Max savait que mettre un pied dans le nexus et y devellope un business avait toujours été dangereux et instable. Il en était ainsi des dimensions gouvernés par des lois naturelles non euclidiennes comme la magie où le chaos. Mais les bénéfices d'un trafic d'esclaves exotiques vers les autres strates de la réalité avaient atteint de tels sommet que le danger d'un tel business ne pensaient plus lourd dans la balance.
La mafieuse avait alors pris une décision simple et radicale. Lancer les affaires, miser le paquet et... gérer les conséquences au fur et à mesure avec brutalité et efficacité. Cette politique avait bien fonctionné. Tout ceux qui s'étaient dressé sur son chemin étaient morts en d'horribles circonstances, les plus beaux spécimens avaient été épargné, mais pour subir un sort pire que la mort: être vendu dans le réseau vers les strates les plus abominables, les cercles infernaux.
Face à sa brutalité, à cette menace de déportation et de souffrance éternelle, les instances et les aventuriers du nexus avaient courbé l'échine où s'étaient mis à regarder ailleurs pour sauver leur vie. Enfin toutes, sauf une, les paladins...
Dirigés par une enquêtrice intelligente, tenace et profondément idéaliste, ils avaient commencé à déstabiliser le réseau. Et ça... Max ne pouvait le tolérer...
Alors pour envoyer un message fort et mettre fin une bonne fois pour toute aux dernières poches d'ordre et de courage qui lui tenaient encore tête au Nexus, elle avait décider de miser le tout pour le tout et abattre un de ses jockers...
Elle avait guidé l ordre de paladin et son enquêtrice vers un de ses hangars, un des rares pourvue d'un portail mais pour parvenir à ses fins, il lui fallait faire un... sacrifice. Car quand tout serait terminé, il ne resterai plu rien de cet endroit... ni de ses occupants.
Elle y avait laissé une cargaison d'esclave à destination de la Terre pour appâter les chevaliers, elle s'était même déplacé en personne pour forcer l' enquêtrice à se montrer. Et tout cela avait marché, ses indic étaient formel, l'assaut serait donné ce soir et la Paladine Catherine, béni de l'Ordre et du dieu de la justice le mènerait.
---La nuit de l'assaut---
Tout est prêt. Le sous plancher à été comblé de tans d'explosifs et de feu grégoie que l'explosion se verra dans tout le nexus. Les esclaves ont été trié avec soin, ceux qui ont le plus de valeur sont passé par le portail pour commencer leur conditionnement en jouet sexuel, les autres servent d'appat pour les paladins.
Max porte son grande robe fendu aux cuisses de couleur crème et son grand chapeau de velour noir. Surveillant la main d'oeuvre, elle trône, impériale, sur l'estrade qui supporte le portail. Dans son holster une arme bien particulière, sa préféré, celle qu'elle utilise pour chasser... chasser l'esclave revèche et résistant, celui qu'elle aime par dessus tout briser lentement... Et elle a déjà son idée sur sa prochaine proie.
En pensant à elle, Rachele caresse machinalement son arme avec concupiscence, elle a hâte de commencer le travail.
Soudain, les portes du hangars craquent sous le premier coup d'un lourd bélier, mais tiennent bon. Max prend une grande inspiration et prend un air surpris et déconfit pour que la ruse fonctionne.
- Ça commence ! Tout le monde en place !
Immédiatement, ses hommes de mains obéissent et se répartissent autour d'elle pendant que les mercenaires nexuciens, qui ignorent tout de son vrai plan, se positionnent devant les portes.
Après quelques coups, les portes cèdent et s écroulent dans un nuage de fumée. Quand celle-ci ce dissipe, une femme à la beauté radieuse dans son armure d'un gris immaculé se présente dans leur arche. Elle dégaine son épée et ordonne la charge. Une foule de braves champions en armure déferle alors à l'intérieur du hangars et se heurt aux boucliers et aux lances des mercenaires.
Mais plus que tout le reste, ce sont les balles des hommes de main de Rachele qui fauchent le plus de vie.
Rapidement, les paladins prennent l'avantage sur les mercenaires... mais sont stoppé net par les volées de coup de feu des armes terrienne. La paladine Exalté prend alors la tête de la charge et deploi un bouclier divin pour protéger ses amis. À cette instant, la victoire leur semble acquise... mais la démone responsable de toutes ces horreur prend alors la fuite en franchissant le portail.
Le piège se referme alors sur les conjurés. Plutôt que de fuir à toutes jambes ou inspecter les mieux, ces mieux imbéciles commencent à soigner leur blessures et libérer les esclaves de leur chaîne. Sans le savoir, chaque seconde qu'ils passent dans alors hangars les mène vers la mort.
Catherine ordonne à ses hommes de monter une tête de pont du côté nexus, loin d'imaginer que son ennemie est sur le point de sacrifier un portail pour l'avoir elle, tout en détruisant les siens. Plus inconsciente encore, elle leur demande de rester en retrait pendant quelle franchit le portail vers la dimension "Terre", ignorant totalement que dans cet univers inconnu, son dieu n'existe pas...
---Terre---
Catherine traverse un maeltröm de folie et de strates d'exigences, son esprit et son corps projeté à des vitesses inimaginables entre l'espace et le temps. Quand enfin elle franchit le bassin du portail, elle est prise de nausées et de tournie. Mais la pauvre héroïne n' a pas le temps de prendre quelques minutes pour se remettre. Déjà plusieurs hommes de main approchent d'elle armés de matraques télescopique et de tonfa.
Derrière elle le portail se referme subitement, comme si le lien avait été brisé, ou pire... le portail lui-même... la laissant seule pour affronter ces ennemis. Quand elle essai d'invoquer ses pouvoirs, rien ne se produit. Elle voit Max, cachée derrière ses hommes se mettre à rire, elle comprend alors ce qu'il ce passe. Si un seul des hommes de la démone dégaine une arme à feu humaine, elle moura...
Le combat commence, son armure et son épée, dépossédé de leurs enchantements lui semblent penser une tonne. Rapidement elle fatigue. Au début elle ne comprend pas pourquoi elle n'a toujours pas reçu une balle. Quand elle comprend enfin, elle en frissonne de dégoût et d'horreur et redouble d effort. La mafieuse ne veux pas la tuer... elle veux la garder en vie pour... non... elle se refuse de penser à cette horreur, elle a trop vue les esclaves brisée et odieusement transformé de Rachele, ce destin ne peut pas être le sien, c'est impossible.
Mais alors que ce dernier mot se forme dans son esprit, elle sent la piqûre froide de la flechette lui percer le coup, et un engourdissement cotoneux se rependre dans ses membres. La suite... n'est que chute... et obscurité...
---L'Asilum---
A mesure qu'elle revient a elle, la belle paladine se sent plus légère, mais curieusement, cela ne lui apporte aucune sensation de confort. Quelqu'un la porte, un homme, c'est l'odeur d'un homme... il la porte sur son épaule comme un sac de pomme de terte.
Elle à mal aux pieds et aux chevilles, elle a mal aux poignets, elle sent qu'elle n'est pas libre de ses mouvements... Elle sent, au plus profond d'elle-même qu'en ouvrant les yeux, elle ne vas pas découvrir que les derniers événements qu'elle a vécu... ne sont pas qu'un horribles cauchemar...
-Je crois qu'elle reprend connaissance Docteur.
Dit une voix masculine toute proche.
-Parfait, repose la par terre, elle va marcher, Max veux qu'elle sache se tenir sur ses "cadeaux".
Répond la voix d'une femme derrière. Catherine sent qu'on la prend par les hanches pour la faire glisser de l'épaule, puis qu'on la soulève par les flancs pour l'obliger à se tenir debout. Le sang de la jeune femme recommence à circuler plus vite, son coeur accélére et elle se réveille en sursaut.
La lumière crue d'un long escalier qui déscend lui brûle les yeux. Elle découvre que son armure lui a été retiré pour ne lui laisser que sa belle robe blanche de Vierge Exalté. On lui a lié les poignets et les bras dans le dos avec une corde qui égratigne sa peau. On lui a passé de splendides escarpins à talons hauts aux pieds, mais la jeune guerrière n'en a jamais porté d'aussi hauts ! Ceux la lui arquent le pied au point de le briser presque et la force à marcher sur la pointe des pieds. Ses chevilles ont elles aussi été lié ensemble avec une courte corde qui lui mord cruellement les chaires et fait de chaque marche descendu un véritable supplice.
-Alé ! Déscend, esclave !
Lui crache le gorille à l'oreille en la poussant en avant. Son geste est si brutal que la jeune femme manque en tomber dans les escaliers, un de ses seins parfait sort de sous sa robe blanche sous ses propre yeux.
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-Doucement Serguey, n'oubli pas ce qu'a dit le boss, elle la veux pour elle d'abord... nous verrons pour toi quand je commencerait à la soigner de sa personnalité actuelle.
Dit l'étrange brune aux cheveux court qui marche devant eux dans sa blouse de médecin. Quand la paladine essaie de parler, elle réalise qu'un bandeau rudimentaire de tissu lui rentre la bouche. Non, pas une simple bande de tissu, c'est... un dessous, une petite culotte... qui dégage une odeur familière, une odeur qu'elle est sur de reconnaître, sans parvenir à l'identifier.
Finalement le cortège arrive tout en bas des escaliers, devant un véritable sas plus thekan que terrien ou nexussien. A ce moment là brune se retourne vers Catherine, lui baisse son bâillon improvisé et lui dit:
-Cher patiente, soyez la bienvenue à l'Asylum, notre centre de réhabilitation pour esclaves égaré qui ont oublié leur place. Nous sommes ici pour vous soigner de vos illusions et de votre folie. Nous vous avons récupéré hérante et persuadé que vous étiez une paladine d'un monde imaginaire. Rassurez vous, nous allons tout faire pour corriger ça et vous renvoyer à votre véritable vocation. J'espère que ça vous rassure ?
Loin de s'offusquer du comportement de sa ravissante "patiente", l'étrange doctoresse lui sourit et lui caresse la joue en faisant une moue de pitié.
- Ma pauvre, pauvre enfant, si perdue dans ce monde cruel. Rassure toi, le déni est une étape normale, nous allons t'aider à la franchir. J'ai hâte de débuter ta thérapie pour te délivrer de cette colère et faire de toi une femme heureuse et épanouie.
Elle termine sa phrase en laissant glisser sa main de la joue délicate de la jeune paladine vers son cou, puis vers sa clavicule, pour glisser finalement sur l'étoffe de sa robe blanche, la ou saille la ravissante forme de son sein parfaitement galbé. Elle regarde sa poitrine d'un air lubrique en se mordillant la lèvre, puis pousse un petit soupir et reprend.
- Mais tu as raison. Tu dois d'abord rencontrer la directrice de l'établissement, elle a tenue à s'occuper elle-même de ton... "admission"...
Elle prononce ce dernier mot avec un sourire narquois et pervers au coin de la lèvre. Comme s'il s'agissait d'une plaisanterie de mauvais goût, un trait d'humour noir sordide. Puis elle fait signe à son homme de main de reprendre la marche pour la suivre vers le sas d'entrée de l' Asylum, Catherine remarque qu'il porte une mention en lettres noires: "ORIGINE: NEXUS / TERRA". Nul doute que c'est là que Max retient les jeunes femmes qu'elle a kidnappé, là que la paladine pourra retrouver ses concitoyennes nexuciennes et terranides. Le gorille tire sur la corde qui enserre la belle paladine avec cruauté pour la faire avancer vers le lieu de sa déchéance...
Au moment où Curie, la doctoresse, passe le pas du sas, celui-ci s'ouvre et déverse une lumière blanche et crue d'hôpital qui illumine le sombre escalier menant jusqu'ici.
Au delà de ces portes, la prisonnière entend un concert a glacer le sang, composé de cris, de gémissement et de hurlements tantôt de plaisir tantôt de souffrance. Comme si des dizaines de jeunes femmes étaient torturés et violés dans cet endroit qu'ils appellent "asile"...
Quand Catherine franchit à son tour le pas de cette porte et s'engage dans le long couloir qui lui succède, elle découvre avec horreur que la vérité est bien plus abominable encore. Le long corridor en béton lissé, peint d'un blanc éblouissant, est percé de grands sas en verre portant des numéros. Et quand elle passe devant eux, elle peut apercevoir au travers le calvaire que subit une des jeunes femmes qu'elle avait jurée de retrouver et de sauver.
Derrière la première d'entre elle, elle reconnaît une des dernières victimes à avoir été enlevée, une jeune nexucienne a peine majeure qui venait de gagner un prix de beauté prestigieux... bien mal lui en avait pris. Le personnel de l'établissement est en train de s'occuper de son "admission". La jeune femme est enfermée dans une camisole de force qui recouvre le haut de son corps et emprisonne ses bras dans ses longues manches. Seul ses seins dépassent de l'étoffe pour la rendre plus desirable et l'humilier. On l'a bâillonnée, probablement parce que les hommes qui sont en train de la violer n'aiment pas entendre de hurlements...
Totalement incapable de résister ou de se défendre, la pauvre nexucienne plisse les yeux de douleur et gémit longuement pendant que la queue énorme du "soignant" lui foure sa petite chatte encore délicate.
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L'homme de main tire sur la laisse de Catherine pour l'obliger à avancer, entrainant malgré elle la belle paladine vers une autre porte et un autre spectacle d'horreur.
Cette fois ci elle reconnaît une ambassadrice de Terra, une femme chat comme il en existe beaucoup dans leur monde, mais plus belle et plus charismatique encore que les autres. Une fois de plus, les attraits sexuelles de la jeune femme lui on coûté sa vie. Elle est attachée a une table d'opération, les jambes écartés, les membres sanglés pour l'empêcher de bouger pendant que des électrodes posé sur son sexe et ses zones érogènes l'élèctrifie. Un homme en blouse blanche la regarde souffrir et note sur son porte vue chaque élément qu'il trouve intéressant, probablement pour apprendre à connaître la sensibilité de cette race. La jeune femme hurle à la mort quand le courant la parcours et supplie faiblement pendant les quelques secondes ou ça s'arrête.
La paladine perd de vue la jeune femme au moment où celle-ci perd le contrôle de sa vessie et souille sa petite culotte.
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Une autre femme en blouse blanche se présente alors à la doctoresse maléfique et lui dit avec enthousiasme.
- Docteur, le traitement de la patiente numéro 24 est presque terminé.
- Parfait... On peut toujours compter sur ces poulpes terranides pour faire du bon boulot... ça tombe très bien, j'ai envie de voir ça et la nouvelle esclave de la Directrice aussi... allons y...
Le cortège accélère alors pour atteindre une des dernières portes. En s'en approchant, Catherine peut entendre de petits gémissement épuisé de plaisir mêlé à des rires de démence. L'horreur de ce qu'elle voit alors est au delà de tout ce qu'elle a vue jusqu'ici. La patiente numéro 24, elle la reconnaît aussi, ci ce n'est qu'elle la connaît personnellement... C'est Tara Logard, une puissante barbare ashgardienne, une mercenaire au grand coeur avec qui elle a déjà combattu par le passé. Une femme au tempérament d'acier et à la volonté inébranlable. Quand les disparitions avaient commencé, elle s'était joint à la croisade de la paladine, offrant ses services gratuitement, avant de disparaître à son tour...
Tout est clair désormais, la barbare était allé trop loin, elle avait trouvé Rachele mais c'est elle qui avait perdue. Et à en juger par les marques qui couvrent son corps, ils avaient tenté de la briser mais sans y parvenir. Alors ces monstres avaient décidé de recourir au plus odieux et au plus déloyal des procédé...
Tara est enchaînées a un siège entièrement nue, la peau luisante de sueur, ses pieds baignant dans sa propre cyprine qui a coulé abondamment. Au mépris total de ses formidables capacités, on a totalement nié sa nature guerrière en ne lui laissant pas la moindre chance de se battre une derniere fois. Les menottes qui la retiennent l'empêche d'utiliser sa force colossale et ses prouesse martiale pour resister a son bourreau qui peut profiter calmement et sans danger de sa prisonnière.
Ce bourreau est une créature effrayante venue elle aussi de Terra. Un humanoïde grand et maigre, mais dont la tête ressemble à une pieuvre pourvue de quatre tentacules. Positionné derrière la vaillante guerrière il lui masse brutalement les seins de ses doigts griffus. Il est trop tard pour la belle, les appendices bocaux du flageleur mental sont enfoncé dans la matière grise de Tara et fretillent de plaisir à mesure qu'ils dégustent sa cervelle.
- Elle a résisté jusqu'au bout, alors on a du prendre une décision pour pouvoir l'utiliser dans nos bordels sans risque... regarde... c est presque fini... c est le moment que je préfère...
Dit la doctoresse en obligeant la paladine à regarder le visage de Tara. Celle-ci vient de cesser de lutter, son regard semble soudain ce concentrer et fixer la glace, lançant un regard intense à Catherine, comme si elle lui adressait une dernière supplique. Puis le tentacule enfoncé dans son front se gonfle de toute la matière qu'il suce. Les yeux de Tara s écarquillent et sa bouche s'ouvre grand pour laisser passer un nouveau gémissement brisé.
Les bruits de succion et de déglutition emplissent la pièce pendant que les yeux de Tara se révulsent de plus en plus et qu'un sourire stupide se peint sur son visage.
Au bout d'un moment, elle pousse un véritable cris de plaisir et trempe à nouveau ses pieds de cyprine fraîche, elle a jouit de sa propre fin...
Le flageleur mental extirpe alors ses tentacules de la prisonnière, dont le regard est désormais perdu dans une extase permanente, un sourire stupide et vulgaire, pornographique même, figé sur le visage.
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- Et voilà une nouvelle esclave heureuse. Notre ami le flageleur l'a libéré de tout ce qui ne servait à rien pour ne laisser que les appétits sexuels. N'est elle pas merveilleuse ? Regard le sourire sur son visage, elle a trouvé sa raison d'être et les clients vont lui donner beaucoup de plaisir.
Dit Curie en se retournant vers Catherine.
- C'est ce que nous voulons pour toi aussi, que tu sois heureuse...
Aux paroles courroucés de la Paladine, Curie la doctoresse maléfique et son acolyte échangent un regard complice et amusé, comme si ils partageaient une expérience commune ou une impression de déjà vu.
- Mais oui... mais oui chère patiente... vous avez raison... la directrice a d'autres projets pour vous, vous ne serez pas le prochain repas de notre flageller mental... enfin pas tout de suite huhu...
Ricane t'elle en reprenant la marche vers le dernier sas au bout du couloir, dépourvu de vitre lui. Catherine a juste le temps de voir plusieurs hommes d'affaires japonais entrer dans la cellule de Tara pendant que le monstre à tête de poulpe en sort. Ses derniers pas jusqu'à la fin du couloir sont accompagné par les gémissements puis les cris de plaisir de la belle et courageuse barbare devenue simple jouet sexuel nymphomane et décérébré.
Quand elles arrive devant le sas en bout de corridor, Curie prend la laisse des mains du gorille et tire elle même la paladine vers le porche en lui disant:
- La directrice n'a pas fini la précédente admission mais elle va faire une exception et s'occuper de la votre en même temps.
Elle y est ! La porte va s'ouvrir et la confrontation entre le bien et le mal va commencer. Catherine paladine exalté contre la maléfique Max enfin. Elle va pouvoir l'affronter, la défier, jouer d'arguments contre son venin et lui dire sa façon de penser !
Enfin c'est ce qu'elle crois... mais au moment où le sas s'ouvre et lui révèle l'horreur qui se déroule là, sous ses yeux, elle comprend que son ennemie ne va pas lui accorder l'honneur d'une bataille de mots ou de coups.
Devant elle, la maîtresse des lieux se tient fièrement nue, uniquement vêtue de cuissardes et de gants en vinil brillant et affublée d'un string / god ceinture luisant de mouille et de salive. D'une main elle tient un long fouet en cuir pendant que de l'autre elle porte une cigarette à sa bouche.
- Ha ! Curie ! Tu arrive enfin, j'ai failli attendre... tu m'as apporté ma nouvelle pute ? Parfait, je voulais pas qu'elle rate ça...
Dit Max en se tournant à moitié vers les nouvelles arrivantes et en posant sur la paladine un regard méprisant et hautain. Ce n'est pas du tout une confrontation, c'est une humiliation de plus, rien d'autre, Rachele ne compte pas offrir à Catherine le moindre honneur qui lui ai dû. Pour elle, c'est évident, malgré son exaltation, malgré ses faits d'armes, son courage, sa force, elle n'est que de la viande...
Pire encore, la belle blonde découvre ce que Curie entendait par "admission". Juste devant Rachele et son god trempé, une jeune femme , une belle brunette d'une vingtaine d'années est sanglé sur le dos à une table basse. Incapable de se défendre, elle hurle dans son bâillon en pleurant, son regard empli d'horreur posé sur la grotesque démone futanari et sa grosse queue qui rentre et qui sort de sa petite chatte. Un petit filet de sang mêlé à sa mouille comme seul vestige de son himène rompu.
Scène: remplacer personnage à gauche par la succube en image 2.
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Deux choses frappent sans doute la conscience de Catherine. D'abord la présence de la créature maléfique, ennemie jurée de son ordre puritain qui à jurée de combattre les succubes. Mais plus encore c'est la jeune femme que cette monstruosité est en train de violer qui l ' horrifi au plus haut point.
Soudain, en détaillant son visage, la paladine réalise pourquoi elle reconnaissait l'odeur que dégageait le sous vêtement utilisé pour la bâillonner. C'était tout simplement celle de cette jeune brunette qui n'est autre qu' Emilie Caldwell, sa meilleur amie et soeur Paladine Exalté !
Catherine réalise que Max à enquêté sur elle et a réussi à déniché toutes les personnes à qui elle tient ! Partie en pelerinage quelques semaines plus tôt, Catherine ne s'était pas inquiété de ne pas la voir revenir.
Emilie était la seule autre paladine de son ordre à avoir reçu l'exaltation de sa déesse, elle était presque aussi forte et belle qu'elle et toute aussi pure... enfin... jusqu'à ce que cette démone de lui vole sa virginité... la jeune femme était désormais à nouveau une humaine normale et sans pouvoir, la rupture de son himène l'ayant coupé définitivement de sa déesse. C'était le plus horrible sort qui puisse être infligé à une Exalté, du moins c'est ce qu'on croyait dans son Ordre...
- Alé esclave ! Vient ici, vien voir ta petite salope de soeur.
Ajoute Max pendant que Curie la traîne du bout de la laisse vers ce spectacle odieux. Quand la paladine se trouve juste devant son amie toujours en train de se faire baiser par la démone en gémissant de douleur et d'horreur, la mafieuse reprends en tirant sur sa cigarette.
- Mmm, tu vois esclave, ta copine paladine nous à été super utile. On avait besoin de savoir quelles étaient tes forces et tes faiblesses avant de t'attirer dans mon piège. Alors on a profité qu'elle était isolée pour la capturer.
Rachele souffle sa fumée sur en visage cramoisi d'Emilie.
- Au début elle disait rien. Mais quand on a menacé de la baiser à mort elle a accepté de cracher le morceau sur vos pouvoirs magiques. Elle nous a dit que vous les perdiez si vous perdiez votre virginité, par contre elle savait pas si c'était aussi le cas en cas de viol... Alors quand on ta capturé on à décidé de tester tu vois.
La pauvre paladine déchue grogne de douleur et de désespoir comme en réponse aux paroles de la mafieuse. Max se rapproche alors d'elle, se place derrière sa tête qu'elle empoigne entre ses deux mains. Puis elle lui retire son bâillon pour pouvoir lui enfoncer son god ceinture dans la bouche jusqu'à ce que le nez de la prisonnière bute contre le pli de son cul.
- Et tu sais quoi ? Votre déesse est vraiment une sacrée conne... elle aurait pu prévoir une close anti viol dans votre contrat. Au lieu de ça il suffi de vous baiser pour vous transformer en simple humaines huhu...
Ajoute telle en gloussant et en continuant de fourrer la bouche d'Emilie avec son chibre en plastique, échangeant un regard complice et pervers avec la succube futa.
Aux paroles rageuses de la paladine Rachele se contente de pouffer d'amusement en continuer de labourer la gorge de sa meilleure amie. Lui montrant ainsi que ses paroles sont veines et qu'elles ne l'empêchent pas de violer Emilie avec toute la sauvagerie qu'elle désir.
- Oui... Oui... c'est ça... ferme plutôt ta gueule de nouvelle petite pute et regarde, apprend, tu vas en avoir besoin. Vierna ! C'est bon ça suffi avec elle, elle ne m'amuse plus et elle ne me sert plus à rien maintenant qu'on tient sa copine. Préserve toi pour la nouvelle, je veux que tu garde tes couilles bien pleines pour elle...
La succube acquiesce avec un sourire pervers et retire son monstrueux pénis de la petite chatte violenté de l'ancienne paladine redevenue simple femme. Ses lèvres pubiennes distendues pendent de part et d'autre d'un orifice vaginal grand ouvert. Rachele fait de même et lui remet immédiatement le bâillon pour l'empêcher de parler. Preuve qu'elle n'est plus une femme mais bien un objet, un jouet sexuel sans aucun droit de s'exprimer. Emilie pousse un soupir épuisé de soulagement, son calvaire s'arrête enfin. Du moins le crois telle...
- Curie, amène moi ma nouvelle pute ici elle va prendre sa place pendant que sa copine Emilie monte au bordel. Amène la dans la salle commune et fixe le prix à 20... non 10 dollars, je veux que tout le monde lui passe dessus jusqu'à nouvel ordre, même le connard qui passe le balais.
En entendant ce qui l'attend, la jeune paladine fraîchement dépucelée se remet à hurler dans son bâillon et se débat de nouveau comme une diablesse dans l'espoir de se libérer de ses chaînes.
- NNNNNNN ! GNNNNNN !!
Ses hurlements emplissent la pièce et résonnent dans les oreilles de Catherine. La succube prend alors la parole de sa voix douce et envoûtante.
- Tu es sûre que ça ne risque rien de la détacher ? Même sans ses pouvoirs Emilie a réussi à casser le nez de deux de tes soignants avant que je ne la maîtrise.
- Tu as raison mon chérie. On ne va pas prendre de risque avec ces deux là.
Lui répond Rachele en saisissant une sangle en caoutchouc sur la table de travail. Elle la passe autour du bras d'Emilie qui essai en vain de se dégager, puis la serre fort. Toutes les veines du bras de la belle paladine se mettent à saillir pendant qu'elle hurle de plus belle.
- NNNNN ! ITIÉ.. NNNNN !
Pleure la meilleur amie de Catherine pendant que Max prend une seringue entre ses doigts et plante son aiguille dans un flacon contenant un liquide de couleur rose.
- Laaaa... laaaa... ne fait pas l'enfant, esclave... une grande fille comme toi n'a pas peur des piqûres quand même. C'est pour ton bien, c'est un vaccin... un vaccin qui va te guérir de ta colère, de ta peine, de tes peurs... tu vas voir tu vas adorer ! Tu ne pourras plus t'en passer, tu feras tout ce qu'on te dira pour en avoir encore huhu...
Le regard terrorisé d'Emilie ne quitte plus l'acier de la seringue que Rachele tient dans la main et hurle de plus en plus fort à mesure que celle-ci s'approche du plis de son coude, à l'intérieur du bras, la où la peau est la plus fine et la veine la plus grosse. Alors qu'elle est sur le point de piquer, Max se retourne à nouveau vers Catherine pour la narguer.
- Tu veux lui dire quelque chose ? Parce qu'après je ne sais pas quand vous vous reverrez ni si elle saura encore comprendre ce que tu lui dira. En tout cas rassure toi, on va bien s'occuper d'elle et elle sera très heureuse.
Rachele attend encore quelques instants, se délectent des supplications d'Emilie qui l'implore des yeux.
- ITIÉ... ITIÉ... NNNNNN... NNNNN ITIÉ...
Puis elle tapote la grosse veine saillante de son bras et y enfonce lentement l'aiguille.
- NNNNNNNNNNNNNNN !!!!!
Hurle la paladine en regardant la tige de métal s'enfoncer dans son bras.
- Alé ma belle... c'est l'heure d'aller au pays des merveilles...
Dit Rachele en pressant le piston et défait le garrot dans la foulée. Le hurlement d'Emilie s' étrangle doucement dans sa gorge et se transforme en gémissement de détresse, long et plaintif. Elle se met à papillonner des yeux avec lenteur pendant que ses globes roulent à demi dans leurs orbites, sa vision se troublant et se chargant d'images pornographiques fantasmé par son cerveau rendu malade. Elle se met alors à tourner la tête de gauche à droite, tout son corps se détend, elle qui était si combative, s'abandonne maintenant dans une pose alanguie et rêveuse.
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- C'est bon, elle est prête pour le bordel, elle ne cassera plus le nez de personne.
Dit Rachele en détachant la jeune femme droguée de la table. Une fois libéré de ses liens, la mafieuse la pousse nonchalamment de celle-ci pour la laisser choir au sol comme un cadavre. Emilie s'effondre par terre et commence à ramper sur le sol en bavant.
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Deux femmes en tenue d'infirmière arrivent alors et la prennent chacune par un bras. Elles la soulèvent et la traînent alors vers l'ascenseur menant au bordel, seul le bout de se orteils effleurent encore le sol.
- Où on vas ?
Dit Emilie d'une voie brisé et pateuse de junky.
- Tu vas au bordel ma chérie, faire gagner de l'argent à ta maitresse comme une bonne petite pute, tu vas avoir beaucoup de sexe, beaucoup de plaisir. Amuse toi bien...
- Sexe ? B... baiser ? Beu... baise... sexe...
Bredouille l'ancienne paladine pour toute réponse, la drogue commençant à lui ronger le cerveau. La porte se referme derrière elle, abandonnant Catherine à son propre sort.
- Bien ! Maintenant passons à notre nouvelle pute. Curie, Vierna, attachez là à la place de sa petite sœur, la place et encore chaude et couverte de ses fluides. Je suis sûre qu'elle va adorer.
La succube s'approche de Catherine, de Curie et du gorille pour les aider à maîtriser la paladine pendant qu'ils l'allongent sur le dos comme Emilie et lui attachent les chevilles, jambes bien écartés et les poignets inconfortablement derrière la nuque. La demone a une force herculéenne, impossible de lui résister.
Une fois que la prisonnière est bien attachée et ne peut plus se libérer, Max reprend.
- Écoute moi bien Esclave. Qui tu as été avant d'arriver ici je m'en tape maintenant que tu es à moi. Je m'en fou que tu sois une super guerrière, que tu ais des principes, des pouvoirs, un rang social. Ici tu es ma chose, ma pute, ma moins que rien et je te fais ce que je veux.
Rachele vient se positionner derrière la tête de la paladine et s'accroupie pour que sa bouche effleure les oreilles de sa prisonnière.
- Ta copine Emilie, on a réussi à la capturer sur Terra parce qu'elle venait de tuer à elle seul un dragon rouge adulte qui terrorisait un village, elle était trop épuisé pour nous échapper. La seule récompense pour sa force et sa bravour c'est nous qui lui avons donné...
Dit elle en lançant un regard pervers et complice à la succube qui vient se positionner devant Catherine debout entre ses cuisses ouvertes.
- Sa récompense... on l'a torturé... on l'a violée. Je viens de la rendre accro à une drogue qui va la transformer en bimbo stupide et à l'heure où je te parle elle est en train de sucer des bites dans le plus minable de mes bordels pendant qu'on lui foure le cul et la chatte non stop. Tu ne me crois pas ? Regarde...
Rachele prend son smartphone, l'active et le présente sous les yeux de Catherine. Emilie est en train de se faire baiser comme elle l'a décri. Une forêt de queues en érection l'entourent et elle les saisit une à une en pleurant pour les sucer pendant que deux hommes en dessous d'elle la baisse et la sodomise.
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- Voilà la récompense des petites salopes de paladines qui foutent leur nez dans mon business... et maintenant c'est ton tour...
La succube prend alors son énorme queue entre ses mains et commence à tapoter les lèvres pubiennes de la paladine du bout du gland.
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- Regarde la, sale pute... cette bonne grosse queue qui va faire de toi une vrai femme... et t' arracher à ta précieuse déesse... qui ne pourra jamais te retrouver...
Ajoute Max alors que la succube commence à jouer avec l'entrée des levres de Catherine du bout du gland, entrant et ressortant sans jamais s'enfoncer pour la stimuler et la forcer a mouiller.