Le Grand Jeu

Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Elizabeth Ostwick le jeudi 12 juillet 2018, 21:03:49

Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le jeudi 12 juillet 2018, 21:03:49
Ah, la bibliothèque. Après une journée de cours bien agitée - et doublement plus ennuyeuse - au cours de laquelle Elizabeth avait esquivé des dizaines d'avances de la part de garçons toujours plus pervers et dégueulasses qu'hier, Elizabeth prenait du bon temps dans la bibliothèque du lycée. Plus le temps avançait, plus Elizabeth les haïssait. Et ils le lui rendaient bien ! Brimades dans les couloirs, attouchements discrets dans les lieux publics, tentatives de viols diverses dans les rues le soir... si Elizabeth n'avait pas une capacité d'E.S.P.er si monstrueuse, nul doute qu'elle aurait finie dans la cave d'un individu peu recommandable. Mais, malgré son goût pour la soumission, la jeune femme ne se soumettait pas à n'importe qui. En réalité, elle avait même tendance à dominer les plus faibles. Réaction logique de la part d'une femme comme elle ayant été esclave toute sa vie. Elizabeth n'avait aucune limite en ce qui concernait le sexe. Du moins, presque aucune.

C'est donc dans la bibliothèque que la jeune femme décida de passer la fin de sa journée, sans se douter qu'elle se terminerait d'une manière ô combien meilleure. La jeune femme était assise dans un fauteuil au bout de l'immense pièce, entre deux étagères. Assise sur ce fauteuil de cuir dans le fond de la salle, les jambes écartées, Elizabeth était en pleine activité... personnelle. En toute simplicité, Elizabeth se masturbait sous sa jupe. Toutes ces semaines passées sans trouver qui que ce soit à sa convenance, ces mois d'abstinence avaient eu raison d'elle. La jeune femme avait besoin d'extérioriser, et comme dirait l'autre, on est jamais mieux servi que par soi-même. Une règle qu'Elizabeth comptait bien appliquer de manière régulière à partir de maintenant. Qui de plus légitime qu'elle pour lui faire du bien ?

Et alors qu'elle se faisait du bien à sa manière, caressant son entrejambe humide sous sa jupe d'écolière, la jeune Elizabeth tentait tant bien que mal de retenir ses gémissements. De doux gémissements féminins, sensuels à l'oreille, presque imperceptibles. De toute manière, personne n'était présent à la bibliothèque à cette heure. Tout simplement parce qu'elle était fermée depuis une demi heure ! Son pouvoir lui avait permis de déconstruire la porte pour la reconstruire ensuite, un jeu d'enfant. Personne ne viendrait donc chercher une élève en ce milieu de soirée, cachée au beau milieu d'une rangée d'étagères. Du moins, c'est ce que pensait Elizabeth... et dieu sait que les imprévus peuvent vite arriver. Elle l'avait apprise à ses dépens tout au long de sa vie.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le jeudi 12 juillet 2018, 23:17:46
C'est décidé ! Sitôt finies mes études de médecine, je plaque la maison familiale. Je n'en peux plus d'assister mon père dans ses horreurs ! La médecine lui sert de prétexte pour se livrer à toutes sortes d'opérations, et je ne veux plus savoir combien il aura fait d'estropiés ou de morts. Moi, je veux être aux antipodes, de lui, de ses amis, de ses activités. Autant il côtoie les mafieux de tous ordres, autant je veux sauver des vies. Médecin au sein d'une ONG, ce sera ma voie. Je ne lui en parlerai pas et, une fois mon diplôme en poche, je partirai sans un mot pour lui. J'ai d'autant plus intérêt à mettre de côté toutes les sommes que me rapporte mon job de surveillante au Lycée Mishima, car mon père ne m'aidera pas, bien au contraire.

Pourtant, on ne peut pas dire que ce lycée respire la tranquillité. Côté filles, il y a de sacrées allumeuses, je dirais même des salopes. Si moi, j'attends d'offrir ma virginité à qui en sera digne, il y a bien longtemps que celles-là ont perdu la leur, et de tous les côtés. Quant aux garçons, si l'on exclut les puceaux attardés, les autres sont de vrais obsédés et, malgré mon statut de surveillante, j'ai dû en faire exclure temporairement, même si ça ne les a pas calmés. C'est si imprévisible que, la nuit, je barricade porte et fenêtre pour éviter toute visite impromptue.
Ma virginité, j'y reviens. Entre les horreurs que j'ai vues chez mon père et ses amis, et le consternant niveau des élèves masculins du lycée, j'ai pris une décision aussi grave qu'insolite : je veux que ce soit une fille qui déchire mon hymen, car elle aura le tact et la tendresse pour cela. Mais, pour le moment, entre toutes les chaudasses qui courent dans Mishima, je n'en ai trouvé aucune. Ah si, pardon, pour baiser comme elles disent, il y a plein de volontaires ! Mais ce n'est pas ce que je veux.

Cette idée tourne parfois à l'obsession, et elle trotte encore dans ma tête, lorsque je fais ma dernière ronde de la journée. Je dois vérifier que les portes sont fermées, que les lumières sont éteintes, que rien ne pourrait causer de trouble pendant la nuit. Mais, à ce titre, j'ai renoncé à réprimander les lycéens et lycéennes qui copulent dans tous les endroits, un buisson du parc, une salle de classe restée ouverte, et tous les endroits fussent-ils publics.
Alors, pour essayer de meubler une nouvelle soirée solitaire, je sors de mon trousseau la clé de la bibliothèque. Pas envie de prendre un roman car, entre les écrits à l'eau de rose et les trucs pornos, il n'y a pas de juste milieu. Pas envie d'un énième livre de médecine, j'en ai un peu saoûlé pour aujourd'hui. En fait, je ne sais pas ce que je vais prendre, quand je tourne la clé dans la serrure.

Tiens, une lumière est restée allumée, on dirait. Bizarre, il me semblait que j'avais fait le tour, à moins que ce ne soit que la veilleuse de sécurité. Je vais aller voir, il n'y a aucun risque de croiser un élève ; ils sont bien trop occupés à copuler ou à mater ailleurs !
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le jeudi 12 juillet 2018, 23:41:19
Trop occupée à faire sa petite affaire, Elizabeth ne remarqua pas que la porte s'était ouverte. Elle n'entendit pas non plus les bruits de pas. Pensant être écartée de toute visite impromptue, Elizabeth se concentrait sur son petit plaisir solitaire, les doigts caressant doucement son intimité, y rentrant parfois pour faire quelques va et viens, avant qu'elle ne les lèche avec langueur. Bien qu'elle ne fasse que se soulager seule, Elizabeth se voulait sensuelle. Après tout, la jeune femme faisait ce qu'elle voulait de son corps, que ce soit avec les autres ou avec elle. Et pour s'exciter, la jeune femme avait décidé de se débrouiller pour se trouver elle-même sensuelle. Drôle de fonctionnement, certes, mais la jeune femme avait tant souffert par le passé, elle avait tant été traitée comme un sac à foutre et à pisse qu'elle se réservait le droit d'être sensuelle. Même si cela n'était qu'à ses yeux. Après tout, lorsqu'il s'agissait de faire l'amour, Elizabeth se montrait sale et tout ce qu'il y a de plus dévergondée. Elle ne pouvait pas non plus s'empêcher de dominer, ou d'être dominée. Hors de question pour elle d'avoir un rapport sexuel égalitaire. Ce n'était tout simplement pas dans sa nature. Du moins, pour le moment. Difficile de faire autrement que comme elle a été élevée.

Les élèves de ce lycée se fichaient bien de son passé. Elizabeth n'avait eu affaire qu'à des dévergondées, côté filles. A croire qu'elle allait finir asexuée. La jeune femme aimait pourtant ça, la débauche, les choses sales, la douleur, l'humiliation. Mais ces filles... elles ne savaient pas faire l'amour comme elle le voulait. Ce n'était qu'un passe temps, quelque chose d'oubliable, ces filles ne respectaient pas le sexe. Et les garçons encore moins. Pour Elizabeth, le sexe était quelque chose de presque sacré. Quelque chose pour laquelle tout son corps et son esprit se devaient d'être mobilisés afin d'obtenir les meilleures sensations possibles, au paroxysme de ce que le plaisir pouvait lui offrir. Le sexe, plus qu'un hobby ou une activité, est un art de vivre. Et quiconque ne savait pas le pratiquer devrait être puni.

A mesure qu'Elizabeth se doigtait, humidifiant un peu plus sa culotte pour laisser couler quelques gouttes de cyprine le long de ses jambes, la jeune femme se couvrit la bouche d'une main pour ne pas crier trop fort. Comme si, quelque part, malgré le fait qu'elle pensait être seule, Elizabeth avait honte. Après tout, se réduire au plaisir solitaire était quelque chose de honteux pour beaucoup en ce lycée. Même au sein de cette ville. Elizabeth elle-même n'aurait jamais pensé devoir en arriver la, elle qui considérait justement le sexe comme un art. Mais à force de ne pas trouver chaussure à son pied, il faut bien s'adapter... peut-être que cette soirée allait d'ailleurs permettre de régler ce problème. La jeune femme était loin de s'attendre à ce qu'une surveillante ne s'approche d'elle, et elle n'allait pas tarder à en faire les frais. Elizabeth était réputée au sein du lycée pour être une fille difficile, une "coincée du cul". Ses seins, ces monstrueux globes de chair, étaient le centre de tous les désirs. Et bon nombre de frustrés cherchaient à s'en approcher, à leur faire toutes les horreurs du monde. Pour Elizabeth, ses seins étaient au moins si sacrés que le sexe. Cette opulente poitrine que le ciel lui avait offert était un cadeau ! Et nul ne méritait de les toucher si facilement.

C'est alors que la surveillante s'approcha, sans qu'Elizabeth ne la remarque...
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le vendredi 13 juillet 2018, 00:15:34
Je stoppe très vite mes pas. Il y a quelque chose d'anormal. Je perçois un bruit irrégulier, que je ne parviens pas à définir. Je suis sure de n'avoir enfermé personne ici, tout à l'heure. S'il y a quelqu'un, ce ne peut être qu'un membre du personnel ! Et vu comment certains vieux tordus reluquent les jeunettes qui ne demandent pas mieux, il n'y aurait rien d'étonnant. Mais je ne sais pas ce que je dois faire dans ce cas. Rapporter les faits des élèves, oui. Mais du personnel ?

Je reprends doucement ma marche. Pas facile de marcher en silence, avec ces talons. Car, loin des petites étudiantes en ballerines, je soigne toujours ma tenue. On ne doit pas me confondre avec elle. Ainsi, je porte toujours jupe et chemisier, avec des dessous que je prends toujours soin de choisir élégants et classiques. Et, quand c'est l'hiver, j'ajoute toujours bottes et bas. Tout ça pour dire que, entre « la bourgeoise » et « la coincée », les sobriquets ne me manquent pas. Je ronge mon frein, un jour je quitterai ces êtres.

Mais, pour le moment, je dois savoir ce qui se passe. J'avance doucement, je connais les lieux par cœur, même les endroits du parquet qui grincent. Alors que d'autres ne viennent ici que pour tirer un coup, et se font coincer parce qu'ils baisent sur une table branlante. Même faire l'amour en dehors d'un lit et du mariage, ça ne s'improvise pas !

Je suis désormais au ras de l'allée d'où vient le bruit. Pas repérée, j'en suis certaine. Je me penche doucement. Elisabeth ? Oh non, ce n'est pas possible. Elisabeth, c'est, comment le dire, une chic fille, avec des seins à me rendre jalouse, des seins que mon père ne saurait créer même dans ses délires les plus tordus, mais aussi avec un caractère très réservé, renfermé même. Tous les garçons ne rêvent que de ce qu'ils appellent une « cravate de notaire », et j'en ai déjà fait punir quelques-uns pour attouchements. Mais ils s'en foutent !

Hélas, pour elle, je dois intervenir. Pas de passe-droit. Ça me fait mal au cœur, car ça signifie qu'elle va être punie, qu'une âme nauséabonde donnera le motif de la punition, et qu'elle va encore subir mille railleries. Bon, allez, je ne mettrai pas le vrai motif, mais je dois intervenir, et je me plante au milieu de l'allée.

Elisabeth ne semble même pas me voir. Mais moi, je vois bien ce qu'elle fait, et c'est moi qui pend le choc. D'abord, une chose me saute à l'esprit ; elle est belle d'être indécente. Même la main sous la jupe, les mouvements très explicites, les gémissements étouffés, elle est féminine en diable, elle est femme ainsi, elle est rayonnante et heureuse.
Et, si c'est elle qui se caresse, c'est moi qui reçois une violente décharge au plus profond de moi. Je le récuse, mais des picotements ont traversé mon intimité. Je reste plantée là, à l'admirer, à sentir mon bas-ventre étrangement traversé. Je dois réagir, malgré moi :

« Elisabeth, que faites-vous ici ? »

J'ai dû murmurer, car elle ne réagit pas du tout. Je me racle la gorge, et, d'un ton plus solennel :
« Elisabeth, cessez cela immédiatement ! »
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le vendredi 13 juillet 2018, 00:46:56
Elizabeth continue sa petite affaire, avec sensualité et désir. Ses doigts frottent et s'introduisent dans une intimité de plus en plus humide, et alors que son bas ventre se contracte, signe d'un orgasme imminent... la jeune femme entend une voix. Les joues roses, les yeux brillants d'émotions dû au plaisir qu'elle était en train de prendre, la jeune femme se stoppe. La surveillante ? Vraiment ? Quelle humiliation... son orgasme est fichu, et sa réputation aussi ! Qu'allait-elle faire, lorsque la surveillante allait faire son rapport ? Comment allaient réagir les élèves ? "La fille prude et réservée qui se fout des doigts dans la bibliothèque en fin de journée". Son image de belle fille réservée, élégante et inaccessible était fichue ! Fichue !! La jeune femme se recroquevilla sur son fauteuil, morte de honte, cachant son intimité en pliant les jambes.

- M-m-mademoiselle la surveillante ? Que... qu'est-ce que vous faites ici ?!

Cette femme, elle l'avait déjà vue. Elles s'étaient déjà croisées dans les couloirs, et elle lui avait renvoyé une image de belle jeune femme. Une jeune femme réservée et propre sur elle, tout comme elle au final. Les élèves la reluquaient parfois, mais n'avaient jamais le droit d'aller plus loin. Elle était surveillante après tout ! Quelques fois, cette femme dont Elizabeth ne connaissait pas le nom l'avait même aidée en punissant certains puceaux l'ayant touchée sans avoir son consentement. Elizabeth lui était reconnaissante, mais... que faisait-elle ici ? Elle aussi, elle venait se faire plaisir en solitaire ?

- V... vous devriez y réfléchir à deux fois avant de parler de ça aux autres ! Moi aussi je... je peux inventer une histoire !

Le ton d'Elizabeth était craintif, et son visage le reflétait bien. Elle était fichue, fichue ! Que devait-elle faire ? La tuer, peut-être ? Après tout, elle ne pourrait plus parler. Et dieu sait que son pouvoir ne laissait aucune trace. Mais... Elizabeth ne pouvait pas tuer une si belle femme enfin ! Que faire...
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le vendredi 13 juillet 2018, 06:41:36
Ça y est, elle m'a enfin entendue !
« M-m-mademoiselle la surveillante ? Que... qu'est-ce que vous faites ici ?! »
Ca me fait toujours bizarre d'être appelée ainsi ; après tout, je suis à peine plus âgée que certains, voire plus jeune que d'autres. Pour les profs, je ne suis qu'une blondasse qu'ils pourraient se taper comme d'autres élèves, entre deux cours ou vite fait sur le capot de leur voiture. Pour les élèves, je ne suis qu'une blonde qui se croit supérieure à eux, et à laquelle ils voudraient rappeler sa vraie place. D'ailleurs, l'une d'elle m'avait carrément menacée, un jour, en me disant que je ramperais à ses pieds, en l'appelant « Maîtresse » et en la suppliant de me prendre. Et puis quoi encore ?

Mais bon, il y a autre chose à régler, pour le moment, même si ces mots résonnent encore en moi, avec d'étranges effets.
« Vous ne m'avez pas dit ce que vous faisiez, Elisabeth, même si je m'en doute ».
Je me tiens face à elle, j'ai même pu avancer en martelant le sol de mes talons, désormais. Jambes un peu écartées, mains sur les hanches, intonation ferme, regard sans complaisance, je veux, malgré ma petite stature, en imposer.
« Je me vois obligée d'en informer la direction ».


Argument suprême, qui conforte mon ascendant, malgré moi je l'avoue, car j'ai toujours voulu protéger cette élève de ses tourmenteurs. Mais je ne peux passer ça sous silence, ça me rendrait complice, et je n'ai pas le droit de lui accorder un traitement de faveur.
« V... vous devriez y réfléchir à deux fois avant de parler de ça aux autres ! Moi aussi je... je peux inventer une histoire ! »
Je crains d'avoir mal compris. Je la regarde, moitié incrédule moitié énervée. Celle que j'ai toujours essayé de protéger, se rebellerait, contre moi qui plus est.
« Inventer une histoire ? Qui avait la main sous sa jupe, c'est bien vous ? »
Son aplomb m'a décontenancée. J'en ai pourtant bien vu pire, avec les individus louches qui trafiquent avec mon père. Alors, être décontenancée par une élève aux seins somptueux, et qui doit en plus avoir la chatte en feu, on ne me le fait pas !

« Ce n'est pas moi qui me tripotais dans ce lieu dédié à l'étude, il m semble ? ».
Je ne vais pas lui avouer que je me caresse aussi, parfois sous mes draps le soir, parfois même assise au pupitre de cette bibliothèque mais cachée par le bois, et que ce fut déjà en pensant à elle!
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le vendredi 13 juillet 2018, 12:12:41
La jeune femme regardait Verena, décontenancée. Elle n'allait tout de même pas faire ça ! Elle savait bien à quel point la scolarité était difficile pour elle, et c'est comme ça qu'elle comptait la traiter ? Elizabeth n'arrivait pas à en croire ses yeux. Qu'y a-t-il de mal à se faire plaisir en solitaire au juste ? Ce n'était pas un crime, surtout dans ce lycée ou chacun baisait dans son coin ! Elizabeth l'avait connu, ça, les tentatives de viols. Au sein-même de ce lycée. Une fois, ce fut même un professeur qui tenta de l'assaillir dans les toilettes pour la baiser par le cul. Elizabeth s'en était toujours sortie avec son pouvoir, et elle s'était toujours retenue de les désintégrer sur place. Mais cette femme en face d'elle, elle était différente non ? Alors pourquoi agissait-elle ainsi, en sachant parfaitement ce qui l'attendait !

A mesure qu'elle parlait, parlant sans gêne de ce qu'Elizabeth faisait un peu plus tôt, la honte en elle grandit. Quelle honte... quelle gêne ultime... un moment, Elizabeth hésita à se jeter par la fenêtre. Si cette surveillante savait qu'Elizabeth avait encore l'entrejambe mouillée en cet instant, elle serait encore plus dégoûtée . D'ailleurs, cet air de jugement l'insupportait. Elizabeth n'était pas dans la tête de Verena, et ne savait pas à quoi elle pensait. Sur son visage et dans ses paroles, tout ce qu'elle voyait était un air de mépris et de jugement. Et lorsqu'elle parla de "se tripoter dans ce lieu dédié à l'étude", Elizabeth ne put en entendre davantage.

La jeune femme se jeta sur la surveillante, et plaqua sa main contre la bouche de celle-ci, tremblante. Il fallait qu'elle se taise, qu'elle la ferme ! Elle en avait plus qu'assez de l'entendre parler de ça avec tant de reproches ! Ça ne la concernait pas après tout. C'était son plaisir personnel et solitaire, qu'elle pratiquait toute seule sans embêter personne. Pourquoi devrait-on la reprendre pour ça ? Pourquoi devrait-elle être blâmée pour un plaisir qu'elle pratiquait toute seule ! Pourquoi devrait-elle même avoir honte ?

- Taisez vous ! Si... si vous continuez je... je...

A mesure que sa phrase s'étouffa dans sa gorge, les larmes vinrent perler sur les joues de la belle jeune femme. C'était trop pour elle ! Sa vie avait été si difficile, elle estimait avoir le droit de se soulager en solitaire. N'allait-on donc jamais cesser de la poursuivre ? De la mépriser, de la traiter comme une moins que rien ? Elizabeth en avait assez. La seule personne qui en avait le droit serait sa future maîtresse, l'incarnation de la perfection pour elle . Une femme forte, belle, sans limites et dont la propension à dominer serait égale, si ce n'est supérieure à une reine ! Voilà qui elle devrait-être ! Et elle serait la seule à pouvoir la traiter ainsi !
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le vendredi 13 juillet 2018, 19:41:49
Je dois garder cette fermeté de ton, car je me sens de moins en moins assurée. C'est la première fois que je me retrouve avec une élève qui me trouble. Ça m'est déjà arrivé avec un petit puceau qui se tripotait dans les vestiaires des filles, mais il était si honteux qu'il ne bronchait pas. Ça m'est arrivé plusieurs fois de me retrouver seule face à des lycéennes, aussi, à chaque fois occupées à baiser entre filles ou avec un garçon du lycée, mais elles étaient toutes si écervelées qu'elles se moquaient de la sanction, juste impatientes de finir leur orgasme en cours.

Avec Elisabeth, c'est différent ; ça me gêne, parce que la sens depuis toujours fragile, et parce qu'un trouble étrange est né en moi, la première fois où je lui ai tendu la main parce qu'un garçon l'avait jetée à terre pour lui faire son affaire. Elle est venue se blottir contre moi, pleurant à chaudes larmes, et sentir contre ma poitrine ses seins hors du commun m'a fait quelque chose. Heureusement qu'elle ne sait pas que je me suis caressée le soir même, en y repensant !

Mais j'ai dû montrer mon hésitation, car, imprévisible, Elisabeth se jette sur moi, avec une force que je n'aurais pas imaginée, et je bascule au sol, me raccrochant sans succès à une étagère dont les livres tombent de ce fait.
« Taisez-vous ! Si... si vous continuez je... je... »
Moi qui ai déjà mis à terre certains amis insistants de mon père, je me retrouve cloué par une ado, ses genoux pesant si fort sur mes bras que je ne peux les bouger, une main bâillonnant ma bouche, l'autre main tenant fermement mon col de chemisier.

Elle, si fragile d'ordinaire, je ne l'ai jamais vue dans une telle rage. Ou plutôt à bout de nerfs, car, sitôt après ces cris, elle se met à pleurer. En une fraction de seconde, je retrouve celle que je connais depuis son arrivée au lycée. Je me sens toute penaude.
Ma posture m'empêche de bouger, mais mes yeux fixent les siens, emplis de larmes. J'essaie de me contorsionner pour retrouver quelque liberté, mais rien n'y fait. Je ne peux même pas parler, et les mots que je tente se heurtent, étouffés à sa main.
Je ne comprends pas pourquoi mon corps ne donne pas plus d'élan à la renverser ! J'ai déjà dégagé bien pire, bien plus musclé, bien plus méchant, pourtant.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le vendredi 13 juillet 2018, 20:03:37
Elizabeth avait une force conséquente, mais son principal atout résidait en sa capacité d'E.S.P.er. Alors qu'elle posa la main sur le parquet en bois de la bibliothèque, il ne fallut pas plus de quelques secondes pour que son pouvoir de construction n'agisse et ne forme de solides liens venant entourer les bas et les jambes de la surveillante, l'immobilisant entièrement. Elle allait le lui payer ! Elle qui lui faisait confiance, qui s'était réfugiée dans ses bras en pleurs, comment avait-elle pu la menacer ainsi de ruiner sa vie ? C'était trop pour Elizabeth. Mais elle n'avait pas la force ni l'envie de la tuer. Elle n'en était tout simplement pas capable. Ainsi, la jeune femme se pencha au dessus de la surveillante pour apposer ses lèvres sur les siennes, laissant couler ses larmes sur la joue de sa prisonnière.

- Tais toi... tais toi... ferme la...

Elle lui donna un nouveau baiser. Puis un autre, et un autre, jusqu'à ce qu'elle ne joigne sa langue à la sienne dans un sulfureux roulage de pelle. Cela lui permettait de se détendre, et d'augmenter son désir petit à petit au fil de leurs échanges de salive. Elizabeth avait eu une meilleure idée que de s'introduire des doigts toute seule. Elle allait baiser Verena. Comme ça, elle serait trop honteuse pour en parler à qui que ce soit !

Sa monstrueuse poitrine appuyée contre la belle surveillante, Elizabeth commença à défaire sa jupe d'une main, ainsi que celle de sa partenaire. Elles se retrouvèrent rapidement en culotte, et la belle blonde commença à remuer le bassin contre Verena pour stimuler son vagin. Celui-ci frottait avec répétition contre la chatte de Verena, ce qui ne manqua pas d’humidifier leurs culottes à toutes les deux, échangeant alors leurs fluides corporels comme pour sceller un pacte. Elizabeth le savait, au fond, Verena était vierge. Il lui avait suffit d'un coup d'oeil pour le remarquer. Et elle savait aussi que la délicieuse pionne n'était pas indifférente à ses avances...

- Je sais que tu me veux... C'est pour ça que tu me traites de la sorte, hmm ? Tu es jalouse parce que je me soulageais seule ?

Peu à peu, Elizabeth commença à retrouver son instinct sadique, son côté sale et malveillant.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le vendredi 13 juillet 2018, 23:06:09
Ca va trop vite pour moi, la surprise, la réaction. Je n'ai même pas compris comment je me retrouve poignets et chevilles liés. Et qu'on ne me fasse pas le coup qu'à Seikusu il y a des choses étranges qui se passent. Je ne parviens même pas à sortir un mot, à crier, à hurler, à appeler au secours. C'est comme si tout était bloqué dans ma gorge, comme si je ne sais quoi empêchait ma voix d'émettre le moindre son.

« Tais toi... tais toi... ferme la... »
Je n'ai rien dit, mais, vu le regard d'Elisabeth, et vu l'incapacité que j'ai à m'enfuir, je n'ai pas vraiment envie de la contrarier.
Bon, ça commence relativement doucement, mais, vu comme elle me maintenait au sol avec facilité, je n'ai plus aucun doute sur sa force, ni sur le danger qu'elle représente.
Ses baisers sont doux, dangereusement doux, dangereusement agréables. C'est comme si elle en avait été privée, elle m'en donne à profusion.

La situation est étrange ; elle m'a attachée je ne sais pas comment, mais c'est pour m'embrasser. La question ne trotte pas longtemps dans ma tête, car, alors que je me détends un peu, Eliasbeth en profite, et sa langue viole littéralement ma bouche.
Elle est maline, elle est diabolique même, elle maintient ma tête juste comme il lui sied, avec les mains, et elle sait bien que je ne peux pas me défiler, ni détourner la tête.
D'ailleurs, ce baiser dure une éternité, au point que nos salives finissent par se mêler. Mais, là aussi, je ne comprends pas pourquoi je suis sans réaction.
Je la regarde faire, comme si j'étais ailleurs, mais je refuse d'admettre que la situation me plaît, même si j'aurais préférer la maîtriser. Mais, en tirant sur mes liens, je constate avec dépit qu'ils sont serrés d'une manière incroyable.

Je la regarde, interloquée ; elle est si sure d'elle, comme si elle avait tout prémédité. Elle savait que je faisais ma tournée le soir, elle savait qu'une lumière allumée m'interpellerait, elle savait que je réagirais ainsi face à elle. Tout était prémédité ;
Et, quand enlève sa jupe et la mienne, j'en ai la certitude.
« Elisabeth, que faites-vous ? »
Tout va vite, très vite, comme si elle avait vraiment très envie de moi. Malgré moi, je ne suis pas en reste, et le contact de sa chatte sur la mienne, même à travers le tissu, me fait chavirer les yeux.
« Nooooon ! »
Mais on corps dit oui, me trahit.
« Je sais que tu me veux... C'est pour ça que tu me traites de la sorte, hmm ? Tu es jalouse parce que je me soulageais seule ? »
Elle joue un jeu, ce n'est pas possible !
« Mais non, je n'ai rien dit de mal ».
J'essaie de calmer la situation, car je ne suis pas vraiment à l'aise. Je suis à sa merci, et elle alterne dangereusement le chaud et le froid, entre ses baisers tendres et mes liens serrés.
Ses propos sont d'ailleurs très clairs, elle a du ressentiment envers moi. Personne ne sait que je suis ici, et, si elle se mettait à délirer, personne ne me retrouverait.
J'ai intérêt à entrer dans son jeu, sauf que c'est mon corps qui prend les devants au delà du raisonnable, et je devine qu'elle a très bien perçu le trouble sous ma culotte..
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le vendredi 13 juillet 2018, 23:43:04
Les instincts primaires d'Elizabeth sont éveillés, et elle allait en faire les frais. Tant qu'elle ne se serait pas trouvé une maîtresse, c'est elle qui dominerait. Et dieu sait qu'elle savait très bien comment s'y prendre au vu de son passé. Elizabeth aurait voulu être une belle jeune femme élégante et désirable... mais la désillusion était trop forte. Avec ses seins de vache, son passé d'esclave sexuel, Elizabeth était tout au mieux une grosse chienne. Une pute. Un trou à bites, un sac à foutres. Et c'est ce qui lui plaisait, au détail près qu'elle ne coucherait désormais qu'avec des femmes... et que dieu vienne en aide à Verena, elle n'était pas au bout de ses surprises.

Elizabeth commençait doucement, mais se connaissant, elle n'allait pas la ménager du tout. D'ailleurs, la jeune femme lui colla une gifle. Puis une deuxième, pour la route, avant de lui rouler une autre pelle baveuse. Puis, loin de s'arrêter la, elle lui remis une autre gifle, avant de l'embrasser à nouveau. Une fois cette petite mise en bouche terminée, Elizabeth repris son activité initiale: remuer son bassin afin de frotter leurs chattes l'une contre l'autre. Ce qu'elle faisait très bien, sans retirer sa culotte pour l'instant. Malgré les protestations de la surveillante, Elizabeth ne comptait pas s'arrêter.

- Tu m'as menacée, tu vas me le payer. Traîtresse. Je sais que tu aimes ça, ne fait pas l'innocente ! Je sais que tu m'aimes !

Comme pour le lui prouver, Elizabeth lui roula un nouveau patin langoureux sans aucune forme de retenue. Verena allait bien devoir accepter la réalité en face. Et Elizabeth continuait d'ailleurs à se frotter frénétiquement contre Verena. Comme si elle ne pouvait pas attendre plus longtemps, la jeune femme tira sur son chemisier pour l'ouvrir, et dévoiler sa monstrueuse poitrine. Ces deux énormes globes de chair, décorés par deux beaux mamelons roses et massifs, ne demandaient qu'à être stimulés. Comme pour faire taire Verena, Elizabeth laissa un sein reposer sur sa tête. Un seul sein suffisait pour manquer de l'étouffer, il devait bien peser quelques kilos. Perdue dans toute cette chair tendre et moelleuse, Verena allait bien devoir trouver un moyen de respirer. D'ailleurs, le mamelon rose d'Elizabeth vint lui titiller les lèvres, comme pour l'inviter à le sucer.

- Je suis sûre que tu t'es déjà doigtée comme une pute en pensant à moi ! Je le sais !

Lui dit-elle alors qu'elle continuait de se frotter à elle, accentuant la mouille qui coulait maintenant sur ses jambes.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le samedi 14 juillet 2018, 00:06:05
Je dois essayer de contenir la situation, même si je n'en ai plus le contrôle physique. Elisabeth est fragile, je devrais parvenir à garder le contrôle mental.
Mais ma tête vole d'un côté sous la gifle qu'elle m'assène, avant que la suivante ne renvoie ma tête de l'autre côté, et qu'elle me roule encore un de ces patins ravageurs.
Oui, Elisabeth a vraiment un problème, sauf que je me suis mise à sa merci, et que je sais de moins en moins comment l'appréhender.

« Tu m'as menacée, tu vas me le payer. Traîtresse. Je sais que tu aimes ça, ne fait pas l'innocente ! Je sais que tu m'aimes ! »
« Mais non, je... »
Une fois de plus, ma phrase se perd dans le non-dit, parce qu'un nouveau patin très appuyé l'a renvoyée au plus profond.

Je n'ai plus aucun vrai contrôle de la situation, surtout que mon bas-ventre me trahit. Au lieu de demeurer imperturbable, je sens que les frottements auxquels se livre Elisabeth commencent à produire de l'effet.
Si je suis encore vierge, j'ai déployé tout un art des caresses, et je sais précisément quand et comment réagit mon corps. Et là, il réagit, et même malgré moi.

Elle est folle, j'en suis de plus en plus persuadée, mais je ne sais pas jusqu'où elle peut aller, en ouvrant son chemisier. Oh, ces seins, magnifiques, un rêve que je n'aurai jamais, encore plus beaux que... quand je me caressais en y pensant.
Vite, faire fuir ces pensées !
« Elisabeth, vous ne croyez pas que... »
Ces seins, je les ai rêvés, sans songer que l'un d'eux m'empêcherait presque de respirer ! Je n'ai pas d'autre choix que d'ouvrir la bouche, juste autour de son téton, de bouger la langue comme je peux, de le caresser comme malgré moi.

« Je suis sûre que tu t'es déjà doigtée comme une pute en pensant à moi ! Je le sais ! »
Oui, c'est vrai que je me suis caressée en pensant à ses seins, précisément, en m'imaginant ce que je leur fais plus ou moins là. Comment le sait-elle ?
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le samedi 14 juillet 2018, 00:50:18
Elizabeth est prise d'un rire nerveux. Oui, son passé douloureux l'a rendue indéniablement folle. Mais sa folie se réfugie dans le sexe, ce qui fait d'elle une jeune fille loin d'être dangereuse. Du moins, pas dans le sens que l'on connait.

- Hahaha ! Regarde toi, tu mouilles comme une pute ! Tu ne peux plus te cacher maintenant, salope !

Oh oui, c'était une belle salope. Elizabeth en était persuadée, et comptait bien s'en occuper à sa manière. Elizabeth finit finalement par arracher sa culotte et celle de Verena, dévoilant leurs intimités à nu, et par extension leurs lèvres intimes. Oh, comme elle allait prendre plaisir à déflorer cette petite chienne. Car conformément à ce qu'elle pensait, Verena était vierge. Elle en avait la preuve sous les yeux, un simple coup d'oeil lui suffisait pour le savoir. Dieu seul sait ce qu'elle allait prendre son pied avec cette pute.

- Suce bien, lèche, et je te donnerai une récompense à la fin.

Lâcha t-elle à Verena, sans préciser de quoi elle parlait. En tout cas, la jeune femme usa de nouveau de son pouvoir, et se toucha les seins. Puisque celui-ci lui permettait de détruire et de créer, il en allait sans dire qu'elle pouvait aussi transformer... et c'est ce qu'elle fit. Malgré le fait qu'elle ne soit pas enceinte, du lait commença à couler doucement de ses mamelons, en particulier de celui que Verena était occupée à sucer. C'était l'occasion pour elle de se revigorer un peu ! Du bon lait, comme la vache qu'Elizabeth était. Avec des seins pareils, elle ne pouvait être qu'une vache laitière après tout ! Oui, Elizabeth avait pour habitude de se discréditer aussi, elle aimait cela. Ce n'est pas parce qu'elle soumettait plus faible qu'elle qu'elle n'en restait pas moins une pute.

Et alors, Elizabeth recommença à frotter sa chatte contre celle de Verena, à nu cette fois-ci. Pas de culotte pour faire barrière, leurs lèvres étaient maintenant jointes l'une à l'autre. Celles d'Elizabeth étaient un peu plus prononcées et grosses que celles de Verena, conséquence notable de ses nombreux rapports violents par le passé. Elle avait déjà de la chance d'avoir une chatte à peu près en bon état après tout cela, certaines des esclaves s'étaient retrouvées avec de véritables moules pendantes ou complètement déflorées jusqu'à ce qu'il n'en reste que de vagues bouts de chair informes, juste bonnes à pisser.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le samedi 14 juillet 2018, 01:13:08
« Hahaha ! Regarde toi, tu mouilles comme une pute ! Tu ne peux plus te cacher maintenant, salope ! »
Une pute, encore et toujours ce mot ! Je me défends d'être cela ; je suis une fille de bonne famille, enfin une enfant élevée dans les règles, en fait issue d'une famille de dégénérés. Et qui sait si je ne deviendrai pas moi aussi une tarée.
Une folle peut-être, une pute non !
« Vous ne pouvez pas dire ça ! » rétorque-je. Mais Elisabeth s'en fout, c'est évident. Elle a son idée en tête, et je ne maîtrise plus rien. Si j'exécute se consignes, à condition qu'elles ne soient pas trop absurdes, je devrais m'en tirer. Et là, direct le bureau du directeur, et dehors la cinglée !

Elle continue dans son trip, et m'arrache littéralement ma culotte. Je rêvais d'être nue avec une jeune femme, pour lui offrir ma virginité, mais pas comme ça. Ce que j'ai préservé contre tout et tous va être éclaté sans délicatesse par une foldingue.

« Suce bien, lèche, et je te donnerai une récompense à la fin. »


Une récompense ? Là où j'en suis, je ne sais même pas ce que c'est. Mais c'est aussi absurde que le lait qui se met à couler. Les premières gouttes manquent même m'étouffer, mais je dois ingurgiter à défaut d'en avoir la nausée. Aurait-elle caché qu'elle est enceinte ? Encore un motif d'exclusion ! Mais non, ça ne va pas, c'est absurde. Comment fait-elle ça.

De toutes façons, je n'ai pas le choix, je lèche le sein, je gobe le mamelon, et l'ensemble me procure de douces sensations. Je n'avais jamais fait ça, disons dans un tel contexte. Et je me mets même à gober avec entrain.
« Eh Verena, arrête ! Redeviens lucide ! »
Ma conscience essaie de rattraper la dérive, mais je suis emportée, et le contact de nos lèvres intime n'arrange rien. Je mouillais déjà avant, je dois l'admettre, et Elisabeth n'a vraiment plus le moindre doute désormais.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le samedi 14 juillet 2018, 01:30:19
Elizabeth n'en a plus rien à faire. Elle baisera tellement cette chienne qu'elle finira par en redemander. Alors qu'elle continua de presser sur ses seins pour l'asperger de lait, la jeune femme redoubla d'efforts pour faire jouir Verena avec ses lèvres intimes. Leurs chattes se frottaient l'une à l'autre, s'embrassaient, mélangeaient leurs fluides formant désormais une petite flaque sur le sol, et c'était si bon qu'Elizabeth ne put que continuer avec d'autant plus d'énergie. Ce n'était que le début, ooooh oui.

La jeune femme se libéra une main pour ensuite l'enfouir sous le haut de Verena, griffant son ventre au passage, jusqu'à atteindre l'un de ses seins. Elle arracha son soutien gorge sans ménagement, ce n'était pas pratique. Et sans surprises, avec une totale absence de douceur, Elizabeth attrapa le téton de la surveillante entre son pouce et son index pour le pincer, le tirer, le tordre, le triturer de toutes les manières possibles. La jeune femme devait bien apprendre à ses dépens que la douleur était aussi importante que le plaisir, parfois même plus.

- Voilà, comme ça... hmmm... suce bien...

Étonnamment, Elizabeth ne l'insulta pas cette fois. Après tout, ses seins étaient ses petist trésors à elle, ses bijoux, ses merveilles personnelles. Elle avait donc des rapports très différents lorsque quelqu'un s'en occupait, le plaisir qu'elle ressentait était plus doux. Plus innocent. Cela ne l'empêchait pas de produire des litres de lait pour arroser la jeune femme, comme beaucoup d'autres filles à Seikutsu, Elizabeth adorait les fluides corporels. Verena allait d'ailleurs l'apprendre bien assez tôt...

Au bout d'une dizaine de minutes passées ainsi, la jeune femme fût lassée, et introduisit quatre doigts directement dans la chatte de la belle jeune femme, en plus de continuer à frotter. La partie commençait, et elle allait être intense. Les mouvements vifs d'Elizabeth ne laissaient pas un seul moment de répit à sa partenaire, l'obligeant à suivre le rythme comme elle le pouvait. Elle se pencha un instant pour boire sa mouille et la lui recracher bruyamment dessus, avant de reprendre son activité.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le samedi 14 juillet 2018, 07:55:15
C'est bon, c'est trop bon ; je me surprends moi-même à aimer ça. Pourtant, c'est pervers, ça ne se fait pas entre fille. Le lait, ce n'est pas fait pour ça. Mais la peau de ce sein est si douce, ce téton est si délicieux, ce lait est comme un liquide divin. Ma pauvre Verena, tu deviens complètement folle !

Même ma chatte est en feu, j'agite les hanches sous le contact de nos lèvres intimes. Je me tortille, signe de ma capitulation. Je voudrais dire plein de choses, mais ce sein, ce superbe sein, m'empêche de parler. Etouffée par un sein, si on m'avait dit...

J'en veux plus, la chaleur en moi est bien autre que ce me procuraient mes caresses. J'étais excitée en pensant à Elisabeth, mais là, dans le concret imprévu, je suis dans un tout autre état. J'ai envie de lui hurler « plus vite, plus fort, partout », mais ça, elle le sait déjà.

C'est presque une délivrance lorsque je me retrouve seins à l'air, peu importe si je repars chemisier ou soutien-gorge déchirés. Ses griffes sur ma peau, mes tétons qu'elle maltraite vraiment, je veux ça, je veux tout ça, je veux encore. J'agite mes jambes, je veux le contact de nos chattes, je me sens si trempée, déjà.

« Voilà, comme ça... hmmm... suce bien... »
Je me concentre sur ce sein, sur cette source ; Elisabeth ne s'imagine pas le pouvoir qu'elle a avec de si beaux attributs ; elle peut rendre fous les garçons, et faire des trucs incroyables aux filles. Et, ce soir, c'est tout pour moi ! Je m'en fous d'être attachée, ça va donner.

Mais je ne sais pas jusqu'où. Parfois, un éclair de lucidité, de moins en moins fréquent d'ailleurs, me recommande la prudence. Mais, aussi fermement attachée, les habits plus ou moins en lambeaux, mon sexe qui trahit mon excitation, que puis-je faire ?

Pourtant, Elisabeth me fourre les doigts dans la chatte sans aucune délicatesse. Quatre d'un coup, j'en suis sure, comme une espèce de queue, pas longue mais bien large.
« Humph... Non ! » parviens-je à articuler, songeant à ma virginité préservée, mais quasi inaudible par ce sein qui oppresse ma bouche.

Je ne maîtrise plus rien, mais je ne sais pas si je dois avoir peur ou envie. Elisabeth alterne la douceur et la violence, et je ne suis qu'un jouet entre ses mains, un jouet dans ses délires.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le samedi 14 juillet 2018, 15:09:43
Elizabeth continua sa petite affaire, pressant ses seins successivement pour l'asperger d'un lait divin tout en l'étouffant au passage, puisqu'un de ces énormes lobes de chair lui recouvrait le visage. Son mamelon rosé, durcit par l'excitation, devait au moins faire la largeur de sa bouche à présent. Et elle ne manquait pas de le lui faire sucer abondamment, déversant son lait dans sa gorge pour la repaître.

Elizabeth redoubla, retripla, quadrupla d'efforts lorsqu'elle remarqua que Verena agitait les hanches comme une pute. Elle venait de capituler, c'était une défaite. Elle était désormais complètement à elle, et Elizabeth allait se faire le plaisir de la briser pour se venger. Mais surtout, pour le plaisir du sexe et de la débauche. Elizabeth continuait de la griffer d'une main, de lui pincer le téton, de le tortiller violemment tandis que son autre main lui labourait déjà la chatte.

- Regardes toi ! Tu remues comme une pute, tu aimes ça et tu en redemandes.

Elizabeth la doigtait énergiquement tout en continuait de frotter sa chatte contre la sienne avec une sauvagerie inespérée. Prise à la bouche, aux seins et entre les jambes, Verena n'allait sûrement pas tarder à jouir. C'était déjà très bien d'avoir tenu jusqu'ici pour une vierge. Dommage que ce ne soit que le round 1, Elizabeth avait encore plein d'idées à appliquer une fois qu'elle aurait jouit.

D'ailleurs, au bout d'une bonne dizaine de minutes, cette jouissance vint enfin. Verena et Elizabeth atteignirent l'orgasme en même temps, hurlant leur plaisir en joignant alors leurs orgasmes en un, alors même qu'Elizabeth se releva d'un coup sec pour s'accroupir au dessus de la surveillante. Elle semblait pressée, comme si elle ne devait pas perdre de temps, et déversa une quantité hallucinante de cyprine sur la jeune femme. Elle devait lui jouir dessus, lui montrer qu'elle n'était rien d'autre qu'un jouet, et la jeune femme avait réussi. Couverte de mouille, de lait et de sueur, Verena était incroyablement belle aux yeux d'Elizabeth. Une véritable beauté brisée, couverte de fluides corporels. Mais il manquait quelque chose...

- Hmmm... ouvre la bouche, salope...

Elizabeth, toujours accroupie au dessus du visage de Verena, écarta ses lèvres intimes de ses deux doigts pour mieux lui pisser dessus !
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le samedi 14 juillet 2018, 16:05:32
Il y a même pas une heure, je n'étais qu'une banale surveillante, fantasmant sur une élève timide aux formes opulentes. Et voilà que je me retrouve soumise au bon vouloir de cette élève, tétant goulûment son sein.

Je suis en transes, je n'ai jamais connu ça, il ne fait pas que Elisabeth s'arrête !
« Regardes toi ! Tu remues comme une pute, tu aimes ça et tu en redemandes. »
Je m'en fous, elle peut me dire ce qu'elle veut. J'aime et j'en redemande ! Je veux même qu'elle insiste, qu'elle force, qu'elle ne se retienne pas. Je veux sentir sa chatte, ses doigts, sa langue. Je veux qu'elle me baise vraiment. Je veux perdre ma virginité avec Elisabeth !

Et ça monte, ça monte avec une intensité que je n'ai jamais connue. Je voulais de la tendresse, un doux dépucelage, mais, là, je prends mon pied sans cette douceur, avec une violence folle. Je voudrais lui hurler, lui dire que je l'aime, lui dire que je suis à elle. Mais son sein continue de m'oppresser, de m'étouffer, de m'inonder de lait.

Ça monte encore, il ne reste que peu de temps avant que je parte à la dérive. Personne ne m'a fait ça, comme ça, et ça va être tout autre que quand je me caresse. Même être attachée m'excite, ce que je ne pouvais pas faire moi-même.

Et, quand ça arrive enfin, ça m'emporte, ça jaillit comme un feu d'artifice, je perds tout le contrôle des mouvements de ma taille, je hurle en mordillant malgré moi son sein, étouffant ma jouissance dans ce globe qui continue de déverser son lait.

Je ferme les yeux, pour mieux savourer, comme si chaque once de ma peau voulait s'imprégner de cet instant unique. Mais Elisabeth n'est pas aussi inactive que moi ! Elle s'est déjà relevée, comme si l'orgasme n'était qu'une étape pour elle.

Elle se retrouve au dessus de mon visage, accroupie. Je vois son sexe trempé, sa chatte béante, mais je ferme très vite les yeux, car elle continue à déverser sa mouille.
Quand le flot s'interrompt enfin, je ne suis plus qu'une loque, souillée, trempée.

Je suis heureuse, je veux juste faire une pause avant de continuer.
Mais Elisabeth ne semble pas être du même avis.
« Hmmm... ouvre la bouche, salope... »
Sans doute  la dernière goutte de sa mouille va-t-elle tomber, et elle veut que je l'avale.

Mais la surprise est de taille ! Le jet brûlant passe entre mes lèvres, atteint directement ma gorge, mais ce n'est pas de la cyprine. Elle me pisse dessus. Je bouge la tête de droite et de gauche pour éviter le jet, mais j'en prends autant sur le visage, et, à chaque fois que je veux lui dire non, le jet trouve ma bouche ouverte, manquant m'étouffer.

Je dois être un repoussoir, couverte de sueur et de lait, de mouille et de pisse. Il faudrait qu'elle soit sacrément excitée ou diablement perverse, pour continuer à me rudoyer ainsi.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le samedi 14 juillet 2018, 16:52:39
Un repoussoir ? C'est tout l'inverse pour Elizabeth, qui trouve Verena plus belle que jamais, souillée ainsi. La jeune femme ne peut s'empêcher de se ruer sur elle, lui léchant le visage, récupérant le mélange de fluides contre sa langue pour les avaler avec une soif insatiable. Pour conclure, la belle Elizabeth lui roula une pelle d'enfer, sûrement celle de sa vie, lui bavant dans la gorge sans aucune retenue ni pudeur. Il fallait que ce soit le plus sale possible, aussi, elle continua de pisser sur Verena, assise sur son ventre. Elle avait beaucoup bu ce midi, il fallait bien qu'elle se vide la vessie !

Une fois complètement vidée, et après avoir embrassé la belle, Elizabeth la libéra de ses liens, estimant qu'elle ne voudrait sûrement pas partir à présent. La jeune femme posa une main sur les seins de Verena, les malaxa un peu, pinça une nouvelle fois ses tétons, jusqu'à même les mordiller. La pauvre, de si petits seins... tout le monde n'avait pas la chance d'en posséder une paire semblable à la sienne !

- Je vais te donner ton cadeau.

Elizabeth posa une main sur chacun de ses seins, et utilisa son pouvoir pour les modifier. Lentement, mais à vue d'oeil, les deux lobes de chair de Verena commencèrent à grossir... grossir... grossir... jusqu'à atteindre la même taille que ceux d'Elizabeth ! Au moins avec ça, elle avait eu un beau cadeau non ? Du moins, tant qu'Elizabeth en déciderait. La jeune femme alla s'asseoir sur le visage de Verena, posant sa chatte ruisselante et son cul sur sa bouche.

- Si tu es une bonne petite chienne et que tu veux les garder, lèche moi le trou du cul. Plus vite que ça.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le samedi 14 juillet 2018, 19:47:43
Le flot chaud s'interrompt enfin, et je peux réagir sans en prendre encore.
« Mais ça ne se... »
Trois mots, trois mots seulement, avant que Elisabeth ne se jette sur moi, et me lèche tout le visage, le nettoyant avec un soin qui me sidère. Soit c'est vraiment de la perversité, soit elle a plus que de l'avance sur moi, non aux jeux de l'amour, mais aux jeux du sexe. Parce que, uriner sur elle, jamais ça ne me serait venu à l'esprit !

Sa langue est un délice, elle court sur mon visage, et je me fends d'un « Hum, c'est bon comme ça », qui trahit mon bonheur de l'instant, après tant d'interrogations. Et c'est avec sincérité que je lui offre ma bouche pour un baiser langoureux, même si ça donne plutôt l'impression qu'elle me viole encore le palais.

Mais il est dit qu'elle me surprendra et ne m'épargnera rien. Aussitôt interrompu ce baiser, aussitôt elle recommence à uriner, mais sur mon ventre. Moi qui prends tant soin de ma peau et de mes senteurs, traquant la moindre odeur corporelle suspecte, je n'ose imaginer ce que le commun des mortels penserait de moi à cet instant précis.

Je ne peux rien faire avec ces liens qui m'entravent, je ne peux que subir tant la force d'Elisabeth est impressionnante, je ne peux pas m'échapper avec des habits en lambeaux. Elisabeth le sait, et, autant je ne compris pas comment je fus attachée, autant je ne comprends pas comment je fus détachée. C'est instantané, c'est comme magique ; je retrouve ma liberté de mouvement.

Je pourrais me venger, la repousser, lui montrer ce que des années de sport de combat m'ont appris. Mais, étrangement, mon corps ne réagit pas comme il le faudrait. Une sorte d'engourdissement, de passivité. Et puis, sortir comme ça dans les couloirs, c'est tout foutre en l'air pour moi, réputation, job, études, carrière. Elisabeth le sait, elle en profite.
Elle n'est pas calmée, elle recommence à me triturer les seins. Malgré la douleur soudaine, je reste calme, juste un « Aïe » pour la freiner un peu.
« Je vais te donner ton cadeau. »

Vu comme elle maltraite mes tétons, je m'attends au pire, alors qu'elle empaume mes seins, de vrai oeufs au plat, face à ses obus. Elle va en griffer la peau, ou bien les comprimer avec force ! Mais la suite me laisse totalement éberluée. Je vois mes petits globes sans vraie forme gonfler, pas gonfler d'excitation, mais gonfler, prendre chair, comme si ma peau prenait une nouvelle forme de manière totalement naturelle.
La métamorphose s'arrête, alors que ma poitrine a atteint quasiment la dimension de celle d'Elisabeth que j'enviais tant. Je ne comprends pas, pas davantage que les liens qui arrivent et repartent.
« Comment tu as fait ça ? »

Elisabeth ne répond pas, et m'étouffe de nouveau, mais cette fois avec sa chatte, dont l'effluve est absolument délicieuse, et que je devine mélangée à ma propre cyprine. Ravissement de courte durée, car elle bouge juste un peu, en me lançant :
« Si tu es une bonne petite chienne et que tu veux les garder, lèche moi le trou du cul. Plus vite que ça. »
Quelle horreur ! Je n'ai jamais fait ça, j'ignorais même qu'on puisse le demander.
J'ai la liberté de mouvement, il suffit que je la renverse sur le côté, pour m'enfuir... nue dans les couloirs. Pas top ! Et puis, si elle raconte certaines choses, ça mettra un doute contre moi.

Je regarde son anus, me demandant si, vu ce qu'elle semble avoir comme expérience, elle a déjà fait un truc qui s'appelle la sodomie. Il paraît que c'est excitant, mais ça n me paraît pas très propre.
Pourtant, je n'ai pas vraiment le choix. Etirant la pointe de ma langue, j'effleure son petit trou, crainte d'odeurs, crainte de relents. C'est assez gênant, mais c'est comme si elle avait tout bien nettoyé avant.
Comme si elle avait tout prémédité, songe-je.
Fi des réflexions, je pousse ma langue plus avant, le conduit est étroit, mais les parois ne me répugnent pas, et, de la pointe, je les effleure, les caresse.

Pute... Salope... Chienne... je crois que je n'ai pas fini d'entendre les qualificatifs.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le samedi 14 juillet 2018, 20:45:20
Son entrejambe n'est pas seulement trempée de cyprine, mais aussi de pisse. Elizabeth a toujours eu un rapport spécial avec l'urine, au vu des nombreuses fois ou on lui a pissé dessus quand elle était esclave. Elizabeth interprète ce geste comme la preuve de la domination ultime. Pisser sur quelqu'un, c'est marquer son territoire. Lui signifier qu'elle n'est rien d'autre qu'un objet lui appartenant. Et c'est bien ce qu'était Verena. Elizabeth continua de remuer le cul contre le visage de sa chienne, lui présentant son anus dilaté par ce que l'on devine être de nombreuses sodomies douloureuses. Celui-ci est parfaitement propre, de couleur chair, et n'a aucun goût désagréable. C'est même plutôt plaisant de la lécher ainsi, puisque la jeune femme semble même mouiller du cul. En effet, son anus dégage une sorte de liquide lubrifiant, faculté étrange mais loin d'être impossible pour une femme comme Elizabeth pouvant modifier son corps et la matière à volonté.

- Je peux modifier ce que je touche à volonté. Je me suis donc permise de te donner un cadeau, gosse salope.

Elizabeth s'attaqua à la nouvelle poitrine de sa partenaire, lui triturant les mamelons, léchant l'intégralité de ses seins, non sans frotter son anus contre les lèvres de la belle. Verena pouvait donc expérimenter le fait de se faire malaxer la poitrine, d'avoir deux obus à la place de ses petits seins ridicules. Maintenant, elle allait devoir apprendre à les porter sans avoir mal au dos. A moins qu'elle ne préfères retrouver sa poitrine d'antan, Elizabeth n'y voyait pas d'inconvénients de toute façon.

Elizabeth claqua violemment les seins de Verena, comme pour les punir. Elle les maltraitait volontiers, griffant davantage leur chair, les frappant comme des punching ball, mordant chaque centimètre de peau comme si elle était affamée. Pour finir, la belle blonde cracha un peu partout sur son corps, avec grand mépris. Elle aimait la maltraiter ainsi, lui faire comprendre que ce n'était qu'une chienne et rien d'autre.

Elizabeth ne se préoccupait pas de la liberté de mouvements de Verena, elle était sûre d'avoir plus de force qu'elle, en plus de son pouvoir monstrueux. Verena était à sa merci, et si elle n'obéissait pas, Elizabeth se ferait un plaisir de lui faire mal. Au bout de quelques minutes, alors qu'elle trouvait le rapport ennuyeux, Elizabeth produisit une nouvelle fois de la cyprine pour l'expulser cette fois par son cul pour remplir la bouche de Verena. Quelle joie d'avoir un tel pouvoir ! Elle pouvait ainsi défier les lois de la nature et faire ce qu'elle veut. Et ce n'était que le début... Verena n'avait pas encore expérimenté les modifications qu'elle pouvait apporter à son corps. Qu'aurait-elle fait en voyant une bite de 50cm lui pousser entre les jambes, par exemple ? Peut-être qu'Elizabeth répondrait à cette question prochainement.

En attendant, tout ce que Verena devait faire, c'est lui lécher le cul.

- Plus vite, salope ! Fous ta langue dedans, je veux la sentir remuer dans mon cul !
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le samedi 14 juillet 2018, 21:52:38
Je ne connaissais pas ces pratiques, mais je n'ai pas le dégoût que je pouvais craindre. Je deviens même plus audacieuse, ma langue se fait serpent, tourne sur elle-même, titille de sa pointe. Ce petit trou est délicieux, je ne sais pas si tous le sont ainsi. Mais, même si elle m'a uriné dessus, Elisabeth prend très soin de tout son corps.
Comme j'avais bu avidement son lait, je joue de son petit trou. Il est si étroit que je me demande comment certains hommes y mettent leur sexe. Mais il me semble que, depuis que ma langue y est, il s'est un peu agrandi. On dirait même qu'il y a comme une sorte de mouille, là aussi, et ça coule sur mon visage qu'Elisabeth avait pourtant nettoyé.

« Je peux modifier ce que je touche à volonté. Je me suis donc permise de te donner un cadeau, grosse salope. »

Il faut que je me fasse une raison ; ce mot, comme tant d'autres, je l'entendrai encore et encore tant qu'Elisabeth sera là. Je dois dépasser mon rejet ; dans sa bouche, c'est peut-être un compliment.

Un rare compliment alors, dans ce rapport étrange où Elisabeth peut passer de la douceur à la violence. Et nouveaux sans être à moi, mes seins sursautent sous l'effet des claques qu'elle commence à leur infliger. Ce ne sont pas vraiment les miens, mais je ressens tout comme s'ils étaient miens depuis toujours.
À quoi sert de les avoir ainsi fait grandir, sans que je sache comment, si c'est pour les maltraiter comme ça. Ils sont si beaux, j'en rêvais ; j'aimerais les garder aussi beaux, et pas zébrés de morsures ou bleus de coups.

Je ne sais pas vraiment ce qu'elle veut, où elle veut en venir. Elle n'a fait qu'abuser de l'avantage qu'elle a pris sur moi, elle a bousculé tous mes tabous sans même s'en soucier, elle ne m'a offert que très peu de tendresse, elle a les moyens de me briser à Mishima. Elle a des sortes de pouvoirs que je ne connais pas, et je suis peut-être loin de tout avoir découvert.
Je dois être prudente, en entrer dans son jeu.
« Plus vite, salope ! Fous ta langue dedans, je veux la sentir remuer dans mon cul ! »

Apparemment, je ne suis pas à la hauteur. Pourtant, je m'applique, je ne fais pas ma mijaurée, et j'enfonce ma langue aussi loin que je peux. Si elle s'attendait à ce que ça remplace un sexe par la longueur et par la largeur, c'est qu'elle n'a jamais essayé.
En tout cas, je m'applique du mieux que je peux.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le dimanche 15 juillet 2018, 00:49:55
Elizabeth reforma ensuite les seins de Verena pour qu'ils soient comme neufs, sans retirer leur grande taille bien sûr. Elle avait été prise de remords, elle qui venait de lui offrir une si  belle poitrine, elle gâchait ce cadeau en les abîmant... quelle vilaine fille. De petites larmes perlèrent sur le coin de ses joues, alors que la belle blonde embrassa les mamelons de la surveillante avec tendresse.

- Désolée... désolée... pardon...

Elizabeth continuait de remuer les fesses pour sentir au mieux la langue de Verena dans son petit trou, alors qu'elle lui embrassait les mamelons, léchait ses seins, suçait ses tétons avec ferveur, et alla même presser ses seins contre ceux de la belle jeune femme. Leurs poitrines unies... quelle sensation agréable... un peu de douceur après la brutalité ne faisait jamais de mal, même si dans le cas d'Elizabeth cette douceur était éphémère. La jeune femme semblait presque bipolaire.

- Hmmm... aaaaaaah...

De ses deux mains, Elizabeth caressa lentement les cuisses de Verena jusqu'à son intimité, et passa ses doigts fins sur cette chatte encore trempée de désir. Doucement, presque avec amour, Elizabeth la masturba sans brutalité, frottant simplement les doigts en surface de son entrejambe.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le dimanche 15 juillet 2018, 07:34:13
Je comprends de moins en moins Elisabeth, elle alterne tellement le chaud et le froid. Pour ma première vraie expérience sexuelle, je suis tombée sur elle que je ne sais pas comment qualifier. Celles que je connais ont été déflorées par un garçon, sans jouir même, juse pour le faire. Et moi, qu suis toujours vierge, je me suis fait pisser dessus, j'ai mes seins qui ont gonflé, et voilà que je lèche un petit trou, avec de plus en plus de plaisir, à celle qui...
« Désolée... désolée... pardon... »
Je la comprends de moins en moins, mais ça, je ne veux pas. Aussi imprévisible qu'elle soit, elle m'a fait du bien. J'interromps à regret ma troublante caresse :
« Ne pleurez pas, Elisabeth ; vous ne pouvez pas imaginer ce que vous m'avez fait ».

Juste quelques mots, et cette envie aussi nouvelle que folle de retourner explorer de ma langue ce petit trou. Oui, elle ne sait pas ce qu'elle m'a fait,moi qui n'aurais jamais osé ça. J'ai même envie d'oser davantage, remonter mes bras, caresser ses cuisses, cette peau si douce, envie d'oser aller aussi caresser son sexe, qui doit être ce mélange de mouille et d'urine avec lequel elle m'a ravagée.

Elle recommence à me faire monter, mes seins que j'ai je ne sais comment, sont si sensibles. Elle appuie sur mon corps, je ne peux pas faire tous les mouvements que je veux, mais nos seins qui se frôlent, je n'imaginais pas ça dans mes rêves.
« Hmmm... aaaaaaah... »

Je suis bien, si bien. Elle est si douce, je suis si heureuse d'être attentionnée à bien lécher son petit trou, à bien faire tourner ma langue, à enfoncer la pointe aussi loin que je peux ; il en émane un délicieux parfum, et je le sens qui s'entrouvre sous mes caresses.

Je m'ouvre aussi, j'écarte de plus en plus les cuisses, comme une offrande, comme une supplique. La douceur d'Elisabeth est merveilleuse, elle frôle juste ce qu'il faut mon sexe, sans brutalité, sans excès, et ma respiration monte peu à peu. Oh, si ce moment pouvait durer...
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le dimanche 15 juillet 2018, 13:00:43
Elizabeth continua langoureusement son activité, réconfortée par les mots de Verena. Elle pressa ses seins contre ceux de la jeune femme, tout en continuant de caresser son entrejambe. Son petit trou du cul était désormais bien mouillé, sûrement du à la salive de Verena, lorsqu'elle remonta les mains jusqu'à sa chatte. Celle-ci était trempée de mouille et de pisse, sans surprises, et ce n'était pas plus mal. Elizabeth et Verena puaient le sexe, l'odeur de la luxure embaumait totalement la pièce dans ses effluves. Elizabeth eut tôt fait de le remarquer, et de commencer à lécher la chatte de Verena. Doucement, longuement, sa longue langue parcourait avec malice les lèvres intimes de la belle surveillante.

Toujours aussi doucement, du côté de son cul, Elizabeth continuait de le frotter contre la bouche de Verena, pour augmenter les sensations. Elle voulait sentir son anus frotter contre la douce peau de Verena, en plus de sa langue exquise. Celle-ci s'enfonçait dans son cul avec de plus en plus de facilité, pas bien loin certes, mais cela lui suffisait pour prendre du plaisir. Sa chatte recommença d'ailleurs à mouiller, et à déverser un peu de mouille sur le corps de Verena. C'était habituel à présent, mais chaque passage de cette eau bénite procurait des frissons à Elizabeth.

Les mains posées sur les cuisses de son amante, Elizabeth tâcha de se donner un peu plus pour elle. Elle introduisit sa langue le plus loin possible, elle pouvait de toute manière l'allonger, et commença à lécher l'intérieur de cette chatte qu'elle avait défoncée si tôt. Elizabeth, au fil de ses coups de langue, fut soudainement prise d'une envie. Verena ne s'était pas encore adonnée à ce plaisir après tout.

- Si tu veux pisser, pisse moi dans la bouche s'il te plaît.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le dimanche 15 juillet 2018, 14:16:35
Je suis bien, je ne sais pas ce que la suite me réserve, mais je suis bien. Je savoure cet instant de douceur, je découvre ce que les livres appelle un anilingus. Je sens un liquide humecter les parois de l'anus d'Elisabeth, j'aime ce goût, je m'applique. Je suis peut-être meilleure amante que ne le laisse penser ma virginité. Je m'interromps, juste un instant.
« Surtout, Elisabeth, dites-moi si je fais mal ; je suis toute disposée à apprendre ».

Je ne sais pas pourquoi je suis si passive d'une certaine manière. Passive, mais réceptive, car je sens que mes seins aux nouvelles formes ont les tétons dressés, et aussi que mon sexe s'humidifie.
Elisabeth a dû s'en rendre compte, je sens sa langue. C'est bizarre, on dirait comme une sorte de serpent, ou plutôt de tentacule. Même quand je me caressais avec mes doigts en pensant à elle, je n'allais pas si loin que sa langue. Mais c'est bon, si bon, et je gémis sans cesser ma caresse.

Je m'interromps, encore, un instant.
« C'est délicieux, Elisabeth, j'espère que vous aimez ».
Et je reprends de plus belle, j'aimerais tant la faire jouir comme ça. Tout se mélange, d'autres effluves aussi, celle de sa mouille c'est sûr, celle de son urine aussi.

Une idée fixe chez elle !
« Si tu veux pisser, pisse moi dans la bouche s'il te plaît."
La proposition me surprend. Recevoir, ou plutôt subir, je l'ai fait. Mais le faire ?
Certes, j'ai bu mon litre d'eau aujourd'hui, et j'urinerais tout de suite si j'allais aux toilettes. Mais là, Je ne savais pas que ça faisait partie du sexe.
« Je... je vais essayer... si vous aimez »
Même la pose n'est pas idéale, mais je ne vais pas faire ma mijaurée.
La langue tentaculaire d'Elisabeth m'a ouvert les lèvres intimes, je pousse, vraiment, mais rien ne sort. J'ai une envie physiologique, mais comme un blocage aussi.
« Je n'y arrive pas... mais je vais insister ».
Je force encore, j'essaie de penser à ce qu'elle a fait, et soudain le premier jet doré jaillit en laser, presque soudain, presque continu, direct dans sa bouche j'en suis sure.

« Que fais-tu, Verena, pour être si répugnante ? », ma conscience essaie de me raisonner, mais je crois que je suis partie loin, pour ne plus revenir en arrière.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le dimanche 15 juillet 2018, 21:06:44
Elizabeth retrouva un instant sa fermeté en lui répondant.

- Si tu le faisais mal je te le dirais.

Elizabeth continuait de frotter son trou du cul contre la bouche de Verena, l'inondant de mouille anale. Elle aurait même pu mouiller par tous les pores de sa peau, au vu de son pouvoir, mais ce serait moins drôle. Elle se contentait donc d'envoyer des jets de cyprine depuis son anus, directement dans la bouche de Verena. Elle avait l'air d'aimer ça, alors autant l'en abreuver un peu!

Elizabeth ne lui répondit pas ensuite, commençant petit à petit à reprendre du poil de la bête. Ses coups de langue étaient plus rapides, plus assurés, plus violents. La jeune blonde enfonça même dans doigts dans le cul de sa surveillante, et remua frénétiquement. Elle tira même dessus, de chaque côté, pour en écarter les parois sèchement. Au vu de sa force conséquente, clairement surhumaine, elle n'aurait aucun mal à lui élargir le cul.

Et pour finir, la jeune femme ouvrit la bouche pour accueillir la délicieuse pisse de Verena. Elle n'aimait pas, elle adorait ça. Elizabeth aimait la pisse autant que la mouille, en particulier la pisse des femmes prudes comme elle, bien loin de se douter de l'existence de cette pratique. Elizabeth buvait, avec délice, et continua d'en demander.

- Hmmmm... slurp... gmmwaaah... encore, encore !

Elle lui cracha sur la chatte, et ouvrit la bouche pour en redemander.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le dimanche 15 juillet 2018, 21:19:43
Je suis à la fois inquiète et rassurée. Rassurée, parce que Elisabeth me confirme que je me débrouille bien, que je sais lui donner du plaisir. Inquiète, parce qu'elle est toujours aussi imprévisible, que tout peut changer en un instant.

Grâce à elle, je me rends compte que, outre ma virginité, mes connaissances livresques du sexe sont nulles et inutiles.
Je ne savais pas qu'une femme mouillait de l'anus comme ça. Là, je ne cesse de la boire, l'impression que ça ne s'arrêtera jamais.
Je ne savais pas que les seins pouvaient gonfler comme les miens désormais, et même être plus sensibles que les œufs au plat que j'avais auparavant.
Je ne savais pas qu'uriner provoquait un tel plaisir, du moins Elisabeth aime donner et recevoir ; moi, ce n'est pas le cas pour le moment.
Je ne savais pas que la langue d'une femme pouvait autant se tordre et aller aussi loin que celle d'Elisabeth dans mon sexe, et c'est délicieux.

Mais elle est imprévisible, je le sais, et quand elle met ses doigts dans mon cul, c'est très violent.
« Aïe, ça fait mal ! »
J'ai l'impression qu'elle met une force surhumaine à m'élargir l'entrée, après avoir mis deux doigts avec la même violence dans mon petit trou.
« Doucement je suis vierge là aussi ! »
Zut, je me suis trahie. Peut-être ne savait-elle rien de mon pucelage, en général. Il ne faudrait pas que ça lui donne des idées incongrues.

Ce qui est imprévu, c'est que ses doigts dans mon cul ont le don de me troubler, m'exciter même, et mes jets d'urine continuent même, ce qui semble lui faire très plaisir.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le dimanche 15 juillet 2018, 21:35:12
Elizabeth redoubla d'efforts en entendant cela. Elle le savait bien, il faudrait être aveugle pour ne pas le voir. Mais l'entendre l'avouer ne faisait que doubler son plaisir.

- Justement, salope. Justement.

Décidément, Elizabeth aimait beaucoup cette surveillante, et encore plus sa pisse. Elle n'en perdit pas une goutte, appréciant ce liquide sacré avec tout le bonheur du monde. Elle ne savait pas l'expliquer, le goût était en soi mauvais, mais le geste l'excitait tant qu'elle en outrepassait le reste. Pisser sur quelqu'un, cette symbolique la rendait toute chose. Et c'est d'ailleurs dans un soucis d'équité qu'Elizabeth suréleva un peu le bassin pour pouvoir pisser sur le visage de Verena. Elle allait devoir y prendre goût, de toute manière ! La jeune femme avait déjà de la chance qu'elle ne lui pisse pas directement dans la bouche.

- Tiens, prends ta part aussi.

Une fois ceci fait, elle reposa son anus une fois de plus sur la bouche de Verena, non sans continuer de lui écarter l'anus. Elle voulait pouvoir voir sa fleur anale, et ne risquait pas de s'arrêter ! Son pouvoir aurait très bien pu lui écarter facilement le cul, mais cela n'offrait aucun challenge.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le dimanche 15 juillet 2018, 22:34:37
« Justement, salope. Justement. »
Le mot claque pire qu'un fouet. J'ai envie de lui dire que je ne suis pas une salope, mais, avec tout ce que j'ai déjà fait, elle en ricanerait, et le doute n'est même plus permis.
Mais, là aussi étrangement, ce mot claque comme s'il prolongeait encore le soulagement de ma vessie ; je n'avais jamais uriné aussi longtemps, à moins que je n'aie perdu toute notion du temps.

D'ailleurs, je profite qu'Elisabeth soulève le bassin, pour lui dire.
« Ca m'a fait tout... arghhh ! »
Quatre mots ! Quatre mots avant qu'elle recommence. Elle avait juste soulevé son bassin pour m'uriner dessus, et j'en avale malgré moi, bouche ouverte. Je la referme vite, mais trop tard, et le restant continue à culer sur mon visage.

Je dois être un infection, avec tout ce que j'ai pris depuis que Elisabeth m'a léché le visage. Entre sa cyprine anale et son urine, mon visage doit faire peur. Et avec tout ça que j'ai aussi en bouche, me forçant à déglutir malgré moi, puisqu'elle rappuie son anus sur mon visage, sitôt sa vessie soulagée, je n'ai pas d'autre choix que d'avaler ce liquide avec difficulté et écoeurement.

Je ne dois rien laisser paraître, je reprends avec ma langue dans son anus, avec douceur et insistance. Tout le contraire d'Elisabeth qui, après avoir meurtri mes seins, malaxé ma chatte sans retenue, me triture l'anus sans aucune délicatesse, comme si ma virginité l'excitait.
J'ai dit que je cherchais celle à laquelle j'offrirai ma virginité vaginale, je n'ai jamais dit que je voulais perdre ma virginité anale !
Stoppant net ma caresse buccale, je lui lance un sec « Eh, doucement ! ».
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le dimanche 15 juillet 2018, 23:46:20
Elizabeth éclate presque de rire en remarquant qu'elle coupe Verena en pleine phrase avec sa pisse. Quel délice que d'être aussi sale ! La jeune femme s'en excitait terriblement, à mesure qu'elle continuait de lui triturer le trou du cul. Elle y enfonça sa langue, léchant ses parois anales sans retenues, allongeant sa langue pour pouvoir l'atteindre plus loin. Elle avait bien bu sa pisse sans râler, elle ! Verena n'avait pas son mot à dire, selon Elizabeth.

- Silence ! Les chiennes ne parlent pas, elles aboient !

Elizabeth appuya son cul contre le visage de Verena afin d'être certaine qu'elle ne puisse pas protester. C'était sa chienne, qu'elle ne l'oublie pas. Peut-être oubliait-elle trop vite ses cris de plaisir alors qu'elle lui avait labouré la chatte. Elizabeth en serait presque vexée, ce qui la fit non seulement redoubler d'efforts, mais aussi griffer les cuisses de la belle Verena. Cette pute devait souffrir !

- Hmmm... tu es délicieuuuuse...

Elizabeth souleva à nouveau son bassin pour le rabattre ensuite, puis le souleva à nouveau pour le rabattre une nouvelle fois. Successivement, la jeune femme lui donnait littéralement des coups de culs, éclaboussant de la pisse et de la mouille encore présente sur le visage de Verena.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le lundi 16 juillet 2018, 00:05:29
Elle se fout de moi ! Je ne suis rien pour elle, à part un exutoire pour satisfaire ses instincts. Elle me le confirme même, sans détours :
« Silence ! Les chiennes ne parlent pas, elles aboient ! »

Heureusement qu'elle m'écoute quand même un peu, et qu'elle arrêt de me triturer le cul sans aucun égard. Heureusement encore qu'elle remplace ses doigts par sa langue. C'est si doux, je ne pensais pas que c'était aussi excitant par là. Je me laisse faire, je commence même à onduler des hanches. Je comprends pourquoi elle aime que je lui fasse pareil, et je redouble même d'efforts. Et, vu comme appuie son cul sur mon visage, c'est qu'elle aime vraiment
« Hmmm... tu es délicieuuuuse... »
Ca m'aurait fait plaisir d'entendre ça, si elle n'avait pas labouré mes cuisses en même temps !

Pourtant, je m'applique, alors qu'elle lève son bassin.
« Oh Elisabeth, je voulais vous... »
Elle claque avec violence ses fesses sur mon visage, un coup féroce qui me fait mal. Je dois endurer, mais elle recommence à délirer.
D'ailleurs, elle recommence, tout court, relevant son bassin.
« Elisabeth, ce n'est pas ce... »
Elle le reclaque plus violemment encore, comme pour me faire vraiment taire. Les fluides encore présents sur mon visage, et encore prêts dans son bas-ventre, recommencent à se mélanger sur moi. Et encore ! Et encore !

Je ne peux rien dire, juste subir.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 16 juillet 2018, 00:12:39
- Bon, il s'agirait de jouir maintenant ma petite chienne !

Elizabeth se met cette fois à lui labourer l'entrejambe à l'aide de ses deux mains, lui enfonçant le maximum de doigts qu'il est possible d'y entrer. Ce qu'elle fait avec sa langue ne change pas, la jeune femme continue de l'introduire au plus profondément de son anus pour lui racler les parois anales sans retenue ni prudence. Tout est fait pour qu'elle jouisse, cela faisait un petit moment qu'elles s'amusaient sans recevoir d'orgasme non ?

Parallèlement, Elizabeth continua de la frapper du cul, non sans lui gicler dessus cette fois-ci, répandant sa cyprine un peu partout sur son visage. Quelle importance, ce n'est qu'une chienne à ses yeux et elle a bien dû s'en rendre compte ! Avec tout le plaisir du monde, Elizabeth continue sa petite affaire, incroyablement excitée de se sentir dégueulasse. Si excitée que la jeune femme lui pisse à nouveau dessus, puis alterne avec de la cyprine par dessus. Pisse, cyprine, sueur, tout se mélange à nouveau dans un torrent de liquides divers !
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le lundi 16 juillet 2018, 00:41:36
« Bon, il s'agirait de jouir maintenant ma petite chienne ! »
Electrochoc ! Le mot n'est pas trop fort. Je me retenais, je peux me libérer.

J'ai la chatte encore mouillée, et Elisabeth ne me ménage pas. Mais ce qu'elle fait dans mon cul, depuis un moment, n'est plus de la douleur. C'est bon, c'est doux, je me concentre là-dessus. Ma taille bouge, peut-être à mon insu, et j'appuie sur mes jambes pour relever le bassin vers elle, pour qu'elle enfonce plus encore sa langue.

C'est brûlant, j'espère qu'elle ne prend pas ma virginité anale, j'aurais sans doute plus mal. Je gémis de plus belle, toujours étouffée par son cul loin d'être petit lui aussi. À chaque fois qu'elle le relève, mes « Ouiiii » et mes « Encore ! » sortent à tour de rôle.

Je ne les retiens plus, et, bassin en l'air, Elisabeth en profite, un de ses jets d'urine tombe encore dans ma gorge. Je tousse toujours autant, mais pas assez vite, car son cul se rabat à nouveau, m'obligeant de boire.

C'est âcre, je ne m'y ferai jamais, mais ça ne ralentit rien du tout. L'orgasme arrive, violent et ravageur. Je suis coincé par le cul d'Elisabeth, mais ma taille part en désordre. Les cris, car c'en sont, se perdent dans son cul.

Et mon « Ouuiiiiii ! », mes « Oh encore ! », mes « n'arrête pas ! » se perdent au creux de son anus.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 16 juillet 2018, 01:19:00
Et c'est bien ce qu'Elizabeth fût. Elle continua, de longues minutes, sa petite occupation. Chouchoutant Verena à sa manière, la jeune femme ne comptait pas la ménager. La jeune surveillante était littéralement assaillie de toutes parts, et recouverte de fluides corporels divers. Elle atteignit d'ailleurs l'orgasme, ce qui ne freina point Elizabeth, qui comptait bien continuer jusqu'à son épuisement total. La jeune femme allait bien devoir s'y faire ! Sa virginité appartenait avec Elizabeth, et elle s'en amusait avec grande satisfaction. Cette chienne ne méritait pas d'être vierge, seules les femmes pures sont vierges. Maintenant qu'elle avait été souillée de pisse et de sévices divers, la jeune femme était devenue une pécheresse. Une débauchée, une pute. Et pas n'importe laquelle, la pute personnelle d'Elizabeth. Du moins pour un soir, avant qu'elle ne finisse par se lasser d'elle. Elle n'oserait pas parler de ce qui s'était  passé ici de toute manière, Verena était clairement fichue ! Et Elizabeth s'en régalait intérieurement.

Une fois que la chienne eut bien joui, Elizabeth se releva pour lui pisser une dernière fois dessus, intégralement cette fois, et s'en alla un peu plus loin. La jeune femme se saisit des vêtements de Verena, qu'elle réduisait en lambeaux, pour l'obliger à repartir nue. De son côté, la jeune femme se créa simplement des vêtements après s'être entièrement débarbouillée en une fraction de secondes. Son pouvoir était décidément incroyablement pratique !

C'est avec dédain qu'elle regarda Verena, allongée dans une marre de cyprine et de pisse. Elizabeth lui cracha dessus, et, sans même bouger, créa de nouveaux liens autour de ses bras et ses jambes. C'était véritablement du sol que sortaient ces liens indestructibles, matérialisés à partir de la matière même du sol. Son pied étant en contact avec celui-ci, Elizabeth pouvait s'en servir pour créer à peu près ce qu'elle voulait comme elle le voulait.

- Bien, je crois que je vais te laisser la maintenant.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le lundi 16 juillet 2018, 08:06:22
Mon corps a mis longtemps à redescendre de cette phase d'extase. Elisabeth est complètement invraisemblable. C'est peut-être ça qu'on dit bipolaire. Elle est presque dangereuse, totalement irrespectueuse, mais je suis littéralement accro à tout ce qu'elle fait. Depuis que je l'ai surprise, j'ai joui je ne sais combien de fois, j'ai appris plein de choses, j'ai franchi plein de limites. Je mettais un point d'honneur à offrir ma virginité, mais ce n'est plus ma priorité. Elle ne s'en occupe même plus, du moment qu'elle s'amuse comme elle veut. Je dois rester dans son jeu, et, en plus, j'aime bien, car l'orgasme que je viens d'avoir, il n'était pas feint du tout.

Je supporte sans broncher ou presque des choses inimaginables, et, quand elle m'urine encore dessus en se relevant, ça ne me fait même plus réagir, ou si peu. Mais, delà à accepter cela franchement, et à boire ça comme elle, non !
Je suis bien, comblé, même si je suis recouverte de cyprine et de pisse, même si je baigne dans des relents du même nom. Je m'appuie sur les coudes pour la regarder vaquer.
« Eh, Elisabeth, mais que faites-vous ? »
En un instant, même pas une seconde j'en suis sure, elle a complètement déchiré mes habits, alors qu'elle, elle est à nouveau vêtue, impeccablement, comme quand je suis arrivée.

Ça ne va pas se passer comme ça ! Je me lève pour lui sauter dessus, furieuse. Enfin, j'essaie de me lever, mais je suis coupée net dans mon élan, ficelée, littéralement clouée au sol par des liens qui me font mal aux poignets et aux chevilles, quand je tire dessus.
« Non, détachez-moi ! Comment avez-vous fait ça ? »
Je tire, je me débats, je n'essuie qu'un crachat, comme la plus immonde merde de la création, et je retombe, dos au sol dans cette mare nauséabonde, vaincue, inquiète.
« Bien, je crois que je vais te laisser la maintenant. »
Une peur panique me saisit aussitôt au ventre. « Non, pas ça, ne m'abandonnez pas ! ». J'ai une réputation, une image, ma virginité. Elle ne peut pas m'abandonner ici, on pourrait me trouver comme ça et en abuser, quelle horreur. « Elisabeth, je suis prête à tout pour vous. ». Je dois m'accrocher à elle, ma survie, mon intégrité, mon honneur en dépendent. « Elisabeth, je vous aime, Maîtresse ». Ces mots me sont venus sans réaliser, m'effraient même. Lancés par désespoir ou par sentiment, même moi je ne sais pas, mais peu importe.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 16 juillet 2018, 12:19:08
Elizabeth alla se placer au dessus de Verena, jambes écartées, offrant une belle vue sur son intimité sans culotte. Elle allait devoir se montrer plus convaincante qu'avec des mots, celle la. Elizabeth prenait dores et déjà un malin plaisir à la torturer psychologiquement, et ce n'était pas fini. Verena n'avait pas idée des sales coups qu'elle comptait lui faire, ni d'à quel point elle serait soumise quand elle en aurait fini avec elle. Rien qu'à cette idée, Elizabeth frissonna.

- Tu m'aimes, dis-tu ? Qu'es-tu prête à faire pour moi ?

Elle posa un pied sur la poitrine de Verena, et la fit rétrécir pour qu'elle atteigne finalement la taille de sa poitrine initiale. Deux oeufs au plat tout au mieux. Elle allait devoir travailler dur pour la retrouver ! Ainsi attachée, la jeune surveillante était à la merci d'Elizabeth, elle était sa véritable chienne. Ce n'était pas si mal, après tout Elizabeth avait mérité d'avoir sa propre chienne après tout ce qu'elle avait du endurer. A côté de ça, Verena ne vivait rien.

- Tu penses souffrir, mais ce n'est que le début.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le lundi 16 juillet 2018, 12:44:26
Je suis réduite à rien, Elisabeth le sait. Elle a souvent employé me mot chienne, entre les mots pute et salope. Comment en suis-je arrivée là, nue et puante, attachée et soumise ? Je ne veux pas, mais je jeux. Moi, la fille de famille aisée, comment suis-je cette loque à terre ?

Elisabeth m'enjambe, m'offre la vue de sa chatte, qui me rend folle comme me rendent folle tous ses actes, fussent-ils violents. Je ne sais pas où ça m'entraîne, mais mon esprit ne parvient pas à retenir mon corps.

« Tu m'aimes, dis-tu ? Qu'es-tu prête à faire pour moi ? »
Question dangereuse, ma survie en dépend, mon plaisir aussi.
« Tout ! Tout, tant que je reste en vie, et que c'est notre secret. »
J'espère avoir bien répondu, je guette sa réaction.

Apparemment pas ! En posant simplement mon pied sur ma poitrine, je vois mes superbes seins s'aplatir, disparaître, ne me laissant que cette misérable poitrine qui me fait honte, face à la sienne.

« Tu penses souffrir, mais ce n'est que le début. »


Le message est clair.
« Je le sais, je m'en doutais, j'y suis prête. Je vous ai juste dit mes limites ».
Je n'ose pas lui dire mes autres peurs, la peur de perdre ma virginité sans en profiter, mon rejet de ses folies uro, la crainte de pratiques SM, et tant d'autres qui se bousculent dans ma tête.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 16 juillet 2018, 12:52:31
- Très bien, dans ce cas...

Un sourire narquois se forme sur les lèvres d'Elizabeth. La jeune femme pose une main sur son entrejambe, et, en quelques secondes seulement, y matérialise un pénis. La jeune blonde n'est pas une futanari naturelle, mais son pouvoir lui permet parfaitement de se doter d'un membre masculin, et ce, à tout instant. Et quelle queue ! C'est un membre long d'une trentaine de centimètres, parcouru de veines sur tout son long qui se présente à elle. Avec ça, Elizabeth va pouvoir la labourer sans retenue. C'est d'ailleurs ce qu'elle s’attelle à faire en se rendant près de sa chatte.

- Je vais te faire perdre ta vraie virginité, avec ma queue.

Sur ces mots, Elizabeth lui enfonce le gourdin, qui peine à rentrer tant sa chatte est étroite. Néanmoins, elle rentre tout de même en forçant un peu. Elizabeth ne lésine d'ailleurs pas, y allant franchement, sentant ses couilles claquer contre le cul de la belle Verena. Oui, elle la pénètre sans modération aucune, alors même que la jeune femme est vierge. Elle ne mérite pas la douceur, ni la modération. Tout ce que doit faire Verena, c'est accepter de gré ou de force cette queue qui la pénètre ardemment.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le lundi 16 juillet 2018, 13:08:23
« Très bien, dans ce cas... »
Ces mots, dans la bouche d'Elisabeth, auraient dû m'inquiéter. Je croyais la connaître, je ne la connais pas. Pas du tout même. Je ne sais pas d'où elle vient, ni quels pouvoirs cachés elle a. déjà sa façon de se jouer de moi, de mes habits, de liens, n'est pas rassurante.
Mais là, j'écarquille les yeux. Elle sourit, tandis qu'à son entrejambe, au dessus de moi, pousse, ui pousse un phallus. Non, pas une travestie ou une transgenre, je me rappelle bien de sa chatte ruisselante, de son urine.
Non, une vraie queue, difforme, énorme, avec des testicules remplies. J'écarquille les yeux ; même dans les livres que je regardais en cachette, je n'ai jamais vu ça, pas davantage sur les corps que mon père opérait.
« Mais c'est quoi ça ? »

« Je vais te faire perdre ta vraie virginité, avec ma queue. »
Je blêmis, en panique.
« Non, pas ça, pas comme ça ! »

Mais Elisabeth se moque de mes suppliques ; moi, je la protégeais, elle, elle me réduit à néant. J'essaie de tortiller ma taille, pour éviter l'horreur, mais les liens sont si serrés qu'ils me maintiennent, offerte et impuissante.
« Aïe, non, arrête ! »
Je hurle, peut-être tout Mishima entendra mon cri, et viendra à mon aide, même dans ces conditions.
Je viens de la tutoyer, pour la première fois, mais je m'en fous. Elle va trop loin !
Je vois le sourire d'Elisabeth, elle est sure d'elle. Le gourdin a déjà franchi mes lèvres, j'ai mal, je pleure, elle a dû tout déchirer.
« Arrête, je t'en supplie ! »
Je pleure, je souffre, mais je sais la suite, je la crains.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 16 juillet 2018, 13:30:33
Elizabeth éclate d'un rire sadique.

- Et bien, n'es-tu pas prête à tout pour moi ??!!

Elizabeth la baise violemment de son énorme gourdin, faisant bien la taille d'un avant bras. Juste assez pour la détruire, sans tout casser à l'intérieur. Il ne faudrait pas la mettre trop mal en point. C'est ainsi que, sans la moindre once de douceur, Elizabeth détruit littéralement Verena de ses coups de queue dévastateur. La jeune blonde sent ses couilles claquer successivement contre le cul de la belle, et sa bite élargir ses parois intimes. Quel plaisir immense !

- Han... haaan... haan... hmmm...

Sa queue claque, claque, et claque en rythme. La mouille gicle à l'extérieur du corps de Verena, expulsée par le gourdin qui la viole sauvagement. Sa chatte rejette même un peu de sang, ce qui est normal, pour une vierge. Surtout lorsque l'on se fait baiser ainsi. Elizabeth ne lésine pas, et défait les liens enserrant les jambes de Verena pour pouvoir attraper ses jambes et la baiser en restant debout, laissant ses mains et ses bras attachés. Elizabeth prend un immense plaisir, son visage et ses gémissements le traduisent. La jeune femme n'a pas l'habitude de se doter d'une queue d'homme, mais quand elle le fait, c'est toujours délicieux !
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le lundi 16 juillet 2018, 19:24:21
« Et bien, n'es-tu pas prête à tout pour moi ??!! »
Je craignais cela, je n'ai plus aucun doute. Je souffre, il n'y a aucun amour, aucune tendresse, juste de la violence. Je ne suis que son jouet, et ma virginité va voler en éclat, déchirée sans le moindre sentiment. J'ai mal d'être ainsi ouverte, j'ai mal de ses coups de reins, j'ai mal de cette virginité que je préservais.
« Han... haaan... haan... hmmm... »

Ma chatte doit être béante, mes lèvres sont distendues, je sens l'énorme phallus buter, écarteler. Elisabeth y va avec toute la violence qu'elle peut, elle me viole. Oui, elle me viole, elle me défonce malgré moi. Et moi, je ne crie même plus, je serre les dents, je ferme les yeux.
Ma virginité a dû mourir sous cet assaut, et j'imagine même son plaisir à en voir les vestiges sanguinolents.

Je crois mon supplice s'apaiser, quand elle me détache les chevilles, mais c'est pour me mettre dans une pose plus indécente encore, et elle relève ma taille à sa hauteur pour me pilonner debout. Elisabeth continue de plus belle, comme si la pose lui permettait d'aller plus loin encore. Elle joue avec mon bassin, elle en fait ce qu'elle en veut. Mais cette posture me fait venir le sang à la tête ; je sens les cognements dans les tempes. Je ne tiendrai pas longtemps, entre les coups de boutoir et la tête en bas. Mais, même si je m'évanouis, je ne suis pas sure que ça l'arrête.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 16 juillet 2018, 20:46:06
Elizabeth prend en effet le plus grand plaisir du monde à briser ainsi sa virginité, violant sans retenue la jeune femme. Son calvaire est loin d'être terminé. Au bout de quelques minutes, après tout Verena n'est pas très endurante, c'est une vierge après tout, Elizabeth jouit. Elle jouit silencieusement, mais son nouveau membre déverse une quantité impressionnante de foutre à l'intérieur de sa chatte, si bien qu'elle en dégouline. La pauvre Verena ne peut pas tout contenir en elle.

- Hmmm... aah... putain...

Alors qu'elle pense peut-être enfin être tranquille, ce n'est pas le cas. Elizabeth ne débande pas, et enfonce cette fois son énorme queue dans le cul de la surveillante pour le ramoner en profondeur. Même schéma que pour sa chatte, les couilles d'Elizabeth claquent en rythme sur son fessier, et ce plus violemment encore que pour sa chatte. Son cul est bien plus étroit après tout !

- Si tu t'évanouis ou que tu cries je fais pareil avec ta gorge !
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le lundi 16 juillet 2018, 22:05:47
Je me cramponne comme je peux, à la vie, à ce que je subis. S'évanouir, c'est risquer je ne sais quoi. Elisabeth est folle. Ma respiration est saccadée, j'ai la gorge en feu, les larmes coulent sans discontinuer.
Il paraît que perdre sa virginité n'est pas toujours un plaisir. Pour moi, c'est un calvaire. Et, quand je sens une giclée de cette queue dont je ne comprends même pas l'existence, c'est presque un soulagement. Une giclée, une autre, et encore. Je ne pensais pas qu'un membre aussi disproportionné envoyait autant de sperme en proportion. Je me sens envahie, je dois même ruisseler à l'extérieur du trop-plein.
« Hmmm... aah... putain... »

Au moins Elisabeth apprécie, alors que moi j'apprécie ce répit. Je n'ai pas joui, mais peu importe ; j'ai juste souffert, de douleur et de perdre ma virginité ainsi.

Mes larmes coulent toujours, mais l'horreur n'est pas passée !
« Non, pas là, arrête, je t'en supplie ! »
Je sens le monstre énorme à l'orée de mon anus. Elle ne va pas ! Ce n'est pas possible. Elle va me déchirer ! Mais elle s'en fout. J'ai beau essayer de me crisper, essayer même de ne pas penser, essayer de me dissocier de mon anus qu'elle force, rien n'y fait.
« Noooonnnn ! », mon cri est aussi fort que j'en ai encore le souffle, rien n'arrêtera Elisabeth.
« Si tu t'évanouis ou que tu cries je fais pareil avec ta gorge ! »
Elle s'enfonce encore plus violemment que dans ma chatte, elle va briser mon anus ! Je me crispe, je serre les poings. Elle me tient à bout de bras, comme si ça l'amusait que la gravité fasse naturellement prendre appui à mon cul sur sa pseudo-queue.

S'évanouir, c'est subir pire encore, elle l'a dit. Et je ne vois pas ma gorge supporter ce truc. Pourtant, je faiblis.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 16 juillet 2018, 22:53:58
Elizabeth lui prend le cul avec plaisir, défouraillant de l'intérieur la belle Verena. Il semblerait qu'elle ne prenne pas son pied, mais peu lui importe ! Seul son propre plaisir personnel est important dans l'équation. Verena n'est qu'une vide couilles, un moyen pour elle de satisfaire des envies les plus brutales. C'est donc une seconde fois qu'elle se vide, cette fois-ci dans son cul, la remplissant une nouvelle fois de sperme visqueux et gluant. Elizabeth la laisse retomber lourdement au sol, et lui donne un coup de pied.

- Voilà, bonne pute.

Elizabeth remet ensuite sa culotte et s'en va purement et simplement en refermant la porte derrière elle. Sans un mot. Laissant Verena dans le noir, nue, et attachée. Qui sait si elle compte revenir, et comment. Peut-être prépare t-elle quelque chose, ou peut-être a-t-elle tout simplement décidé de la laisser la. Baignant dans un océan de foutre, de mouille et de pisse. Un vrai cadeau pour quiconque la trouverait, donc.

Le temps passe. Dix, vingt minutes. Aucun signe d'Elizabeth.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le lundi 16 juillet 2018, 23:07:14
Je prie pour que ce supplice s'arrête. J'essaie, malgré mon dégoût, d'accompagner les mouvements de ce phallus qui me déchire, qui doit remonter si haut, pour qu'il éjacule, et que cette ce laminage de mon cul.
Peut-être mes efforts permettent-ils d'abréger ma souffrance, et je sens avec plaisir, pas celui de la jouissance, mais celui du soulagement, la grosse tige lâcher encore une quantité de sperme incroyable, au point que j'en sens une partie ressortir.

« Voilà, bonne pute. »
Ce sont les derniers mots d'Elisabeth, qui m'a laissée retomber à terre. J'ai mordu mes lèvres pour ne pas crier, et éviter sa menace d me broyer la gorge.
Je ferme les yeux, je n'en peux plus, je veux que ça cesse, sinon autant mourir. Je suis réduite à rien.
Je ne vois pas Elisabeth qui s'en va, elle s'éclipse même sans bruit. J'ouvre les yeux quand j'entends la porte claquer. Elle a éteint la lumière et m'a enfermée là ! Je veux hurler, mais je me rappelle sa menace. Je tire sur mes poignets, mais les liens sont toujours là. Ma chatte semble un peu apaisée, mon anus me fait atrocement souffrir. Je peux bouger les jambes, libres de tout lien, mais ça fait juste glisser mon corps dans ces relents de foutre et de pisse, qui empestent dans toute la pièce.

Les questions m'assaillent. Où est-elle ? Que va-t-elle faire ? M'observe-t-elle en fait ? Pourquoi me fait-elle ça ? Quelle chance d'en sortir ?
Oui, va-t-elle me tuer pour effacer toute trace, ou a-t-elle d'autres moyens, après tout ce que j'ai déjà vu ?
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 16 juillet 2018, 23:30:54
Verena entend plusieurs pas dans se couloir ou bout d'un certain temps, ils semblent se diriger vers la porte. Celle-ci s'ouvre, et, sans doute avec horreur, Verena découvre trois professeurs lorsque la lumière s'allume. Elle les reconnaît sans doute, puisqu'il lui ont déjà fait des avances plus ou moins déplacées auparavant. Le professeur de mathématiques, le professeur de sport, et même le sous directeur de l'établissement. Trois jeunes hommes bien bâtis, puisqu'ils ont commencé à exercer il y a peut-être un an ou deux. Elizabeth se tient derrière eux, mains jointes dans le dos, l'air innocente.

- C'est ici que je l'ai trouvée, elle était là comme ça.

- Sûrement un jeu sexuel avec des étudiants. C'est une honte.

- Effectivement, nous allons devoir l'exclure de l'établissement.

- Merci de nous avoir prévenus Elizabeth, tu peux disposer.

Elizabeth adressa un sourire incroyablement sadique à Verena, avant de s'en aller en refermant derrière elle. Elle pouvait protester, dire ce qu'elle voulait, les trois hommes ne réagissaient pas. Le professeur de sport s'avança vers elle en premier, et sortit sa queue de son pantalon. Nul besoin d'expliquer ce que ces trois-là comptaient faire.

Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le lundi 16 juillet 2018, 23:51:02
Elisabeth ne va quand même pas me laisser ici toute la nuit ! La tension s'est un peu apaisée, mais mon corps commence à grelotter. Appeler à l'aide ne servira à rien, cette aile de bâtiment est déserte la nuit. J'essaie de réfléchir, mais mon esprit est trop embrumé. Ce qui cloche en moi, c'est que je ne suis pas sure d'avoir détesté tout ce qu'a fait Elisabeth. Une partie, oui, mais le reste...

Mon auto-analyse prend brutalement fin à des bruits de pas dans le couloir, plusieurs personnes j'en suis sure, juste avant que la lumière s'allume sur mon indécence.
J'entends juste la voix dElisabeth :
« C'est ici que je l'ai trouvée, elle était là comme ça. »

J'ouvre les yeux, le sous-directeur et deux profs. La salope ! Un a voulu négocier ma place contre une nuit de baise. Un m'a coincée dans la salle des profs, voulant que je lui fasse une pipe. Un a forcé a porte de ma chambre, et j'ai dû m'enfuir. Les trois pires salauds du lycée ! Comment a-t-elle su pour eux et moi ?

« Non, Elisabeth, dis-leur... »
Mais elle a déjà tourné le dos, remerciée et congédiée par leurs soins, après m'avoir gratifiée du sourire de la pire des salopes.
"Putain, je t'aurai, Elisabeth!"

La porte claque, et je hurle « Non, laissez-moi ! ».
Mais suis-je en position de discuter, ainsi attachée ?
A quoi bon crier, alors que cette aile du lycée est déserte.
Je sais que le prof de sport a compris ça, quand il sort sa queue.
« Non, pitié », que dire d'autre ?
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mardi 17 juillet 2018, 02:35:50
- C'est qu'elle parle beaucoup, pour une chienne ! Je m'en vais la faire taire.

S'écria le prof de mathématiques, un jeune homme long et fin aux cheveux noirs de jais taillés courts. Sa paire de lunettes carrées et sa chemise blanche parfaitement agencée lui donnait l'air du professeur japonais classique, banal, propre sur soi et appliqué. Bien loin de ce qu'il s'apprêtait à faire donc, puisqu'il retira sa ceinture pour dévoiler son gourdin d'un bon vingt centimètres, et se baissa pour l'enfoncer dans la gorge de Verena. Le jeune homme poussa un léger râle viril en sentant la bouche de la surveillante gober entièrement sa queue, et lui maintint la bouche ouverte de ses deux mains. Il ne faudrait pas qu'elle ait l'idée de le mordre ! Une fois ceci fait, le jeune professeur de math commença à lui baiser littéralement la gorge. Il était celui qui l'avait presque forcée à lui faire une fellation, et était toujours resté frustré de son refus. Une bonne vengeance s'annonçait donc !

De son côté, le professeur de sport se masturba un peu pour enfin bander, ce qui érigea son sexe d'un bon 25 cm vers le ciel. Il allait clairement lui faire du mal, et s'en réjouissait d'avance. Habillé d'un simple débardeur mettant en valeur sa musculature saillante, doté de beaux yeux bleus et d'une coupe militaire, le jeune homme était clairement le plus beau des trois. Mais sûrement le plus brutal, cela se lisait sur son visage.

- Je prends son cul, je vais la baiser jusqu'à plus soif.

Le prof de sport la saisit donc par les jambes pour la surélever un peu, et enfonça sa queue dans son anus. Ici, toujours pas de douceur, tout comme Elizabeth, le bel homme la pilonnait sans retenue pour pouvoir sentir sa queue atteindre le bout de son rectum. Ses couilles claquaient contre le cul de Verena bruyamment, bestialement, alors que le prof poussait des râles de plaisir semblables à des rugissements d'animaux. C'était lui qui avait forcé la porte de sa chambre, et il forçait à présent son anus.

- Je prends donc sa chatte.

Le sous directeur, un homme un peu plus agé que les deux autres, ayant atteint la trentaine, se présenta au dessus d'elle. Il était d'apparence banale, bien qu'assez grand, et aurait pu ressembler à n'importe quel passant dans la rue. C'était lui, qui lui avait proposée une promotion contre une bonne nuit de baise. Dommage qu'elle ait refusé ce jour la, car sa vengeance allait avoir lieu ce soir. Et c'est avec sa longue queue de 25 centimètres également, qu'il déballa de son caleçon, qu'il comptait la pilonner. Les trois hommes avaient sûrement subit des opérations pour avoir des queues aussi grosses, c'était maintenant l'occasion de tester sur Verena. Le sous directeur se plaça donc au dessus d'elle et la pénétra sans douceur, à la manière des deux autres. Ses couilles frottaient contre la queue de son collègue prof de sport, mais cela lui importait peu. Il pouvait maintenant baiser Verena sans retenue, et c'est ce qu'il s'attelait à faire !

Dans le même temps, derrière la porte, se trouvait une Elizabeth qui n'était pas vraiment partie. La belle blonde observait la scène à travers le trou de la serrure, et ne put s'empêcher de se doigter allègrement en assistant à cela. Oooh, comme il était bon de l'humilier ainsi ! Verena n'était pas au bout de ses peines, c'est bien ce qu'elle lui avait dit ! Cette jeune femme était si attendrissante et pure à la fois, Elizabeth ressentait un besoin irrépressible de l'humilier, de lui faire du mal, de la faire souffrir au maximum. Dieu sait qu'elle allait avoir besoin de courage avant qu'Elizabeth ne se lasse d'elle.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le mardi 17 juillet 2018, 07:51:40
Je n'ai aucune chance face à ces trois ordures ! Ils le savent, mais j'ai vraiment peu, car, au delà de l'horreur qu'ils vont faire sans scrupules, ils voudront effacer toutes traces. À quoi sert d'être de lignée mafieuse, pour ne même pas me venger ?

Ce n'est pas leur souci, et, quand je vois sortir le chibre du prof de maths, déjà dressé, mes larmes coulent de plus belle. Il maintient mes lèvres, pince mon nez ; il n'en est pas à on coup d'essai, ce salaud, et je ne peux qu'accepter malgré moi le gourdin dans la bouche. J'ai une folle envie de le mordre, de l'émasculer, mais ses collègues vont sûrement se déchaîner et le venger. Attachée comme je suis, je n'aurai aucune chance. Lui, il est sûr de son pouvoir, il l'enfonce jusqu'au fond de ma gorge, à en buter à me provoquer une révulsion, à me donner la nausée, à me faire tourner les yeux. Et il donne deux à trois va-et-vient pour assurer sa prise.
« Elle a vraiment une bouche à bites, celle-là. »

Je remercierais presque Elisabeth de ses horreurs, car la queue du prof de sport semble moins grosse que le truc avec lequel elle m'a sodomisée. Même si je me doute que mon anus a dû se refermer un peu, la douleur en sera moins violente.
« Garde bien ta queue dans sa bouche, car je vais la faire crier ! », ricane-t-il, en s'adressant à son homologue en maths.
Et il joint aussitôt la parole aux actes, s'enfonçant d'un coup sec, m'arrachant un hurlement que la queue dans ma bouche étouffe.
« Ah putain, ce qu'elle est bonne ! », lance-t-il égrillard, avant de commencer à me labourer l'anus avec une violence qui me secoue les hanches.

Il s'arrête juste un instant, pour que le troisième larron, ce salaud de sous-directeur qui ne cesse de me harceler, me fasse subir la même horreur, et m'enfile d'un coup sec.
« Ouah, tu as raison, c'est une sacrée bonnasse ! ».
Heureusement que, là aussi, les traces de la violence d'Elisabeth ont laissé ma chatte dans un tel état, que la douleur de cette queue en est un peu moins insupportable.
Mais je ferme les yeux, je ne veux pas, je veux me dissocier de mon corps. Je ne veux pas voir leurs visages, je suis obligée d'entendre leurs « c'est vraiment une chienne » alternant avec leurs « ça, c'est de la salope ».
Je me fais pilonner de partout, transpercer, secouer, comme un corps désarticulé sans maîtrise.

Jusqu'à ce que le sous-directeur balance :
« Putain, elle mouille, elle aime ça, la salope »
Comme un signal pour les deux autres qui, comme lui, se mettent avec encore plus de violence à me défoncer tous les trous.
Le sous-directeur est fou : « Allez-y, elle est en train de partir ! ».
Mon Dieu, Verena, entends-tu ce qu'ils disent de toi ?
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mardi 17 juillet 2018, 14:21:13
En effet, elle est en train de partir, et c'est le moment de tout lâcher. En grognant, les trois hommes jouissent à l'unisson et la remplissent de toute part. Sa gorge déborde à ras bord de foutre blanc, son cul et sa chatte dégoulinent comme des éponges à sperme. Une fois le travail terminé, les trois enseignants se réunissent debout autour d'elle pour terminer le travail en se masturbant, vidant ainsi complètement leurs sexes sur la jeune surveillante, qui n'est guère plus qu'une serpillière en cet instant.

- Aaaah... putain... elle mérite une petite collation.

Les trois hommes se comprennent, puisque ce n'est pas terminé. De leurs queues maintenant au repos, les trois jeunes hommes commencent à pisser sur Verena sans la moindre considération pour elle. Ils n'y voient qu'une chienne, un sac à foutre. Une fois ceci fait, alors qu'elle est aspergée d'effluves nauséabondes, les trois hommes prennent la direction de la sortie. Elizabeth a juste le temps de se cacher, pourvu qu'ils ne voient pas la flaque de mouille devant la porte. La jeune femme a joui en même temps qu'eux devant ce spectacle, incroyable, excitée par la souffrance de Verena. Bien heureusement, les trois enseignants ne remarquent pas la flaque, et s'en vont dans le couloir après s'être rhabillés, discutant à propos de ce qu'ils pourraient faire la nuit suivante. Verena est toujours attachée dans le noir, sans vraiment savoir ce que lui réserve l'avenir. Ils ne l'ont pas exclue ni détachée, s'étant simplement contentés de la baiser avant de repartir tranquillement.

La lumière ne se rallume que pour dévoiler une Elizabeth accroupie près de Verena, offrant une belle vue sur sa chatte. Elle sourit avec bienveillance, juste pour la provoquer, étant délicieusement satisfaite du sort qu'elle a réservé à Verena. Celle-ci peut d'ailleurs remarquer que la chatte d'Elizabeth dégouline de mouille, signe de son excitation certaine. La belle blonde rattache les jambes de Verena de manière à ce qu'elles soient bien écartées, offrant une merveilleuse vue sur sa chatte.

- Alors grosse pute, tu as aimé ce que je t'ai réservée ?

Lui demande t-elle avant de se saisir de son portable, un sourire narquois aux lèvres.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le mardi 17 juillet 2018, 17:28:25
Je n'en peux plus, plus du tout. Si ces salauds croyaient pouvoir me donner du plaisir, peut-être me faire jouir de me violer, pauvres cons, ça ne risque pas. Même si Elisabeth a auparavant été violente, saccageant et sacrifiant ma virginité avec un phallus que je ne sais toujours pas sorti d'où, leurs queues ne m'ont fait que souffrir. El le déchaînement qu'ils ont manifesté, au motif qu'ils allaient me faire jouir, n'a fait que sortir leur sale foutre de profiteurs, de pauvres résidus de capotes. Je les ajouterai sur la liste de mes vengeances. Oh oui, Elisabeth, ils t'y rejoindront !

J'ouvre les yeux alors que, satisfaits de leur forfait, ils me regardent, goguenards, dégoulinante de sperme, incapable de parler tant même ma bouche a été meurtrie, et qu'un petit filet blanc reste aux commissures.
Leurs queues, trafiquées par la médecine j'en suis sure, une médecine que j'utiliserai pour les émasculer moi-même avant de les recoudre, sont devenues petites et molles, mais je ne pensais pas que, à leur tour, ils urineraient sur moi.
Je suis démolie, anéantie. Ils ont fait leur besogne, ils se rhabillent et partent, comme s'ils étaient venus se taper une fille de joie dans une maison close. Je ne suis rien pour eux, je ne suis même plus une collègue. Ça fait mal, et j'en pleure, seule dans le noir.

Combien de temps dura cet interlude, cette pause salvatrice sans solution, je ne sais pas. Mais la lumière crue me saisit, et j'aperçois Elisabeth, accroupie près de moi. Elle ne peut ignorer mon visage défait.
« Elisabeth, je t'en prie... »
Pas plus que je ne peux ignorer sa chatte nue et trempée. Qu'a-t-elle fait ? Elle les a regardés me violer ? Et ça l'a excitée ?
Elle ignore mes prières, rattachant mes chevilles. « Non, Elisabeth, arrête tout ça ! »
Mais à quoi bon la supplier ? Je me retrouve à nouveau nue, attachée, ouverte, indécente.
« Alors grosse pute, tu as aimé ce que je t'ai réservé ? »

« Ils m'ont violée ! », je lui hurle ma révolte. Mais elle s'en moque, et je la vois sortir son portable.
« Elisabeth, que vas-tu faire ? », son sourire ne me dit rien que vaille.
Je me tortille pour échapper à je ne sais quoi, mais les liens me tiennent fermement. J'essaie de tourner ma tête, pour cacher mon visage de ma chevelure, mais celle-ci est poisseuse, collante que l'un se soit essuyé le gland dessus, collante que l'urine d'Elisabeth et de ces trois salauds ait coulé dessus. Et mon cou me fait si mal, après qu'il ait été tordu lorsqu'Elisabeth me prenait debout avec ma tête au sol, et quand l'autre ordure me baisait la bouche en la faisant aller en tous sens. Je ne parviens pas à tourner la tête, mais j'ai peur de ce qui passe par la tête d'Elisabeth.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mardi 17 juillet 2018, 19:00:48
Elizabeth se tient en face de la jeune femme, délicieusement excitée par la situation. Le foutre, la pisse, la sueur, les larmes même ! Verena est devenue une poubelle humaine, pire même. Un simple trou à foutre, une moins que rien. Sa souffrance est si délicieuse qu'Elizabeth continue de mouiller sous sa jupe, laissant tomber au sol quelques filaments visqueux. Aaaah, si seulement Verena avait vécu un quart de ce que l'on avait fait à Elizabeth. Cette situation arrivait tous les jours pour elle. Elle avait été violée, empalée sur des godes géants, poignardée même. Il lui était même arrivée d'être pendue et baisée alors qu'elle suffoquait, puis fouettée, frappée à coups de batte, traînée derrière une voiture, violée par une cinquantaine de personnes à la fois... d'autres préféraient obliger des chevaux à la sodomiser, ou encore lui jeter des excréments dessus. Oui, Elizabeth avait vécu pire que ce que l'on pouvait imaginer. Mais par chance, peut-être était-ce un signe divin, la jeune femme avait eu la capacité de réparer les blessures de cet horrible passé. Son mental restait meurtri, mais son corps, lui était redevenu désirable, sans aucune séquelle. Ainsi, Elizabeth avait pu se raccrocher à la seule chose qu'elle pouvait garder pour elle: sa beauté. Et en cet instant, peut-être que le traitement qu'elle réservait à Verena était une sorte de vengeance ? La seule chose dont elle était certaine, c'est que la faire souffrir était si bon !

- Verena, cheese !

La belle blonde lui adressa un sourire narquois, et pris plusieurs photos avec son portable. Diverses photos de la belle surveillante à visage découvert, les jambes écartées offrant une magnifique vue sur sa chatte béante, couverte de pisse et de sperme. Sans oublier la mouille ! Les photos assuraient un beau dossier de saletés, ou Verena était affichée comme une chienne. Elizabeth alla s'allonger à côté d'elle, comme pour discuter avec une bonne amie. Son comportement contrastait avec ses actes. Et alors qu'elle venait de la rejoindre, Elizabeth lui montra le téléphone. La jeune femme était sur facebook, et s'apprêtait à publier les photos compromettantes...

- Allez ma belle, comme ça tout le monde saura à quel point tu es une pute !

Malgré ses supplications, Elizabeth publia les photos sous ses yeux. Elle passa ensuite à twitter, instagram, tous les réseaux sociaux y passaient. Et elle s'assurait bien que les élèves du lycée les aient en page d'accueil ! Elle passa ensuite aux sites porno et autres joyeusetés, histoire de lui faire toucher le fond. Elizabeth se régalait, et se pencha vers la tête de Verena pour lécher ses larmes sur ses joues. Que c'était bon !
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le mardi 17 juillet 2018, 20:03:53
Je tire sur mes liens à m'en meurtrir, mais rien n'y fait ! Ils sont serrés comme ce n'est pas croyable, presque comme s'ils épousaient la forme de mes poignets ou de mes chevilles, comme des sortes de tentacules collés à eux. Je me débats en vain, et je vois, en même temps, des suintements sous Elisabeth. Elle jouit de me voir comme ça, sans même me toucher !
« Tu es un monstre ! »
Je lui ferai payer au centuple, je trouverai la faille, elle ne peut pas me laisser là dans cet état.
« Verena, cheese ! »

Mes lèvres ont été si meurtries par la fellation que je ne parviens même pa à faire une grimace, encore moins un sourire dont je n'ai pas envie. Elle me photographie, je le craignais. Elle affiche ce sourire malsain, qui me fait craindre le pire. Soit elle veut garder un dossier pour éviter que je ne la tue, soit elle a de pires idées en tête.
« Pourquoi tu me fais ça ? »
Mes  larmes recommencent à couler, je suis physiquement et nerveusement à bout, mais je sens que mon calvaire est loin d'être terminé.
Même si Elisabeth s'allonge à côté de mi, je n'ai plus aucune confiance en elle. Elle est fière d'elle, elle me montre les photos... et un f.
« Non, tu ne vas pas faire ça ! ». Je tire sur mes liens comme une forcenée, mais en vain.
« Allez ma belle, comme ça tout le monde saura à quel point tu es une pute ! »

« Arrête, Elisabeth, je ne suis pas une pute, tu le sais bien. »

Mais c'est clair qu'elle s'en moque, et prend plaisir à me montrer réseaux sociaux puis sites pornos, des trucs immondes où elle envoie les photos qu'elle a prises.

Je suis détruite, ma réputation est faite, et rien n'effacera cela. Des milliers de tarés vont copier mes photos porno, et se branler en les matant. Des larmes coulent à nouveau sur mes joues, je veux mourir.
Je ne crois même pas à la tendresse d'Elisabeth, lorsqu'elle se penche pour lécher mes larmes.
« Tue-moi ! Je ne veux pas affronter ça. Tue-moi, je t'en supplie ! »
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mardi 17 juillet 2018, 22:31:12
Oh, mais le geste d'Elizabeth n'a aucune tendresse. Elle prend simplement plaisir à boire les larmes salées de celle qu'elle torture psychologiquement, et peut-être bientôt physiquement. Sa souffrance est si bonne, si pure ! Verena va connaître l'humiliation, les sévices, la douleur. Elizabeth va s'assurer de la façonner à son image, pour la rendre plus sadique que jamais ! Après avoir bu ses larmes, et constatant que la jeune femme la supplie de la tuer, Elizabeth la frappe au visage.

- Comment oses-tu te plaindre ainsi ? Sais-tu seulement ce que j'ai vécu ? Ce que tu subis actuellement ce n'est rien, rien du tout !

La jeune femme lui donne plusieurs coups au visage, une petite dizaine jusqu'à la mettre en sang. Verena a l'arcade gonflée, le nez en sang, les lèvres tout autant, elle lui fait même voler une dent. Elizabeth se relève ensuite et lui met quelques coups de pieds dans le bas ventre pour la calmer un peu, toujours aussi excitée de la faire souffrir ainsi. Elle continue d'ailleurs de mouiller, toujours plus, laissant ses liquides intimes se répandre au sol.

- Aaaah... hmmm... aaah... bonne salope.

Lui dit-elle, essoufflée, mais euphorique. La jeune femme va ensuite chercher une règle en fer dans le bureau de la bibliothécaire, et l'étend avant de la transformer pour en faire une chaîne. Elle prélève ensuite un morceau de cuir du canapé pour en faire un collier, et le joint à la chaîne. La jeune femme l'attache autour du coup de Verena pour en faire un bon collier de chien, et obtient le résultat escompté ! Une parfaite laisse pour chienne. La jeune femme défait les liens de Verena, qui est de toute façon anéantie, et tire sur la laisse pour la traîner au sol.

- Bien, on va aller faire un petit tour.

Les rues de nuit ne sont pas bien animées, mais le but d'Elizabeth n'est pas de l'exposer aux passants. Non, elle veut juste l'emmener quelque part...
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le mardi 17 juillet 2018, 23:27:21
Je ne pensais pas déchaîner autant de violence ! Qui est Elisabeth pour me frapper ainsi, moi qui l'ai sauvée tant de fois. Pourquoi me dit-elle : « Sais-tu seulement ce que j'ai vécu ? Ce que tu subis actuellement ce n'est rien, rien du tout ! »

Les coups pleuvent, ma tête ballotte de droite et de gauche, comme si elle allait se désarticuler de mon corps meurtri. J'ai de plus en plus mal, les joues, les dents, les arcades. Je ne dis plus rien, je suis juste le punching ball, et ses coups de pieds jusqu'au sexe achèvent de me disloquer intérieurement.
Elle en jouit, elle m'écoeure, je la hais, mais je suis trop faible pour même lui cracher ma haine/

La mort, c'est ma seule délivrance, me traîner à une fenêtre et sauter, en finir. Je suis à la merci d'Elisabeth depuis que je suis entrée dans ce lieu ; le la subis, et je ne cesse de me demander quelle torture elle a encore inventée. Mon corps est disloqué, mon esprit est anéanti, mais elle n'en a jamais assez !

Elle a des dons, ou je ne sais quoi, qu'elle met au service du mal, pour me faire mal. Elle a sorti de je ne sais où, un collier, oui un collier avec une laisse, et je sens cette horreur tirer à mon cou.
« Bien, on va aller faire un petit tour. »
Je n'ai plus de liens, je suis libre, mais sans force. J'essaie de résister, mais Elisabeth tire sur mon cou, déjà abîmé de ce qu'elle m'a fait subir.
« Noooonn ! », ce qui devait être un cri de refus est un pâle et ridicule gémissement, et je me sens traînée sur le sol râpeux.
Je me redresse, comme pour préserver un peu de peau intacte, essayant d'avancer comme je peux dans les couloirs déserts, jusqu'à arriver dehors où le froid saisit ma nudité.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mercredi 18 juillet 2018, 02:01:27
Elizabeth se retourne pour constater que Verena peut encore avancer, et observe son visage ensanglanté. La seule vue de son sang l'excite, et la jeune femme se jette sur elle pour lui lécher le visage de fond en comble, lui crachant dans la bouche pour finir.

- Marche à quatre pattes, comme une chienne.

La belle blonde la frappe dans le tibia pour la faire tomber, et reprends la marche, toute contente. Les rues sont désertes, quelques passants ça et là voient la scène sans intervenir: ils sont trop occupés à se faire des fellations ou à copuler dans les buissons. C'est dans cet environnement que les deux femmes se dirigent vers un endroit inconnu...

... Et elles arrivent finalement chez Elizabeth. La jeune femme vit dans une petite maison relativement mignonne, il y a même un jardin. L'argent qu'elle a trouvé pour se le payer provient de son travail au club SM, ou plusieurs personnes lui donnent de nombreux pourboires simplement pour regarder son corps. Oui, Elizabeth est une pute de luxe, alors même que personne n'a le droit de la pénétrer. Un métier facile donc, qui rapporte un salaire conséquent. Une fois entrées dans le salon, un petit salon cosy ou tout est rose jusqu'au canapé, Elizabeth tire sur la laisse de Verena pour la mener à la cave. Une petite pièce étroite d'une dizaine de mètres carrés, ou il y a seulement la place pour s'allonger mais certainement pas pour y vivre confortablement.

- Bouge pas.

Elizabeth enferme Verena dans la pièce et revient quelques instants plus tard avec un seau et une gamelle, qu'elle pose dans le coin de la pièce. Elle attache ensuite le bout de la laisse dans un crochet au mur, en y joignant la matière au niveau moléculaire pour ne pas que Verena s'amuse à l'enlever. Et voilà, tout est prêt.

- Voilà, tu es ma chienne domestique maintenant. Pour faire tes besoins c'est dans le seau. Je viendrais te donner à manger demain matin. Tu peux te reposer pour ce soir, demain une longue journée nous attend. Je vais te faire tourner dans des clubs clandestins ma petite chienne, tu vas avoir du mal à marcher durant des mois. C'est pourquoi dorénavant tu resteras à quatre pattes.

Elizabeth lui crache une nouvelle fois au visage, et soulève sa jupe pour dévoiler son entrejambe humide.

- Tant que la vue de ta souffrance me fera mouiller comme ça, je te garderais ici. Et si tu es sage, je soignerai peut-être tes blessures.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le mercredi 18 juillet 2018, 07:12:39
« Marche à quatre pattes, comme une chienne. »
Le coup de pied d'Elisabeth dans mon tibia me casse de hauteur, je redescends à ce qu'elle veut que je sois. Mon corps frissonne de la fraîcheur, de la douleur, du froid sur mes plaies.
J'ai si honte, je baisse la tête, je voudrais qu'on ne me reconnaisse pas, mais je suis sure que tous ces gens me regardent.
Eux, ils font l'amour, ils baisent, mais normalement ! Pas avec des coups. Pas avec n'importe qui ni n'importe quoi. Pas à casser, souiller, broyer.
Comme je les envie, comme j'aurais simplement aimé cela avec Elisabeth.

Mais, au lieu de ça, tout a dérapé, dès le début. Alors, quand on arrive à une petite maison, je suis à la fois soulagée de ne plus être montrée dans la rue, mais inquiète de ce qu'il y a derrière la porte.
Elisabeth a la clef. Sa maison ? Comment une lycéenne peut avoir ça ? Ce qu'on appelle une maison de passe ? Oh non !
Mais, en entrant, je vois que ça ressemble à une vraie maison, tout est rose. Pas le temps d'apprécier, car je me fais traîner au sous-sol, un réduit sombre, où Elisabeth lâche cette saleté de laisse pour la première fois.
La liberté ! Il me suffit de monter l'escalier, j'ai repéré le salon, la porte d'entrée. Mais je l'ai vue la refermer soigneusement. Et puis, sortir seule au dehors, nue en laisse, que va-t-il se passer ? Je vais me faire assaillir par tous les pervers de Seikusu !

Cette réflexion n'aura duré qu'une fraction de seconde, car Elisabeth a vite refermé la porte, me laissant dans ce réduit immonde.
Quand elle revient, ma déchéance se confirme plus encore. Un seau, une gamelle, et la laisse qui m'attache au solide mur.
J'ai honte, mais les coups dans mon ventre ont bousculé ma vessie, alors, sans même y penser, je rampe presque à quatre pattes, au dessus du seau, me soulageant enfin. Le liquide tinte mais, pour la première fois, sans souiller quelqu'un.

Elisabeth continue, sur sa folie :
« (...) Je vais te faire tourner dans des clubs clandestins ma petite chienne, tu vas avoir du mal à marcher durant des mois. »
Je n'ose même plus la regarder, j'espère que, là où elle veut m'emmener, quelqu'un me délivrera enfin.
Elle, elle est dans son délire, fière de me montrer que rien que de me voir uriner comme une chienne l'excite.
« Tant que la vue de ta souffrance me fera mouiller comme ça, je te garderai ici. »
L'avenir s'annonce terrible, mais je crains encore plus ce qu'elle fera, si je ne la fais plus mouiller comme elle dit.
Mon besoin soulagé, je me jette sur la gamelle d'eau, pour rafraîchir mes douleurs, restant à quatre pattes, comme par évidence, et je me mets à laper, comme par évidence aussi.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mercredi 18 juillet 2018, 13:42:10
Elizabeth s'en retrouve excitée en voyant Verena uriner ainsi, elle qui pensait qu'elle aurait la pudeur d'attendre d'être seule !

- Quelle pute tu es, tu commences peut-être à aimer ça.

Elizabeth ne la laisse pas boire en paix, venant se placer au dessus d'elle, jambes écartées, et lui urine une énième fois dessus. Verena ne sera plus jamais en paix, tant qu'elle sera retenue prisonnière ici. Elle va connaître la débauche, et y prendre goût comme la petite salope qu'elle est ! Elizabeth en est persuadée. Si elle la traite comme elle a été traitée, elle finira comme elle.

- Allez, dors bien ma chienne.

Elizabeth ferme la porte et se dirige à l'étage, pour se déshabiller et prendre une bonne douche. La jeune femme ne culpabilise pas un instant pour ce qu'elle fait à Verena. La jeune femme était au mauvais endroit au mauvais moment, et avait agit avec elle de la mauvaise manière. Ce qui était arrivé ensuite n'était qu'une suite logique d'événements, du moins dans la tête d'Elizabeth ! La jeune femme s'était désormais trouvée une chienne, elle n'avait plus qu'à trouver la maîtresse qu'elle appréciait tant. Une fois sa douche terminée, elle enfila une petite culotte et un soutif, et se jeta dans le lit pour passer une douce nuit à rêver des sévices qu'elle comptait faire subir à Verena.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le mercredi 18 juillet 2018, 16:31:11
« Quelle pute tu es, tu commences peut-être à aimer ça. »
Je lève les yeux vers Elisabeth :
« Je n'ai pas vraiment le choix, depuis que je t'ai croisée à la bibliothèque ».
Et je rabaisse les yeux, fataliste, avant qu'elle ne souille même ma gamelle d'eau de son urine. Mais je n'ai pas le choix, je dois rafraîchir ma gorge ; peut-être que laper me fera supporter cela avec moins de nausée.

« Allez, dors bien ma chienne. »
La porte a claqué ; je suis seule dans le noir, seule sans fenêtre. Enfin seule ! Après ce que m'ont fait subir Elisabeth et les trois salauds, je pourrais me reposer, mais je ne sais pas si c'est le prélude à d'autres ignominies.
Elisabeth est si différente de ce que j'en connaissais. Celle qui est à l'étage du dessus n'a aucun scrupule, ne respecte rien de moi. Et, si je résiste, je suis sure que ce sera pire encore. Pourtant, j'ai peur de ce qu'elle me réserve encore.
J'ai de plus en plus froid, je me recroqueville dans un coin de la pièce, assise jambes relevées comme je peux, me blottissant du mieux que je peux, comme si je pouvais évacuer ces frissons à la fois de peur, de fatigue, de douleur, de nerfs.
Je ne parviens pas à dormir, pourtant je le devrais. Elisabeth va continuer ses folies, elle ne s'en cache pas, et risque de me mener à la plus vile décadence. Je dois me reposer ! Je ne m'endors que fort tard, mais pour errer dans des cauchemars peuplés de phallus, de chaînes, de maîtresses, et cette terrible constante qui revient, son plaisir à m'uriner dessus.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le mercredi 18 juillet 2018, 17:34:27
Le lendemain.

Verena est réveillée avec une sodomie aussi brutale que soudaine. A peine a-t-elle le temps de se rendre compte de ce qui se passe qu'Elizabeth est à quatre pattes sur elle, et lui enfonce sa queue dans l'anus. La jeune femme rit, lui envoyant de violents coups de reins, faisant claquer ses couilles contre le cul de la belle qui n'a pas d'autre choix que de se laisser faire. Sodomisée ainsi, à sec, la douleur doit être horrible. Et Elizabeth y prend un grand plaisir.

- Hmmm... haaaan... haaan...

Le rythme s'accélère alors qu'Elizabeth tire Verena par les cheveux pour ramener sa tête près de la sienne, afin de pouvoir lui susurrer à l'oreille.

- Hmm... dorénavant je te réveillerais chaque jour d'une manière brutale, toujours différente pour que tu ne puisses jamais t'y préparer.

Lui dit-elle alors qu'elle continue de l'enculer à sec, plus brutale que jamais.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le mercredi 18 juillet 2018, 21:09:31
Il n'y a aucune lumière qui filtre, je ne sais ce qu'il en est de la nuit ou du jour, quand je sombre dans le sommeil, après le dernier cauchemar. À chaque fois, ces horreurs m'éveillent, parce que je me débats, parce que je tire sur ce collier, donc sur la chaîne.

Le dernier cauchemar de la courte nuit est le pire, violent, abject, révélateur de mon état à néant décidé par Elisabeth. Mon bas-ventre est labouré par l'immonde phallus qu'elle a de je ne sais où. Mon anus, qu'un des trois salauds à davantage broyé, subit ds coups de boutoir ininterrompus.

Le réveil est brutal, mais ce n'était pas un cauchemar. Elisabeth me chevauche, comme un homme, et m'encule encore, faisant des allers et retours contre mes muqueuses pas préparées. Elle a forcé l'entrée, c'est sûr, tant j'ai mal

« Hmmm... haaaan... haaan... »
Elle prend son pied. À chaque coup de reins, mon corps vole en avant, et elle recommence aussitôt, plus fort encore. Je suis anéantie, je ne dis plus rien, j'essaie de me concentrer pour ne pas trop souffrir.

Mais Elisabeth ne doit pas aimer que je ne dise rien ! Elle tire mes cheveux sans ménagement, m'obligeant à écouter ses menaces :
« Hmm... dorénavant je te réveillerais chaque jour d'une manière brutale, toujours différente pour que tu ne puisses jamais t'y préparer. »

C'est clair, elle n'arrêtera jamais.
« Elisabeth, laisse-moi, arrête ! »
Je sais que ma prière ne servira à rien ; il me reste deux choix, la liberté ou la mort, si je ne veux pas sombrer plus encore sous sa folie.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le jeudi 19 juillet 2018, 00:39:25
Elizabeth continue de lui tirer les cheveux et la mord au cou, sodomisant Verena sans la moindre once de pitié. Cette idiote pense vraiment que ses paroles auront le moindre impact ? Qu'elle arrêtera parce qu'elle le lui demande ? C'est à se demander quel niveau de naïveté a-t-elle atteint. Une chose est sûre, Elizabeth ne la trouve pas assez expressive, et ça lui déplaît très, très, très fortement. Si bien qu'elle la jette contre le mur avec violence, bouillonnante de rage.

- Sale pute, tu vas crier oui ? Pourquoi tu ne dis rien, connasse ?!

Elle la gratifie ensuite d'un coup de pied dans la mâchoire, et lui écarte les jambes pour l'enculer à nouveau violemment. Pas de répit, pas de douceur, Elizabeth veut la faire crier et le déroulement ne lui plaît pas du tout. Cette salope essayerait-elle de lui tenir tête ? Impossible, improbable ! Si tel est le cas, il lui faudra simplement un peu de dressage.

Elizabeth lui donne de grandes claques sur les fesses à mesure qu'elle lui pénètre le cul, lui faisant face cette fois.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le jeudi 19 juillet 2018, 07:42:28
Je ne sais quelle douleur est la plus forte, ce phallus irréel et qui me laboure pourtant l'anus, ces violences gratuites de me tirer les cheveux ou de me mordre, ou bien cette déchéance où mon corps serait parfois complice de m'entraîner.
Oui, je me bats contre moi-même, et je ne comprends pas ! C'est vrai que, quand ces trois salauds m'ont violée, j'ai eu un moment où j'aurais pu basculer. C'est vrai que, ce matin, sous la saillie d'Elisabeth, j'aimerais céder, tendre mon cul, et jouir tant ça me trouble.
Mais non !

« Sale pute, tu vas crier oui ? Pourquoi tu ne dis rien, connasse ?! »
Elisabeth en est furieuse, elle voudrait peut-être que je lui dise que j'aime, et que j'en veux encore. Mais où cela m'entraînerait-il ? Elle m'a jetée contre le mur avec sa violence devenue banale avec moi, avant de m'envoyer un nouveau coup de pied. Mais ma seule réaction est la montée de larmes.

J'ai même l'impression que ses coups de boutoir sont de plus en plus violents. Pourtant, elle me fait désormais face, et elle peut voir mes larmes, mais n'en a cure. Je serre les poings, mes fesses me font mal battues à sang, mon anus me fait mal écartelé avec rudesse.
Je dois tenir. Céder serait la ravir. Je ne suis pas un objet, je ne suis pas sa chienne, je suis Verena, fière et intègre !
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le jeudi 19 juillet 2018, 13:45:46
Elizabeth, troublée de la voir se débattre ainsi, décide de passer à la vitesse supérieure. Elle ne veut pas crier ? Très bien, qu'elle ne crie pas. La belle blonde de saisit de la chaîne de sa laisse pour l'enrouler autour du cou de Verena et l'étrangle tout en continuant de l'enculer par devant. Elle ne la ménage pas, tirant très fort, étouffant peu à peu l'ex surveillante réduite à l'état de chienne. Elizabeth ne manque d'ailleurs pas de boire les larmes sur les joues de Verena, terriblement excitée.

- Huummm... sluuuuurp... continue, continue de pleurer...

Elle l'encule avec une violence inouïe, l'étrangle, la frappe à l'abdomen et au visage, sans aucune pitié. Plein d'autres idées viennent à elle, et elle ne manquera pas de s'en servir pour la faire souffrir. Un jour, elle aimera ça et en redemandera, la jeune femme en est persuadée. Mais en attendant, qu'elle souffre.

Elizabeth matérialise des pinces en touchant le métal de la chaîne pour les attacher aux mamelons de Verena, ce sera plus amusant et plus douloureux ainsi. Étranglée, enculée, frappée et pincée, cette séance n'est pas de tout repos !
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le jeudi 19 juillet 2018, 14:08:09
C'est de pire en pire, je suis ballottée, mon corps doit se disloquer, mes entrailles ne doivent être que bouillie. Mais c'est angoissant, plus la douleur monte, plus la frontière avec le plaisir devient légère.

Elisabeth ne s'arrêtera jamais, malgré mes larmes, et je sens les froids maillons de la chaîne serrer mon cou.
Ma liberté est peut-être là ! Alors, face à elle, les jambes relevées pour mieux asseoir sa position et m'enculer en me regardant souffrir, je la regarde les yeux dans les yeux, après un nouveau :
« Huummm... sluuuuurp... continue, continue de pleurer... »
Et je trouve la force de lui dire : « Continue, Elisabeth, tu vas me tuer, tu me délivreras » entre deux sanglots.

Pour toute réponse, je prends un nouveau coup de phallus, d'une violence inouïe, claquant mon dos au mur, violent comme s'il avait achevé de détruire mon intérieur.
La gorge comprimée, je suffoque, je respire comme je peux.

Je sais que je l'ai provoquée, et je trouve encore la force de hurler quand le métal froid de deux pinces enserre d'un coup sec mes tétons.
Mes tétons dressés ! Pourquoi ? L'a-t-elle remarqué ?
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le jeudi 19 juillet 2018, 16:49:18
Elizabeth lui envoie plusieurs décharges de foutre sans pour autant s'arrêter. Cette situation la rend folle de plaisir, si bien qu'elle jouit en continu, tout en continuant de l'enculer. Elle ne se prive pas pour la doigter en même temps, à la limite du fist vaginal. Elizabeth veut la défoncer, dans tous les sens du terme. Et quelle n'est pas sa surprise quand elle se rend compte que Verena commence à apprécier. Ses tétons en sont la preuve.

- Tu aimes ! Tu aimes, tu vois ! Je vais continuer jusqu'à ce que tu en redemandes !

Elizabeth modifie ses cellules pour se donner plus de force et de vivacité, l'enculant comme jamais personne ne l'enculera jamais, avec une force herculéenne. Si Verena ne perd pas connaissance, c'est uniquement grâce au pouvoir d'Elizabeth qui lui redonne des forces en continu expressément pour qu'elle ne s'évanouisse pas. La douleur et le plaisir, en revanche n'en sont pas altérés.

Puisque ses deux mains sont occupées avec la chatte de Verena, la jeune femme tire la chaîne enroulée autour de son cou avec les dents. Verena doit avoir des marques horribles autour du cou, et se situe à la limite de l'évanouissement sans pour autant y arriver. Encore un agissement du pouvoir d'Elizabeth, qui veille bien à la maintenir en conditions. Ce serait dommage de baiser une poupée inanimée.

- Tu ne vas jamais mourir ! Je te baiserais jusqu'à la fin des temps !

Elizabeth la détruit littéralement, Verena doit ressentir une immense douleur, qui s'estompe inévitablement peu à peu pour laisser place au plaisir...
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le jeudi 19 juillet 2018, 17:10:14
Après tout ce que m'ont mis les trois salauds, Elisabeth continue, les jets brûlants viennent taper au fond de mon anus, les bruits sont immondes, le trop plein fait s'écouler du sperme au dehors, je le sens. Son horrible engin a l'air inépuisable, et il est au service de sa perversité.
Avec ses doigts qui broient ma chatte, distendent mes lèvres intimes, s'en servent comme d'un jouet auquel on peut tout faire subir, j'ai l'impression d'avoir un bas-ventre à la fois creux, dilaté, rempli, prêt à se disloquer.

« Tu aimes ! Tu aimes, tu vois ! Je vais continuer jusqu'à ce que tu en redemandes ! »

La phrase d'Elisabeth me cueille au moment où une très violente décharge zèbre mon bas-ventre. Atroce, mais pas douloureuse, bien au contraire. Je devrais m'évanouir, je ne sais comment je tiens. Assez lucide pour subir ce martyre, assez lucide pour entendre des bruits insolites venant de ma chatte, comme si les doigts d'Elisabeth baignaient dans de la mouille.
Ce n'est pas possible !
« Non ! Jamais je ne cèderai. »

Je sais que je la rends folle,car elle manque m'étouffer de plus en plus. Je sais que le manque d'oxygène peut décupler ces moments-là. Mais, si elle continue, la mort sera peut-être ma délivrance. Je dois tenir !
« Tu ne vas jamais mourir ! Je te baiserais jusqu'à la fin des temps ! »
Sa phrase cueille mes derniers espoirs. C'est quoi la fin des temps ? L'Enfer aussi ? Je ne le sais pas, mais je sais qu'une deuxième décharge, encore plus violente que la précédente, vient de traverser mon bas-ventre, et s'est traduite par un « Ooohhh ! » très sonore.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le jeudi 19 juillet 2018, 18:00:20
Elizabeth continue de l'enculer sauvagement, doigtant sa chatte baignait dans la mouille en émettant toutes sortes de bruits obscènes. Verena n'est pas indifférente, elle en est certaine à présent. Elizabeth, elle, continue de lui envoyer du foutre par cargaisons, son pouvoir lui permettant d'en générer à l'infini. Verena en est tellement remplie qu'il commence même à ressortir par son nez et sa bouche. Elizabeth continue, toujours plus violemment, à la pilonner comme personne. Les bruits sont obscènes, bien moins que ce qu'elle fait à Verena, mais contribuent à la scène immonde qui se déroule dans cette toute petite pièce.

- Allez, jouis ! Pisse, gicle !

Avec son pouvoir, Elizabeth pourrait mener Verena à l'orgasme mais ce ne serait pas drôle. La jeune femme continue de tirer sur le collier avec ses dents, l'étranglant complètement, alors qu'elle agit au niveau moléculaire sur ses glandes urinaires et sa vessie. La jeune femme les remplit entièrement, ce qui force inévitablement Verena à uriner sous peine d'imploser.

Et Elizabeth ouvre la bouche, prête à s'en délecter.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le jeudi 19 juillet 2018, 18:16:09
Je ne peux plus parler, à peine respirer. Ma gorge est serrée à être étranglée, mon nez se remplit de je ne sais quoi, mes yeux tournent hagards.
Mon corps n'est plus sous ma commande, mes reins viennent en avant.
« Noonn ! », ce n'est qu'un faible murmure, pour trahir cette perte de contrôle, avant qu'un deuxième coup de reins n'envoie encore mon corps en avant sur ce phallus immonde.

Mes ongles raclent le sol, cherchent à s'accrocher à quelque chose, mais en vain. Mes fesses sont soulevées de terre par les coups de boutoir, quand part la première giclée.
« Allez, jouis ! Pisse, gicle ! »
De l'urine, je ne comprends pas ! C'est comme si ma vessie trop comprimée par ce phallus, ces doigts, je ne sais plus, devait se soulager. Avec ma posture, ça part comme en geyser, avant de retomber, et je vois, horrifiée, Elisabeth s'en délecter. Après le premier, un autre, comme par saccades. J'ai rouvert les yeux, je vois Elisabeth, langue sortie, attendant la suite.

Elle ne cesse malgré tout de me pilonner l'anus. Et c'est alors que la troisième décharge intervient, un hurlement comme il peut, tant ma gorge est serrée, un cri indéfinissable, alors que mes hanches vont au devant de ce pieu de chair.

Mes yeux sont remplis de larmes, mais je ne comprends pas comment j'ai soudain retrouvé une telle lucidité. Si ma vessie semble apaisée, c'est un autre tonnerre qui se prépare. Je ne pourrai pas le contrôler davantage !
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le jeudi 19 juillet 2018, 22:09:08
Elizabeth se délecte de la pisse de Verena, qu'elle boit un peu pour ensuite la lui recracher au visage. Il ne faut pas oublier qu'elle est bien décidée à la traiter comme une chienne, une loque. Et alors qu'elle la pilonne et la doigte violemment simultanément, la jeune femme sent que quelque chose vient en Verena. Peut-être qu'elle va enfin se laisser aller à l'orgasme, et jouir ! Elizabeth n'attend que ça. La belle blonde a la queue en feu, à force de la pilonner ainsi, et l'allonge même pour pouvoir embrocher Verena davantage. Juste assez pour ne pas la blesser, il serait dommage de tout casser en elle.

- Hmmm... aaahhh... haaaan... t'es tellement tenace... que... je dois me retenir...

Elizabeth continue de déverser du foutre en elle, si bien qu'elle pourrait en tomber enceinte, mais fait un effort pour ne pas jouir. Verena va le lui payer, l'obliger à contenir son plaisir est un sacrilège qu'elle lui fera payer sous peu, elle peut en être certaine.

Trois, deux, un...

Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le jeudi 19 juillet 2018, 23:03:36
C'est peut-être un effet que je ne connais pas, mais c'est comme si le phallus avait encore augmenté de volume, à moins que ce ne soit moi qui me sois contractée. Le résultat est que je me sens plus remplie encore, plus détruite aussi.
Mes hanches, qui étaient collées au sol par la violence des poussées d'Elisabeth, s'en décollent maintenant ! Quand elle retire rien qu'en partie ce phallus, pour me pistonner plus fort encore, ce sont mes hanches qui vont au devant, comme pour le supplier de revenir

« Hmmm... aaahhh... haaaan... t'es tellement tenace... que... je dois me retenir... »


Je ne maîtrise plus rien ! Je ne me retiens plus ! Un « Oooohhh ! » violent sort, alors qu'Elisabeth vient de me claquer au sol d'un de ses coups de queue. Je n'ai même pas le temps de réaliser que le coup suivant est ponctué d'un « Encoreeeeeee ! » que je ne maîtrise pas.
Je sens qu'Elisabeth se déchaîne, mais mon corps ne m'appartient plus. Une vague nouvelle et inconnue est en train de monter. Je me tends comme un arc en avant, rassemblant le peu de forces qui me restent, ignorant la chaîne enfoncée dans la peau de mon cou, ignorant les pinces qui meurtrissent mes tétons, juste pour mieux sentir cette main qui me distend la chatte, et ce pieu qui me défonce le cul, et hurler « Ouuuiiiiiiiiii ! » en m'agitant de soubresauts incontrôlés.
Je jouis, oui je jouis, oui Elisabeth vient de me faire connaître la jouissance, pour la première fois véritablement, une jouissance que j'ai retenue si longtemps, mais qui me submerge toute entière.

Que se passe-t-il ensuite ? Je ne sais pas. Elisabeth continue-t-elle ses va et vients ? Je ne sais pas. Je m'écroule comme une loque, comme un pantin désarticulé.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le vendredi 20 juillet 2018, 00:12:42
Et Elizabeth jouit en même temps, remplissant la jeune femme de sperme à ras bord. Sa queue se rétracte à l'intérieur d'elle, et la jeune femme lui gicle ensuite une vague de cyprine au visage. C'est avant tout une femme, il ne faut pas l'oublier. Son pénis n'est qu'une conséquence de son extraordinaire pouvoir. La jeune femme s'écroule ensuite à côté de Verena, heureuse de l'avoir vue jouir et aimer ça. Elle ne va pas l'oublier de si tôt.

- Hmmm... ma petite chienne...

Elizabeth se blottit contre elle et vient lui lécher les fluides sur la peau, tout en la pelotant pour guérir ses blessures. Ses contusions au cou, ses bosses, ses dents cassées dû aux nombreux coups, elle est comme neuve. Mais terriblement épuisée.

Elizabeth ne manque pas de se mettre à quatre pattes sur elle pour lui pisser dessus ensuite, c'est devenu une habitude. Elle reste son territoire après tout, sa propriété. Et elle n'a pas oublié le temps qu'elle a mis pour enfin se laisser jouir, Elizabeth compte toujours le lui faire payer !
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le vendredi 20 juillet 2018, 06:34:42
Je ne parviens pas à retrouver mon souffle, ni à stabiliser mon corps, agité de tremblements. Je sens juste des giclées au fond de mon anus, comme si Elisabeth avait joui de m'avoir vaincue, de m'avoir faite céder, de m'avoir vue jouir. Oui, j'ai joui, malgré moi ! Comment peut-on éprouver du plaisir à être traitée ainsi ?

J'entrouvre les yeux, pour voir, hallucinée, ce phallus qui était venu de je ne sais où, comme se rétracter, et Elisabeth redevenir une vraie femme, et m'arroser de vraie mouille, comme celle qui me coule entre les jambes, mélangé à... son sperme ! Même mon chirurgien fou de père n'a jamais inventé de phallus rétractile, même moi je n'ai jamais vu ça dans les livres de médecine.
« Mais, qui es-tu, Elisabeth ? »

Ma question demeure sans réponse ; elle est toute à son extase, aussi écroulée que moi.
« Hmmm... ma petite chienne... »
Elle a pris mon plaisir par la force ; elle m'a violée, après avoir massacré ma virginité !
« J'ai honte ! »
Elle s'en moque, elle me lèche de partout, comme une petite chienne justement. Et mes douleurs disparaissent, comme par... je ne sais quoi. Je ne ressens plus ma gorge martyrisée par le chaîne, ma dent cassée, les contusions au visage, les coups de pied dans le ventre, le bas-ventre broyé par ce phallus... rétractile. C'est comme si elle m'avait toute guérie, sauf ces courbatures qui demeurent en moi, vestige de tous ces coups de reins que je ne saurais compter, d'Elisabeth comme des trois salauds, comme aussi ce sperme qu'elle a léché sur ma peau mais dont des quantités demeurent en moi, avec soudain l'horrible image qu'un monstre pourrait ainsi m'engrosser.

Pourtant, Elisabeth est tendrement blottie contre moi, presque comme deux amantes normales. Mais ça ne dure pas ! Car Elisabeth ne peut s'empêcher de se lever, cassant cet apaisement, pour encore m'uriner dessus. J'ai peur, je suis, entre ses mains, comme un jouet qu'elle peut démolir et reconstruire à sa guise, un jouet qu'elle peut aussi faire jouir en m'ôtant tout contrôle, un jouet qu'elle m'a dit vouloir baiser jusqu'à la fin des temps.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le vendredi 20 juillet 2018, 15:31:24
La jeune femme essuie sa chatte pleine de pisse sur le visage de Verena, avant de lui souffler.

- Honte ? Mais nous ne sommes que deux ici ma petite chienne. D'ailleurs ne bouge pas.

De toute façon elle ne peut pas bouger à cause de la chaine. Elizabeth s'en va une petite dizaine de minutes avant de revenir, une batte de Baseball, un tabouret, une corde, et une casserole d'eau chaude a la main. Nul doute qu'elle va prendre plaisir à la torturer, son entrejambe mouille rien qu'à cette idée. Pour commencer, la jeune femme verse l'eau bouillante sur Verena, lui assurant une douleur immense.

- Allez, crie. Ça t'apprendra à me résister.

La jeune femme accroche ensuite la corde au plafond, puis l'enroule autour du cou de Verena avant de la mettre debout sur le tabouret. La jeune femme ne peut pas résister, difficile de résister à la force d'Elizabeth. Elle lui retire d'ailleurs le collier de chien, il ne ferait que gêner. Puis, sans prévenir, Elizabeth pousse le tabouret pour pendre littéralement Verena. La jeune femme se retrouve suspendue au dessus du vide, étouffant peu à peu.

Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le vendredi 20 juillet 2018, 16:33:56
Rien n’arrêtera Elisabeth, elle ne sera sensible à aucun de mes mots.
« Honte ? Mais nous ne sommes que deux ici ma petite chienne. D'ailleurs ne bouge pas. »
Ces mots me rassureraient presque, par la relative discrétion qu’ils évoquent, mais ne me rassurent pas du tout quand, à la suite, elle s’éclipse de la pièce. J’aurais pu espérer que ma jouissance, car c’en était vraiment une, apaiserait sa folie, mais je n’y crois même plus.

Quand je la vois arriver, quand je vois ce qu’elle a en mains, je hurle « Nooonnnn ! », comme si les murs pouvaient transpirer mon effroi. Mais ça ne l’arrête pas.
« Allez, crie. Ça t'apprendra à me résister. »
« Noooonnn ! », mon nouveau cri se perd en écho dans les murs.
L’eau me brule atrocement, partout, pire encore que tout ce qu’elle m’a fait subir depuis des heures.

Je suis anéantie, meurtrie, et Elisabeth trimballe mon corps comme un fétu de paille. Tout au plus la vois-je mettre une corde au plafond, sens-je la corde passer autour de mon cou. La mort enfin, la délivrance !
J’ouvre mes yeux, regarde Elisabeth, et, quand elle avance son pied, parce que, même ainsi, je sais qu’elle va le faire, je lui dis, avec tout le peu de forces qu’il me reste :
« Merci de me délivrer »
Et le tabouret vole d’un coup de pied.

Surtout, ne pas lever mes mains, ne pas m’accrocher à cette vie dont elle a fait un calvaire, et dont elle ferait un enfer. Surtout, ne pas, dans un ultime geste… mais mon corps m’a déjà désobéi en jouissant, alors je ne suis plus sure de rien.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le vendredi 20 juillet 2018, 22:45:02
Elizabeth regarde tranquillement Verena, attendant que la jeune femme s'aide de la corde d'elle-même. Ou qu'elle se laisse mourir peut-être ? Voyons voir si la jeune femme ose survivre. Si elle aime être une chienne, et qu'elle veut continuer de l'être. C'est un test que lui offre Elizabeth, dont elle est la seule décisionnaire. Quelle chance elle a, de pouvoir enfin faire un choix dans sa vie !

- Alors ma chienne ? La vie ou la mort ?
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le vendredi 20 juillet 2018, 23:15:36
Ca ne se programme pas, surtout quand ça vient d'une autre. Je n'ai pas demandé à mourir, ni à ce moment, ni comme ça.
« Alors ma chienne ? La vie ou la mort ? »
Dans un élan qui m'échappe, malgré mon corps endolori, mes bras se dressent instantanément au dessus de ma tête, saisissent le corde comme ils peuvent. Mes muscles se tendent, dans une posture improbable, pour essayer de relever mon corps et soulager cette pression. Je tousse, je hoquette, mais je mets toute mon énergie. Mes jambes battent l'air, comme pour chercher un appui. Aussi légère que je sois, je ne tiendrai pas longtemps, et le regard sadique d'Elisabeth n'est pas une invitation à rester en vie sous sa coupe.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le samedi 21 juillet 2018, 15:00:28
Elizabeth lui enfonce un doigt dans le cul et la soulève, de sa force surhumaine, pour lui permettre de respirer un peu. Elle a choisi la vie après tout !

- Tu veux donc continuer à vivre comme une chienne, hmm ?

La belle blonde envoie des décharges nerveuses, semblables à un courant électrique, directement dans le corps de Verena. Il faut la stimuler un peu, non ? Elle n'est pas au bout de ses peines, la pauvre ! Elizabeth a bien d'autres idées pour la faire souffrir un peu, avant de pouvoir lui procurer du plaisir.

- Tu te demandes sûrement pourquoi je te fais subir tout ça, hmm ? Qu'as-tu fait pour mériter ça ?

Elle la relâche, laissant alors Verena s'étrangler avec la corde de nouveau.

- Je me demandais la même chose il y a bien longtemps, tu apprendras à l'accepter.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le samedi 21 juillet 2018, 15:13:13
Je m'accroche comme je peux, mais je sais que ma force me lâchera. C'est incroyable que, d'un simple doigt, Elisabeth parvienne à me soutenir, pour récupérer un peu, reprendre mon souffle. Comment puis-je être aussi lubrique, pour être fière qu'elle viole ainsi mon cul ? Sans oublier que je ressens de violentes décharges, que je ne comprends pas, mais qui font mouiller ma chatte. Après tout ce qu'elle m'a déjà fait subir, ce n'est quand même pas juste un doigt qui me met dans cet état dont j'ai honte.

Je me moque de ses délires, je lui dis juste : « Elisabeth, arrête ça, je t'en supplie ».
Mais, pour toute réponse, elle enlève son doigt, et je retombe tout aussi violemment, le noeud marquant mon coup dans un craquement bizarre. Je fais encore un effort surhumain, mes bras agrippent la corde qui tombe du plafond. Je me suis encore sauvegardée, mais pour combien de temps ?
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le samedi 21 juillet 2018, 18:52:53
- Oooh ? Mais tu mouilles en plus !

La belle blonde lui écarte les jambes et commence à lui recouvrir la chatte de coups de langue, alors même que Verena est toujours pendue. Elizabeth s'en délecte d'ailleurs, et ne manque pas de le lui faire savoir en tirant sur ses jambes pour que la corde l'étrangle davantage, compliquant ainsi ses efforts pour se hisser.

Elizabeth se saisit ensuite de la batte de baseball. Puis, sans préparations ni douceur, elle empale subitement Verena par le cul. La batte est assez large pour lui faire horriblement mal, alors qu'elle l'enfonce toujours plus loin. Il n'y a pas d'autres mots, Verena est littéralement empalée.

Elizabeth se saisit ensuite du seau pour le placer sous la chatte de Verena, sentant qu'elle ne va pas tarder à pisser. Les pendues pissent toujours, non ? En tout cas, elle a plutôt intérêt à le faire.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le samedi 21 juillet 2018, 19:10:34
J'ai honte, j'ai trop honte, mais je ne dois pas craquer. Pourtant, après ces heures de violence, la langue d'Elisabeth est un plaisir merveilleux, qui laisse s'échapper un « Huummm » bien malgré moi..
Mais je devrais savoir qu'avec Elisabeth un plaisir est toujours assorti d'une souffrance, et elle tire aussi sur mes jambes, comme pour que la pendaison fasse son œuvre, m'arrachant, cette fois, un « Arrrgghh ! », alors que j'ai vraiment cru y passer

Je me redresse comme je peux, mais je quasi décoll vers le haut, quand je sens un objet rond en bois forcer mon anus. La batte de base-ball. Elisabeth la pousse avec une insistance inouïe, alors que mon poids me ramène vers le bas, comme me poussant à prendre dans le cul un truc encore plus gros que son pseudo phallus.

Je n'arrive plus à me soulever, je suis sure qu'elle m'a déchiré l'anus, mais je ne peux même plus parler, tant j'essaie d'économiser mes forces pour ne pas finir pendue.

Mes forces faiblissent, je le sais, et l'image horrible que j'ai de ma mort, est de finir pendue, enculée sur une batte de base-ball. L'horreur absolue, la seule image qu'on gardera de moi, une salope puant la pisse finissant ainsi.

Et, sous les yeux d'Elisabeth qui affiche toujours son sourire sadique, je me sens faiblir, mes bras faiblissent aussi, la pression de la corde est plus forte sur mon cou, et ma vessie me lâche, sans que je comprenne comment je peux uriner, quasiment assoiffée depuis la veille au soir.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le dimanche 22 juillet 2018, 03:05:13
Cette violence, cette luxure, tout ceci rend Elizabeth complètement folle. Les joues roses de plaisir, les yeux brillants d'excitation, c'est une véritable démone qui se tient là. Verena, empalée par une batte si bien qu'elle forme une bosse sur son ventre, pendue, et pissant ainsi dans le seau, est plus belle que jamais. Elizabeth ne manque pas de lui lancer le contenu du seau pour la recouvrir de pisse.

- Ne meurs pas tout de suite, je reviens.

Après cinq interminables minutes, Elizabeth revient avec un gode immense. Si immense qu'en étant posé au sol, il manque de cinq minuscules centimètres le plafond. Elizabeth l'installe donc, et oriente cette fois-ci la chatte de Verena vers le bout. Ainsi, elle pourrait se retrouver empalée de la tête aux pieds, jusqu'à ce que le gland lui ressorte par la bouche.

- Si tu veux vivre, tu vas devoir te le prendre dans la chatte pour te surélever un peu.

Elizabeth ne lui demande pas son avis et tire sur ses jambes pour l'empaler sur le gode jusqu'au nombril, déformant son corps. La batte est toujours enfoncée de toute sa longueur dans le cul de la jeune femme d'ailleurs.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le dimanche 22 juillet 2018, 07:06:26
La corde semble grapiller quelques millimètres à chaque fois. Je ne tiendrai plus longtemps, car mes bas sont tétanisés. Mais ce n'est finalement rien, face à la douleur qui irradie mon cul. Même les trois salauds, même le pseudo phallus d'Elisabeth, tout ça n'était rien à côté de ce monstre, que mes leçons d'anatomie assurent avoir détruit une partie de mon corps. Ce que je ne comprends pas, c'est que ma petite rondelle, ou du moins ce qu'il en reste, serre assez fort cette batte pour la garder au lieu de l'expulser. *Oh Verena, ne me dis pas que tu aimes ça !*. Je dois mourir, pour mettre fin à ça, mais mes mains ne m'obéissent pas.

« Ne meurs pas tout de suite, je reviens. »
Elisabeth s'en amuse autant que je souffre. Rester en vie, c'est lui offrir tout ce qu'elle veut dans ma déchéance. Mais puis-je encore tomber plus bas ?
Je ne peux même plus battre des jambes pour essayer de soulager le poids de mon corps, tant la batte me bloque la taille.
Alors, quand je vois le monstre que ramène Verena, je sais que je ne tiendrai pas.
« Nooonnnn ! », c'est sans doute le dernier cri que je pousserai.
 Je n'ai jamais vu de gode pareil ! Il peut me transpercer pire qu'une arme.

« Si tu veux vivre, tu vas devoir te le prendre dans la chatte pour te surélever un peu. »

Elisabeth n'a pas eu la moindre hésitation, et ce nouveau monstre me transperce avec le mouvement qu'elle imprime à ma taille.c'est passé tout seul dans ma chatte, comme si ça glissait dans l'humidité. J'ai même cru entendre un étrange floc. Quelle horreur !
J'essaie de me surélever, tirant sur la corde pour me remonter, mais mes bras fatiguent, et je redescend plus encore sur ce monstre qui s'enfonce en moi de mon seul fait. Je vais exploser avec ces deux machins !

Elisabeth me regarde, ricanant, je le sais, m'empaler toute seule sur ce gode.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le dimanche 22 juillet 2018, 19:07:08
- Allez Verounette, un petit effort !

Floc, flasch, flatch, et pire encore. Sa chatte émet toutes sortes de bruits, ainsi empalée sur le gode géant, et Elizabeth s'assure de la détruire en tirant sur ses jambes pour l'empaler encore plus. La corde serre son cou à chaque descente, lui occasionnant de nouvelles marques un peu plus à chaque va et viens. La partie est finie pour Verena, elle ne sera plus jamais la même. Son destin est déjà scellé depuis un petit moment déjà, Elizabeth la relâchera peut-être dans dix ans une fois qu'elle sera devenue une parfaite chienne comme elle-même l'est devenue.

Dans tous les cas, ce qu'il faut reconnaître, c'est la propension des orifices de Verena à recevoir toutes sortes de formes phalliques ! Une batte et un gode immense de la taille de deux cuisses parviennent à entrer, déformant complètement ses formes. Si Elizabeth ne la répare pas, Verena vivra avec un trou de la taille d'un ballon de foot entre les jambes pour le restant de ses jours. C'en est tellement invraisemblable que la jeune femme ne peut s'empêcher de rire.
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le dimanche 22 juillet 2018, 19:39:15
Même mon père, dans ses pires abjections médicales, n'aurait pas imaginé qu'un corps puisse se distendre comme le mien, que des orifices puissent être ouverts comme les miens, que des corps étrangers puissent y entrer en un tel volume.
Même ses amis peu fréquentables n'auraient pas osé, envers leurs ennemis, des tortures aussi immondes que ce que me fait subir Elisabeth. Eux, avec une femme, ils violaient puis tuaient. Elisabeth, au contraire, savoure son plaisir. C'est une folle, c'est une malade.

Un craquement plus important annonce que la corde poursuit son oeuvre. Je ne peux pas résister, malgré mes bras qui donnent tout ce qu'il leur reste de force, car Elisabeth tire sans cesse mes jambes vers le bas.
La batte de base ball semble figée dans mon cul, ayant fait son oeuvre dévastatrice, tandis que le gode continue de faire son oeuvre troublante.

Elisabeth ricane, en tirant encore un coup sec sur mes jambes, et un "Ouuuiiii!" incongru sort de ma bouche, manquant me faire lâcher la corde, tant cela secoue mon corps.
Je viens de jouir, malgré moi. Je pleure. Je n'ose même pas regarder Elisabeth. Elle tire à nouveau un coup sec sur mes jambes. Ca ne s'arrêtera donc jamais?
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 23 juillet 2018, 03:05:34
- Voilà ! Jouis ! Jouis comme une pute !

Elizabeth tira de plus belle sur ses jambes, jusqu'à en faire casser la corde. Verena pouvait donc respirer pour de bon cette fois, mais à quel prix ? La jeune femme était empalée plus profondément que jamais sur le gode, et Elizabeth ne s'arrêta de tirer que lorsque le gland finit par lui ressortir par la bouche. Aussi invraisemblable que cela pouvait-il paraître, Verena était en vie. Elizabeth s'en assurait grâce à son pouvoir, plus folle que jamais.

Verena était donc empalée par un gode faisant la largeur de ses deux cuisses, et celui-ci lui ressortait par la bouche. Verena aurait du avoir la mâchoire broyée, mais Elizabeth avait également prévu le coup en rendant ses os assez souples pour ne pas se briser. En clair, la jeune femme possédait le pire pouvoir possible pour une malade comme elle. Le pouvoir de faire subir tout ce qu'elle voulait à une personne, sans jamais la tuer !
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le lundi 23 juillet 2018, 07:21:40
« Voilà ! Jouis ! Jouis comme une pute ! »

Elisabeth n'attendait que ça. C'est aussi moi qui ai incité ces va-et-vients malgré moi, en essayant de me retenir pour ne pas mourir pendue.
Elisabeth n'est pas calmée ! Elle tire plus violemment encore, et la corde casse, le morceau autour de mon cou restant comme un collier, pour me rappeler le collier de chienne qu'Elisabeth m'a mis pour arriver ici.

Je ne peux même pas pousser un cri, tant cette libération s'accompagne d'une douleur inouïe. La gravité, la seule gravité, m'a fait descendre d'un coup sur le gode. Je n'ose imaginer l'état de ma chatte, ni comme doit être l'intérieur de mon corps.
Elisabeth a détruit ma virginité.
Elisabeth a détruit ma chatte, temple de jouissance quand on fait l'amour.
Elisabeth a détruit mon corps, et anéanti tout ce bonheur d'enfanter.
Elisabeth m'a détruite, mais elle est insatiable dans cette perversion.
Elisabeth tire avec violence et continuité.

Je sens ce monstre se frayer un chemin. Je le sens même écarter la batte de base ball désespérément figée en moi. Je ne sais même plus où en est le seuil de la douleur, car la chose glisse dans ma chatte avec des flic et des floc honteux. La chose remonte jusqu'à ce que le gland me sorte entre les lèvres. Je voudrais hurler mon effroi, mais je ne peux même pas !

Je suis un mélange de poupée gonflable et de pantin désarticulé, empalé sur une immense tige de caoutchouc en forme de sexe, avec un anus à la limite de la rupture par un autre immense en bois. Je ne comprends pas comment c'est scientifiquement possible, car je devrais être morte depuis longtemps. C'est comme si Elisabeth jouait de la matière de mon corps, de ma résistance, de ma vie.

Et, avec le regard sadique et satisfait qu'elle a, je m'attends au pire.
Titre: Re : Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Elizabeth Ostwick le lundi 23 juillet 2018, 21:39:04
Elizabeth ne fit rien de plus et se contenta de s'asseoir en tailleur, admirant son oeuvre d'art d'un air satisfait. Une femme empalée sur un gode, agonisante, brisée. Elizabeth s'était bien défoulée aujourd'hui, et n'avait plus envie de s'amuser avec. Elle n'était plus divertissante, mais demain serait un autre jour !

La jeune femme se releva donc pour pouvoir mieux observer Verena, et s'approcha d'elle, toute sourire.

- Tu veux essayer de dire quelque chose ?
Titre: Virginité & Littérature. [Verena]
Posté par: Verena le lundi 23 juillet 2018, 21:52:23
A chaque instant, j'ai l'impression de franchir un pas de plus, comme si Elisabeth repoussait, je ne sais comment, l'instant où je vais vraiment, ou enfin, mourir, dans des souffranes encore pires que tout ce qu'elle m'a fait endurer, mais surtout atteindre enfin la délivrance.
Avec tout ce qu'elle a forcé à entrer dans mon corps, tous mes organes distendus devraient me tordre d'une douleur insupportable, mais même pas. Pourtant, il va bien y avoir un momet où l'hémorragie interne va s'amplifier, où je vais me vider de mon sang, et mourir sous ses yeux moqueurs !

« Tu veux essayer de dire quelque chose ? »
Cette salope sait bien que je ne peut rien dire, avec ce gode qui me distend la gorge !
« Hummppfff »
Ca ne veut rien dire, et je la vois ricaner.
« Oouuuummmppphhhh »
Même échec de parole, mais Elisabeth est tout près de moi.