Le Grand Jeu

Havre de Repos des Pervers(e)s [HRP] => L'Art => Discussion démarrée par: Ariman le dimanche 11 mars 2018, 00:43:42

Titre: Une annonce particulière
Posté par: Ariman le dimanche 11 mars 2018, 00:43:42
Voilà en ce moment j'écris à livre et je suis sur le point de le terminer. Restera plus ensuite que je le relis. En ce qui concerne ma demande je suis à la recherche d'un illustrateur pour faire la couverture de ce livre. Personnellement je sait dessiné moi même mais j'ai perdu la main il y as longtemps et comme je sait que le forum dispose d'excellents dessinateur je me demandait si l'un d'entre vous pourrait me rendre ce service.

Voilà un extrait de ce que j'ai écrit il proviens du prologue.

Citer

Davinel regarda attentivement le troupeau de Blêmes traversant l’immensité du désert de sel. Ses créatures n’étaient rien d’autre qu’une des nombreuses variétés de monstre hantant cette terre. Ses créatures étaient d’un blanc immaculé à cause de la pellicule de sel et de la poussière les recouvrant, leur chair était desséchée à un point qu’elles arrivaient à peine à avancer humant l’air comme des animaux et leurs membres craquant bruyamment à chaque pas qu’ils faisaient. On dit que si elles s’arrêtaient un peu trop longtemps il était certains qu’elles se transformeraient en statues de sel. Trop faible et trop lente pour être un danger individuellement, elles avaient l’habitude de se rassembler en petits troupeaux migratoire et bien que leur marche fût sans destinations la quête de nourriture était un objectif commun. Malgré le fait qu’elles soient aveugles ses créatures avaient sens de l’odorat et de l’ouïe correcte mais avec le boucan qu’elles faisaient entre elles lorsqu’elles étaient en troupeaux il fallait que le son qu’elles entendaient soit suffisamment fort pour les attirer ou que la proie qu’elle chasse habituellement soit suffisamment proche d’elle pour être capté par leur odorat.
   Pour nombre de voyageurs se risquant dans le désert ou les sédentaires vivant dans les citée fortifiés les Blêmes étaient une nuisance des créatures dangereuse qui malgré leur pathétique lenteur étaient aussi vorace qu’une meute de prédateurs. Il suffisait que quelqu’un fasse une erreur et se retrouve aux milieux d’eux pour les avertir que le repas et servis et ils étaient si nombreux qu’ils ne leur suffisaient que quelques minutes pour qu’ils dévorent leur victimes et ceux qui survivaient à leurs attaquent n’étaient pas tirer d’affaire pour autant surtout ceux qui ont été mordus et contracte le mal blanc une maladie qui cristallise le sang et la chair des malades, les dessèche de l’intérieur pour finalement transformés les malheureux en Blême à leur tour. Il n’y avait que 50% de chance qu’un malade survive à la maladie mais ceux qui y arrivait n’étaient plus physiquement les mêmes. Le mal blanc faisait tellement de ravage dans un organisme qu’il pouvait transformer un homme fort en créature chétive et faible à l’espérance de vie réduite. 
   Néanmoins pour Davinel et pour beaucoup d’autres les Blêmes avaient aussi leur avantage pour ceux qui étaient chargés de les chasser.
   En premier l’extermination ou faire dériver un troupeau permettait d’éviter leurs proliférations aux abords des nombreuses zones habités dans le désert et les routes commerciale et cela permettaient aux voyageurs et marchands itinérants d’éviter de fâcheuses rencontre avec un troupeau.
   En second certaines de ses créatures avaient de la valeur pécuniaire. Pas toutes mais certains spécimens plus robustes que les autres étaient capturés plutôt que tuer. On les traitait ensuite de manière à ce qu’ils ne soient plus dangereux en leur arrachant les dents et on leur implantait dans leur crane et ce qui restait de leur cervelle un appareil électronique une sorte de cerveau de rechange permettant de les faire effectuer des taches manuelle simple en fonction de ce que on a programmé dans l’appareil. Malgré leur aspect rebutant les Blême étaient tellement sec qu’ils ne sentaient pas mauvais et pouvaient travailler infatigablement jusqu’à ce qu’ils tombent en poussière de sel cela prenait en général entre deux à cinq ans en fonction du spécimen convertis. Il y avait aussi des chances que certains d’entre eux avaient gardés des objets de leur ancienne vie pour eux cela n’avait plus de valeur. Ce qui leur rongeait la cervelle ne leur permettaient plus d’employer des objets complexe mais pour les vivant cela rajoutait un bonus mais il fallait avoir énormément de chance. Ce monde salé corrodait aussi bien le vivant que l’inerte un objet en métal rouillait vite et devenait aussi inutilisable que ses cadavres ambulant au bout d’un certain temps.
   Ce travail de chasseur de Blême était dangereux souvent pas très bien payer en fonction de l’état de la marchandise livrée mais moins ingrat que de travailler dans une citée et c’est ce que préférait Davinel.