige. Elle aussi l’observa, son visage l’intriguait. Il avait l’air d’être un type normal mais le fait qu’il ait les yeux rouge sang était étrange. Elle aussi avait des yeux carmin et savait que ce genre de couleur était souvent du à une transformation génétique quelconque. Elle nota ça dans un coin de sa tête en prévision d’un futur interrogatoire.
Eleindra ne fut pas surprise d’être invitée dans un appartement, vu la tournure que prenaient les choses c’était prévisible. Onishiru colla ses deux sbires devant la porte. Craignait il de voir sa conquête partir en courant ? Il la fit s’asseoir au bord d’un lit et lui répéta qu’il avait l’intention de lui faire découvrir le véritable plaisir. Elle nota qu’il avait changé de ton sûrement sans s’en rendre compte, le vouvoiement n’était plus de mise. Il joignit la parole aux gestes en commençant à l’embrasser au niveau du cou. Cette fois ci elle eut une réaction, pas physique mais verbale.
- Le septieme ciel ? Vraiment ?
Elle pencha la tête de façon à avoir ses lèvres aux creux de son oreille en lui mordillant légèrement le lobe.
- Tu as plutôt intérêt à ne pas me décevoir…
Elle avait susurré le tout aussi sensuellement qu’elle savait le faire. Le ton était donné pour le jeune homme, s’il était au niveau de ce qu’il lui promettait, elle serait généreuse en retour. Dans le cas contraire, elle reviendrait à son plan initial.
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Cette histoire commençait plutôt bien. Eleindra c'était penché pendant que Onishiru lui déposait de doux baisé dans le cou et lui murmura qu'il avait pas intérêt de la décevoir. Oni leva sa tête et comme pour la rassuré, il la regarda droit dans les yeux avec son sourire presque malsain et lui dit.
-ho ho, exigeante ? Tu me plais de plus en plus. Rassure toi, sa fait parti de mes habitudes de satisfaire autrui. Laisse toi faire, ferme les yeux et savoure ce moment.
Comme c'était agréable pour Onishiru d'avoir trouvé quelqu'un de consentante. Soumettre quelqu'un était certes excitant mais la c'était assez agréable de ne pas violenter pour avoir ce qu'il désirait. Sur ces mots, Onishiru ôta sa veste dévoilant un t-shirt sans manche et la jeta au sol. Il se pencha ensuite vers Eleindre et se remis à l'embrasser à nouveau dans le cou. Ce coup ci il continua à ce pencher et coucha tout en douceur la jeune femme dans le lit. Onishiru était à moitié sur elle et laissait ses mains vagabonder sur tout le corps de Eleindra cherchant le moindre contact avec la peau de la jeune femme.
La main droite du chef de gang descendit jusqu'au niveau des hanches et s'amusa à caresser en passant de la parti de la jambe caché par le minishort jusqu'à la peau libre. Puis il remonta jusqu'aux fesse pour en agripper une et pour la malaxer fermement.
Sa main gauche jouait avec le dos nu. Parcourant d'une omoplate à l'autre savourant cette douce peau. Après quelque minutes de caresses, la mains vint agripper les boutons qui tenais sa combinaison fermé et avec une certaine habilité déboutonna ce maigre rempare. Tout en abaissant son costume afin de dévoiler sa saillante poitrine, Onishiru suivit tous en déposant de tendre baisé le tracé de la combinaison. Quand sa bouche arriva sur les seins de Eleindra, Oni commença à prendre un des tétons avec la bouche et à le sucer.
La main qui jouait avec une fesse de la jeune femme commença à se montrait plus insistant vers son entrejambe et commença à mettre une pression dessus en espérant pouvoir atteindre ses lèvres interne.
Il était assez rare de voire Onishiru se montrait aussi tendre dans une relation, en général il forcer ses victimes pour son plaisir.
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Une fois qu’Eleindra est limite imposé ses conditions, Onishiru lui rétorqua qu’elle était exigeante. D’un certain point de vue, il n’avait pas tord mais bon, c’était lui qui lui avait parlé d’exaltation suprême. Et puis elle se rendit compte qu’il était satisfait de ça et la convia à le laisser faire.
A ce moment là, Eleindra s’attendait à être plaqué sur le lit et voir son amant la prendre comme un sauvage. Mais non, il se montrait doux et…attentionné ? Sans le savoir le chef de gang venait de s’éviter une éviscération. S’il essayait de la forcer à quoi que ce soit elle lui ferait découvrir une autre de ces facettes, et Dieu sait qu’elle en a des personnalités.
Le jeune homme se débarrassa de sa veste et reprit là où il s’était arrêté tout en la couchant. La tueuse se détendit un peu sous les caresses qu’il entreprenait et soupira d’aise. Elle senti qu’il faisait vagabonder ses mains sur son corps. L’une d’entre elle s’arrêta sur sa fesse et la massa avec fermeté. Eleindra senti par ce contact que le côté plus dominateur du jeune homme n’était pas si loin. Ce n’était pas plus mal.
Même s’il lui avait dit de se laisser faire, elle ne souhaitait pas être complètement passive. Il mènerait la danse mais ne le laisserait pas pour autant tout faire. Elle commença par passer ses mains sur les bras découvert de son partenaire puis en passant par les épaules elle s’attarda sur le torse. Mais celui-ci était toujours couvert par le T-shirt que Onishiru avait oublié d’enlever.
Elle par contre était à présent presque nue. Lorsque son amant commença à sucer ses tétons, elle lâcha un gémissement de plaisir, ses seins se dressèrent. Le désir était en train de naître dans le bas ventre de la tueuse accentué par les gestes de la main passés vers son entrejambe. Elle écarta légèrement les jambes laissant comprendre qu’elle acceptait qu’il aille plus loin dans l’exploration.
Eleindra posa ses mains de part et d’autre du visage d’Onishiru et le remonta doucement vers le sien afin de l’embrasser. Elle rompit le baiser un instant, murmura un vague « désolée » et reposa ses lèvres pleines d’envie sur celles du jeune homme. Elle voulait débarrasser son amant de son T-shirt devenu à son goût superflu sans pour autant le faire cesser ses caresses. C’est pourquoi le pauvre morceau de tissu se vit déchiré et envoyé quelque part dans la pièce. Il pouvait bien faire de même avec son minishort, elle s’en fichait. Elle était enfin apte à disposer de son torse et y faire glisser ses mains en dessinant parfois les muscles ainsi découverts.
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Cette relation prenait une tournure plus intense quand Eleindra décida de se laisser aller à ses envis. Elle chercha alors à embrasser Onishiru ce que ce dernier lui accorda sans y mettre d'objection. Cette femme avait un tempérament plus important que ce que pensait Onishiru. Les deux langue s'entre-mêlèrent l'une dans l'autre, une chose plus que agréable. Pendant cette intense embrassade, Onishiru ne stoppa pas le moins du monde les caresses qu'il prodiguait sur le sublime corps que cette belle femme possédait.
Entre deux embrassade, Eleindra s'excusa et d'un geste rapide et efficace, elle déchira le t-shirt du jeune homme. Ce dernier ce fit aucune remarque la dessus, au contraire il appréciait la tournure des événements. Cela signifiait qu'elle était lancé et que rien ne pourrait l'arrêter. En réponse, Oni renforça ses caresses surtout celle qui se faisait au niveau de son entrejambe.
Onishiru adorait sentir les douces mains de la jeune femme parcourir son torse pendant que ce dernier continuait à l'embrasser. Après un certain moment, Onishiru senti que Eleindra en voulait plus et il allait en profiter pour lui faire découvrir une de ses spécialité.
Il fini par quitter la bouche de Eleindra et se mis à descendre en direction de la poitrine de la jeune femme tous en y déposant des baiser. Mais il ne s'arrêta pas. Il continua sa descente jusqu'au minishort de la jeune femme. Là, il déboutonna le vêtement et ouvrit la braguette. Il donna deux-trois coup de langue sur son bas-ventre avant de lui dévoiler un de ses atout. Il tira sa langue qui se mis à s'allongea de manière incroyable. Étant un être artificielle, Onishiru avait la capacité d'allonger sa langue et c'est ce qu'il fit. Cette dernière s'engouffra tel un serpent dans son minishort à la recherches de l'intimité de la jeune femme. Dès qu'il eut atteins l'entrée du sexe de Eleindra, Onishiru se mis à le lécher abondamment dans son propre vêtement.
Il adorait voir cette belle jeune femme réagir à ses coup de langue et il n'allait pas de main morte. Il sentait l'excitation de la tueuse augmenter au fur et a mesure qu'il donnait des coups de langue. Pris par sa propre excitation, Onishiru usa de sa force pour venir à bout du minishort et de le déchirer comme eut subit son t-shirt. Et au même instant. Onishiru la pénétra de sa langue pour atteindre le fond de son sexe déjà bien stimulé. Il faisait des allé-retour, pliant sa langue pour frôler les moindre paroi vaginal. Bientôt, Onishiru y mettre un autre membre et fera connaitre à Eleindra le sens au mot plaisir.
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Eleindra senti que son amant répondait à sa demande et redoublait d’attention au niveau de son intimité. Il l’embrasait toujours et semblait apprécier. Et puis d’un coup il stoppa et se libéra de l’étreinte de la jeune femme. Quelque peu frustrée de perdre son attention elle tiqua mais comprit vite son projet en le voyant descendre vers son entrejambe. Aucune femme ne pouvait résister à ce genre de traitement.
Elle le regardait descendre doucement en laissant un sillage de baiser. Une fois Onishiru arrivé à destination elle fut surprise par ce qu’elle était en train de voir. La langue du jeune homme s’était allongée pour ressembler à un petit serpent. Ça couplé aux yeux rouges, la théorie de l’être modifié se confirmait pour elle. Ses pensées s’envolèrent quand la langue s’aventura au niveau de son sexe. Elle fut parcourue d’un frisson. Elle ferma les yeux et laissa sa tête retomber en arrière. Elle sentait s’accroître en elle une douce chaleur qui se diffusait à mesure que son amant lui donnait des coups de langue. Son intimité commençait à clairement s’humidifier de cyprine. Sa respiration se saccadait petit à petit et les gémissements de plaisir s’intensifièrent.
- Onishiru…c’est…si…
Elle ne put finir sa phrase interrompue par un gémissement plus fort que les autres alors qu’il insinuait sa langue dans son vagin. Elle sentait les diverses stimulations des va-et-vient. Elle se cambra de plaisir et écarta plus les jambes afin de laisser à son amant un meilleur champ d’action. Elle posa une de ses mains sur l’un de ses seins et se massa doucement pendant que la seconde main se perdit dans la chevelure d’Onishiru. La douce torture rendait la jeune femme brûlante de désir. Elle appréciait le traitement qu’il lui infligeait et commença à onduler du bassin. Son esprit s’échappait pour laisser son corps prendre le contrôle de la situation.
- Oni…
Elle avait prononcé son nom dans un soupir d’aise. Elle appréciait ce qu’elle était en train de vivre mais l’envie d’aller plus loin était devenue plus forte. Elle voulait que son amant passe à l’étape supérieure. Le sentir en elle et contre elle. Eleindra le regardait avec envie attendant qu’il vienne à elle.
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Onishiru labourait copieusement l'intérieur du sexe de Eleindra. Elle gémissait et se cambrait sous les coups de langues de l'homonculus, écartant les jambes comme si elle voulait en avoir encore plus. Comme cela était plaisant à voire. Elle voulut même dire quelque chose mais le plaisir l'en empêcha, oui le plaisir. Il était claire qu'au début, Eleindra doutait des capacité que prétendait Onishiru mais à présent, elle en redemandait.
Après un long moment ou Eleindra subissait les tortures interne prodiguait par le jeune homme, Onishiru retira sa langue et remonta sa tête vers celle de sa compagne tout en parcourant son corps de sa langue et y déposant de sa salive mélangé à la cyprine de la jeune femme. Arrivé à la hauteur de la tête de Eleindra et après que la langue ait repris une taille normal, Onishiru se mit à embrasser la jeune femme afin de partager avec elle le gout salé de la cyprine.
Pendant que Onishiru embrassait Eleindra, il en profita pour défaire son pantalon et de l'abaisser afin de sortir son membre tendu par l'excitation. À l'aide de ses mains, Onishiru écarta les jambe de Eleindra et plaça le bout de son gland contre le sexe mouiller de son amante. Il quitta les douces lèvres et lui dit tous en gardant les yeux fixé contre ceux de la jeune femme.
-cela te convient-il ? Et j'ai pas encore terminé.
Et sur ces mots, il enfonça son sexe au plus profond du vagin de Eleindra. Brulant d'envie, Onishiru partit dans un vas-et-vient assez frénétique. Il pris le cou de Eleindra, d'assaut avec ses baiser tous en la serrant contre lui. Il désirait sentir le doux corps de son amante contre le sien. Petit à petit, le souffle de Onishiru commençait à s'accélérer, « que c'est délicieux » se disait l'homonculus, il sentait son sexe dans le corps de Eleindra et il adorait cela. Il adorait aussi voire sa compagne dans de tel état. Si elle ressentait du plaisir dans tous sa. En tous cas lui, oui et même beaucoup, il avait rarement connu sa.
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Oh que oui, elle avait douté de lui. Elle l’avait prit pour un prétentieux et c’était elle qui s’en mordait les doigts. Elle allait devoir présenter des excuses à celui qui commençait à la rendre ivre de plaisir.
Onishiru remonta enfin vers sa compagne du jour. Il vint l’embrasser et lui fit goûter sa cyprine. Elle ne connaissait pas ce goût mais ne le trouva pas désagréable et répondit avec ferveur à son baiser. Dans un même temps il s’était débarrassé de son pantalon et avança son sexe tendu vers son intimité ruisselante. Il lui demanda si elle appréciait. Evidement qu’elle appréciait sinon elle serait partie en le plantant là ! Enfin ça, c’était avant de voir la langue du chef de gang, elle pensait jusque là qu’il ne pouvait lui tenir tête, mais un certain doute s’installa dans son esprit. Pour toute réponse l’homme eut le droit à un sourire des plus charmeur.
Le moment qu’elle attendait tant arriva. Il s’introduisit en elle avec vigueur. Son plaisir n’en fut que renforcé. Il commença des va et vient énergique et rapprocha son corps du sien. Elle comprit qu’il avait autant envie qu’elle. Elle en fut ravie, que son compagnon prenne du plaisir était aussi important que celui d’en recevoir.
Elle passa ses mains dans son dos et enfonça légèrement ses ongles dans ses omoplates. Pas de quoi le faire saigner mais le plaisir qui l’envahissait devenait si intense qu’elle cherchait à se raccrocher à lui. Onishiru accélérait la cadence. Le corps d’Eleindra réagissait de plus en plus et elle sentait sa cyprine couler le long de ses cuisses. Ses gémissements se transformèrent peu à peu en cris. La tueuse s’abandonnait complètement à son amant.
Elle sentait son souffle contre son épaule et ses baisers dans son cou. La douceur de ces actes contrastait habilement avec la forme de violence que son amant développait dans ses reins. La jeune femme aurait souhaité que cet instant dure éternellement, mais elle sentait la chaleur de son bas ventre qui la conduisait inexorablement vers la jouissance. Elle devinait que son corps allait d’un moment à l’autre exploser.
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Les coups de reins étaient de plus en plus violent et plus rapides. Sa compagne avait passé du gémissement au cris tant l'intensité du moment se faisait violent. Onishiru sentait que la jeune femme s'agrippait fermement à lui enfonçant ses ongles dans son dos. Cela n'était pas désagréable du tous et montrait combien Eleindra était prise dans l'excitation.
Onishiru sentait qu'au fond de lui le plaisir ultime se ferai tantôt ressentir mais que sa compagne aussi était au bord de l'orgasme. Il fallait que Eleindra jouisse avant lui. Une chose était sur pour l'homonculus, c'est que la jeune femme prenait son pied au moins autant que Onishiru lui même. La jeune femme mouillait abondamment quand la cadence des va-et-vient augmentèrent progressivement. Les cris de la jeune amante atteignirent un hauteur qui firent résonner toute la chambre. Ce n'était plus qu'une question de temps avant le grand final.
Onishiru sentit une grande explosion une demi-secondes avant que ce dernier éjacula le tous inondé par un puissant cris provenant de Eleindra. Les deux amants venait de jouir presque en symbiose. Et l'instant d'après, le silence revint dans la chambre. Seul le bruit des respirations des deux amants était perceptible. Onishiru venait de passer un moment qu'il n'avait jamais connu auparavant.
En temps réelle, Onishiru se serai levé habillé et il se serai en allé sans demander son reste, mais là non. Il était tellement bien dans les bras de Eleindra qu'il voulait rester ainsi encore un moment, il n'y a pas de mal de profiter un paisible moment de détente dans les bras d'une ravissante femme. Il mis un bon moment avant de retirer son sexe enduit de liquide interne et de se coucher de sur le dos juste à coter de sa belle compagne. Tentant de reprendre son souffle, Onishiru s'exprima avec son sourire pervers habituel.
-wouaw! Tous mes compliments pour ce moment quasi paradisiaque. Ai-je réussis à combler tes attentes?
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Une fois les deux amants libérés par leur jouissance, ils se reposèrent un instant. Onishiru avait l’air d’apprécier la présence de la jeune femme qui de son coté n’était pas en reste. Elle acceptait bien volontiers qu’il reste contre elle un moment. Quand le jeune homme se retira pour rouler sur le dos il lui demanda si elle était satisfaite de son expérience. En doutait il ? Ou avait il envie de l’entendre le la bouche de la jeune femme ?
Elle se lova contre lui et posa sa tête sur son épaule avant de lui répondre :
- Je dois bien avouer que tu as dépassé mes espérances…
Même si la jeune femme avait été comblée, elle en demeurait néanmoins toujours pleine de désir. Elle caressait le torse du jeune homme avec délectation. Elle se stoppa net. Qu’est ce qui lui prenait de continuer ? Non, elle devait se ressaisir. La proximité d’Onishiru ne l’aidait pas. Elle pensa qu’une bonne douche froide lui serait bénéfique. Elle se leva et se dirigea vers la porte.
- Il y a bien une salle de bain ici non ?
La question ne demandait pas de réponse réelle, c’était surtout fait pour indiquer son intention au chef de gang. Elle hésita un instant. Et puis zut ! Pourquoi se priverait elle d’un bon moment ! Elle se retourna et alla chercher la main de son amant. Sans lui demander son avis elle l’entraîna à sa suite dans la salle de bain. Après tout lui aussi avait besoin d’une bonne douche, non ? Elle l’attira sous l’eau, le cola à elle et l’embrassa tendrement.
Après une courte danse entre les deux langues Eleindra rompit le baiser et lui lança un sourire similaire à celui qu’il lui avait fait précédemment. Elle descendit tout en laissant un sillage avec ses lèvres sur le torse de son partenaire pour finir au niveau de son bas ventre. Elle jeta un œil vers son partenaire et entreprit de redonner sa vigueur à son phallus. Elle posa délicatement l’une de ses mains sur le pénis et commença des caresses pendant que son autre main s’occupait de ses bourses. Elle finit par le prendre en bouche afin de faire des va-et-vient. D’abord court et lent et augmentant le rythme a chaque mouvement. Parfois elle donnait quelques coups de langue au niveau du gland et le léchant de haut en bas. Elle s’activa un moment afin d’accorder suffisamment de plaisir à celui qui lui en avait tant donné mais fit en sorte de ne pas le laisser atteindre la délivrance finale. Elle remonta vers lui et se recolla contre lui afin de mettre leurs deux sexes en contacts. Elle planta ses prunelles dans celles d’Onishiru.
- Dis moi, si je n’avais pas été consentante…que ce serait il passé ?
Elle voulait simplement découvrir une partie de l’autre personnalité de son amant.
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Onishiru était à l'aise dans le lit en train de reprendre des forces, Eleindra c'était mise contre lui et lui faisait quel que caresse sur son torse. Elle lui confia qu'elle ne s'attendait pas à passer un pareil moment. Onishiru était plus que satisfait. Il aurais eut envi de rester ainsi toute la journée mais la jeune femme se leva d'un coup et fit une question qui ressemblait plus à une remarque sur l'endroit où se trouvait la douche.
Eleindra fit demi-tour et alla chercher la main de Onishiru et l'attira dans la douche. Il semblerait que la jeune demoiselle en veux encore. Sous l'eau courante sous la douche, Eleindre et Oni s'embrassaient un bon moment. Puis avec un sourire similaire a celui qu'avait Oni, Eleindra descendit la tête le l'on du corps d'Onishiru pour porter son attention sur son sexe. La jeune femme entreprit de redonner de la vigueur à son membre qui n'attendait qu'une petite attention pour revenir au combat.
Onishiru se laissa aller au caresse que lui prodiguait sa douce amante, il avait échanger leur rôle sans dire le moindre mots. Il posa ses mains sur dans les cheveux de la jeune. Le chef de gang sentait son sexe tendre et son excitation avec. Il n'avait qu'une envi, prendre encore une fois Eleindra ici et maintenant.
La jeune femme se relava et se colla contre Onishiru sentant ainsi le son membre plaqué contre le bas-ventre de son amante. Après une série d'embrassade et se laissa aller dans une série de caresse, Eleindra posa une questions perspicace.
-Dis moi, si je n’avais pas été consentante…que ce serait il passé ?
Le jeune ne s'attendait pas à cela du tous, devait-il lui avouer qu'il l'aurait violé, non pas du tous. Et il serai surement difficilement croyable de dire qu'il l'aurais laissé partir. Onishiru préféra détourner la question avec une autre.
-tu as accepté de me suivre en sachant ce qu'il t'attendrai, pourquoi cette question ?
Les caresse d'Onishiru se montrait un peu plus ferme, surtout sur la main qui s'occuper de ses fesses. Puis brusquement, Onishiru plaqua Eleindra contre la porte vitré et de sa même main leva la jambe de la jeune femme pour la poser contre ces hanches.
-allons te pose pas de questions, amusons nous plutôt. Je sais que t'en meurt d'envie.
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Une fois sa question posée, Eleindra vit le jeune homme réfléchir un court instant pour finalement lui renvoyer la balle dans la figure. En effet, elle était parfaitement consciente de ce qu’il avait l’intention de faire d’elle quand il a « proposé son aide ».
Seulement, elle pensait être en position de force face à lui et avait juste voulu s’amuser un peu. Elle voulait lui donner une leçon, lui montrer que les femmes ne sont pas toutes faibles et qu’elle n’était pas un jouet. Ah c’était une belle réussite… Non seulement elle ne l’avait pas tué mais en plus elle avait délibérément joué avec lui.
- Tu m’as proposé de jouer avec toi, et moi j’aime m’amuser.
Alors qu’elle lui répondait, elle se fit plaquer contre la vitre de la douche. L’acte était plus violent que dans leur rapport précédent. Avait elle réveillé quelque chose en lui ? Ce n’était pas pour lui déplaire. Il remonta la jambe d’Eleindra sur sa hanche et lui demanda d’oublier le questionnaire. Il lui dit qu’elle avait envie de lui mais l’inverse était tout aussi vrai au vu de ses réactions.
Pourtant, il n’était pas allé plus loin que lui lever la jambe, comme pour attendre son consentement. Chose bien étrange pour quelqu’un qui, habituellement, prend sans demander. Elle l’embrassa fougueusement et s’empala elle-même sur le sexe tendu de son amant. Elle commença les va-et-vient en attendant qu’il l’accompagne.
- Je viens de le dire, j’aime m’amuser.
Pour elle c’était une invitation. Ses mains caressaient doucement son dos. Dans un même temps elle déposait des baisers dans le cou de son amant allant parfois jusqu'à le mordre, rien de bien méchant juste de quoi lui montrer où en était son envie de lui.
-
Pourquoi ? Pourquoi ce que Onishiru avait stoppé son acte. En général il demandait jamais rien et prenez ce qu'il voulait quand il voulait, voila même le fondement de son gang. Mais au moment où il voulait la pénétrer à nouveau il se stoppa comme si il attendait un action ou une autorisation de sa partenaire. Mine de rien cette belle femme imposait inconsciemment le respect.
Elle se mit soudainement à embrasser fougueusement le jeune homme et elle s'enfonça elle même sur le sexe de Onishiru et commença les va-et-vient toute en lui disant qu'elle aimait jouer. Sans perdre un instant, Onishir se mit à la suivre dans ses mouvements tout en essayant d'enfoncer son sexe plus profondément possible. Pendant cette série de va-et-vient, Onshiru se montrait plus bestial avec l'idée de lui montrer qui des deux devait dominer.
Onishir leva l'autre jambe de la jeune amante la forçant à s'agripper à lui. Ses coups de reins se faisait de plus en plus violent car il n'était plus qu'une question de plaisir mais aussi de force. Tantôt le jeune homme embrassait Eleindra, tantôt il s'attaquait à son cou. Il chercher à tous pris à lui créer le plus de plaisir possible.
Après un bon moment à donner des coups de reins à faire trembler la porte vitré, Onishiru descendit la jeune femme de lui et se retira de son sexe. Il retourna alors Eleindra et la plaqua à nouveau contre la même porte écrasant ses seins tous contre. Il agrippa ses fesses et enfonça son sexe dans l'anus de la jeune femme aussi violemment qu'avant. Il donner de violent coup contre elle tendit qu'une de ses mains l'enlaça et alla tiraille et jouer avec son clitoris et enfonçant deux doigt dans le sexe trempé de Eleindra. Onishiru voulait plus que la faire crier, il voulait vraiment qu'elle n'oublie jamais ce moment. Tantôt, Onishiru sentirais alors sa jouissance exploser, mais il espérait que Eleindra ait son orgasme avant lui.
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Onishiru prit vite conscience de ce qu’il devait faire. Eleindra avait obtenue ce qu’elle voulait. Il reprit le contrôle des opérations. Il accentua les va-et-vient et Eleindra senti son membre profondément en elle. Onishiru était plus brutal comme s’il voulait prouver quelque chose à sa partenaire.
Le vagin d’Eleindra s’humidifiait de plus en plus, signe que la jeune femme appréciait ce que son homme était en train de lui faire. Au bout d’un moment il attrapa son autre jambe et Eleindra se raccrocha à lui. Elle répondait aux baisers avec enthousiasme. Les va-et-vient devenaient de plus en plus sauvage. Son corps tout entier s’enflammait et elle gémissait de plus en plus fort.
Alors qu’elle était tout à son plaisir, Onishiru stoppa ses actes et retourna violement sa compagne contre la vitre et s’enfonça sans ménagement dans son anus. C’était de bonne guerre, elle l’avait cherché. Elle poussa un cri mitigé entre la surprise et la douleur. Elle se mordit les lèvres afin de contenir d’autres cris. Dans un même temps il avait glissé ses doigts dans son vagin et titillait son clitoris. Elle concentra son attention sur les caresses qu’il lui prodiguait. Peu à peu la douleur laissa place au plaisir. La jeune femme recommença à gémir. Son corps s’emplissait d’une douce chaleur. Elle se cambra et ses hanches accompagnèrent les coups de reins d’Onishiru afin d’accroître son plaisir ainsi que celui de son partenaire. Elle sentait que le grand final allait bientôt arriver.
Elle poussa un cri bien plus fort que les autres. La jouissance était là, comme une multitude de papillons qui parcourait tout son corps. Elle sentait les spasmes contracter ses muscles anaux autour du sexe de son amant. Elle n’imaginait pas pouvoir ressentir un tel plaisir. Elle avait l’impression que son corps ne la supporterait plus.
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Onishiru continuait ses puissants coups de rein dans l'anus de cette pauvre Eleindra qui avait passé des cris de douleur à ce de plaisir. Onishiru sentait clairement l'anus de la jeune femme s'adapter à son sexe plus les coups augmenter plus il sentait en lui le plaisirs l'envahir. Voila un bon moment que le chef de gang travaille cette amante. Aussi soudainement que violemment, un puissant orgasme venait de la dévaster, le jeune homme le sentait clairement en elle du à ses contractions de son anus et la seconde d'après se fut le tour d'Onishiru qui éjacula en elle.
Pendant que les deux amants reprenais leur souffle, Onishiru toujours après Eleindra se pencha et déposa un tendre baiser dans le dos de la jeune femme. Jamais l'homonculus avait eut une relation aussi puissant et jamais il avait apprécié autant faire l'amoure de la sorte. Doucement, Oni se retira de sa compagne et sorti de la douche. Il ignorait si Eleindra finissait de se doucher ou pas et a vrai dire il s'en fichait pas mal.
Onishiru se sécha et s'habilla, il avait des vêtements dans les meubles de cette chambres qui lui appartenait. Après avoir enfilé son pantalon et un nouveau t-shirt sans manche, il rentra dans la salle de bain et s'adressa à Eleindra.
-si tu désires enfiler un nouveau pantalon puisque le tien est un peu détruit, n'hésite pas à fouiller les armoire. À moi que tu veuille te balader à poile et c'est pas pour me déplaire.
Onishire termina avec un petit sourire. C'était vraiment bizarre de sa part de s'inquiéter autant de quelqu'un surtout pas de se qui devait être un de ses victimes à la base. Il ne chercha pas plus et de toute manière il eut pas le temps. Un de ses homme fit soudainement irruption dans la chambre. Cela énerva le chef de gang.
-que fais tu là?! J'ai pourtant ordonner de ne pas me déranger quand je m'amuse.
-toute mes excuse bosse, mais les force de l'ordre à pris d'assaut tous le bâtiment, ils vous cherchent.
Onishiru virra au rouge et commença à crier.
-comment sa ! Il peuvent pas faire sa, pas je suis en train de me détendre. Faite diversion et rendez-vous au lieux de la faille
Onishiru savait qu'il ne pouvait pas mourir ainsi mais il avait plus que horreur de se faire cribler de balle par la police. Il revint dans la salle de bain pendant que son sbire détallait comme un lapin. Il s'adressa à Eleindra avec un petit aire ironique.
-Eleindra chérie, on a un petit soucies. Mais t'inquiète pas j'ai un plan pour nous sortir de là.
Onishiru ignorait tous de la qualité combative de sa compagne et pensait à la sortir de la en utilisant les escalier de secoure tendit que ces homme faisait diversion en tirant dessus les forces de l'ordre.
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Quand Onishiru eut à son tour son orgasme, il déposa un baiser dans le dos. Il était fais avec beaucoup de douceur en complète opposition avec l’acte. Un sourire naquit sur ses lèvres. Il sorti de la salle de bain la laissant seule. Elle en profita pour se laver un peu. Elle changea la température pour avoir une eau plus froide. Elle avait besoin de remettre un peu d’ordre dans son esprit et de se donner un petit coup de fouet.
Le chef de gang passa une fois pour indiquer à sa compagne qu’elle pouvait se servir dans son armoire afin de prendre un pantalon. Mais bon, si elle préférait errer en tenue d’Eve c’était pas mal non plus. En fait elle n’eut pas l’occasion de choisir. Elle entendit la porte d’entrer s’ouvrir dans un grand fracas. Elle écouta attentivement le rapport que faisait le sbire à son patron. La police était là, ce qui n’arrangeait pas trop la jeune femme. Si elle tombait entre leurs mains, elle aurait des ennuis.
Elle coupa l’eau et sorti de la salle de bain en passant devant Onishiru, lui volant un baiser au passage.
- Dommage j’aimais bien la tenue d’Eve !
Même si la situation n’était pas enviable, elle prenait le tout avec le sourire. Elle chercha vite fait de quoi s’habiller. Elle transforma un de ses ongles en une sorte de cutter pour faire une découpe nette du pantalon trop grand. Elle se fichait de savoir si Onishiru remarquerait cette petite originalité. Elle se retrouva avec un nouveau short et remit son haut et ses jambières. Elle alla chercher dans son sac l’arme qu’elle avait achetée plus tôt et la chargea. Cela ne lui prit que peu de temps, elle avait l’habitude d’agir assez vite dans ce genre de situation.
- Alors, quelles sont les règles de ce nouveau jeu ?
Si le boss avait l’air un peu en colère, elle absolument pas et n’avait pas l’air de trouver la situation bizarre. Elle avait cependant noté qu’il avait parlé de faille, il était donc au courant pour Terra. Ou alors elle interprétait de travers ce qui était fort possible.
-
Eleindra donna un baisé à Onishiru tout en sortant de la douche et en plaisantant sur le faite qu'elle aimait bien être ainsi. Elle gardait le sourire et ce chercha un pantalon dont elle se mit à découper avec le bout d'un de ses doigts. Onishiru fut surpris par ce que faisait la jeune femme. Elle avait découpé le pantalon pour en faire un minishorte comme celui qu'elle possédait avait été déchiré par le soin du chef de gang. Cette jeune femme était plein de mystère mais c'est pas le faite qu'elle est découpé le pantalon avec son doigts qui étonna Onishiru le plus mais c'est le faite qu'elle gardait tous le long le sourire. Il était claire pour l'homonculus que Eleindra savait pour l'incursion de la police.
Elle sorti de son étui une arme de très bonne qualité et la rechargea et demandant qu'elle était la suite du jeu. La colère d'Onishiru tomba rapidement. Il se souvint de l'avoir aperçut à la sortie d'un revendeur d'arme et il se dit qu'il était tombé sur une sacré personne en abordant cette jeune femme. Onishiru s'approcha d'Eleindra et la prend dans ses bras, il s'adressa à elle juste après l'avoir embrassé.
-tu sais que je t'aime bien toi? Tu es pleine de surprise. La suite la voici, on va, toi et moi, passer par l'échelle de secoure à mon signal et on va courir de l'autre coté de la rue. Là, il y a un passage secret qui va nous amener directe dans un lieu où se trouve une endroit bien caché.
Onishiru se posait des tas de questions. Cette femme serait-elle en train de faire fondre la pierre qui sert de cœur à l'homonculus ? C'était en effet bizarre le faite que le chef de gang cherche à protéger quelqu'un. Plus le temps de se poser des questions, un violente détonation se fit entendre dans le rez-de-chaussez.
-ha !? C'est notre signal, la police est dans le bâtiment, vas-y passe en première,
Onishiru lâcha Eleindra et la laissa passer en première dans l'échelle et il descendit juste derrière elle. Une fois arrivé en bas, il guida la jeune femme jusqu'au bout de la ruelle et une fois arrivé dans un cul-de-sac. Il enlaça de nouveau Eleindra et la regarda droit dans les yeux juste avant de se faire tomber contre le mur.
L'action se passa très vite. Les deux amants venait de traverser une faille et d'atterrir dans le désert de des terres sauvages de Terra. L'homonculus ne laissa pas le temps à Eleindra de tous compredre et l'entraina dans une sorte de trappe caché à même le sol. C'était un dépôt d'arme et d'objet ramené de la Terre su Terra, son commerce. Il alluma une lampe à huile et s'exclama bien fort.
-bienvenue dans mon entre, tu es la première personne que j'amène ici.
Ils finirent leur chemins dans un sorte de grand bureau richement décoré. Il y avait un grande table de travail et un jolie canapé.
-installe toi, fais comme chez toi, tu veux boire quelque chose ?
-
Onishiru prit la jeune femme dans ses bras pour lui annoncer qu’il l’aimait bien et la suite des événements. Elle se laissa guider par son amant jusque dans la ruelle sans issue. Il l’entraîna dans une faille puis très rapidement dans une trappe.
Ils arrivèrent dans un sous-sol où était entreposer des armes. Elle en conclu qu’il faisait du trafic. Il lui présenta l’endroit comme étant son repaire secret où il n’avait jamais emmené personne. Finalement Eleindra fut conduite dans ce qui avait l’air d’un bureau. L’endroit était assez luxueux. Quand il lui demanda si elle voulait boire quelque chose elle secoua la tête négativement.
Il lui proposa de s’installer, elle avait le choix entre s’asseoir sur la table ou plus confortablement dans le canapé. Elle opta pour une troisième solution, les bras d’Onishiru. Elle passa ses bras autour de son cou et l’embrassa. Elle aimait être en contact avec lui.
- Je suis flattée d’être la première que tu conduis ici…mais n’est ce pas dangereux pour toi ? Après tout, tu ne me connais pas ! Cependant l’inverse est aussi vrai. Il est sûrement temps pour nous de faire réellement connaissance.
Elle marqua une pause et déposa sa tête au creux de son épaule.
- Je vais commencer. Je suis donc Eleindra, mais ça tu le savais déjà, je suis une petite E.S.per avec un pouvoir assez simple, je vois dans le noir. Je suis ce qu’on appelle un tueur à gage. Je tue des gens pour vivre…n’est ce pas ironique ? Et puis je…non, à ton tours maintenant.
Elle voulait d’abord voir sa réaction, après tout il n’était pas obligé d’aimer les tueuses. Pas la peine d’aller plus loin si c’était le cas. Elle resserra un peu son étreinte, bizarrement elle avait peur qu’il la rejette.
-
Onishiru fut agréablement surpris quand la jeune femme l'enlaça et l'embrassa à la réponse de sa question précédente. Machinalement, le jeune homme pris Eleindra dans ses bras pour répondre à son baisé. Elle était touché par le faite que le chef de gang lui montre son repaire et laissa sous-entendre que c'était peut-être dangereux d'avoir fait sa. Cette remarque percuta dans l'esprit de l'homonculus. C'est vrai, il aurait du être plus méfiant que lui arrivait-il ? C'était pas dans ses habitudes de se comporter de la sorte.
Eleindra poursuivit en proposant de ce connaitre un peu plus et commença en se représentant. C'était une E.Sper qui avait la faculté de voire dans la nuit, elle avoua être une tueuse à gage et Onishiru pouvait presque parier qu'elle en avait des regrets dans la façon de montrer la chose. Elle voulut poursuivre mais elle s'interrompit et décida de laisser la parole à Onishiru. Ce dernier sentit l'étreinte de la jeune femme se resserré comme un enfant qui voulait empêcher quelqu'un de partir. Onishiru sourit et continua.
-très bien! Je me nomme Onishiru et je suis alcoolique anonyme!
Il termina sa blague avec un large sourire, mais il se rendit compte dans le regard de la jeune femme qu'elle était pas drôle du tous. Il s'éclaircit la gorge et repris plus sérieusement
-bon d'accord. Comme tu l'as surement remarqué, j'ai beaucoup de matériel et même des hommes, c'est simple, je suis le chef et le leader fondateur d'un gang. Je remarque aussi que tu as l'aire de connaitre terra et les failles, je me trompe? Et bien mon gang à son influence dans les deux plan. Tu peu pas savoir combien on gagne en revendant des choses qui viennent de terra sur terre et inverse.
Onishiru repris sa respiration et se lança dans un sujet plus complexe. C'était pas dans son habitude de dévoiler ce qui allait dire, mais spécialement il le ferai.
-tu est un tueuse à gage, une assassine ? J'aurai du m'en douter en voyant ton fusil, c'est exactement le modèle employer éliminer de loin une cible en silence. Tu es quand même pas là pour me tuer?!
Le sourire s'afficha au lèvre d'Onishiru en voyant la réaction de Eleindra.
-de toute manière c'est pas comme sa que qu'on peut me tuer. Je suis un peu spéciale, mais sa tas du t'en douter. Je ne suis pas un être vivant à proprement parlé, je suis une parodie de l'être humain, une horreur créé par la folie humaine. Et ouais, je suis un être artificielle, homonculus. Tous en moi n'est que mensonge. Ce corps, ce visage ne m'ont jamais réellement appartenu même mes sentiments ne sont que pure invention. Je suis censé ne pas en avoir du tous mais depuis très peut de temps j'ai une étrange sensation en moi.
Bon attention, je ne suis pas un robot, je suis un être de chaire et de sang. La seul différence c'est le manque d'organe et moi. Pas de foie, poumons ou encore de cœur. C'est une pierre qui le remplace. La preuve, si tu écoute mon torse il y a pas de battement, rien!
Onishiru posa la tête de la jeune femme au niveau de sa poitrine pour qu'elle écoute ses dires.
-mais toi? Tu es sur d'avoir tous dit? Alors c'était quoi ces ongle sabre-laser de tous à l'heure ? Sa serai pas sa ton vrai pouvoirs d'E.S.per et que cache tu encore?
Onishiru voulait tous savoir sur cette jeune femme qui était en réalité très mystérieuse. Pouvait-il la faire confiance ? Si oui serait-elle d'accord de rejoindre le Red-Snake? Si elle acceptait, elle pourrait devenir plus que son bras droit.
-
Eleindra écouta attentivement Onishiru lui répondre. Il commença par une blague qui lui valu un regard courroucé. Il reprit son sérieux et lui expliqua qu’il était le fondateur d’un gang dont la vocation était de faire commerce entre Terre et Terra des plus lucratif. Elle réalisa qu’elle devait, sans le savoir, être une de ses clientes par d’autres intermédiaires. Son argent était allé dans sa poche, bravo !
Il s’inquiéta de savoir si elle était venue le tuer lui, apparemment c’était ironique. Il expliqua qu’il n’était pas tout à fait comme les autres, un être artificiel créé par les hommes. Il évoqua le fait qu’il ne pouvait pas être tué par une simple balle. Lui trancher la tête peut être ? Mais de toute façon elle n’avait pas l’intention de lui faire de mal. L’explication de l’homonculus surprit la jeune femme sur certains points. Il disait ne pas avoir de vrais sentiments et ne pas avoir d’organe mais une pierre. Il posa sa tête au niveau de son « cœur » pour qu’elle constate qu’il n’y avait que néant.
Onishiru demanda alors à sa compagne de se décrire plus avant. Il parla aussi de son ongle tout droit sorti d’un film de Georges Lucas. Elle se mit à rire, il n’avait pas tout à fait tort.
- Tout d’abord, ne me dis pas que tu n’as pas de sentiments, ils sont palpable…
Elle se détacha de lui et recula d’un bon mètre en lui faisant signe de ne pas approcher. Puisqu’il n’était pas un humain normal, il pouvait donc voir ce qu’elle était.
- Si tu n’es pas un humain à proprement parler, saches que je ne suis plus tout à fait humaine non plus. La folie a aussi atteint les femmes et plus particulièrement celles de Tekhos. Je suis une ESper et mon pouvoir est bien celui que je t’ai dis, je peux voir dans le noir, qu’il soit dû à la nuit ou encore à la magie. Mon ongle est lui du à une transformation de mon corps. Mon bras gauche est entièrement robotisé et je suis capable de modifier sa structure pour en faire une lame plus tranchante et résistante que ce que tu peux imaginer.
Elle marqua une pause et allongea son bras gauche devant elle. La peau synthétique qui le recouvrait disparu de son avant bras. A présent Onishiru pouvait voir un membre de métal noir. Ses doigt bougèrent un instants pour finalement se rejoindre et la jeune femme les fit fusionner pour en faire une petite lame. Elle laissa son bras reprendre sa forme normale et le rabaissa.
- Ce n’est qu’un petit exemple, la peau est aussi synthétique mais se conforme à la texture de ma véritable peau. – Elle soupira avant de reprendre – J’ai eut une formation militaire des plus avancée physique et cérébrale. Je suis devenue une bonne tueuse mais mon comportement laisse à désirer…j’ai tendance à faire des choses stupides, mais j’arrive toujours à mes fins. A cause de ça, le projet visant à faire de moi une machine complète a été avorté. J’ai eut des autorisations afin de pouvoir sortir de Tekhos et je me suis installée sur Terre. Je ne connais pas encore le prix à payer pour ça mais il doit y en avoir un…Depuis je suis une tueuse à gages sur Terre.
Elle s’arrêta de parler afin de voir si Onishiru avait bien comprit tout ce qu’elle disait. La demoiselle se mélangeait parfois les pinceaux et rendait les explications plus floues qu’elle ne le voulait. Elle s’assit sur la table attendant une autre question ou une remarque quelconque.
-
Eleindra fit une remarque sur les sentiments d'Onishiru comme si il se trompait dessus, avait-elle juste ? Puis, elle se décrocha des bras d'Oni pour se mettre un peu plus loin de lui tous en lui faisant signe de ne pas avancer. C'est à contre cœur que le chef de gang accepta sa requête et il observa la jeune femme qui lui expliquait que elle aussi n'était pas entièrement humaine. Elle tendit son bras en avant et après une explication elle le transforma en quelque chose que Onishiru n'avait encore jamais vu.
Juste après que son bras soit revenu à la normal, Eleindra s'assit sur la table et expliqua du mieux qu'elle pouvait ce qui lui ait arrivé. Onishiru eut du mal de tous comprendre sont récit, mais une chose qui était sur pour lui, c'était le faite que Eleindra était perdu, déboussolé. Onishiru s'assit droit à coter de la jeune femme et commença à lui parler.
-à ces Tékhanne ! Elles se croient les reines de Terra mais elle sont trop peur de sortir de leur ville-bunker. Toutefois, tu as beaucoup de courage de faire ce que tas fais.
Onishiru espérait de pas trop dire de connerie. Il plaça en suite ses mains sur les épaules de Eleindra pour appliquer un léger massage afin de pouvoir détendre la jeune femme.
-allons, ne t'en fais donc pas. Il existe une solution à ton problème. Rejoins le Red-Snake, vient avec moi faire partie de mon gang. Tu jouiras d'une très bonne protection et des tas de truc vraiment sympa.
Onishiru espérait vraiment qu'elle accepte son offre. Se laissant aller, Onishiru se mit à embrasser le creux du cou de Eleindra.
-
Onishiru vint s’asseoir près de la jeune femme et lui expliqua qu’il la trouvait courageuse. Eleindra ne voyait pas trop en quoi elle avait du courage. Si on y regardait bien, elle avait été poussée vers la sortie plutôt qu’autre chose. La tueuse senti les mains de l’homonculus lui masser les épaules. Chose étonnante et agréable pour la jeune femme qui n’avait jamais eut droit à ce genre de traitement.
Le chef de gang reprit son discours en lui disant qu’elle ne devait plus s’en faire et lui proposa de rejoindre son gang. Eleindra n’avait jamais pensé à ce genre de possibilité et pour cause, elle aimait travailler seule. Rien que le fait qu’il lui dise qu’elle bénéficierait d’une protection lui semblait des plus étrange. Il déposa alors ses lèvres sur son cou afin de l’embrasser. Elle soupira de contentement et remonta l’une des ses mains dans la chevelure du jeune homme.
- Tu triches mon ange ! Utiliser tes baisers pour me faire flancher…
Juste après avoir prononcé ces paroles elle voulu s’arracher la langue et la passer plusieurs fois sous de l’eau de javel. Venait elle vraiment de l’appeler « mon ange » ? Il n’y ressemblait pas tant que ça pourtant, c’était ridicule. Elle essaya de ne pas montrer son trouble et répondit à la demande d’Onishiru.
- Tu sais, je suis plus du genre solitaire, et contrairement à ce que tu sembles penser, mon travail de tueuse ne me gêne pas tant que ça. Il m’a permit de développer un certain réseau de connaissances, ma foi, fort utile. Et puis rejoindre ton gang, ce n’est pas que je sois contre mais je ne vois pas ce que je vais pouvoir y faire. De plus, si par protection tu entends me coller deux de tes sbires aux basques, c’est tout comme signer leurs arrêts de mort…
C’était un point sur lequel elle n’entendait pas discuter. Se faire suivre et par conséquent observer par deux types qu’elle allait de toute façon détester, c’est impensable.
Elle descendit de la table lâchant par la même les cheveux d’Onishiru. Elle se planta devant lui posant ses mains sur son torse. Le teint rosi fuyant légèrement son regard.
-
Onishiru fut extrêmement surpris par le déroulement de la situations. Eleindra c'était sans doute laissé aller par les douces attentions de l'homonculus et avais parlé sans réfléchir. Toutefois cela marqua fortement le chef de gang. « mon ange » il ignorait si il devait le prendre sa plutôt bien ou plutôt mal. Il avait jamais fais en sorte qu'on puisse le voir comme étant quelqu'un de bien et ce demandait si elle l'aurait surnommé ainsi si elle savait ce qu'il avait déjà fais et ce qu'il l'aurais fais à elle si elle aurait pas joué son jeu.
Il était près à la violer avant de la rencontrer et à présent il faisait en sorte de la protéger du mieux qu'il le pouvais. « mais que m'arrive-t-il? » se disait l'homonculus. Puis la jeune femme refusa au grand regret du chef de gang l'offre que ce dernier lui avait fait. Elle se leva et se plaça devant Onishiru tous en s'appuyant contre lui. Elle semblait ne pas vouloir le regarder en face, elle devait surement regretter ce qu'elle à dit précédemment.
Onishiru était toute de même triste qu'elle veuille rester libre de ses actes. Il ne pouvait pas la forcer, tous les membres de son gang acceptait volontairement de se joindre à lui. Il se mit a sourire et passa ses mains pour enlacer la jeune femme au niveau du bassin et la tira doucement contre lui.
-je vois ! Je comprend parfaitement et je respecte ton point de vu. Rien ne t'oblige à rejoindre mon gang. Mais sache une chose, n'hésite pas à t'adresser à moi si tu as des problèmes, je ferais en sorte qu'ils soient arranger pour toi. De plus sa serai avec un immense plaisir que je ferais des affaire avec toi.
Onishiru souriait, aussi curieux que cela puisse paraitre, il voulait absolument aider et protéger cette jeune femme. Voyant toujours son regard fuyant, Onishiru attrapa doucement le menton de Eleindra et la tourna pour qu'elle puisse lui faire face. Il se mit à l'embrasser passionnément et des que ses lèvres quittèrent celle de la douce femme il ajouta.
-Je sais que la vie d'un humain est courte, alors pas la peine de la gâcher avec des regrets et des reproche. Sourit profite de la vie, tu n'as tout de même pas n'importe qui dans tes bras.
Il chercha à accrocher le regard de la jeune femme et termina sa phrase.
-quand penses-tu si on allait voir ailleurs ? On peu aller au point de rendez-vous de mes hommes et ensuite on improvise.
Onishiru souriait, il ne s'était jamais senti aussi bien avec une autre personne.
-
Onishiru ne fit aucune remarque à propos du petit nom qu’elle avait lâché. Il n’avait pas du le remarquer, peut-être cela valait il mieux. En même temps ça voulait dire qu’il ne faisait pas attention à ce qu’elle disait, et ça c’était un peu vexant voir frustrant pour la jeune femme.
Onishiru rapprocha la demoiselle de lui avant de lui dire qu’il comprenait son choix. A bien l’écouter elle comprit qu’il pensait qu’elle venait simplement de refuser en bloc sa proposition. Pourtant ce n’était pas vraiment le cas. Elle n’avait pas dit oui, mais en aucun cas elle avait refusé. Voyant qu’elle tentait de se soustraire à son regard, Onishiru prit son menton dans l’une de ses mains et l’embrassa assez fougueusement. Peut-être pour la rassurer un peu. Il lui dit alors une chose qui sembla étrange à la jeune femme. Il plongea son regard dans le sien et lui demanda finalement si elle souhaitait aller voir ses hommes de mains. Elle se rendit compte qu’elle avait complètement oublié qu’ils avaient laissés derrière eux de pauvres types censés les défendre, peut-être étaient ils morts.
- Je n’ai jamais dis que je ne souhaitais pas rejoindre ton clan. Mon souci c’est que je suis actuellement mon propre patron. Personne ne m’oblige à faire quoi que ce soit, je suis libre de refuser un contrat. Alors même si je t’aime bien, me retrouver sous tes ordres et changer de vie une seconde fois, c’est un peu raide. Cependant, si tu acceptes, on peut faire un compromis. Un peu comme tu me le proposais à l’instant, si tu as besoin de moi tu peux toujours m’appeler je viendrais.
Elle lui souri, son regard toujours ancré dans le sien, avant de continuer dans un autre registre.
- Qu’entend tu par « la vie d'un humain est courte », la tienne est plus longue ?
Après tout Onishiru ne lui avait pas précisé qu’il était immortel. Elle ne releva pas le fait qu’il lui dise qu’elle était dans les bras de quelqu’un qui n’était pas n’importe qui, ne sachant pas trop si ça allait avec son statut de chef de gang ou celui de créature.
– Si tu veux qu’on sorte, j’en serais ravie. Comme ça je pourrais voir de quoi il retourne chez les Red-Snake ! Cela me fera peut-être changer d’avis…qui sait ?
Elle ferma les yeux et embrassa tendrement Onishiru avant de lui laisser l’occasion de répondre à ses questions.
-
Le deux amants d'un jours se regardait toujours dans les yeux. Eleindra expliqua à Onishiru qu'elle n'avait pas refusait mais elle se voyait mal d'accepter de changer de vie. On une chose semblait être sur, quel sera le choix de Eleindra, l'un pourra compter sur le soutien de l'autre et c'était tous ce que qui pour Onishiru. Puis vint un moment ou elle posa cette question. La question sur la longévité de la vie d'un homonculus. Pourquoi il lui avait dit qu'un humain sa ne vivait pas longtemps?
Puis elle ajouta son désir de sortir de cette entrepôts. Elle fini par embrasser Onishiru de manière tendre et très enivrant. Puis elle le regarda comme si elle attendais une réponse. Onishiru savait qu'elle réponse elle attendait mais il fit comme si il y pensait plus. Un nouveau sentiments avait naquit en lui, un sentiments très désagréable, il ne pouvais l'expliquer mais c'était comme si il pensait que si Eleindra apprenait que l'homonculus ne périra jamais par la vieillesse. Oui il avait peur, un sentiments qu'il ne connaissait pas et il était sur qu'il ne l'aimerais jamais.
-alors on y va ?
Dit-il avec le sourire. Il passa un bras autour de la jeune femme et l'entraina avec lui vers l'échelle de la sortie, il en profita pour lui mettre la main au fesse, il le faisait pour s'amuser un peu. Une fois en dehors, Onishiru aida Eleindra à en sortir et lui dit tous en se rappelant d'un petit détail.
-a merde! Ce lieu de rendez-vous et à plus d'une heure et c'est dans le désert. Je ne crains que se soit trop risqué pour toi. Tu veux revenir sur terre? Je connais une faille qui te ramènera dans un endroit discret, loin des regard indiscret
comme Onishiru ne pouvais mourir, il pouvait supporter des conditions climatique très rude et il n'avais aucune envi de faire courir des risque à la jeune femme.
-
Onishiru éluda, encore une fois, sa question. Il devait avoir peur de quelque chose et surtout cachait de nombreuses choses à Eleindra. Elle pensa qu’il manquait très clairement de confiance en elle. Néanmoins cette dernière avait bien l’intention de connaître le fin mot de l’histoire. Il ne s’en sortirait pas toujours avec un sourire. C’est que la tueuse à un coté buté parfois.
C’est donc sans répondre à sa belle que le chef de gang invita Eleindra à sortir. Il l’entraîna vers l’échelle afin de la faire monter sans omettre de lui toucher le fessier, chose qui visiblement l’amusait. Elle ne put s’empêcher de sourire. Une fois à l’extérieur l’homonculus annonça à la demoiselle que le lieu de rendez vous était assez loin et qu’elle allait sûrement prendre des risque. Elle leva un sourcil avant d’avoir un petit rire léger.
- Ce n’est pas une heure de marche sous le soleil qui va me faire peur, tu peux remercier les Tekhanes pour ça. Mon organisme est plus résistant que celui des humains, ne t’en fait pas.
Elle commença à marcher dans la direction du rendez vous. Au fur et à mesure qu’ils marchaient les traits de la jeune femme se durcissaient. Puisqu’ Onishiru ne voulait pas parler elle allait le faire pour lui, quitte à lui déplaire.
- J’aimerais savoir ce qui te fait peur chez moi pour que tu « oublies » de répondre à mes questions. Je vais donc faire un brin de Sherlock Holmes. Si tu penses que je suis suffisamment idiote pour ne pas savoir ce que tu avais l’intention de faire de moi au départ, tu te trompes. D’ailleurs vu comment cela s’est présenté je suis quasiment certaine que je n’étais pas la première. Etrangement, ça ne me gêne pas. Je ne dis pas que ça me plaise non plus…mais j’ai moi-même fais des choses peu recommandable, comme la torture sur mes pauvres victimes. – Elle soupira avant de reprendre – Passons à toi, tu es un être créé. Le fait que tu ne répondes pas à ma question sur la durée de vie d’un humain me porte à croire que la tienne est plus longue. De plus tu parles de ma souffrance face à cet endroit alors que pour toi tu ne mentionnes pas de souci particulier. Ton organisme est donc plus résistant ou alors tu as une bonne régénération.
Elle s’arrêta de marcher et le regarda droit dans les yeux.
- Alors dis moi, de quoi as tu peur pour ne pas me dire ce que tu es ? Je ne vais pas m’enfuir, sois en certain. Tu comprends moi…je…je suis…enfin tu vois, je suis…
Elle se retourna afin de cacher ses joues devenues écarlate.
- Je crois que…non je suis sûre de ça…je suis en train de tomber amoureuse de toi !
Finalement, elle avait envie de s’enfuir, loin, très loin. Mais elle resta là, figée, attendant la sentence d’Onishiru.
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Pendant leurs marche, Eleindra s'adressa à Onishiru d'une manière déterminé. Ce qu'elle lui dit le toucha directement en lui. Elle voulait tous savoir et sa c'était pas très bon. Il devrait la tuer si elle continuait à toujours vouloir tous connaitre, mais cela Oni savait qu'il allait jamais y arriver, non seulement parce qu'elle était une coriace tueuse à gage mais il y avait aussi autre choses qui l'empêchait d'agir contre elle.
Eleindra fini par avouer ce qu'elle ressentait pour le chef de gang. Sur cette déclaration, Oni sentit une vive douleur à sa poitrine. La pierre qui lui servait de cœur était chargé d'énergie, comme si elle allait exploser. Il eut énormément de peine de cacher cette douleur face à la tueuse. Puis ce regard persistant était insoutenable.
-tu veux vraiment savoir ? Très bien.
Onishiru du se laisser tomber tant cette pierre le faisait souffrir.
-comme je te l'ai dit je suis un homonculus, un être artificielle et à ce titre je ne vieillit jamais, je suis en quelque sorte immortel. Il existe un moyen de me tuer et j'ignore lequel c'est.
Onishiru s'attrapa la poitrine, cette douleur était affreuse pour lui et elle voulait pas partir.
-attend deux seconde, je reprend juste mon souffle. ...ouf... mais c'est bien beau tous sa, je suis peut-être immortel mais il me manque quelque chose, et cette chose et une âme, il me manque une âme comme vous les humains. Ma vie est morne, je suis une enveloppe dont les sentiments et sensation son purement faux et inventé.
C'était ça qu'Onishiru voulait réellement cacher à Eleindra. Il avait peur ou il croyait avoir peur, que la jeune femme s'en aille.
-attend j'en peu plus, je sais pas ce que j'ai, mais j'ai trop mal. Aide moi je t'en supplie, la-bas il y à des grottes on peut se réfugier pour la nuit.
Onishiru montrait une chaine de montagne au loin, la nuit allait pas tarder à arriver. Onishiru se demandait pas si il était en train de mourir. Était-ce sa la façon de le tuer? Une femme amoureuse? Il était pourtant persuadé que seul un alchimiste pouvait le tuer.
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Voilà, elle avait voulu savoir la vérité, elle savait. Pourtant la réaction du jeune homme ne fut pas vraiment ce à quoi elle s’attendait, dans le meilleur des cas elle le voyait lui rire au nez. Au lieu de ça il semblait souffrir. Si lui avait l’air de ne pas comprendre ce qu’il se passait, elle si. Il avait des sentiments et son organisme n’étant pas prévu pour ce genre de chose se défendait. Cela irrita Eleindra.
Quand il lui demanda son aide pour l’emmener dans une grotte qui bordait les montagnes au loin, elle s’activa. Elle passa son bras autour de son cou et l’aida à marcher. Une fois la grotte en vue elle le déposa sans ménagement contre une des parois et ressorti pour trouver un peu de bois. Revenant avec de quoi faire un feu, elle craqua de façon violente les pauvres morceaux de bois et s’évertua à les enflammer. Elle ne parlait pas, pas même un mot de réconfort envers Onishiru et encore moins une action qui pourrait le soulager. Non, rien de tout ça. Au bout d’un moment elle lui jeta un des morceaux de bois à la figure.
- Alors quoi ? T’es pas foutu d’assumer ? Tu préfères laisser cette foutue pierre dicter sa loi ? C’est décevant ! J’aime pas les hommes faibles.
Elle le toisait du regard comme si elle lui était bien supérieure. D’ailleurs c’est ce qu’elle pensait à ce moment là.
- Faut être un peu plus égoïste que ça dans la vie et pas laisser autre chose que soi-même décider de ce que l’on souhaite accomplir. Mais apparemment t’es incapable de faire ça !
Elle s’installa à l’opposé contre la paroi adverse, bras croisé, le feu entre eux comme une barrière. Elle n’attendait qu’une seule chose, qu’il lui dise que sa poitrine lui faisait mal. Oh ça oui elle attendait que ça…et elle lui montrerait ce que le mot douleur signifie réellement.
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Onishiru fut très surpris par la réactions de Eleindra. Elle se montrait brusque avec lui lors de leur déplacement. Une fois arrivé dans une grotte, elle lâcha l'homonculus qui heurta assez brutalement le sol. Rien dans les gestes de la jeune femme n'était tendre ni affectueux. Dès qu'elle allé du feu elle alla s'installer de l'autre coté de la grotte juste après lui avoir lancé un morceau de bois à la tête. La réactions de la jeune femme énerva l'homonculus, elle s'adressa à elle comme étant un être faible qui était commandé par une vulgaire pierre.
« comment ! » se disait Onishiru outré, comment cela était possible, il s'était montré doux et affectueux auprès d'elle et à présent elle le traitait comme le dernier des moins que rien. Onishiru était quelqu'un d'important et surtout c'était pas n'importe qui. Pendant un bon moment il ne dit rien. Comment pouvait-il être tombé aussi bas, il allait lui montrer qui il était, même si plus tard il allait le regretter d'une façon où d'une autre mais il allait pas se laisser se faire rabaisser de la sorte par une simple tueuse à gage.
La vrai nature d'Onishiru refait enfin surface et il chassa de ses pensés cette horrible douleur qui ne le lâchait pas. Il se mit debout et se dirigea vers Eleindra comme si il voulait lui dire quelque chose et à la grande surprise de cette dernière, il l'agrippa violemment par la gorge et la força à ne pas bouger pendant que Onishiru lui vola un long et langoureux baisé. Juste après que leurs lèvres se séparèrent, Onishiru repoussa assez fortement Eleindra contre le sol. Il ôta sa longue veste.
-alors comme sa je ne suis un homme faible?
Il se baissa au niveau de la jeune femme et l'attrapa par les cheveux pour la forcer à le regarder droit dans les yeux pour qu'elle puisse voir sa détermination.
-nous allons nous amuser un peu à ma façon, montre moi ce dont tu est capable avec tes petits couteau la tueuse!
Onishiru voulait voire ce qu'elle avait réellement dans le ventre. au début, Onishiru avait dans l'idée de la forcer à le faire plaisir, mais vu son caractère, il valait mieux lui prouver qu'il ne plaisantait pas du tous.
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Alors qu’il n’avait rien dit jusqu'à ce qu’elle se pose en face de lui, Onishiru sorti de sa torpeur et se dirigea vers Eleindra. Il l’attrapa par la gorge afin de la faire se tenir tranquille et il l’embrassa. Une fois séparés, l’homonculus repoussa violement la jeune femme au sol avant de lui agripper les cheveux pour qu’elle le regarde droit dans les yeux.
Il lui expliqua qu’il voulait s’amuser d’une façon qui était bien la sienne et la provoqua. Puisqu’il la regardait toujours bien en face, il pouvait voir sur son visage se dessiner un rictus malsain et ses yeux s’emplir de folie.
- Comme tu veux…
Elle attrapa le poignet de la main qui lui retenait les cheveux et serra autant qu’il le fallait jusqu'à ce qu’il lâche prise. Une fois chose faite, elle lui enfonça ce qu’il avait appelé « petits couteaux » en bas de son abdomen. Dès que la lame fut à l’intérieur elle le repoussa contre une paroi afin de l’empaler contre celle-ci. Elle remonta son bras jusqu'à son épaule le découpant ainsi en presque en deux. Elle s’en voulu de lui faire mal mais ne le montra pas.
Son bras redevint normal et elle regarda, non sans une certaine fascination, Onishiru se soigner. A peine l’action terminée elle posa ses deux mains au niveau de ses épaules et se laissa tomber sur le dos. Arrivé sur le sol elle posa l’un de ses pieds là où elle venait de le perforer et le fit passer par-dessus elle afin qu’il atterrisse directement sur le feu. Elle ne lui laisserait pas le temps de se relever qu’elle s’installa à califourchon sur lui. Le feu était éteint mais les braises continuaient d’agir dans le dos de l’homonculus. Elle abaissa la tête pour que ses lèvres soient au niveau de son oreille.
- Pardonne moi, mais je ne savais pas quoi faire d’autre. – Elle posa l’une de ses mains sur ce qu’elle pensait être la pierre. – As-tu toujours mal ?
Le tout avait été dit de façon très douce et elle l’embrassa dans le cou.
- Fais ce que tu veux à présent, puni moi comme tu l’entends. Si tu veux que je frappe encore, tu seras satisfait…
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alors que Onishiru agrippait fermement le cou de Eleindra, cette répondit brièvement à sa menance et elle commença à se libéré de l'étreinte de la puissante poigne. Onishiru pouvait aisément maintenir cette enclave tandis que Eleindra insistait pour qu'il lâche mais si elle continuait ainsi, Oni pourrait la tuer vu toute la puissance exercé par sa main. Il décida donc de la libérer. De toute manière il savait à quoi s'attendre avec et la suite ne le surpris guère, il s'y attendait même.
Eleindra sa libéra enfin et enfonça dans le ventre sa puissante lame. Un bref mouvements et la jeune femme entailla tous le torse de l'Homonculus. Une énorme fente lui traversait tous le corps giclant une grande gerbe de sang et l'instant d'après le pouvoir de régénération fit son travail et soigna le chef de gang. Cette vive douleur réveilla l'homonculus.
La jeune femme s'agrippa à Onishiru et avec une prise en roulade envoya valser le chef de gang direct dans le foyer étouffant les flammes du même coup. Juste avant de reprendre ses esprit, Eleindra s'installa sur Oni et d'une vois digne des murmure d'amour sous la couette, elle lui demanda tous en posant la main sur sa poitrine directement sur le cœur de pierre, si il souffrait toujours. Après un doux baisé dans le cou, elle ajouta qu'il pouvait user d'elle comme il le voudrait.
-j'ai mal ? Oui toujours... j'ai mal de toi.
Il appuya sa main contre la tête de la jeune femme et l'attira contre lui pour l'embrasser avec toute l'envi et la passion qu'il n'avais jamais connu. La douleur des morceau de brais qui avais brulé ses vêtement et sa peau couplé avec l'effet que cette femme créait dans son cœur, Onishiru se sentait comme un véritable être humain. Pendant que les deux amants s'embrassaient, Onishiru fit pivoter le couple et il se retrouva sur elle. Il cessa ses baisé et dit d'une voix calme et désireuse.
-je te veux...je te veux ici et maintenant.
Sur ces mots, Onishiru agrippa de nouveau les cheveux de la belle et les tira pour la forcer à lever la tête. L'homonculus en profita pour y déposer de langoureux baisé direct dans le creux de son cou.
-
Onishiru répondit à la question de la jeune femme en lui disant qu’il avait mal d’elle, était ce sa façon de lui dire que…? Sans lui laisser le temps de réfléchir plus avant, il lui attira le visage vers le sien pour y sceller un baiser. Celui-ci était différent des autres, il était bien plus intense, plus parlant que n’importe quel mot. Elle y répondit avec cette même ardeur. Pendant leurs embrassades, l’homonculus fit basculer le couple afin qu’il se retrouve sur elle et lui dit qu’il la voulait, là tout de suite. La phrase ressemblait à un ordre.
- Si telle est ma punition, je m’y plierai…non sans plaisir.
Le jeune homme lui attrapa les cheveux pour lui faire lever la tête. C’était la seconde fois qu’elle avait le droit à ça. Il se montrait plus dominant que dans l’appartement. Aussi son cerveau se posa des questions qu’elle formula à son amant.
- Tu veux me prendre mais…tu me veux comme tu les a eu elles ? Comme ces filles…
Bien sur, elle parlait de celles qu’il avait violée, prise de force et brutalement. Elle savait que c’était une mauvaise chose et pourtant elle s’en fichait. Pur égoïsme ou inconscience totale, elle ne savait pas. Cela n’avait rien d’un reproche, elle lui avait dit qu’il pouvait disposer d’elle comme il l’entendait, elle voulait savoir jusqu’où elle devait aller. Elle serait peut-être légèrement déçue d’être considérée un peu comme ces pauvres filles mais elle passerait outre.
Les sensations qu’elle éprouvait en sentant les lèvres d’Onishiru dans son cou firent monter le désir chez la jeune femme. Elle remonta ses mains dans le dos du jeune homme et appliqua le même traitement au morceau de tissu que pour le précédent T-shirt, de toute façon il était foutu. Elle ne savait pas trop si elle devait le suivre ou attendre qu’il lui réponde. Peu lui importait son choix, elle ne voulait que lui faire plaisir et s’y conformerait. Elle était prête à faire l’impasse sur le sien pourvu que ça lui plaise.
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Pendant que Onishiru donnait ses baisé dans le cou, Eleindra lui posa alors cette question. Encore et toujours des question, c'était rarement bon de vouloir trop savoir et cela commençait à exaspérer Onishiru, ou au contraire, il adorait ces questions car il pouvait les utilisé comme excuse plus tard. Onishiru était un peu perdu dans ce domaine là et il s'en fichait, il avait de quoi s'amuser et il allait pas s'en priver. Juste après que Eleindra ait détruit la veste déjà bien abimé par les braises, Oni lui répondit instinctivement.
-non pas comme toute les autres, toi je veux te garde avec moi, tu es à moi. Cesse donc avec ces question!
Et sur cette ordre, Onishiru l'embrassa fougueusement comme pour la faire taire. Ne cessant pas ses baisé, Onishiru tira d'une main sur le haut de Eleindra défaisant les bouton ou même en les cassant, cela n'avait pas vraiment d'importance pour l'homonculus. La belle poitrine de sa « proie » était à présent à l'aire libre et aussitôt sa bouche pris d'assaut un de tétons. Onishiru était brusque dans ces mouvements révélant en lui un désire et une bestialité hors norme.
Pendant que sa bouche faisait subir sa sentence sur les seins d'Eleindra, une de ces main s'engouffra dans son pantalon et deux doigt la pénétra directement dans son sexe faisant de rapide mouvements de va-et-vient. Il voulait faire subir à Eleindra tous ce qu'il avait enduré grâce à elle, il voulait lui faire subir la même chose mais par le plaisir.
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Lorsque Onishiru répondit à la jeune femme elle senti une pointe d’agacement mais ses paroles firent s’envoler toutes les craintes de la demoiselle. Soit, elle ne poserait plus de questions, de toute façon elle comprit bien qu’il n’allait pas lui donner l’occasion de formuler quoi que ce soit. Il l’embrassa avec passion tout en libérant d’une main la poitrine de la jeune femme.
Il s’empara avec sa bouche d’un des seins d’Eleindra sur lequel il s’activa avec une certaine rudesse. La tueuse remarqua qu’il était plus brutal que dans l’appartement, ou sauvage, elle ne savait pas trop. Toujours était il qu’il semblait vouloir la dominer totalement. C’était loin de déplaire à la jeune femme, bien au contraire. Cette sensation de soumission l’excitait grandement. Il était rare pour elle de trouver quelqu’un qui soit capable de se montrer plus fort qu’elle. C’était peut-être ça qui lui plaisait…
Eleindra sentait en elle monter doucement le désir à mesure que son amant s’occupait de sa poitrine. Quand ce dernier insinua ses doigts dans son intimité, elle se cambra guidée par une vague de plaisir qui lui fit lâcher un gémissement. Au fur et à mesure qu’Onishiru faisait ces va et vient, la demoiselle ne cessait d’éprouver de plus en plus de satisfaction. Son vagin s’humidifiait sous l’effet du traitement que lui infligeait son amant. Son désir s’affirmait plus rapidement que dans leurs rapports précédents. Elle poussait des gémissements de plus en plus fort qui résonnaient dans la caverne. Sa main alla dégrafer son mini short dont elle voulait se débarraser.
- Prends moi…maintenant !
C’était un souhait qu’elle exprima dans un soupir, tel un ordre. Elle avait dit ça sans vraiment faire attention au ton qu’elle avait employé. Son envie la guidait entièrement.
-
alors que Onishiru donnait toutes sont attention dans les caresse qu'il prodiguait dans le sexe de Eleindra, ce dernier senti la main de la jeune femme dégrafer son mini short et l'instant d'après elle lui demandait de la « prendre » enfilant un troisième doigts dans le vagin de Eleindra, Onishiru retira sa tête du sein dont il avait commencé à mordiller et vont embrasser la jeune femme. Après ce baisé qui avait été sauvage il murmura à l'oreille de son amante.
-je n'oublie pas comment tu m'as traité.
Onishiru faisait allusion au faite qu'elle l'ai brusqué et rabaissé. Il baissait son attention jusqu'au bas-ventre de la jeune femme et retira ses doigts du sexe complétement humide. A l'aide de ses deux main abaissa le mini-short déboutonné pour le retirer totalement mettant à nue la jeune femme. Il posa ses mains sur les hanche de la tueuse et donna un coup de langue directement sur l'entré de l'intimité et il annonça d'une voix forte et presque dominatrice.
-si tu veux que j'assouvisse ta demande! Tu vas devoirs me supplier.
Et d'un coup, il enfonça sa langue d'homonculus dans le vagin de son amante. Il s'amusait à lui faire subire toutes sorte de supplice avec sa langue. Butter contre le fond vaginal, plier la langue pour écarter les parois, allé et retour sans ménagement. Onishiru attendit le temps qu'il fallut pour que son amante le supplie dans par des cris.
Quand l'homonculus eut ce qu'il voulait, il retourna Eleindra face au sol et enleva à son tour le reste de son t-shirt débraillé par l'entaille reçut et ensuite il défit son pantalon pour sortir son membre tendu par l'excitation provoqué par les cris de la jeune femme. Il agrippa a nouveau les hanches d'Eleindra et la força en la soulevant à la mettre sur ses genoux. Il plaça son puissant membre droit posé contre l'entré du vagin de sa victime.
-je t'aime tu sais? YAAA!!
et d'un coup brusque et puissant, Onishiru pénétra la pauvre Eleindra. Il n'attendit pas pour se lancer dans une séries de va-et-vient de plus en plus violent. Les deux corps claquait l'un contre l'autre dans un fraqua rendu encore plus sauvage par les raisonnement de la grotte et dans un acte dominateur, Onishiru agrippa les cheveux de la jeune tueuse à gage. Elle ne devait sans doute jamais avoir été prise de la sorte. Il la tira jusqu'à ce qu'elle ait son dos collé contre le torse du chef de gang. Aussitôt, Onishiru utilisa son autre main pour attraper un des seins d'Eleindra et le malaxer fermement sans pour autan lâcher ses cheveux. Il ajouta à cela des nouveau baisé dans sur la joue de la jeune femme avant de descendre dans le cou.
-
Onishiru prit un malin plaisir à insinuer un doigt supplémentaire dans l’antre humide de sa compagne suite à sa demande. Le jeune homme revint ensuite l’embrasser avec véhémence avant de lui dire au creux de l’oreille :
- Je n'oublie pas comment tu m'as traité.
A ce murmure, la jeune femme eut un léger doute, voulait il dire par là qu’il allait se venger et lui faire du mal ? En même temps si elle s’était montrée douce et compréhensive, serait il sorti de sa léthargie ? Elle en doutait. Le chef de gang reporta son attention vers l’intimité de sa jeune proie. Il retira ses doigts pour les remplacer par sa langue serpentine juste après lui avoir annoncé que si elle en voulait plus, elle devait le supplier.
Il n’eut pas trop de mal à obtenir gain de cause, la jeune femme, sous l’effet du traitement particulier de l’homonculus, ne cessait de gémir de façon sonore. Ses doigts s’enfonçaient dans le sol jusqu'à avoir mal. Au bout d’un moment, probablement satisfait de l’entendre crier, Onishiru stoppa sa torture, retourna la jeune femme sur le ventre et la força à se positionner à quatre pattes. Eleindra sentit alors le membre de son amant, tendu d’excitation, au niveau de l’entrée de son antre ruisselante de cyprine.
- Je t'aime tu sais ?
La jeune femme fut autant surprise par les paroles que par l’acte qui suivit. Il s’enfonça en elle avec brutalité et se mit à faire des allers-retours montant crescendo en intensité. Toujours dans l’optique de se montrer dominant, l’homonculus tira la jeune femme par les cheveux la forçant ainsi à se coller à lui. Serrée au plus possible contre le torse d’Onishiru, elle accompagnait les mouvements de bassin au rythme imposé par son amant. Sa cyprine coulait le long de ses cuisses jusqu'à tremper le sol. Ne boudant pas son plaisir, elle criait sans gêne son bien-être accentuant les résonances de la grotte.
La jeune femme remonta sa tête jusqu'à la poser sur l’épaule de son amant et elle murmura au creux de son oreille :
- Moi aussi je t’aime…
Si elle n’avait pas eut déjà les joues en feu dû au plaisir, peut-être qu’Onishiru aurait pu voir qu’elle rougissait. Elle tourna son regard vers le sien et chercha à l’embrasser avec douceur, du moins si cela pouvait ressembler à ça au vu de la façon d’agir du chef de gang.